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#drôlerie
mtlibrary · 1 month
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This handsome fellow, drawn in red ink, is an example of a ‘drôlerie’, and is found in the Library’s copy Biblia Latina, printed in Venice in 1489. This was originally a four volume Bible, but our copy only includes this, the fourth volume. The book has a large number of red ink doodles (see below), as well as contemporary marginal notes. Drolleries such as this are commonly found in medieval manuscripts, and incunabula, books printed in the 15th century. They are often grotesque and bizarre figures.
Renae Satterley
Librarian
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kaplerrr · 1 year
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En vrai, la France a la meilleure communauté Twitch. Tout le monde se connait, tout le monde est plus respectueux, tout le monde est copain et quand t'as des "nouveaux" qui arrivent, ils sont v'là bienveillants, les commu elles sont pépites.
On a le Zevent et ses dérivés.
On gagne grâce au pouvoir de l'amitié contre les autres pays quand y'a des tournois ou des évènements (ça va l'Espagne ?)
C'est vraiment la détente de les regarder, le bonheur il est stratosphérique.
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praline1968 · 5 months
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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perduedansmatete · 6 months
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ma mère a une cousine que j'adore déjà parce qu'elle habite à la rochelle et que c'est trop cool la rochelle mais aussi parce que quand on était petites elle faisait pousser une plante mystérieuse dans son jardin (de la beuh) et que ça nous intriguait beaucoup avec ma sœur, puis parce qu'elle n'a pas d'enfant et qu'elle a l'air libre comme l'air malgré sa maladie, j'aime aussi le fait que sa vie amoureuse si elle en a une soit autant mystérieuse que ses anciennes plantations, j'aime son ouverture d'esprit, le fait qu'un peu plus jeunes elle voulait connaître nos conneries et que sans rien lui dire elle comprenait, nous faisait des regards entendus et nous encourageait à en faire et puis sa drôlerie, j'aime bien les souvenirs d'elle à la plage seins nus (je trouvais ça trop cool) d'ailleurs j'adorais me baigner avec elle face de fort boyard au loin et puis je l'adore parce qu'on a des goûts musicaux en commun y a pas longtemps elle est allée voir archive en concert chose dont je suis intensément jalouse et c'est toujours inattendu genre la dernière fois j'ai découvert qu'elle écoutait agar agar et j'étais là oh trop cool moi je viens de les voir !!!! et on était trop contentes de les écouter toutes les deux du coup maintenant quelques fois ma mère m'envoie des messages de sa part pour savoir si je connais certains groupes et si je les aime bien et j'adore ça bref je l'aime beaucoup elle est géniale
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the-ninth-moon · 3 months
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(THE NINTH MOON) recherche de staff
LE BONJOUR À TOUSTES, ET LES HUGS SI CONSENTIS <3
En ce jour de douceurs et de week-end, je viens vers vous afin de trouver des partenaires pour cette incroyable aventure dans laquelle je m'implique depuis plusieurs mois maintenant.
Un forum, c'est avant tout une ● communauté de l'anneau, et une aventure à vivre à plusieurs.
Si vous voulez vous impliquer à votre rythme dans un rpg med-fan aux inspirations hétéroclites, découvrir tout un cosmos de races et de magies, faire la connaissance d'une rpgiste somme toute sympa (ah que kk), sociable, incroyablement imaginative, d'une drôlerie insoupçonnée, d'un talent inouï et d'une modestie sidérante, n'hésitez pas à me contacter, sur ce tumblr, ou sur Discord ( valar._morghulis ).
Vous pouvez aussi m'écrire juste pour des infos, me dire bonjour, bonne nuit, au revoir, je répondrais toujours, parce que j'aime parler (une vraie pie, je suis).
Je ne demande absolument aucune compétence particulière, juste l'envie d'écrire et de me faire vibrer de votre plume. Vous pouvez également vous impliquer pour un temps court, si vous ne vous sentez pas d'un engagement temporel. Un max de coeurs sur vos faces.
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havaforever · 3 months
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LE DERNIER JUIF - Une comédie sociale profonde et poétique, qui fera date.
D’abord par le sujet qui aborde avec tellement d’humour, de sensibilité, de drôlerie, de poésie, et d’humanité sur un sujet grave et complexe : l’intégration des communautés juives (sépharades), arabes, musulmanes, et noires, dans nos banlieues… Cette mixité victime de tant d'incompréhensions en interne, mais surtout de tant de préjugés de la part de ceux qui en ignorent tout.
A partir de cette thématique, la focale est mise sur les juifs de la loose, très peu représentés à l'écran. On avait déjà les Bling-Bling, les arnaqueurs, les victimes de la Shoa, les sionistes et les antisionistes, mais aux juifs à qui rien ne marche, personne n'avait encore imaginé leur écrire un scénario. Plus de voisins, plus de boucherie cacher, une maman malade, un fils au chômage, un immeuble en ruines, des affaires foireuses, une syna désertée, un bureau de la Alya désespéré, un père obscurantiste et absent, et pas même une chaise appropriée pour faire son deuil.
Et la juste mise en scène sans pathos de tout ceci, Noé Debré, grand scénariste, dont c’est le premier long métrage, la relève magistralement grâce au personnage de Bellisha. Le charisme de notre anti-héros tient dans la prouesse de jeu du comédien Michael Zindel, qui tient tout le film dans son corps, mélange de nonchalance et de vivacité d’esprit à s’adapter. Sans ce dernier, et le couple fils-mère incroyable qu’il réalise avec Agnès Jaoui, le film n'aurait jamais eu toute la saveur qu'il dégage.
Il faudrait aussi citer chacun des personnages secondaires qui ne sont pas en reste : Eva Huault, la délicieuse maitresse de Bellisha, Solal Bouloudnine, le cousin Asher, qui a la tchatche commerçante à saisir les bons coups, véritable contrepoint de l‘insouciante fausse-légèreté de Bellisha, et Youssouf Gueye, l’ami noir qui croit ne pas aimer les juifs.
Mais derrière ce cadre, se dessine l’autre sujet du film, plus profond : comment se séparer de sa mère quand on lui est attaché ? Cette (angoisse de) séparation court en filigrane à travers tout le film, s’intégrant à la séparation de l’Algérie, de la terre mère. Accepter de prendre sa valise, et d’explorer d’autres chemins, d’autres territoires.
Il n’y a pas de vie sans séparation.
La réussite à la fois discrète mais indiscutable du film tient encore aussi à deux choses : D’une part la voix off, un peu ampoulée, qui raconte le récit, et vous saisit dès les premières images du film. Comme si tout était écrit dès le départ du destin de Bellisha, pantin dans les mains du créateur, qui, l’air de rien, va savoir s’affranchir de ce destin, et d’autre part l’attitude clownesque du couple Zindael-Jaoui. C'est entre ces deux lignes que Michael Zindel, dont le personnage inouï, lunaire, toujours à côté de ses pompes, non sans une libido active, et laissant glisser sur lui les attaques et les coups de la vie, s’inscrit dans la droite lignée de Charlie Chaplin, Buster Keaton ou Jacques Tati.
Agnès Jaoui, nous étonne encore une fois de par se sensibilité. Puissante, burlesque, émouvante dans ses contradictions, ses angoisses, sa douleur; elle compose un incroyable duo avec Bellisha, dont on ne sait plus très bien qui est l’enfant et le parent…
NOTE 17/20 - Exceptionnel. Subtil, sensible, drôle, profond.
Touché par la grâce.
Les deux acteurs principaux, Agnes Jaoui au sommet de son art, et Michael Zindel génial. Entre La vie devant soi, ou Mangeclous, ce film est un chef d'œuvre d'humour, d'originalité et de légèreté.
Pour rendre drôles et légères les choses les plus graves.
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metacarpus · 5 months
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je comprends pas pourquoi 'à l'année prochaine' est pris pour une blague, c'est littéralement la vérité vraie il n'y a aucun script de drôlerie expecté le fait qu'on dise ça parfois pour des gens qu'on ne reverra pas avant longtemps mais dans ce cas c'est sur un ton plus triste ou plus grave alors que là c'est genre 'à demain' sauf que c'est l'année prochaine donc ce n'est pas une blague
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swedesinstockholm · 6 months
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21 octobre
hier soir au resto avec e. j. et s. je suis redevenue un peu lesbienne, je sentais que j. qui était assise à côté de moi sur la banquette me faisait de l'effet, malgré son prénom infortuné. elle était tournée vers moi avec son bras posé le long de la banquette comme les hommes qui aiment prendre de la place et ça me donnait envie de me rapprocher tout près d'elle. j'étais un peu partie sur un début de delulu parce qu'elle était hyper souriante et attentionnée envers moi et que c'était le deuxième soir de suite qu'elle proposait de me ramener en voiture alors que là on était à bonnevoie et qu'y avait le tram juste à côté, mais heureusement la delulu s'est arrêtée au moment où on s'est dit au revoir quand elle m'a laissée sortir en haut de la rue, sans avoir eu le temps de dégénérer comme avec les deux personnes précédentes. pas de nouveau couplet à ajouter à ma chanson sur mes delulus donc.
je l'ai enfin postée sur ig cette semaine et r. l'a likée et m'a écrit YEAH, son compliment signature, et je me suis demandé s'il avait saisi que je parlais de lui, vu qu'il a fait aucun commentaire. peut être qu'il l'a même pas regardée jusqu'au deuxième couplet. ou peut être qu'il s'en fout. comme il se fout que je vienne à bruxelles le weekend prochain. je lui ai demandé s'il voulait aller à une lecture d'ariana reines et il m'a dit qu'il avait sa fille, mais je sentais que ça l'arrangeait bien. il m'a même pas demandé jusqu'à quand je restais ni rien. je crois qu'il veut pas me voir. ou pire, il en a rien à foutre. ce matin on discutait pendant qu'il était dans son lit à faire la grasse matinée et il m'a envoyé une photo de sa fille et j'ai dit c'est qui et pendant que je m'entraînais à chanter ma chanson de saturne au piano en me filmant il a répondu c'est ma fille WESH et ça m'a fait éclater de rire et j'ai du arrêter la vidéo mais je l'ai gardée précieusement parce que je me vois pas souvent rire comme ça. je voulais la lui envoyer mais je me suis dit que mon rire était peut être exagéré par rapport au niveau de drôlerie de sa phrase et j'avais peur qu'il voie dans mon rire que je rigole parce que je l'aime un peu trop que ce que je devrais.
22 octobre
quelqu'un vient de me dire que j'écrivais bien sur tumblr. vendredi en recopiant le passage où je revois la mort j'ai réalisé que je devais urgemment faire quelque chose où j'avancerais jamais et j'ai googlé la psy qui a dans la rue d'à côté et j'ai vu qu'elle faisait de l'emdr et qu'elle était spécialisée dans les traumatismes, la sexualité et l'attachement HALLO je l'ai appelée dans la foulée mais ça répondait pas et j'ai oublié de la rappeler. mais c'est un progrès. vendredi soir au resto j. a mentionné son rendez-vous chez le psy de jeudi, absolument tout le monde va voir un psy et j'arrive pas à croire que ça fait plus de six ans que je me promène librement dans la nature sans suivi psychologique, c'est un miracle que je sois toujours en vie franchement. enfin en vie, peut être pas justement, puisque d'après la thérapeute que je suis allée voir une fois y a deux ans j'étais quand même à moitié morte. mais est-ce que la psychothérapie m'aurait rendue à la vie? à la vie full time je veux dire. la vie à plein temps. est-ce que je suis en vie à plein temps là en ce moment? comment savoir?
24 octobre
bon je fais plus jamais de manifesting parce qu'à chaque fois que je me laisse avoir par ces conneries c'est le contraire de ce que je manifeste qui se produit: non seulement je vais pas en islande pour le feff et donc je vais pas revoir a., mais en plus mon scénario n'a pas gagné le concours littéraire national!!! ni le premier prix, ni le deuxième, ni même le troisième, rien. unbelievable. ça y est ça reprend. pourquoi je m'étais persuadée que j'allais gagner ces 5000 euros? pourquoi la delulu me poursuit dans tous les domaines? heureusement que j'ai jamais pris mes billets pour l'islande. a. m'a dit qu'il voulait venir me voir l'été prochain pour qu'on fasse des films ensemble, pourquoi il est obligé de vivre à des millions de kilomètres et pourquoi je connais personne qui veut faire des films avec moi ICI goddammit. pourquoi la vie est si mal foutue?
j'étais tellement déçue que j'ai fermé mon ordi d'un coup sec et je me suis roulée en boule sur le canapé et puis j'ai rouvert mon ordi pour regarder un épisode de the morning show pour me consoler, mais une fois l'épisode terminé j'ai senti que la tristesse et la déception commençaient à faire place à la colère alors j'ai refermé mon ordi et je suis sortie faire un tour. un grand tour. je marchais en faisant la gueule. en rentrant j'ai annoncé sur ig que j'avais pas gagné comme j'aurais annoncé que j'avais gagné, parce que mettre ses peines au grand jour c'est comme mettre du giroflier sur une dent qui fait mal, ça apaise la douleur instantanément. plein de gens ont liké mes stories et j'ai eu la validation dont j'avais besoin. réseaux sociaux magiques. parfois. r. m'a dit qu'il voulait lire mon scénario et j'ai commencé à regretter d'avoir dit deux fois que c'était un chef d'oeuvre parce que what if it isn't? et s'il est nul en fait?
j'étais en train de regarder harry potter à la télé et on a commencé à discuter de notre passion commune pour harry quand on était petits et il m'a avoué qu'il avait un énorme crush sur daniel radcliffe dans le 3 à l'époque et il m'a envoyé la photo qui l'avait troublé en la voyant dans un magazine. je voulais lui demander s'il était bi mais j'ai pas osé alors je lui ai demandé s'il le trouvait toujours attirant maintenant et il a dit euh non. j'ai très envie de continuer cette conversation un jour où il sera pas minuit et qu'il devra pas aller faire son yoga de bonne nuit.
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mrchalamet-mrstyles · 2 years
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Ce livre n’est pas sur Timothée Chalamet, le sex-symbol le plus maigrichon et imberbe qu’Hollywood ait jamais connu, mais sur ce qu’il représente : la libération de la mode et des corps masculins, la ringardisation du bad boy, l’émergence d’hommes qui se fichent d’être de “vrais hommes” et se montrent sensibles, humbles, à l’écoute… Peuvent-ils nous libérer du patriarcat ?
Dans ce livre entre étude d’un phénomène de la pop culture, enquête journalistique et essai personnel, Aline Laurent-Mayard interroge avec drôlerie et beaucoup d’esprit le rapport que nous entretenons avec la masculinité, avec les normes de genre et la binarité. Que l’on soit homme, femme, non-binaire, une chose est certaine : face aux injonctions sociétales, tout le monde gagnerait à se sentir plus libre.
"Dans un essai drôle et documenté intitulé Libérés de la masculinité, la journaliste Aline Laurent-Mayard s'interroge sur sa fascination pour Timothée Chalamet, antithèse du bad boy." Clément Boutin, Causette
Cette nouvelle masculinité, ou figure de l'homme nouveau, c'est d'ailleurs ce qu'analyse la journaliste Aline Laurent-Mayard dans un passionnant essai. » Clément Arbrun, Terra Femina
This book is not about Timothée Chalamet, the skinniest and beardless sex symbol Hollywood has ever known, but about what he represents: the liberation of fashion and male bodies, the outdatedness of the bad boy, the emergence of men who don't care about being “real men” and show themselves to be sensitive, humble, attentive… Can they free us from patriarchy?
In this book between study of a phenomenon of pop culture, journalistic investigation and personal essay, Aline Laurent-Mayard questions with humor and a lot of spirit the relationship we have with masculinity, with gender norms and binarity. Whether you are man, woman, non-binary, one thing is certain: in the face of societal injunctions, everyone would benefit from feeling more free. “In a funny and documented essay entitled Libérés de masculinité, journalist Aline Laurent-Mayard questions her fascination for Timothée Chalamet, the antithesis of the bad boy.
Clément Boutin, Chat “This new masculinity, or figure of the new man, is what journalist Aline Laurent-Mayard analyzes in a fascinating essay. » Clement Arbrun, Terra Femina
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mrlafont · 8 months
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Il y a bien longtemps que mes ancêtres ne traînent plus leurs sabots devant la Chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Encontre de Saint-Samson. Il y a bien longtemps que ces bons bretons ne sont plus. Et moi, que fais-je à trainer mes godasses sans histoire jusqu'à Eivissa ? Mais c'est mon destin. Le destin de cette époque. Que reste-t-il à faire ? Beaucoup, c'est sûr. Beaucoup trop peut-être. Il faut se refaire une terre avec un sens, une histoire, une raison. Depuis le début et pour la vie d'un seul être peut-être. Qu'ont-ils fait ces fous ? Tout est fini de ce temps béni, car il était béni quoiqu'ils en disent tous. Travaille et chante, oui, travaille et chante. C'est une bonne philosophie. Tout n'est pas perdu dans cette vie-là. Loin de là. Quelle drôlerie tout de même. Et les étoiles, toujours, fidèles à elles-mêmes, immuables en tout cas pour le temps de l'homme, me rapprochent un peu plus de la chaleur familière de mon histoire et de ma vie.
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mhrb95 · 6 months
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Souvenirs de très bons trips familiaux. Voir Valerie sur scène est spectaculaire et dingue de drôlerie avec ses personnages habités. Très grosses performances ❤️
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mmepastel · 1 year
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[Alerte]
Cet auteur estonien m’a chamboulée.
Le roman énorme que j’ai lu s’appelle L’homme qui savait la langue des serpents 🐍 et il a paru en France en 2013. Je n’avais pas entendu parler de lui.
Là je suis tombée dessus à la librairie, et malgré une légère appréhension, je me suis lancée.
Je ne le regrette pas. La preuve, je me suis empressée d’en acheter deux autres de lui, dont un paraît-il est abordable par les enfants, je le destine à mon fils de onze ans.
Comme beaucoup avant moi, je vais répéter les louanges : c’est en effet un livre unique, complètement siphonné. Ça se passe au Moyen-Age, dans la forêt estonienne. Deux mondes s’affrontent : celui, primitif et moribond de la forêt, et celui du village, dont on comprend qu’il a été fraîchement christianisé par les allemands (les hommes en fer) qui sillonnent le pays comme des rois.
Notre héros est le dernier qui sait parler la langue des serpents, qui symbolise l’union de l’homme et de la nature, puisque grâce à cette langue commune, les serpents sont amis des hommes, tout comme les loups, les ours, les chevaux. Tout son malheur vient d’être le dernier. Il assiste à la mort de son monde car les habitants de la forêt se ruent massivement vers le village où on mange stupidement du pain insipide et où on se brise le dos à cultiver les champs au lieu de manger élans et chevreuils qui s’offrent à l’homme qui sait leur parler.
Attention, le livre n’est pas simpliste bien qu’il soit complètement délirant. Sous la farce se cachent des critiques adressées aux deux camps : les arnaqueurs du christianisme et les arnaqueurs païens qui entretiennent de fausses croyances et des peurs idiotes. Au fond, le roman raconte, à sa façon colorée et trépidante, l’histoire de l’Estonie. Il y a beaucoup de mélancolie dans cette défaite de la magie primitive, mais aussi beaucoup de drôlerie. J’ai franchement ri par moments. Songez qu’on croise des anthropopithèques poilus qui élèvent des poux géants, des ours séducteurs, un serpent qui se plaint de sa vie avec tous ses enfants épuisants… jamais rien n’est manichéen car par exemple, la grandeur de la forêt contient aussi son lot d’inégalités : le serpent ami du héros, Ints, traite avec mépris un orvet, considéré comme inférieur, qu’il somme de s’occuper de tâches dégradantes. On voit par cet exemple que rien n’est simple, que rien n’est idéalisé.
La dernière partie est un peu éprouvante car très violente (paraît-il à la manière des sagas islandaises), et très sombre. Beaucoup de sang est versé, des scènes sont particulièrement sombres et sanglantes. En même temps, l’humour affleure toujours. Et c’est dans ce mélange complètement libre entre grotesque et sagesse, imaginaire et réalisme que l’on admire la puissance narrative de l’auteur. Car on dévore son récit. Pas de temps mort, pas d’ennui, une succession d’idées saugrenues font ricocher le récit jusqu’à son issue triste et poétique. J’admire vraiment l’esprit capable d’imaginer de telles histoires, racontée avec un ton inimitable.
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aurevoirmonty · 11 months
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« C’est ahurissant que plus personne ne rigole, tout le monde tire la gueule, tout le monde se plaint. Jamais un mot de trop… Quand on pense qu’on a été – il paraît- le pays de la drôlerie, de la frivolité, de la joie. Puis celui dans les années cinquante de la gouaille, de l’argot, du je-m’en-foutisme. Mais où est ce peuple ? Franchement, s’il y a eu un grand remplacement, c’est celui des comportements. Il y a eu une grande métamorphose du comportement des Français, un engrisaillement, un souci de soi, une austérité morale, une prise au sérieux de soi-même – à moins que cet esprit n’ait jamais existé et qu’il ne fut qu’un fantasme.»
Sylvain Tesson
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claudehenrion · 1 year
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Pâques : un aboutissement, un renouveau ou une fidélité ?
 ��Avec la fin du Carême et celle de la Semaine Sainte, les chrétiens non-orthodoxes voient arriver la grande fête de la Résurrection : l'Homme, désormais, sait –ou peut savoir, s'il sait écouter– que son destin, à sa mort, ne devrait pas se confondre avec celui de la “fourmi écrasée”… dont il ne reste rien. Certes, ce n'est qu'un espoir, dont nul ne peut raconter avoir des souvenirs, mais… que c'est beau, d'espérer, au moment où 184 citoyens croient réfléchir en toute liberté à ce qu'on leur a dit qu'ils devaient penser sur la vie, la mort, la souffrance, le mal…  Allons un peu plus loin...
Cette année –c'est souvent le cas– la fête de la Pâque chrétienne (le 9 avril) est très proche de la fête de Pessah (le 5 avril) qui réunit les juifs du monde entier dans le souvenir de la fuite d'Egypte de leurs arrière-arrière-ancêtres.  Et la profondeur de ma catholicité ne m'empêche pas de me remémorer ces années où je suivais avec gourmandise les cours des  ’‘Lundis’’ du Grand Rabbin Sitruk, qui enseignait “la Foi d'Isra'ël” (Yisra'ël = “Dieu, ’'El”, est vainqueur’’) avec ce mélange irrésistible de culture, de sincérité, de charme, d'intelligence pétillante, de drôlerie, d'humour et de profondeur sérieuse qui le rendaient unique dans sa complicité avec son Dieu… parfois si proche du nôtre. Je me dois d'ajouter que ce juif séfarade né à Tunis avait par moments un accent “pied-noir” à couper au couteau, qui s'imposait parfois à lui : ses intonations empreintes de “pataouète” avaient le don de me replonger dans les plus belles heures de mon enfance et faire revivre mes camarades de classe.
In memoriam, je vais donc me lancer dans un numéro d'équilibriste : parler de Pâques et de Pessah dans un seul éditorial… Comme toujours, je compte sur l'indulgence des lecteurs de ce Blog, si souvent vérifiée, pour “oser oser” –comme nous disions, là-bas. (NB : Je n'ai pas réussi à établir le même parallèle avec l'AÏd el-Fit'r, la Fête de la rupture –NB : celle du jeune du Ramadan– qui arrive le 20 Avril et qui commémore le sacrifice d'Abraham, Ibrahim pour les musulmans). Pâques est la fête de la Résurrection, qui est une perpétuation de l'Homme dans ce qu'il a de plus sacré, de plus authentique et de plus beau en lui, que l'on appelle le plus souvent “son Ame”, même si  ce nom ne plaît pas à certains… tandis que Pessah se définit comme une Fête de la Transmission, qui, en dernier ressort, peut parvenir à des résultats très proches, chaque Transmission étant une petite tranche d'éternité qui a été protégée –puisque sauvée de l'oubli par un nouvel intervenant…
Toute famille juive, en préparation de cette Fête, se doit d'éliminer, dans la maison, la moindre trace de “Hametz”, ce levain dont l'absence a permis d'emporter, dans la fuite hors d'Egypte, des galettes plates, dites “Matsa” (= pain azyme). Il est utile de préciser que ce “Hametz” pourchassé, désigne aussi, au delà du levain, tout ce qui fermente –et peut rendre l'homme mauvais : la haine, les rancunes, les non-dits, les griefs accumulés, les jalousies rentrées… et tout ce qui pourrait envenimer les relations entre les humains, et qui ne doit donc pas être “transmis”… comme sera écarté le ‘’mauvais larron’’ qui ne se retrouvera pas “ce soir, dans le Paradis”, lui.
Le soir de Pessah, le “Séder” est le moment de la transmission positive : autour de la table soignée, ornée, la famille écoute la lecture de passages de la Haggada (= le récit la Transmission), riche en  discussions rabbiniques. Le Père dans son rôle de guide, lit à ses enfants le récit de la Sortie d'Egypte, qui assure une éternité du peuple d'Isra'ël, de génération en génération. On y évoque les attitudes qui peuvent être prises devant cette “Transmission’' : la soumission, l'acceptation, le doute, le refus, et l'indifférence. Et le questionnement, car les Anciens avaient déjà compris cette vérité, stupidement oubliée de nos jours : l'être humain se définit plus par la question posée que par l'écoute de la réponse donnée, et c'est dès la plus haute antiquité que les pères transmettent ’'ce qui est et ce qui doit être”, et que les fils sont des perturbateurs qui provoquent et remettent en question ce qu'on voudrait tant qu'ils “passent”, leur jour venu… même si, le temps coulant, ils s'assagissent le plus souvent et réparent leurs erreurs en devenant des ‘’passeurs’’, à leur tour.
Notre temps, on le constate chaque jour, semble avoir porté à son paroxysme la trahison-de-masse du double message de Pâques et de Pessah : la vie après la vie, d'une part  –que des cuistres incultes prétendent ratatiner autour d’une loi de circonstance sur un affreux “être-suicidé-par-un-autre”… parce qu'il a été raconté que “c'était plus digne” (sic !)… et l'intérêt de transmettre quoi que ce soit, d'autre part, puisque la vie ne serait rien d'autre que… rien ! Si nous ne nous contraignons pas à “transmettre” ce qui doit l'être –y compris notre foi en une “Résurrection” (qui, dans le fond, n'est pas impossible : qui peut affirmer sérieusement qu'il n'y aurait rien, “après” ?)– nos enfants ne seront même plus capables de poser une question.
De plus en plus noyés dans des flots d'informations, nos contemporains sont tentés de croire qu'ils ont déjà la réponse… sans voir que les informations reçues sont, au mieux, totalement inutiles, et criminellement mortifères, au pire… Pères et fils sont sidérés, désorientés et en même temps fascinés par la multitude de sujets qui leur tombent dessus, au point de leur ôter toute envie de poser la moindre question ou de chercher une réponse : l'esprit critique est en perdition ! Nous ne vivons plus dans une société de consommation –selon une expression popularisée dans les années '50 par Jean Baudrillard– mais bel et bien dans une société de l'indigestion permanente et de l'abrutissement programmé, par excès de faux savoirs inutiles.
Car notre modernité techno-capitalistique ne s'embarrasse guère des traditions ou des explications qui vont bien loin au delà de son indéniable force de persuasion commerciale à usage instantané : l'Homme doit désormais ne se nourrir que de ce qui se fabrique, s'achète, se vend, et surtout : rapporte. Or… quel est le circuit économique qui peut vivre et prospérer sur des idées aussi peu rentables que la commémoration d'une fuite hors d'Egypte il y a 35 siècles, ou que la sortie du tombeau d'un Dieu-fait-Homme, il y a 2000 ans ? Ah ! Parlez-moi de donner gratos des armes à l'Ukraine… pour que les donateurs doivent les renouveler, en dollars sonnants et trébuchants, à un prix doublé… Ça, c'est du “bizzness”. Parlez-moi des 4 milliards de doses de “vaccin” achetées au prix le plus fort et sans marchander –corruption oblige !– par l'Europe-institution, pour continuer à se transmettre le virus du covid, à ne pas être prot��gé et à se réfugier derrière une “protection des cas graves” qu'aucun chiffre au monde n'a démontrée une seule fois ! Ça, c'est du lourd. Mais l'Egypte… le Christ… et puis quoi, encore ? (NDLR : il faut dire “le” et non “la” covid, puisque le “d” final de covid est celui de “Disease”, neutre en anglais. Et le neutre, en français, se décline au masculin, sauf très rares exceptions répertoriées. Si on tient à le féminiser comme l'Académie l'a fait avant d'admettre son erreur, il faudrait dire “la covim”, avec le “m” de maladie. C’est hors sujet).
La situation est plus grave que beaucoup ne le croient : il s'agit de la disparition totale, en moins de 2 générations, de plusieurs millénaires (deux, ici… trois et demi, là…) d'une culture, dite “judéo-chrétienne”, qui n'a jamais tendu, à travers et malgré tant de vicissitudes, d'erreurs de parcours, d'échecs et d'impasses, qu'à confirmer, en l'Homme, une “créature de Dieu ou de Yahweh-Adonaï”, comme un roi de la création, idée ou idéal qu'ont repris, en la rendant folle, et sans oser le reconnaître, la totalité les “inventeurs” de ces divinités, plus ou moins farfelues et plus que moins insensées, qui ont eu l’ambition de remplacer le bon grain par leur ivraie.
La volonté de fabriquer de toutes pièces un “Homme nouveau” est, encore aujourd'hui, la seule base que revendiquent le transhumanisme, le féminisme, la théorie du genre, le progressisme et toutes les constructions-déconstructions assassines qui ambitionnent le grand remplacement de tout ce qui a existé jusqu'à elles, pour le remplacer par leur néant majuscule… Et le fait qu'aucune d'elles ne soit viable hors du cadre sécurisant puisque sécurisé que nous lui offrons –fut-ce à notre corps défendant– n'est pas de nature à ouvrir les yeux à leurs promoteurs… En dehors de ces non-systèmes dystopiques, Pâques et /ou Pessah nous offrent, rituellement, une nouvelle chance de réagir avant qu'il ne soit définitivement trop tard. C'est notre responsabilité la plus sacrée et notre tache la plus grandiose que de susciter le réveil et l'ouverture au monde de nos enfants, en grand danger de mort à leur propre humanité. Ne la laissons pas passer : les conséquences seraient terribles ! Antidote : Joyeuses Pâques aux uns, et Bonne Pessah aux autres !
H-Cl.
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Jour 2
Une journée sur le thème des graffitis. J'adore croiser ces petites drôleries.
Et puis un dernier sommet à gravir, ensemble, et voir encore et toujours, d'où que l'on soit, celui de la veille.
C'est vraiment possible d'aller là haut!!!
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the-ninth-moon · 4 months
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(THE NINTH MOON) recherche de staff
Le bonjour à toustes, et les hugs si consentis <3
En ce jour de douceurs de température, je viens vers vous afin de trouver des partenaires pour cette incroyable aventure dans laquelle je m'implique depuis plusieurs mois maintenant.
Un forum, c'est avant tout une ● communauté de l'anneau, et une aventure à vivre à plusieurs.
Si vous voulez vous impliquer à votre rythme dans un rpg med-fan aux inspirations hétéroclites, découvrir tout un cosmos de races et de magies, faire la connaissance d'une rpgiste somme toute sympa (ah que kk), sociable, incroyablement imaginative, d'une drôlerie insoupçonnée, d'un talent inouï et d'une modestie sidérante, n'hésitez pas à me contacter, sur ce tumblr, ou sur Discord ( valar._morghulis ).
Vous pouvez aussi m'écrire juste pour des infos, me dire bonjour, bonne nuit, au revoir, je répondrais toujours, parce que j'aime parler (une vraie pie, je suis).
Je ne demande absolument aucune compétence particulière, juste l'envie d'écrire et de me faire vibrer de votre plume. Vous pouvez également vous impliquer pour un temps court, si vous ne vous sentez pas d'un engagement temporel. Un max de coeurs sur vos faces.
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