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#film en noir et  blanc
bizarreauhavre · 1 year
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 The face of desire, 1957, (surrealist movie).
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datura21 · 4 months
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Quand Hannah est à la maison je la filme avec ma caméra super-huit, à dix-huit images seconde en noir et blanc.
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jeanchrisosme · 2 months
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J'ai aimé connaitre ton autre monde, tes blessures et ta langue inconnue. J'ai aimé recommencer le monde avec toi, jusqu'à l'aube nouvelle. J'ai aimé tous nos instants : du premier regard jusqu’à la dernière étincelle. De la seconde où nos cœurs se sont reconnus, jusqu’aux heures où le feu et l'eau s'avouent un amour impossible. J’ai aimé apprendre de notre rencontre et de nos chemins divergents. J’ai aimé les heures calmes, les minutes folles, les chemins de nos peut-être, quand mes étoiles s'accrochaient à ton ciel. J’ai aimé tes colères, tes doutes, ta tendresse et tous tes murmures de lumières. J’ai aimé tes mains sur mes rides, les pas déjà faits, les mots jamais dits, entre la nuit et l'aurore, sur le bord de l’instant et partout où tu rêvais. J’ai aimé notre premier film, notre dernier train et même tous les lieux où l’on ne sera jamais. J’ai aimé tes gestes maladroits, tes éclats de rire et j’aime quand tu sais que tu dors encore au creux de ma mémoire… J’aime ces souvenirs qui viennent de toutes ces années où je t’attendais. Quand, avec toi, je ne voulais que des premières fois. J’aime parcourir nos instants et les rêves et demi, les graver en moi à l’échelle du temps. Retrouver dans le parfum des fleurs cette idée de nous qui fige nos instants d’éternité. Des paupières d'étoiles, à l'ombre de tes cils, la chaleur de mes mains sur ta peau attentive. J'aime te voir sourire et dessiner au crayon de mes nuits, un rêve où tout m’éblouit. J’aime les étoiles que tu mets à côté du soleil quand je te vois partout. Dans la neige et la pluie, au milieu de mes orages. Dans le sourire des mères quand elles portent la vie. Dans tous les rêves des enfants devant les premiers bruits du monde. Entre les lignes et dans la marge. Dans le blanc, le noir et toutes les couleurs qui prennent feu. Dans les matins qui m’attendent, quand je ne sais plus où je commence et où tu finis. Entre les uns et les autres, entre l'espace que tu laisses et le temps qui nous reste. J'aime tes mots. Quand, venus d’un hasard, l'alphabet conduit au verbe aimer, tes mots redressent les ratures et soulèvent la ligne d’horizon. J’aime tes appels, du premier pas, jusqu’à la dernier syllabe. J’aime même les silences qui les précédent, quand tu te tais pour me dire l’essentiel. J'aime quand tu reviens, quand tu retrouves ma route et que tu rêves plus fort que le destin. Même si c’est pour me dire que ton cœur bat de l'aile et qu’il ne sait plus voler. Et que le passé et le présent coïncident rarement…
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swedesinstockholm · 6 months
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6 septembre
n. a liké mon dernier post sur ig, est-ce que ça veut dire qu'elle est pas ultra remontée contre moi? je lui ai toujours pas répondu et ça me hante. je suis hantée par mon propre ghosting. dans le livre de léa rivière elle parle de doulas de déménagement pour rigoler mais c'est un truc qui devrait vraiment exister. j'ai commencé le livre sur l'argent de christophe hanna aussi j'ai passé l'après-midi à lire le sans plus pouvoir m'arrêter, c'est passionnant de voir comment tous ces artistes s'en sortent avec l'argent, ça me fait dédramatiser ma situation de pauvresse sans revenus qui vit chez sa mère, même si aucune des personnes interviewées jusqu'à maintenant ne vit chez ses parents, beaucoup reçoivent leur aide financière. beaucoup ont renoncé au travail alimentaire aussi et se contentent de presque rien. enfin c'est ce qu'ils disent, c'est un peu facile de romanticiser ça cf. constance debré.
hier j'ai envoyé mes poèmes-radio à r. et j'ai pas pu m'empêcher d'ajouter déso de te forcer à lire mes textes! et il m'a dit t'es sérieuse quand tu dis ça?? et je suis partie dans mes jérémiades nanana j'ai pas confiance en moi et j'ai peur de faire chier les gens etc c'est QUAND que je vais arrêter avec ça? il m'a dit qu'il adorait mes textes et que j'hésite jamais à lui en envoyer. JAMAIS. en majuscules. j'étais à un demi doigt de lui répondre JE T'AIME. hier soir il m'a envoyé un selfie avec une grosse peluche minnie trouvée dans un fourré et j'ai bu mon verre de limoncello cul sec pour m'en remettre. il l'a gardée pour sa fille. je suis hantée par le moment dans son message vocal du camping hollandais où on entend sa fille soupirer dans son sommeil et il dit ah voilà que ma fille ronfle aussi... à sa manière. dans une vidéo de son écran d'ordi on voit des petits polaroids d'eux deux en noir et blanc. quand il m'a dit qu'il faisait du camping avec elle j'ai pensé au souvenir fin comme un voile que j'ai d'être montée sur une colline derrière mon père en chantant une chanson en luxembourgeois à propos d'un sorcier lors d'un séjour en camping seule avec lui. mais il me reste juste cette impression fugace. je sais pas si quelqu'un a déjà théorisé le cas de l'orpheline de père qui tombe amoureuse d'un jeune père et qui est obsédée par sa relation avec sa fille? mais l'orpheline est laide et le jeune père ne sort qu'avec des bombasses.
c'est le deuxième matin que je marche jusqu'au cap d'agde et puis je reviens, il m'attire comme un aimant, j'adore regarder les gens sur la plage en chemin, c'est mieux que le musée. je vois des photos partout avec des compositions parfaites et des accords de couleurs parfaits tout est BEAU et bouleversant mais hier j'avais pas mon téléphone et aujourd'hui j'osais pas prendre de photos de peur de me faire rabrouer/d'être invasive. j'adore regarder les retraités sur la plage, avec leurs corps vieux et fripés et mous et bronzés, j'adore les regarder se la couler douce, lire des livres et des magazines et faire des sudokus et des mots croisés sur leurs petits fauteuils, dormir étalés sur leur serviette, offerts au soleil, les femmes seins nus et insouciantes. ils sont magnifiques. j'avais l'impression d'être john wilson en marchant au bord de l'eau avec ma casquette et mon grand tshirt blanc, en réalisatrice de plage mais qui fait le film dans sa tête.
8 septembre
ce matin quand j'ai allumé mon téléphone j'ai eu un rush d'adrénaline que je voulais pas du tout avoir en voyant les messages vocaux de r., comme si mon corps savait ce qu'il allait me dire. je crois que j'ai un reste de ptsd du mois de juin, à chaque fois que je lui dis un truc et qu'il me répond par plusieurs messages vocaux je m'attends à être terrassée au sol. ce matin sur le canapé j'ai senti la tristesse tomber sur moi comme un dôme qui me coupe du reste du monde, ou comme une chape de plomb, la cape rigide de playmobil qui se clipse au niveau du cou. je lui avais lancé comme ça qu'on commençait quand il voulait à travailler et il m'a répondu qu'il avait mille casseroles sur le feu et moi j'en ai zéro et il s'en excuse platement, il dit désolé d'avoir mille casseroles sur le feu et pas toi, puis il dit que c'est pas ce qu'il a voulu dire, et il l'a pas dit comme ça non plus, mais je l'ai senti bien fort. il a essayé de me rassurer en me disant qu'il voulait toujours le faire mais qu'il savait juste pas à quel moment, et puis il ajoute enfin je sais pas à quel point c'est vraiment rassurant d'entendre ça, comme s'il présupposait que j'étais accrochée à cette collab comme une moule à son rocher, ce qui n'est pas faux, mais il est pas censé le savoir, ni même le supposer, et encore moins le suggérer, me le rappeler, me le FROTTER sous le NEZ. en attendant ça me fait encore passer pour la plus needy de nous deux, celle auprès de qui il doit s'excuser de pas être dispo, celle qui a besoin de lui et qui se retrouve donc en position inférieure.
mais y a pas que ça qui m'a plombée ce matin sur le canapé, l'autre truc qui m'a fait sentir l'abattement jusque dans les muscles de mes jambes, ou peut être que c'était les os, je sais pas faire la différence, j'en parle dans mon poème, de mes os marrons glacés que je traîne en faisant un bruit de rouille, damn je suis une bonne poète, la prochaine fois qu'on me demande ce que je fais je dis poète, je suis poète, le livre de christophe hanna m'a donné assez confiance dans ma condition de poète, en plus la poésie ça englobe tout, c'est parfait. et donc justement, ce qui m'a rouillé les os ce matin aussi c'est quand il m'a raconté qu'il avait commencé une formation pour avoir le statut d'artiste, l'équivalent du statut d'intermittent en france mais pas tout à fait pareil, pour avoir droit au chômage entre les contrats, et je sais pas pourquoi ça m'a déprimée. enfin si je sais, c'est toujours la même histoire, je m'en sors pas avec la vie et quand je vois que les autres avancent, prennent les devants, apprennent, ça me déprime. ça me déprime que eux fassent et pas moi.
parfois j'aimerais vraiment être j. qui a sept ans de moins que moi mais elle peut inviter toute la famille à un apéro dînatoire dans sa nouvelle maison, dans son jardin recouvert de moquette-gazon et d'asphalte, chef d'oeuvre de décor surréaliste, avec des petits ficus qui dépassent et les gamelles du chien rangées contre le mur blanc, nu. j'ai pris un million de photos mais j'avais peur d'être méprisante. j'espère qu'elle me déteste pas secrètement. personne a bitché sur la copine de s., j'étais un peu déçue. je me disais aussi, en parlant de couple, peut être que r. m'a sauvé la vie finalement en reléguant notre relation au stade de l'amitié, parce qu'il m'a encore parlé de son ex pendant trois heures, la mère de sa fille, pas la bombasse, mais peut être que la mère de sa fille aussi est une bombasse et que ça l'a aveuglé au fait que c'était une chieuse, d'après ce qu'il raconte en tout cas. et donc tout ça me fait penser que peut être que les relations avec lui sont compliquées et archi chiantes et qu'en restant son amie d'eau fraîche j'échappe à tout un tas de complications inutiles et de souffrance. même si j'ai déjà souffert pour une vie entière cet été.
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havaforever · 3 months
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PAUVRES CREATURES - L'année cinéma commence très fort avec "Poor Things", dernier bébé-monstre de Yorgos Lanthimos, qui nous livre ici une satire sous forme de conte initiatique, en mode relecture très inspirée de Frankenstein.
Dans une époque vaguement victorienne peut-être hybridée à celle des années 2075, un savant crée Bella, une femme adulte avec l'esprit d'un enfant. Créature qui va néanmoins très vite se développer. Bella découvrira le monde, les femmes, les hommes, et surtout le sexe.
La première demi-heure, en noir et blanc, nous plonge directement dans une ambiance très malaisante. Mêlant du body horror aux pires intentions humaines, elle nous invite à embarquer pleinement dans le coeur de ce récit initiatique coloré et passionnant.
Les acteurs sont fantastiques. Emma Stone incroyable dans le rôle cette "créature" qui grandit intellectuellement, et découvre son corps, son esprit, le monde, la place attendue de la femme. L'actrice donne par ailleurs allègrement de sa personne, on croule sous des scènes les unes plus trashs que les autres. Impossible de ne pas citer Mark Ruffalo, désopilant en séducteur invétéré, qui voit peu à peu son monde d'effondrer alors que sa "sex doll" mûrit et lui échappe.
La direction artistique est démente. On est dans une espèce d'univers steam punk avec de l'Art Nouveau à tous les étages. Yorgos Lanthimos utilise énormément les grands angles, montrant toutes les coutures de ce monde poétique, du moins tel que Bella le perçoit. Les costumes certainement tout droit sortis des ateliers des créateurs les plus fous, sont sublimes.
Le récit comporte pas mal de lourdeurs et de temps morts, trop longs pour être porteurs. Et pourtant malgré quelques détours largement inutiles du scénario, et la très grande créativité de sa mise en forme, c'est le propos qui prime très rapidement.
Certains (beaucoup) ont réduit Pauvres Créatures à un film féministe, mais ses thèses débordent largement cette apparence première. "Poor Things" parle de parentalité, de religion, et de relations entres les hommes et les femmes. Avec certes, la place des femmes dans la société, et la façon dont elles sont perçues et/ou contrôlées. Mais on est très loin du pamphlet stérile et redondant de tant d'autres films opportunistes.
Personnellement j'y ai surtout perçu une mise en scène très pertinente de ce que nous apprendrait l'intelligence artificielle sur le fonctionnement mécanique et désincarné des humains, et de nos sociétés dépourvues de leurs emballages moraux, changeants et relatifs. C'est très vite à travers ce prisme que le film m'est apparu captivant : une généalogie de notre morale, de nos comportements et de tous les travers d'un féminisme souvent contradictoire, vue non par Nietzsche, mais sous l'angle des ChatGPT et autres programmes qui nous "singent" littéralement…
Bref, "Poor Things" est riche d'idées, de sensations, de perspectives nouvelles, et remue le bide. C'est aussi un long-métrage très drôle. Comme dans les précédents films de Lanthimos, l'humour est absurde, noir, cruel, et souvent inattendu. Si vous adhérez au style du réalisateur, vous y trouverez très largement votre compte !
NOTE 17/20 - Ce voyage fantastique et fantasmatique regorge d'idées de génie, d'images sublimes et riches, le tout directement sorti du cerveau à la fois complexe, étrange et extraordinaire de Yorgos Lanthimos.
La génétique du réalisateur de The Lobster semble être composée de Mary Shelly et de Ruben Ostlund et de bien d'autres, dans une version remanipulée d'extravagance et de baroquisme flamboyants.
On est choqués, éblouis, embarqués par une créativité aussi rare qu'impressionnante.
Ames sensibles, s'abstenir.
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wolfsnape · 2 months
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Comment ils choisissent les blancs dans les films sur l'esclavage ??? "Ah celui-là il a vraiment une gueule à être un gros raciste et à réduire en esclavage des personnes noires et à les battre pour du profit"
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miung-dreamer · 1 year
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Parfois j'essaie d'imaginer comment Arthur ferait pour prouver à Guenièvre qu'il tient vraiment à elle post KV1. Du coup j'ai pensé que peut être dans KV2, on aurait le retour d'Ygerne et Cryda qui, dès qu'elles se pointent direct parlent mariage "maintenant qu'Arthur est enfin revenu comme Roi et qu'il faut refédérer le pays". Mais comme Guenièvre n'est plus vraiment sa femme (sous entendu à la fin du livre V avec les galères de la non annulation de l'échange d'épouse et dans KV1 que c'est "compliqué") et qu'en plus "elle n'est plus tout jeune", je parie que la mère et la tante d'Arthur pousseraient pour qu'il se marie avec une femme plus jeune et de meilleure lignée ("les dignitaires de Vannes... le gratin!"). Pour l'héritier. ET DONC ça blablate ça blablate sévère et ça crache sur Guenièvre, mais au bout d'un moment Arthur pète un cable et finit par balancer "nan mais c'est bon, je suis stérile donc toute façon y'aura pas d'héritier ce qui veut dire que je peux épouser qui je veux". Et c'est LA que tout le monde pige à quel point Guenièvre est importante pour lui. Voilà c'est dit.
Coucou anon !
Déjà je suis toute contente d'avoir reçu ton message. Ca fait très plaisir qu'on vienne me parler de Kaamelott 😊
Hummmm je pense qu'on est plusieurs à se demander comment va se passer le post-KV1 entre Arthur et Guenièvre. Je ne serais pas surprise qu'Astier installe le prochain film un an ou deux après la fin de KV1. En tout cas, je serais très étonnée que KV2 se passe tout juste après le premier film.
Ceci dit, il a prévu KV2 en deux parties et pour des raisons scénaristiques, il n'aura peut être pas le "choix" de mettre un gap de qq semaines / mois entre KV1 et KV2.1. Surtout si tout KV2 se passent sur une période "assez longue" (genre environ un an). Mais compliqué avec le loustique de deviner ce qu'il peut nous pondre lol.
Je le sens tout à fait capable de ne pas aborder le juste après-KV1 (avec la question du (re)mariage avec Guenièvre justement). Le plan final du premier film montre un couple présenté comme (seuls près du Rocher) unis et proches face aux épreuves à venir.
Et un couple symboliquement marié : Arthur en noir // Guenièvre en blanc (alors que dans la scène précédente, elle a une tenue totalement différente et dans la scène du Rocher, elle ne porte pas cette robe). Ce plan rappelle qu'ils sont à nouveau les souverains du royaume de Logres.
Pour toutes ces raisons, je doute qu'il aborde la question du remariage dans la suite. Il y aura peut être une référence au fait que ça a été acté (genre par un papier signé ou une petite cérémonie), mais je ne pense pas que ce sera montré à l'écran.
Je pencherais plus pour un retour direct dans le quotidien du roi et de la reine (ils repartagent une chambre) SAUF QUE plein de choses ont changé...... Leurs rapports doivent normalement être très sensiblement différents de la série (sinon à quoi sert KV1?). On aura toujours les engueulades (parce qu'on aime ça et elles font partie de leur mode de communication). Mais on doit sentir qu'Arthur agit avec plus de patience avec elle (plus de douceur ?).
Quelque part, c'est un peu frustrant car ça aurait été très intéressant d'assister au "juste après". Comme toi, je n'ai pas de mal à imaginer les dames de Tintagel enquiquiner Arthur pour qu'il épouse une nouvelle fille, plus jeune 😁 Par contre, je vois le roi les envoyer bouler sec et net sans donner de raison (comme dans le livre V). Je n'imagine pas Arthur évoquer son infertilité (SI elle est avérée... Meleagant, we are watching you 👀). C'est trop douloureux pour lui (une des raisons de son suicide...). Il ne veut déjà pas qu'on voit ses cicatrices donc avouer ce lourd secret serait difficile pour lui.
Ce n'est que mon humble avis... Je peux être complètement à côté de la plaque 😅
Enfin comment le roi va montrer son affection à la reine ?? Ouhlalala très bonne question! Je pencherais lourdement pour des actes (il l'a déjà fait dans le premier opus) ; Arthur a bcp de mal avec le verbe pour exprimer des sentiments (avec qui que ce soit d'ailleurs), comme s'il avait un blocage (peur de montrer sa vulnérabilité ? peur d'être moqué ou rejeté ?).
Les actes semblent peser plus "lourd" pour lui (ou alors ça l'arrange car il n'a pas besoin de dire les choses du coup...). Mais je l'imagine faire des petits trucs pour montrer qu'il tient à elle : déjeuner seul à seul avec elle, se promener dans les jardins à ses côtés, l'accompagner dans un endroit qui lui fait plaisir, etc.
MAIS à la différence de ses précédents amours (Mevanwi et Aconia, qui semblent plus porter sur les actes que sur les paroles selon moi... c'est pas une critique, juste un ressenti), Guenièvre aime les deux. Elle ose parler ouvertement de ses sentiments et elle aime les gestes romantiques ; je pense qu'elle a besoin des deux (les mots tendres et les actes d'amour). Arthur va devoir ouvrir sa carapace et lui dire les choses.
Je me suis d'ailleurs fait une réflexion y a peu : les deux fois où le roi dit "je vous aime", c'est devant témoin (Bohort pour Mevanwi, Drusilla pour Aconia). Etrange non ? Il ne profite pas d'un moment d'intimité pour le leur dire face à face, yeux dans les yeux. Comme s'il voulait faire les choses avec une certain solennité. Ou alors il se dit que devant témoin, l'autre ne pourra pas le rejeter ? Mais ça en perd en naturel du coup....
Même si ça aurait de la force qu'Arthur fasse la même chose avec la reine (assumer ses sentiments devant leurs familles et la cour), ce serait bien plus romantique qu'il le lui dise, seul à seul.
Une déclaration qui n'appartiendrait qu'à elle, qu'à eux.
****
Je suis navrée pour ce pavé. Si tu n'as pas été saoûlé, n'hésites pas à revenir par ici. Comme tu as vu, j'aime bcp (trop) parler de ça 😅
Donc je suis partante pour d'autres discussions, quand tu veux ! (en anon ou pas en anon)
N'hésites pas non plus à donner ton avis à mes idées. C'est toujours intéressant d'avoir d'autres approches 😊
Have a nice day!
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alain-keler · 2 months
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Mercredi 24 janvier 1979.
Marrakech, Maroc.
Le Shah et la Shabanou au Maroc.
Poursuivant leur voyage hors d'Iran, les souverains iraniens sont arrivés à Marrakech où ils séjourneront dans le palais d'hiver du Roi Hassan II pour une durée indéterminée (Légende Sygma). Un exil en remplace un autre.
Étrange pays où le Shah se rend après un court séjour en Égypte. Pour se faire pardonner l’impossibilité pour les journalistes de couvrir l’arrivée du Shah deux jours auparavant, une séance photo est organisée, puis un repas dans le somptueux palais du prince Moulay Ali. En repartant dans la nuit de ce palais pour retourner à Marrakech, nous traversons des quartiers d’une grande pauvreté. Intrépide dans mes pensées, je me disais que le prochain Iran serait le Maroc, tant la différence entre les classes de dirigeants et le peuple étaient grandes. J’ai eu tort.
Le Maroc a toujours aujourd’hui un régime autoritaire, même si des avancées démocratiques ont été données à l’occident bailleur de fonds du Royaume. L’autoritarisme a sans doute repoussé l’avancée de tous les dangers.
Un petit retour sur les dates :
Lundi 6 novembre 1978 : Paris Téhéran. Jeudi 19 décembre : Téhéran Paris.
Samedi 30 décembre : Paris Téhéran. Nouvel an au Park Hôtel. Mardi 9 janvier 1979 : Téhéran Paris.
Jeudi 11, 16,17 janvier 1979 : Neauphle le château, résidence de l'ayatollah Khomeiny en exil.
Jeudi 18 janvier : Paris Marrakech. Je note sur mon carnet : Rencontré François Lochon à Orly. Nous avons voyagé ensemble avec Randy Taylor (A.P), et Alexandre Aufort comme Stewart ! Alexandre a ensuite travaillé comme cameraman pendant de nombreuses années à Capa. Il m'a notamment filmé pour la série d'Arte* "les cent photos du siècle" à propos de ma photo sur la confession publique à Gdansk pendant la grande grève de Solidarnosc. 
Lundi 22 janvier, arrivée de l'avion du Shah à l'aéroport de Marrakech. Les journalistes ont été bloqués à l'hôtel El Badia.
Mardi 23 janvier 1979. Journée de tourisme.
Mercredi 24, matin. Tourisme dans la médina. 16.00 heures séance photo très rapide du shah et de la shabanou. Un seul film noir & blanc. La couleur était plus importante. L'agence m'avait appelé pour me dire que j'étais en "assignment" (commande) pour Newsweek.
Jeudi 25 janvier envoi des films par Air France.
Le soir réception offerte par le Comte de Paris.
Vendredi 26 janvier : Dîner offert à la presse par le Prince Moulay Ali, pour faire pardonner les mauvais traitements à l'arrivée de Shah.
Dimanche 28 janvier 1979 : Marrakech Paris.
Mercredi 21 janvier 1979 : Paris Téhéran. Jeudi 1er février, arrivée de l'Ayatollah Khomeiny.
On fait le raccord avec la parution de ce journal le vendredi 9 février 2024.
* série réalisée par Marie Monique Robin.
Réédition en partie du journal du 19 juin 2014.
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bizarreauhavre · 3 months
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Colonies, 1959, (surrealist movie).
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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alexar60 · 1 year
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Transylvanie express (Épilogue)
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Tous les épisodes sont disponibles ici.
Audrey sortit rapidement de la gare. Elle attendit avec patience tout en observant les alentours. Elle cherchait du regard quelque-chose de précis. Et ce quelque-chose était un homme, celui qu’elle avait aperçu sur le précédent quai. Il marchait portant un sac à dos, ses mains tenaient les bretelles à hauteur de la poitrine. Il avait un peu moins de quarante ans, elle avait un but.
Elle savait comment faire pour ne pas être repérée, se fondant littéralement dans les murs. Elle n’était plus qu’une ombre se baladant à la vue du soleil et de tous. Aussi, personne ne réalisa que la silhouette noire n’avait pas de propriétaire. Elle suivit le quarantenaire content de rentrer chez lui. Il sifflotait gentiment.
Le reste de la journée se passa sans qu’il n’aperçoive la jeune femme. Elle resta cachée dans une armoire puis dans un coin de la chambre. Elle attendit patiemment, écoutant les discussions plus ou moins personnelles. Elle s’imprégna de sa vie, de sa famille. Il était marié et avait deux beaux et jeunes enfants. Lorsque son épouse partit coucher les petits, elle approcha avec subtilité, sans faire de bruit. Confortablement installé dans son canapé, il était passionné par le film, une vieille série noire déjà vu maintes fois.
Lentement, elle se positionna dans son dos. Puis elle approcha la tête afin d’humer le parfum de sa prochaine victime. Soudain, le froid l’envahit. Dès lors, il tourna la tête pour vérifier que la porte-fenêtre du balcon était bien fermée. Il entendit sa femme raconter une histoire aux enfants avant de se reconcentrer sur la télévision. Elle s’imprégna de son odeur. Alors, elle comprit pourquoi il était si attirant. Puis, elle retourna dans la chambre du couple.
La patience demeurait être son fort. Elle attendit qu’il se couche. Il embrassa sa femme puis il s’endormit. Elle maudit l’épouse pendant sa lecture, laissant logiquement la lumière allumée. Elle attendit une petite demi-heure, le temps d’un chapitre ou deux. Enfin, la nuit entra dans la pièce. Aussitôt, elle sortit bien qu’elle savait que la rivale ne dormait pas encore. Mais ce n’était pas grave. Elle approcha doucement de l’homme, absorba de nouveau son odeur. Et assurée qu’il était dans un profond sommeil, elle s’allongea lentement contre lui, pour entrer dans son rêve…plus précisément, pour diriger son rêve.
Il savait que le château était ensorcelé ; il était là pour vaincre une malédiction. Il marcha dans les couloirs à la recherche d’un démon. Juste avant, il avait ordonné à ses hommes d’occuper les lieux. Certains surveillaient les jardins pendant que d’autres inspectaient les salles. Il se retrouva seul après avoir grimpé des escaliers. Une porte l’intrigua car il ne l’avait pas vu durant son dernier passage. Du coup, il l’ouvrit rapidement s’engouffrant brutalement dans une chambre.
Il n’y avait rien de dangereux. C’était une banale pièce comme on en trouvait dans les musées. Quelques tableaux accrochés aux murs décoraient l’endroit. Une jeune femme dormait sur un lit, tournant le dos au visiteur. Il approcha, admira ses cheveux bouclés. La couleur châtain, l’odeur de lilas et de caramel n’étaient pas commune. Au contraire, elles ravivèrent de vieux souvenirs. Alors, il se permit d’admirer le visage de la dormeuse. Il resta stupéfait en reconnaissant une amie d’enfance.
-          Marina ? C’est bien toi ? s’exclama-t-il.
Elle ouvrit lentement les paupières, puis elle releva la tête. Un sourire éclatant se figea sur son visage blanc. Il avait toujours aimé ses yeux bleus. Il avait craqué pour elle à cause d’eux quand ils étaient au collège. Elle tendit les bras pour réclamer un câlin.
-          C’est toi, Maël ? Tu es venu me sauver ? demanda-telle avant d’ajouter : Serre-moi dans tes bras, j’ai si froid !
Dès lors, il s’exécuta constatant que sa peau était glacée. Ils restèrent enlacés pendant un long moment. Elle sanglotait, murmurait des mots doux. Elle se confiait en parlant de ses inquiétudes. Il répondait qu’elle n’avait rien à craindre. Alors, elle l’embrassa, d’abord sur l’épaule, puis sur maladroitement sur le menton. Son geste rappela à Maël un souvenir égaré dans sa mémoire tout en réveillant le désir.
Désormais, il était à sa merci. Elle avait déjà oublié Yannick Ridel. Il n’avait été qu’un moment, une victime qui s’en est sorti. Parce qu’elle a voulu l’épargner. Il n’avait pas été le premier pour qui, elle ressentit de l’amour. Et il sera vite oublié dès qu’elle aura goûté à cet homme.
Lentement, elle déshabilla Maël, tâtant ses muscles, écoutant les battements de son cœur, et frôlant du bout des doigts les principales veines  de son cou, la partie la plus sensible et la plus charnelle. Elle embrassa son amant qui s’évanouit de plaisir. Elle le caressait, le suçait, elle jouait avec lui de haut en bas.
On ne voyait rien dans l’obscurité. La femme de Maël s’endormit sans remarquer la présence fantomatique d’un succube. Le monstre grimpa sur son mari. Elle le caressa du bout de ses griffes, elle avança la bouche faisant sortir une langue de serpent. Tout –à-coup, elle s’étendit entièrement sur son buste pressant ainsi ses poumons. Il n’arrivait plus à respirer. Alors, elle ouvrit la bouche pour aspirer lentement la petite flamme à l’origine de son âme.
Dans son rêve, l’amour se déchainait dans une passion torride. Maël réalisait qu’il était encore amoureux de Marina, et enfin, il pouvait l’aimer. Tantôt, elle le dominait, tantôt c’était lui qui gérait les ébats. La passion dictait le songe jusqu’à ce qu’il découvre qu’il n’avait plus de jambe. Son corps avait fusionné avec celui de Marina ! Immédiatement, il hurla cherchant à se débarrasser d’elle. Mais elle riait, continuant à le baiser. La peau de la jeune femme s’écailla, une odeur putride remplaça le parfum de lilas et caramel. Il hurla, hélas, rien de sortit de sa bouche. Plus il paniquait, plus il criait et plus il suffoquait. Il chercha un peu d’air, écartant les lèvres. Il exposa son cou, elle en profita de suite.
Ses dents déformées et pointues arrachèrent la gorge du malheureux. Le sang gicla sur le lit, sur le visage du monstre et sur les murs. Elle se délectait de cette vie prise. Il n’était pas question qu’il résiste ni qu’elle le prenne en affection. Il était question de faire son job ; il était condamné, et elle était venue pour la sentence.
Maël ne bougea pas, il ne sentit pas le poids du succube sur son ventre. Elle inspira la dernière étincelle de vie. Il mourut enfermé dans son cauchemar. Elle resta encore quelques instants allongée sur le corps encore chaud de sa proie. Audrey reprit lentement forme humaine tout en restant invisible aux yeux de la femme qui dormait toujours. Elle l’observa un peu.
-          Tu vivras encore longtemps, susurra-t-elle.
En réponse, la veuve soupira tout en restant endormie. Alors, le succube se releva et glissa jusqu’à la porte. Elle traversa l’appartement et sortit, pleine d’énergie, heureuse d’avoir le goût de la vie sur le palais. Elle marcha dans la rue. Curieusement, son ombre n’apparut pas sous la lumière d’un lampadaire. Elle  regarda le ciel. Elle sourit, elle avait oublié Yannick qui lui avait donné tant de mal et tant de plaisir. Elle s’éloigna du lieu de son crime. Étrangement, elle n’aimait pas voir les cadavres froids au matin. Plus tard, Maël sera déclaré décédé à cause d’une embolie pulmonaire.
Pendant ce temps, notre héros éteignait la lumière de son nouveau logement. C’était une chambre dans un dortoir. Il venait d’écrire le premier chapitre d’une nouvelle sur son ordinateur : Ses mémoires de voyage à bord de l’express du Transylvanie.
Fin
Alex@r60 – février 2023
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girafeduvexin · 4 months
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Donc le film sur Poirot à Venise...
C'est sans doute mon préféré de trois, sans doute parce que, bien que ce soit inspiré d'un roman d'Agatha Christie, le film réécrit 99% de l'histoire. De plus, j'avais oublié ce roman, ce qui fait que j'étais plus intéressée et surprise par les twists, la révélation finale etc.
Tout le monde joue bien, y a des chouettes scènes, très fortes visuellement, Kenneth Branagh est... il n'y a pas de flashbacks en noir et blanc sur son amour perdu donc c'est forcément mieux que les deux films précédents. L'ambiance est super dans ce palazzio vénitien, les décors sont sublimes.
Ariadne Oliver est très chouette - j'aime beaucoup l'utilisation qu'ils font de son personnage, en appuyant vraiment sur son côté meta. C'est véritablement l'avatar d'Agatha Christie et sans trop en dire, j'ai été surprise d'à quel point le film poussait la relation amour/haine Christie/Poirot.
Concernant les aspects plus négatifs... l'enquête, de nouveau, ne me convient pas, j'avais deviné le.a coupable mais plus disons par connaissance des romans de Christie que grâce aux indices. Je vais pas trop en dire pour pas spoiler mais je ne trouve pas du tout l'enquête satisfaisante, comme les précédents. C'est une suite d'entretiens, sans déductions progressives comme Christie sait si bien le faire. Le mobile est..... presque indivenable je trouve, ce qui est un gros problème.
En vrai, j'ai pas grand chose à reprocher au film, sauf l'enquête en elle-même et c'est con, parce que c'est ce que j'attends d'une adaptation de roman policier.
Spoilers en-dessous !!!
Pour être plus précise sur la meurtrière : j'avais deviné que c'était la mère simplement parce que le scénario insiste lourdement sur son deuil, sa tristesse etc pour que tu te dises "oh la la, ça peut vraiment pas être elle". Et ayant lu tous les Agatha Christie, je me suis dit "c'est la plus insoupçonnable donc c'est elle" et bingo !
Et à la limite, ça ne me dérange pas, tout le monde ne pense pas comme moi, et tout le monde n'a pas lu une tonne de romans policiers de 12 à 16 ans. Par contre, sans ça, jamais je n'aurais deviné. Du miel hallucinatoire ??? Comment deviner ça ??? Aucun indice ne l'accuse, Poirot dit "vous étiez victime de chantage", comment aurait-on pu le deviner ? C'est les mêmes travers que Sherlock (BBC), où on nous montre un personnage intelligent en le faisant deviner des choses indevinables. Je n'ai même pas compris comment Poirot le comprenait.
C'est dommage d'autant plus que j'aime vraiment le twist sur Ariadne Oliver et sa discussion avec Poirot, qu'elle a "créé". J'aime sa part d'ombre, sa cruauté même. Toute la première partie du film, je la trouvais super, très drôle mais étrange dans sa manière d'appuyer sur les prouesses de la voyante, sa façon de parler de célébrité, des tics de Poirot, un peu trop brusque parfois. Et le plot twist était satisfaisant parce qu'il expliquait tout ça ! Excellente idée, vraiment. Et encore plus dommage que le meurtre n'ait pas été aussi bien écrit.
J'ai vu que des gens étaient déçus mais j'avoue n'avoir jamais apprécié Ariadne Oliver plus que ça. Elle a toujours écrite comme une caricature de Christie par elle-même - cette variante ne me dérange pas.
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borisdunand · 4 months
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J'ai essayé de me mettre dans mes films. Lancé le visionnage d'un export: mon cerveau s'est arrêté, a ouvert grand les yeux comme un chat qui ne sait plus ce qu'il doit faire, ne bouge plus d'un poil en espérant disparaître, il gèle instantanément. D'accord. On laisse tomber. Et la série de photos noir et blanc ? L'œil reprend vie, la paupière s'assouplit, je pousse un soupir: ok, ça ça semble pouvoir se faire... Alors voilà, ni Lyon ni le Déménagement ce soir (mes 2 courts-métrages les plus proches d'être finis), mais quelques images du projet "au jour le jour", avec une sélection de "Quand je suis happé par des objets inertes-vivants" .
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eucanthos · 1 year
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Niki de Saint Phalle   (FR, 1930 - 2002)
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"Niki de Saint Phalle en train de viser". Photographie en noir et blanc rehaussée de couleur extraite du 1972 film “Daddy" © Peter Whitehead.
https://www.grandpalais.fr/fr/article/qui-est-niki-de-saint-phalle
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havaforever · 6 months
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LE THEOREME DE MARGUERITE -
Rivé aux émotions d’une mathématicienne qui se sent en décalage avec le monde, ce récit d’apprentissage passe par différentes atmosphères et s’appuie sur une mise en scène énergisante, des belles trouvailles et des moments de grâce.
Un peu prévisible mais touchant et souvent humoristique, ce film donne à ressentir la passion de Margueritte tout en explorant un milieu méconnu, très majoritairement masculin et concurrentiel. C'est ce qui fait l'intérêt du film, même si son charme réside bien ailleurs.
C’est la narration qui reste étonnante, faite de petits bouts étonnants comme les parties de majong clandestines, ou les scènes en boite de nuit avec la belle Noah. L'ensemble reste sans prétention, ce qui lui donne assez de rondeur pour reconnaître au film une capacité à exciter même l’imagination des non matheux desquels je fais partie. Rien d’évident à filmer le ping-pong intellectuel fait de fonctions et d'intégrales, mais il se mène comme un pas de deux à suspense, et on se laisse alors cueillir par le phrasé tremblé de la Franco-Suisse Ella Rumpf.
Malgré une fin un brin fleur bleue, Anne Novion réussit un pari difficile : restituer la fougue, la créativité, l’obsession de la recherche en mathématiques…rendre cinématographique une discipline réputée peu sympathique et à laquelle personne – ou presque – ne comprend rien.
Elle parvient à nous faire ressentir la passion de celles et ceux qui la pratiquent à un haut niveau tout comme ses applications dans la vie de tous les jours. Elle nous ouvre également les portes d'un monde finalement semblable à tant d'autres, gouverné par l'esprit de compétition, les abus de pouvoir et un certain machisme masculin. C’est sur le registre de la traduction du langage mathématique en langage cinématographique et poétique que le film s’avère le plus original. Les lignes de raisonnement et équations abstraites (et véridiques) se projettent sur les murs transformés en tableau noir, telles des hiéroglyphes indéchiffrables pour le commun des mortels.
NOTE 13/20 - Ella Rumpf, nous attache à son caractère presque autiste, comme en sont dotés certains HPI. Les esprits chagrins diront que tout est cousu de fil blanc dans la progression dramatique et que cette boss des maths finira bien à un moment ou à un autre par s'ouvrir un tant soit peu au monde extérieur et à l'amour, comme de bien entendu, pour un succédané de comédie romantique. 
Mais c'est justement ça qu'on aime.
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iranondeaira · 4 months
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... rêve d’une nuit d’été 2020 ... et d’une soirée d’automne un samedi soir sur la terre ... où je n’aurais peut-être pas dû aller ...
💤 La Goulette, rue de la Verrerie , presque à l’angle de la rue du Temple . Restaurant gargote tunisienne où j’ai traîné pendant des années ... entre L’Imprévu café rue Quincampoix, Mariage Frère rue du Bourg Tibourg, Le Comptoir de l’écriture rue "je ne sais plus" ... et les diverses boutiques d’artisans de ce carré ... c’était il y a pas loin de vingt-cinq ans...
Qu’est-ce que je fais ici ? Aujourd’hui ?
Ou cette nuit ? Il fait nuit ... je marche, je me vois tourner à l’angle et remonter vers le centre du Marais , je passe trottoir de droite et j’arrive à hauteur d’une entrée ouverte sur la rue, une musique coule d’une volée de marches qui montent à un lieu appelé le Bistrot Latin accolé intégré au cinéma le Latina ... Pourquoi suis-je entrain de revoir cette scène ?
📚 La nuit sous un autre jour ...
"Ballada por un loco"
Voilà... La nuit... c'est beau une ville la nuit, au moment où les ombres s'allongent. Une réalité en demi-teinte réduite aux sphères de lumière des lampadaires, repères et témoins de nos pas incertains dans une atmosphère aux couleurs mêlées aux parfums de la rue.
Mais, au croisement de celles-ci, les villes se rencontrent et nos pas donnent la mesure de nos passions partagées.
Une lumière éclabousse le trottoir, une musique enveloppe nos corps.
Pour cette "ballade pour un fou", je vous emmène jusqu'au bout de la nuit ... 📚
C’était en 1995 ... Pourquoi suis-je à nouveau dans cette rue où j’y rattache réellement mes premiers pas de danseur au sens d’apprendre, de poser mes pas dans ceux de mes maîtres que je me suis choisi ... La scène est je crois la même, l’atmosphère a quelque chose de "différent" ... les silhouettes des gens dans la rue, elles sont presque sans teintes de couleurs, en demi-teintes fades d’un éclat passé, ils sont pressés les passants comme si je dérangeais ; les regards de reproches de me dire que je n’ai pas lieu d’être là. Des visages grimaçants déformés d’émotions obscures et limites malsaines ... ils ont forme humaine... juste forme ...
Je ne comprends pas ce que je fais là, pourquoi ces visages caricature d’instinct animal ? Je monte les marches du Bistrot Latin, que de souvenirs s’y rattachent ... l’endroit est presque tel quel, c’est étrange on dirait un mélange d’autres lieux que j’ai connu, voire de scènes de films ... à moitié en couleurs et en noir et blanc ... Il semble n’y avoir personne, juste les silhouettes brumes fantomatiques esquissées du souvenir de gens qui un jour ont été sur cette piste de danse ou au comptoir ...
Et au milieu de la piste, il y a un corps .
Face contre terre . Le visage en sang . Il y a du sang rouge sur le plancher de la piste de danse autour et sous lui . Le visage est abîmé tout autant que chaque partie de cet homme . Pourquoi suis-je par terre ? Pourquoi suis-je entrain de voir ce corps là au milieu ? En sang ? Pourquoi n’ai-je pas mal ? Je devrais hurler de douleur si j’en crois l’état des blessures . Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Ce n’est pas normal !
Il y a trois formes silhouettes qui regardent ce corps . De deux d’entres elles se dégage une sensation malsaines de plaisir jouissif... de la troisième irradie l’exacte opposée ...
Pourquoi n’ai-je pas la conscience vrillée par la douleur, cela devrait être intolérable ... Qui sont ces silhouettes personnes qui regardent, me regardent ? Pourquoi tout ce sang ? Pourquoi suis-je dans cet état là ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi revenir ici ? Pourquoi ce lieu est-il plusieurs ? Pourquoi la sensation des passants défigurés dans la rue était signal de danger ? Pourquoi y a-t-il face contre terre mon corps baignant dans du sang que je crois être le mien et là maintenant une évanescente bleutée superposée reflet/silhouette sur/dans ce corps mais face vers le ciel ? ... ... ... 💤
Réveil ... ... ... ... ... ...
💃 On peut mourir de multiples façons ...
Oui c’est aussi simple je n’ai plus mal pour la toute simple raison que je suis mort . Après tout, c’est assez logique... trois vies ... j’ai tenu trois vies ... la première a tout pris ou peu s’en faut...
la seconde a tout détruit et a abîmé tout ce qui était beau ...
La dernière m’a donné l’espoir et ensuite m’a enlevé mes dernières illusions d’homme ...
je pouvais mourir ...
Toi, la dernière car ce sera "toi sinon personne", toi qui m’a dit Oui ,qui fût ce petit lapin blanc dans mes ténèbres, ne pas te voir est une épreuve, te voir l’est tout autant ... et là ce soir, cette soirée 💃 d’un samedi soir d’automne me donne à relire ce rêve dont je n’avais dans la symbolique pas toutes les clés ... ...
il me reste ce chemin où je suis ... " du cap de la colère jusqu’au bout du monde " ...
Je sais que je suis seul depuis l’âge de quatre ans , c’était un jour de carnaval, un jour de mardi gras ... je sais que je n’ai jamais été dans cette foutue caverne , je sais que je me suis évertué à y rentrer, je sais que je n’aurai jamais dû ouvrir certains livres, je sais que je n’aurai jamais dû chercher à entendre le bruit de la plume dans le cheminement de la pensée de ses esprits , à regarder entre l’encre et le papier ... Je sais je l’ai appris on me l’a posé sur la table, que ma mémoire affective est étonnement développée et que mes souvenirs archaïques sont au-delà du commun, j’ai arrêté de douter d’eux après pas loin de plus de quarante années ... je sais que je n’aurai pas dû plonger ... On ne revient pas inchangé de certains voyages ... ni indemne.
Adieu toi que j’aime, puisque tu as "choisi" ... je me sais avoir encore plein d’encre dans l’encrier de mes yeux pour écrire, alors pardonne-moi si de loin en loin je te rappelle à mon souvenir... peu savent et quant à la morale de la chanson elle me fait sourire car hélas pour moi je connais les coulisses ... et nous aurions pu inventer notre vie ...
Tu fus et tu resteras ma plus belle danse .
J’aurai aimé être toi si j’étais né femme... j’aurai aimé partagé ta vie ... je ne voulais somme toute que peu de choses voire presque rien , j’aurai aimé danser avec toi jusqu’au bout ... et non être ma danseuse n’implique pas d’être ma femme obligatoirement comme tu me l’a jeté au visage ... j’avais trouvé en toi,hélas pour moi, ce que je ne me savais pas cherché ... je l’ai trouvé et je l’ai perdu ...
s’il paraît que les dieux quand ils veulent vous punir exaucent nos vœux alors je peux savourer ce que j’ai trouvé au prix de ce que j’ai perdu .
Il est rare de trouver en l’autre la vibration qui résonne sur la même fréquence ... je le sais pour la simple raison que tu fus la clé qui me donna à aller là où normalement le chemin en est à jamais perdu ... je sais pourquoi j’ai dansé ... je te laisse ces lieux je n’y reviendrai plus ...
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