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#Têtes de Mules
drawnecromancy · 2 years
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Franchement si j'avais le temps et que j'étais pas méga en galère sur le dessin en ce moment je ferais de fou un genre de peinture 'photo de groupe de la première génération de Chevaliers" genre quand ils sont arrivés à Émeraude a 4-5 ans et puis une fois qu'ils sont adultes et chevaliers a 19-20 ans et... Peut-être une fois que j'aurais fini de tout relire, quand ils seront plus vieux aussi :0
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thesimline · 21 days
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Lace as a luxury was carried over from the 17th century, used as a status simple for the wealthy to flaunt. From the mid-century on it migrated to the neck in the form of delicate chokers, which were a fashionable alternative to traditional jewelled necklaces. As hairstyles became larger hat styles became smaller until they were discarded altogether for a time, followed by extremely large hats that accommodated the curls, plaits and frizzed hair beneath. CC links and reference images under the cut.
You can find more of my historical content here:
1300s ✺ 1400s ✺ 1500s ✺ 1600s ✺ 1700s
1 - Hedgehog Hair & Silk Headband by Acanthus Sims
2 - Eleonora Hair by Melancholy Maiden
3 - Sophia 1790s Hair by In Love with the Regency Era
4 - Rococo Hair & Feather and Pearls Accessory by The Regal Sim (Curseforge)
5 - 1770s Four Curls Tall Coiffure & Rose Crown by Acanthus Sims
6 - 1700s Hair 1 by In Love with the Regency Era
7 - Hedgehog Hair & Bergère Hat by Acanthus Sims
8 - Tête de Mouton & Suburban Shopper Hat by Javi Trulove
9 - Hedgehog Hair & Bow Hat by Acanthus Sims
10 - Small Louis XV Hair (A) by Acanthus Sims | Reminiscence Of Flower Hat by Simsonico
11 - Duchess of Devonshire by Historical Simslife | Cavalier Hat V.2 by Strange Storyteller Sims
12 - Small Louis XV Hair (B) by Acanthus Sims | Ruffle Hat by Acanthus Sims
13 - Diamond Pink Earring v2 by Glitterberry Sims (TSR)
14 - Arthur 1 Earring by Yakfarm
15 - Velvet and Pearl Earrings VER.1 by LIN_DIAN (TSR)
16 - Voiles Face Stars by Kismet Sims
17 - A la Quigley’s Mouches by Javi Trulove
18 - Clara Beauty Marks by The Plumbob Fairy (retired - direct download)
19 - Lace Collar 05 by S-Club (TSR)
20 - Lace Collar with Bell by MysteriousOo (TSR)
21 - Pearl Necklace 201915 by S-Club (TSR)
22 - Genius Eden Choker by Genius666 (TSR)
23 - Frill Choker by Euno Sims
24 - Midnight Choker by Pralinesims (TSR)
25 - Ledé Gloves by Vibrant Pixels
26 - Candy Witch Lisa Gloves by Simsonico
27 - Reminiscence Of Flower Gloves by Simsonico
28 - 1760s Rococo Mules by Simulated Styles
29 - Reminiscence Of Flower Shoes by Simsonico
30 - The Regal Sims Rococo Shoe Recolour by Elfdor
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With thanks to some amazing creators: @acanthus-sims @the-melancholy-maiden @inlovewithregencyera @javitrulovesims @simsonico @strangestorytellersims @glitterberrysims @pralinesims @vibrantpixels @simulatedstyles @elfdor
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Collant Tête de Mule le Bourget, 1972.
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yore-donatsu · 2 years
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Une vrai tête de mule ! (He is stubborn)
Don’t forget: Theo is the @doodlesdreaming​’s OC ^^
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jeanchrisosme · 1 year
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Elle. Elle se lève tous les jours à six heures du matin, et part faire sa toilette à l'évier de la cuisine. Il y a bien longtemps qu'elle ne sait plus monter les marches des escaliers, pour aller en haut dans les chambres et la salle de bain. Puis elle se fait un café, c'est son rituel journalier, et là elle se met dans son fauteuil et regarde le temps passer. Il y a bien ses enfants, mais ils ne viennent la voir que pour la fête des mères ou le nouvel an ils n'ont pas le temps, le travail, leurs propres enfants, c'est stressant. Avant, elle prenait une chaise et se mettait devant sa porte dans le quartier, pour papoter avec ses amis toute la journée. Mais un par un ils sont tous morts au fil des années, elle est la dernière, alors elle laisse sa porte fermée et sa chaise bien rangée. À midi elle se fait réchauffer un plat préparé, puis se remet dans son fauteuil pour digérer. Elle somnole repense à son mari, mon Dieu qu'est-ce qu'elle a voulu le quitter en cinqante ans de mariage ! Mais elle a décidé de rester. De temps en temps un de ses petits-enfants vient la voir, mais c'est toujours pour demander de l'argent à leur prêter, ils le lui rendront. Elle sait bien que non, mais elle fait semblant et leur donne à chaque fois un peu, jusqu'à ce quils reviennent en redemander, c'est une visite en somme, enfin un petit peu. A dix-neuf heures c'est le journal elle allume la télé, que de mauvaises nouvelles mais bon, elle se tient au courant de l'actualité. Puis elle va rejoindre son petit lit qu'elle a fait installer au rez-de-chaussée, dans le salon le canapé il y a belle lurette qu'il a été enlevé. Et là, elle rêve enfin, elle se revoit à vingt ans travaillant péniblement, mais le samedi soir dans les guinguettes, elle attirait tous les regards en dansant. Elle revoit la naissance de ses enfants, quel bonheur d'être maman, l'unique amour de sa vie, sa tête de mule de mari. Elle ne dort pas, elle vit dans ses songes la nuit, la journée elle attend juste la mort pour aller rejoindre ses amis et surtout lui...
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publicite-francaise · 11 months
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Collant Tête de Mule le Bourget, 1972.
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aisakalegacy · 2 years
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Automne 1894, Al Simhara, Égypte (2/6)
Toute la nuit, ma tête bourdonna d’excitation, et malgré l’épuisement de mes trois mois de voyage, je ne pu fermer l’oeil de la nuit. Savoir que s’élevaient, si proche de moi, les vestiges immortels d’une si grande civilisation, et que j’allais faire partie de l’histoire en aidant à en révéler les secrets !… Après plusieurs heures, je me relevai finalement, fou comme un diable, et je sortis de ma chambre pour une marche matinale.
Je marchai jusqu’aux ruines du temple d’Amon et je continuai mon excursion le long du Nil. Au port de Sagafa, ma promenade dérangea une myriade d’oiseaux qui s’élancèrent en piaillant dans un vol désordonné pour aller se poser plus loin, là où les portefaix et mariniers étaient moins affairés et ne les dérangeraient pas encore. Assis à même le quais, les jambes pendant dans le vide, des hommes en culotte, veste et turbans buvaient du thé à la menthe en mangeant des dates.
Je réalisai alors que j’étais assoiffé, affamé, et qu’il était temps pour moi de rebrousser chemin et retourner au café du souk. La matinée progressant, les rues s’étaient remplies de fellah en robes bleues guidant des mules chargées de marchandises. Des hommes cachés sous de grands burnous ou des galabeya colorées se bousculaient et se coudoyaient entre les étals d’épices et de tissus. Des Européens, suivant leur drogman dans la foule, se pressaient pour gagner l’ombre des panneaux de bois suspendus entre les maisons pour conserver la fraicheur de la rue.
Je parvins à regagner le café au-dessus duquel j’étais logé. Imitant mon voisin de table, je commandai une fowl - du moins c’est ce que j’aurais juré l’avoir entendu dire, et je m’attendais donc à recevoir de la volaille. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’on m’apporta un plat chaud à base de fèves broyées au sel, au poivre et au cumin : j’avais en fait commandé un foul… Disposé à l’aventure, je mangeai néanmoins, et je fus agréablement surpris par ce plat, comme je l’appris plus tard, que les Egyptiens dégustent pour le petit déjeuner et qui a deux mérites : celui de bien tenir au corps, et de ne coûter presque rien.
Je passai toute ma journée à flâner. Le soir, au dîner, un jeune garçon rejoint ma table, commanda quelque chose et sorti un livre. Il est courant en Egypte que des hommes qui ne se connaissent pas partagent les mêmes tables, je l’avais découvert en arrivant à Alexandrie, aussi je ne m’en formalisai pas. En revanche, je réalisai rapidement que le livre de ce jeune homme était en anglais, et j’entamai la conversation. Ce premier ami s’appelait Ayman : son anglais était maladroit mais il comprenait tout ce que je lui disais, et il m’expliqua qu’il se formait pour devenir drogman - un choix de carrière d’autant plus pertinent que Louxor attire de plus en plus d’Occidentaux, tous prêts à payer le prix pour les services d’un bon interprète. Ce jeune entrepreneur me proposa ses services, que je refusai en lui expliquant que j’avais déjà un drogman avec qui il fallait que je prenne contact. Lorsque je lui donnai son nom, Ayman fut immédiatement en mesure de m’expliquer où il habitait. C’est ainsi que je fus en mesure, dès le lendemain, de rencontrer l’homme qui devint le prolongement de ma voix dès que je devais me retrouver en compagnie non occidentale : Monsieur Farid Kamel.
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titou-nz · 1 year
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Vallée des Rois, Tombeau de Toutânkhamon - Égypte
Le tombeau de Toutânkhamon (KV62) est un hypogée découvert le 4 novembre 1922 dans la vallée des Rois sur la rive ouest du Nil face à Louxor par Howard Carter, égyptologue britannique qui avait été chargé d'effectuer ces fouilles par Lord Carnarvon. Il est célèbre pour son trésor et la malédiction qui aurait poursuivi tous les étrangers ayant violé sa tombe. Carter met dix ans à explorer le tombeau et à en inventorier le mobilier qui constitue une des plus grandes découvertes archéologiques du XXe siècle.
Hypothèses sur la sépulture
Bien que la porte du tombeau ait été forcée dans l'Antiquité, le contenu est resté quasi intact. Plusieurs indices ont convaincu Carter que le tombeau reçut par deux fois la visite de voleurs de sépultures, la première aussitôt les cérémonies funéraires achevées, comme en attestent des passages qui ont été rebouchés avec du plâtre ou des objets déplacés de l'antichambre. La tombe renfermait de nombreux objets de la vie quotidienne et sa découverte a ainsi aidé à mieux comprendre la vie des Égyptiens de l'Antiquité. Le trésor funéraire était composé d'objets d'or, d'albâtre et d'ivoire.
C'est probablement grâce à la volonté des successeurs de Toutânkhamon, Aÿ et Horemheb puis les ramessides, de faire tomber son règne dans l'oubli, que son tombeau a pu échapper aux pilleurs de tombes. Toutânkhamon est, semble-t-il, le dernier pharaon de la lignée issue du pharaon hérétique (Akhenaton) et, avec lui, disparaissent les dernières traces de la période amarnienne. Les noms de Toutânkhamon et de ses prédécesseurs jusqu'à Amenhotep IV sont retirés des listes royales officielles par martelage des cartouches selon le processus de damnatio memoriae. De récentes découvertes, notamment menées par Marc Gabolde, égyptologue à l'Université de Montpellier, tendent à indiquer que l'ensemble du trousseau funéraire était en réalité destiné à sa sœur aînée, la reine-pharaon Mérytaton.
L'entrée du caveau a été accidentellement préservée par les gravats provenant de KV9, qui regroupe les tombes de Ramsès V et de Ramsès VI (la protégeant ainsi de pillage postérieur au règne de ces pharaons) jusqu’à sa découverte par Carter. Il a fallu dix ans à Howard Carter pour venir à bout des fouilles du tombeau, inventorier et conditionner les 5 398 objets qui s'y trouvaient. Il fut aidé dans sa tâche par de nombreux scientifiques, dont le photographe Harry Burton. Au-delà de l'intérêt strictement archéologique du tombeau et de son contenu, Toutânkhamon est devenu également célèbre en raison de la malédiction du pharaon, légende qui naquit peu après la découverte du tombeau, lors du décès mystérieux de Lord Carnarvon en avril 1923. Récemment, une étude d'ADN a été menée sur la momie de Toutânkhamon, ainsi que sur onze autres, par Zahi Hawass.
Plan de la tombe
Seize marches descendent vers la porte d'entrée de la tombe. L'escalier mesure 4,7 m de long, 1,6 m de large et s’enfonce 4 m sous terre. De là, un corridor conduit à une porte fermant l'entrée de la première pièce, appelée « antichambre » par Carter.
L'antichambre, dont les murs blanchis à la chaux sont nus et sans décorations, contenait plus de sept-cents pièces entassées pêle-mêle, la plupart des meubles et des objets précieux du roi en rapport avec ce qui avait pu être la vie terrestre : attributs du pharaon, trois lits funéraires en bois doré (à têtes de lion, de vache et d'hippopotame) et deux lits ordinaires, quatre chars démontés, des sièges pliants, de la vannerie, le trousseau du roi (tuniques, pagnes, ceintures, sous-vêtements, étoles, vêtements de prêtre, vingt-sept gants, quatre-vingt-treize chaussures, sandales et mules en matériaux divers), armes diverses (épées, javelots, arcs, boucliers), objets de toilette (cuillère à fard, tubes à khôl, vases à onguents et parfums, miroirs et nécessaire de rasage), jeux de plateau, instruments de musique (claquoirs, sistres, trompettes), boîtes ovoïdes contenant de la nourriture. Sur le mur de droite, des traces de creusement abandonné indiquent que cette pièce aurait dû être plus grande d'environ deux mètres vers le nord. Sur le mur du fond à gauche, une petite porte surmontée de traits noirs délimitant l'ouverture qu'elle aurait dû avoir, permet d'accéder à une autre chambre.
La chambre funéraire : Au fond du mur droit de l'antichambre, une porte dont des traits délimitent également l'ouverture projetée donne accès à la chambre funéraire (6,3 × 4 m). Son sol est en contrebas d'environ un mètre et ses murs sont enduits de plâtre peint en jaune. Cette chambre contenait trois-cents objets en plus du tombeau situé au centre de la pièce. Seule cette chambre est décorée ; les scènes ne sont pas dans le style traditionnel du décor des tombes. Hâtivement peintes, elles représentent le livre des morts décrivant le voyage de la mort à la résurrection divine :
le mur oriental du caveau illustre un cortège funèbre de douze hauts dignitaires du régime, têtes ceintes du bandeau blanc du deuil (les deux hommes au crâne rasé sont les deux vizirs, dont Aÿ). Ces courtisans tirent par la main le catafalque, sorte de traîneau supportant la momie du pharaon dans sa chapelle en baldaquin.
sur le mur nord, la scène de droite présente Aÿ, coiffé du khépresh et habillé de la peau du léopard du prêtre, qui pratique le rituel de l'ouverture de la bouche du défunt, lequel a l'aspect d'Osiris, maître du royaume des morts. Dans la scène centrale, Toutânkhamon vêtu en souverain (perruque, diadème, collier ousekh, canne droite à bout doré) est accueilli par Nout dans la Douât, la déesse du ciel lui présentant dans chaque main le hiéroglyphe de l'eau. La scène de gauche montre l'enfant-roi, suivi par son personnage-ka qui tient dans sa main l'ânkh. Le défunt embrasse Osiris coiffé de l'Atef, le pharaon et le dieu ne faisant plus qu'un.
sur le mur ouest, la décoration est disposée en quatre registres principaux illustrant des scènes tirées de la première heure du Livre de l'Amdouat. Le registre supérieur montre un cortège de cinq divinités (Maât, la Maîtresse de la barque, Horus, le Ka de Shou et Nehes) qui précède la barque Mésektet transportant l'astre en devenir sous forme du scarabée Khépri, cette barque solaire étant encadrée par deux hommes représentant Toutânkhamon osirifié. Les trois registres inférieurs montrent douze babouins sacrés accroupis, symbolisent les douze heures de la nuit au cours desquels la barque doit accomplir son cheminement.
le mur sud montre le pharaon coiffé du khat et chaussé de ses sandales blanches, qui est revivifié par le signe ânkh de la déesse Hathor et protégé par Anubis.
Une autre petite chambre, appelée « chambre du trésor » par Carter, contenait environ cinq-cents objets, dont vingt maquettes de bateaux, cent-soixante-seize ouchebtis, de nombreuses statues, une statue d'Anubis, le dieu chacal, deux momies de fœtus (les filles de Toutânkhamon mortes avant terme) et un coffre-chapelle aux canopes.
Au total dans toute la sépulture on dénombre 5 398 pièces.
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crescent-city-rpg · 2 years
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Hellow tout le monde ! Changement de design sur Crescent City, toujours fait par @boite-a-idees aka Lilie. C'est pas celui qu'il y aurait dû avoir *regarde son Staff* . Du coup j'ai fait ma tête de mule et j'ai pondu un design qui change TOTALEMENT et qui fait été. Ouais, c'est le mot d'ordre. De la couleur, du peps, du fun. Voici une mise en avant colorée pour notre charmante ville qui ne dort jamais. N’hésitez pas à nous rejoindre sur le forum, nous serons heureux de vous y retrouver !
https://thecrescentcity.forumactif.com/ https://thecrescentcity.forumactif.com/ https://thecrescentcity.forumactif.com/
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patoune-prod · 2 years
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Avalanche chapitre 59
Sur la route de Golmore
AO3 | FF.net
Résumé : Le but est d’arrêter Hojo, détruire Sin, anéantir la moindre cellule de la Calamité. Simple, non ? Et ça le serait nettement plus s’il n’y avait pas d’abord tout un peuple de Fran à convaincre d’écouter. Et en plus de ça, Vincent doit aussi gérer Zéphyr, Riku et tous les cadets d’Avalanche qui semblent soudain le considérer comme la voix de la raison. Ce qu’il n’a jamais été.
Personnages : Team Avalanche, Team Haut Vent, Le clan Cetra, Jote (FFX)   Tags spécifiques au chapitre : Séph VS l’équipage du Haut Vent, il n’est pas prêt, Séph VS les jumeaux, il n’est pas prêt non plus, Séph VS son héritage génétique, toujours pas prêt, Séph VS la tête de mule d’Aérith, il n’est pas prêt mais il fera de son mieux, L’équipage du Haut Vent est très protecteur les uns envers les autres, protect the bunny, Vincent est un adulte responsable à son insu.
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whatdoesshedotothem · 2 years
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[KISS] Sunday 6 July 1834
5 ½
9 5
half hour with her and good long kiss last night A- very sick in the night – packing and dressing till breakfast at 8 – left all behind us as we could – even the journal book – had not even a change of night things and flannels but took 5 chemises, A- had a gown, but not I  - put on my pelisse and black stuff petticoat and light man’s  straw hat I bought at Geneva  and three of my under petticoat took one napkin and paper wore shoes and gaiters and spun silk tops and cotton socks – great coat and tartan cloak and A- had her old Outram  cloak - F64° at 8 a.m.  our 2 guides, and 3 mules (one for the baggage and for George to ride) and ourselves off from Chamouni [Chamonix-Mont-Blanc] at 10 ½ - rode ¼ hour – then walked to Les Ouches [Les Houches] (there at 12 ½) - A- walked with me the last ½ hour – nice little church and village –a little beyond it, turn (left) up the mountain de Vauzaz [Voza] - narrow fenced off path partly thro’ corn fields and wood - pass 2 or 3 chalets - at 1 50 about ½ hour from the top A- sickish and could ride no farther - to crown our malheur, we had a few drops of rain (had had a little shower or 2 before after leaving Les ouches [Les Houches]) and were afraid of the weather however luckily the rain held off and the afternoon and evening were fine - A- sat down on the grass for 35 minutes and this and a little Noyau recruited her and we set off again - David had proposed going to Pavillon de Bellevue on the Prarion [Le Prarion] mountain rising from the Vauzaz [Col de Voza] on our left - but I determined to try for Contamine [Les Contamines-Montjoie], 2 hours nearer than Nantbourrant [Nant Borrant] which we had hoped to reach - at 3, we
SH:7/ML/E/17/0052
 reached the top of the Vauzaz [Col de Voza], on the chalet there (very swampy in places) a sort of, as called hereabouts, of col or hollow ridge between the higher mountains Parion [Le Prarion] and Forclaz? – that we had not sooner reached the top then we began the descent – at least we had not much level ground – crossed the valley not far from the foot of the Glacier de Bionnassei [Bionnassay], leaving the village of that name at a distance (left) on the other side – very fine view down the valley of B- and thence into the valley of Montjoie down towards St Gervais and up to Tresse, the good church and village of St Nicholas de Verosse [St.-Nicolas-de-Véroce]  being en face - A- better and we got down pretty well (walked down the steep parts) to Contamine [Les Contamines-Montjoie] at 5 10 - just after beginning the descent Michel hailed Auguste Coutet baron de Müller’s guide who had borrowed money for him (350fr.) and then been sent off with 5/. at Novara (not far from Turin) to wait for the baron somewhere for a few hours in which time my gentleman got off leaving Auguste to pawn his saddle and get home as he could - the 1st time any traveller had ever played such a swindling trick to any guide of Chamouni [Chamonix-Mont-Blanc] - the baron was to have gone to the top of Mt. Blanc - had agreed with Joseph Coutent for 1200fr. - has left 300fr. of debt at Geneva - David and I would fair persuade ourselves it could not be, but that M. le Baron would return - he told Auguste he had lost his purse with 350fr. in it in the mountains - the auberge de Glacier à trios têtes at Contamine [Les Contamines-Montjoie] (a good little Alpine town with good church) quite a village auberge but we were very tolerably comfortable – no curtains – no dressing room – no foot pails – not more than a pint of water each – and small brown pie-dish like basins to wash in - Sat over dinner from 6 ½ to 7 ¾ , good roast veal and chicken etc – vin d’Asti blanc, 1st time of our tasting it - sweetish like cider, but so good we drank  2 bottles - fine day till a few drops of rain soon after leaving Ouches [Les Houches] and little bits of showers at intervals till after 3 - then fine till about 6pm and afterwards rain - F64 ½° at 8 ¼ pm - A- went to bed at 7 ¾ - found her fast asleep on the bed - helped her to get her things off and put her to bed she was literally tipsy
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sadistiicangel · 17 days
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• SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES •
CHAPITRE 4: Sortir ou ne pas sortir...
Dès son réveil, Syana était chez elle. Elle aurait juré s'être endormie– enfin… s'être évanoui, dans cet étrange endroit. D’être passé par un arbre et avoir vu ces gens si… surprenant. Comme tout ce qu'elle vivait depuis maintenant environ plus d’une semaine…
Tout était si irréaliste, si surréel, qu'elle pensait que tout était un simple rêve qu'elle avait inventé, une histoire improbable se jouant dans son esprit tous les soirs…
Ce jour-là, elle se réveilla, en pyjama, son bras bandé et plusieurs pansements aux jambes, ayant également un bandage au cou.. Elle n'avait certes plus autant de douleurs comparé à la veille, même aucune pour dire vrai, mais elle était également sûre de ne pas s'être soignée. Surtout aussi méticuleusement. Têtue comme une mule, elle préférait "attendre que tout se soigne et passe"... Elle pencha la tête tout en se levant alors, voyant des sacs de courses, pliés. Aurait-elle… enfin fait ses courses ?
Ahah, bien-sûr que non. Pourquoi je pense à ça… Penser a des courses alors que j'ai d'autres problèmes—...
Qu'elle stupide pensée et ironie de penser à ça après tout cela… Aurait-elle oublié qu'elle l'avait fait ? Non. Tout était étrange… mais alors qu'elle avança, allant ouvrir son frigo, elle constata que oui. Tout était rempli, rangé à sa façon. Chose surprenante dire qu'elle n'en avait aucun souvenir. À nouveau. Une bribe de souvenir vint lui heurter la tête, elle se souvint de son altercation avec cet homme. Nathan…? Et ce Garance également… Huh. Si elle avait encore un cerveau en état de marche, cet homme devait… L'aider ? L'aider… Huh, qu'elle poisse, elle n'avait pas besoin d'avoir un baby-sitter, ni même d'être surveillé tel un bébé. Enfin… même si elle était immature, enfantine et totalement ignorante sur bien des choses l'entourant visiblement. Sa propre vie semblerait-il même…
Tournant alors dans les petites pièces de son appartement, elle vit des mots au sol, posé sur sa veste et ses chaussures.
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“ Ne gaspille rien, je ne le ferai pas toujours. Je ne serais pas ton baby-sitter tous les jours. Si tu as des questions, écris les. J'y répondrai en temps voulu.
Ne fais pas de conneries. Je ne suis pas là pour te surveiller H24. N.”
Sec et autoritaire, même dans de simple mots… Elle su à ce moment qu'elle n'avait pas rêvé. Ces choses lui semblaient, et avaient été, bien réelles. Cet homme l'avait bel et bien "aidé". Mais, répondre à ses questions… Elle regarda rapidement autour d'elle, ses cheveux lui tombant devant le visage, elle fonça presque vers un carnet vide et un stylo. Peut-être devrait-elle… écrire, comme il le lui disait, dedans, pour se souvenir de toutes ces choses. Des choses qu'elle croyait décidément onirique mais qu'elle avait en tête, même après tout cela, ces choses auxquelles elle se disait de ne pas croire ou se dire qu'elle perdait la tête, dire que tout avait été plus que réel... Elle le savait ... Se mettant alors à écrire, elle lista les diverses choses précisément, déjà vécues, la date. L’endroit, même si elle n'en était pas sûre… Tout simplement les choses telles qu'elles les avaient vu, ou "vécu".
–·Journal de Syana·–
Les étranges évènements
25/09
J'ai été en ville, pas loin de l'appart le matin, j'ai vu un étrange magasin ! "MAKE A WISH". Étrange hein et j'ai fait un vœu stupide, je sais qu'il se réalisera pas. ):
29/10
J'ai voulut sortir faire des courses, faut bien manger hein.
Me suis perdu en ville, j'ai atterri trop loin (deux/trois arrêts après le centre-ville-) dans un petit village étrange. J'ai l'impression d'être déjà venu là-bas, mais pourtant aucun souvenir. Les gens étaient tous si étranges, ou ils me voyaient pas du tout ou ils me fixaient comme si j'étais un morceau de jambon…. )'': J'sais pas si c'était un rêve ou non, mais ça à l'air si réel vu mes souvenirs… J'ai atterri dans une auberge, voulant demander mon chemin, mais la femme était trop bizarre aussi. Souriante et aimable, puis a chaque fois qu'elle revenait, elle était plus grande et chelou-! Flippant !! O: J'voulais pas crever là donc j'ai fuis (en mode ninja lol par la fenêtre de l'étage) j'ai eu hyper mal et j'ai atterri chez un type chelou aussi plus loin. Il m'a aidé, mais la femme m'a retrouvé, elle était archi flippante!! Doublée en taille et en articulations WTF ! Elle m'a assommé je crois, et beaucoup blessé, avant que des types étrange (mais pour m'aider vraiment !) La tue lui et le type. Quand me suis réveillée, j'avais des douleurs partout.
Résultats, j'ai pas pû faire mes courses a cause de ça hhhh- ):< Tant pis… c'est pas la fin du monde pour autant—
31/10
Cette fois je voulais vraiment faire mes courses ! Même si mon état était bof bof… C'était encore un mauvais jour pour moi, je supportais pas les bruits aujourd'hui. J'étais sortie après avoir eu peur. Si sortir fini toujours comme ça, j'veux rester enfermé…
Mais j'suis sortie, à pied cette fois. Mauvaise idée car cette fois, c'était encore plus bizarre !! J'étais dans un bouchon de gens, et contre un mur en voulant être tranquille. Mais j'ai vu au travers (???) Genre… les gens derrière, ils étaient en blancs et ils faisaient passer les gens sous des bâtons étrange… j'ai flippé et la une femme m'a pointé en disant "Elle en fait partie !!" Ou j'sais plus… Faire partie de quoi ? Je suis toujours seule alors-... J'ai fuis, mais j'me suis cogné à un type aussi étrange, mais il m'a aidé à fuir de ces gens. Ont a atterri à un endroit calme et entouré de bâtiments, mais moi j'voyais un immeeeeense arbre ! Et j'suis rentré dedans ! J'étais : ÔÔ. C'était comme un immense bâtiment dedans, et le type (Nathan) à dit que si je voyais l'arbre, c'était bien… WTF encore. Mais dedans, un type (Garance) m'a dis plusieurs choses, et que j'étais comme eux. J'ai du passer la tête dans un grand aquarium qui s'est allumé quand ma tête est passée. Il m'a dis que j'étais un "RANG 5" Mais j'y comprends rien moi à tout ces trucs… Rang de quoi ? Et sur combien ?? Comme dans un jeu-? Donc j'suis nul quoi–...
J'crois me souvenir que je m'étais évanouie d'un coup- babam-!
02/11
Me suis réveillé chez moi, dans mon lit. Les courses étaient faites et ranger comme je fais toujours. Mais j'ai aucun souvenirs d'avoir pu ENFIN les faire. Ce type, Nathan, c'lui qui visiblement m'a ramené chez moi et fait tout ça. Et il m'a donné l'idée d'écrire mes "souvenirs" quand c'est frais/qu'ils reviennent. Comme ça je sais que j'deviens pas totalement taré ! )):<
Je vais essayer de sortir encore, juste pour prendre l'air, me changer les idées. J'écrirai la suite plus tard si un truc bizarre est arrivé. ): Mais j'espère que rien arrivera… ahah-
•🔸•
Elle referma son carnet, soupirant longuement. Déjà quatre choses .. dont trois étaient véritablement étrange. C'était comme si écrire ces choses l'avait aidé à s'en souvenir pour de bon, les revoir comme si elle venait tout juste de les vivre… alors même qu'elle était un véritable poisson rouge. Écrire… elle pensait garder ce carnet sur elle, en cas de besoin. Elle voulait s'assurer que demain, tout cela n'ai pas été un stupide rêve sortit de son imagination farfelue digne du chapelier fou. Tout était si étrange, si… mouvementé et fou depuis ce vœu. Elle avait simplement dû réaliser que la VRAIE vie n'était pas si pâle et plate de mouvements, surtout depuis ce jour-là. Ou alors, chose la plus plausible pour elle, elle avait eu un tel coup sur la tête qu'elle en était devenue vraiment folle.
Allant alors s'habiller après tout cela, elle regarda juste son état, sa peau visible, elle soupira... pitoyable, pensa-t-elle en tapotant sur son t-shirt une fois enfilé. Elle alla alors devant son cher Yuyu, étalé au sol en un magnifique flop. Elle esquissa un sourire, le caressant tendrement, allant alors lui mettre plusieurs choses à manger et à grignoter. Si elle sortait, elle ne voulait pas le laisser sans rien.
Mais… où aller ?
Comment ?
Était-elle sûr de vraiment vouloir sortir ?
Chacune de ses sorties s'était soldée par un truc étrange. Mais… elle ne risquait trop rien si c'était prêt de chez elle. À un ou deux arrêts… ce n'était pas loin, rien de risqué en soit.
Prête et ayant mis sa veste en plus de sa chemise, la bleutée pris son itabag sur son dos. Carnet. Bouteille d'eau. Médicaments. Ses clés et des sucreries, elle avait tout… elle souffla alors, enfilant des chaussures avant d'aller vers sa porte. L'hésitation la prenant encore, elle resta ainsi un long moment. Hésitant encore et encore. Devait-elle y aller ? Devait-elle rester ici…? Elle inspira plusieurs fois, serrant une bretelle de son sac, ouvrant alors la porte avant de sortir d'un coup.
« … Allez So' tu peux sortir, t'vas pas… avoir des trucs étranges, hein… les regards et remarques, c’comle d'habitude, alors…! »
Elle secoua fortement la tête, ayant quelque peu mal suite à un tel geste mais tentant de se rassurer elle-même , même si… la positivité et elle, ça faisait deux. Aller dans ses magasins habituels, tout irait bien!
Une fois dehors, son regard semblait se porter sur tout autour d'elle, comme si elle tenait à faire attention à tout ce qui l'entourait, à toutes ces choses qu'elle semblait ignorer… Marchant dans les rues, allant vers l'arrêt de but le plus proche, elle souffla de soulagement. Elle était arrivé jusqu'ici déjà, saine et sauve! Stupide. Se disait-elle en secouant la tête face à sa propre remarque. Elle reste alors debout, attendant, l'arrêt affichant un simple "2 MIN"... Deux minutes à attendre, tout irait parfaitement bien. "C'est pas le même sens que l'autre fois", se fit-elle pour à nouveau calmer son anxiété soudaine. Elle acquiesça pour elle même, avant de voir une femme devant elle. Ayant été tellement dans ses pensées pendant un instant, elle n'avait pas fait attention aux gens l'entourant alors, et cette femme devant elle, semblant lui demander le chemin. Ne comprenant pas totalement, elle secoua négativement la tête, reculant un peu vers un endroit vide de monde, sur le côté de l'arrêt…
Les deux minutes passant bien vite et le bus arrivant également, elle se mit en position, allant bien vite dedans, mais encore une fois… dans un espace vide de monde, ou tout du moins… où elle ne serait pas écrasé et compressé comme une sardine. Son masque sur le visage et ses écouteurs aux oreilles, Syana regardait le paysage défilé, décidé, également, a ne pas louper son arrêt. Enfin… ce qu'elle aurait espéré… Car à nouveau la pauvre aux oreilles pointues venait de louper son arrêt. Mais à cause de sa rêverie éveillé, de ses pensées… En soit ce n'était rien mais, elle venait d'atterrir vers d'autres magasins. Sortant tout aussi rapidement qu'elle était entré dans ce bus, elle regarda devant elle. Plusieurs magasins de vêtements, des longues rues menant à ce qu'elle savait être un grand square. Mais n'allant nullement là-bas, elle avança, voyant plusieurs petites boutiques au passage. Des petits bazar, des bibelots en tout genres et bien des livres pour la plupart. Un léger sourire aux lèvres, Syana continuait son chemin, apaisé pour le moment. Tout était absolument normal. Peu de gens certes, mais les magasins et la vie dedans la rassurait grandement. Comme si savoir que du monde vivait ici et que tout n'était pas désert la rassurait.
Ce fut au bout de six… non, plutôt huit bonne minutes de marches qu'elle retrouva ses repères après avoir marché sans arrêt et... plutôt rapidement. Des magasins et des maisons peuplant les larges rues, des routes et de longs passages piétons… tout était… normal. Elle entra alors dans un petit magasin, enfin… une boutique disait-elle, passant les trois marches d'entrée, l'atmosphère lui étant familière et agréable. De longues étales plutôt étroites ou des mangas était disposés. Des vitrines par endroits laissant la place de contempler des figurines en tout genres, des petites choses diverses. Des romans exposés. Elle ne venait que parfois ici, pour s'évader un peu et profiter de ses passions… l’endroit n'était pas immense mais tout était bien remplis, bien des choses se trouvait ici aussi étonnant que ce soit, et même si elle n'achèterai rien, une simple visite était plus que suffisant pour elle. Elle souriait doucement, passant les couloirs de livres. Les petites commodes de goodies. Se baissant, elle sentit alors quelqu'un lui tapoter le bras.. elle ravala sa salive, tournant doucement la tête, voyant une femme, large sourire aux lèvres.
« Je m'excuse de vous déranger mademoiselle, mais votre sac est magnifique ! J'en ai rarement vu d'aussi décoré et aussi beau, c'est impressionnant ! Vous devez être incroyable...~
- O-Oh… m-merci beaucoup— »
Cette simple interaction avait étrangement perturbé Syana. Certes elle était bien asociale, n'aimait pas parler hors en s'y forçant, mais... certe remarque était… gentille, adorable même, au vu de l'importance et de sa propre admiration pour son sac… mais ce sourire avait quelque chose de perturbant pour elle. Et encore bien plus lorsqu'elle s'éloigna, constatant que la femme avant toujours cette expression plaquée au visage alors même qu'elle la fixait encore en agitant la main en l'air. Prise d'un étrange sentiment doublé de panique, elle recula, un sourire forcé au lèvre alors qu'elle regardait cette femme avant de voir ce qui lui semblait être le gérant du magasin. Elle ignorait quoi penser de tout cela, peut-être abusait-elle, peut-être se faisait-elle trop de film pour une si simple chose. Oui. Un simple sourire et de la gentillesse. Syana souria simplement nerveusement, sa voix sortant en un craquement aiguë la trahissant.
« E…Excusez-moi— Monsieur ... ? Est-ce que vous savez où est l'arrêt pour partir dans l'autre sens…? Vers… le grand quartier ..?
- Le grand quartier ? En direction de la ville mademoiselle ? Hmm, longez notre magasin et vous le verrez alors, il n'est qu'à quelques mètres plus loin !
-M…Merci- ! »
Un simple sourire masquant tout cela et une légère courbette fut les seuls geste de la demoiselle aux oreilles pointues, qui, serrant son sac partit alors. Elle avait pu voir des choses et se détendre un court instant, mais tout cela n'avait été que d'un court instant… ce sentiment dérangeant et cette sensation de mal-être à nouveau. Elle secoua la tête intérieurement, sortant du petit magasin d'un pas précipité non sans paraître elle-même étrange.
Mais, elle n'avait rien à se reprocher, ce simple sourire, bien trop poussé et exagéré lui avait rappelé cette fois-là, à cette auberge. Cette fem- non. Cette chose. Et cet homme également… Pourtant, un simple sourire n'avait rien d'étrange en soit, mais là… Se stoppant quelques mètres plus loin de ce magasin, elle pu constater la présence de cette même femme qui l'avait étrangement rendu si "mal", et de ce gérant. D'où elle était, elle pouvait encore les entendre, mais elle pouvait également clairement les voir. La femme paraissait tout à fait ordinaire vu ainsi, aimable et douce, mais ce sourire... comme si des épingles le tirait jusqu'à ces oreilles… et le regard de cet homme qui lui semblait avoir changé de couleur- non... La pupille en elle-même lui semblait étrange… tout n'était pas qu'une simple hallucination, elle le sentait. Baissant quelque peu les sourcils en les regardant, elle se doutait qu'ils parlaient sur elle, elle le voyait bien, ce n'était pas de la simple paranoïa, mais même en étant proche… elle n'entendait rien. Elle voyait les mouvements de leurs lèvres, ces regards posés sur elle, mais elle semblait incapable de les entendre, de comprendre ce qu'ils disaient. Comment était-ce possible -?! Comment, alors même qu'elle n'avait aucun écouteurs et entendait les bruits environnants, ne pouvait-elle pas les entendre eux, de toutes les choses présentes autour d'elle. Commençant à paniquer, elle recula à l'inverse d'eux. À reculons. Loin… très loin d'eux. Ces sourires semblant la suivre dans son esprit, elle ne sembla à nouveau plus faire attention aux choses l'entourant. Si bien qu'elle se percuta à quelqu'un, la remettant droit dans sa tête et bondir en avant avant de se tourner face à ce qu'elle venait de cogner. Avait-elle percuté quelqu'un comme ces gens, quelqu'un d'étrange -?! Quelqu'un qui allait lui en vouloir ? S'excusant en un petit grognement, ce fut en relevant la tête qu'elle remarqua la dite personne. Une grande carrure habillé de noir, des yeux noisettes, et des cheveux bruns. Une tresse d'un côté. Elle reconnut de suite tout ce look, un regard de surprise au visage, elle compris qu'elle ne rêvait pas. Elle… espérait.
Regardant l'homme, elle semblait surtout se demander ce qu'il pouvait bien faire ici… Et ce qu'il la suivait ? En avait-elle après elle car il devait "s'occuper" d'elle…? Elle l'ignorait, mais étrangement, la présence de l'homme semblait la rassurer en soit. Avoir quelqu'un qu'elle “connaissait”... Quelqu'un qui l'avait déjà aidé, même si ce regard était loin d'être amical.
« J…Je… désolé.
- Mhn. Recule.
- Huh…?
-Je t'ai dit de reculer. T'es sourde ? »
Pesta le trentenaire en frappant le mur le plus proche avec le plat de sa main. Geste qui fit sursauter Syana, mais qui également lui fit se poser bien des questions. Qu'avait-elle fait pour l'énerver ainsi ? Elle le regarda, le passant alors en reculant tout en le fixant un instant, restant dans l'incompréhension totale. Mais en regardant le mur, elle cru constater.. un petit bout de miroir, ou quelque chose avec une face reflective, perceptible uniquement depuis le bon endroit, et à un endroit d'ordinaire non visible, qui n'attirait pas l'attention. Elle l'avait simplement remarqué en suivant le mouvement de la main du brun… Mais, pourquoi ? Pourquoi avait-il fait cela et surtout ainsi. Pourquoi poser un bout d'elle ne sait quoi au mur ? Une grimace au visage, elle soupira quelque peu, se tenant la tête, ces deux personnes semblant toujours être là, à la regarder, à la fixer de la sorte… elle ne comprenait rien à tout cela. Pourquoi tant de chose étrange lui arrivait à chaque fois maintenant ? Pourquoi tout ces gens semblaient la dévisager tel un monstre étrange…? Pourquoi elle? Elle secoua légèrement la tête, cette dernière recommençant à lui lancer quelque peu, semblant partir pour rentrer. Elle ne voulait pas rester ici, ne plus sortir de chez elle semblait décidément la meilleure solution il faut croire, avec toutes ces choses lui arrivant, sans arrêt… S'arrêtant un peu plus loin, contre le mur à quelque pas de l'arrêt souhaité en attendant le bus, elle se décida à rapidement sortir son carnet ainsi que son stylo, se décidant à noter tout cela, pour ne pas oublier, pour être sûr qu'elle ne rêvait pas tout cela. Même si tout était flou dans son écriture ou incompr��hensible pour quiconque,belle tenait à avoir une preuve, une tracee… et ne sachant pas si cet homme était toujours là, non loin d'elle, ou s'il l'avait laissé ainsi-...
02/10
Je suis sortie quand-même, je voulais prendre l'air et profiter même si je sais que ça me réussi jamais…, mais avec tout le monde j'ai loupé ma destination à un arrêt prêt. J'ai marché et suis arrivé au magasin, heureusement ! Une femme a dit que mon sac était beau, mais elle avait sourire étrange, comme gérant magasin- J'ai "fuis" mais ils m'ont suivit en me fixant avec sourire bizarre. Me suis cogné à ce type encore. Il s'est énervé en plus. Jsp si rêve ou réalité, mais je suis pas bien quand les gens sont comme ça. Toujours quand je décide de sortir.
« Aah… »
Elle soupira, se remettant droite, carnet en main. Mais visiblement, ce fut la seule chose à laquelle elle pu faire attention en entrant dans ce bus, la tête prise dans un étau de douleur, les oreilles bourdonnant et cette constante boule dans la gorge, ses pas peu sûr également… Elle ne remarqua pas non plus la présence du brun à ses côtés, éloignant visiblement bien du monde autour d'eux. La laisser ainsi serait risquer bien des choses pour lui, tout comme pour elle.
J'suis quoi au final ?
Pourquoi ça m'arrive à moi ?
« Pourquoi… ? »
Moi.
Je veux juste être tranquille… Comme avant—
Je veux rester dans le noir…
Pourquoi…
« Pourquoi... ? »
Moi-...
Je veux rester dans le noir.
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FIN DU CHAPITRE 4.
© sadistiicangel – 2024. All art and writting by sadistiicangel ! Do not copy / steal / trace/ repost anything please. Thx.
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7h15
Arrivé au boulot ; le premier arrivé au boulot
Qui c'est le boss ?!
Je me suis fait un café, trois doses... BrrrrrrBrrrrrrBrrrrrrrrrrrrrr... Puis j'ai pris le couloir, ouvert la porte du bout, descendu l'escalier en colimaçon, tourné à gauche, ouvert la porte pour changer de bâtiment, descendu l'escalier intermédiaire, badgé...
... A la main, j'avais donc un café trois dose ultra rempli, un livre, ma carte pour ouvrir les portes, et une ampoule. Au dos : un sac rempli, notamment d'un ordinateur.
... En équilibre sur un pied, avec la tasse entre les lèvres, j'ouvre la porte. Dans le mauvais sens.
Je l'ouvre dans le bon sens. Passe le sas en ouvrant l'autre porte. tourne à droite, évite l'ascenseur de l'enfer, tourne à droite après, ouvre la porte (dans le bon sens directement) en la tirant... et j'attaque les deux étages.
En haut, j'ouvre la porte. Toujours chargé comme une mule.
J'ouvre la porte de sécurité incendie du couloir. et... Je trouve la clé dans la cachette à clé. J'ouvre ma porte et je pose ce bordel.
Mes stagiaires ne sont pas encore là.
... Là, je retire les trois chansons (sur 5) de la compil de la pause de cette journée de conférence pour ne laisser que deux qui me saoulent, mais qui plaise à la commanditraïiice en cheffe.
(edit : j'ai Jerusalema en tête et ça rend fou)
et je me dis... finalement, j'aimerais bien être dans tumblr.
bon, il faut que je change l'ampoule.
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thomas-querqy · 2 months
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A Bratislava, hormis au Danubiana Meulensteen Art Museum, pas grand-chose d’artistique à se mettre sous les mirettes. Comme la Galérie Nationale Slovaque a fini par rouvrir, notre sextuor a passé un bon moment dans ce bel écrin. Ici comme partout, impossible d’échapper aux « propositions artistiques » néoféministes. Elles sont souvent conceptuelles avec beaucoup de texte, sans l’humour et la provocation des artistes féministes des années 1960 et 1970, comme par exemple les performances de Valie Export que j’ai découvertes à Wien, ou celles d’ORLAN.
Pour ce qui est de la collection permanente montrée, point de représentations de corps nus masculins (à part ceux sanguinolents du Christ et autres martyrs), si ce n’est une gravure très chaste de Eugen Krón de 1920. A la Galerie de la Ville de Bratislava, où le principal intérêt est de nouveau le bâtiment, un ancien palais baroque, impossible de manquer la photographie à l’échelle 1:1 d’une femme nue qui n’a pas l’air commode.
Nos hôtes ont trouvé la ville bien mieux que ce qu’ils avaient imaginée, en particulier Mario qui n’avait aucune image en tête. Parmi les bâtiments témoignant du passé communiste de la Slovaquie, une des constructions emblématiques de la ville, l’UFO surplombant le pont SNP, où entraînés par une musique groovy, l’on a bu trop vite notre Moscow Mule à la nuit tombante...
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Chantal par Leo Pol (Fiona a pensé que ça me plairait)
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poesiecritique · 2 months
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Les nomades du fer, Eleanor Arnason, Argyll, 2023 (1991), trad. Patrick Dechesne
C'est une longue fresque, une longue épopée, 568p. ou 586p, traduit de l'anglais et du temps, première publication en 1991, première traduction en français par Patrick Dechesne publiée en 2023, par ou pour ou depuis les éditions Argyll, qui bossent, on peut pas dire, depuis trois ans, ça bosse.
Au dos, une petite phrase de Jo Walton, connaissez-vous Jo Walton ?, c'est une autre autrice de science-fiction, je n'ai pas tout lu, mais j'aime beaucoup, j'ai commencé par Mes vrais enfants, un trouble de la cognition, elle dit "confuse", un trouble venant à un âge certain, la question de l'âge est si peu traitée dans les récits de science-fiction, ça n'est pas tout à fait vrai, mais c'est plus généralement pour dépasser le temps, le dompter, en sortir vainqueureuse. Bref, Jo Walton adoube Arnason, qui est aussi comparée à Ursula Le Guin.
Ursula Le Guin, je l'ai déjà écrit ailleurs, est un vieux compagnonnage. Ca date depuis plus de 20 ans, ce n'est pas dans l'effervescence actuelle que Le Guin, tout à côté de Mead, sont proches et fantomatiques. Je l'ai déjà dit aussi, ce qui m'intéresse tant chez Le Guin c'est la visée anthropologique de son œuvre. Elle invente des mondes aux règles sociales, aux philosophies, aux langages, aux religions différentes. Il n'est pas question de transposer les problèmes actuels dans un autre décor. C'est autre chose.
C'est aussi ce que fait Eleanor Arnason. Dans Les nomades du Fer, il y a plusieurs personnages principaux : Nia, une habitante d'une planète dont le nom est omis, et qui appartient au clan du Fer, duquel elle a été chassé ; il y a Li-sa, une ethnographe qui se place résolument du côté de l'ethnographie : elle arrive d'un autre monde ; comme Derek, un autre ethnographe (il y a en beaucoup d'autres, mais seul.e ces deux là parviennent à rester) ; il y a l'esprit de la cascade, un homme qui un oracle. Les chemins de ces quatre là vont se nouer, se tresser, d'abord les deux femmes, puis Derek, puis l'oracle. Une tresse à quatre brins pour aller vers le nord, vers le clan de Nia, un clan qui l'a chassée parce qu'elle était trop étrange.
Nia a vécu une histoire, une histoire d'amour, une histoire d'amour avec un homme et a eu deux enfants. C'est le fait étranger pour lequel Nia est chassée. Sur cette terre, les clans sont des clans de femmes, où sont aussi les enfants et les vieillard.es. Mais les hommes valides vivent seuls, dans les montagnes, ailleurs, peu importe, loin. L'amour n'est pas l'amour romantique, et ce sentiment, dans ce monde, dans ce livre n'est jamais le ressort dramatique qui permet que l'intrigue avance. Plus, il n'est jamais là. Cet amour qui chez nous toujours noue quelque chose n'existe pas. Ni plus, ni moins. Sauf pour Nia, et Eunshi. Je ne raconterai pas la suite de leur aventure, ce n'est pas la peine ici. C'est une histoire dans l'histoire, mais une petite histoire, finalement dans la grande épopée que ces deux extra-terrestres ethnographes, nous, et les deux habitant.es de la planète vivent.
Cette épopée, c'est le récit de l'arrivée de ces ethnographes, qui essaient de s'intégrer. Li-sa rencontre Nia, qui tête de mule, décide de partir du clan dans lequel elle habite, où elle a trouvé refuge, le clan du cuivre. Li-sa la suit. Puis Nia l'accompagne pour que Li-sa puisse rejoindre le lieu d'atterrissage de la fusée du Kollontaï (au passage, on apprécie le choix de ce nom de baptême bien féministe et bien marxiste). Puis Derek, puis l'oracle. Et plein de rencontres et d'aventures, qui permettent de saisir les enjeux civilisationnels, depuis un point de vue relativement ethnographique (mais plus que moins). Je ne veux pas non plus raconter cela, qui fait le sel du livre.
Dans cette approche ethnographique, l'attention ethnoliguistique m'a particulièrement touchée et, plus que la multiplicité des langues articulée à une langue commune, dite langue des cadeaux, partagée par tous les clans (qui jamais, ces clans, ne se font la guerre, elles ne connaissent pas, tout en connaissant les armes, et donner la mort), m'a particulièrement touchée l'attention aux gestes. Et encore, ce sont moins des gestes qui sont décrits que l'intention des gestes, des réponses. A tel point que, retrouvant les siens, Li-sa continue à employer ces gestes, qui font partie intégrante des langages de cette terre. Ces gestes permettent de dire les états d'âme, les affects. Vers la fin du livre, un geste humain du même genre est fait. Peut-être un couçi-couça de la main. Quelque chose de dérisoire, mais qui montre la potentialité de ce que pourrait être que de parler avec les mains. Cette approche me fait penser à quelque chose que Eleanor Arnason connaissait peut-être, Les rites d'interaction de Goffman. Eleanor a fait des études d'art vers Philadephie, Goffman c'est plutôt Chicago et la sociologie, quel passage de lui vers elle ?, je ne sais pas. Néanmoins pour Goffman, "le rite ne traduit pas la représentation religieuse de la société sous forme pratique, mais la représentation apparaît dans le cours d’une activité rituelle qui ne vise d’abord d’autre fin qu’elle-même." (Keck, 2004, https://philolarge.hypotheses.org/files/2017/09/01-12-2004_keck_Goffman.pdf) Et je considère, sans démontrer pourquoi, que le langage peut être considéré comme un rite, sans cesse renouvelé surtout s'il s'agit comme ici de dire l'affect, et plus précisément l'affect comme réaction à l'action que l'altérité a proposé. D'autant que ces gestes qui ponctuent s'accordent avec des phrases d'une grande simplicité qui permettent au présent, alors que tout est au passé - Eleanor Arnason écrit en 1991 ou avant, le présent direct, dans la sf, ça n'existe pas, je crois.
Une dernière dimension que je trouve intéressante, et peut être parce que je n'en suis pas spécialiste, c'est la réflexion très critique de l'approche marxiste de l'économie qui en dit tout en même temps ses potentialités. Le post-colonialisme est au cœur de cette réflexion. Cette dimension retend la dernière partie du voyage en laissant dans les mains de la lectrice une situation insatisfaisante, qui m'a plongée dans une suite de spéculations, et m'oblige à ne pas ferme le livre comme ça, juste comme ça, après un voyage civilisationnel dans un monde singulie décrit densément, au sens de Geertz (https://journals-openedition-org.ezproxy.campus-condorcet.fr/enquete/1443) dans un monde singulier.
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kamylabooks · 2 months
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Est-ce que deux âmes brisées que tout oppose peuvent se trouver dans le chaos ?
La drogue, la mort... Camila connaît bien, elle qui baigne dedans contre son gré depuis sa naissance. Pourtant, elle ne rêve que d’une chose : obtenir son diplôme de journalisme et quitter sa favela pour éloigner sa famille de l’influence des cartels.
Mais quand son petit frère suit les traces de son père et se retrouve mêlé à leurs affaires, elle doit se sacrifier et mettre de côté ses idéaux pour lui éviter la mort. La jeune femme est alors obligée de jouer la mule et de travailler pour celui qu’on surnomme le Serpent : un homme cruel et impitoyable, qui règne d’une main de maître sur l’un des réseaux de trafic de drogue les plus influents du Brésil.
Si l’attirance entre eux est indéniable, elle est aussi impossible. Pedro représente le lourd passé qu’elle cherche à fuir. Et pour lui, Camila est juste le jouet parfait pour assouvir ses addictions les plus malsaines.
Néanmoins, entre violences, trahisons et règlements de comptes, la petite mule pourrait bien se révéler plus utile que prévu.
Alors, pourquoi la laisser partir ?
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Mise en garde : ce livre est une dark romance, il traite de sujets pouvant heurter la sensibilité des lecteurs. Liste des Trigger Warning :
Torture et meurtres sur fond de règlement de comptes
Violence psychologique, physique et sexuelle
Agression sexuelle et viol
Harcèlement moral, menaces et intimidations
Suicide
Scènes explicites (chacune des scènes explicites entre le protagoniste masculin et la protagoniste féminine est consentie par les deux parties).
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Coup de cœur / 5
Ma toute première dark romance et je suis si contente d'avoir commencé avec cette pépite. Et surtout je suis si heureuse d'avoir découvert la maison d'édition "Plumes du Web" car je n'ai vu que des pépites.
J'ai découvert grâce à cette lecture, le côté sombre, violent que pouvait avoir une dark romance. Et je dois bien avouer que je me suis totalement perdue dans cette lecture. J'ai été totalement embarqué dans le monde de Camila.
La lecture est addictive et les personnages sont restés dans ma tête plusieurs jours.
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