Season 4 最終回。Season 5で、またお会いしましょう!出演は、野良猫のアネゴ、オクレ、クロベエ。チャンネル登録お願いします!
Season 4 Final Episode. See you in Season 5! Starring Anego, Okure, Kurobee - the stray cats. Please subscribe to the channel!"
Saison 4 Épisode Final. À bientôt dans la Saison 5 ! Avec Anego, Okure, Kurobee - les chats errants. Merci de vous abonner à la chaîne !
Temporada 4 Episodio Final. ¡Nos vemos en la Temporada 5! Protagonizado por Anego, Okure, Kurobee - los gatos callejeros. ¡Por favor, suscríbanse al canal!
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Commencer à formuler des vœux
Organiser un pré réveillon de nouvel an avec mon fils. Se régaler tout simplement
Prendre soin de moi pour me sentir plus jolie et plus puissante
Passer du temps avec mon petit M. à jouer, lui raconter des histoires, le nourrir et l’endormir
Regarder un dessin animé à la télé. Retour de l’enfance
Passer chaleureusement le réveillon de Noël à trois. Parler littérature et cinéma en dégustant un bon repas et du champagne. Cadeau de la vie
Préparer le retour de maman à la maison, soupes, lessives et présence pour soins
Inviter une amie qui sera seule pour le réveillon de Noël. Lui laisser le choix de la solitude
Finir de cacheter les enveloppes de Noël. Cette année offrir des mots en cadeaux
Compter les jours avant le printemps et le retour de la lumière
Pleurer, souvent et beaucoup, croyant vider la goutte d’eau qui fait déborder le vase
Plus ou moins, tout m’est égal
Aller voir la mer, apaisant le vague à l’âme
Répondre positivement à une invitation. Pour une fois, le mois prochain en espérant que ça ira ce jour là
Recevoir une boîte de chocolats de la part de stagiaire (adorable et enthousiaste) quand mes jeunes patients me répondent à longueur de journée dès que j’ai une demande : « qu’est-ce que tu me donnes en échange ? ». Gratitude, disais-je ?
Compter les jours avant Noël et surtout les vacances
Rougir devant le pharmacien qui m’a accueillie en disant à la cantonade : « je vais me faire la dame », s’est peut-être rendu compte de sa maladresse, balbutie et oublie de me rendre mon ordonnance. Sourire intérieurement
Rentrer le soir à la maison pleine de l’odeur des biscuits tout chauds et des épices : anis étoilé, cannelle, muscade et gingembre. Magie de Noël préparée par mes deux enfants pendant que mon petit M. somnole à la sieste
Me réchauffer au soleil d’hiver sur la terrasse avec maman. Avoir moins froid dedans dehors. Sentir le chat chercher la caresse de l’une et l’autre
Sentir que mon petit M. tête ma joue. Premier baiser
Réconforter une collègue qui se culpabilise de ne pas en faire assez. Trouver les mots alors que je suis moi-même épuisée d’en faire trop
Me réjouir de constater que maman a installé la crèche cette année. Preuve que l’amour familial la porte : pour son père qui a sculpté cette crèche il y a 80 ans, pour ses enfants sur 3 générations maintenant, qui se rassemblent autour chaque Noël
Écouter les confidences de ma fille parlant de sa meilleure amie. Conseiller la posture d’amitié silencieuse : accueil et écoute
Apprécier chaque soir que mon fils me prépare mon café après le repas, et avec un petit chocolat en cette saison
Être invitée pour des soirées chez ma fille et chez ma meilleure amie. Décommander l’une et l’autre pour me reposer
Constater que mon petit M. fait des progrès de motricité. L’encourager avec amour
Savoir que ma nièce s’est rabibochée avec son amie. Faire confiance à la vie et au cœur
M’accorder un week-end de repos sans sortir de la maison. Commencer à écrire des poèmes acrostiches à offrir pour Noël à mes proches
Retrouver ma sœur dans un embrassement et les larmes aux yeux, sous les commentaires dénigrant mon émotion
Faire le projet d’un week-end entre filles avec visites de musée et d’expo. Vivement l’année prochaine !
Consoler ma nièce d’un chagrin d’amitié. La rassurer sur l’issue positive de cette expérience si l’amitié est authentique
Suppléer l’absence de ma sœur auprès de mes nièces pendant le week-end. Resserrer les liens
Faire un appel visio avec ma sœur en vacances au Togo. Fondre en larmes ensemble de ne pouvoir partager ce retour en Afrique l’une avec l’autre
Aller acheter un sapin avec ma meilleure amie. Le décorer de magie pour Noël
Freyja (qui signifie "Dame", "Femme" ou "Maîtresse" en vieux norrois) est la déesse la plus connue et la plus importante de la mythologie nordique. Belle et aux multiples fonctions, elle est une déesse de la fertilité, en raison de sa place dans la famille des Vanes (l'autre et principale famille étant celle des Ases), aux côtés de son frère jumeau Freyr et de son père Njörd, et figure dans de nombreux mythes de la littérature vieux-nordique en tant qu'amante ou objet de convoitise. Elle vit à Fólkvangr ("champ du peuple"), se déplace dans un carrosse tiré par des chats et est associée non seulement à l'amour et au désir, mais aussi à la richesse, à la magie, ainsi qu'à la sélection de la moitié des guerriers tombés sur les champs de bataille afin qu'ils entrent dans la salle du Valhalla d'Odin - l'autre moitié étant sélectionnée par Odin en personne. Elle jouait probablement un rôle important dans l'ancienne religion scandinave.
L’histoire se passe autour de trois personnages qui habitent dans la même rue (enfin, à peu près). Clara, sept ans, a précisément les yeux rivés sur la rue, car sa sœur chérie Rose a disparu, suite à une dispute avec leur mère ; elle la guette. Elle s’entend très bien avec Elizabeth Orchard, sa vieille voisine d’en face, et avec son chat. Celle-ci lui confie même la tâche de nourrir Moïse (le chat), lorsqu’elle doit s’absenter pour un séjour à l’hôpital…mais le séjour s’éternise, Rose ne revient pas non plus, et voilà qu’un étrange inconnu semble prendre possession de la maison de Mme Orchard. Le monde de Clara se fissure, et elle veut comprendre et tout réparer ; il faut dire que malgré son anxiété, elle a un sacré caractère, et une volonté de fer.
Il s’agit d’un roman choral dans lequel les chapitres s’enchaînent avec changement de narration avec ces trois personnages. On comprend peu à peu ce qui les lie, ou ce qui va les lier. C’est assez joli, subtil, nuancé et doux. Finement écrit, avec un humour discret mais efficace, on s’attache vite et bien aux personnages, et on se surprend à s’attendrir, vouloir qu’ils soient réconfortés, consolés, oui, comme l’annonce le titre.
Il est possible de faire de la bonne littérature avec de bons sentiments, j’ai enfin un exemple à citer. Ici des êtres blessés par la vie se retrouvent dans cette petite ville du Canada, enfin un peu dorlotés par le destin, enfin, apaisés dirons-nous (car l’autre mot est un peu déplacé pour Elizabeth) sans que l’ombre d’une mièvrerie vienne gêner le plaisir. C’est communicatif. Un beau livre qui fait du bien, c’est appréciable.
j'ai commencé le livre de gaëlle obiégly et mon dieu que j'aime la lire et que ça me donne envie de m'y mettre mais non j'ai décidé de faire un film, même si le plus important dans mon film c'est le texte, ça m'avance pas dans mon livre. elle dit qu'elle est assez peu lue et que parfois ça la rend triste. j'ai envie de lui écrire pour lui dire à quel point je l'aime. après avoir entendu lydie salvayre sur france inter ce matin qui parlait des critiques littéraires qui employaient toujours les mêmes expressions toutes faites et qui disait qu'aujourd'hui un livre n'avait plus besoin d'être lu, qu'il suffisait qu'on en parle, je me disais que peut être, le plus belle et la plus pure et la plus vraie expérience de la littérature que je ferai jamais c'est celle-là, celle de tous les jours, celle de mon journal et de mes petites lectures de poésie. que même si je publie un livre et que même s'il a du succès, ce sera forcément décevant. mais peut être que je me trompe, peut être que des gens m'écriront comme moi j'ai envie d'écrire à gaëlle obiégly pour me dire qu'ils m'aiment et que je les ai aidés et que ce sera trop cool.
gaëlle obiégly dit qu'on la connait pas parce qu'elle va pas sur les plateaux de télévision et qu'elle est jamais invitée à la télé parce qu'elle a un physique disgracieux, qu'on avait tendance à ne pas l'écouter parce qu'on n'écoute pas les gens qui ont un physique disgracieux. je sais pas à quel point elle est sérieuse quand elle dit ça mais j'ai interrompu ma lecture pour la googler parce que j'avais pas le souvenir qu'elle était moche et je me suis demandé avec horreur si mon propre physique disgracieux allait m'empêcher de devenir une star littéraire. j'avais pas du tout envisagé cette possibilité. quel monde de merde. heureusement qu'y a la radio. ou je pourrais mettre un casque comme daft punk pour créer le mystère. ou garder des grandes lunettes de soleil tout le temps comme jenna lyons.
11 août
j'ai rêvé de r., on allait au resto dans un sous-sol mais il fallait attendre qu'une table se libère et on était tous assis les uns sur les autres en bas du petit escalier en colimaçon, j'étais à moitié assise sur lui mais encore plus près de lui y avait une fille petite et brune avec le visage caché par une épaisse frange, elle parlait pas beaucoup, elle parlait même pas du tout mais elle était collée à lui et elle enfouissait son visage dans le creux de son cou et il l'embrassait. je crois que c'était gaëlle obiégly. mais comme moi aussi j'étais assise sur lui j'ai commencé à caresser sa cuisse, puis je me suis brutalement arrêtée en me rappelant que j'avais pas le droit. que ça servait à rien. que ça ferait que m'humilier d'avantage.
deuxième soir de suite que r. me gâche mon plan de me coucher tôt pour lire gaëlle o. non seulement il sort avec elle dans mes rêves mais en plus il m'empêche de lire son livre? mais j'imagine que c'est le prix à payer pour avoir une vie sociale. ça prend du TEMPS. il m'a confié ses insécurités et je lui ai écrit sache que je ne fraie qu'avec des gens de haute qualité et il m'a répondu en rigolant avec plein de cours rouges et puis il m'a dit que mes conseils lui avaient fait avoir une révélation et je lui ai écrit you go girl!!! et puis on a parlé de mes problèmes à moi et c'était très satisfaisant comme conversation.
à part ça ce matin j'ai déjeuné sur le balcon en regardant le chat se rouler dans l'herbe dans le jardin en bas, puis j'ai sorti loki et j'ai vu c. sortir de chez elle en robe pour prendre la voiture et on s'est fait bonjour, il faisait beau et agréablement chaud et c'était le matin et tout est magique le matin. tout est magique le soir aussi, mais moins. y a que l'après-midi qui sert à rien. en revenant de la piscine on s'est arrêté à la boucherie et en rentrant je me suis rendu compte que j'avais le visage d'une lépreuse, j'étais en train de me fossiliser vivante comme dans le texte de mon film et j'ai pensé aux deux bouchers qui ont vu un fossile vivant entrer dans leur boucherie et regarder leurs saucisses et leurs steaks hachés et leurs escalopes de dinde et dire à maman non j'ai mangé trop de pain à paris quand elle a demandé si on prenait une baguette au levain.
13 août
hier soir après avoir fini the other two (fin sublime) j'ai regardé les deux nouveaux épisodes de how to with john wilson et r. m'a envoyé des vidéos de son écran avec des passages qui l'ont fait rigoler et on l'entend éclater de rire exactement au même endroit où moi aussi j'ai éclaté de rire et l'entendre éclater de rire m'a de nouveau fait éclater de rire et je l'ai remis plusieurs fois et je rigolais toute seule dans mon lit et je le remettais et je rigolais et je le remettais et je rigolais et je crois que je suis pas guérie du tout. mais au moins ça me déprime plus. ce matin il m'a envoyé la même vidéo de vinciane despret sur la politisation des émotions que j'ai ouverte dans mes onglets depuis une semaine en me disant qu'il l'avait écoutée en faisant la vaisselle et qu'il exultait tellement il aimait ce qu'elle disait.
pendant que je préparais mon porridge ils passaient une chanson mélancolique de paul mccartney à la radio qui m'a fait penser à lui et quand je le lui ai dit j'avais l'impression de prendre un petit risque d'avoir l'air encore amoureuse. je suis encore amoureuse, mais il doit pas le savoir. je suis encore amoureuse parce que pour qui d'autre je prends mon téléphone au lit le soir? pour absolument personne. j'ai besoin de personne. j'ai passé l'entièreté du mois de juillet et bientôt du mois d'août seule, à part les quelques personnes usuelles de temps en temps, et c'est même pas une question de La Situation ou de trou ou de dépression, j'ai juste la flemme, et j'adore passer mes soirées à regarder des séries et le reste du temps à travailler.
Je n’ai pas choisi les joies simples, car mes joies sont compliquées, teintées d’anamnèses et de madeleines proustiennes. Je n’ai plus qu’à enfiler les phrases préparatoires sur le fil, cette déconcertante facilité m’agace les sens, mon intellect s’offusque presque. Je refuse de parler à nouveau de tisanes et de chats, de plaid et de journées complaisantes de farniente. Je n’ai pourtant qu’une seule proposition au menu, le relent d’une épopée moderne. J’ai toujours voulu écrire des départs, mais je n’ai jamais réussi à atteindre les arrivées. Fatalité de trouver l’originalité ou l’inspiration divine rimbaldienne. De féeriques citadelles dans le carnet échu dans mes mains aux couloirs stériles hospitaliers. La mort aux trousses pour pousser mes mains à laisser des traces de moi sur terre. Quand je veux faire de la littérature, il n’en sort qu’un infâme gargouillis illisible. Je me contente alors de réécritures. Contes noirs ou tragédies antiques revisitées. Ça tournoie en idées confusément entaillées sur la table opératoire. Envie de reprendre Maldoror et d’accoucher d’un récit « Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie. » Puisqu’il faut parler d’un quelque chose, je vais simplement décalquer des moments de vie, ce sera la nourriture organique d’un roman-fleuve qui vire à la noyade.
Cuire sombre rouge bleu blanc rha my pen my dream is running water l'art de la limitation cadrer le monde whoop de woo loin des buissons il fait trop noir maintenant i dextérité de chicago saisir ce qui est révélateur le passé c'est de la poussière voici mon empreinte wu xia pian de l'âge des tulipes crochet rouge california love rmx espaces travaillés II IO echolalia batho bathocolore de mal en pis ils espèrent reprendre corps l'eau figure d’attente boîtes particulières attention musiciens mon île hiers var. glenn gould aussi notre ami et le plus important pianiste virtuose du siècle terrain rugueux ou papier photo d'une nouvelle littérature jeff koons tu nous fais perdre notre temps et comment d'être lucide console l'homme sensible un photographe le non-flou j'ai entendu dire poèmes d'amour c'est à dire je après être passé à la télé pour raconter des conneries vous allez partager le fric avec votre banquier cri silence original castor repeint silence radio quetschungen there is a balm in gilead répète un peu pour voir une terre griffée comme une feuille jaunie au gré du vent sorte de dialogue la phynance va au mieux cours et allées un dernier recours autre part de beuf d'autres paar traversée française savoir vivre autres traversées françaises tcha lalala laa~a copain copine on est des anges feist vie palestinienne vie israélienne chaque jour fais-le et casse-le fabrique-le et tue-le tirés par les je veux cauchemars de chaland feelin' right comme un couple encore comme un couple seule bon pour l'esprit romantique c'est la dernière de toutes les guerres simples noirs de loupes ce soir je préfère écouter wu radio vivre dans le monde d'aujourd'hui des baisers toujours des baisers dirty plotte chatte portée sur la chose recherche chose portée par un chat le bàl beau blog photographier être photographié tricky face ironique vers le vide rive lointaine du fleuve ōi.
Littérature: Les deux félins des Mémoires d’un chat sont de retour !
Amoureux des chats, passionnés du Japon, lecteurs de Hiro Arikawa ou curieux de la découvrir… Dans Au revoir les chats !, suite de Mémoires d’un chat publié il y a quelques années, l’autrice met en exergue un récit sur l’adoption, l’amitié, et la force des liens qui unissent l’homme et l’animal. Un univers que l’on retrouve dans le premier opus, Au revoir les chats !, peut aussi se lire…
Après ses premiers rôles sérieux, Anne Hathaway entreprend de poursuivre ses études et entre au Vassar College, où elle étudie la littérature anglaise
En 2002, elle a eu l'opportunité d'interpréter un personnage du dessin animé japonais "Le retour du chat" dans la version anglaise. La même année, elle joue dans l'adaptation cinématographique du roman populaire de Charles Dickens le drame Nicholas Nickleby. Vient ensuite le rôle dans le conte de fées comique "Ella Enchanted". En 2004, la suite du film à succès How to Become a Princess, The Princess Diaries 2 : How to Become a Queen, a également été filmée. Mais il n'a pas été possible de répéter le succès de la première partie. Un autre personnage de dessin animé, Anne Hathaway, a exprimé dans le dessin animé "La véritable histoire du petit chaperon rouge". Et puis elle a joué un rôle inhabituel pour elle-même dans le film policier Crazy. En 2005, le drame primé Brokeback Mountain est sorti, dans lequel Anne Hathaway a joué l'un des rôles. Mais une popularité encore plus grande lui est venue avec la sortie de l'œuvre suivante "Le diable s'habille en Prada", dans laquelle son partenaire sur le plateau était l'actrice Meryl Streep, adorée par Ann depuis son enfance. Pour son prochain rôle de jeune écrivain dans le biopic Jane Austen, Anne Hathaway maîtrise le piano.
Les animaux de compagnie des Scandinaves à l'âge des Vikings
Les animaux de compagnie étaient aussi importants pour les Scandinaves de l'âge des Vikings (c.790-1100) que pour toute autre culture, passée ou présente. Les Vikings avaient des chiens et des chats comme animaux de compagnie et ces deux animaux figurent dans l'iconographie religieuse et la littérature nordique. Les Scandinaves avaient également des ours et des oiseaux de compagnie, tels que le faucon, la buse et le paon.
ChatGPT est un modèle de traitement du langage naturel basé sur la technique de Transformer, qui est un modèle de traitement de séquences développé par Google. Il utilise un réseau de neurones pour traiter les données d'entrée, en utilisant des techniques d'apprentissage automatique pour apprendre à générer du texte en fonction de ces données.
Comment fonctionne chatGPT ?
Pour fonctionner, ChatGPT utilise une technique appelée "entraînement par apprentissage profond" où il est entraîné sur des grandes quantités de données de textes (généralement de la littérature, des articles, des journaux, etc.). Lorsque ChatGPT reçoit une nouvelle entrée (par exemple, une phrase ou une question), il utilise les connaissances qu'il a acquises lors de son entraînement pour générer une réponse ou continuer une conversation.
En utilisant des techniques de traitement de la séquence comme l'attention, ChatGPT est capable de comprendre le contexte d'une phrase ou d'une conversation et de générer des réponses plus pertinentes. Il peut également utiliser des techniques d'amélioration de la qualité de la réponse pour rendre les réponses plus fluides et plus naturelles.
Il est important de noter que ChatGPT est un modèle pré-entraîné et qu'il peut être adapté pour des tâches spécifiques en effectuant un fine-tuning sur des données d'entraînement spécifiques.
Pourquoi utiliser l'intelligence artificielle chatGPT ?
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles il peut être utile d'utiliser un modèle de langage de grande envergure comme ChatGPT:
- Génération de contenu: ChatGPT peut être utilisé pour générer du contenu de qualité, comme des articles, des histoires ou des scripts.
- Réponse automatique: Il peut être utilisé pour créer un système de réponse automatique pour les chats ou les courriers électroniques.
- Compréhension de la langue naturelle: ChatGPT peut être utilisé pour améliorer les capacités de compréhension de la langue naturelle des systèmes informatiques.
- Recherche de données: Il peut être utilisé pour rechercher des informations dans des corpus de données de grande taille.
- Traduction automatique: Il peut être utilisé pour améliorer les performances des systèmes de traduction automatique.
Faut il avoir peur de l'intelligence artificielle ?
Il est compréhensible d'avoir des inquiétudes quant à l'évolution de l'intelligence artificielle (IA), car cette technologie est de plus en plus avancée et peut avoir des conséquences importantes sur notre vie quotidienne. Cependant, il est important de se rappeler que l'IA est avant tout un outil qui peut être utilisé de manière bénéfique pour améliorer la qualité de vie des individus et des communautés.
Il est important de mettre en place des réglementations et des normes éthiques pour s'assurer que l'IA est utilisée de manière responsable. Il est également important de s'assurer que les développeurs de l'IA comprennent les conséquences potentielles de leur travail et de prennent des mesures pour minimiser les risques.
En résumé, il n'est pas nécessaire d'avoir peur de l'IA, mais il est important de la surveiller et de la gérer de manière responsable pour en maximiser les avantages et minimiser les risques.
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In My Mailbox # 299 : sorties attendues, chats, littérature…
« In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C’est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque ». Cette semaine, au programme, […]In My Mailbox # 299 : sorties attendues, chats, littérature…
Je choisis une petite noix de muscade pour le gâteau aux bananes, je garde les plus grosses pour... pour quoi déjà? et bien pour le gratin de chou fleur mettons, la béchamel… dans les lasagne aussi. Je ne sais pas si c’est d’avoir vu le film d’Annie Ernaux et son fils, mais j’ai soudain la tête et le corps pleins de la maison, je m’applique à elle aujourd’hui. Je note ce que je dois réparer, je récure l’évier et le frigo un peu allez. Je veux peut-être me rassurer que je n’écris pas contre elle, contre ce que je dois tenir, je ne dis plus soigner, je n’en peux plus du soin et de tout ce qu’on y mets, ça dégouline, parce que moi ce que je soigne c’est aussi ma fuite, c’est pas la même chose.
Je ne l’imaginais pas comme ça la Ernaux, celle dont on ne voit que la tête d’habitude, de plus en plus émaciée avec les années, le cheveu épars et teint. Elle est grande et solide. Elle est belle et un peu gauche. C. dit «elle a un corps d’athlète de natation». Oui. Elle est haute et dépasse les autres sur les images que tourne Philippe Ernaux, le mari. M. que nous croisons à la sortie du film nous demande si nous avons aimé, avec le ton de elle, non. C. qui aime répondre à côté, dit qu’elle aime écrire sur les images, que ça lui a donné le goût. Moi je réponds sur mes gardes, je réponds je ne sais pas, je crois que oui, moi oui, même si tout est un peu plat, j’ai aimé les sourires des enfants dodus, les yeux des chats, la belle-soeur comme un homme, la grand-mère furtive. Dans les super 8 tournés par mon père, marie-jo a le même geste d’esquive que la mère d’Ernaux, elle se tourne un peu et cherche à passer comme en cachant quelque chose de son corps, qu’elle a d’habitude frontal : frontal au pied des bêtes, au pied du gros sac de patates à lancer sur son épaule, bien campé en face du mur sur lequel elle éclate le crâne du lapin avant de l’accrocher à un clou pour le dépyjamer d’un couteau habile. J’ai vu tout ça moi mais de dos parce que j’étais derrière elle, sur ses basques, parce que je n’étais pas l’objet de son travail mais la mouche du coche, je la suivais partout. Je pense qu’Annie, elle le sait que ce qu’elle écrit sur les images super 8 de ces films de famille, les siens la sienne, est un peu plate. Elle le sait parce qu’elle veut ça de même, plat. Elle le doit à la femme gelée qu’elle était alors, qui voulait écrire un livre pour *venger sa race*, un livre *violent et rouge*. Elle a eu cette violence frontale et n’a pas contourné l’objectif qu’elle s’était donné. Ça fait que non, elle ne va pas nous faire de la littérature sur ces images d’elle avant l’explosion, avant sa guerre de libération. Elle y a le visage fermé comme les autochtones qui regardent les blancs ne pas les voir et croire que ne les voyant pas, ceux-la n’existent pas ou à peine, un peu plats, un peu plates. Elle non plus n’est pas là pour séduire, elle arme son mouvement, c’est pour ça qu’elle est là, c’est tout. Et d’aujourd’hui, avec son recul, Ernaux ne cherche pas à s’héroïser a posteriori. Elle n’enjolive pas la femme d’alors, le regard en dedans, et sa vie aussi, d’où elle a su voir Allende, mais ignoré les arabes, comme dans ce village resort marocain où elle passe avec sa famille des vacances de colons. Aujourd’hui elle sait mais elle n’en fait pas des tonnes pour compenser, elle ajoute juste quelques mots qui manquent à l’Histoire, à son aveuglement social d’alors à l’Histoire. Moi ce soir, j’ai la maison dans le corps, mais nous sommes réconciliées, elle est mon camp de base, là où mes troupes et moi nous nous reposons - bien dormir, bien manger, ici ajuster une lampe, là réparer un thermostat, la sécheuse attendra, que le linge sèche dans le salon. Notre maison petite mais ouverte que je peux quitter quand je veux pour aller piocher le réel et trier les mots qui en sortent, flamboyants dans la noirceur de mon indéfectible aveuglement .
Bonsoir ! Nous restons dans la littérature jeunesse cette semaine avec ce coup de cœur incroyable : "Félines", Stéphane Servant, éditions Rouergue (2019) (livre emprunté à @marlabondance ) Roman de littérature jeunesse, littérature française, réalisme et fantastique, féminisme CW : discrimination, maltraitances, emprisonnement, harcèlement, violence, racisme et homophobie Ce livre est incroyable. Il semble que ce soit un mot que j'utilise dans chacun de mes retours, mais peu importe puisqu'il est utilisé avec honnêteté ! On y suit une jeune fille alors qu'une étrange épidémie fait rage : les adolescentes se transforment en chats anthropomorphes ! Louise, notre personnage principal, n'échappe pas à cette transformation. Commence alors une véritable chasse à la femme, entre débordements religieux, isolements et discriminations et même maltraitances dans l'espoir que ces jeunes filles vues comme impures et de classe inférieure disparaissent de la vie sociale. Ces situations amènent évidemment une révolte de la .part des adolescentes qui montent aux créneaux afin de défendre leurs vies. Ce ne sont pas de belles manifestations ni du militantisme pur et beau : la colère habite ces femmes, une colère légitime et forte, une colère aggressive que le roman semble accepter et y répondre positivement : oui, c'est humain et normal d'être autant en colère, surtout face à des injustices aussi cruelles. Parfois difficile à lire, ce roman nous emporte pourtant dans une tornade d'émotions. Il est très difficile de le poser tant il est passionnant et bouleversant. On y découvre un combat politique mené par et pour des adolescentes, avec un véritable sous-texte militant et féministe. C'est un livre parfait pour éveiller une conscience militante chez les ados, tout cela à travers une étrange et fantastique transformation en chat. Ce n'est pas un livre que je recommanderais à celleux qui lisent peu puisque c'est un roman long et émotionnellement difficile. Mais, si vous avez l'occasion de le lire, n'hésitez pas : ce roman vous donnera une sacrée claque. Je vous conseille également "Moxie" de Jennifer Mathieu (2017), plus doux. Bonne lecture, et de douceur je vous encense ! 💜 https://www.instagram.com/p/CnNGy7_LcEH/?igshid=NGJjMDIxMWI=