Nunca se olvida al primer Amor đ»đ€
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Est-ce qu'un jour, on arrivera Ă s'oublier ? Ă arrĂȘter de revenir l'un vers l'autre ? Est-ce qu'on arrivera Ă ĂȘtre heureux avec d'autres personnes, Ă aimer d'autres cĆurs? Tu restes une Ă©vidence, un choix, un rĂȘve, et pourtant, j'ai l'impression que nous ne serons jamais faits pour ĂȘtre ensemble. On ne cesse de se croiser, on essaie de s'aimer correctement, mais c'est comme si tout nous empĂȘchait d'ĂȘtre heureux tous les deux.
On s'en va, on revient, on regarde l'autre avant de repartir.
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Il a disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d'autre parler, je suis perdue. Quand il est parti... il a tout emporté avec lui. Et son absence remplit mon horizon.
Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine.
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đ§ Tu dois le laisser partir aprĂšs 13 jours, Ă regarder par la fenĂȘtre, Ă espĂ©rer lâentendre miauler, Ă attendre ses cĂąlins, sentir son odeur, 13 jours
đ« Noooon !!!
đ§ Ăa fera un tout petit peu mal au dĂ©but âŠ. Oh non mais quâest ce que je dis, ça fera mal tout le temps. Mais tu finiras par tâen remettre, tu es entourĂ©e. On va sâen remettre et tout ira bien. Pour toi mon amour
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- What are you looking for in next man ?
- iâm not looking for a man, letâs start there
đđ»đđ
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Ma maison en fleur đ·
j'ai songé à tout anesthésier plus d'une fois,
j'ai songé aux pilules qui endorment à celles qui déforment,
j'ai mĂȘme pensĂ© Ă me faire enfermer tout quitter pour enfin apaiser ce flot de douleur intarissable qui revient sans cesse,
j'ai songé à médicamenter ma peine hospitaliser mon chagrin et je ne l'ai pas fait, par peur ou par lùcheté par manque de légitimité par besoin de me cacher par incapacité à tout avouer,
j'ai pris sur moi
comme on m'avait si souvent demandé de le faire, j'ai pris sur moi ravalé ma souffrance de vivre pour mieux la vomir d'atrocité, mais je me suis tuée j'ai serré les dents et dit :
ça ira pendant que je me noyais đ
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J'ai une personnalité rayonnante, mais avec une ùme triste.
J'ai le cĆur sur la main, mais je dĂ©borde de colĂšre.
Je suis trÚs sociable, mais à la fois renfermée.
J'aime profondément, mais je me sens vidé et vide de tout amour.
J'apprends Ă guĂ©rir du passĂ©, mais je souffre toujours du prĂ©sent en mĂȘme temps âł
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Je me sens mal, Ă©puisĂ©e, anxieuse, stressĂ©e, pour faire simple je suis Ă bout de mes forces, je n'y arrive plus, j'ai comme mĂȘme garder espoir qu'un jour tout se terminera et que je serais heureuse et puis j'ai rĂ©alisĂ© que rien ne va se terminer c'est une boucle sans fin dans laquelle j'essaie de sortir depuis bien longtemps, mais Ă force les souvenirs me hante et petit Ă petit j'ai arrĂȘtĂ© de me battre parce que je savais que ça servira Ă rien et que jamais je serais dans un monde oĂč je suis en paix, en mĂȘme temps c'est compliquĂ© de l'ĂȘtre avec cette gĂ©nĂ©ration on dois faire fasse Ă de la trahison, l'abandon, le manque d'affection, manque d'attention, la fatigue, les relations brisĂ©e, les problĂšmes familiales, le harcĂšlement, les critiques, les faux amis etc...et encore j'en passe vu mon physique et mon caractĂšre c'est comprĂ©hensible que je suis pas aimable ni aimĂ©e, tout ça me pourris la vie au point que mon sourire n'est plus prĂ©sent les seuls trucs que j'ai eu Ă cause de tout ça sont : l'insomnie, les larmes, le manque de confiance en moi, pas envie de me mĂ©langer avec les humains, peur de tenter des nouvelles relations, ne plus faire confiance Ă personne, rester seule et dans ma bulle et de tout garder et jouer un personnage pour cacher le vrai moi...
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Une semaine mon amour, une semaine quâon est sĂ©parĂ© par un monde. Je viens de me rĂ©veiller comme si tu miaulais Ă la fenĂȘtre de ma chambre pour tâouvrir. Mais non ceci nâest quâillusion. Dans qql jours ton frĂšre et moi viendront te chercher. Tu nous manques đ€
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Je voulais te dire mon petit skittles...
Je sais qu'on ne se verra plus, mais c'est pas parce quâun monde se met entre nous que je vais tâoublier, que je tâabandonnerais ou que je te remplacerais.
C'est compliqué à expliquer mais tu ne dois pas devenir un de ces souvenirs qui font mal.
Tes cĂąlins mâauront fait un bien fou, nos nombreux instants partagĂ©s m'aidaient quand tout me donnaient envie de chialer mais tu Ă©tais lĂ , tu le sentais et tu me cherchais en miaulant.
Aujourdâhui je vais rester lĂ , avec ma nostalgie dĂ©bordante de toi, de nous.
Ă bientĂŽt mon doux đ€âš
- Bien plus quâun animal, un meilleur ami
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- Merci pour cette truffe mouillée ou ces moustaches qui me chatouillaient
- Merci de mâavoir accueillis avec tant de joie quand je rentrais et de pleurer mon absence lorsque je partais quelques heures
- Merci pour ces ronrons ou ces pattes posées dans ma main sans que je ne te le demande
- Merci de mâavoir fait rire avec tes coups de folies Ă courir dâun coup dâun seul
partout sans raison et te cacher sous les tapis
- Merci dâavoir collĂ© ton nez Ă moi quand jâĂ©tais triste
- Merci pour tous ces cĂąlins Ă te blottir contre moi
- Merci de mâavoir acceptĂ© comme humain de compagnie
- Merci de mâavoir tant soutenu de nombreuses fois rien quâavec ta prĂ©sence
- Merci pour ton odeur qui me rassurait
- Merci pour une tonne de chose, de moments, mais surtout merci pour cette complicité et cette fusion mon doux
Il est temps de se dire au revoir, mais je tâoublierais pas mon chat, je te lâai promis. Une partie de moi tâa suivi et ça, pour toujours.
Je tâaimerais jusquâĂ ma fin mon Flakes đ€âš
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Ă l'inverse de ton cĆur, le mien n'a plus jamais rencontrĂ© l'amour.
AprĂšs nous, peut-ĂȘtre que les autres ne suffisaient pas, que j'exigeais trop d'eux, ou peut-ĂȘtre parce qu'ils n'Ă©taient pas toi.
Je te voyais dans tous les regards que je croisais, et si mes lÚvres se posaient sur les leurs, c'était seulement en espérant y retrouver la chaleur des tiennes.
Jâai marchĂ© sur des chemins diffĂ©rents du nĂŽtre, dansĂ© sur des mĂ©lodies qui ne faisaient pas vibrer mon ĂȘtre, chantĂ© sur des refrains que tu ne connaissais mĂȘme pas.
J'ai pleuré ta perte, j'ai cherché la douceur et la passion prÚs de leurs corps, comme si j'étais entre tes bras.
J'ai trouvé la sécurité, l'apaisement, le pardon. J'ai connu la rage, l'impatience et l'amertume.
J'ai voyagĂ© ailleurs, dans d'autres villes, dans d'autres pays, dans d'autres cĆurs. J'ai vĂ©cu des tas d'aventures qui m'ont fait sourire d'une maniĂšre diffĂ©rente.
J'ai eu des rendez-vous, des tĂȘtes Ă tĂȘtes. On m'a promis le monde et ses merveilles.
Je t'avais tout donné, qu'est-ce qu'il me restait à offrir aux autres ?
Peut-ĂȘtre que j'ai manquĂ© l'amour de ma vie, peut ĂȘtre que câĂ©tait toi.
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Et moi, je n'ai plus jamais parlé de toi.
J'ai fais taire ton prĂ©nom dans la vie de mes proches, comme si tu n'avais jamais existĂ©, alors que tu continuais de le faire mĂȘme si tu n'Ă©tais plus lĂ .
Personne n'a compris pourquoi tu semblais disparaĂźtre petit Ă petit, et je n'avais pas la force de rĂ©pondre aux questions, qui Ă©taient toujours les mĂȘmes et auxquelles je n'avais pas les rĂ©ponses.
Qu'est-ce que j'aurais pu leur dire de mieux que « la vie sĂ©pare en premier les ĂȘtres qui se sont promis de s'aimer Ă©ternellement ».
J'ai lu leur tristesse alors que je ne supportais dĂ©jĂ pas la mienne. J'ai compris leurs remarques sans mĂȘme qu'ils les disent. Ils n'ont pas trouvĂ© les bons mots pour me rassurer, ni pour s'excuser, alors je n'ai plus jamais abordĂ© notre rupture, la fin d'une histoire que j'ai tant aimĂ© relire et que je continuerais.
Ton prénom est devenu le sujet risqué, celui qu'on n'ose pas placer sur la table, mais celui qu'on est obligé d'aborder pour parler de soi.
Les premiĂšres annĂ©es ont Ă©tĂ© douloureuses et chacune de leurs pensĂ©es vers toi m'empĂȘchait de guĂ©rir. Finalement, ils n'ont jamais rĂ©ellement tournĂ© notre page, eux non plus, et moi je n'ai jamais rĂ©ussi Ă panser toutes les plaies qui restaient, alors j'ai appris Ă les aimer, parce qu'elles portaient ton nom.
Que reste-t-il de moi sans toi ?
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Jâai grandi sans comprendre, je devais savoir quel genre de femme je voulais devenir. Puis, quand jâai commencĂ©e Ă me rendre compte que toutes ces choses se passaient, que parfois je ne pouvais mĂȘme pas les contrĂŽler... CâĂ©tait effrayant, mais je sais qui je suis et je sais qui je veux ĂȘtre et, rien ni personne ne mâenlĂšvera cela. Si je peux partager et faire en sorte que quelquâun dâautre se sente comme ça. Alors jâai gagnĂ©e
Je sais que je vaux quelque chose. Il y a quelque chose lĂ -bas qui va me donner le sentiment que je mĂ©rite ce que je veux. La chose pure dans ma position est de faire savoir aux gens quâils sont complĂštement unique avec eux mĂȘme
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Certains sentiments sont comme de vieux amis. Dans mon cas câest la dĂ©pression les jours oĂč ça va jâarrive pas y penser je me souviens juste de ce que ça fait on vient de lâobscuritĂ© mais ça fait bizarre de ressentir ça Ă nouveau, câest comme se rappeler dâun endroit quâon a connu et y retourner pour de vrai ĂȘtre Ă nouveau lĂ , ressentir ce que ça fait. Ăa peut commencer doucement, une simple pensĂ©e nĂ©gative du genre « jâai pas envie dâĂȘtre là  » rien de plus, la chasse de notre esprit, comme une mouche et une odeur dĂ©sagrĂ©able et quand ça attaque fort, quand on se fait prendre tout entier, ça devient qui on est.
Ă lâextĂ©rieur, on sâĂ©puise en sourire et en faux-semblants mais Ă lâintĂ©rieur câest pas la mĂȘme histoire. On commence Ă se dĂ©tester, on se sent seul(e)
On se livre tous Ă une bataille invisible, on a tous une part dâombre.
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Hello Tumblr đ€
Comment ça va ? Je pense que tu vas savoir pleins de choses sur moi, je vais te raconter un tas dâhistoires. De belles, des moins belles, tu vas vivre avec moi toutes les Ă©motions. Tu sera un peu comme mon refuge, cet endroit oĂč je pourrais parler sans ĂȘtre interrompue et reprise sur mes choix, mes actes. Parler sans filtre. Pas de buzz, peut ĂȘtre que jâouvrirais parfois des dĂ©bats, sĂ»rement des gens vont me lire (ou peut ĂȘtre que non) et je mâen fiche.
âšđȘ
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