Tumgik
#Vue de la rue
kababixevura · 2 years
Text
Mode d emploi logicom l900
0 notes
georges-dufrenoy · 18 days
Text
Tumblr media
Georges Dufrenoy (1870 - 1943), artiste peintre postimpressionniste français
Vue de Paris, representant la rue de Charenton et le faubourg Saint Antoine peint de la place de la Bastille
Oeuvre : « Paris, la rue de Charenton sous la neige» 1908 - huile sur toile 71 x 92 cm
1930 - Tableau reproduit dans "Les artistes nouveaux" de Gabriel Mourey
27 notes · View notes
gacougnol · 9 months
Text
Tumblr media
Willy RONIS (1910 - 2009)
Gare de Ménilmontant vue depuis la rue Henri Chevreau
Paris, 1947
74 notes · View notes
lisaalmeida · 4 months
Text
On se parlait peu, on n’avait pas à se rassurer.
J’étais avec elle tout le temps même quand je la quittais.
Je me demandais comment j’avais pu vivre avant si longtemps sans la connaître, vivre dans l’ignorance.
Dès que je la quittais elle grandissait à vue d’œil.
Je marchais dans la rue et je souriais à tout le monde, tellement je la voyais partout.
Je sais bien que tout le monde crève d’amour car c’est ce qui manque le plus, mais moi j’avais fini de crever et je commençais à vivre.
.
— Romain Gary -
...
Tumblr media
29 notes · View notes
frenchcurious · 1 year
Photo
Tumblr media
Vue panoramique sur la rue de Rivoli, les Tuileries et le Louvre - Paris. @carina_ta_legao. - source PARIS de mes Amours.
175 notes · View notes
frevandrest · 8 months
Text
On Hérault's Orgy Cave
@divinaaugusta I wrote about this in the past (my pet topic, guilty as charged), but I have trouble locating relevant info on my blog because Tumblr my beloved.
We learn about the sex/orgy cave from the book by his mistress Suzanne de Morency, "Illyrine ou l'Écueil de l'inexpérience". She describes their relationship, including how he bought her a lottery and rented a luxurious house for her near Champs-Élysées. In 18c, there was no avenue, but we know its approximate location, near the convent St Périne (now a hospital). Here is how the area looked in the 1730:
Tumblr media
So, near rue de Chaillot in 18th century.
As I understand, in 1790s that was a nationalized property that Hérault rented for Suzanne. As part of the complex, there was a garden with an artificial grotto. These grottos were all the rage in the 18th century. Here is one belonging to Frederick the Great: Neptune Grotto (although no idea if this one - or grottos in general - were used for the same purpose as how Hérault used it). Apparently, Hérault's grotto/cave included a little brook, flowers, and comfortable furniture (including a chandelier). She describes:
Chérubin [Hérault] me prie d'ôter mes bas , parce qu'il faisait chaud , et il se désha billalui-même, passa seulement une grande lévite de bazin doublée de taffetas bleu : il me prend la main , me fait traverser le parterre ; j'apperçois un petit portique du quel il m'avait toujours soigneusement écartée ; et il avait un grand soin de ne pas me perdre de vue depuis notre arrivée. Enfin , ouvrant la porte de ce portique , il me présente à l'amour , qui m'offre une guirlande de roses fraîches ; puis il me dit : Adèle ; vois son inscription. Je le regarde en souriant; il me donne un baiser , dé noue ma ceinture , marobe , et à l'instant je n'ai plus de vêtement que la guirlande que l'amour m'a donné : mon amant a la même parure : il ouvre la porte sacrée ; nos pieds foulent le gazon. Il me conduit à un lit de jonc dont le ciel était un grand myrthe. Mon amant s'était ménagé toute la soirée pour ce lieu enchanteur…. Je ne puis te peindre tous les plaisirs que nous goûtâmes : je ne trouverais pas de pinceau assez habile ; ils sont plus faciles à imaginer qu'à peindre. Mais Séchelles est plus qu'un homme si j'ai quelquefois dit que mon mari et Q…..te étaient autant au- dessus du vulgaire qu'étaient les anges au- dessus de l'humanité, je dirai maintenant qu'Hérault de Séchelles est autant au - dessus de mon mari et de Q…..te que la divinité est au dessus des anges. Nous nous restaurâmes par des glaces et des liqueurs ; tu en connais l'effet …. De nouveau nous nous épuisâmes : nous passâmes la nuit dans ce charmant réduit.
Illyrine ou l'Écueil de l'inexpérience, tome 3 , pages 273-274.
(If anyone would like to translate, that would be great! My French sucks for that, but even Google translate gives you the vibe).
The description starts on page 270, with the description of the house, and then the garden and the portico and the inscription "Fuyez loin d'ici , profanes , si vous n'êtes purs et nuds comme moi" ("Flee far from here, profane people, if you are not pure and naked like me"), to which Hérault - obviously - suggests them to undress. And they did. (Sadly, she doesn't describe the encounter, except that it was amazing and that he served drinks and ice-cream after).
Suzanne says that they visited the cave more than once, sometimes with another couple (so, not just sex cave but also an orgy cave). Again, she doesn't go into details, but she makes it clear what kind of activities went there.
So... that's the story of this particular 18th century spot! :)
About Hérault's Mistresses in another post, because it will be long (as one might imagine).
38 notes · View notes
benkaden · 6 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ansichtskarte
Karl-Marx-Stadt / Карл-Маркс-Штадт Blick vom Markt zur Straße der Nationen Вид с центральной площади на улицу Штрассе дер Национен View from the Market to Street of the Nation Vue sur la rue des Nations en regardant du marché
Karl-Marx-Stadt: Verlag Erhard Neubert Karl-Marx-Stadt (A 3/1/69 II-15-17)
Foto: Hoffmann
1969
31 notes · View notes
alexar60 · 9 months
Text
Café
Tumblr media
Voilà plusieurs semaines que je la vois.
Elle vient tous les jours à la même heure, après le déjeuner. Elle s’assoit à la même table près de la fenêtre. Chaque fois, elle commande un café allongé. Elle remercie gentiment, par un sourire, le serveur. Puis, tranquillement, elle boit doucement, à petites gorgées le contenu de la tasse. De temps en temps, elle observe la rue, regardant les gens qui passent. Mais jamais, elle ne sort de téléphone ni ne lit un livre.
Je reste au comptoir à boire mon café avec les collègues. J’aime bien la regarder. Elle n’est pas exceptionnellement belle, Cependant, elle dégage quelque-chose de remarquable. C’est à la fois du charme, de la tendresse, énormément de bonté. En fait, je la trouve magnifique malgré ses défauts, et elle porte de nombreux défauts.
Je n’ai jamais osé lui adresser la parole. Parce que je n’ai pas envie de le faire. Je l’observe, je l’admire en train de boire son café. Elle n’a jamais de regard dans ma direction, se contentant de profiter de la rue quelque-soit le temps. En hiver, elle tient sa tasse entre ses mains pour profiter de la porcelaine chaude. En été, elle croise les mains ou elle frotte ses bras nus.
C’est une étrange sensation que d’apprécier autant quelqu’un, sans chercher à la connaitre réellement. Peut-être est-elle folle ou stupide ? Elle zozote ou s’exprime avec une voix criarde ? Je ne sais pas. Je sais juste qu’elle a un beau regard, que sa bouche porte très bien le rouge à lèvre, que sa coiffure est toujours impeccable,  et qu’elle adore venir boire un café après l’heure du repas.
Au début, j’avais essayé de voir par où elle arrivait. J’ai essayé de regarder vers quel endroit, elle repartait. J’ai imaginé sa vie. J’ai inventé son mari, ses enfants. J’ai cherché à deviner son métier. Seulement, je veux lui laisser ses secrets. Alors, je reste à la regarder tout en écoutant les collègues. Je les écoute sans prêter attention à leurs paroles car mon intérêt va automatiquement  vers cette femme.
Puis, elle se lève, se dirige vers le bar et paye son café. C’est à ce moment que nos yeux se rencontrent. Elle me sourit, je rougis et détourne la tête. En même temps, elle s’adresse au cafetier : « Au revoir, bonne journée et à demain ». Chaque fois, j’ai l’impression que sa phrase est pour moi. Alors, je regarde son dos pendant qu’elle s’éloigne.
Lorsqu’elle sort du bistrot, elle s’arrête d’abord devant le trottoir. Elle regarde à gauche puis à droite et s’en va disparaissant de ma vue pour le reste de la journée, jusqu’au lendemain.
Et j’ai toujours hâte d’être au lendemain.
Alex@r60 – août 2023
43 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 144
Comme promis lors de notre première rencontre avec Alex et Johan (SD 130), notre nouvelle rencontre s'est déroulée chez eux. Comme le temps commence à rafraichir sérieusement et que le climat est incertain, nous y allons avec mon SLS. 5h de route à vitesse autorisée, nous n'en mettrons que 4 car j'ai été très raisonnable dans mes excès de vitesse ! Le GPS nous amène jusque devant le portail d'une grande propriété en bordure de ville. Sonnette, vidéo, le portail glisse et je monte, entre les arbres, une allée en S cachant la maison de la rue.
Grosse maison bourgeoise XIXème avec perron à escalier double qui met le niveau de réception à un demi-étage au dessus du sol. Pas de gens de service, c'est Johan qui descend nous accueillir et prendre nos bagages (petits). Bisous, c'est effarant comme nous nous ressemblons. D'ailleurs Marc lui a déjà mis la main au cul ! Alex nous attend et nous offre de nous rafraichir, passage aux toilettes du niveau. Comme il est l'heure, nous attaquons avec un apéritif. Puis un déjeuner ou je fais attention de ne pas trop manger en prévision du reste de la journée.
Après le café, Alex nous fait les honneurs de leur maison. La cuisine et une bibliothèque / salle de billard manquaient à notre connaissance de l'étage. Au dessus un premier niveau de chambre, seulement 4 mais immenses équipées de lits King size, avec chacune une salle de bain digne du meilleur palace. Au dessus l'étage des commodités, lingerie, et trois chambres plus petites (pour le service quand il y en avait) et une salle d'eau commune, WC. Alex avait gardé pour la fin le meilleur, le sous sol. A demi enterré, d'étroites fenêtres horizontales au ras des plafonds éclairent les pièces. Le quart de la surface de la maison est occupé par une cave et la chaufferie.
Le reste vient d'être équipée à neuf. Nous reconnaissons l'influence de notre salle de sport et de notre donjon dans son aménagement. Nous pénétrons d'abord dans une salle de sport un peu plus petite que la notre mais bien équipé avec au fond les sanitaires, WC séparés mais lavabos et douches communes. Un passage derrière la dernière des douches donne accès à leur donjon. Sous un éclairage plus chiche, nous voyons que bien que plus petit aussi, il doit être capable de recevoir au moins une bonne demi douzaine de mecs.
Excité Marc chope l'un de nous deux par le cou et c'est en lui roulant une pelle qu'il devine qui c'est, et ce n'est pas moi ! Alex me pousse contre un sling, ses mains pétrissant mes fesses. Je le laisse faire un peu. Je déboutonne rapidement mon jeans et il le pousse vers le bas, dégageant le shorty avec et dévoilant mon fessier. Les chaussures volent, le polo aussi et je me retrouve nu installé sur l'appareillage de suspension. Je jette un coup d'oeil vers mon mec. Il s'occupe de remplir de ses 22cm la bouche de mon sosie (et sa gorge par la même occasion). Je n'ai pas le temps d'en voir plus, ma vue est soudain bouchée par l'apparition des 23 x 6 d'Alex qui réclament un abri. ;J'ouvre grand la bouche et le gland d'Alex y progresse sans s'arrêter jusqu'aux couilles. Je maitrise ma respiration et l'envie que j'ai de vomir. Bien que j'ai fait attention au déjeuner, j'ai trop mangé !
Quelques détails triviaux (exécutés dans les toilettes) plus tard, je reprends le taf et supporte sans broncher le ramonage de ma gorge. Absorbé par ma pipe, c'est dans le lointain que j'entends Johan gémir sous les mains et la bite de Marc. ;La bite que je suçais quitte ma bouche et c'est maintenant une langue que je sens sur mon anus. Alex prend le temps de bien me détendre la rondelle. C'est un pro de l'anilingus. Marc c'est pas trop son truc, un peu mais c'est surtout avec ses doigts qu'il me prépare la rondelle. Je ferme les yeux et concentre toute mon attention sur mon oignon. C'est divin. Il fait tourner sa langue ni trop ni pas assez vite, la pointe dans mon trou et y fait entrer de la salive... Je suis tout à l'attente de sensations à venir qu'il va provoquer en moi que je suis surpris de sentir Johan se coucher sur moi en 69.
J'ouvre les yeux sur son sexe et louche sur ses couilles rasée. Il me suce, je ne peux que lui rendre la politesse. Je vois bientôt la queue de Marc, couverte de latex, approcher l'anus de mon alter égo. Je place une main sur chaque fesse et écarte ces dernières pour faciliter le travail. Je sens aussitôt la même chose m'arriver et le gland d'Alex se poser sur ma rondelle. Nos deux hommes se mettent d'accord et en même temps s'enfoncent dans le mec de l'autre. La poussée étant bien égale, le sling ne bouge pas et le coup de rein de Marc en phase terminale pousse le gland de Johan dans ma gorge. Je sens pareillement mon gland dépasser la glotte de Johan dans le même temps ou je sens les couilles d'Alex me caresser le sacrum. Nos deux hommes nous regardent ainsi emmanchés quelques instants avant de se mettre à nous limer.
Une bouche sur son sexe avec un sexe dans sa bouche et un autre dans le cul, difficile de faire mieux question bouchage de trous ! Sous mes yeux, je vois la rondelle de Johan s'ouvrir sous la poussée de Marc et se refermé quand il en sort. J'ai l'impression de pouvoir voir la mienne se faire déplisser par la queue d'Alex tant leur synchronisme est bon.
Johan et moi nous savourons nos positions de passifs pas inactifs pour autant. Je tète sa bite comme si ma vie en dépendait et je le sens qui m'aspire avec autant d'ardeur. Les coups de boutoirs qui défoncent nos cul commencent tout doucement à se désynchroniser et nous finissons secoués, le sling balançant entre nos deux mâles. Je sens ma rondelle s'ouvrir encore un peu plus avant qu'Alex ne me fixe contre ses cuisses et décharge au fond de mon cul (dans sa kpote). C'est à peu près ce qu'a du ressentir Johan au même moment. Nous avons juste le temps de recracher nos bites avant de juter entre nous, barbouillant de sperme nos pecs et abdos.
Deux " plops " plus tard, nous étions libérés de nos " broches ". Johan est resté sur moi le temps de récupérer un peu et je n'ai pas eu la force de le virer. Ce n'est que quand Alex a gueulé que les douches étaient libres que nous nous sommes décollés (le sperme ayant séché entre temps) puis relevés. Quand nous sommes arrivés aux sanitaires séparant le donjon d'avec la salle de gym, Alex et Marc en sortaient en peignoirs. Alex nous dit de les rejoindre au salon quand nous serons prêts.
Avec Johan, nous avons pris tout notre temps sous les douches. Chacun savonnant, massant l'autre, nous avons fini dans les bras l'un de l'autre à nous rouler un patin magistral, trop bon cette impression de " masturbation ;continuelle ". Je pense que c'est un peu ce que doivent ressentir les jumeaux Tic et Tac, faudra qu'on en discute. Comme le mélange de salive avait ravivé notre libido, ma bite est venue très naturellement boucher le cul de Johan, pour son plus grand plaisir. sous les douches, je l'ai enculé debout, lui ses mains sur le mur carrelé amortissaient mes assauts, alors que les miennes sur ses hanches dirigeaient l'action.
Je l'ai fait jouir sur le carrelage blanc puis je me retirais pour juter sur son dos.
Nouvelle douche, un séchage qui a duré presque autant de temps que notre passage sous l'eau et nous sommes remontés rejoindre nos mâles. Ils étaient en train de discuter d'Ammed et Samir nos deux hommes de services. Alex demandait à Marc où nous les avions trouvés, combien ils nous coutaient et autres détails. Johan peu intéressé par le sujet me demanda si je pouvais l'emmener tester le SLS. ;Dans le même état d'esprit, je prévenais Marc et Alex que nous partions faire un tour en voiture. Marc me recommanda d'être raisonnable (difficile avec un tel monstre) et Alex nous dit d'être sérieux, ses contacts à la police n'étant pas de permanence ce WE.
Le bip du portail dans la poche, nous les avons laissé. Sous la direction de Johan qui connaît bien le coin, nous sommes arrivés à l'autoroute. Début de WE, je préfère prendre le sens province pour faire le repérage de radar et revenir sur la direction de Paris moins susceptible d'abriter les bleus.
Bien m'en a pris, sur 50Km nous repérons deux radars dans ce sens mais rien en face. Sortie puis retour. Peu de véhicules, dès la sortie de la bretelle, j'enfonce l'accélérateur au plancher. Les vitesses automatiques passent à une vitesse folle et nous sommes à 250 Km/h le dos collé au baquet.les voitures que nous doublons sembles aspirées vers nous. Johan est ravi. A peine 1/4 heure plus tard, nous passions devant notre sortie. Johan me dit de continuer jusqu'à la prochaine aire d'autoroute, ça y drague un peu. Au ralenti (135 Km/h), nous arrivons et je me gare devant le bloc sanitaire, dans l'enfilade de l'entrée homme.
Nous restons quelques instants à mater. Quelques mecs entrent et sortent des WC. Ceux qui en sont sortis flânent autour du bâtiment. Avec Johan nous décidons d'aller les narguer. Quand nous entrons, il reste deux places sur les 6 urinoirs nous nous plaçons cote à cote. Je pisse, il pisse et nous bandons. Quelques coups de poignet et les 4 autres matent vers nous. Nos queues égouttées, nous nous les échangeons. J'approche mon visage du sien et nous nous roulons un patin.
Silence de mort. Quand nous nous décollons, les 4 autres mecs bandent et se branlent. Je suis trop chaud pour qu'on en reste là. Un coup d'oeil à Johan, nous sommes d'accord. On se réajuste un minimum et sortons pour occuper les WC pour handicapés. Un mec essaye de nous suivre mais nous l'éconduisons, trop moche (ça, ça peut passer) et trop petitement monté (c'est rédhibitoire).
Comme un imbécile, j'ai laissé le matériel dans la caisse. Nous nous contentons de nous piper mutuellement. Je le fais juter en premier puis c'est son tour de m'amener à exploser avec sa bouche. j'ai failli me faire surprendre et lui juter dans sa gorge, tellement mon gland se plaisait derrière son larynx. Quand nous sortons, nous sommes matés par une bonne demi douzaine de mecs. J'attrape Johan par le cou et j'en rajoute une couche par un nouveau baiser accompagné d'une main au paquet. Quand nous nous écartons j'ajoute tout haut, " merci mon amour " et nous partons à la voiture.
Les regards nous ont suivis jusqu'à ce que nous sortions de l'aire de repos. Une fois sur l'autoroute, nous avons éclaté de rire. Johan super excité, c'était la première fois qu'il faisait ce genre de plan. Retour à la maison. Johan raconte à Alex notre " aventure ". ;Marc nous dit que nous n'avons pas été très courageux. Je lui dis que c'était pas l'objet et qu'en plus, la population était loin d'être à nos goûts.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
9 notes · View notes
photos-de-france · 10 months
Text
Tumblr media
La rue St Jean à Lyon, vue de la Place du Change, 1970.
42 notes · View notes
clhook · 8 months
Text
L'autre soir je rentrais du travail en voiture et en passant au milieu d'un village où il y avait une fête foraine j'ai vu une petite fille de genre 3/4 ans qui a surgi de la fête foraine et qui traversait la rue en courant du coup bah je m'arrête et j'attends un peu voir si je vois un de ses parents qui l'a vue et qui va la rattraper, je reste peut-être 30 secondes arrêtée avec les warning et là une dame traverse à son tour la rue en courant et va attraper la petite donc moi rassurée je redémarre. Et là, le mec en voiture qui était derrière moi, visiblement agacé d'avoir perdu 30 secondes de sa vie, m'a doublée comme un ouf en plein milieu du pont du village (donc zéro moyen de l'éviter si tu arrives en face) et a grillé le stop du bout du pont et genre mec ????????????? trop dsl de vouloir éviter de TUER UNE PETITE FILLE AVEC MA VOITURE
27 notes · View notes
icariebzh · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media
 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, Chère Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginé parler un jour à une Israélienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposé de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayée par l’idée de coopérer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand même décidé de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tué le 14 octobre par une bombe israélienne. Il n’avait que 20 ans et rêvait de devenir thérapeute. C’était mon camarade d’université. Nous nous retrouvions régulièrement devant l’hôpital Al-Shifa pour aller ensemble à l’université.  
Je suis née à Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quitté l’enclave, qui est une vraie prison à ciel ouvert, tu sais. A l’université, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothèque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentréechez moi, j’adorais dévorer un énième livre de ma bibliothèque tout en buvant du thé vert, ma boisson préférée. Je pourrais te parler des heures de mon université. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agréables où se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passé. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant à mon diplôme, que j’étais censée obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le décrocher.
Désormais, je suis réfugiée à Deir al-Balah, après avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan Younès, où je suis restée quarante jours sans mes parents et mes petites sœurs, qui étaient restés dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvés en décembre. Nous avons la chance d’avoir trouvé un abri, un toit, des murs. Même s’il me paraît toujours étrange d’appeler ça un abri, étant donné que nous ne sommes protégés ni des bombes ni d’une famine ou d’une épidémie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une Israélienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des Israéliens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est élevés pour vous haïr. Vous n’êtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent à nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout résoudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre à connaître les personnes qui revendiquent leur droit à cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu accepté d’entamer cette conversation avec moi ?
Malgré notre adversité, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-être que nous ne pensons pas si différemment finalement, et que nous avons même des choses en commun. Où habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai été incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence même à me désintéresser de mes activités favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal à trouver des légumes, tout est cher ou inexistant. Je déteste voir les rues inondées d’ordures et d’eau sale, les écoles et universités bombardées ou fermées. Je suis fatiguée de sentir la fumée de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vêtements. Et de devoir me déplacer en âne ou en charrette. La ville où j’ai grandi a été ravagée. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothèque aussi. J’ai vu une photo de ma rue à Gaza City, elle est méconnaissable. C’est devenue une ville fantôme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensée. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons détruites. Très peu de centres de santé peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmenté, tout comme les accouchements précoces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dès qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as déjà questionné la légitimité de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face à l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’Israël peut-il se qualifier d’Etat démocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sûre que tu es, comme tous les êtres humains, dotée de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colère, la compassion. S’il te plaît, prends pitié de nous. Dis à ton peuple de cesser de nous priver de notre humanité. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
Tumblr media
 « Zoran, centre d’Israël, 25 mars 2024, Chère Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomètres de Gaza, je n’ai jamais parlé à quelqu’un de là-bas. Premièrement, je souhaiterais te dire que je suis désolée de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincères condoléances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mémoire soit honorée.
 Permets-moi tout d’abord de me présenter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis étudiante en droit. Je m’intéresse au droit pénal et au droit international. J’aime également faire du bénévolat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financière de la part de l’Etat. Désormais, ma ville, Sdérot, comme toute la région limitrophe de Gaza, s’est vidée de ses habitants. 
 J’ai quitté ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hébergée par la famille de mon petit ami à Zoran, dans le centre d’Israël. C’est plus calme ici, contrairement à ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancés quotidiennement de Gaza sur le sud d’Israël détruisent tout ce que j’ai. Mon université est fermée, mais nous pouvons suivre nos cours à distance, en visio. 
Je suis née et j’ai grandi à Jérusalem. J’étais scolarisée à l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], où la moitié des élèves sont des Israéliens juifs et l’autre moitié des Palestiniens citoyens d’Israël ou résidents de Jérusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai fréquenté cet établissement jusqu’à la fin des études secondaires. C’est le seul lycée mixte en Israël où enfants juifs et palestiniens étudient ensemble.
Mon éducation était donc très différente des autres enfants de Jérusalem. Je parlais quotidiennement à des Palestiniens, des Arabes. Les mêmes que la société nous apprend à haïr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me fréquenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprémacistes israéliens ont même mis le feu à mon école. Ces années ont fait évoluer ma vision de la société israélienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrés en Israël. Avec mon petit ami, nous nous sommes précipités dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restés enfermés pendant près de deux jours, sans électricité ni réseau téléphonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes à l’extérieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le père et la sœur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sécurité, dans le centre d’Israël. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiée. As-tu entendu parler de ce qui s’est passé en Israël ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des Israéliens ont terriblement souffert ce jour-là. Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont été brutalement tuées, kidnappées. Et il y a encore des otages israéliens à Gaza dont on ne connaît pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore détenues à Gaza, selon les autorités israéliennes]. Dans mon quartier, les premières victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes âgées d’une maison de retraite. Près de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui était pourtant une militante pacifiste de longue date, a été tuée. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les décisions du gouvernement israélien pour justifier la violence à l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut être une réponse à l’occupation. Si je comprends la nécessité de la résistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en Israël sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delà de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe à Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout après avoir vu des vidéos dans lesquelles des Palestiniens célébraient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours à la violence et à la cruauté, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocités commises par Israël contre les Palestiniens au fil des années, de même que la violence subie par les Israéliens, sont également condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menée actuellement par l’armée israélienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes à Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandé si j’avais déjà remis en question la légitimité de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persécution à travers le monde. Que ce soit les ancêtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mère au Maroc, ils ont été persécutés parce qu’ils étaient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, désignant l’exode en 1948, à la création de l’Etat d’Israël, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsés par les nouvelles autorités]. Mais il est important pour moi de te rappeler le désir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivé de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontré un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de défense israéliennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’Israël tentait de les assimiler pour les affaiblir et les séparer des autres Arabes israéliens. Ça m’a fait réfléchir. Personnellement, j’ai eu la chance d’être exemptée de service militaire pour raison médicale, mais mon petit ami, qui a refusé de servir, a passé six mois dans une prison militaire israélienne.
Nous sommes une minorité en Israël à questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont été arrêtés pour avoir manifesté ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose à faire serait de partir, d’aller quelque part où des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait égoïste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiète de ce qu’Israël deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vécu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses générations avant la création de l’Etat d’Israël. J’espère que nous pourrons un jour être tous égaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à étudier le droit international : ne plus être impuissante face à l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littérature russe classique, comme Dostoïevski ou Tolstoï. Mon livre préféré est “Anna Karénine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussée à étudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment était ta vie avant la guerre ? Où vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine à quel point cela doit être difficile pour toi. Je me réjouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
Sincèrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
youtube
11 notes · View notes
lupitovi · 1 year
Photo
Tumblr media
Ernest Pignon-Ernest 
Quel crédit accorder à un artiste (un écrivain aussi bien) qui ne toucherait à aucun moment de son art au cœur même de l'humain ? Qui ne serait cet archer qui annonce à sa façon, en poète qu'il est : « Et d'un oeil avisé nous mirons droit dans la rime.» Bonheur de l'anagramme : rime, mire (rima). Le cœur de l'humain ? Métaphore du romantisme à travers les siècles, pour reprendre le titre d'un livre de Philippe Muray qui désigne en vérité, comme nous le signifie un poème du XVIII siècle, le sexe, plus précisément le sexe de la femme. Le tireur à l'arc, chasseur de fauves : « Et nous mettons droit les yeux dans la fente/Et nous ne tirons jamais de coups décochés en vain. S'il est un artiste, poète et chasseur qui sait mettre droit les yeux dans la fente du réel, de tout le réel, c'est-à-dire dans le lieu où le réel s'ouvre pour délivrer son sens; s'il est un dessinateur qui ne tire jamais un trait décoché en vain, c'est bien Ernest Pignon-Ernest. Archée : principe de vie, feu central de la terre. Viser le feu de la femme, c’est viser dans le même temps et plus fondamentalement le feu de la terre, le principe même de la vie. Titre du tableau de Courbet : L'Origine du monde. Le Vésuve sait faire jaillir sa rougeoyante semence sur Naples et la côte amalfitaine. Zelda, épouse de Francis Scott Fitzgerald, dans une rue de Paris, brise la vitre d'une borne d'appel aux pompiers: « Vite, vite, venez Vite, j’ai le feu au cul ! » Naples n'est pas choisi au hasard par Ernest Pignon-Ernest. Présence de Virgile, bien sûr, près de la tombe duquel, en manière d'hommage, il colle son dessin. C'est aussi la ville où Vivant Denon situe sa Belle Napolitaine vue de dos. Vue de dos mais, robe relevée, exhibant son magnifique cul, et la tête tournée, regard aguicheur, vers les mâles suiveurs, vers nous aujourd'hui, les voyeurs du dessin, vers ceux de demain, pour s'assurer auprès de nous, auprès d'eux, d'un effet maximum. Qui m'aime me suive ! Qui me suit me baise ! Force du dessin d'Ernest : il indique que le siècle libertin de Vivant Denon est loin, que le XIX° est passé par là. La femme, de face, exhibe son sexe mais détourne la tête, se cache les yeux. La culpabilité a fait son ouvrage, du coup, son sexe est d'autant plus en feu. Double effet d'obscénité, laquelle, selon Bataille, rend la beauté du sexe encore plus fascinante : la Napolitaine n'est pas nue et elle est velue. Pas nue. Bataille encore: « Je pense comme une fille enlève sa robe. » Ernest dessine comme une fille soulève sa robe. Le dévoilement est autrement plus érotique, plus scandaleux, que le déjà dévoilé. Velue. Présence taboue de l'animalité chez la femme. Breton n'est pas Bataille, on le savait. « C'est une honte, déclarait l'auteur de L'Amour fou (retour à grands pas du XIX siècle dans la poésie du XX), qu'il y ait encore des sexes non rasés. » Merci à Virgile, merci à Pignon-Ernest, d'avoir, chacun en leur temps, fouillé, tisonné les cendres de la honte pour ranimer les laves ardentes du sexe et de l'amour.
— Jacques Henric - Femme avec le feu entre les jambes
98 notes · View notes
frenchcurious · 1 year
Photo
Tumblr media
Vue sur la rue de Rivoli et ses toits - Paris 1er. @Landen Kerr. - source Paris sera toujours Paris.
68 notes · View notes
dostoyevsky-official · 2 months
Note
A little late, but here are my February & March poems, by Benjamin Fondane (1898-1944)
Refus du poème
Les filles du chant sont venues:
-"Veux-tu de nous? Nous sommes nues,
nos lèvres sentent la lavande…"
-Je songe aux ravins de Finlande
où dorment des soldats de gel...
Les vierges de sel du poème
m'ont dit: -"Il est temps qu'on nous aime!
Nous sommes nues sous la peau."
- Je songe aux forçats d'Allemagne:
ils sont maigres sous le fouet...
Les douces mères du sommeil
me choient: "Couche-toi! Les orteils
dressés vers la pointe du somme.
La belle au bois qui dort dans l'homme
ne se nourrit que de baisers…"
-Je songe aux énormes brasiers
qui brûlent autour de la terre...
La vieille édentée de la mort
m'a dit: - "Chaque cheval a son mors.
Ton lot sur terre est la mort lente.
Que ça te déplaise ou non, chante!
Nul être n'a droit au merci...
A quoi penses-tu, ombre vague?"
- O très chère, je songe à Prague !
Je n'entends pas, je n'entends plus
les prières de ses synagogues...
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Je songe au passant qui
Traverse sans hâte la rue.
Que de fois déjà il l’a vue !
Il ne la reverra plus.
Je pense à l’homme qui
Etend dans ses draps une femme.
La vieille chanson que la femme !
Mais c’est pour la dernière fois.
Je pense au poète vieilli.
Voyez : il écrit un poème.
En a-t-il écrit, des poèmes !
Mais celui-là c’est le dernier.
Je pense à l’homme qui
Eteint sa lampe et se couche.
Tant de fois il s’est endormi !
Mais cette fois c’est pour de bon.
Je pense, je pense, je pense
à la vie des éphémères
qui meurent en ouvrant les yeux.
(septembre 1943)
où sont les neiges d'antan ?
8 notes · View notes
chic-a-gigot · 1 year
Photo
Tumblr media
La Mode illustrée, no. 8, 24 février 1862, Paris. Costumes anciens et modernes de César Vecellio. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Nous avons publié l'année dernière, à pareille époque, quatre gravures empruntées au premier volume de l'intéressante collection de Vecellio*; elles ont été si bien accueillies par nos lectrices, que nous leur offrons aujourd'hui des costumes empruntés au deuxième volume de cette publication, qui est complète maintenant.
Ces costumes pourront servir de modèles de travestissements, — mais nous avons trop bonne opinion de nos lectrices, pour croire qu'elles envisageront les gravures du présent numéro uniquement à ce point de vue; celles d'entre elles qui pourront se procurer ce bel ouvrage, qui forme le plus intéressant des albums, en jugeront sur échantillon, ce qui est le plus sûr procédé pour éviter les déceptions; les autres posséderont huit gravures parfaitement exécutées, dont l'examen les aidera à apprécier, par la comparaison, le mérite des modernes gravures sur bois.
Costumes anciens et modernes, de César Vecellio (le Titien), 2 volumes, chez Firmin Didot, rue Jacob, 56.
Ancient and modern costumes by César Vecellio
We published last year, at this time, four engravings taken from the first volume of the interesting collection of Vecellio; they were so well received by our readers that today we are offering them costumes borrowed from the second volume of this publication, which is now complete.
These costumes could serve as models — but we have too good an opinion of our female readers to believe that they will consider the engravings in the present issue solely from this point of view; those among them who can obtain this fine work, which forms the most interesting of albums, will judge of it by sample, which is the surest method of avoiding disappointment; the others will possess eight perfectly executed engravings, the examination of which will help them to appreciate, by comparison, the merit of modern wood-engravings.
Ancient and modern costumes, by César Vecellio (Titian), 2 volumes, at Firmin Didot, rue Jacob, 56.
59 notes · View notes