Tumgik
#- Et nous on vous fait ça en une semaine
lolochaponnay · 3 months
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C'est un conducteur de taxi à Paris qui prend un touriste Américain. Il demande à ce qu'il lui fasse visiter la ville avant de le déposer. Ils passent devant le Louvre. L'américain lui demande ''Hey, qu'est-ce que c'est, ça?'' Le conducteur de taxi lui répond ''Ça? Mais c'est la pyramide Louvre, mon gars.'' - Et en combien de temps vous l'avez construit? - Euh...Chais pas, 5 ans... - Ah, nous on le fait en trois mois ça... Le conducteur ne relève pas et continue la visite. Il passe devant l'Arc de Triomphe. - Et ça, demanda l'Américain, qu'est-ce que c'est ? - Ça, s'étonna le conducteur, mais c'est l'Arc de Triomphe, avec le 14 Juillet et tout. - Et en combien de temps vous l'avez construit ? - Boah, une trentaine d'années... - Et nous on vous fait ça en une semaine, ça ! Se vanta l'Américain. Le conducteur commence à en avoir marre. Il l'amène aux Champs-de-Mars. - Et ça qu'est ce que c'est ? en montrant du doigt la Tour Eiffel - Ça ? Je sais pas, c'était pas là ce matin.
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ravel-ing · 2 months
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hey, je suis curieuse, comment vous avez commencé le rpg, vos tout débuts ?
parce que perso, j'ai pris des grooos détours avant d'atterrir dans la sphère rpg de forumactif (sous hide parce que c'est long).
Est-ce que quelqu'un a déjà entendu parler d'Edenya ? Je crois que ça existe toujours, c'était du high fantasy rpg illustré mais la plateforme était complètement unique, et la façon de rp était incroyablement différente. Mon perso a chopé la PESTE ... deux fois ... J'avais 13 ans et j'y suis resté trois, quatre ans, et pourtant je me souviens même pas du nom de mon perso.
J'ai appris là-bas ce qu'était le ttrpg, mais étrangement très peu d'entre eux faisait du forum rpg, à part une, et c'est elle qui m'a emmenée sur ma deuxième aventure cheloue.
Techniquement, c'était sur forumactif. Techniquement, c'était ma première réelle expérience de forum rpg comme on le connaît. En réalité ? Rien à voir.
Pour commencer, j'étais la seule joueuse pour les trois premier mois avec elle en seule admin. Cette fois je me souviens un poil plus de mon perso, Alix, mécanicienne des vaisseaux spatiaux, tester la syfy oui oui. "C'est dans l'espace" c'est aussi tout le contexte que j'ai eu avant la question "Qui est ton perso ?" donc on testait mon improv du haut de mes 16 ans clairement.
Malgré la confusion constante dans laquelle j'étais, c'était une expérience cool parce que en gros, le principe était que mon admin postait un contexte (ex: Alix reçoit une lettre de convocation à tel poste), je postais en tant qu'Alix, et l'admin continuait en tant que GM de l'univers avec ce plot créé autour de mon perso qui s'adapte constamment à mes choix. En soi, c'était bien plus proche de jeux de rôle type DND. Finalement, d'autres joueurs nous ont rejoint et je suis partie discrètement après quelques mois.
A partir de là, j'ai découvert les vrais forums rpg, mais les illustrés en premier. ET G PRIS PEUR OK.
Tout le monde parle des vieux forums où on écrivait que deux ou trois lignes, j'ai jamais connu ça ! Jusqu'à maintenant, les rps que j'avais fait étaient de la même taille qu'on fait aujourd'hui. Mais quand j'ai exploré de loin, j'ai toujours trouvé que des forums où les gens écrivaient des ROMANS, et j'exagère pas, les rps étaient 3 pages word minimum à chaque fois. C'est la raison pourquoi j'ai mis tant de temps à rejoindre les forums, je croyais que tout le monde écrivait comme ça et que je n'avais pas le niveau.
Finalement, j'ai trouvé Bazzart, et après some lurking j'ai rejoint un des fo les plus populaires à l'époque en test, croyant sincèrement que j'allais paniquer et partir et que c'était mieux de se noyer dans la foule si ça arrivait. Heureusement, le forum a crashé avant moi, peut-être deux semaines après ma validation. Mon perso était si mauvais mais j'avais good taste parce que c'était avec le fc d'Alexis Bledel ok, et elle avait des yeux de deux différentes couleurs parce qu'elle était possédée par un esprit et omg le cringe.
Le prochain forum que j'ai choisi était aussi très populaire, mais celui-là était debout depuis quelques mois, et cette fois j'ai pris un scénario pour être sûre de m'intégrer et boom je suis restée trois ans et des poussières sur ce fo, même finie par être admin dessus. (ps edit: aussi le seul perso que j'ai tué en partant, et je regrette rien fyi, mais c'est une histoire pour plus tard)
Après ça, c'était smooth sailing from there.
Merci aux pauvres âmes qui ont lu jusqu'au bout.
Sincèrement, j'adore lire les histoires des gens et ça aurait pas été juste si j'avais pas donné ma version avant mais pls parlez moi vos débuts !
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voluxpa · 1 year
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tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés. 
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer. 
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile. 
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est. 
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.  
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment. 
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg. 
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir. 
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum. 
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
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selidren · 16 days
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut être compliqué sur de nombreux points), je n'ai pu m'empêcher de rire de la mésaventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez réprimandé, il n'est guère charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amène les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune génération passionnée. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandé à emprunter la photographie, cela ne m'étonnerait pas qu'elles aient perdu un fils à la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sévèrement malade.
J'ai fortement pensé à vous ces derniers temps. Selon Madame Eugénie, il fut un temps où Monsieur Auguste parlait à notre famille des anglais qui s'installent à Hylewood, et que les questions évoquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont déclenché un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (à ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir différencier un gallois d'un anglais ou d'un écossais), s'est présenté chez une jeune veuve, Anne Barthélémy (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grâce à son mari. Il a mis un moment à la retrouver, et s'est mis à la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela à l'homme qui avait donné sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivé avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'Amérique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnétiques de chansons américaines pour télégraphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame Barthélémy va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a séduite. L'enregistrement est donc arrivé chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, à ce qu'il parait, qui commence à devenir très populaire aux Etats-Unis. Peut-être est-il déjà connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu à Madame Eugénie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prêter à sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramené ses vieilles obsessions et perturbé encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
Sélène « Tante Juliette nous a appris la valse la dernière fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
Eugénie « Ce n’est pas précisément une musique adaptée à la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
Sélène « De la musique américaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont joué chez les Hurelle la semaine dernière, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
Eugénie « Mmh… Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
Eugénie « Voilà qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanée musique s’est retrouvée en ta possession jeune fille ? »
Sélène « Et bien l’anglais l’a joué à Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
Arsinoé « Puis La petite Léone l’a entendue. Elle en a parlé à Simon à l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait écouter à la mère et à sa grand-mère aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
Sélène « Je ne sais pas. »
Eugénie « Ah… Sélène, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
Sélène « Mais c’est si lent ! »
Eugénie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton père quand il a commencé à marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
Sélène « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
Arsinoé « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
Eugénie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sœur, Sélène. Je demanderai à tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc à Cléopâtre de venir, elle sera plus à même de danser. C’est une enfant qui, à défaut d’être convenable, a un indéniable sens de l’élégance. »
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homomenhommes · 28 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 171
Ric en garde à vue chez DGSE
Comme DGSE m'avait passé commande de Ric, je suis passé un soir chez son père. Nous en profitons (son père et moi) pour discuter de mes affaires propres (mon entreprise d'Escort-boys). J'en profite aussi pour lui déposer les recettes de la 15aine. Nous discutons aussi du monde des affaires et je m'aperçois qu'il n'a pas grand chose à m'apprendre. Il m'en félicite. Puis comme Ric est rentré de la Fac, j'aborde le sujet pour lequel je suis venu les voir. A savoir un plan " garde à vue " chez mon client DGSE. Celui qui avait soumis Ric à la stimulation électrique. Ric est partant à 200%. André se fait tirer l'oreille. Je lui rappelle que grâce à son expérience, il a pu évoluer dans la domination de Ric comme jamais. Il le reconnaît et fini par accepter. J'appelle alors directement DGSE pour fixer le rendez vous. Il décroche en me disant " bonsoir Sasha ", facile avec les numéros enregistrés ! Je lui demande quand il pensait avoir besoin de Ric, réponse dans deux jours et si possible l'après midi entière. Je répercute sa demande. Ric est d'accord. Il me parle du tarif, je le laisse monter jusqu'au nombre que j'estime correct (environ le double d'une séance normale avec Ed ou Jimmy). Après avoir raccroché, Ric me dit qu'il peut y aller tout seul maintenant qu'il a sa voiture. Je refuse, question de sécurité. Même si je commence à connaître DGSE, il se pourrait que ses pratiques le fatigue au delà de sa capacité de rentrer et je préfère être là. André me soutient.
Comme convenu, deux jours plus tard je passe prendre Ric en voiture. Il me reproche de ne pas être venu avec mon SLS. Je lui dis que, coté discrétion, il valait mieux que nous roulions avec l'utilitaire de la maison (une Chrysler 300C break quand même !).
Pendant le trajet, il me parle ouvertement de sa relation avec André, son père. Il me dit qu'ils deviennent tellement complice que ce dernier n'a plus rien à lui demander, qu'il sait exactement ce qui lui fait plaisir et qu'il s'exécute avant toute demande. Il me dit aussi qu'il apprécie les plans extérieurs que j'arrive à lui trouver.
Nous discutons aussi de Cédric. Il me dit avoir rarement vu un p'tit mec aussi volontaire. Il a pris l'option " prise de volume " et s'attelle 4 soirs par semaine à y réussir. Ric lui fourni les compléments alimentaires nécessaires et il me dit que cela commence à se voir. C'est Eric qui va être content !
Il me dit que cela ne l'étonne pas qu'Eric lui ait mis la main dessus, même " crevette " comme il est actuellement, il est sacrément mignon. Au club, il a surpris plus d'un regard d'envie posé sur lui quand il fait ses exercices. Et sous les douches, ils ne sont jamais seuls tous les deux ! Il y a surpris quelques queues bandées et il est sûr que Cédric y est pour quelque chose. Du coup, je lui demande si ça craint pour Cédric. Ric me répond que non, même lui qui est franchement connoté homo n'a jamais été embêté par qui que ce soit. Et ce n'est pourtant pas certains regards ou certaines levées de bite en sa présence qui ont manqués. Nous arrivons chez DGSE. Dès la porte passée, il prend en charge Ric me laissant simple spectateur (avec mon enveloppe à compter pour m'occuper). Bras dans le dos, menottes aux poignets, Ric s'est fait pousser dans l'escalier du sous sol. Assis brusquement sur une chaise en bois, il est questionné comme un petit malfrat de banlieue, intimidation (traité de tapette, de branleur de cité, qu'en tôle, vu sa gueule il servira de vide couille à toute son étage et que ça fait du monde), gestes forts (coups dans les épaules, sur ses pecs, sur les cuisses), mais mon Ric comme prévu dans le scénario, ne lâche rien. Enervements (faux) du faux flic, il lui dit que puisqu'il ne le croit pas, il va lui donner un avant goût de la prison. Il le lève de sa chaise et le met nu. Il commence par le t-shirt qu'il déchire pour ne pas le démenotter. S'en suit le baggy et le shorty malgré les " non, non, nooon " de Ric. Une fois nu, DGSE le fait se rassoir et lui demande à nouveau de parler. Mutisme complet de Ric. Pas de nouvelles menaces, DGSE se lève à nouveau et pioche dans son matériel de contention une barre à menotte d'environ 1m qu'il installe aux cheville de Ric. Maintenant ce dernier debout, il continu de s'attaquer à son corps. Claques sur les bras et les cuisses, pincements de téton, mon pauvre Ric se met à bander comme un malade (son coté maso si bien inculqué par sa folle de mère).
DGSE, lui crie dessus que cela prouve qu'il était bien une salope de Pd, y'avait qu'eux pour bander sous les coups ! Il le déséquilibre et Ric se retient de tomber en posant ses épaules sur le plateau du bureau. Du coup je vois que son cul est bien en évidence. Je me doute de ce qu'il va lui arriver. DGSE passe derrière lui et lui met direct un doigt graissé bien profond en lui disant qu'il va falloir qu'il s'habitue à la sensation car c'est ce qui l'attendra en tôle. Ric joue le jeu et gueule qu'il ne dira rien quoi qu'on lui fasse, que c'est pas une balance. DGSE de rebondir, que ce n'est peut être pas une balance mais un trou à bite, ça il le sera bientôt ! Entravé comme il est et en déséquilibre complet, Ric ne peut se dérober à DGSE. Ce dernier lui dit que puisqu'il ne veut pas passer à table, il va passer à la casserole (humour policier !). Je vois que maintenant ce sont deux puis trois doigts qui lui écartent la rondelle. Comme je suis de profil par rapport à eux, je vois aussi que Ric ne débande pas ! Entre deux gémissements qu'il ne parlera pas, la tête tournée vers moi, il me rassure d'un clin d'oeil complice. Le spectacle me fait bander. J'en ai mal sous la braguette ! Je n ;"hésite pas à ouvrir mon jeans et à sortir ma bite. ouf ! Je me paluche doucement. Pas la peine de jouir trop vite, la séance ne vient que de commencer. Alors que je pensais que DGSE allait l'enculer, je le vois s'écarter et fouiller dans son étagère à accessoires. Il en revient avec une série de gode. 5 plutôt balaises je pense, vu de loin, que le plus petit fait déjà plus de 20cm, quand au plus gros, même le 28cm que j'ai à la maison me semble plus petit ! Il les place sur le bureau devant la tête de Ric et lui explique que tous il va se les prendre dans le cul pour qu'il se fasse à la chose. Ric joue le jeu et rigole que des gros comme ça ca n'existe pas dans la réalité.
DGSE déboutonne alors son jeans et lui présente sa propre bite. Ses 26cm ne sont pas totalement déployés mais Ric fait semblant de ne pas en croire ses yeux. DGSE lui prend la tête et pousse son gland contre ses lèvres en lui ordonnant de lui bouffer la teub. Ric résiste, cela lui vaut deux claques qui lui ouvrent le bec. Dès qu'il commence à desserrer les mâchoires, DGSE pousse son gland et lui enfile profond dans la gorge. J'entends un " suce et si je sens les dents ça va être ta fête ". Ric suce et je vois qu'à chaque fois il se fait élargir la gorge par le gros gland de DGSE. Ce dernier commence à le flatter " c'est bien p'tite pute, tu commences à t'y faire, y'aura surement des blackos pour apprécier tes capacités ". Il sort de Ric ses 26cm raides, gonflés à bloc. Il le replace épaule sur le bureau et passe derrière lui pour s'occuper de son cul. Un par un il fait entrer les 4 godes les plus " petits " si on peut dire ! Au premier Ric essaye de se dérober. Du coup il reçoit une volée de fessées qui lui laisse le cul tout rouge. Ça le calme et il accepte le godage. Je sais qu'avec son entrainement et la taille de la bite de son paternel, c'est pour lui une formalité. Mais il joue bien le jeu et gueule à chaque poussée dans son trou. Je passe sur le dialogue insistant sur la nécessité de lui entrainer le cul avant son arrivée en prison au risque de se le faire casser pour de bon.
Quand le quatrième coulisse facile, (graissage et poppers en cause), DGSE lui dit qu'il va connaître la vraie queue. Le manche en chair, échantillon de ce qu'il aura bientôt régulièrement dans le cul. Je le vois se kpoter et poser son gland sur l'anus de Ric. D'un coup d'un seul, il le perfore jusqu'à taper son pubis contre ses fesses. Hurlement de Ric (j'y aurais cru si je n'avais su que la bite de son père ne faisait pas 27cm x 7 de diamètre). ;Il est complètement dans le jeu. Il rue, gueule que c'est pas un Pd, ni une salope. DGSE le bloque bien contre le bureau et il ne peut s'échapper (en fait, vu sa musculature, ce ne lui serait pas si difficile que cela !). Il se fait enculer durement. Ses tétons râpent le bureau et quand j'arrive à les apercevoir, ils sont tout rouges et raides. Soudain DGSE s'arrête. Je le vois déculer et enlever sa kpote. Je me dis que s'il veut continuer sans, ça va pas le faire, c'est pas le contrat !
Mais non. En fait il compte achever Ric avec le dernier gode, plus gros que sa propre bite. Il défait les menottes, juste le temps de placer les bras de Ric devant lui. Il le positionne dos sur le bureau , relève ses jambes et referme les bracelets après les avoir placées derrière les cuisses. Il lui ordonne de tenir ses jambes et positionne l'énormité devant son anus. Il a pris soin de le couvrir d'une couche de graisse à fist blanche. Les mains occupées, il me demande de venir saturer les narines de Ric de poppers. La queue raide, je m'approche et dose mon Ric. Il chauffe. DGSE en profite pour lui entrer le gros gland noir en forme de champignon. Bien qu'habitué aux grosses dimension et même au fist, Ric accuse le coup. Je lui prends alors la tête entre les mains et fixe mon regard dans le sien. Je veux être capable de tout arrêter si je vois dans ses yeux qu'il ne supporte plus. Mais DGSE est un vrai pro. Il le laisse s'habituer au gros gland avant de pousser tout doucement le reste du gode. DGSE nous annonce les dimensions, 30 x 8. ça devrait le faire, après tout quand nous avons double sodomisés Ric, le diamètre était encore pire. Par contre les 30cm de long !! DGSE sait que je tiens à mon Ric et il prend beaucoup de précautions. Néanmoins, il arrive par petites rotations à lui mettre l'engin entier. Ric, en brave petit soldat, n'a pas quitté mon regard et c'est même du plaisir que j'ai vu passer dans ses yeux. je n'ai pu m'empêcher de me pencher et de l'embrasser sur les lèvres pour le féliciter. DGSE a joué quelques instant avec le gode et le cul de Ric avant de le lui retirer. Remplaçant se dernier par sa main, il est venu caresser de l'intérieur la prostate de Ric. c'a été amusant de voir se dresser toute droite sa queue qui sous l'effet de la méga pénétration s'était un peu ramollie. DGSE l'a amené plusieurs fois aux portes de la jouissance avant de retirer sa main. J'ai repris ma place au fond de la pièce à me branler doucement. DGSE a continuer son rôle de méchant flic. Il lui a annoncé que ce qu'il venait de subir, était un aperçu de ce qu'il subirait tous les jours en tôle. Qu'il y avait suffisamment de blacks pour défoncer son cul de salope en permanence et qu'après quelques années il serait même incapable de refermer sa rondelle et qu'il lui faudrait un bon plug pour retenir sa merde. Ric est passé au mode pleurnichard, lui promettant de faire et dire tout ce qu'il désirait pour éviter cela. même a devenir sa pute attitrée à lui.
DGSE lui a alors flatté les flancs (comme à un bon cheval) et lui a dit qu'il avait enfin compris comment ça marchait. Il a enfilé une nouvelle kpote et s'est enfoncer dans le trou de Ric qui entre temps s'était suffisamment refermé. Ric de continuer à jouer, je l'ai entendu lui dire merci à chaque coup de rein qui le faisait se faire saillir. ;Puis DGSE s'est retiré. Il l'a pluggué et a fait le tour du bureau pour se finir dans sa bouche. Ric la tête renversée en arrière s'est enfiler les 26cm de bite raide bien profond dans sa gorge. Placé de profil par rapport à eux, j'ai pu admirer la progression du gland dans Ric, lui soulevant la pomme d'Adam à chaque passage en force. Intérieurement je me suis dit que sa voix allait descendre dans les basses. J'ai pu, au retour, confirmer que c'était le cas. elle n'était pas descendue d'une octave mais pas loin ! En attendant. Arrivé au bout de sa résistance, DGSE s'est retiré de Ric et l'a arrosé d'une dose de sperme impressionnante. J'en ai juté de mon coté. Pour Ric c'est au retrait de son plug et avec la moitié de la main de DGSE dans le cul qu'il a explosé à son tour. DGSE a été parfait après. Il a démenotté Ric et l'a aidé à aller jusqu'à la douche qu'ils ont pris ensemble. Cette dernière étant dans un des coins de la pièce et totalement ouverte, j'ai pu voir qu'il lavait Ric avec beaucoup de douceur.
Une fois secs, nous sommes remonté dans son salon où il nous a offert des rafraichissements. Il nous a remercié tous les deux pour les 4 heures (!) qu'il avait passé. Ric, de son coté, lui a retourné ses remerciements, disant qu'il s'était pris au jeu, que mentalement il avait trippé un max et que physiquement, les entraves et ses 26cm l'avait bien achevé.
Au retour en voiture, il a absolument tenu à me sucer pour me remercier. Il sait que me faire une pipe quand je conduits, ça m'excite bien. Surtout sur l'autoroute où certains routier peuvent s'en apercevoir. Grace au régulateur de vitesse, la dangerosité de la chose est moindre.
Il est devenu un vrai pro de la pipe. Il a su tenir mon excitation au bord de l'explosion une bonne partie de la route. Je n'ai pu tenir et à la dernière aire avant notre sortie de l'autoroute, je me suis arrêté. J'ai garé la voiture au fond de la bretelle sous les arbres et nous nous sommes enfoncés dans le sous bois jusqu'à la clôture. Le coin doit être connu car malheureusement il était jonché de vieilles kpotes usagées et de kleenex ! N'ayant pas débandé, j'ai rapidement enfilé une kpote et dans la foulée le cul de Ric. Le seul lubrifiant de cette dernière a suffit pour m'aider à glisser mes 20cm hyper excités au fond de Ric. Pris debout par derrière, Ric a vu une table de pic-nic proche et nous y avons migrés pour plus de confort. Je l'ai repris alors qu'il s'était installé dos sur le plateau de la table. J'ai pu ainsi le limer tout en noyant mon regard dans le sien. Comme je l'ai dit, le coin était connu car nous n'avons pas tardé à voir apparaître trois mecs, vu les allures, deux chauffeurs routiers et un commercial encore jeune.
Ils ont entouré la table et nous ont maté la queue sortie et la main en mouvement. J'ai jeté un coup d'oeil, les chauffeurs montés normaux sinon petits, le commercial comme moi environ. En deux minutes les routiers on jutés par terre et se sont barrés. Resté seul avec nous, le commercial m'a demandé s'il pourrait passer après moi, que le mec (Ric) avait l'air bien salope et que ça faisait longtemps qu'il s'en était tiré une. J ;"ai hésité puis lui ai dit que la salope en question était ma pute et qu'on ne la tirait pas gratis. Il m'a répondu " OK, combien ? 50 ? 100 ? ". Je lui ai dit plutôt 100 et voyant les billets dans son portefeuille qu'il venait d'ouvrir, ;même 150 s'il voulait la pipe en plus. Billet en main, je suis sorti de Ric et lui ai dit d'y aller. Rci s'est remis debout et avant de se pencher pour engloutir la bite du client surprise, l'a recouvert d'une kpote que je lui ai passé. Pas la peine de prendre des risques avec des inconnus. Légère vexation du type mais la bouche experte de mon Ric à fait passer la chose. Le mec bavard, n'a pas arrêté de me parler. Il me disait ce qu'il ressentait, me posant des questions auxquelles je ne répondais pas. Admiration pour les gorges profondes, il m'a dit avoir rarement été aussi bien sucé. Pressé quand même, j'ai fait un signe à Ric qui a accéléré les choses. Il s'est redressé, s'est penché en avant les bras sur la table et s'est laissé enculer. Le mec très excité ne l'a limé que 5mn avant d'envoyer la purée. Affaire règlée en 1/4 heure, pas mal. Après qu'il se soit barré, j'ai mis une nouvelle kpote et me suis fini aussi dans Ric. nous avons repris notre position d'avant l'interruption et quand j'ai explosé dans son cul, il s'est badigeonné les abdos et le torse de sa crème.
Passage aux sanitaires, moi pour pisser et lui pour se laver le torse, et nous sommes rentrés. Son paternel n'étant pas rentré, nous sommes allés piquer une tête dans leur piscine. C'est là qu'il nous a retrouvé une heure plus tard. Ri a du lui raconter par le menu ce qu' lui avait fait subir DGSE. Au fur et à mesure du récit, la bit d'André s'est trouvé bien serrée dans son pantalon pourtant loin d'être slim ! Tout en continuant de raconter, Ric s'est mis à genoux entre les jambes de son père et lui a ouvert le pantalon. Il a extirpé du slip l'énorme engin en cours d'érection et s'est penché pour l'engloutir complètement. J'ai pris la relève de la narration, le premier conteur ayant un empêchement majeur ! Cela faisait longtemps que j'avais vu André en action et ses 27 x 7 m'ont de nouveau impressionnés. Surtout c'est la capacité de Ric à tout prendre, même en érection maxi qui est phénoménale. Avec Jimmy ce sont les deux seuls que je connaisse qui sont capable d'un tel exploit. Moi je bloque au delà d'Eric ! c'est déjà pas mal . En attendant ça ma redonné la gaule et sans vergogne, j'ai passé bite et couilles au dessus du cordon du maillot. André m'a alors proposé le cul de Ric. une si gentille proposition ne se refuse pas, ça pourrait vexer (lol). Je prends une kpote dans le coffret que m'indique André et m'enfonce dans le cul de Ric qui s'était mis à 4 pattes pour me faciliter les choses. Même si je l'ai enculé il n'y a pas longtemps, je prends autant de plaisir. Mes mains enserrent sa taille fine et je laboure sec son trou. Qua j'arrive en butée, je pousse encore pour l'enfoncer à l'autre bout sur la bite de son père. Pui, je recule tout en me maintenant au fond de son trou pour le laisser respirer avant de déculer entièrement. Puis de nouveau mouvement inverse, pénétration complète et défonçage de sa gorge par le gland paternel. Quand André me dit " à mon tour ", je sors de Ric et laisse ce dernier se retourner pou s'asseoir sur les genoux de son père. Par genoux, j'entends plutôt sur ses cuisses avec le pieu en plein entre ses fesses. Je me lève et me place devant eux. Ric n'a alors plus qu'à se pencher pour me piper. Je comprend mieux l'état musculaire de ses cuisses à le voir se relever en force et se rassoir tout en retenue. Je n'en peux plus. Je mets mes mains derrière sa tête et utilise sa bouche comme tout à l'heure son trou. je me lime le gland dans sa gorge avec même plus de plaisir, étant beaucoup plus serré sur mon extrémité.
Il aspire bien et je ne me retiens plus. Je ressort en urgence et mon sperme lui macule la face. J'en suis encore à reprendre ma respiration qu'André Fixe Ric en position basse (sa queue au plus loin dans le boyau de son fils). Je le vois se contracter plusieurs foi et me dit qu'il doit lui en mettre une sacrée dose ! Encore dans son cul, il attire Ric contre son torse et une main le branlant, il use de l'autre sur son téton gauche. Ça ne manque pas, Ri se met à jouir dans la main de son père. Une fois ses couilles bien essorées, je vois la main pleine de sperme monter jusqu'à sa bouche et lui faire boire sa production encore chaude.
Après une bonne douche, je les quitte.
JARDINIER
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sh0esuke · 4 days
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" Journalist "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Vinsmoke Sanji
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Tandis que Sanji concocte le dîner des chapeau de paille, sa petite amie lui tient compagnie. Lui aux fourneaux, elle sur la table à manger, les deux amants discutent, passent du bon temps ensemble, tout en profitant du calme que leur apporte leur voyage maritime, sans nouveau défi à relever ni ennemi à vaincre. À s'y méprendre, l'instant est d'une perfection sans pareil.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟐𝟏.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sanji arrive près de moi, contournant la table et déposant dessus une assiette ainsi qu'une tasse fumante. Je relève la tête, abandonnant mon article.
« Et voilà pour toi ma douce, un chocolat chaud et une part de tarte à la pomme. Bon appétit. » il déclare dans un sourire.
Sa phrase me fait arquer un sourcil, je le questionne du regard. Je dépose mon stylo à plume près de mon papier et tâche de me souvenir si je lui ai demandé de me servir quoi que ce soit, cependant, rien ne me vient à l'esprit. Enfin, à vrai dire, j'ai été tellement occupée à travailler aujourd'hui, même me souvenir de ce que j'ai mangé à midi serait complexe. Il est vrai que j'ai un léger petit creux, par contre, il doit être assez tard dans l'après-midi, peut-être bientôt l'heure de dîner, voilà pourquoi mon estomac s'est soudain mis à grogner, et la vue alléchante de la dite tarde ainsi que l'odeur de ma boisson n'aident pas. Le sourire flamboyant de Sanji me fait face. Je lui souris en retour, qu'il est beau... Puis, sur un ton pensif je lui réponds :
« Je ne me souviens pas de t'avoir demandé de me faire quoi que ce soit. »
Sanji essuie ses mains humides sur son tablier, il attrape sa cigarette entre ses doigts.
« Je me suis dis que tu devais avoir faim à force de travailler. » explique-t-il en expirant de la fumée.
« Je vois, merci beaucoup alors. »
Ma réponse semble lui plaire, puisque je vois son sourire s'agrandir et ses yeux se plisser. Sanji se penche au dessus de moi et embrasse mon front, puis il se redresse et prend une taffe de sa cigarette.
« Tu me diras ce que tu en penses ? »
« Bien sûr. Laisse moi finir ma phrase et je suis toute à toi. »
Je rattrape mon stylo à plume et tire mon article au bord de la table. Pendant que Sanji retourne dans sa cuisine, moi, je conclue mon travail. Cela fait depuis hier que je suis dessus. Sur cette feuille de papier, j'y conte mes aventures avec Luffy et l'équipage, les gens que nous avons rencontrés à Wano, les ennemis que nous avons vaincus à Dressrosa et Punk Hazard. Ces dernières semaines ont été particulièrement agitées, je n'ai pas eu une seule minute à moi, pas une seule minute à écrire. Ça n'est pas vraiment une passion. J'ai le don de l'écriture, je m'en sers, mais ça n'est pas par plaisir, plutôt pour satisfaire la curiosité de mon père. Peut-être aussi mettre sur papier ces choses folles que j'ai vécu depuis mon arrivée sur le Sunny. Et qui sait... Peut-être que cet article finira publié.
En guise de bruit de fond, j'ai Sanji et le dîner qu'il nous prépare. C'est plaisant. Je l'entends trancher de la viande, mélanger des ingrédients, marmonner dans sa barbe et sortir des restes de son immense frigo fermé à double tour. Parfois, je l'entends goûter sa propre nourriture et faire des commentaires, affirmant qu'il manque ceci, que cela est parfait, ainsi de suite. J'aime cette atmosphère.
Sur le Sunny, je ne trouve rien de mieux que de me réfugier dans la cuisine lorsque Sanji y confectionne des plats. Le bruit des vagues et les mouvements du navire qui tangue est tout autant agréable, sachant que, puisque nous sommes en intérieur, le tout est atténué. Et puis, savoir Sanji proche de moi a quelque chose de réconfortant. Je me sais en sécurité. J'aurais pu rester avec Robin, elle lit souvent au calme, ou même Nami, pendant qu'elle est chargée d'observer les directions que le navire prends. Ou Zoro, lui qui a cette fâcheuse tendance à s'entraîner dans la tour de pie sans jamais vraiment dire ou faire quoi que ce soit. Mais, il n'y a pas à dire, je ne me sens bien qu'ici. La table, tous ces bruits autour de moi et l'idée que, dans quelques heures, je serai encore assise ici, cette fois mon travail terminée et auprès de mes amis à dîner. Nous serons tous présents, à nous chamailler, rire et boire, jusqu'à ce que la fatigue nous emporte.
Alors je reste là. Je reste là et je continue d'écrire mon article.
Les lignes et phrases s'enchaînent, je conte mes aventures sur Wano en attendant que Luffy nous revienne, je conte mes combats contre les hommes de Kaido aux Cents Bêtes et les révélations sur le pays de Wano que nous avons faites au cours de la bataille. Mon père en sera ravi, j'en suis persuadée, après tout, ça n'est pas tous les jours que les secrets de cette terre fermée au publique sont dévoilés.
Lorsque j'ai fini, quelques secondes plus tard, je dépose ma feuille dans une pochette rouge et mon stylo à plume dedans. Je repousse le tout et me saisis ensuite de mon assiette et tasse. La boisson est encore chaude, parfait.
« Alors dis moi, ton père, ce Morgans, pourquoi il s'intéresse autant à nous ? »
Sanji cuisine dos à moi, de sa poêle, il fait revenir du riz. J'esquisse un rictus tout en apportant mon chocolat chaud à mes lèvres.
« Je ne sais pas vraiment, je t'avouerai.. Il m'a juste demandé de le tenir au courant des décisions de Luffy et de citer le nom de tous nos ennemis. »
Mes mains sont un peu froides, elles commencent à se réchauffer.
« Je crois qu'il l'aime bien, c'est tout. »
« Je me souviens l'avoir vu sur le territoire de Big Mom. » affirme-t-il en attrapant sa cigarette de sa main libre. « Il n'a pas cherché à nous arrêter. Il me semble qu'il nous encourageait, à vrai dire.. »
Ma réponse s'accompagne d'un léger rire.
« Ça lui ressemble bien. »
Mon père est un personnage haut en couleur, toujours à la recherche du dernier scoop et à fouiner là où il ne devrait pas. D'aussi loin que je me souvienne, We News ⸺le ballon gonflable dans lequel il écrit, poste et imprime ses articles⸺ a toujours été ma maison. Mon terrain de jeu aussi. J'y ai écris mes premières histoires, j'en ai imaginé des centaines, et combien de fois me suis-je imaginée grande journaliste.. prenant le siège de mon père et tenant le monde dans la paume de ma main, reine des informations, cheffe de la vérité. Puis, un jour, Monkey D. Luffy est arrivé avec son équipage, et j'ai été forcée de prévenir mon père que non, je ne rentrerai pas à la maison, que j'étais à présent une ennemie du gouvernement. Je me souviens encore parfaitement de sa réaction, il avait ri et m'avait dit de m'amuser. Ce morceau du passé me met du baume au coeur. J'ai écouté son conseil, je n'ai jamais été aussi épanouie..
Pendant quelques semaines après mon départ, nous n'avons pas pu nous parler. Les communications entre pirates sont souvent détournées par la marine, c'est un fait, mon père était persuadé que ça aurait aussi été le cas avec nous. Il m'a affirmé que notre équipage détient des vérités et secrets que le gouvernement mondial convoite dans le but de les faire taire. Nous avec. Nous nous sommes donc résolus à nous envoyer des lettres via ses Martins Facteurs, une fois, deux fois tous les trois mois. Et cela me suffit amplement.
« Je lui ai parlé de Kinémon. »
Déposant ma tasse sur la table, je m'attaque à ma tarte aux pommes.
« Kinémon ? » s'étonne Sanji.
Il est toujours dos à moi, coupant quelque chose. Je le vois remuer sa lame et déplacer des morceaux de nourriture d'un bol jusqu'à sa planche en bois, pour cela, je me suis penchée en avant. Je me rassois ensuite.
« De lui et sa femme. » je précise. « Tu te rends compte qu'elle l'a attendu pendant vingt ans ? Elle n'était même pas sûre qu'il reviendrait un jour ! »
« Oh, ma douce.. Que tu es romantique ! »
Sanji fait volte-face dans ma direction, les yeux brillants. Je lui offre un clin d'oeil et lui fait mine d'être touché en plein coeur, poussant une plainte au passage. Nous échangeons un rire complice. Mon coeur s'est légèrement emballé, quant à ma main elle a raffermi sa prise sur la petite assiette. Je me pince mes lèvres. Ce jeu entre lui et moi ne me laisse pas indemne... Depuis que je le connais, je n'ai jamais pu vraiment résister aux charmes de Sanji.
Celui-ci reprend d'ailleurs la parole. Il est retourné à sa précédente tâche.
« Mais, tu es sûre que c'est le genre d'informations que ton père veut entendre ? »
« Je ne vais pas non plus lui dire que nous avons trouvé un ponéglyphe ou lui donner les coordonnées de la tombe de Kaido. » je me justifie. « Je le connais, il a beau dire qu'il ne postera rien, il voudra quand même titiller le commandant en chef de la marine. »
« Il a déjà fait fort avec nos affiches de recherche.. » il acquiesce.
« Exactement ! Tu sais qu'il m'a dit que celle de Luffy les terrifie ? Ils lui ont demandé de la retirer, mais c'était trop tard quand il a reçu l'appel. Je doute d'ailleurs qu'il aurait accepté de le faire. »
« L'affiche de Luffy ? » s'exclame Sanji. « Pourquoi ça ? »
J'hausse les épaules. J'apporte ensuite une partie de ma tarte entre mes lèvres et la goûte, je reprends donc une fois ma bouchée finie :
« Peut-être que c'est l'éveil de son fruit qui a fait paniquer la marine ? Après tout, ça doit être spectaculaire si c'est grâce à ça qu'il a vaincu Kaido. »
« Peut-être, ça me paraît pas faux. »
Sanji m'a l'air surpris par mon hypothèse, pendant ce temps là, je finis de trancher ma troisième part et l'enfourne dans ma bouche. Sa tarte est succulente, finement fraîche, sucrée à souhait, elle fond sur la langue. Je suis à deux doigts de pousser une plainte liée à l'extase. Sanji a vraiment des doigts d'or..
« Quoi qu'il en soit, mon père n'en saura rien. C'est un secret ! Je garde nos informations les plus importantes dans un coffre fort, je le lui donnerai lorsque Luffy sera devenu le roi des pirates; et qui sait, il me laissera enfin une place en tant que journaliste indépendante. »
« Qu'elle merveilleuse idée ! »
Sanji fait volte-face, une carotte à la main qu'il épluche.
« Je t'imagine déjà écrire des articles sur nous et notre mariage ! Tu serais si mignonne avec un clapet et un trench-coat ! La plus belle des journalistes ! »
Son enthousiasme me m'arrache un gloussement. Je me cache derrière mon poing, l'expression hilare avec mes yeux plissés. Sanji continue son monologue et, l'espace d'une seconde, je crois même apercevoir des coeurs à la place de ses yeux, de gros coeurs palpitant et d'un rose pétillant. Mes doigts se retrouvent et, nerveusement, je me mets à les triturer. Sanji abandonne sa carotte épluchée, il s'en saisit d'une autre sans pour autant arrêter de me sourire.
« Je n'en suis pas encore à là, mais un jour, oui, sûrement... » je murmure.
Sanji me sourit grandement.
« Tu es si talentueuse, ça ne fait aucun doute, ma douce ! »
Je termine de boire le fond de mon chocolat chaud et dépose la tasse au coeur de mon assiette vide. Mon goûter conclut, je me dépêche donc de rendre la vaisselle à Sanji. L'assiette et la tasse assemblées en cette jolie sculpture, je me lève de la table à manger du Sunny et marche en direction de la cuisine pour les lui rendre.
« Merci beaucoup Sanji, c'était délicieux. »
Il me regarde d'un œil curieux.
Sanji se dépêche de poser la pomme de terre qu'il épluche et de me vider les mains. Surprise, je le laisse faire.
« Laisse moi m'occuper de ça, c'est mon travail. »
« Oh⸺ mais je peux m'en charger, tu sais ? Ça ne me dérange pas. »
« Je sais. » il répond, un petit rictus au coin des lèvres. « Mais c'est mon plaisir. »
« Mhh, d'accord alors. »
Me voyant approcher, Sanji se penche sur moi, il tourne légèrement la tête sur le côté et accueillit mon baiser à bras ouvert. Ce sont les mains dans le dos, posée sur la pointe de mes pieds que j'embrasse sa joue. Toutefois, cela ne me suffit pas. C'est soudain; j'en désire plus. Un simple baiser me paraît bien trop maigre pour remercier Sanji de tout ce qu'il fait au sein du Sunny, pas seulement auprès de moi, lorsque mes après-midis s'écoulent à ses côtés et qu'il prend le temps de discuter avec moi et de me donner à manger, non, il y a tout le reste. Sa position sur le navire, sa détermination et force. Alors qu'il se tient devant moi, aussi aimant, aussi attentif, je ne peux m'empêcher de l'aimer davantage. Pire encore, j'ai l'impression de retomber amoureuse de lui. J'attrape donc son visage en coupe, et embrasse ses lèvres.
Nos bouches se rencontrent dans un délicat baiser. Il est bref, ne voit le jour que pendant à peine deux petites secondes, c'est apparemment le temps qu'il faut à Sanji pour commencer à trembler. La vaisselle entre ses mains se met à frétiller bruyamment. Depuis la paume de mes mains, je sentais sa peau chauffer.
Je me recule une fois satisfaite.
Mes lèvres pincées en une fine ligne, je rejoins mes mains devant mon corps et m'incline légèrement en avant.
« Encore merci, Sanji. Ça m'a fait plaisir. »
Soudain, il m'apparaît en 2D. Sanji tombe en arrière telle une feuille de papier, balancée de droite à gauche guidée par le vent ⸺alors que nous sommes en intérieur ?⸺, avant d'atterrir au sol. J'arque un sourcil. Ses yeux palpitent, tels de cœurs enragés et un sourire béat frôlant l'idiotie s'est incrusté sur ses lèvres. Je le regarde faire, tenant toujours ma vaisselle dans ses mains, il me paraît ailleurs, dans un autre monde. Je l'entends murmurer mon prénom, à l'instar d'une incantation, suivit de "ma jolie", "ma douce" et mon propre cœur s'emballe. Il ne bouge vraiment pas. Sanji est figé sur place.
« Euh, tout va bien..? »
Je me risque à le questionner, ne sachant pas si ce sont ses sottises habituelles, ou si il est temps que j'aille chercher Chopper. C'est une première toutefois : il ne saigne pas du nez. Mais ça, c'est peut-être parce que je ne lui avais pas montré mon décolleté..
Tout de même préoccupée, je refuse de l'abandonner, je me rapproche donc de lui. Cela se déroule en silence. Je contourne sa silhouette élancée pour m'accroupir à côté de son visage et le toucher, Sanji ne répond toujours pas. Le débarrassant de l'assiette de tasse, que je dépose au sol, je me mets à titiller sa joue. Plantant le bout de mon ongle dans l'onctuosité de cette dernière, je répète l'opération, murmurant son prénom au passage, jusqu'à le voir finalement cligner des yeux.
« Tu as besoin que j'appelle Chopper ? »
Sanji a l'air hébété. Un sourire presque immédiat prend place sur son visage lorsque son regard encontre le mien.
« Pourquoi donc ? Je ne me suis jamais sentis aussi bien de ma vie. »
Peu satisfaite de sa réponse, je fais la moue. Pendant ce temps, il apporte ses doigts à ses lèvres. Il semble pensif, il est plongé dans ses pensées.
« Tu n'es vraiment pas croyable quand tu t'y mets... »
« Tu t'es inquiétée pour moi, ma douce ? Comme c'est gentil ! Je⸺ »
« Pas croyable, j'ai dit. » je peste.
Je lui donne un petit coup de pied aux côtes, plutôt une bousculade, de manière à le faire taire. Sanji cligne des yeux, cela fait fait son effet.
« Je t'embrasse tout le temps, tu devrais t'y habituer... »
« Quoi ? Jamais ! » il s'offusque.
Sa main se saisit brusquement de la mienne, cela m'arrache un hoquet de surprise.
« Tes lèvres sont le nectar le plus délicieux qu'il m'ait été donné de goûter. Si il m'arrive un jour de m'en lasser, alors je suis devenu fou, j'ai perdu ma raison de vivre. Car pour rien au monde je ne voudrais m'en séparer, si ça ne tenait qu'à moi je⸺ »
Furieusement gênée, je m'éloigne.
« J'ai compris ! »
Je cache ensuite mon visage derrière mes mains, espérant qu'en faisant ceci, il comprenne mon embarras et cesse son numéro. Qu'est-ce qu'il peut être charmeur quand il s'y met, je peine à y croire ! Mon corps se redresse de lui-même, j'entends Sanji m'imiter. La vaisselle et le dîner sont depuis longtemps abandonnés.
« Ne sois pas embarrassée, je t'en prie, ma douce. Je ne fais que dire la vérité. »
Il se saisit de mes avants-bras et les abaisse de manière à faire tomber mon masque. Face au sérieux de son expression, je suis incapable de tourner la tête, c'est à mon tour de me retrouver figée sur place. Sanji me sourit timidement et se rapproche de moi.
« Puis-je en avoir un autre ? »
« Un⸺ Un quoi ? »
Il pointe ses lèvres de son index.
« Oh⸺ »
Mon cœur bat si vite désormais... J'ai l'impression que des tambours palpitent en mon sein. Rythmés et puissants, ils s'en vont jusqu'à faire trembler mes tympans, et faire tressaillir ma jugulaire.
« Je⸺ Je suppose. »
« Tu pourras travailler sereinement après, je te laisserai tranquille. »
« D'accord... »
Je me pose sur la pointe des pieds, et tandis que abaisse son visage dans ma direction.
Sanji m'embrasse.
Mes yeux se ferment et nos lèvres se touchent de nouveau, encore une fois dans un baiser si tendre et amoureux... Il s'est approché de moi, consciencieux, puis s'est emparé de ma bouche, sans avoir cessé de me contempler. Ça n'a rien à voir avec un baiser sensuel, plein de vie voire empestants la luxure. Ici, non, c'est totalement différent. La manière dont Sanji tient mes poignets entre ses mains, celle dont il se colle à moi, sans pour autant se frotter. Il est entièrement focalisé sur notre échange. Sûrement a-t-il lui aussi fermé les yeux. Mes doigts se referment jusqu'à former des poings et mes sourcils se froncent. Malgré moi, je gémis contre lui, Sanji me répond dans un grognement et, à cela, nos langues se frôlent.
Il m'emporte ailleurs. Des portes s'ouvrent sur une toute autre dimension. Je sens le vent me caresser les cheveux, une chaleur me dévorer l'estomac et mes pieds se faire léger. Ce... C'est indescriptible. Je m'accroche à ce sentiment jusqu'à en redemander plus.
Sanji m'a fiévreusement embrassée. Lorsque je le force à se séparer de moi, il me laisse bouche bée. Je suis sans mot; haletante, le visage couvert de gêne.
J'ai les yeux grands ouverts.
« Je crois⸺ »
« Je vais⸺ »
Nos regards se croisent, puis, à l'unisson nous parlons :
« Toi d'abord ! »
Nous rions.
« Je.. je t'en prie ma douce. » déclare Sanji en relâchant mes poignets. « À toi l'honneur. »
« Je⸺ Je disais... Je vais⸺ Je vais retourner travailler ? » je balbutie, tant bien que mal.v« Enfin⸺ Poster ma lettre ? Mon père doit attendre. Enfin non ! Le Martin facteur, je.. je veux dire. »
« Oui et, quant à moi je⸺ j'ai le dîner à finir de préparer. Alors⸺ »
« Oui ! »
« Oui, oui ! »
Sanji et moi échangeons un coup d'œil. Un petit rire s'échappe de mes lèvres, il m'imite et cela me fait sourire, malgré le fait qu'il a l'air totalement paniqué. Sanji est tout rouge. Ses joues sont rosies au possible, c'en est stupéfiant. Plus je le regarde, et plus j'ai envie de⸺
Un grand fracas nous arrête.
Surpris, nous faisons volte-face en direction de l'entrée de la cuisine, là où la porte a violemment été ouverte. Celle-ci claque contre le mur. Une seconde plus tard, les silhouettes de notre capitaine et du canonnier y font leur apparition.
« Sanji ! » se lamente Luffy. « J'ai faim ! »
C'est mon signal. Jetant un dernier coup d'œil à Sanji, je presse le pas jusqu'à atteindre ma pochette sur la table. Il est à présent bien trop occupé pour me remarquer, c'est dommage... Ma pochette n'a pas bougé depuis que je l'ai refermée. Elle y est abandonnée. Je la visse donc contre ma poitrine, évitant le regard lourd de suspicions de Usopp au passage et profite des plaintes poussées par notre capitaine pour prendre la poudre d'escampette. J'entends Sanji élever la voix et Luffy s'écrier ⸺plutôt le supplier⸺, les deux ne tardent pas à se chamailler. Apprendre que Luffy s'est jeté sur le frigo ne me surprendrait pas, il a toujours été un énergumène sacrément gourmand..
Je referme la porte de la cuisine derrière moi et me dépêche de descendre les escaliers menant au pont principal du Sunny. Ensuite, je fuis jusqu'à rejoindre ma chambre à coucher. C'est le cœur battant à mille à l'heure et l'esprit embrumé que je marche. La sensation des lèvres du joli blond imprimée dans ma tête, et la chaleur de ses doigts enroulés autour de mes poignets hantant mes souvenirs, je commencé à sourire.
Il me tarde d'écrire mon prochain article. Qui sait.. Peut-être que celui-ci lui sera dédié..?
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claudehenrion · 3 months
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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dazeofcoral · 29 days
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Cdg contre les membres fantômes.. qui se sauvent à chaque fois des MEDS
On parle toujours que le rp c'est pas une obligation. Non, ça ne l'est pas. On a droit en respectant les règles du forum et la demande d'activité de ce dernier d'être moins présent, moins actif, de poster une absence ou de prévenir qu'on sera au ralenti en privé ou sur le fo. Les gens qui font ce qu'il faut pour prévenir leurs partenaires rp, merci, parce que parfois on doit vous en dire des bêtises concernant votre activité mais vous prévenez et j'ai vraiment l'impression qu'on oublie à quel point c'est TOPISSIME de prévenir.
Mais pour ceux qui préviennent pas... Désolé mais à partir du moment ou on joue un personnage important pour d'autres personnages, qu'on a pleuré pour un lien love avec machin ou machin, prévenir d'une baisse d'activité ou d'une absence devient l'obligation dans le rp, surtout si c'est récurrent. À quel moment c'est devenu normal qu'on doit accepter que son partenaire rp principal donne pas signe de vie pendant 28 - 35 jours? Comme s'iel a disparu de la surface de la terre, plus d'activité sur le forum ou toute autre plateforme, discord, facebook.. On demande pas un compte rendu mais les membres fantômes il y en a partout, donc forcément quand on ne voit plus l'autre joueur se connecter ou répondre sur discord, on se demande ce qu'il se passe. Trop bon.ne, trop c*n.ne, je m'inquiète à chaque fois pour le bien-être de l'autre joueur. Est-ce qu'iel va bien, est-ce que quelque chose de grave s'est produit ? J'angoisse comme un.e vrai.e petit.e idiot.e parce que souvent j'imagine le pire irl, et pas du tout que la personne s'en bat les steaks du forum où iel est absent sans prévenir. Et puis ça débarque tranquille pour se sauver des MED sans même s'excuser ou donner une bonne excuse qui justifie de même pas avoir répondu sur discord (ça prend quoi, 10 secondes !). La claque ! On s'est inquiété pour rien mais limite ça passe ça peut arriver 1x, 2x. Et puis rebelote pour un mois ou + sans nouvelles après chaque sauvetage in extremis des MED. Alors on nous sort que le règlement du forum est respecté.. Oui. Okay. Mais... Les imprévus, ça arrive. Poster en une année le total de 8 réponses rp sur un forum où il faut une activité 1rp/mois, parce qu'on joue avec les règles et le système MED, c'est irrespectueux envers ses partenaires rp et j'ose même dire envers le forum, le staff, les autres membres. Faut bien se dire que s'il n'y a qu'un rp lancé ça nous fait quand même 8 réponses dans le sujet ça passe encore, mais souvent ces mêmes personnes ont plusieurs rp de lancé, donc sur une année un sujet avance de 2 réponses, c'est vraiment se foutre de la gueule des gens. Et que fait le staff? Rien. Le règlement est respecté donc ils ne peuvent rien faire. On ne leur en veut pas pour ça, ils ont un peu les mains liées.
Alors faut se rouler les manches et faire soi-même, même quand on déteste le conflit et qu'on a peur de demander que le lien avec son personnage cesse d'être parce qu'iel joue aux abonnés absents h24, 7j/7 jusqu'au MED. J'imagine ma propre tronche sans parler de mon ressenti si je me prends un message pareil alors même si c'est mérité, le faire à quelqu'un ça crève le coeur. Et quand c'est fait on se dit, c'est bon, on souffle. C'est triste mais quand on prend plus plaisir à répondre à deux réponses RP sur l'année, faut se rendre à l'évidence. Et qui passe pour la.e méchant.e aux yeux des autres membres du forum, voire du staff ? Pas la personne qui est jamais là, bien sûr que non. CDG salty parce que me prendre un mp d'un staffien pour me dire que j'ai pas le droit de dire à un autre joueur que je veux plus avoir mon lien PRINCIPAL avec sous prétexte que c'est dégueulasse d'annoncer ça comme ça et de pas vouloir en discuter (j'ai fais que ça, vouloir en parler, pendant 16 mois !), c'est la goutte qui fait déborder le vase. La personne est pas capable de me donner signe de vie pendant 5 semaines, 8 fois de suite, on me fait à peine un coucou en postant pour se sortir des MED mais dès que j'envoie sur discord que notre lien tombe à l'eau, ça va pleurer chez le staff ? La prochaine fois je me casse tout de suite du forum comme beaucoup le font quand les membres fantômes foutent en l'air leur plaisir de rp sur le dit forum. Attendre un an pour deux réponses dans un sujet ou on dépasse pas les 800 mots par rp c'est bon, on finira le sujet dans dix ans. Mais comme d'habitude le Staff veut pas prendre de parti sauf quand même un peu celui de la personne qui va se plaindre en premier, ça aussi ras le bol.
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Kotlc actor au, but it’s just Dex being a Quebecer and Stina being French.
——— Oralie: FUCK! Dex: Where? ——— Stina: Oui, je m'entraîne beaucoup pour devenir un bon acteur. Stina, looking Dex dead in the eye:s En particular sir les week-ends. Dex: C’est “la fin des semaines” et tu sais que! Stina: Non, c’est “les week-ends”! Même google translate est d'accord! Dex: Nous savons tous les deux que google translate n’est pas précis! ——— Stina: Look! The ‘umam freak! Sophie, giggling: you man? Stina: Yes? Stina: … Stina: Oh! Shit.. Marella: Don't you mean sit? ——— Dex: Oh look! It’s a.. a.. allez, tu la connais. Sophie: A what? Dex, pointing: Un phoque! Forkle: *Scandalized gasp* ——— Dex: I’ve got my trip! Saying this shouldn’t be so hard! Marella: You have a trip? Dex: Is that not an expression here? ——— Dex: “Les week-ends” est essentiellement de l’anglais! Stina: Je suis presque sûr que le français de la France actuelle est plus officiel que celui d'une ex-colonie! Dex: Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelait la Nouvelle-France! Au moins “la fin des semaines” est en fait français! Stina: Français incorrect! ——— Stina: *trying to open a door* Dex: Ca va pas? Stina: Ça va bien, mais je ne peux pas ouvrir cette porte. Dex: Voulez-vous que je le débare pour tu? Stina: Oui, j’aimerais que tu le déverrouille pour moi. Stina: … Dex: … Stina: Tu as tout simplement tort-!
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aisakalegacy · 1 month
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Hiver 1919, Hylewood, Canada (18/21)
Mais Layan, elle, est très bavarde malgré sa difficulté à exprimer ce qu’elle veut dire, et nous trouvons toujours le moyen de nous comprendre, que ce soient par de cris ou des mimes. Quand elle ne cuisine pas, elle m’accompagne au jardin et à la nurserie, et nous conversons à notre manière de toutes sortes de choses, à notre manière, avec des mots simples et des rires. Je suis curieusement heureuse de son arrivée…
[Transcription] Eugénie LeBris : Bonjour, ma chère Layan ! Layan Bahar : Bonjour à toi aussi Madame. Eugénie LeBris : Les filles ont ben dormi ? Layan Bahar : Très bien ! Sommeil comme des pierres. Toi, par contre, tu n’as pas bien dormi. J’ai entendu l’autre côté du mur, tu étais débout, tchack, tchack, tchack. Maria n’était pas contente. Eugénie LeBris : C’est vrai, pardon. Avec mon mari toujours en voyage et les enfants qui demandent tant d'attention, j’ai de la difficulté à trouver un moment de repos et j’ai l’esprit qui bouillonne le soir. Layan Bahar : Oh, Madame, je suis désolée d'entendre ça. Peut-être tu devrais prendre un peu de temps. Eugénie LeBris : Je sais que vous avez raison, mais c'est plus facile à dire qu'à faire. J'ai tellement de responsabilités à la maison. Layan Bahar : Maria a dimanche matin. J’ai vendredi. Toi, tu as quand ? Eugénie LeBris : Moi, je ne travaille pas… Layan Bahar : Les enfants c’est le travail. Le jardin, la couture, c’est le travail. Layan Bahar : Ecoute Madame. Aujourd’hui je fais les bakhlava. Tu envoies tes enfants chercher les noix. Très amusant ! Ils vont jouer, revenir fatigués, manger les bakhlava, manger koshari, ventre lourd ! Ils vont dormir tôt. Qu’est-ce que tu veux faire aujourd’hui ? Eugénie LeBris : J’ai des bas à repriser qui s’entassent depuis des semaines. Layan Bahar : Ça peut attendre une semaine de plus. Eugénie LeBris : Je dois amener la chaise du grand-père chez le rempailleur. Layan Bahar : Pas urgent. Grand-père mort, pas besoin de chaise. Quoi d’autre ? Eugénie LeBris : La veste que Lulu m’a laissée à détacher… Layan Bahar : Je fais la veste pendant la cuisson. Quoi d’autre ? Eugénie LeBris : Je dois répondre à la lettre de ma cousine depuis des mois… Layan Bahar : C’est mieux. Tu me donnes la veste. Tu réponds à la lettre. Les enfants dehors. Aujourd’hui, tranquille ! Ce soir tu dors bien. Pas de « tchack tchack tchack ». Oui ? Eugénie LeBris : Merci beaucoup pour votre gentillesse. Je pourrais vraiment utiliser un peu d’aide. Layan Bahar : Tu as fait beaucoup pour moi et ma fille. C'est une petite chose.
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peut-etre · 10 days
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Je dors la nuit sans me reposer je gobe des anxiolytiques pour un air détendu sur mon visage j’ai les ongles rouges et les cheveux au plus court j’ai vingt-quatre ans dans neuf jours et rendez-vous avec un éditeur dans cinq jamais aussi proche de ce que j’ai espéré et jamais autant de vide de néant et d’absurde confortable je sais simuler les joies on me dit comme ça fait plaisir de te voir heureuse et je rentre en pleurant je vais à l’hôpital de jour deux fois par semaine aucun traitement ne fonctionne bientôt ça sera le centre expert à ce qu’on me dit on ne veut pas de moi mais on ne me rejette pas alors je reste encore je suis le cauchemar d’une femme et une femme est mon cauchemar alors qu’on ne connaît même pas nos prénoms je laisse tout faire je n’ai plus que cinq pages de mémoire et la bibliographie à écrire je prends des cafés avec mon directeur de recherches j’hésite à faire une thèse j’hésite à vivre deux fois quand je peine à vivre un demi et tout le monde me dit comme tu vas bien ça fait plaisir à voir je suis figée d’être un fantôme ma parole ne veut plus rien dire on en a marre on fatigue on me tue peu à peu je ne me lie de rien et je sens la douleur on me dit ça fait bien longtemps que tu nous dis des atrocités tu peux tenir encore un peu
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winterswifties · 5 months
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NEWS 2024
j'ai changé de pseudo rpgique, ceux qui m'ont sur discord savent c'est quoi.
je suis comblée rpgiquement, merci à ce forum d'accueillir tous mes personnages.
désormais je ne ferais plus aucune concession ; on me manque de respect, on me parle mal, on m'agresse/menace = je bloque. ça m'arrive tellement rarement (deux fois heureusement) mais c'est terminé, je ne pardonne plus. Et si je bloque, c'est que la personne est vraiment allé trop loin. oui j'ai décidé de ne plus me prendre la tête en 2024. J'arrête de pardonner à tout va, de laisser le bénéfice du doute aux gens (surtout quand de base je les sens pas), je ne me laisse plus marcher sur les pieds. Je sais ce que je veux et SURTOUT ce que je ne veux pas. Si tu m'aimes pas, fait comme moi : me parle pas. Ne fais pas l'hypocrite sur les serveurs/forums en m'accueillant pour au final cracher sur mal gueule. Si t'as un soucis avec moi, viens me le dire au lieu de garder ça pour toi, c'est très simple. Bref, la communication hein. tout ça pour dire à ceux qui ont la même sensation que moi, ou qui sont actuellement dans la même vision que moi : le rpg c'est fait pour s'amuser, pas pour qu'on ignore vos fiches présa/liens, pour qu'on crache sur votre gueule, qu'on vous mette la pression sur les rps/liens. Si vous avez besoin d'un mois pour répondre à un rp et deux semaines à un autre rp :: c'est ok ! Si un lien proposé ne vous tente pas/plus :: c'est ok ! Si vous décidez de couper les ponts avec un rpgiste (comme couper les ponts avec quelqu'un irl de votre vie) :: c'est ok et peu importe la raison ! il faut arrêter de culpabiliser, d'avoir peur, de se sentir mal et surtout de se forcer à rester sur un fo qui nous accueille mal ou qui ne nous tente plus. Il faut s'écouter, c'est le mieux à faire.
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equipe · 9 months
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Soutenez Tumblr avec le badge Mécène
Vous êtes nombreux parmi la communauté à nous avoir demandé quelle était la meilleure manière d'apporter votre soutien à Tumblr, notamment via des dons réguliers. Nous avons trouvé une petite idée, et avec un zeste de fantaisie pendant que nous y sommes : elle prend la forme d'un badge qui évolue esthétiquement au fur et à mesure de votre fidélité… et qui permet à Tumblr de rester Tumblr.
Son nom ? Le badge Mécène Tumblr. Tel un pas supplémentaire visant à nous rapprocher d'un modèle économique dirigé par l'utilisateur, ce badge s'acquiert au moyen d'une nouvelle souscription à renouvellement automatique et deviendra le symbole parfaitement stylé de votre soutien.
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Comment ça marche ?
Le badge Mécène Tumblr est tout à fait particulier : il fonctionne à la manière d'un abonnement à un service de don régulier. Et en tant que bienfaiteur, vous obtenez un badge évoluant en fonction de votre durée de soutien à Tumblr. Ainsi, ce dernier passera d'Acier à Cuivre, en passant par Or, Platine et, enfin, Iridescent. Tant que vous maintenez actif votre abonnement, l'évolution du badge vous sera décernée à chaque palier et il pourra être affiché selon vos désirs sur n'importe lesquels de vos blogs.
Deux formules de souscriptions vous sont proposées :
La formule mensuelle : débutez en version Acier et progressez de palier en palier au fil des mois pour atteindre le tant convoité badge Iridescent.
La formule annuelle : débutez directement en version Platine (oui, c'est comme si vous aviez gagné une année, c'est de la triche !). Lors du renouvellement suivant, au bout d'un an, vous décrocherez directement la version Iridescent.
Tarifs de souscription au badge Mécène Tumblr :
Abonnement mensuel : 2,99 $/mois
3 mois : 7,99 $ (Soit 1 $ économisé)
6 mois : 15,99 $ (Soit 2 $ économisés)
Abonnement annuel : 29,99 $ (Soit 15 % de remise)
Quelques précisions supplémentaires :
Qu'elles soient mensuelles ou annuelles, les souscriptions se renouvelleront automatiquement (chaque mois ou chaque année), à moins que vous ne décidiez de les arrêter.
Si vous mettez fin à votre souscription ou si le renouvellement échoue suite à un échec de paiement, votre badge restera en votre possession, mais ne pourra plus s'afficher… à moins que vous ne décidiez de poursuivre votre abonnement. Si tel est le cas, vous reprendrez alors la progression au niveau où vous aviez arrêté.
Ce nouveau badge est pour le moment déployé sur le Web et le Web mobile configurés en langue anglaise. Le déploiement dans les autres territoires est prévu dans les semaines à venir.
Nous espérons que l'arrivée de ce nouveau badge saura vous enthousiasmer et qu'il répondra aux attentes formulées par une partie de notre communauté adorée. Merci d'avance pour ce soutien qui nous permettra de continuer à vous proposer cet espace décalé sur les Internets <3 
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ascle · 1 month
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Les anglicismes!
Aujourd’hui nous abordons un sujet très sensible, les anglicismes. Sensible historiquement, parce que depuis la conquête anglaise, le Canada, bien qu’il se targue d’être bilingue, n’a eu de cesse de vouloir assimiler son côté francophone. Sensible géographiquement, avec la proximité et l’omniprésence de la culture américaine qui lessive le cerveau. Sensible diplomatiquement, parce que la guerre franco-québécoise sur « qui c’est qui en dit plus que l’autre » horripile un côté comme l’autre.
Ceci étant dit, démystifions l’anglais au Québec! (Liste non exhaustive)
Les traductions
Afin de protéger sa langue, le Québécois utilisera dans son langage familier (ou pas) une traduction littérale d’un mot anglais. Ainsi:
Week-end devient fin de semaine
Good morning devient bon matin
Shopping devient magasinage
Shopping center devient centre d’achat
Toothpaste devient pâte à dents
Chips devient croustilles
Crackers devient craquelins
On dit « prendre une marche », venant de « take a walk » pour une promenade à pied.
Le traversier se prendra au lieu du ferry.
Vous chausserez vos patins à roues alignées et non pas vos rollers.
Même la signalisation routière s’adapte et le « stop » 🛑 devient « arrêt »
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Les p’tits nouveaux
Les nouvelles technologies se développent à la vitesse de la lumière. La terminologie anglaise est donc souvent adoptée par les différentes langues. Au Québec, un point d’honneur est fait à franciser un mot.
Au lieu de:
E-mail , podcast (podcasting), tweet, spoiled (une série ou un film), binge-watching, selfie, spam, phishing ou hashtag
Utilisez:
Courriel, balado (baladodiffusion), gazouillis, divulgâcher, visionnement (ou écoute) en rafale egoportrait, pourriel, hameçonnage ou mot-clic
L’emprunt morphologique
Une autre tactique québécoise est d’utiliser un mot anglais et de lui ajouter quelques lettres afin de le franciser.
C’est le cas de:
Fitter (to fit): rendre possible
Exemple: Je suis très occupée, mais j’vais essayer de faire fitter ça dans mon horaire.
Feeler (to feel): se sentir
Exemple: La pièce de théâtre a été annulée, une des actrices s’est évanouie! A feelait pas pentoute.
Focuser (to focus): se concentrer
Exemple: Hey j’ai l’impression de parler dans l’vide. Focus!
Choker (to choke): se désister, manquer de courage.
Exemple: On devait être 5, mais finalement Celine nous a choké.
Exemple: Je voulais la tutoyer, mais j’ai choké.
Truster (to trust): faire confiance.
Exemple: Je ne la trustais pas fak j’espionnais son Tumblr sporadiquement.
Ah pis d’la marde!
Finalement, pourquoi se compliquer la vie? On utilise aussi directement les mots anglais. Il sera donc fréquent d’entendre:
Anyway: de toute façon
Fun: amusant
Gang: groupe d’amis (prononcé « gagne », plus souvent positif que négatif)
Party: fête (prononcé « parté »)
Chum: ami ou petit ami
Joke: (féminin) blague, plaisanterie
Job: travail
Gaz: essence
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homomenhommes · 27 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 172
Récit de Cédric.
Avec l'autorisation des intéressés (Eric et Cédric) je suis autorisé à vous raconter ce qui suit.
Entre le WE où j'avais fait se rencontrer nos deux protagonistes, et l'outing de Cédric à son père, lui et Eric s'étaient revu pour le plus grand plaisir de chacun.
En fait, près d'un soir sur deux, Eric est venu chercher Cédric à la sortie de son taf. Officiellement pour son cours de pilotage. Et d'ailleurs c'est réellement ce qui s'est passé. Eric avait arrangé son emploi du temps pour faire coïncider le cours des 125cc avec sa sortie du travail. Cédric m'a confié que c'était limite torture que d'être avec Eric et de ne pouvoir le " toucher ". A ce cours assistaient aussi une demi douzaine de jeune en quête du même sésame. Comme je lui demandais s'il ne craignait pas la concurrence, il m'a assuré que c'étaient pas les boutonneux avec qui il prenait ses cours qui lui ferraient de l'ombre. Il a ajouté que de toutes les manières, ils ne s'étaient pas juré fidélité non plus. En attendant, ces soir là, il rentrait avec Eric où ils faisait l'amour comme des fous. Les premier retours à la maison lui ont valu de bonnes engueulades paternelles et même une volée de gifles la première fois où ils est rentré à plus de minuit sans avoir prévenu. Mais la menace de partir définitivement avait mis fin à ce type de réaction. Maintenant que j'ai rencontré son père, je sais que c'était par peur de perdre son fils et la crainte qu'il ne soit tombé dans une bande de racailles.
Comme Cédric avait besoin de parler de ce qui lui arrivait et qu'il ne pouvait avec son père et ne voulait avec Eric, c'est vers moi qu'il s'est tourné et les soirs où il n'était pas avec Eric et après la muscu, il me téléphonait longuement.
J'ai tout su du plaisir que lui donnait Eric et sa queue, tout du formatage de sa gorge et de son cul (là j'y ai reconnu quelques pratiques que moi aussi j'avais appris, notamment comment réussir sans vomir à prendre son gland au fond de ma gorge). De son questionnement à savoir qu'il (Cédric) était en train de devenir une petite pute qui ne trouvait son plaisir qu'à faire des pipes et à se faire enculer. Toutes ces questions, il ne se les était pas posée lors de sa relation avec Daniel, ce dernier étant plus jeune et la chose prise avec moins de sérieux et de façon moins " définitive ".
J'ai donc passé de longues heures à dédramatiser, à lui expliquer que c'est pas parce qu'un mec n'est que passif que ça fait de lui une pute, à la rigueur une salope mais pas plus, mais surtout ça en fait juste un mec qui aime se faire enculer, il n'en est pas moins respectable pour autant.
Il est entré dans le détail de certaines positions que je n'ai jamais connu du fait la taille et de poids que je faisais quand je me suis mis aux mecs alors que son petit format y fait merveille. Notamment se faire balader dans tout l'appartement planté sur la bite d'Eric, les jambes sur ses épaules et les mains accrochées à son cou, les bras d'Eric le tenant par les reins. A chaque pas, Eric le soulevait pour le laisser retomber le plantant à fond. Il m'a confié qu'après certaine séances, il avait du mal à refermer son trou. Je lui ai fourni alors un plug préparé comme il faut pour qu'il fasse des exercices de contractions dessus tous les soirs où il est chez son père et même après les grosses enculades. Quelques semaines plus tard, il me remerciait d'avoir résolu son problème et qu'Eric l'avait félicité de la " nervosité " de son anneau. C'est là qu' Cédric lui a dit qu'il me racontait tout, pensant se faire engueuler. Mais je connais mon Eric, il l'a serré dans ses bras et lui a dit qu'il avait bien fait, que s'il le voulait, il pouvait continuer. J'ai appris ainsi qu'ils avaient tous les deux fait leur prise de sang pour le test pour pouvoir se passer de kpote entre eux dès les résultats.
Nous avons même pu (Marc et moi) voir de nos yeux la complicité qui s'était instaurée entre eux. Ils ont débarqué un soir après un cour de pilotage, direct à la maison. Comme le temps était beau, j'étais dehors en short spécial (mes vieux jeans coupés au ras des fesses et décousus à la couture du cul) à inspecter la cour me demandant comment la rendre plus accueillante quand ils sont arrivés. Au son de la moto, j'avais deviné avant qu'il n'arrive au portail que c'était Eric et j'avais déjà bippé pour qu'il s'ouvre. La surprise a été de le voir la taille enserrée par deux bras. Dès l'arrêt de l'engin, son passager en est descendu et m'a sauté dans les bras sans enlever le casque. J'ai bien faillit m'en prendre un grand coup dans le front !
C'est Eric qui, une fois le casque posé et le blouson ouvert, est venu décrocher la " bernique " qui s'était collée à moi. Nous sommes entrés dans la maison et en deux minutes, Cédric était en slip pour me montrer les effets de son travail en salle de muscu. Effectivement, comme me l'avait dit Ric, on pouvait voir un début d'amélioration. si ce n'était pas encore flagrant sur le haut du torse, ses abdos s'étaient joliment séchés et montraient bien l'effet " tablette ". Comme Marc n'était pas encore rentré et qu'il s'en fallait encore d'une bonne 1/2 heure, je les invitais à piquer un tête dans la piscine. Après une journée de taf, Eric a pris sous son bras Cédric qui allait s'y jeter direct et l'a descendu pour prendre un douche. Je les ai accompagné et nous nous sommes lavés tous les trois ensemble. J'ai toujours plaisir à me doucher avec de beaux mecs ! D'ailleurs, à la fin du savonnage, nous bandions tous les trois. Comme c'est gênant pour nager, après un rapide rinçage, Eric à poussé sur la tête de Cédric. Il s'est mis à genoux et j'ai senti aussitôt sa bouche envelopper mon gland puis ma queue toute entière. Je n'ai pu m'empêcher de penser au travaux d'élargissement de cette voie par le gland d'Eric. Comme Cédric alternait entre nos deux bites, j'ai pu voir qu'effectivement ils avaient bien " bossé ". Sans renvois ni larmes, les 26cm de chair noire pénétraient en totalité la bouche de Cédric. Il a alterné entre nous deux jusqu'à nous faire juter sur ses épaules et son torse. Pour le remercier, Eric l'a pris dans ses bras et l'a soulevé. J'ai pu ainsi en penchant juste un peu gober à mon tour sa queue qui n'avait pas encore dégorgé. Il ne lui a fallut que quelques coups de ma langue pour exploser. Nouvelles douches puis nous sommes remontés à poil nous baigner. Il était tard, le soleil était bas, donc pas de risque pour la blancheur de mes fesses !
C'est là que Marc nous a trouvé à son retour. Il nous a rejoint et nous avons barboté encore un bon 1/4 d'heure avant que Samir ne nous prévienne que le barbecue était prêt. Hors de l'eau Cédric était tout fier de montrer l'évolution de ses muscles et il nous a tous fait bander à se tourner devant nous.
Depuis cette année, j'a découvert qu'il est plus agréable de se revêtir d'une courte serviette nouée sur les reins que de remettre un maillot. J'en distribuais donc à nos invités et sur moi leur montrais comment les mettre. Eric, toujours pragmatique, m'a fait remarquer que cela laissait la queue libre de tout déploiement et qu'en cas d'urgence, son accès en était facilité. Pour appuyer ses dire, il a demandé à Cédric de le prouver. Alors que nous étions tous debout, Cédric s'est mis à genoux et la tête passée sous la serviette de Marc, s'est emparé du gland qui de toute façon dépassait (au repos elle fait quand même dans les 15cm !). Il a fait cela à Eric puis à Marc et à moi aussi. Autant dire que les serviettes ne cachaient plus rien, relevées par nos virilités triomphantes ! L'apéritif s'est interrompu le temps de faire dégonfler nos queues. Eric a invité Marc à user du cul de Cédric avant qu'il ne l'élargisse un bon coup. Kpote et un peu de gel plus tard, mon mec défonçait l'anus de notre jeune invité avec un plaisir non dissimulé. Pendant ce temps là, Eric ramonait les amygdales de Cédric qui de ce fait s'est retrouvé un peu façon méchoui. J'ai même testé le fait, profitant qu'il n'avait pas encore pris trop de masse (muscu), j'ai demandé aux deux " mâles " de s'enfoncer à fond et en prenant les jambes de Cédric, ai fait pivoté ce dernier dessus. Ça a tenu !! Marc, pour se remettre ne mouvement, l'a soutenu par les reins et naturellement, Cédric l'a aidé en posant ses talons sur ses épaules. J'ai glissé une table roulante sous le dos de Cédric et ça a tout de suite été plus confortable. Une fois la nouvelle position stable, j'ai participé en m'interposant entre Marc et Cédric. Le trou était bien préparé par Marc et je n'ai rien ajouté sur ma kpote lubrifiée avant de m'enfoncer avec délices dedans. Marc n'a pas attendu pour ôter sa kpote et m'enculer aussitôt. Trop bon !! Une de mes positions préférées. Quand Eric nous a demandé la place, Mac et moi avons juste changé d'extrémité et avec toujours mon mec au cul, j'ai plongée ma bite dénudée dans la bouche de notre Cédric. A l'autre bout, nous avons pu voir les effets du rodage des semaines passées. Une kpote + un peu de gel et Eric enfonçait ses 26cm dans l'anus accueillant de Cédric.
L'apéritif s'est fini avec nos éjaculations à tous les 4. Le premier a céder fut Cédric. par la main d'Eric, il s'est recouvert ses beaux abdos d'une épaisse couche de sperme. Je suis venu juste après et en même temps qu'Eric. Tous les deux, nous avons retiré nos queues de Cédric et ajouté au sperme déjà répandu nos doses. Marc seul n'a pas participé ayant largué la sauce au fond de mon trou.
Ammed, toujours prêt, est arrivé avec des serviettes humides pour nettoyer les " dégâts ".
Cédric a passé une bonne partie de la soirée dans mes bras, tout câlin pour me remercier de lui avoir fait rencontrer Eric. Alors que nos deux " hommes " discutaient de choses et d'autre. Notamment, Marc envisageait la grande touze annuelle avant les départs des uns et des autres en vacances. Mais précisant que se serait cette année difficile d'avoir tout le monde. Eric de le rassurer quand à la présence de Luc et Phil dont il avait des nouvelles régulièrement. Ils lui avaient fait part de leur présence au cas où cette année la touze aurait encore lieu.
J'entre dans la discussion pour dire qu'il ne va pas falloir trainer à fixer une date.
Nous finissons la soirée en faisant la liste des invités. Nous arrivons au chiffre de 28 sans nous compter Marc et moi ni Jimmy !! et seulement si nos amis du sud viennent ainsi que Bo gosse et Moitié, son artiste de mec, en comptant aussi Xavier s'il peut caser sa meuf quelque part.
Aie ! il va nous manquer des lits. Même s'il fait beau et que nous allons passer plus de temps à baiser qu'a dormir, il n'empêche qu'il faut quand même le prévoir.
Avec Marc, nous décidons de faire aménager le second étage jusqu'alors laissé en l'état. Nous demandons à Olivier, le mec de Pierre architecte de passer et avec lui nous voyons ce que la structure du bâtiment peut permettre.
En fait, il n'y a pas de mur porteur, nous nous décidons donc pour un grand dortoir de 100 m² avec une salle d'eau type vestiaire de sport ouverte, afin de pouvoir se laver à une bonne 15aine en même temps. Rampe de 8 douches, 4 lavabos et 3 WC devront l'équiper. ;Pour la maçonnerie nous reprenons l'artisan qui nous a construit la piscine et son plombier. Il avait superbement travailler et je me souvient encore de sa bite et de ses deux apprentis !
JARDINIER
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e642 · 2 months
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Ah et aussi j'ai croisé mon voisin aujourd'hui, pour la première fois de ma vie. Et il me dit que c'est cool d'avoir un petit couple à côté, ça fait de la vie de nous entendre parler. Et déjà jme dis bizarre. Puis du coup j'dis "ah mais on fait trop de bruit le we ? Ça vous dérange ?". Il me rép que non, autant la semaine que le WE, il s'en fout, juste il est content pour mon mec et moi. Malheureusement j'ai dû rétablir la vérité en lui disant que j'habitais seule et que s'il entend des voix la semaine c'est la mienne. Je parle seule tout le temps. Il est passé de la sympathie pour moi au rejet total mdr. Il a juste dit "ah ahah euh bah bonne journée" jpp
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