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#liberté de conscience
sabbathsermon · 8 months
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Abaya, laïcité et liberté de conscience
Abaya, laïcité et liberté de conscience Faut-il en parler ? En voyant la polémique, on se dit que peut-être pas. Toutefois, il y a quelque chose de profondément important derrière le jeu des instrumentalisations politiques et religieuses tant du vêtement féminin que des interdictions du gouvernement. Quelque chose d’important, car quelque chose qui nous concerne tous, ou qui finira tôt ou tard…
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Soleil, sable et style : L'évolution du bikini
Soleil, sable et style : L'évolution du bikini
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dandanjean · 1 year
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Se libérer
Nous entendons souvent parler de liberté dans le contexte de notre relation avec les autres. Alors, on fait référence à cette capacité de prendre des décisions, de se déplacer, de faire ce que nous désirons malgré la norme collective. Il y a aussi toute une autre dimension de la notion de liberté. Je fais référence à cette capacité de pouvoir diriger sa vie, et non pas être uniquement le…
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lafeedelaverite · 9 months
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Écoute plus. Sens plus profondément. Aime plus fort. Ouvre tes yeux. Découvre la vie.
Notre vie entière s’équilibre entre ce que l’on donne aux autres sans attentes et ce que nous recevons et acceptons des autres avec le cœur ouvert. Lorsque tu prends du recul sur tes relations, quels genres de cadeau ( immatériels ou matériels) as-tu offert à ta famille, à tes amis et à tes enfants tout au long de ta vie? Crois-tu que ces personnes se rendent compte de la valeur de ces…
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brunomindcast · 2 years
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jacquesdor-poesie · 9 months
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Offrez de l'espace au vent
Il n'en sera que plus joyeux
C'est de liberté dont nous avons besoin
Posséder c'est s'alourdir
Marcher c'est rêver
Se débarrasser de l'inutile
c'est travailler à l'avenir
Avoir un avenir c'est rester léger
Il faut des bulles
Des rires
Il faut danser sur ses larmes
Il faut garder les yeux ouverts
Il faut rester simple
Ou simplement le cultiver
Il faut rêver le monde pour rencontrer
Un monde possible à vivre
Offrir de l'espace au vent
Et qu'il souffle plus joyeusement
C'est de conscience aimante
Dont nous avons besoin
Pour nous tenir debout
En voleur d'émotions
Et bras dessus bras dessous
Parmi les fleurs et les désastres
Nous sentir en vie
jacques dor
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«Il se disait que la question fondamentale n’était pas: Savaient-ils ou ne savaient-ils pas? Mais: Est-on innocent parce qu’on ne sait pas? Un imbécile assis sur le trône est-il déchargé de toute responsabilité du seul fait que c’est un imbécile?
Admettons que le procureur tchèque qui réclamait au début des années cinquante la peine de mort pour un innocent ait été trompé par la police secrète russe et par le gouvernement de son pays. Mais maintenant que l’on sait que les accusations étaient absurdes et les suppliciés innocents, comment se peut-il que le même procureur défende la pureté de son âme et se frappe la poitrine: ma conscience est sans tache, je ne savais pas, je croyais! N’est-ce pas précisément dans son «Je ne savais pas! Je croyais!» que réside sa faute irréparable?
Alors, Tomas se rappela l’histoire d’Œdipe. Œdipe ne savait pas qu’il couchait avec sa propre mère et, pourtant, quand il eut compris ce qui s’était passé, il ne se sentit pas innocent. Il ne put supporter le spectacle du malheur qu’il avait causé par son ignorance, il se creva les yeux et, à jamais aveugle, il partit de Thèbes.
Tomas entendait le hurlement des communistes qui défendaient la pureté de leur âme, et il se disait: À cause de votre inconscience, ce pays a peut-être perdu pour des siècles sa liberté et vous criez que vous vous sentez innocents? Comment, vous pouvez encore regarder autour de vous?
Comment, vous n’êtes pas épouvantés? Êtes-vous capables de voir? Si vous aviez des yeux, vous devriez vous les crever et partir de Thèbes!»
(Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être)
Remplacez "communiste" par "médecin de plateau-télé", membre du comité scientifique, gouvernant, parlementaire, journaliste…
Pour Lacan: «l’erreur de bonne foi est de toutes la plus impardonnable».
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claudehenrion · 2 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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Primidi 1er Germinal an CCXXXII
(Mercredi 20 mars 2024 / Wenesday, March 20th 2024)
🇨🇵 Texte en français et en anglais / Text in French and English 🇬🇧/🇺🇲
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Le calendrier républicain, adopté pendant la Révolution française, était une tentative de rompre avec le passé monarchique et catholique en instaurant un système de mesure du temps basé sur les valeurs républicaines et agricoles. Chaque jour du calendrier républicain était dédié à une plante, un animal, un outil ou un événement symbolique, reflétant ainsi les idéaux de la Révolution.
Le mois de Germinal dans le calendrier républicain français représente le renouveau et la vitalité de la nature au printemps. Du 20 mars au 19 avril, Germinal est le mois où la terre se réveille de son sommeil hivernal, où les bourgeons éclosent et où les premières fleurs colorent les paysages. Il incarne le début de la saison des semailles et le travail de la terre, symbolisant ainsi l'espoir et la promesse d'une nouvelle récolte. Germinal rappelle également les idéaux républicains de liberté, d'égalité et de fraternité, en invitant chacun à contribuer à l'essor de la société et à cultiver un avenir meilleur.
Le 1er Germinal dans le calendrier républicain français, synonyme de printemps, est une journée dédiée à célébrer la beauté et la fraîcheur des primevères, ces magnifiques fleurs colorées qui annoncent l'arrivée des beaux jours.
Cette journée est l'occasion parfaite pour prendre conscience de la renaissance de la nature après les rigueurs de l'hiver. Les primevères, avec leurs pétales délicats et leurs couleurs vives, symbolisent cette période de renouveau et d'espoir.
À l'époque du calendrier républicain français, la journée du 1er Germinal, synonyme de printemps, était célébrée avec enthousiasme. Les citoyens se réunissaient dans les jardins publics et les parcs pour admirer les primevères en fleurs. Certains organisaient des expositions florales où les primevères étaient mises en valeur dans des arrangements artistiques.
En plus de leur beauté esthétique, les primevères ont également une importance écologique en tant que premières fleurs à fleurir au printemps, fournissant ainsi une source de nourriture essentielle pour les insectes pollinisateurs tels que les abeilles et les papillons.
En résumé, la journée du 1er Germinal est l'occasion idéale pour célébrer la beauté et la vitalité des primevères, tout en se reconnectant avec la nature et en appréciant les merveilles du printemps.
***
The Republican calendar, adopted during the French Revolution, was an attempt to break with the monarchical and Catholic past by establishing a system of time measurement based on republican and agricultural values. Each day of the Republican calendar was dedicated to a plant, an animal, a tool, or a symbolic event, thus reflecting the ideals of the Revolution.
The month of Germinal in the French Republican calendar represents the renewal and vitality of nature in spring. From March 20 to April 19, Germinal is the month when the earth awakens from its winter slumber, when buds open, and when the first flowers color the landscapes. It embodies the beginning of the sowing season and the work of the land, symbolizing hope and the promise of a new harvest. Germinal also recalls the republican ideals of liberty, equality, and fraternity, inviting everyone to contribute to the development of society and to cultivate a better future.
The 1st Germinal in the French Republican calendar, synonymous with spring, is a day dedicated to celebrating the beauty and freshness of primroses, these magnificent colorful flowers that herald the arrival of sunny days.
This day is the perfect opportunity to become aware of the rebirth of nature after the rigors of winter. Primroses, with their delicate petals and vibrant colors, symbolize this period of renewal and hope.
At the time of the French Republican calendar, the 1st Germinal, synonymous with spring, was celebrated with enthusiasm. Citizens gathered in public gardens and parks to admire the blooming primroses. Some organized floral exhibitions where primroses were showcased in artistic arrangements.
In addition to their aesthetic beauty, primroses also have ecological importance as the first flowers to bloom in spring, providing an essential food source for pollinating insects such as bees and butterflies.
In summary, the 1st Germinal is the ideal opportunity to celebrate the beauty and vitality of primroses, while reconnecting with nature and appreciating the wonders of spring.
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jeanchrisosme · 3 months
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Être une bonne personne n’est pas une faiblesse. N'oublie jamais cela. Peu importe si parfois cela se passe mal, peu importe si parfois tu as laissé tomber. Sois gentil. Sois compréhensif. Sois intense, vrai avec toi-même et avec les autres. Ne fuis pas le changement. Le changement n’est pas incohérent, s'il le faut. Parfois, ne pas changer, c'est cela qui l'est . Stagner, s'arrêter, s'entêter. C'est ça qui l'est. Sois émotif, sensible et pleure si tu veux. Profondément, honnêtement. Oublie ceux qui ne te comprennent pas, et ne cherche pas à convaincre. Continue ta route. Regarde, aide, donne un coup de main, fais toute la différence. Pas de contrepartie, pas de récompense. Vivre en paix est ta récompense. Avoir conscience tranquille est ta récompense. Sois libre. Tu n'appartiens qu'à ce que tu ressens. C’est la meilleure, la seule, forme de liberté. Refuse tout ce qui blesse. Et n'oublie pas: Être une bonne personne n'est pas une faiblesse...
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The welfare of the people in particular has always been the alibi of tyrants, and it provides the further advantage of giving the servants of tyranny a good conscience. It would be easy, however, to destroy that good conscience by shouting to them: if you want the happiness of the people, let them speak out and tell what kind of happiness they want and what kind they don't want! But, in truth, the very ones who make use of such alibis know they are lies; they leave to their intellectuals on duty the chore of believing in them and of proving that religion, patriotism, and justice need for their survival the sacrifice of freedom. As if freedom, when it goes away somewhere, did not disappear the last, after all that made our reasons to live. No, freedom does not die alone. At the same time justice is forever exiled, the homeland agonizes, the innocent is recrucified every day. Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l'alibi des tyrans, et il offre de plus l'avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie. Il serait facile pourtant de détruire cette bonne conscience en leur criant : si vous voulez le bonheur du peuple, donnez-lui la parole pour qu'il dise quel est le bonheur qu'il veut et celui dont il ne veut pas ! Mais à la vérité, ceux mêmes qui se servent de semblables alibis, savent qu'il s'agit de mensonges ; ils laissent à leurs intellectuels de service le soin d'y croire et de démontrer que la religion, le patriotisme ou la justice exigent pour survivre le sacrifice de la liberté. Comme si la liberté, lorsqu'elle s'en va de quelque part, ne disparaissait pas la dernière, après tout ce qui faisait nos raisons de vivre. Non, la liberté ne meurt pas seule. En même temps qu'elle, la justice est à jamais exilée, la patrie agonise, l'innocence tous les jours est recrucifiée. —Albert Camus, Homage à un journaliste exilé, a speech delivered Dec 7, 1955 at a banquet in honor of President Eduardo Santos, editor of El Tiempo, driven out of Colombia by the dictatorship, published in Actuelles III
[h/t Scott Horton]
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dandanjean · 3 days
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S’aligner
Pour choisir, il nous faut plus que la liberté. Il nous faut une présence et une conscience de soi afin de créer l’alignement cohérent entre ce que nous pensons, ce que nous disons et ce que nous faisons. Ainsi, il est possible de rechercher les choses qui correspondent exactement à ce que nous souhaitons. Mais, il est aussi possible de tendre vers les choses qui sont exactement comme elles…
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icariebzh · 3 months
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"Sans haine mais pas sans colères, mon poème peut montrer les dents, quand une foi arrogante menace du bâillon les infidèles, les athées, les libertaires, et promet l'ordre moral aux libertins, aux affranchis qui dénoncent l'imposture d'un péché de chair, la lapidation de la femme adultère, la beauté qu'on enferme dans l'insulte d'une burqa. Des misérables avilissent l'amour et la vie et l'on s'attriste qu'ils ne puissent deviner que si leur dieu jaloux n'est pas un voyeur, il regarde dans les coeurs, pas dans les lits! Pour un oui, pour un non, une caricature, une image non conforme à leur orthodoxie, les voilà en émoi, rameutant le troupeau, en appelant à la censure, au meurtre, à la croisade; ils crient au sacrilège en feignant d'ignorer que le sacré des uns n'est pas celui des autres, qu'on est pour son voisin toujours un peu dans l'hérésie. Car ces inféodés, ces dévots qui s'indignent du blasphème semblent incapables de comprendre jamais que le respect humain est dû à la personne, pas à son credo, ses opinions, ses utopies. Bien sur, je connais des croyants convaincus que sans la liberté de conscience aucune adhésion jamais ne vaudrait rien, qui connaissent le doute et parfois même les tempêtes sous un crâne et qui n'ont cure des pauvres crédulités nées du clapot des cerveaux. Déchirés entre la louange et le refus, ceux-là dont le souci d'autrui oriente la prière, qui voudraient rédimer le monde en misant seulement sur la ferveur et la bonté, sont à mes yeux le seul argument en faveur du divin. Mais je crois trop que leur "créateur" est à l'image fraternelle du meilleur de leur humanité pour ne pas penser qu'ils l'ont inventé! Pour ma part je le confesse, depuis longtemps la messe est dite, le discrédit jeté sur ces relents de religions, ces allégeances à la lâcheté superstitieuse, aux angoisses qui nous accablent, à la peur de la mort, du vide et de l'insignifiance; Je n'ai pas le goût des soumissions, des prosternations ni des genoux à terre. La dignité de mes héros intimes est d'être filles et fils de Prométhée, d'avoir volé le feu au ciel et de lui montrer parfois le poing. Et je me plais à croire que si un dieu existait qui valût quelque considération, il serait de toute éternité du côté des esprits critiques, des rebelles, des insoumis, des mécréants." Michel Baglin-"Si dieu existait" -
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lisaalmeida · 1 year
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La liberté d'aimer est le même droit que la liberté de penser; l'une répond au coeur, l'autre à l'esprit: ce sont deux faces de la liberté de conscience. Choses vues
Victor Hugo
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lafeedelaverite · 10 months
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D'abord tu t'es perdu/perdue, puis tu as réalisé que tu t'étais perdu/perdue, maintenant il est temps d'avancer avec cette prise de conscience!
Y a-t-il un moment dans la journée où ta conscience de toi-même s’estompe? Félicitations! En étant capable d’identifier le fait que tu as perdu conscience de toi-même, tu as en ait découvert un moyen d’arrêter le rythme effréné de ton esprit. C’est ça, la conscience! Peux-tu trouver un moyen de t’écouter plus souvent de cette manière? Un jour, tu as compris que tu t’étais perdu. Cette prise de…
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eiffel21 · 9 months
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Dix-sept
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« Elle avait 17 ans. Elle avait tant et tant de rêves à vivre et si peu l’envie de rêver, comme ces gens âgés qui tuent le temps qu’ils n’ont plus, assis sur des bancs »
Cette chanson me revient souvent en tête quand je pense à mes années d’adolescence, en bascule vers l’âge adulte. Des prises de conscience ambivalentes que tout est possible (en théorie) et que des voies semblent déjà tracées pour nous. Le début de l’autonomie, départ de la maison familiale, d’une indépendance même relative et l’attachement, malgré tout, à ses parents, racines de tout.
La transition heureuse et douloureuse à la fois, du deuil de l’enfance, de l’insouciance… au poids de quelques responsabilités, portée par une sensation de liberté toute nouvelle, infinie.
Expériences, rencontres, permis, nuits blanches, partiels, concerts, marches de nuit, bains de minuit, ruptures, jobs d’été, ivresse, amitié pour la vie...
« Face à tant d'appétit vorace, que vouliez-vous que j'y fasse ? A tant de violente innocence, j'avais pas l'ombre d'une chance »
Je pense aussi à ma fille, 17 ans, qui prend doucettement son envol. Elle s’engage dans un métier avec tellement plus de certitude et de légèreté que je n’ai jamais eues sur le plan professionnel. C’est puissant et touchant à la fois.
« Elle voulait que ses heures dansent au rythme de ses impatiences »
La conviction ancrée que la jeunesse durera à jamais, comme l’énergie de la vie. 30 ans plus tard, retrouver la source, l'élan, la fraîcheur et plonger dans ce bain de jouvence.
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