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alain-keler · 2 days
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Mon grand-Père David Kaliski, matricule 39590
  Mon grand-père fut déporté au camp de concentration de Buchenwald comme prisonnier politique. Il y arriva le 19 janvier 1944* et fut enregistré sous le matricule 39590. Buchenwald fut évacué à l'approche de l'armée américaine entre le 6 et le 11 avril 1945. Ce furent les terribles marches de la mort. Un document de l'armée américaine situe son décès au 22 avril 1945 à Pilmersried dans le nord de la Bavière. Sans directives bien définies, les convois des déportés étaient dirigés vers d'autres camps de concentration. Celui de mon grand-père allait en direction de Dachau à côté de Munich, en passant par le camp de Flossenbürg. D'après un témoignage parvenu à notre famille à la libération, trop faible pour continuer à marcher, il fut exécuté d'une balle dans la tête. Trois jours après sa mort, à une trentaine de kilomètres du lieu où il fut assassiné, les troupes américaines libéraient ce qu'il restait des détenus de Buchenwald.
  Avec mon fils Léo, nous allons essayer de reconstituer ce voyage vers la mort. Notre parcours sera sans doute approximatif, en dehors d'endroits identifiés. Je crois beaucoup au hasard. Des cartes routières modernes, un rendez-vous à Buchenwald, des extraits de témoignages de survivants publiés dans des livres **, un en français et un autre en allemand, seront nos premiers indices. 
  Je ne sais pas si nous arriverons à faire ressortir quelque chose de notre voyage, mais il y a des moments où l'on doit se décider, surtout lorsque l'on sent que plus le temps passe, plus vite il va, que rien ne pourra le ralentir et que la mémoire s’évanouira.
Jeudi 25 avril 2024.
Le camp de Buchenwald a été construit au sommet d’une colline, à quelques kilomètres de Weimar. Autrefois Goethe venait se recueillir au pied d’un chêne qui fut foudroyé le 24 août 1944 lors du premier bombardement du camp par l’armée américaine.
J’y étais venu il y a très longtemps, du temps ou il y avait deux Allemagne. Mais c’est une autre histoire.
Demain nous allons prendre une route, des routes, en direction de l’ancien camp de Flossenbürg. II n’existe aucune carte détaillée de ce voyage, alors nous allons imaginer…
Photos ©Alain Keler/MYOP- Léo Keler/HORS FORMAT 
*Chana, ma grand-mère, fut déportée vers Auschwitz-Birkenau, avec sa plus jeune fille, Raymonde, âgée de treize ans, dans le convoi 66 du 20 janvier 1944. Elles furent gazées dès leur arrivée. 
** notre devoir de mémoire, écrit par un survivant François Bertrand,
et Die Todesmärsche von Buchenwald, écrit par Katrin Greiser, non traduit.
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alain-keler · 7 days
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Journal d’un photographe
Jours ordinaires dans les territoires occupés. Gaza, octobre 1993.
Après un meeting du Hamas contre les accords de paix entre l'OLP et Israël, un membre du hamas peint un drapeau palestinien au-dessus de la peinture murale de la mosquée d'El Aqsa à Jérusalem.
Deir Al Balah, bande de Gaza, octobre 1993.
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alain-keler · 8 days
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Journal d’un photographe
Gaza, octobre 1993.
Jours ordinaires dans les territoires occupés.
Un combattant du Hamas dans une rue du camp de réfugiés palestiniens de deir Al Balah.
Le camp de Deir el-Balah est un camp de réfugiés palestiniens situé à un kilomètre au nord-ouest du centre de Deir el-Balah (bande de Gaza), ville dont il fait partie. 
Le camp a été établi pour servir de refuge à 9 000 réfugiés pendant la guerre israélo-arabe de 1948. Au début, les réfugiés habitaient dans des tentes, puis dans des maisons en boue séchée. Les bâtiments sont maintenant construits en béton, et le camp comporte cinq bâtiments scolaires accueillant dix écoles en alternance. Le centre de distribution de nourriture est partagé avec le camp de Maghazi. 
Le camp de Deir el-Balah est le plus petit des camps de réfugiés de la bande de Gaza, et compte plus de 21 000 personnes en 2011.
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alain-keler · 10 days
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Journal d’un photographe
Retour à Gaza, octobre 1993. Maison détruite par l'armée israélienne. Elle était habitée par un membre du Hamas tué par l'armée israélienne.
Camp de réfugiés de Al Bureij. Gaza, 3 octobre 1993.
L’armée israélienne contrôle la bande de Gaza. Les colonies israéliennes sont présentes dans le sud, à Gush Katif. J’ai déjà montré dans ce journal des photos de l’époque 2004-2005 et de l’évacuation israélienne. 
Yasser Arafat est rentré d’exil. Il prendra ses quartiers à Gaza à partir de juillet 1994.
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alain-keler · 11 days
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE
Retour à Gaza, 3 octobre 1993. Le Djihad islamique manifeste contre les accords de paix de Camp David entre l'OLP et Israël.
Bande de Gaza, octobre 1993.
Gaza est toujours sous contrôle israélien. L’armée contrôle la bande de Gaza. Les colonies israéliennes sont présentes dans le sud, à Gush Katif. J’ai déjà montré dans ce journal des photos de l’époque 2004-2005 et de l’évacuation israélienne. 
Je décide d’y passer un peu de temps. Yasser Arafat est rentré d’exil. Il prendra ses quartiers à Gaza à partir de juillet 1994.
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alain-keler · 11 days
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE
Retour à Gaza, 3 octobre 1993. Appartement endommagé durant une perquisition de l'armée israélienne.
Gaza est toujours sous contrôle israélien. L’armée contrôle la bande de Gaza. Les colonies israéliennes sont présentes dans le sud, à Gush Katif. J’ai déjà montré dans ce journal des photos de l’époque 2004-2005 et de l’évacuation israélienne. 
Je décide d’y passer un peu de temps. Yasser Arafat est rentré d’exil. Il prendra ses quartiers à Gaza à partir de juillet 1994.
Le 13 septembre 1993, la Déclaration de Principe dite « accords d'Oslo », est signée à la Maison-Blanche sous l’égide du président Bill Clinton. Le monde entier retient la poignée de main historique échangée entre le premier ministre israélien Yitzhak Rabin et Yasser Arafat.
Dans une lettre adressée à Yitzhak Rabin le 9 septembre 1993, Arafat déclare que l’OLP renonce officiellement à la lutte armée contre Israël en même temps qu’elle reconnaît la légitimité de cet État : « L’OLP reconnaît le droit de l’État d’Israël à vivre en paix et dans la sécurité. […] Ainsi, l’OLP renonce à recourir au terrorisme et à tout autre acte de violence »
En 1994, Yasser Arafat, Shimon Peres et Yitzhak Rabin reçoivent le prix Nobel de la paix pour leurs efforts en faveur de la paix dans cette région.
Yasser Arafat prend ses quartiers à Gaza à partir de juillet 1994 et reçoit un accueil triomphal. L’accord dit « Oslo II », conclu en septembre 1995, permet la tenue d’élections générales en janvier 1996 qui opposent Arafat à Samiha Khalil. Arafat est élu sous le contrôle d’observateurs internationaux, avec 87,1 % des suffrages exprimés, président de la nouvelle Autorité palestinienne, née des accords d’Oslo.
Le 4 novembre 1995, Yitzhak Rabin est assassiné lors d’une assemblée pour la paix à Tel Aviv. Nabil Shaath raconte « Je ne l’avais jamais vu comme ça. Quand Rabin est mort, j’ai vu tant de tristesse et de désespoir dans ses yeux ». Les journalistes John et Janet Wallah estiment qu’« Arafat a sûrement craint de subir le même sort ». On conseille à Arafat de ne pas assister aux obsèques. Il envoie alors des représentants du gouvernement et va quelques jours plus tard présenter ses condoléances à Leah Rabin.
L’assassinat de Yitzhak Rabin marquera la fin du processus de paix avec les palestiniens.
Texte avec l’aide de Wikipedia.
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alain-keler · 13 days
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Journal d’un photographe
1975, année charnière.
New-York, ville monde. La CIA laisse des traces dans beaucoup de pays, le Chili en 1973 et tente de déstabiliser une grande partie du continent sud-américain, Brésil, Argentine, bientôt le Nicaragua.
Il y a beaucoup d’exilés chiliens à New-York. La répression au Chili durera très longtemps.
Photo : manifestation contre la CIA et son implication dans le coup d’état au Chili.
Photo publiée dans America Americas aux éditions de juillet.
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alain-keler · 16 days
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Journal d'un photographe
1975, année charnière.
New-York, 5ème avenue, pour Pâques. Avant et après la parade, l'avenue appartient aux excentriques qui font le spectacle, un OFF plutôt agréable. J'avais photographié cette femme quelques années auparavant, en 1972.
New York était une ville photogénique. J'ose espérer que c'est toujours pareil, même avec les réseaux sociaux qui pourrissent un peu la lecture de la photographie de rue, surtout à Paris. New-York est une ville d'immigration. Elle s'offre aux photographes comme pour remercier les new-yorkais de les avoir acceptés. 
Je parle de New-York, pas du reste du pays, dans certains états très conservateurs, voire réactionnaires. Vous m'aviez compris !
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alain-keler · 17 days
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Journal d'un photographe
1975, année charnière.
New-York, manifestation de cypriotes après l'invasion de Chypre par la Turquie.
 Je rentre d'Amérique du sud, je passe mes derniers mois à New-York où j'ai vécu plusieurs années. Après une rencontre avec Eliane et Jean-Pierre Laffont qui géraient le bureau de Sygma New-York après la scission d'avec Gamma, Éliane me donne mes premiers reportages. Je vais passer dans un autre monde photographique, pas forcément celui que j'avais envisagé. 
Cette photo fera la couverture du premier tome de America, Americas, New-York, publié par les Éditions de juillet.
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alain-keler · 18 days
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JOURNAL D'UN PHOTOGRAPHE
1975, année charnière.
Lundi 17 mars 1975.
Une autre photo de la parade de Saint-Patrick, découverte quarante-cinq ans plus tard en cherchant des photos pour le tome 1 de America, Americas, New-York, publié aux éditions de juillet en 2021. 
C'est la magie des planches contact. D'abord les trouver, ou les retrouver, puis les regarder encore et encore à intervalle non régulier pour que l'imagination ait le temps de se reconstituer.
Que reste-t-il de notre mémoire, si ce n'est une photographie !
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alain-keler · 19 days
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Journal d'un photographe
1975, année charnière.
Lundi 17 mars 1975
New-York. Parade de Saint Patrick.
J’avais dans mes archives quelques films très moyens de la parade St Patrick – St Patrick parade- à New York de 1975. Mais en fouillant la boite dans laquelle sont rangés les négatifs de cette année, je constatais qu’il y en avait une vingtaine, développés mais non contactés, dont trois ou quatre sur cette parade, avec une inscription de ma main sur l’enveloppe des négatifs faisant foi du lieu et de la date. J’avais déjà vu ces films, mais j’avais toujours pensé que si je n’avais pas été plus loin dans le processus de développement des images, c’est qu’il devait y avoir une bonne raison. 
En fait il n’y en avait aucune. Quelques jours après la fin du confinement 2020, alors que peu de laboratoires étaient ouverts, je trouvais sur internet une adresse proche de chez moi, Tizozio labo. Handicapé par une tendinite récalcitrante, ne souhaitant pas utiliser les transports en commun, je contactais le labo et m’y rendis le mardi 19 mai.
J’ai souvent décrit dans ce journal le moment d’excitation qui me rattrape à chaque fois que je récupère des films, mais cette fois ci, vu les circonstances, je ne m’attendais pas à grand-chose. J’avais tort. Je découvrais quelques photos qui étaient sans doute parmi les meilleures, sinon les meilleures de cette période 1971-1975, ce qui me fit douter un moment de ma paternité photographique, idée vite abandonnée. 
Quarante cinq ans après l'avoir prise, cette photo voyait le jour et allait être utilisée dans le premier tome de America, Americas, New-York, publié aux éditions de juillet l'année suivante.
À ce jour, elle reste une de mes images préférée.
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alain-keler · 20 days
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1975, année charnière.
Je reviens d'un long périple en Amérique du sud. Éliane Laffont directrice de l'agence Sygma à New York me donne mes premiers reportages, ma première approche du monde des grandes agences. J'avais rencontré Eliane et Jean-Pierre sur ma route pour l'Amérique latine où j'allais rejoindre Marja, une jeune infirmière suédoise rencontrée quelques mois plus tôt au Pérou. 
Eliane me demande de travailler sur les "seniors Citizen", le troisième âge. Je navigue entre New-York et la banlieue. À cette époque, il était relativement facile de travailler sur des sujets de société, les autorisations étaient faciles à obtenir.
 Mardi 22 avril, la salle de billard du "Hudson Guild Fulton recreation center for senior. Cette photo a été publiée dans le livre America, Americas, tome 1 : New-York aux éditions de juillet.
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alain-keler · 22 days
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Journal d'un photographe
1975, année charnière.
Je reviens d'un long périple en Amérique du sud. Éliane Laffont directrice de l'agence Sygma à New York me donne mes premiers reportages, ma première approche du monde des grandes agences. J'avais rencontré Eliane et Jean-Pierre sur ma route pour l'Amérique latine où j'allais rejoindre Marja, une jeune infirmière suédoise rencontrée quelques mois plus tôt au Pérou. 
Eliane Laffont me demande d'accompagner Michel Parbot, ancien cameraman de l’équipe de la très grande émission « Cinq colonnes à la une », émission qui m’avait fasciné à l’époque ou il n’y avait qu’une chaine de télévision en France. Michel tourne le film « Oh America » sur une Amérique inconnue des français. Ce sera le premier film de ce qui deviendra Sygma Télévision, puis plus tard qui se transformera en Capa avec Hervé Chaballier comme patron.
 La photo du journal d’aujourd’hui a été prise dans un endroit où l'on enseigne comment faire des graffitis. Je ne retrouve pas d'infos plus précises, mais tout ce que je peux dire c'est que très vite les métros de New-York furent tous recouverts de ces graffitis !
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alain-keler · 24 days
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Journal d'un photographe
1975, année charnière.
Je reviens d'un long périple en Amérique du sud. Éliane Laffont directrice de l'agence Sygma à New York me donne mes premiers reportages, ma première approche du monde des grandes agences. J'avais rencontré Eliane et Jean-Pierre sur ma route pour l'Amérique latine où j'allais rejoindre Marja, une jeune infirmière suédoise rencontrée quelques mois plus tôt au Pérou. 
Eliane me demande de travailler sur les "seniors Citizen", le troisième âge. Je navigue entre New-York et la banlieue. À cette époque, il était relativement facile de travailler sur des sujets de société, les autorisations étaient faciles à obtenir.
Photo du journal d'aujourd'hui:
Dans le cadre du projet H.A.N.D une fois par semaine des senior Citizen, personnes du troisième âge, vont s'occuper d'enfants dans une école du Bronx, le CS47. La plupart des enfants sont noirs ou portoricains, souvent issus de milieux défavorisés. Ils attendent avec impatience la visite de ces personnes âgées qui sont souvent seules.
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alain-keler · 25 days
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1975, année charnière.
Je reviens d'un long périple en Amérique du sud. Éliane Laffont directrice de l'agence Sygma à New York me donne mes premiers reportages, ma première approche du monde des grandes agences. J'avais rencontré Eliane et Jean-Pierre sur ma route pour l'Amérique latine où j'allais rejoindre Marja, une jeune infirmière suédoise rencontrée quelques mois plus tôt au Pérou. 
Eliane me demande de travailler sur les "seniors Citizen", le troisième âge. Je navigue entre New-York et la banlieue. À cette époque il était relativement facile de travailler sur des sujets de société, les autorisations étaient faciles à obtenir.
 Sur cette photo, un couple dans le cadre de visites entre des senior Citizen du projet H.A.N.D et des étudiants de la Rye Neck High school de Mamaroneck, dans le Westchester (banlieue nord de New-York).
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alain-keler · 26 days
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Journal d'un photographe.
Journal d'un photographe.
Lundi 1er avril 2024.
Les expulsions sont de nouveau autorisées à partir du 1er avril. Droit au logement réclame l'arrêt de ces expulsions, la réalisation massive de logements sociaux, l'arrêt de la spéculation et des démolitions HLM.
"une crise du logement historique : jamais depuis 70 ans, notre pays n'a connu autant de mal logés, de sans-abris dont des milliers d'enfants, ni autant de demandeurs HLM, d'expulsions, de logements vacants"... Je reprends une petite partie de leurs revendications.
Aussi des locataires seront expulsés pour permettre à des propriétaires de louer très cher pendant les jeux olympiques de Paris. Il y a aussi beaucoup trop de personnes dorment dans la rue, dans le métro.
Avoir un toit devrait être un droit fondamental.
En face de chez nous il y a un petit escalier ouvert qui donne sur la rue. Un homme vient souvent s’y asseoir. Il est bien toujours bien habillé. Un jour je l’ai vu faire la manche devant un café sur la place, à côté.
Je le croise parfois. Il a le regard perdu.
De ma fenêtre ouverte, un jour je l’ai entendu hurler.
La rue rend fou.
Décidément le monde ne tourne plus très rond. Et ce n'est pas prêt de finir.
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alain-keler · 27 days
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Paris, dimanche 31 mars 2024.
Ils n'étaient qu'une vingtaine place de l'Alma pour manifester contre le gouvernement de Benyamin Netanyahou, premier ministre israélien. Des israéliens, des français opposés à la politique du gouvernement israélien.
Sur un tract distribué par les manifestants on pouvait lire :
Défendre la démocratie israélienne.
Six mois après le shabbat maudit, les gens en Israël sont brisés.
Et que fait le gouvernement du désastre ?
Que fait son premier ministre ?
Ils abandonnent les otages à leur sort dans les tunnels du Hamas.
Ils abandonnent les évacués de l'intérieur.
Ils nourrissent l'antisémitisme en Europe et aux USA.
Ils démantèlent l'alliance avec les américains.
Ils font durer la guerre et mettent en danger nos soldats, nos enfants.
Ils pillent les caisses de l'état et prennent des vacances.
La solution ? Dissolution de la Knesset
Le 31 mars 24, le peuple campera devant la Knesset et ne partira pas avant la dissolution.
Élections maintenant.
Soutenons la démocratie et ses valeurs.
À titre personnel, je rajoute : cessez de bombarder Gaza et de tuer les civils palestiniens, femmes et enfants, pendant que les membres du Hamas se cachent dans leurs tunnels, lâcheté suprême, bien achalandés en nourriture et en armes.
Sur la photo du journal d'aujourd'hui Moshé. Il a quatre-vingt-cinq ans. Né en Israël, habitant en France depuis soixante-cinq ans, marié à une corrézienne, tous deux scientifiques, il exhibe une pancarte appelant à la solution à deux états et à la démission de Bibi (Benyamin Netanyahou).
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