Tumgik
#avec le 14 Juillet et tout.
lolochaponnay · 3 months
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C'est un conducteur de taxi à Paris qui prend un touriste Américain. Il demande à ce qu'il lui fasse visiter la ville avant de le déposer. Ils passent devant le Louvre. L'américain lui demande ''Hey, qu'est-ce que c'est, ça?'' Le conducteur de taxi lui répond ''Ça? Mais c'est la pyramide Louvre, mon gars.'' - Et en combien de temps vous l'avez construit? - Euh...Chais pas, 5 ans... - Ah, nous on le fait en trois mois ça... Le conducteur ne relève pas et continue la visite. Il passe devant l'Arc de Triomphe. - Et ça, demanda l'Américain, qu'est-ce que c'est ? - Ça, s'étonna le conducteur, mais c'est l'Arc de Triomphe, avec le 14 Juillet et tout. - Et en combien de temps vous l'avez construit ? - Boah, une trentaine d'années... - Et nous on vous fait ça en une semaine, ça ! Se vanta l'Américain. Le conducteur commence à en avoir marre. Il l'amène aux Champs-de-Mars. - Et ça qu'est ce que c'est ? en montrant du doigt la Tour Eiffel - Ça ? Je sais pas, c'était pas là ce matin.
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thebusylilbee · 16 days
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Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis » mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors. 
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? » 
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
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uneessencesensible · 1 month
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N°1476 – Samedi 14 juillet 2018
Jeudi 12 juillet.
« - Tu n'y as pas pensé toi ? - Penser à quoi ? - À souhaiter son « anniversaire ». - Quel anniversaire ? - Celui du dix juillet. - Tu parles d'un anniversaire toi. - Bah si, c'est comme une résurrection pour ton père. Il est comme Dieu. »
               
Ce soir.
Un anniversaire... Non, pour moi, un anniversaire de résurrection comme tu dis, c'est un moment où tu te dis « J'ai failli le perdre, mais heureusement, il est là ». C'est un moment où tu remercies la vie de lui avoir donné une seconde chance. Une seconde chance que la personne ait su saisir. Non, pour moi, nous en sommes très loin. Nous lui avons sauvé la vie et tout ce qui nous avons eu comme remerciements, ce ne sont que des pleurs, de la violence, de la vulgarité. Des faits tragiques dont on aurait pu se passer, après ce que nous avons traversé quelques années auparavant. Comme si ce n'était pas assez, il en a rajouté une couche. Plus épaisse. Plus lourde. Plus difficile à gérer et à digérer.
[...]
. Je sais que tu prends énormément sur toi. J'en ai conscience tu sais. Je fais de même. Pour toi. Pour que je sois à peu près bien quand je te laisse seule avec lui. Mais franchement, j'aurai aimé le voir comme un dieu. Ou juste ressentir quelque chose de positif pour lui. J'aimerais ressentir de l'affection. Mais je n'y arrive pas. Je ne ressens même pas un dixième de ce que je peux ressentir pour toi. C'est vide. Ce n'est pas simple de s'avouer cela. D'avouer que nous ne n'aimons pas réellement un parent. Voire pas du tout. Ce n'est pas une place facile à prendre. Facile à accepter au départ, quand on se rend compte que l'on préfère être loin de la personne qu'être tout prêt d'elle. Mais c'est ainsi. Je dois vivre avec.
Edit : Aujourd'hui, je vis -mieux- tout ce foutu passé. Bien que je suis une thérapie à cause de tous ses gestes, ses paroles, j'avance peu à peu. Ceci dit, sa présence m'est toujours aussi irritable. Je crois bien que ça, ça ne changera jamais.
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Nicoletta à signé son premier contrat en 1966
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Des refrains toujours aussi présents
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Elle fêtera ses 80 ans le 11 avril 2024
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Elle a été élevée par sa grand-mère maternelle et a rendu hommage en chanson avec Mamy Blues. A 20 ans, Nicoletta a perdu sa maman, fauchée à seulement 40 ans par un cancer, "après avoir été moquée toute sa vie". Celle qui publie son autobiographie, raconte la terrible histoire que sa mère a vécue. "Ma maman, Jeanne, souffrait d'un retard mental, qui à ét�� abusée lors d'un bal du 14 juillet, Nicoletta, qui a découvert à l'âge de huit ans que son père était le voisin de Jeanne. (...) Ma mère était comme une enfant, toujours heureuse. Heureux les simples d'esprit..." Bouleversée par la disparition de sa maman, la chanteuse a tenté de mettre fin à ses jours puis a rendu un hommage bouleversant avec sa chanson, Mamy blues, à celle qui "n'est plus là pour [lui] sourire [la] réchauffer, [la] recueillir". Cette terrible histoire familiale, Nicoletta l'avait déjà évoquée dans les colonnes de Paris Match, avec beaucoup de pudeur. "Je n'en ai longtemps rien su, mais j'ai vite pris conscience qu'elle n'était pas une mère comme les autres, avec l'esprit d'une enfant dans le corps d'une jeune fille. Mon père ne m'a pas reconnue, révélait-elle. A l'école, j'ai subi des humiliations qui ont forgé mon caractère. (...) J'ai du apprivoiser mes douleurs et apprendre à éclore." Auprès de La Montagne, elle explique que dans son "village de Haute-Savoie, tout le monde se connaissait" : "Mon géniteur résidait à dix mètres de chez moi, un jardin nous séparait. Il connaissait ma mère, elle a dit 'oui', il ne l'a pas forcé. Ma mère n'a jamais rien nié, confiait la chanteuse à nos confrères. Et la mère de mon géniteur est restée la meilleure amie de ma grand-mère". Sa grand-mère d'ailleurs a joué un rôle clef dans son éducation. "A la fête des mères, je faisais toujours deux cadeaux à l'école du village", se souvenait l'interprète d'Il est mort le soleil
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dailymaratmail · 11 months
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30 juillet 1790: L'Ami du Peuple
Issue No. 177
Here is an excerpt of Marat's notes at the end of the day's issue.
<< Je le dis avec douleur: l’édifice de la constitution est manqué, et il l’est pour toujours, à moins que nous ne prenions enfin le seul moyen propre à contenir dans le devoir les ennemis de la révolution. Or, si après le 14 juillet [Fête de la Fédération], époque à laquelle le parti patriotique était tout puissant, il s’était trouvé un seul homme d’Etat dans le sénat de la nation, il aurait senti que nos tyrans, revenus de leur première terreur, ne cesseront de conspirer contre la liberté naissante qu’après l’avoir détruite [ou] après avoir été exterminés. >>
Translation:
"I say it with pain: the edifice of the constitution has failed, and it is so forever, unless we finally take the only proper means of containing the enemies of the revolution in duty. Now, if after July 14 [massive celebration held on the first anniversary of the Seige of the Bastille], when the patriotic party was all-powerful, there had been a sole statesman in the senate of the nation, he would have felt that our tyrants, having returned from their first terror, will only cease to conspire against nascent freedom after having destroyed it [or] after [tyrants] have been exterminated."
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Drawing of the celebration at the Fête de la Fédération, held July 14, 1790 in Paris, first proposed by the Paris Commune, and approved by the National Assembly.
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perduedansmatete · 11 months
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je crois avoir fait la pire crise d'angoisse de ma vie cette nuit, et j'ai l'impression d'en faire de plus en plus ces derniers mois. je sais bien que c'est monté toute la journée à partir du moment où je suis rentrée chez moi, et je me suis maudit de l'avoir fait alors qu'encore une fois macron s'est dit tiens parquons toute cette vermine de banlieusards deux soirs d'affilé qu'ils foutent pas n'importe quoi pour le 14 juillet. parce que du coup moi j'étais toute seule coincée à vouloir crever alors que mon corps ne répondait presque plus tellement il fourmillait de partout. je me suis sentie encore plus seule lorsqu'après m'avoir demandé comment j'allais et m'avoir répondu des trucs à côté de la plaque il a tout simplement arrêté de répondre au message que j'ai eu tant de mal à écrire tellement mes mains ne répondaient plus, elles aussi. je ne veux pas être mauvaise langue mais plus le temps passait sans réponse plus l'angoisse s'accentuait, ça a duré très longtemps, et je savais qu'il ne dormait pas vu qu'il était sorti ce soir. j'aurais du envoyer un message à quelqu'un d'autre mais je n'arrivais pas et j'avais juste besoin de lui. je crois que je me suis un peu endormie avant de me réveiller dans un état d'angoisse plus acceptable, il était quatre heures et depuis minuit il n'avait toujours pas répondu, ni ouvert mes messages après celui où je disais que je savais pas quoi faire que j'avais envie de mourir que mon corps ne répondait plus et que j'étais toute seule. il a fallu que je renvoie un message pour lui dire que ça allait un peu mieux pour qu'il me réponde en me disant qu'il n'avait pas vu et en me demandant ce qu'il y avait. bref c'est pas comme si je l'embêtais tout le temps non plus je l'appelle à l'aide une seule fois quand je suis au bord du bord du gouffre que je vais atrocement mal bref conclusion je ne vais pas pouvoir passer une nuit de plus toute seule mais je ne vois personne avec qui la partager en plus des petites fourmis qui ne m'ont pas complètement quitté.
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lepartidelamort · 4 months
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« [C]’est l’État français qui, par sa politique, ses lois, ses tribunaux, a organisé le "grand remplacement" des populations, nous imposant la préférence immigrée et islamique avec 8 millions d’Arabo-musulmans (en attendant les autres) (…). L’État a toujours été l’acteur acharné du déracinement des Français et de leur transformation en Hexagonaux interchangeables. Il a toujours été l’acteur des ruptures dans la tradition nationale. Voyez la fête du 14 juillet : elle célèbre une répugnante émeute et non un souvenir grandiose d’unité. Voyez le ridicule emblème de la République française : une Marianne de plâtre coiffée d’un bonnet révolutionnaire. Voyez les affreux logos qui ont été imposés pour remplacer les armoiries des régions traditionnelles. Souvenez-vous qu’en 1962, l’État a utilisé toute sa force contre les Français d’Algérie abandonnés à leur malheur. » Dominique Venner, Lettre sur l’identité à mes amis souverainistes, 26 juin 2012
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gintama-news-fr · 2 months
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Gintama anime
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L'anime est divisible en 7 saisons(ou 4) selon ses coupures car il y a des longues périodes de pauses:  
La première saison(Gintama) commence donc en 2006 et termine en 2010 avec 201 épisodes.
La seconde saison(Gintama') commence en 2011(donc un an après) et s'arrête en mars 2012 avec 51 épisodes. 
La troisième saison(Gintama+) commence en octobre 2012(7 mois après) et s'arrête en 2013 avec 12 épisodes. 
La 4ème saison(Gintama°) débuterait en Avril 2015 jusqu'en Mars 2016(51 épisodes) composé de petits arcs humoristiques et des deux premiers sérieux qui entament la fin du manga: l'arc du Shogun et du Shinsengumi.
La cinquième saison(Gintama.) commencerait en janvier 2017(soit 10 mois après) et s'arrêterait le 26 Mars 2017 avec 12 épisodes. Dans cette saison, cela adapte l'arc Rakuyou (ou Yato ou Ryûmyaku, bref plein de nom pour cet arc) qui mène aussi vers la fin du manga/anime, vu que c'est l'avant dernier arc du manga.
La sixième saison(Gintama Shinsaku) commence en octobre 2017(7 mois après) jusqu'en mars 2018 avec 24 épisodes. Dans cette saison, il y a deux parties: l'Arc Porori ou des oubliés(débute au 329ème épisode jusqu'au 341ème épisode) composé des arcs comiques/légers qui ont été sauté précédemment par la production. Puis la seconde partie Gintama Silver Soul(débute au 342ème épisode jusqu'au 353ème épisode) qui adapte la première partie de l'arc ultime. 
La septième saison(Gintama Silver Soul 2) est la continuité de l'arc Silver Soul, commence en juillet 2018(4 mois après) jusqu'en octobre 2018 avec 14 épisodes. Dans cette saison, c'est donc la suite de la première partie de l'arc Silver Soul et il commence aussi à adapter la seconde partie de l'arc ultime, il débute à l'arc 354 jusqu'à l'épisode 367. L'anime s'arrête à la moitié du dernier arc, le scan 686. 
En 2020, les derniers chapitres ont été adapté en deux épisodes (Gintama The Semi Final) et un film(Gintama The Final)  
Cependant, la quatrième saison(Gintama°) est, selon crunchyroll, composée de plusieurs arcs entrecoupés par des pauses.
-Tout d'abord, la première partie d'avril 2015 à mars  2016(51 épisodes) composée de divers petit arc et de l'arc du Shogun et du Shinsengumi.
-Ensuite, après 10 mois de pause, la saison reprend nommé "Gintama." avec l'arc Rakuyou ou Yato ou Ryûmyaku de janvier 2017 à mars 2017(12 épisodes).
-Ensuite, cela reprend nommé "Gintama Shinsaku" après 7 mois de pause avec l'arc des oubliés suivi(ou Porori) de l'arc de Silver Soul d'octobre 2017 à Mars 2018(24 épisodes)
-Ensuite, cela reprend nommé Gintama Silver Soul 2 après 4 mois adaptant la suite de l'arc Silver Soul, de juillet 2018 à octobre 2018.  
Mais aussi, l'anime peut être divisé en 10 saisons aussi:
-la première saison serait du 1er au 49ème épisode. -la seconde saison serait du 50ème au 99ème épisode. -la troisième saison serait du 100ème au 149ème épisode. -la quatrième saison serait du 150ème épisode au 201ème.
*Pause*
-la cinquième saison serait du 202ème épisode au 252ème.
*Pause* -la sixième saison serait du 253ème épisode au 265.
*Pause* -la septième serait du 266 au 316. 
*Pause* -la huitième saison(ou la continuité de la saison 7) serait du 317 au 328.
 *Pause* -la neuvième saison(ou la continuité de la saison 7) serait du 329ème épisode au 353ème épisodes.  
*Pause*
-la 10ème saison (ou la continuité de la saison 7) du 354ème au 367ème épisodes.
*Pause* 
-Gintama The Semi-final, deux épisodes.
-Gintama, The Final, film
Dites vous que les noms des saisons(Gintama, Gintama', Gintama+, Gintama° , Gintama. ou Gintama Shinsaku) n'ont aucune importance, c'est seulement pour marquer les coupures, mais si vous mettez par exemple "Gintama 202 vostfr" vous le trouverez, pas besoin de mettre "Gintama' 01 vostfr".
Sur ce lien, vous pouvez voir le résumé des épisodes. C’était utile pour moi quand j’ai commencé à regarder l’anime. 
Sur mon blog, vous pouvez aussi trouver la liste des arcs.
  Autres concernant l’anime:   Best of:   Yorinuki Gintama-san: C'est un best-of des épisodes de Gintama (la première série) avec comme différence de nouveaux génériques et la capacité de regarder les épisodes en Haute Définition. Il date de 2010 et fait 51 épisodes. Il reprend des épisodes de 1 à 201.   Yorinuki Gintama-san 2: pareil qu'au-dessus mais pour ceux qui arrivent après 2010, du coup du 202ème jusqu'au 328ème épisode. Il commence en Avril 2017.
  Les OAV/OAD et Special Episode:   OAV 1: Gintama: Jump Festa 2005 Special ou Gintama: Nanigoto mo Saiyo ga Kanjin nano de Tasho Senobisuru Kurai ga Choudoyoi: OAV sur le Shinsengumi et les Yorozuya se battant pour une place lors du Hanami(pique niquer sous les cerisiers en fleurs, littéralement "Regarder les fleurs").   OAV 2: Gintama Jump Festa 2008 ou Gintama Shiroyasha Koutan: Cela se passe à la guerre et met en scène Gintoki, Takasugi et Katsura.   Spécial Episode: Gintama Harumatsuri 2010 : Certains personnages de Gintama se réunissent et parlent de leurs "regrets" après les 4 ans de l'anime. Bientôt, ils se disputent pour savoir qui aura le plus de temps d'apparition à l'écran! Spécial épisode: Gintama : Shinyaku Benizakura-hen Special: Les personnages se réunissent autour d'une table pour discuter. Shinpachi se plaint de la réutilisation des images de l'anime tandis que Gin-chan termine le gag avec une annonce inutile.   OAV 3: Aizome Kaori hen: En deux épisodes, se passe à Yoshiwara, une drogue de l'amour est répandu, et les Yorozuya ainsi que d'autres personnages en sont les victimes. 
Monster Trike-hen sorti en 2019: Collaboration avec Monster trike  
Films Anime:
  Shinyaku Benizakura-hen: Film sur l'arc Benizakura, ajoutant quelques mini scènes, et en HD.   Kanketsu hen: Yorozuya no eien: Un pouvoir mystérieux transporte Gintoki dans un avenir où il n'existe pas. Il se retrouve là dans les rues d'une Edo en ruine. Les seuls gens étant restés sur la Terre désolée sont les pauvres, les Jouishishi qui tentent d'anéantir le gouvernement, les voyous qui profitent du relâchement de la loi, et ceux qui ont obstinément refusé de fuir alors que la fin approchait. Alors qu'il erre, Gintoki rencontre deux jeunes gens. Un jeune homme à lunettes portant un sabre de bois marqué « Lac Touya », réglant son compte à une bande de voyous, puis une jeune femme portant des habits chinois aux mêmes motifs que les siens, accompagnée d'un chien gigantesque : ce sont Shinpachi et Kagura devenus adultes. Il découvre alors petit à petit cet avenir radicalement différent ainsi que la choquante vérité. (Merci Nautiljon pour ce résumé)
Gintama The Final: Ce film adapte les derniers chapitres du manga. Il suit les deux derniers épisodes OAV nommés Gintama The Semi-Final. 
Voici le lien du torrent
Et en téléchargement
Je vous partage ici les liens torrent des deux épisodes de Gintama The Semi-Final:
Ep 1
Ep 2
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mes-envies-de-culture · 2 months
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La saison 2 de l’anime phénomène Solo Leveling-Arise from the Shadow- est annoncée ! Le problème est que la date est toujours inconnu au moment où ce billet est publié. Vraisemblablement pour la fin d'année si tout se déroule correctement...
Hâte de continuer à suivre les aventures du chasseur le plus faiblard Sun Jin Woo imaginé par le dessinateur sud-coréen Chugong (aux éditions Kbooks) et du dessinateurJang Seong Rak alias DUBU (malheureusement décédé à l'âge de 37 ans en 2022). L'anime, produit par A1-Pictures, est une adaptation du roman Na Hanjaman Level Up, avec une déclinaison en webtoon, débuté en juillet 2016 pour un total de 14 tomes.
Bon ok, maintenant il est quasiment invincible avec sa nouvelle classe de Nécromancien avec toujours pour ambition : récolter l'élixir de vie. Mais attention, ce n'est pas forcément une promenade de santé car les monstres sont devenus également de plus en plus puissants.
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equipe · 2 years
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🦀 *clac clac clac* 🦀
Que personne ne bouge le petit doigt… les crabes sont de retour ! Ces petits galopins ont accompagné le lancement de TumblrMart sur le Web le 14 juillet dernier. Ils seront également présents lorsque TumblrMart débarquera sur Android et iOS prochainement. Inutile de nous remercier. Tout le plaisir est pour nous. Et un peu pour vous, aussi.
TumblrMart, c'est quoi au juste ?
TumblrMart, c'est notre petite échoppe en ligne vous permettant d'offrir un peu de joie à vos amis sur Tumblr. Pour débuter, nous vous proposons soit d'offrir Tumblr sans pub, soit de partager notre chouchou du 1er avril dernier : le bouton "Invoquer un crabe !". Davantage de propositions seront ajoutées à l'avenir.
Avec TumblrMart, vous pouvez offrir à la personne de votre choix :
24 heures d'un tableau de bord crabesque (2,99 $),
Un mois de Tumblr sans pub (4,99 $),
Une année entière de Tumblr sans pub (39,99 $).
Vous pouvez bien évidemment joindre un petit mot à votre présent ou l'offrir anonymement - avec la discrétion et la bienveillance qui vous caractérisent.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Cherchez tout d'abord le blog à qui vous souhaitez faire un cadeau, OU sélectionnez-le directement depuis l'écran de TumblrMart après avoir choisi l'élément à offrir.
Dans l'en-tête du blog, cliquez sur l'icône Cadeau.
Choisissez le cadeau que vous souhaitez offrir à son auteur. Au hasard, l'invasion crabesque.
Saisissez vos informations de paiement et cliquez sur "Payer maintenant".
Le petit veinard reçoit son cadeau.
Clac ! C'est la crusta-fête ! Grâce à vous, de petits crabes vont égayer un tableau de bord !
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D'autres petites choses à savoir ?
TumblrMart, ce n'est pas la même chose que la boutique Tumblr…
Vous ne pouvez pas vous offrir à vous-même les articles en vente sur TumblrMart. Cette échoppe est réservée aux dons pour d'autres utilisateurs.
Le destinataire d'un cadeau Tumblr sans pub n'aura rien à faire pour l'activer. Cependant, si vous offrez l'invasion crabesque, l'heureux élu devra cliquer sur le bouton "Invoquer un crabe !" visible sur son tableau de bord pour en profiter.
TumblrMart est disponible mondialement sur le Web depuis le 14 juillet. Les applications ne seront pas en reste, ce qui signifie que les utilisateurs iOS et Android auront prochainement le droit à leur propre invasion crabesque. Mais chuuut. Motus et bouche cousue.
Vous avez des inquiétudes au sujet de la sécurité du paiement en ligne ? Jetez un œil à ce schéma explicatif pour vous rassurer.
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Des questions ? Adressez un petit message (en anglais) au blog @wip ou à notre Support technique, et restez à l’écoute des dernières nouveautés ici même sur le blog de l’@equipe​.
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ce-sac-contient · 1 year
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Ils oseront, vous verrez
Obstiné comme une bête de somme, le gouvernement, avec son semblant de majorité, poursuit néanmoins son effort et psalmodie ses éléments de langage : solidarité, progrès, justice. Les chiffres ne mentent pas. [...] 
Ce comportement de rouleau compresseur n’est pourtant pas si surprenant. [...] Le recours systématique à la ruse, l’absence de vergogne, le savoir-faire techno. Tout le temps que va durer cette mascarade, on sentira à la manœuvre des ingénieurs de la chose publique aussi bien instruits que peu scrupuleux. Ceux-ci feront jouer tous les rouages, administratifs, légaux et institutionnels. Leur maîtrise s’illustrera comme jamais dans ces quelques semaines de manigances historiques. [...] 
Pourtant, cette obstination gouvernementale ne va pas sans une drôle d’impression de contrecœur. [...] A les voir, on dirait qu’ils montent au front une baïonnette dans les reins. La conviction n’y est pas. Les fils du marionnettiste ruinent l’illusion. [...] Alors, ce pouvoir si mal élu, vacillant de naissance et mal aimé dès le départ, emprunte la seule voie qui lui semble praticable : le 49.3.[...] 
C’est à partir de là que la chronique prend une ampleur presque tragique. Car il n’est plus seulement question des retraites, mais de la démocratie. On ne conteste plus seulement une politique, mais un règne. Le récit, à cet instant, doit changer de ton, car si tout demeure légal, plus rien n’est juste et sous ses dehors réguliers, le pouvoir vient brutalement de changer de physionomie. Sous l’effet du scandale énorme que constitue ce passage en force, le drap qui recouvrait sa mécanique intime est tombé. Sa nature est à nu, le vernis a pété, la brute est sous nos yeux. On a compris qu’elle est en mission, murée dans ses certitudes. Elle ne fera pas de cadeaux.  [...]
Mais le plus fou est encore à venir. Le Président, manifestement impatienté par ce peuple qui s’obstine à ne pas être à la hauteur, le tance, injurie les manifestants, accuse les syndicats. Il s’invente dépositaire exclusif de toute légitimité. On croit rêver. La surdité est à son comble, l’aveuglement radical. L’exécutif fait bip-bip sur son orbite lointaine. Pour finir, dans une allocution lunaire de plus, digne d’un Skype de PDG de multinationale, le même président admet que sa réforme n’est pas acceptée et passe sans transition au nouvel agenda du Comité Exécutif Central : 100 jours pour réparer la France tous azimuts. Le déluge d’annonces va suivre, souvent recyclées. L’idée est simple : saturer les canaux et les citoyens, forcer le pas, imprimer le rythme, c’est la méthode Sarkozy revisitée stroboscope. Rendez-vous le 14 juillet. D’ici là, de toute façon, on aura eu Roland-Garros, le Tour de France et les incendies. Les Français, Inch Allah, seront passés à autre chose.  [...]
Depuis le 49.3, la démocratie française a une gueule de dystopie. La République bourgeoise telle que sous Guizot (mais désormais entrepreneuriale et techno) est ressortie de l’abîme comme une Atlantide, gouvernant à son idée, à coups de décrets, juchée sur son quart de peuple, infirme comme jadis, avec pour béquilles sa police guère subtile et l’étai résolu des grands intérêts.  [...]
Et nous voilà nous, incrédules, au bord du gouffre climatique, matraqués et tenus, aux mains de maîtres qui nous font cette drôle de guerre, avec des institutions ébranlées, des juridictions d’exception entrées dans le droit commun et une extrême droite aux portes de l’Elysée. Car le pire est là sans doute. Dans quatre ans, la colère libérée par cette forfaiture légale s’exprimera avec une amplitude qui fera passer les black blocks pour d’aimables ambianceurs d’Ibiza. Et ce pouvoir qui a tant fait pour que le pire advienne ira alors dire que la faute revient à ses adversaires, tous populistes, sapeurs de démocratie, précurseurs du fascisme. Ils oseront, vous verrez.  [...]
Pour un écrivain ou une écrivaine qui s’intéresse à son temps, c’est un moment d’effarement et de bascule. Le réel est devenu si caricatural qu’on ne sait plus par quel bout le prendre. Chaque jour apporte son lot d’aberrations ; il suffit de lire Pif, Playboy ou Têtu. Face au renversement du langage, à la falsification galopante, à l’énorme besoin de mots qui se fait jour pour décrire l’époque et réduire l’hégémonie de sa bêtise particulière, on se demande quoi faire, quels moyens employer.  [...]
Ce que nous pouvons faire, c’est ça : raconter. Que nos récits infusent. Ils feront un jour le ridicule de ceux qui aujourd’hui se prennent pour des hommes d’Etat et ne sont souvent que les managers de l’entreprise France. Que nos phrases fassent honte dès maintenant aux magouilleurs de légitimité, aux laquais perpétuels, à la brutalité qui brise nos révoltes. Que nos textes interdisent le passage du temps et forcent sans cesse à revenir sur ce qui nous a été volé. La pilule amère ne doit pas passer. Surtout, nos mots peuvent dénuder n’importe quel roi, fût-ce a posteriori. Et d’ici là, ils donneront une voix à celles et ceux qui n’en ont pas. Le roman de ce pays s’écrit aujourd’hui à l’encre de leur volonté piétinée.
Retraites : le roman national est à nous, par Nicolas Mathieu (Le Libé des écrivains, Libération, 20 avril 2023)
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pascal-et-sarah · 9 months
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Installation
Et bien une fois que nous sommes arrivés sur place (dans un hôtel réservé pour 15j) il est temps de partir à la recherche d'un appartement et à la découverte d'une nouvelle vile. Petit bonus, nous sommes arrivés en plein pendant la fête de l'indépendance du Vietnam déclarée le 02 Septembre 1945, indépendance de... Qui vous savez. L'ambiance est à la fête, une sorte de super 14 Juillet où tout le monde serait dans la rue.
Après 12h de vol, un passage de frontière sans histoires et une récupération de valises qui n'ont pas été perdues 🥳 les petites péripéties commencent. Avant de partir pour la ville et notre hôtel on voudrait
changer de l'argent pour avoir un peu de liquide local
acheter des cartes SIM locale pour avoir accès à internet
Ça tombe bien la moitié des touristes font la même chose que nous et donc il y a de nombreuses boutiques qui proposent ces services. Pas de chance pour pouvoir récupérer un numéro de téléphone il faut appeler le service client (je pense que vous voyez où je veux en venir). En pleine fête nationale, il n'y a personne de l'autre côté pour répondre, tant pis on aura un numéro temporaire le premier mois et en boutique ils rattraperont le coup plus tard.
Une fois à l'hôtel on s'écroule un petit peu mais pas longtemps, à 14h on a rdv pou visiter des appartements (pas le temps de niaiser). Nous nous déplaçons en utilisant l'application Grab, une sorte de super App (Uber + Delivroo + Paypal + Glovo...) qui a carrément bouté Uber du marché Vietnamien (?Asiatique?). On visite des choses plus ou moins belle mais dès le deuxième appartement on sait que ça sera celui-là.
Contrairement à ce que l'on pensait, on ne vivra pas dans un gros immeuble à la japonaise mais dans un petit immeuble de 5 étages avec un petit papy à l'entrée qui sert d'agent de sécurité. L'appartement vient avec internet, 2 séances de ménage par semaine, l'eau courante (mais pas l'eau pour boire) et bien sûr l'air conditionné dans toutes les pièces à vivre.
Plus de photos plus tard.
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On a eu de la chance de trouver rapidement un appartement et donc de pouvoir s'installer. En plus l'hôtel a été sympa avec nous en acceptant de modifier notre réservation sans frais.
Il nous faut maintenant prendre nos marques.
Bises et canicule 🥵
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claudehenrion · 11 months
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Cacophonies sans limites...
  Certains moments de l'Histoire semblent décider d'obéir aux modes les plus perverses pour le futur de l'espèce humaine... qui serait, disent certains, en voie d'extinction malgré la tromperie des chiffres : on est de plus en plus nombreux sur Terre, mais de moins en moins ''humains''. Il y a eu d'autres époques où la laideur était un signe distinctif d'adhésion aux  comportements les plus pitoyables et aux théories les plus absurdes... au nom d'un iso-''modernisme'' adapté au temps, bien sûr. Cela a toujours correspondu aux plus grandes régressions morales et aux périodes sombres de l’Histoire. Ne serions-nous pas en train de renouer avec une tendance qui mêle mauvais goût et décrépitude ? La question vaut d'être posée !
Précisons, à notre habitude, de quoi nous parlons : le mot ''cacophonie'' vient –vous vous en doutiez !- du grec ancien φωνη ́, prononcé phoni, qui veut dire ''voix'', et de κακο ́ς , qui veut dire ''mauvais'' et est surtout célèbre par son pluriel κακα, prononcé comme on le devine, et très mal vu des parents de petits enfants réputés ''bien élevés.... On utilise le plus souvent ce mot composé  pour décrire des bruits discordants produits par des instruments abusivement dits ''de musique'',  mais il n'est pas interdit d'étendre son usage à tout et n'importe quoi de désagréable à l'oreille... ou à d'autres sens. Et là... nous sommes comblés au delà du possible.
La séquence en cours a commencé le 14 juillet dernier lorsque notre européo-maniaque élyséen nous a fait don non pas de sa personne (ça, c'est déjà fait, et on sait maintenant qu'on ne s'en remettra sans doute jamais), mais d'un orchestre fait des meilleurs souffleurs militaires des pays membres de cette Alliance faussement dite européenne, qui lui tient tant à cœur et chante si mal en chœur : notre grand défilé ''sur les Champs'', marqueur incontesté de ''notre 14 juillet à nous'', devrait désormais être vécu en harmonie théorique avec des pays pour qui cette date n'a pas le moindre sens ! Résultat : une immense cacophonie (et les mots ont un sens, nous l'avons précisé !) où chacun jouait, pour son propre compte et sans tenir compte des autres, des extraits  de rengaines tirées de séries-télé américaines. C'est l'image parfaite de ce qu'est devenue cette ''Europe-institution'' à laquelle notre Président, toujours juvénile (''Malheur à la Cité dont le Roi est un enfant'', prophétisait Ezechiel  il y a 2600 ans), croit toujours, malgré toutes les preuves accumulées, et malgré les bévues contre-civilisationnelles de Madame von der truc et toutes les dérives morales, sociétales et autres qu’elle impose autour d’elle...
Je passe sous silence le seul fait vraiment marquant (à ce jour) de ce second quinquennat : les banlieues (rebaptisées ''quartiers'' en novlangue, comme pour atténuer l'horreur qui s'y prépare (Tu parles ! Elle est là depuis longtemps, l'horreur, mais nos politiciens aux têtes vides refusent de la voir !) : banlieues ou quartiers sont entrés en sécession, soumis à un islam politisé, mais avant tout anti-français, anti-blanc et anti-intelligent, lui-même soumis (c'est la définition du mot ''Islam'') à la bonne volonté des ''grands frères'' et des ''éducateurs'', et à la seule décision des caïds de la drogue (fonction  du niveau de leurs ventes de poisons), événement difficilement guérissable que le Pouvoir, dans sa lecture infantile des faits (voir Ezechiel, ci-dessus !) croit avoir interrompue grâce à sa sublime intelligence (Sic !). Comme quoi toutes les croyances sont possibles ! Cette seconde cacophonie était digne des bras cassés qui entourent la Présidence.  On était loin d'avoir tout vu !
Le troisième drame de ce triste mois de juillet est venu du soi-disant ''remaniement ministériel'' qui a consisté en un jeu de chaises non pas réputées musicales, mais cacophoniques, elles aussi. Comme nous avions annoncé la semaine dernière ce qui allait se passer et que la séquence prévue a été suivie comme si nous étions les initiateurs de ce ''bal des nuls'', il y a peu à en dire, d'autant que Philippe de Villiers a, à son habitude, parfaitement décrit le seul changement important de ce ''coup-pour-rien'' : le remplacement, à l'éducation nationale, d'un sinistre pro-woke par un sinistre pro-LGBT... (NDLR : le concert de cris des vierges effarouchées de gauche qui a suivi l'énoncé de cette vérité première (insupportable, puisque vraie) a été le seul moment agréable de cette semaine ratée en tout, pour tout, et sur tout !)
Comme si tout ça ne suffisait pas a rendre les français encore plus ''paumés'', ils ont ensuite eu droit à un mauvais ''remake'' de  ''causerie au coin du feu'' par leur Président qui (par souci d'économie, sans doute) a préféré s'adresser à eux depuis Nouméa que depuis le Faubourg St Honoré : on risquait moins d'entendre le gai tintamarre des casserolades qui ''cacophonisent'' (si j'ose !) épisodiquement ses prestations ratées. Mais au fond, vu des palais de la République, pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ? Le seul ennui (à part l'ennui intrinsèque que notre Président secrète comme d'autres l'envie de rire ou de pleurer...), c'est que, comme à chaque fois, il n'a rien eu à dire, sous son flot énarchien de répétitions vides de tout bon sens. En résumé : ''Circulez, y a rien à voir''... Pourquoi se donner en spectacle alors que l'on a vraiment rien à dire ? se demandent de plus en plus de braves gens. A ce jour, la question est sans réponse.
C'est pourtant là, peut être, avec le ''zim-boum-boum'' raté du 14 juillet, que j'ai eu le plus cette impression de cacophonie qui m'a envahi depuis que j'ai été contraint de vivre en Macronie : les français, pratiquement unanimes (une unanimité ''à la française'', peut-être, mais rarement atteinte et persistante à ce degré) citent en boucle trois ou quatre mots simples autour desquels ils ont très peu varié, depuis des mois : immigration, sécurité, ''être français en France...'', et remettre enfin de l'ordre dans les banlieues, sans nouveau ''Plan'' plus coûteux qu'efficace... Or il se trouve que ce sont les seuls qui sont totalement absents du discours présidentiel ! Comme dirait ma vieille amie Madame Michu, ''il voudrait le faire qu'il le ferait pas aussi bien''. Faut-il se réjouir de cette fuite volontaire devant le réel, faut-il ''accepter de vivre avec'', ou faut-il s'en attrister, voire s'en désoler ? Chacun décidera, en fonction de ses propres critères . Mon choix --pas très intéressant-- est connu...
H-Cl.
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gelendya-oldtimer · 9 months
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1963 Citroën ID 19
Sans réserve / No reserve
Vendu 39 680 € [$]
1963 Citroën ID 19
Sans réserve / No reserve
Carte grise française
Châssis n° 3284116
Moteur n° 0273010989
- Belle remise en état
- Depuis 14 ans dans la collection
- Version rare et recherchée
Mise en circulation le 15 juillet 1963, cette ID 19 arrivera dans le département du Rhône en 2005 avant que M. Romagny n'en fasse l'acquisition. Dans la collection depuis donc 14 ans aujourd'hui, elle fut acquise en 2007 auprès du professionnel Auto Retro Coup de Cœur. Elle présente aujourd'hui une teinte grise ardoise au très beau rendu et refaite dans le passé associé à un toit blanc conforme au modèle. Son espace intérieur est particulièrement accueillant est bien conservé. La sellerie rouge, probablement refaite dans le passé est en bel état et le tableau de bord est superbe avec notamment cet autoradio intégré Radiomatic et ses petits interrupteurs disséminés le long de la console. Côté mécanique, elle a notamment bénéficié en 2019 d'une révision générale et d'une réfection de certains correcteurs de hauteur. En bel état général, signalons simplement la présence de traces de corrosion sur le châssis signalés lors du contrôle technique qui seront à surveiller. Un tel exemplaire est devenu rare à trouver sur le marché car il est la promesse d'un voyage dans le temps à une époque où tout avait une autre saveur sur la route.
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decophotolove · 2 years
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Diane Nemerov, connue sous le pseudonyme de Diane Arbus, est une photographe de rue américaine, née le 14 mars 1923 à New York et morte le 26 juillet 1971 à Greenwich Village (New York).
Lorsque Diane Arbus meurt en 1971, à l'âge de quarante-huit ans, elle exerce déjà une influence significative - qui tient même de la légende - sur les passionnés de photographie, alors même qu'un nombre encore relativement limité de ses photos les plus importantes ont été publiées. La parution de Diane Arbus (publié en français par les Editions du Chêne en 1973), tout comme la rétrospective posthume du Museum of Modern Art de New York, permet au grand public de découvrir la portée et la puissance de son œuvre. La réaction est sans précédent. La publication de cette monographie de quatre-vingts photos a été dirigée et conçue par un ami et collègue de Diane Arbus, le peintre Marvin Israel, et par sa fille, Doon Arbus. En créant ce livre, leur objectif était d'être aussi fidèle que possible aux critères utilisés par Diane Arbus pour juger sa propre œuvre et à la manière dont elle espérait qu'on la verrait. Le livre est devenu un classique universel. Diane Arbus: une Monographie, un chef-d'œuvre intemporel traduit en cinq langues, demeure à la base de sa réputation internationale. Près d'un demi-siècle plus tard, les photographies d'Arbus suscitent toujours la même fascination, et les mêmes controverses. Elles pénètrent au plus profond de nous-mêmes avec la force d'une rencontre personnelle et, ce faisant, elles transforment la manière dont nous voyons le monde et les gens qui nous entourent.
 Sans titre est le seul volume de l'œuvre de Diane Arbus consacré exclusivement à un seul projet. Les photographies ont été prises dans des résidences pour déficients mentaux entre 1969 et 1971, dans les dernières années de la vie d'Arbus. Bien qu'elle ait envisagé de faire un livre sur le sujet, la grande majorité de ces images sont restées inédites jusqu'à présent. Ces photographies atteignent un lyrisme et une pureté émotionnelle qui les distinguent de toutes ses autres réalisations : « Enfin ce que je cherchais », écrivait-elle à l'époque. Le produit de son regard toujours inébranlable pour la réalité telle qu'elle l'a trouvée, Sans titre pourrait bien être la vision la plus transcendante et la plus romantique d'Arbus. C'est une célébration de la singularité et de la connectivité de chacun d'entre nous, et elle exige de nous ce qu'elle exigeait d'elle : le courage de voir les choses telles qu'elles sont et la grâce de leur permettre d'être simplement. Pour Diane Arbus, c'était ça faire des photos. Sans titre comprend une postface de Doon Arbus, la fille du photographe, qui écrit que l'intention de ces œuvres « n'était pas. . . sur qui ou ce qu'elle a vu, mais sur l'expérience de le voir et le pouvoir de ses photographies de rendre cette expérience visible.
La plupart des images de cette page sont de la série Untitled. Quelques autres la complètent.
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ursuleperetti · 10 months
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Pascal C saison 3
22 Juillet 2023
La chaleur suffocante , assommante des derniers jours est presque supportable à l’ombre des grands chênes qui jouxtent la maison.
Un petit air sèche la transpiration permanente.
Il est un peu plus de 14 h et nous serions plus à l’aise à faire la sieste qu’à bavarder en regardant le cagnard écraser tout autour de nous.
L’été est la pire saison pour la photographie et l’agriculture : sécheresses, chaleur accablante, lumière dure sauf à attendre le quart d’heure magique chaque soir et se lever à 5h30 le matin mais il y a des moments ou la photographie est absente.
Alors on fait avec la lumière dure en se déplaçant vers la terrasse fraichement terminée “ regarde je vais faire le cadran solaire “ et Pascal dans un ballet circulaire joue au maître des horloges.
Retour rapide à l’ombre.
Un des nombreux tracteurs est en panne “ hier il s’est mis à fumer et maintenant il ne démarre plus “ Plusieurs tentatives plus tard et le tracteur ne démarre toujours pas. “ je l’ai payé 1000 euros il y a longtemps, il me sert pour de petits travaux, c’est embêtant il faut que je démonte l’outil arrière ….“
Le tracteur est démonté, capot gisant par terre…
L’outil des damnés de la terre
L’International sera le genre humain.
Ce sera tout pour aujourd'hui: service minimum.
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