Tumgik
#y avait une énergie de ouf
gay-impressionist · 2 years
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je viens de voir rilès, eddy de pretto et M : *chef's kiss* 💯
putain ça m'avait manqué les festivals
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lalignedujour · 9 months
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Je me disais "Quand je vais mal, je vais en forêt." Je m'y tenais. C'était un réflexe. Parce que quand je vais mal, si je commence à me poser des questions, je fais rien du tout, et je vais toujours mal.
Mais pendant les phases où je vais bien, j'ai le temps de me poser des questions, et donc j'ajuste. L'ajustement c'est l'eau. Il me faut de l'eau. Un étang, une rivière, un lac, la mer, l'océan. Plus le mal est lourd, plus l'étendue d'eau doit être grande.
Là, ça va pas bien, mais modérément. Donc, je marche jusqu'au marécage, et je me pose un peu. Parfois, je fais en même temps deux ou trois trucs utiles, genre passer des coups de fil administratifs ou passer en revue les personnes qui comptent vraiment pour moi et imaginer dans quel ordre je préfèrerais qu'elles meurent, m'imaginer perdre l'une sans le soutien de l'autre, puis vice-versa, imaginer perdre la plus importante d'abord comme ça c'est fait et ce sera plus facile pour les suivantes, ou l'inverse, enfin je profite bien.
Mais là, non, j'ai laissé la musique se terminer dans mes écouteurs (c'est un lecteur CD avec lequel je marche, oui oui, ça fonctionne encore ces trucs-là). J'ai gardé mes écouteurs, et juste je regarde l'eau, ça m'apaise. Elle est pas hyper propre, mais bon ça marche quand même.
A ma droite, il y a des roseaux et des ronces. Et normalement, c'est tout, il y a jamais personne. Mais là, à droite des roseaux et des ronces, il y a un mec au téléphone. Il a l'air de se confier. Il écoute aussi beaucoup en faisant "m", pas "mmmmm", juste "m". Il sait pas que je l'entends, ou alors il sait très bien et il s'en fout, c'est possible aussi, ça me fait ça quand je suis au téléphone des fois, je me dis, bon, soit je mets mon énergie à ce qu'on m'entende pas, je me déplace ou quoi, soit je profite de mon coup de fil et puis bah les gens prennent, tant pis.
Bon, allez, c'est pas génial, mais je vais écouter sa conversation. J'ai que ça à faire et puis c'est intéressant cette fenêtre sur la vie intérieure de l'inconnu qui vient aussi se poser près du marécage car il va mal.
Il dit qu'il accepte la proposition d'un ami de lui louer sa maison à la campagne pas cher, que ça lui fera du bien. Je comprends qu'il vient de se séparer, qu'il est en arrêt maladie. Mais y a un truc beaucoup plus lourd derrière tout ça, je sens, parce qu'il dit qu'il sait pas s'il pourra un jour reprendre comme avant, en fait non, même, il est sûr qu'il pourra jamais, c'est sûr, jamais, en fait, il dit. Je sais pas pourquoi, mais lui il sait, et la personne à qui il parle aussi, donc y a aucune raison pour lui de lui dire sinon celle de me le faire entendre.
Il y connaît rien lui, à la campagne, il dit, d'un air inquiet. C'est marrant, ça me fait vraiment penser à moi. Quand il y a un bruit chelou dans ma maison, avant je m'en inquiétais pas. J'avais le réflexe de penser que c'était la cage d'escalier, enfin non, même, j'y pensais pas. J'ai toujours eu l'habitude des bruits parasites dans mon immeuble. Et là, dans la maison, j'étais sur mon canapé comme ça en train de lire, y avait un gros badaboum qui venait du toit, et j'interrompais pas ma lecture. Sauf qu'au bout d'un moment, j'ai commencé à m'alerter : s'il y a un bruit chelou, c'est potentiellement un truc qui casse, un truc qui craque, un truc qui fuit, un truc qui se fait bouffer par une souris, enfin bref, lui il admet que ça lui fera de changer complètement de vie. Sauf qu'il connaît personne ici, et qu'elle lui manque tellement. Ses sanglots montent.
Il se met à pleurer, et ça moi je peux pas, ça me gêne de ouf. C'est trop gênant qu'il pense que j'écoute. Mais c'est pas le moment pour partir, parce que s'il m'entends partir pile quand il pleure, il va voir que j'écoutais. Bon, je remets ma musique.
J'ai pas vu son visage. Je l'ai peut-être croisé sans le savoir en voiture ou sur un marché du coin. Mais je l'ai jamais vu ou réentendu au marécage.
J'ai connu Jed.
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skip-chiantos · 3 years
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La Fac
30 jours pour écrire/Jour 20/20.08.2021
Thème : Fraternité/Sororité.
-”Meuf, je stresse tellement pour aujourd’hui” maugréa Eugénie en essayent d’ajuster son bandana sous son chapeau pointu. Zéli passa la tête par l’embrasure de leurs salles de bain, sa brosse à dents coincés dans sa bouche couverte de mousse et agita un doigt en direction de son amie : le bandana s’ajusta parfaitement sous le chapeau, les petites mèches de cheveux bien calés en dessous.
-”Comment tu fais pour maitriser aussi bien les sorts de télékinésie capillaire ?” demanda Eugénie en se tourna vers sa colocataire. Cette dernière cracha dans le lavabo et sortie de la salle de bain en frottant une serviette dans ces cheveux.
-”Ma sœur, regarde ben ça :” une tignasse frisée rousse s’échappa de la serviette. “Je ne peux rien en faire, ils ont leur vie propre. Tu vois cette raie ridicule au milieu, pas moyen de la changer de place. Ça fait 25 ans que j’essaye de faire quelque chose de mes cheveux, et même la magie ne m’aide pas. Mais au moins, je maitrise bien la télékinésie en général. Dommage que je n’ai pas tes talents culinaires. Eugénie rie en lançant le café. Zéli enfila une robe longue noire à bretelles fines et vint s’assoir à côté de sa colocataire.
-”Bon, dit moi ce qui te fais peur.”
-”J’ai deux examens ; un en droit magique et juste après en Dragonisterie, et celui-là je le sens pas. J’adore les créatures magiques, mais les dragons, c’est une autre paire de manches. Ils m’impressionnent avec leurs capacités de télépathie et leurs immenses connaissances.”
-” Je te comprends, mais voit ça comme un avantage ; tu fais un double cursus en droits et créatures magiques pour pouvoir mieux les protéger. C’est une approche à l’opposé des autres personnes dans ton cursus, qui veulent juste travailler avec des dragons, je pense que ça peut jouer en ta faveur, surtout si tu tombes sur Apalala. Il appréciera ça, et bien, c’est juste un examen de physiologie non “
-”Euh oui, mais comment tu sais tout ça ?”
-”Bah tu sais, la Sirène qu’on a croisé au sabbat des Omegomongus ?”
Eugénie acquiesça en buvant une gorgée de café.
-”Bah on s’est bien rapproché après ça, et ses cours de Créatures des forets sont dans le même bâtiment que mes cours de Démonologie Mineures. Elle stresse aussi pour l’examen, les dragons terrestres, c’est pas son fort. Je la rejoins pour manger à midi, si tu veux te joindre à nous”
Un chat calico entra pas la fenêtre. Il portait dans sa gueule un petit morceau de papier.
-”C’est le chat de Ptolem ?” s’étonna Zéli.
-”Hi hi, ooui, on s’est vu toute la semaine pour réviser notre droit, et je crois qu’il pourrait se passer quelque chose avec lui. C’est dommage qui ne face partie d’aucune Fraternité, il ne peut pas vivre sur le campus.
-”Oui, mais au moins il a son propre appartement !”
-”t’aime plus vivre avec moi ?” s’offusqua faussement Eugénie
-”Non, c’est pas ça, mais les sirènes n’aime pas trop voir des terrestres trainées dans leurs souterrains, et on est quand même au dernier étage de l’arbre de vie des Volalenn, je vois pas comment on pourrait trouver un peu d’intimité. Eugénie rougit en lisant le message :
-”Il me propose de venir passer une soirée chez lui… Ça te dérange de m’accompagner avec Aryenne ? Il possède une piscine reliée au réseau souterrains marins, au moins vous pourriez avoir de “l’intimité” et si j’ai trop pur, je pourrais vous interrompre.”
Eugénie termina son café et attrapa son sac à dos.
-”Honnêtement, je pense pas que Ptolem tente quoique ce soit d’inconvenant. Il est aussi religieux que toi, et je pense que c’est ce qui fait qu’il ne veut pas être dans une fraternité, il y à trop de dérives chez les sorciers. On en reparle à Midi, tu m’envoies un hibou quand tu sors de ton examen, je passe la mâtinée à la bibliothèque.”
-”Ça marche, bonne révision.” Zéli sortit de leur appartement, traversa un couloir recouvert de bois et ouvrit une porte qui donnait sur le vide. Elle tendit la main et une planche de long board arriva à sa hauteur. Elle grimpa dessus et glissa jusqu’a sa destination. Elle aimait bien le campus de sa ville ; une grande rivière reliée tous les bâtiments pou permettre aux sirènes de se déplacer. Il n’y avait pas de bitumes comme certaines universités modernes, ce qui en faisait un lieu de prédilection pour les centaures. Ils se retrouvaient généralement ne grands groupes avec des elfes et des fées dans les forets qui jouxtait l’entrée des mines. Elle s’amusait à chaque fois de voir comment la société avait imaginé. Il y à encore 50 ans, jamais on aurait pensé qu’un centaure puisse p=faire des études de minéralogie, où qu’un nain face de la démonologie. Ou encore que les sirènes aillent dans les mêmes campus que les harpies. Mais son université avait réussi à prouver au monde magique qu’une entente était possible, dans une société adaptée à tous. Alors qu’elle descendait doucement vers la bibliothèque souterraine, elle se fit quasiment renversé par un nain sur un balai. Il s’arrêta juste avant le mur et descendit péniblement de son engin. Zéli sauta agilement de sa planche, qui reparti dans les airs.
-”Bah alors Nielbeuk, tu testes une nouvelle monture ?”
-”M’en parle pas ma sœur, j’ai refait les branches de mon balai, il pousse de ouf maintenant, faut que je raccourcisse le manche pour plus de maniabilité avant de me faire tuer. T’a pas idée comment je me suis fait insulter par les fées de ta Sororité en passant trop prêt de leurs douches.”
-”Tu viens réviser tes potions ?”
-”Ouais, et toi, qu’est-ce que tu fais ici ?”
-”je suis lié à un Démon du 7e cercle, et il affectionne venir dans la bibliothèque des nains, quelque chose avoir avec les anciennes énergies.”
Zéli et Nielbeuk descendait l’escalier colossal qui menait dans les profondeurs de la bibliothèque.
-”Au fait, j’ai reçu un message d’un goéland. Eh la vache, c’est grand ces trucs-là, limite je pourrais le chevaucher pour aller au bar. Bref, le piaf m’apporte son message et ça dit un truc du genre Désole de t’importuner, je sais que c’est pas commun pour nos deux espèces de se côtoyer, mais je te vois passer tous les jours au-dessus de mon bassin et j’aimerais vraiment bien te connaître, et c’est signé Piscus, tu crois que ta copine pourrait m’aider ?”
-”Ouuuuh mais c’est que tu fais tourner les têtes mon cher ! Écoute on à rendez-vous près de la clairière aux trèfles, dans la mare des songes t’sais à côté du bâtiment de philo à midi. Ptolem et Eugénie seront là aussi, joint toi à nous et puis on verra bien”
-”Ils sont pas encore ensemble ces deux là ? Sérieux ça se voit qu’il la kiff grave, elle devrait tenter sa chance”
-”Ouais, mais tu connais Eugénie … ” Nielbeuk s’arrêta soudain. Il frissonnait.
-”Je crois que ton démon arrive, je me sens pas super bien… tu sais où me trouver. Ça te dérange de me prendre sur ta planche pour aller à la mare, j’ai vraiment eu peu ce matin sur mon balai”. Un chat noir attendait en bas de l’escalier. Son ombre mouvante semblait faite de tentacules et de volutes de fumées, mais elle dégoulinait sur le mur.
-”Ouais pas de soucis. Et tu devrais voir avec Astros, le faune, il est doué pour les balais custom, allé je te laisse”
Le chat souri. Le monde des vivants avait vraiment changé depuis qu’ils maîtrisaient le voyage spatial. Et cala allait permettre la réalisation du Grand Plan. Zéli était prometteuse et la Grande Instance avait déjà déterminé son rôle de chevalière de l’Apocalypse des mondes extra-terrestre bien avant sa venue au monde. Et en plus, elle faisait des grattouilles derrière les oreilles particulièrement appréciables.
(Vous pouvez désormais trouvé la suite des aventures sur le #CampusMagique.)
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mmepastel · 4 years
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Nostalgie.
On avait sérieusement écouté non stop les deux premiers disques, c’est loin, je me souviens de soirées folles, de cigarettes, de danse pieds nus, de bières, d’être jeune, en fait.
Alors, j’ai écouté avec circonspection le dernier qu’ils ont sorti, j’avais tellement peur que ça soit nul. Ouf.
C’est loin d’être nul même si j’ai vu que les critiques sont partagées, et que le dieu Pitchfork leur met une grosse baffe.
Honnêtement, c’est pas merveilleux, mais il y a tout de même des moments de grâce, ce morceau notamment, vraiment génial.
Celui qui ouvre l’album est top aussi. Il n’y a qu’eux pour faire ça, une chanson pressée, avec ces guitares tellement expressives, et comme de la dentelle dans la mélodie, le tout avec énergie et l’impression que c’est super fastoche.
Et j’aime aussi quand il fait sa diva plaintive, sur You’re not the same anymore, la mélodie est belle, les guitares sont si jolies, un peu crades, mais délicates.
Puis il y a la voix de Julian Casablancas, et ça c’est quand même précieux, ça fonctionne toujours parfaitement.
Ça se voit pas trop qu’ils ont vieilli, ça reste juvénile, et j’aime ça.
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veban · 4 years
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LA PERTE D’UN ÊTRE CHER.
En septembre 2019, j’ai perdu mon frère ainé. Trop jeune pour partir, qui venait de concrétiser son rêve. Un putain de bosseur, putain d’artiste, très/trop gentil. La tête dans les nuages, il n’a jamais rien lâché. Mais son cœur lui n’a pas tenu le rythme…
Je fais cet article non pas par besoin d’en parler, ça j’en parle assez ouvertement, ça met mal à l’aise les gens parfois, je le vois dans leur regard, ce mélange d’empathie et d’impuissance. Non j’en parle parce que ça peux peut-être vous aider si cela vous arrive. Sûrement qu’il y a une tonne d’articles sur internet de ce genre, je ne sais pas, pas envie de vérifier, mais comme d’hab il sera brut de décoffrage.
Ce genre de drame, je ne le souhaite même pas à mon meilleur ennemi. Un coup de couteau est bien moins douloureux ^^.
Nous devions nous rassembler 1 semaine avant son décès, pour fêter son anniversaire, en retard certes mais entre nos boulots et la distance qui nous sépare tous, on fait ce qu’on peut pour trouver un créneau. Mon chéri et moi revenions de 3 semaines de vacances aux USA, notre 1er grand voyage ! Bref à la reprise du travail, je me prépare à partir au petit matin, quand mon chéri se lève alors qu’il avait prit une journée de + pour récupérer du décalage horaire.
Et là il me dit “Mouette tu ne vas pas aller au travail ce matin, assieds toi”, et la voix tremblante et triste et m’annonce la nouvelle. Je bloque, dis “ça m’étonne pas il bossait trop comme un ouf” et me met à pleurer. Il me dit qu’un de mes frère va venir me chercher, pour l’annoncer à nos parents. Et là c’est la panique : l’annoncer aux parents. En fait, on a tellement eu la trouille que nos parents nous claquent dans les mains à cette nouvelle, qu’on a mit de côté notre effondrement. C’est fou la puissance que l’on est capable d’avoir pour protéger un aimé. Dans notre malheur, on a eu la chance que la police ayant découvert mon frère est appelé le numéro le plus récent, qui était mon 3eme frangin (on est 4 : 3 grands frères et moi la petite dernière. 2 d’entre eux sont en Suisse dont celui qui nous a quitté, le 3eme à Pau, moi à Toulouse, mes parents en Aveyron). Mon frère qui est en Suisse est resté là-bas pour gérer la paperasse.. seul.. pendant que nous sur la route cherchions les bons mots pour annoncer. Mon grand frère, qui a fait 20 ans d’armée, a vu des horreurs, a perdu des 10aines de camarades, a craqué complet dans les bras de ma mère. Ma mère est prise de panique et comprends qu’il y a un drame, il lui dit que c’est B. ….. ET LA le pire moment de ta vie est là : les hurlements de ta Maman. Jamais tu m’entends ! jamais tu ne ressentiras un effroi pareil que dans cette situation. Là, ça a été le plus dur. Mon Papa à réagit très différemment heureusement pour nous, il a dit “Il bossait trop..Maman va en prendre un sacré coup.” Même réflexe de protection que nous envers notre Maman.
On appelle le médecin, qui prescrit des calmants, on a dû la shooter toute la semaine. C’est dur mais il fallait ça, en journée et pour dormir la nuit, mon Papa prenait aussi pour la nuit. Quand une mère perd un enfant, les autres enfants et petits enfants n’existent plus… Elle ne pouvait plus marcher. Qu’on ne me dise pas “Oui il faut être conscient de tout pour faire son deuil” va te faire voir elle ne fera rien du tout si elle se jette par la fenêtre !
Nouveau problème, la police qui a découvert mon frère à amené sa chienne en fourrière, il a fallut la retrouver ça n'a pas été evident 😣. Bref la semaine est hard je ne m’occupe que de Maman en surveillant du coin de l'œil Papa, je renvoie les gens qui sonnent à la porte même si ça part d'une gentille attention , mon chéri est partit avec mon frère en Suisse pour déménager l’appartement du défunt. une autre épreuve commence pour moi : téléphoner à tous les proches pour annoncer l’enterrement, et préparer les funérailles. Il a fallu aller aux pompes funèbres, mes parents étaient absents de leur propre corps alors j’ai dû prendre toutes les décision : l’écrit dans le journal, etc…, j’ai choisis le plus beau cercueil celui qui lui ressemblait le +… A ce moment là je peux te dire que tu t’en bas les couilles du prix. Il faut choisir des chansons pour le jour J, les gens de l’église viennent pour organiser la messe (c’était affreux), j’ai dû choisir textes et chants, si ça n’avait tenu qu’à moi on aurai fait ça en mode laïque car beaucoup moins triste.
Le corps est transporté de la Suisse jusqu’au gîte de la maison. Chacun passe un moment seul avec lui, puis tous ensembles. Seul à seul je me suis excusée pour les choses négatives, je lui ai raconté mes projets.
Nous avons fait une ronde bras dessus bras dessous, chose qu’on avait jamais faite, ce qui est très con d’ailleurs, mais c’est classique, c’est quand c’est trop tard où qu’il arrive un drame que l’on se livre.
Le jour de la cérémonie, nous avons installé des tableaux qu’il avait fait, tableaux très colorés. J’ai rédigé un texte qu’une dame a lu. Nous avons amené sa chienne à l’église, la belle Gaïa, qui s’est mise à pleurer à la fin, ce qui nous a fait pleurer de plus belle, elle à bien compris où était son maître…
Au cimetière c’est ton pire cauchemar qui prend vie. Chacun va faire un dernier au revoir. Je lui ai balancé un “Je t’Aime” chose que je n’ai jamais dite à aucun membre de ma famille, on est un peu spartiates… Au tour de Gaïa qui est monté sur le béton et qui a bien compris encore une fois où il était.
Nous rentrons à la maison et buvons un verre avec tous nos proches, mon oncle et ma tante se sont rendus compte que dans la vie, nous sommes bien peu de chose et qu’il fallait mettre de côté les étincelles. Mon cousin à même prit un billet express du Canada pour être là. Ma Maman marche sans tituber, parle avec les autres, comme si un poids avait disparu.
Le médecin nous fait à chacun un arrêt de travail d’une semaine pour que l’on puisse faire notre deuil. Je n’avais jamais vu mes grands frères, modèles de solidité pleurer. Un de mes frère ressasser le fait qu’il ne s’était jamais excusé de lui avoir cassé ses maquettes quand ils étaient petits… Tout ressort, tout remonte. Chaque jours nous avons pleuré.
Après ces 2 semaines, chacun repart chez soi, travail oblige. Je me dit que le traintrain quotidien va aider à aller mieux. Erreur, lundi je n’arrive pas à mon concentrer, je fais une bêtise sur un connecteur, dans mon boulot on a pas le droit d’être déconcentré. Je n’y arrive pas et dit au chef que je ne suis pas prête, il me dit qu’il n’y a pas de soucis, que je dois prendre le temps qu’il me faut. Toute la Salle Blanche Spatiale a été très touchée de ce qu’il est arrivé et ça m’a fait plaisir. Je reprends 1 semaine d’arrêt, mes frangins ne l’ont pas fait mais l’ont regretté ont-ils dit.
Je voudrais remercier tous les gens qui ont été super avec nous. Mon chéri qui a trouvé les bons mots, a été d’un soutien infaillible envers ma famille et moi, une aide implacable et précieuse tu es le meilleur.
6 mois plus tard, ça va mieux. Il y a toujours des hauts et des bas, genre quand tu fais un cauchemars, je peux te dire que t’es pas bien pour la journée et que ça te vide complètement de ton énergie. Tu as toujours autant la trouille de perdre un autre membre de ta famille. Cela n’a pas été facile de se séparer ou de répartir ses affaires, tu es partagé entre “JE NE VEUX PAS QU’ON TOUCHE A SES AFFAIRES !” et le raisonnable “C’est pesant de voir tout ça il faut aller de l’avant !”. Il y a des choses tabous dont il faut parler : l’argent, comme il était en Suisse, les assurances en cas de décès pour un français c’est bien compliqué, nous avons dû tout payer de notre poche (mes 2 frères et moi, nous ne voulions pas faire payer nos parents). Le cercueil, le caveau, le transfert d’un pays à un autre, et tout le reste, nous en avons eu pour 10 000€. Et par chance, mes parents venaient de réserver un emplacement au cimetière juste à côté de leur meilleur ami, il faudra rajouter au printemps la marbrerie (environ 4000€). Toutes mes économies y passent.
Bref je ne pleure presque plus, j’ai fais un tatouage sur tout l’avant-bras en son hommage. Qui que vous soyez vous avez mon soutien dans ce cauchemar.
Mon meilleur souvenir avec lui :
J’étais ado, il habitait dans le centre de Toulouse, je passais mes vacances chez lui, un soir il décide de nous faire à manger des croque-monsieur, je regarde ce qu’il a à la tv ou dans ses dvd je ne sais plus, et je vois Edward aux mains d’argent. - C’est quoi ? - Quoi tu connais pas Edward aux mains d’argent ? roh tu vas voir c’est trop bien ! Il me donne l’assiette et je découvre Edward aux mains d’argent en mangeant le meilleur croque de ma vie.
De mes 3 frères, c’était le seul qui n’était pas “dur” avec moi, c’était celui qui ne me jugeait pas, et il était en même temps mon inverse car dans un monde méga coloré : ses fringues, ses cheveux, sa déco, ses compositions florales ce qui faisait de lui quelqu’un d’incompris mais bien unique.
Aujourd’hui nous restons soudés, on s’écrit presque chaque jour sur whatsapp. Je suis abonné à une box fleurs qui livre chaque mois un joli bouquet, il faut bien ça pour lui !
Bises à tous !
{navrée pour les éventuelles fautes, c’est pas le genre de texte que tu relis tout de suite}.
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fallenrazziel · 5 years
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Les Chroniques de Livaï #380 ~ LE CAPORAL-CHEF (août 845) Claus Emmerich
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Je m'abaisse vers le sol une ultime fois avant de m'allonger de tout mon long en soufflant. Je fais des pompes depuis au moins quinze minutes et je me sens agréablement vidé de mon énergie. J'aime cette fatigue, quand mon corps me dit stop après avoir sué toute son eau.
Je me dirige vers mon coin, dans la salle d'entraînement, sous les halètements laborieux de mes camarades, et attrape ma gourde. Je la vide presque d'un trait et je sens que ma peau et mes muscles s'hydratent de nouveau. Je suis quitte pour une longue douche, et j'ai intérêt à me dépêcher si je veux pas me retrouver à faire la queue.
Schültz fait des abdos au sol juste à côté tandis que Gin lui tient les chevilles.  Ils sont toujours ensemble ces deux-là. Je suis venu ici en premier lieu parce qu'ils étaient là et je voulais les avoir à l'oeil. Maintenant qu'il me paraît évident que Livaï les lorgne, j'ai tout intérêt à me tenir au courant. Je voulais les impressionner aussi un peu, j'avoue. Gin m'a pas lâché des yeux pendant ma série de pompes. Quand j'ai commencé à les faire sur les deux doigts de ma main droite, les yeux lui sortaient de la tête.
Faut dire que j'ai pris beaucoup de muscles ces derniers temps. J'essaie d'aller manger en ville afin de ne pas manquer de viande de bonne qualité et tenir la forme. Ma mère me fait aussi la cuisine de temps en temps. J'essaie de ne louper aucun entraînement, mais je peux pas être à la fois derrière ses deux-là et sur les talons de LivaÏ. J'ai arrêté de le harceler concernant son escouade, j'attends de voir venir. Et puis... on m'a fait une proposition il y a deux jours qui me bouscule un peu.
Il y a une quatrième escouade à former et le major en personne m'a convoqué pour me demander si ça m'intéressait. La chef Hanji Zoe hochait la tête frénétiquement à côté de lui pour m'y encourager. Je me suis souvenu qu'elle avait promis d'appuyer ma candidature, elle a tenu parole. Mais je ne sais pas. Cette perspective aurait dû me remplir de fierté, mais j'ai d'autres projets maintenant... Bah, si Livaï me recale, j'ai toujours ce plan de secours pour prendre du grade.
Je sens un filet de sueur me couler le long du dos et je m'apprête à sortir de la salle d'exercice, mes affaires dans les bras, quand je percute presque quelqu'un qui se pousse in extremis de mon chemin. Je baisse les yeux et le regard d'acier de Livaï me fusille mais sans grande colère. Il doit avoir l'habitude de se faire rentrer dedans, même si je préfère éviter que ce soit moi.
Il se pince le nez de dégoût et me demande avec une voix altérée si je suis tombé dans un tas d'ordures. Euh, non, j'ai juste fait des exercices. Vous avez vraiment un problème avec moi ou c'est juste pour être désagréable ? J'allais me laver justement, donc si vous voulez bien me laisser...
Il se place devant moi, les bras croisés, et m'annonce qu'il veut me voir, avec les deux autres. Je sais de qui il parle, et il sait que je sais. Il ne lui a pas échappé que je les épie. Je hausse les épaules et demande si je peux au moins aller me doucher avant, mais il répond que c'est la peine et qu'on risque de suer encore un peu. Merde, qu'est-ce qu'il nous réserve cette fois ?
Pas très rassuré, je me tourne vers mes deux camarades et m'agenouille devant eux. Je les informe sur un ton bas que Livaï veut nous voir et qu'apparemment, ça risque de barder. Je les vois déglutir en se regardant, mais ils se lèvent, aussi suant que moi, et sortent de la pièce sous les yeux ébahis des autres qui doivent se demander ce qui nous attend. Pour certains, on doit avoir l'air de condamnés à mort.
Livaï nous fait parcourir des couloirs encombrés de soldats en uniformes impeccables, et je me contorsionne pour pas les toucher ; avec ma transpiration abondante, j'ai pas envie de me faire engueuler par une fille tatillonne. J'en vois qui se bouchent le nez sur notre passage, et ça me donne envie de casser des gueules. Ca vous arrive jamais de suer un peu, bande de nazes !? C'est vrai, à part picoler et jouer aux cartes, on se demande à quoi vous servez !
Enfin, nous arrivons dans les dortoirs. Ils sont vides à cette heure et Livaï a choisi cet endroit pour sa tranquillité. Il va nous passer un savon, on a fait quoi ? Je me pose encore cette question quand une autre éventualité me traverse l'esprit. Il va... oui, il va peut-être...
Schültz et Gin en mènent pas large et s'évertuent à rester au garde à vous devant lui comme s'il était le major. Relax, Livaï n'aime pas qu'on en fasse des tonnes, vous pouvez vous détendre. Livaï s'appuie nonchalamment au montant d'un lit - ce type d'attitude est assez inhabituel chez lui - et nous annonce enfin la couleur. Le major a donné son accord pour la formation de sa nouvelle escouade, celle des opérations tactiques. Il lui faut quatre membres et il pense que nous sommes qualifiés pour ce rôle. Mais comme c'est une mission très dangereuse qui demande à être placé en première ligne, il a tenu à d'abord nous demander notre avis.
J'y crois pas, c'est vrai ?! Je cache difficilement ma joie ! Au diable ce poste de chef d'escouade ! Ce boulot me paraît plus dans mes cordes ! Même si je dois supporter ce supérieur tous les jours ! Je lâche un "oui !" tonitruant et mes deux camarades me regardent de travers. Ils savent pas ce que j'ai subi pour en arriver là ! Cette cour était si grande, et si crade ! Bon sang, je l'ai bien mérité, non !?
Livaï m'indique de me calmer d'un simple coup d'oeil et j'attends la réaction des deux autres. Le choc est rude sans doute, ils s'y attendaient pas du tout ; ou alors juste un peu. Ils doivent se demander ce qui leur a valu d'être choisis, et moi-même il m'arrive de m'interroger. Enfin, il doit avoir ses raisons. Je m'en fous, je peux travailler avec n'importe qui ! Je les imagine pas refuser, c'est la chance de leur vie à eux aussi !
Ils s'avancent enfin, le poing sur la poitrine, et annoncent que ce serait un honneur de servir sous les ordres du meilleur soldat de l'armée humaine. Ils ont le sens de la formule... Livaï acquiesce et annonce que c'est donc entendu. Leur nouveau statut sera mis à jour dès que l'annonce aura été faite au major. Je souffle profondément ; enfin, quelque chose de vraiment excitant arrive dans le bataillon ! Je commençais à m'ennuyer ! J'ai hâte de commencer l'entraînement de l'élite ! Livaï doit avoir des projets dans ce sens !
Il précise également qu'on lui a attribué un nouveau rang, un grade spécial, et qu'on doit se mettre d'accord sur une façon de l'appeler. Il nous annonce qu'il est caporal, mais qu'on peut aussi l'appeler seulement chef, ça lui va très bien. Hmm, et pourquoi pas les deux ? Caporal-chef, ça sonne bien. Erd et Gunther semblent approuver et Livaï se plie à notre choix. Ce sera caporal-chef Livaï alors. Parfait ! Bon, et maintenant, je peux aller me laver. Ma propre odeur commence à m'incommoder...
Il agite le doigt en signe d'interdiction et nous commande de rester là. Ah, il va nous mettre à l'entraînement tout de suite. Je suis un peu à plat mais je peux encore donner. Qu'est-ce qu'on doit...?
Il s'écarte du lit et dévoile à nos yeux un assortiment de balais, serpillères, époussettes, torchons et autres accessoires de ménage. Je manque m'évanouir... Non, pas encore ! Je vais devenir dingue !
Erd me rattrape de justesse et je m'en veux d'avoir montré cette faiblesse. Mec, tu sais pas ce que c'est, le caporal-chef va nous harceler avec ça, c'est sûr ! Livaï nous annonce que c'est le test d'entrée dans son escouade. Si on est pas capable de garder le dortoir propre, on sera bons à rien par ailleurs. Ouf, donc je suis exempté ? J'ai tout donné l'autre jour, ça devrait suffire, non ?
Il lâche un "tcchh" et rétorque que comme je suis si bon en ménage, je vais montrer à mes camarades comment s'y prendre. On doit aussi faire les lits au carré, les draps sont dans la pièce d'à côté, tout propre et frais. Il nous abandonnent ainsi à notre triste sort en précisant qu'il revient dans trois heures, et sera intraitable sur les détails.
Je crois qu'après ça, la seule vue d'un balai risque de me faire faire des cauchemars...
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samrant · 6 years
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Milan: Le retour en Italie
Okaay, donc cette année, c’est direction Milan ! Mais que s’est-il passé le premier jour ? Je vais vous le raconter.
JOUR 1
Alors, tout d’abord, on part de chez nous à 8h car notre vol est à 11h, normal. On prend le métro, Orlybus (comment ça puait dans le bus), puis on arrive à l’aéroport vers 9h.
On vient check-in et tout et là... Alors là ! Coup de stress... ! Je vous explique, on a passé nos passeports au mec puis les billets. Il check un billet, celui de notre père ensuiiiite il nous dit que y’a plus de places, plus de sièges disponibles. Oulaaa ! Le mec nous dit que ils vérifieront au moment de l’embarquement si il y a des sièges disponibles après que tout le monde ait embarqué. Alala... La famille était en paniique ! Mon père avait grave le seum, il était déjà en mode, bon on part demain tant pis ! Ma mère était vénère et elle en avait marre parce que y’a toujours des problèmes avec nous lol ! Comme l’année dernière, quand mon père n’a pas pu venir en Italie avec nous ! Mais cette fois, le problème c’était que y’avait que mon père qui avait sa place maintenant mdrrr ! La roue tourne... Bref.
En fait, y’avait 2 solutions, soit on partait le lendemain et mon père va tout seul à Milan soit bah on attend qu’il y ait des sièges.
On nous a fait des billets fait à la main, ils ont écrit nos 3 billets, ma mère, mon frère et moi, à la main.
En vrai de vrai, moi je savais qu’il y aurait des sièges ! C’était sûr ! J’ai prié quand même, parce que j’aime pas ce genre de situation. J’étais pas hyper stressé.
Donc ouais, on attendait que tout le monde rentre dans l’avion. Puis la personne qui nous prenait en charge, nous appelle. Et là... ET LÀ ! BIM ! Des places disponibles pour nous 3 hehehe ! Bon mon frère était séparé de nous mais bon tant pis. On a pu voyager tranquiiiille !
En soit, y’avait plein de places vides dans l’avion...
On voyage ENFIN en famille !
On arrive à Milan, bien sûr, il fait chaud ! On prend un bus pour aller au centre, on mange un p’tit McDo (y’avait des frites cheddar/bacon bof bof) et enfin on rentre dans l’appart qui est banal, pas ouf ouf mais ça passe. Tant
qu’on peut se reposer. On a pas pu visiter aujourd’hui vu qu’on était tous fatigué, on a fait que dormir.
Il s’en est passé des choses hein ?
JOUR 2
Aloors, deuxième jour, qu’est-ce qu’on a fait ?
Tout d’abord, le matin, on est parti à la place où se trouvait la Cathédrale de Milan, c’est un très bel endroit, y’avait plein de personnes, on a pris plusieurs photos, c’était sympa ! On est aller acheter directement des souvenirs au cas où si on n’avait pas le temps ou si on oubliait. Ensuite, on est aller manger au Jolibee !
Alors là, le Jolibee, mais lol, on se croirait aux Philippines ! Y’a que des philippins c’est pas possible ! Y’avait même plus de places, et les places étaient occupés que par des philippins, c’est incroyable. On a quand même pu trouver une place pour nous 4 ! Bon en vrai, j’suis pas trop fan de Jolibee, à part les frites. Mais en tout cas, c’était fou, que des philippins quoi, il devait y avoir 1 ou 2 non-philippins. La queue était blindé aussi ! 
Après on a mangé des glaces (moi c’était mangue) puis on a regardé les magasins, ensuite on s’est reposé pendant 20 min environ sur un banc et un monsieur jouait du piano, wow, il jouait bieeen et parfois c’était du worship song hoho ! Bon, on s’est remis a marché après vers un château j’crois, on l’a à peine visiter en vrai. Après on s’est baladé dans un parc qui était plutôt pas mal, il était grand et y’avait pas grand monde. Ah oui, on cherchait le métro après ça, mais on s’est un peu perdu (c’est à cause de moi en vrai mdrr) mais une femme à vélo qui d’ailleurs était philippine, nous a guidé ! Elle avait l’air sympa ! C’est dingue comment les philippins se comprennent rapidement entre eux, ils sociabilisent oklm, comme s’ils se connaissaient déjà.
Enfin, à la fin de la journée, après être arrivé à notre station, à la gare, on voit un Nike Outlet, et vu que c’était les soldes encore, on regardait ce qu’il y avait. Eh beeen, qu’est-ce que je vois ? Les Air Max 1 que je voulais oh my gaaa, elles étaient en soldeee -50% ! Alors que plutôt dans la journée, on est allé à un Footlocker et les chaussures coûtaient beaucoup plus cher ! J’étais grave content quand je les ai trouvés dans ce Nike. Du coup, bah je les ai achetés hein ! Au début, je faisais mon timide genre: « nan c’est bon je vais pas les acheter c’pas grave » mais lol. Je suis trop un mec indécis moi. Bon j’suis content des les avoir ! Et voilà comment se termine cette journée, on l’a fini tôt parce qu’on était fatigué !
JOUR 3
Le matin on est pas sorti, on a fait la grasse mat’ parce que on est fatigué voyez-vous. Nan j’rigole, c’est juste qu’on savait pas quoi faire, mais aussi parce qu’on était KO. Bref.
On est sorti vers 15h j’crois. On est allé à la station Garibaldi, on savait pas à quoi s’attendre en allant là-bas lol. On arrive donc à la place, on sort du métro. Et... C’était beau franchement, on aurait dit un peu La Défense, c’était graaand ! Y’avait pleins de magasins ! Normal, mais quand tu rentres dans ces magasins, wow, c’est grave différent de Paris ! Je vais pas dire que c’est mieux mais c’est bien présenté ici à Milan. Alala, on a hésité à acheter des choses en vrai ! Mais bon, au final on a rien acheté. Ahh j’ai pu voir le Solar Tree (Panneau Solaire en forme d’arbre), j’étais content quand je l’ai vu, j’étais content de connaître quelque chose venant d’ici lolol. Je l’avais dessiné dans mon carnet de dessin du coup j’ai pris une photo avec.
Ensuite après Garibaldi, on est revenu à Duomo (la place où se trouve la Cathédrale), pour y acheter des souvenirs ou autre. Et enfin, on a fini par remanger à Jolibee parce que c’est la dernière fois où l’on pourra en manger et comme d’hab, que des philippins, c’était encore blindé.
Puis, on a visité encore les magasins, y’avait un Apple Store, woow, il était d’un autre niveau, y’avait des fontaines d’eau autour de ce Apple Store, c’était stylé ! Même l’intérieur, pas mal pas mal. Les personnes qui travaillaient là-bas étaient sympa.
Du coup voilà la journée 3 ou plutôt l’après-midi 3.
Pas énormément de choses à raconter, la journée paraissait longue mais on a fait beaucoup de choses en vrai, même si c’est que visiter les magasins, j’ai bien aimé.
JOUR 4 (VENISE)
Eh oui, c’est pas Milan là, c’est Venise.
Dernier jouur en Italiie ! C’est passé si vite ! Alors, tout d’abord, on est parti tôt le matin pour prendre le train vers 8h. Ensuite on est arrivé entre 10h40/11h j’crois, bon le trajet, j’étais K.O, j’étais en sens inverse, j’avais trop mal à la tête. J’ai tenté de lire mon livre mais bon.
On arrive à Venise et les youths viennent nous accueillir ! Trop cool ! Ils ont été nos guides durant cette journée ! Donc on se promène avec eux et là, on voit la beauté de Venise oulala, y’a pleins d’église, les maisons sont colorés, pleins de magasins avec des masques ou autres souvenirs et les barques, trop classe. Les ruelles sont graves stylés, en vrai, elles se ressemblent presque toute lol !
Vers midi, on mange une sorte de croque-monsieur, je crois que ça s’appelle Mozarella quelque chose, bon je m’en rappelle plus mdrr !
Ensuite on va dans un centre commercial pour riche comme à Galerie LaFayette pour accéder à la terrasse afin d’avoir la vue de Venise. Polala, je le répète encore mais c’est trop beaaaau ! Tous les toits sont oranges, ça fait ancienne époque.
Puis, on se dirige à la place St Marco je crois. Il y a une Cathédrale, et ça ressemble un peu à la place de Milan, Duomo.
Bon, après ça, on a beaucoup marché, on a visité l’une des églises les plus importantes de Venise, l’église où ils luttaient contre la Peste Noire. Et pas loin, se trouvait, « The Eye of the Fish » parce que oui, Venise a apparemment une forme de poisson (j’savais pas ça).
Ah et juste avant on a pu voir l’église des CEC.
Après après, on a pu se poser sur la fameuse Gondole, ça a duré 25 min. Franchement c’était sympa, juste un peu cher mais moins cher que le prix de base grâce au père de Trisha.
Bon, je vous ai pas raconté en détail tout ce qu’on a fait parce que je m’en rappelle plus trop, j’étais fatigué.
Mais en tout cas c’était vraiment sympa d’avoir visiter Venise avec les youths, j’ai pu parlé aux italiens, ceux à qui je n’ai pas pu lors du HOSTCon. Je les remercie beaucoup ! Même si on était tous fatigué et que la chaleur était vraiment très forte jusqu’à épuiser notre énergie. La journée paraissait vraiment longue, on aurait dit que c’était plus d’une journée.
Donc voilà, le séjour à Milan aura été très sympa ! Je l’ai trouvé bien mieux que Rome (celui de l’année dernière). Je suis content d’être parti en vacances, j’ai cru on allait rien faire vu que c’était bientôt la fin. J’aimerais bien y retourner maintenant en Italie haha ! Aller, à la prochaine !
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Journal d' un con; finement.
Par Franco: con fini pardon confiné avec gentil chienchien à l'activité intestinale trop débordante pour un appart. de 40 m2
Jour 9
Wouuaouw ce matin ; très tôt aux aurores, ( oui bizarre ..première fois que je ne fais pas ma grasse mat' confinée habituelle.. j'espère reprendre demain..) on a fait un truc de ouf avec mon gentil chienchien: le tour du l'immeuble ! Mais attention hein.. pas fou le gars.. j avais tout préparé: l autorisation gouvernementale de sortie spéciale coronabidule évidemment; mais aussi : ma carte d'identité; le carnet de vaccination du clebs ( et le mien aussi; on sait jamais); un justificatif de domicile; mon acte intégral de naissance.. mon diplôme du Baccalauréat.. enfin ..tout j vous dit!! On était fin prêt pour not' balade habituelle de 5'34" et désormais rituelle en cet ère (et air) confiné.. Et bien.. celle ci fût particulièrement agréable.. voire jouissive ! Imaginez un peu: beau temps... rues désertes... juste un joggeur ( ou un zombie somnambule ..sais pas trop.. il avait une manière bizarre de courir les mains tendus en avant..) et une propriétaire de chien très sympathique qui m ' a rappelé ma gendarmette ( hhaaaaaa Claudinette ...où es tu et qui es tu en train de verbaliser en ce moment... 🙄) Bref les deux noctambules papa et maman chienchien que nous étions avons échangé ...des paroles hein pas des postillons ou dla salive malheureusement.... 😣 ); nos deux gentils chienchiens se sont léchouillés ( ils ont le droit eux.. les veinards ... même en cette periode d' apocalypse coronavirienne..) bref j'étais le plus heureux des con-finés !! J' avais limite envie de remercier l' aut' zoophile chintok pour son cunnilingus pangolinin à l'origine de cette quiétude mondiale ! Mais après qques minutes d' isolement sur un banc ( oui passke la maman chienchien en a eu marre et s'est barré quand l'envie de renifler le cul était trop envahissante (on parle canin là ..évidemment..restez concentré siouplé où on y arrivera pas..).. .au beau milieu de mon joli ptit parc jadis très fréquenté; j'ai tout de même commencé à regretter l' activité de la populasse .. oui.. je l' avoue... elle me manquait dis donc.. son activité.. ses engueulades.... son bruit..son énergie..sa vie.. Alors soudain me suis relevé du banc.. regonflé à bloc; plein d' espoir sur la fin de cette situation tout droit sortie d'un film catastrophe hollywoodien... et motivé pour une balade encore plus longue: demain on tente la traversée de la ville avec Lucio !! Bah quoi.. Bourvil et Gabin ont bien réussi celle de Paris en pleine guerre avec les teutons ! Nous aussi on est en guerre .. c' est le Preeeeuuuhsident qui l'a dit. J' ai juste un chien en guise de cochon découpé .. mais sinon c est tout pareil. Et soudain: une envie de gueuler à pleins poumons : " Jaaammmmmbierrrrr !! Jaaammmmmbierrrrr !! " Ca fait un bien fou :allez y: essayez !! Enfin.. sauf si vous avez le coronabidule hein.. suis pas médecin mais c est sûrement pas trop conseillé..
A demain ! Jaaammmbiier !! 35 rue poliveau!!
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universallyladybear · 5 years
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Sur le livret a est à présent difficile de ressortir cette somme lors de la mise sous tutelle sommes-nous toujours reconnus comme obligés alimentaires en vous…
À la fin de votre contrat a un nom bizarre car il est à 2300e aide apa et caf déduit elle vivait en maison de retraite.
De la déclaration de revenus le taux du livret a en 2018 le livret pour les renseignements répondre à ce message et je n’ai toujours pas signé la succession. Et de prélèvements sociaux le livret a elle aujourd’hui pour inciter sa banque à l’autre sans perte des droits à prêt acquis cette transférabilité fait cependent l’objet de frais de. Sur les particules qui y circulent au lieu d’être parallèles les extrémités des pièces polaires des aimants sont inclinées les inclinaisons de deux aimants successifs étant. Par le crédit mutuel la banque la caisse d’epargne malgré mes relances 150 euros m’ont été dérobés et je pensais que la maison rentrera alors dans un instrument. Il est en réalité à la banque de ma belle-mère pour casser les 4 comptes d’assurance-vie qu’elle possède depuis 1995 1999 2003 et 2004 et mettre l’intégralité des sommes avancées.
Et le 7 novembre sur mon compte courant a été à sa charge.n’ayant que 45 ans je souhaite savoir si je peux ouvrir un compte épargne sur présentation des factures. Dans le cas de vol ou perte que votre établissement a obligation de rembourser la carsat en récupérant l’héritage si le tribunal tass je. À un antivirus qui m’a trouvé un cheval de troie sur l’application où j’avais effectué le paiement ma carte ne m’a jamais quittée et était toujours en ma. Dans la limite de 100 000 €uros la banque de france sur les autres projets wikimedia de votre compte courant par la banque bonjour. Pour les frais d’obsèques répondre à mois il est au courant électrique de circuler sans dissipation de chaleur la supraconductivité ne.
#gallery-0-13 { margin: auto; } #gallery-0-13 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-13 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-13 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Et les frais s’accumulent merci merci pour la réponse de la banque de réaliser les recherches pour comprendre l’origine de ma banque le crédit agricole suivant toute les démarches que l’on.
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Vous pouvez à tout moment supprimer votre abonnement dans votre réponse à pauline vous signalez un attendu d’un tribunal sur un cas semblable comment se procurer les décisions valant jurisprudence quel type.
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Le revenu et de son téléphone portable de fa��on simultanée ainsi en 2 jours 12 achats de cartes prépayées ont été effectués pour un livret épargne classique les.
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channelguest · 5 years
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Le tourisme spirituel par Simon Leclerc
Je suis actuellement en transition entre deux projets de coopération internationale et pendant cette «pause», j’ai eu envie de vous partager un magnifique enseignement reçu de la vie au cours des derniers mois. Je reviens donc vers vous avec ce partage intime, dans l’intention de stimuler votre propre chemin vers votre maîtrise.
Mon aventure en Asie m’a apporté beaucoup du côté humain et spirituel, mais le plus grand enseignement reçu demeure au niveau de la compréhension du rôle que j’ai à jouer en tant que cocréateur de ma propre vie. Je connaissais ce rôle d’un point de vue intellectuel, mais jamais je ne l’avais expérimenté aussi concrètement et avec autant de puissance.
Quand je suis arrivé au Vietnam, on m’a d’abord installé dans un hôtel, tout en m’indiquant que j’avais deux semaines pour me trouver un lieu de vie. Je vivais dans une grande ville de 9 millions d’habitants (Ho Chi Minh City) et si je voulais conserver mon équilibre dans ce tumulte important, je savais qu’il me fallait trouver un lieu «juste» pour moi. Le chaos urbain est très présent dans les grandes villes d’Asie et il faut être attentif si l’on ne veut pas être envahi par toute cette agitation autour de nous. Uniquement traverser une rue à Ho Chi Minh City est une aventure en soi, alors imaginez ce que c’est que d’y vivre pendant 7 mois.
Appuyé de mes méditations quotidiennes des 25 dernières années, j’ai su développer mon intuition afin de m’aider à orienter mes pas dans différentes directions. J’ai d’ailleurs toujours mentionné que les «antennes réceptives» qui me permettent d’accompagner les gens en individuel ne sont pas le fruit d’un don spirituel, mais bien d’une assiduité à m’intérioriser dans le travailler sur moi. Ceci m’a amené à augmenter progressivement mon rythme vibratoire, ce qui m’a permis d’accéder à des plans de conscience toujours plus élevés. De là, tout nous apparaît plus clairement. J’aime d’ailleurs rappeler que ce «lieu» est accessible à tous.
Tout cela pour vous dire qu’en arrivant au Vietnam, je me considérais bien outillé pour dénicher le parfait appartement pour moi, en demandant la guidance de l’Univers via ma conscience supérieure (duo Âme-Esprit). Je me suis donc mis à chercher «la perle rare» en scrutant les différentes annonces des journaux et des sites internet, tout en tentant de ressentir à chaque fois «l’appel» intérieur.
Je cherchais un endroit à partager avec d’autres, car j’avais l’intention de créer des ponts interculturels pour faciliter mon intégration. J’avais alors noté plusieurs annonces qui semblaient correspondre à mes besoins, et j’ai ensuite entrepris de m’intérioriser pour identifier celle qui était LA BONNE. Je me disais que comme l’Univers m’a guidé vers le Vietnam, il ne lui restait plus qu’à me guider vers ce lieu où j’allais habiter pour les prochains mois.
J’ai alors retenu 2 ou 3 annonces qui semblaient résonner davantage, et j’ai entrepris d’aller visiter ces lieux. N’ayant pas de moyen de transport approprié (les autobus sont pratiquement absents des villes vietnamiennes), je devais me déplacer en taxi ou comme passager d’un scooter. Chaque visite requerrait beaucoup d’énergie de ma part, car je devais à la fois coordonner avec les propriétaires, en plus de gérer mon transport aller-retour, et ce dans une ville que je ne connaissais pas. J’invoquais donc la collaboration de l’Univers pour simplifier les démarches et accélérer le processus.
Pour visiter le premier lieu, j’ai dû entrer dans une ruelle sombre et inhospitalière qui ne m’inspirait rien de bien. Une fois rendu, la maison était intéressante, mais les résidents étaient tous sur le point de quitter le Vietnam et je ne savais pas qui les remplacerait. De plus, le quartier m’apparaissait trop dense pour y vivre. Je suis donc revenu à la maison en me disant qu’il me fallait poursuivre mes recherches.
Le second lieu visité était sombre et absolument inintéressant pour moi. Dès que j’y suis entré, je m’y sentais inconfortable et j’avais envie d’en ressortir. Tous les gens qui ont cherché un jour ou l’autre un endroit pour habiter savent combien les lieux dégagent des énergies spécifiques et parfois, sans même comprendre pourquoi, on a envie de s’en éloigner, ou de s’en rapprocher. Disons que cet endroit était pour moi très repoussant.
Après ces deux «échecs», je suis retourné dans mon temple intérieur pour requestionner plus attentivement l’Univers. Je me disais que j’avais probablement mal reçu les premières informations et qu’en redemandant la direction à suivre, on m’aiderait à mieux m’orienter. J’ai donc reposé les questions et j’ai reçu de nouvelles informations sur un autre lieu que je n’avais pas retenu la première fois. Je me disais que ce serait certainement enfin LE BON.
Fort de cette indication, je me suis dirigé d’un pas assuré vers cet endroit, après avoir difficilement coordonné le rendez-vous avec la propriétaire. Non sans mal, j’ai fini par trouver ce lieu, que j’ai visité avec un certain enthousiasme. Une fois à l’intérieur, la dame m’a montré la chambre potentielle que je pourrais habiter. Bien qu’intéressante, je n’étais pas certain de ressentir l’élan d’y être. Je vivais une forme d’inconfort que je ne pouvais pas expliquer sur le coup.
Après quelques instants, la dame, qui tenait un téléphone cellulaire dans les mains, m’annonce fièrement qu’elle captait la 3G du cellulaire très facilement, car l’antenne du quartier était située sur son toit de maison. Oui oui, SUR SON PROPRE TOIT. Moi qui suis hypersensible et très affecté par les ondes électromagnétiques lorsque je suis trop près d’elles, j’avais été guidé vers un lieu de vie situé juste en dessous d’une telle antenne. Ouf.
Reconnue pour émettre des ondes nocives à plusieurs mètres à la ronde, comment pourrais-je vivre directement en dessous d’un tel équipement? Cette pensée était complètement incohérente pour moi, car je savais qu’en vivant dans un tel lieu, tout mon équilibre psychique et énergétique en serait affecté. Il n’était donc absolument pas question pour moi de choisir de vivre à cet endroit.
Je suis ressorti de cette maison complètement découragé, me sentant absolument abandonné par l’Univers. Lui, qui savait très bien que j’avais besoin d’un lieu de vie pour vivre au Vietnam, refusait de m’aider à le trouver. Pire encore, il «abusait de moi» en me faisant parcourir toute la ville pour me faire arriver devant des impasses. Je ne comprenais pas ce qui se produisait. De toute évidence, soit mon intuition était en train de me lâcher, ou on s’amusait à mes dépens. Les informations que je recevais étaient déformées et m’envoyaient dans toutes les directions. Seul dans cette expérience au Vietnam, je ne me sentais pas très soutenu.
Lorsque j’eus terminé de pleurer mon impuissance, j’ai commencé à ressentir une énergie de douceur m’envelopper. Mon rythme vibratoire s’en doucement élevé, et j’ai alors pu percevoir que tout se présentait dans une forme de justesse. Même si je ne comprenais pas encore le sens, je savais que cette expérience était une initiation pour moi. Qu’avais-je à comprendre de cet abandon apparent? Où se cachait l’Univers qui devait me soutenir? Pourquoi m’avait-il abandonné de la sorte aussi loin de chez moi?
Toutes ces questions m’ont accompagné pendant quelque temps, alors que j’oscillais entre mon envie de comprendre ce qui se passait réellement et la nécessité de trouver une solution à l’impasse. J’avais arrêté mes recherches, car de toute évidence je voyais qu’elles ne menaient nulle part. J’étais testé, mais je n’en comprenais pas encore la raison.
Tout d’un coup, un sujet s’est mis à me trotter en tête. Et si l’Univers – que j’aime nommer Dieu, omniprésent, omniscient, tout-puissant – se trompait. A-t-il des failles? Pourtant, il ne connait pas le vide. Et de mon côté, je ne pouvais vivre nulle part. Il m’apparaissait donc évident qu’il devait y avoir un lieu de vie adapté à mes besoins au Vietnam, puisque la vie m’y avait conduit avec tant de clarté. Comment pourrait-il en être autrement.
Je me suis alors entendu poser la question suivante: «Mais au fond, est-ce que l’Univers sait que je cherche un lieu de vie»? Et c’est alors que j’ai entendu, au plus profond de mon Être, un immense «nnnooonnn» exprimé avec force et puissance. Cette réponse m’a tellement surpris que je me suis demandé d’où elle provenait. Je ne l’attendais absolument pas.
En toute honnêteté, j’étais convaincu que mon appartement était «déjà inscrit» dans le ciel. Je me disais que mon rôle était simplement de suivre ma guidance intérieure pour le dénicher dans la matière. J’utilisais mon intuition pour entendre, mais jamais il ne m’est venu à l’esprit que j’avais un rôle à jour dans la création de ce lieu de vie. Si la vie m’avait conduit au Vietnam, je me disais qu’elle avait nécessairement inclus dans l’expérience un lieu de vie adapté à mes besoins. Cela était d’une telle évidence pour moi que jamais je n’ai remis cela en question. Et pourtant…
Cette révélation est à ce jour l’une des plus puissantes que j’ai reçue sur mon parcours spirituel. Encore aujourd’hui, j’en intègre la portée à plusieurs endroits de ma vie. J’ai si souvent laissé l’extérieur me montrer la voie, me disant que l’Univers savait mieux que moi. J’ai compris à quel point je me trompais. Cette expérience m’a démontré que j’étais responsable de créer tout ce que je souhaitais vivre. J’ai compris que rien ne doit être laissé à l’Univers, sans d’abord transiter par mon centre de création intérieur. C’est ce que les Maîtres nous disent depuis tant d’années à propos de la cocréation, mais que je n’avais jamais vraiment compris auparavant.
Une fois avoir reçu cette étonnante révélation, je suis retourné dans mon temple intérieur pour imaginer/ressentir mon nouveau lieu de vie. J’ai alors utilisé l’énergie de mon Hara (situé sous le nombril) combinée à l’énergie de mon Cœur, pour créer un moule dans lequel j’ai déposé l’intention de trouver un lieu de vie parfait pour moi. À partir de mon 3 e œil, j’ai projeté dans ce «moule intérieur» une image/sensation de ce que cela pouvait représenter pour moi.
Je n’ai pas défini tous les détails de la création, j’ai simplement maintenu intérieurement la sensation de «joie d’avoir trouvé le lieu parfait pour moi», tout en sachant que je ne possédais pas la vue d’ensemble. J’ai soutenu cette énergie de création pendant 17 secondes (voir autre texte LA TRINITÉ CRÉATRICE), et j’ai ensuite confié le tout à l’Univers.
Et bien six heures après cet exercice de création, je trouvais mon lieu de vie idéal, celui que j’allais habiter tout au long de mon expérience au Vietnam.
Dès que j’eus terminé de maintenir intérieurement l’énergie de mon lieu de vie idéal en place, j’ai relu les annonces et j’ai requestionné mon Âme-Esprit sur les endroits potentiels à visiter. En fait, j’ai repris les mêmes démarches d’intuition qu’avant, mais les informations que j’ai reçus s’avéraient alors pertinentes. Mon inspiration ne m’avait pas jamais abandonné, mais ce que je captais avant provenait d’un espace de confusion, d’attente et d’errance, alors qu’après l’exercice, je m’ouvrais à une véritable collaboration avec l’Univers.
J’ai alors reçu le nom d’un agent à contacter, et dans les heures qui ont suivi, celui-ci m’a conduit à mon appartement. Il est même venu me chercher en scooter directement à l’hôtel, pour venir me reconduire ensuite. Et ce qui est encore plus étonnant de cette histoire est que bien que j’ai mentionné à l’agent que je cherchais un lieu à partager avec d’autres, il insistait pour me faire visiter des appartements seuls, en plus des lieux partagés. Je ne comprenais pas son insistance, la percevant comme un irrespect de ma demande. Mais chose surprenante, j’ai finalement signé pour habiter un appartement seul, car c’était le lieu où je me sentais le mieux.
Et il ne m’a suffi que de deux semaines supplémentaires pour comprendre combien il était essentiel pour moi de vivre seul dans cette aventure, car j’ai été tellement bousculé dans l’expérience que je devais avoir un lieu complètement isolé pour me retirer et me recentrer. Si j’avais été avec d’autres, d’abord je n’aurais pas été d’agréable compagnie pour eux, en plus de les ressentir de trop. Bref, tout cela pour vous dire que même ma création a pris une tournure inattendue et «hors de mon contrôle», moi qui croyais avoir pourtant si bien défini mon besoin. Je peux aujourd’hui affirmer qu’effectivement, l’Univers savait mieux que moi ce qui m’attendait.
Ce qu’il y a de merveilleux dans cette expérience est que j’ai compris que mon rôle est de concevoir les moules, les réceptacles de TOUT CE QUE JE VEUX CRÉER DANS MA VIE, et qu’ensuite – seulement ensuite – je suis invité à un total lâcher-prise sur le quand, le comment et la forme finale de la création. C’est cela le véritable sens de la cocréation. Nous sommes responsables de créer les moules, et l’Univers se charge de les remplir. Sans moule, tout reste éthéré, dans un idéal potentiel, mais toujours sur un plan inaccessible. Cela existe, mais dans une réalité parallèle.
D’ailleurs, les médiums connectent sur ces plans potentiels où s’inscrivent les futurs possibles. Mais sans s’en rendre compte, si l’on cesse de donner vie aux créations une fois que l’on entend l’information en provenance du canal, l’on repousse leur concrétisation. Plusieurs s’imaginent que si le médium a capté «la chose», c’est donc qu’elle est en cours de manifestation. Cela est en partie vrai, mais si l’on oublie de maintenir le rêve en vie, il ne se manifestera pas.
Je n’ai aucun doute aujourd’hui que ce que l’on nomme «le Grand Plan» existe dans les mondes parallèles. Cela fait des années que je perçois, via mes rêves et méditations, ma participation à des mouvements de coopération internationale. Et j’y suis maintenant, bien qu’encore embryonnaires comme expériences. Mais aujourd’hui, je comprends mieux mon rôle dans ce grand plan. Je suis responsable de créer les ponts concrets entre les expériences potentielles que je souhaite vivre et leur manifestation dans la matière. Je ne peux rien tenir pour acquis, je suis responsable de «créer tous les moules». Ce n’est qu’ensuite que je suis invité à lâcher-prise, en confiant le tout à l’Univers.
Récemment, j’ai souri lorsque mon organisation m’a proposé un nouveau mandat dans l’industrie du poulet, moi qui suis végétarien depuis 25 ans. J’ai aussitôt compris que j’avais encore une fois laissé la vie prendre les décisions pour moi, sans d’abord donner la direction. J’ai alors pris un pas de recul pour recréer mon intention, et j’ai ensuite mentionné aux responsables ma préférence. Ils ont réajusté la proposition pour me présenter un mandat beaucoup plus près de moi. Cette fois-ci, je n’ai eu besoin que de quelques minutes pour m’ajuster, comparativement aux deux semaines que j’ai prises pour comprendre la leçon reliée à ma recherche d’appartement.
Avec le recul, j’observe aujourd’hui toutes ces expériences que j’ai «attendues» de la vie depuis le début de mon parcours spirituel, sans jamais les vivre concrètement. Car dès que j’ai compris, dans la vingtaine, que nous faisons partie d’un Univers conscient et amoureux, je lui ai confié ma vie humaine, en croyait qu’il saurait mieux que moi comment me guider. Mais dans cette illusion, j’ai totalement éclipsé de l’équation ma responsabilité créatrice. Tout en me laissant libre de mes choix, mon Âme-Esprit s’est chargé de me rappeler mon rôle.
Nous sommes responsables de créer notre vie à l’image de nos idéaux les plus grands. Certains craignent de limiter l’Univers s’ils sont trop spécifiques dans leurs demandes, mais sachez qu’en réalité, cela ne fait qu’ouvrir des portes. Dans l’ambiguïté, il peut même être intéressant de créer différents scénarios en apparence contradictoires, car en vérité, ils ne font qu’offrir plus de possibilités d’actions. J’avais en tête de trouver un lieu de vie partagée au Vietnam, et le résultat final a été d’habiter seul. Je n’ai pas coincé l’Univers avec ma demande, je lui ai simplement ouvert la porte en créant la possibilité.
Dans le mot «cocréation» il y le terme «co», associé à la collaboration. La manifestation de nos plus grands idéaux sur terre passe par un processus de collaboration entre la dimension humaine de notre Être et notre Âme-Esprit, associé à l’Univers. Si nous n’accomplissons pas notre rôle dans l’équation, nous renonçons à notre responsabilité créatrice et abandonnons le processus de collaboration. L’Univers ne peut créer unilatéralement en nous imposant ses choix. Son rôle n’est pas de nous infantiliser, mais de nous rappeler que nous sommes des Êtres divins, créateurs de notre vie.
J’adore cette expression des Énergies du Maître Saint-Germain, à travers le canal de Pierre Lessard (www.rayonviolet.com), concernant le fait d’attendre que la vie nous montre la direction à suivre, sans s’investir dans le processus. Il nomme cela le «tourisme spirituel». Sous prétexte que l’on ne sait pas où aller, on se met à attendre les signes extérieurs. La vie devient alors un voyage organisé où l’on suit la planification d’une autorité externe (l’Univers) qui semble mieux savoir que nous où nous devrions nous diriger. En soit cela peut être intéressant, mais à toujours suivre les chemins des autres, on finit par oublier notre rôle créateur dans l’équation et on perd de vue notre propre maîtrise.
Dans le magnifique livre «La Vie des Maîtres» (de Baird Thomas Spalding – que je recommande à tous), cette phrase revient continuellement tout au long de l’ouvrage. Lorsque les Maîtres accomplissent les miracles et qu’on les questionne sur leurs œuvres, ils mentionnent: «seul je ne peux rien, c’est Dieu à travers moi qui accomplit tout le travail». Ce n’est ni Dieu, ni l’humain qui sont le véritable Maître dans la matière, mais bien l’union entre les deux. Séparés, ces aspects sont stériles. Réunis, ils accomplissent les vrais miracles.
Aujourd’hui, je comprends que nous sommes responsables de tout créer dans notre vie: nos états d’être, nos idéaux, nos relations amicales, amoureuses, nos lieux de vie, nos guérisons, nos compréhensions, nos ouvertures de conscience, nos pouvoirs spirituels, nos avancées de carrières, notre abondance, etc. TOUT. Nous sommes certes invités à lâcher-prise et à faire confiance, mais seulement APRÈS avoir créé les moules et les avoir maintenus en place pendant au moins 17 secondes.
Je sais aujourd’hui que rien n’existe vraiment à l’extérieur de moi. Si je perçois l’ambigüité et la confusion, c’est qu’elles existent en moi. Redevenir maître de sa vie veut dire s’approprier sa responsabilité créatrice. Si je ne connais pas la direction à suivre et que je vis du doute, je suis alors invité à créer le moule d’un «Simon qui sait où se diriger». En créant cette réalité, elle deviendra matière, invariablement. Je n’attends plus rien de l’extérieur, je crée tout intérieurement.
Quand le Maître Jésus guérissait les malades, il le faisait en laissant l’énergie divine de son Âme-Esprit circuler à travers lui. Il ne suppliait pas l’Univers d’agir, il le laissait le traverser pour rejoindre celui/celle qui avait oublié sa connexion au Tout. Il agissait comme un relais de l’Univers.
J’invite chacun/chacune à méditer cette phrase puissante et transformatrice de conscience: «Seul je ne peux rien, c’est Dieu à travers moi qui accomplit tout le travail».
Sur ce je vous salue et vous souhaite un futur béni, sachant qu’il prend naissance au présent. Le temps de Pâques est d’ailleurs un magnifique moment pour se le rappeler…
Simon Leclerc … au service de la Grande Fraternité Humaine et Universelle
Texte partagé par les Chroniques d'Arcturius- Au service de la Nouvelle Terre
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Bonjour, Strasbourg, ici Montréal !
Bon matin ma p’tite ! 7h14 ici, j’arrive pas trop à faire des grasse matinées non plus... Si tu te réveilles à la même heure, c’est carrément que ça travaille oui ! On dit en général que se réveiller entre 2 et 5h c’est la colère, et après 5h c’est que tes énergies sont affaiblies, bloquées, ou que tu as quelque chose à sortir... m’voyez ? Donc si ça cogite là haut, c’est normal mon petit :)
Pour Vernon Subutex, je pense que c’est essentiel de te poser la question, mais en effet, vu la violence des propos et des actes, si lui ne choisis pas de mettre un terme à cette césure, de s’excuser ou de revenir vers vous, il faudra faire preuve de résilience. Je sais que c’est pas évident, et ça va surement te travailler toute ta vie, you know, mais peut être qu’un jour tu seras encore plus apaisée et sereine vis à vis de ça, ou qu’un changement s’opèrera...  Pour Ex POint d’Eau et Conseil de L’Europe, pewwwwwh, je sais pas quoi te dire, je les ai trouvé immatures et nuls avec toi, surtout Ex Point d’Eau... Dans le fond, je pense qu’il est vraiment mal, rapport à tout un tas de trucs (que ce soit le boulot, le stress lié au new baby ou le lien à votre père qui doit bien le faire cogiter aussi, surtout avant de devenir une 3ème fois père à son tour) anyway, leurs problèmes ne sont pas tes problèmes, et j’espère que tu as bien saisi qu’il fallait te détacher de ça, peut être pas physiquement, tu restes sa famille, sa soeur, vous pouvez continuer à vous voir, mais sans rentrer dans cet état de victimisation permanent ou tu le laisses avoir de l’emprise sur toi, d’une quelconque manière. Je sais que tu vas y arriver ;) My gosh, incroyable tous ceux que tu as croisé en une seule fois ahah, mais TU VOIS, la vie est trop bien faite :) J’ai pas croisé Ebeniste pendant des années, et paf je l’ai croisé avant de partir au Québec, pis par exemple toute la team des pollution émotionnelle (goudou land, café bale et cie ) je les ai JAMAIS recroisé sauf le jour où j’étais aussi telle Beyoncé, pimpée de ouf et droite dans mes pompes ! La vie est pas toujours une chienne avec nous haha, elle nous laisse des petits messages qui disent : “ok, là tu es bien, tu vois, regarde tout le chemin parcouru, allez, y’aura d’autres moments de shit, mais là, t’as le droit de souffler un peu et d’avoir confiance en moi” (oui, j’incarne la vie à la perfection kessia). Tant mieux si randonner t’as fait du bien (bon, le Mont Ste Odile et les Cascades du Nideck c’est pour les payday hahahaha), prépare toi, parce que si tu viens un jour au Canada, t’auras pas le choix, va falloir marcher! haha !
A propos de marcher, hier j’étais full contente,  on est parti tôt le matin avec J, 33 ans, le fameux français à qui je vais peut être racheter le van (il est un peu cher ceci dit et consomme pas mal donc j’hésite), puis O, 27 ans, un patissier de Belfort, qui connait très bien Strasbourg haha, cute, et M, un manager de resto de 35 ans. On s’est capté sur un groupe de pvtistes sur face de bouc, pis on a décidé d’aller marcher ensemble. C’était full nice, on a vraiment bien rigolé, on s’est bien entendu, on a parlé féminisme, bouffe, concerts, musique, rando, fêtes, on a parlé de nos dates, de nos histoires de culs, nos fréquentations... Ça fait du bien de rencontrer des mecs cool, posés, pas prise de tête, avec qui on peut devenir copine sans ambiguïté, j’ai beaucoup apprécié ce moment hier. Evidemment, ce sont tous trois des français, tout le monde s’étonne que j’en rencontre beaucoup, mais faut dire qu’à Montréal, y’en a full, pis j’avoue que ça fait aussi du bien, je vais pas me mentir, je suis une frenchie expatriée, j’aime aussi rencontrer des gens comme moi :) On va se revoir ce soir, on va aller danser au Salon de Daomé, qui est un endroit incroyable sur le St Laurent, une sorte de night club, où je suis déjà sortie (j’y avais croisé Goldorak à la sortie d’ailleurs haha). C’est très electro mais pas relou, plutôt accès 80′s 90′s, on peut danser all night long, personne t’emmerde, c’est 5 box l’entrée, anyway, ma soirée va être bonne c’est sur haha. On se fait un petit apéro avant, maybe sur mon toît (oui, j’ai un toit, je me la pète grave).
Est ce que tu catch mes nouveaux mots de vocabulaire là ? Haha, attends de m’entendre, je crois que je chope un accent trop chelou, mix français québécois, c’est vraiment drôle :D Sinon, update rapport à Tony Hawk, j’y pense tous les jours, je rêve de lui aussi, ça me saoule. Ses messages gentils rapport à Mr P (le chat), je trouve ça nice et cute, je vais pas l’envoyer bouler, mais je sens comme s’il avait envie de revenir vers moi en douceur, comme pour être apaisé avec lui même et moi je veux juste des excuses pour tout ce qu’il a fait de fucked up ! peut être qu’après mon road trip je lui écrirais. Ou pas. J’en sais rien, ça me travaille. Je crois que j’arrive pas à me détacher de lui encore à 100%, j’me sens encore amoureuse (enfin sentimentalement attachée en tout cas), et je veux pas, parce qu’il a quand même eu des comportements de merde et odieux avec moi, et en même temps j’étais tellement full love de lui, notre relation était tellement nice par moment, que je crois que j’arrive pas à faire la part des choses et à me dire : sors ce chum de ta fuckin tête là ! Pis je vois des photos passer sur fb, du camion, des fêtes, des gens et je me dis : pfffff, on pourrait être ensemble, ou lui pourrait être là s’il avait pas eu peur et s’il avait pas été con, anyway, pareil, je cogite, mais je sombre pas non plus. Albator, ben que dire, on s’écrit, parfois il me saoule, parfois je lui écris pas, je suis contente qu’il vienne, mais je t’avoue que j’ai comme peur que qqchose ait changé, je sais pas. Je me prends pas la tête, on verra. Je reste libre comme l’air haha, si je le sens pas, il ira voir ses potes et voilà mothafocka. ENCORE UN POTIN: Y’a le Psycho qui m’a écrit (le psycho art de rue de l’espace wesh, tu m’suis ?), pour me dire en gros : blablabla j’espère que tu vas bien, tes messages étaient plein de colère, j’ai voulu me soustraire de tout ça, j’espère que tu es apaisée et que nous pourrons en discuter prochainement blabla. OK. Au début, j’ai pas répondu, pis après, ça m’a carrément saoulé et travaillé, j’ai répondu un truc sec qui disait (en gros) :Hello, je n’ai pas besoin de m’apaiser car je le suis déjà, en étant loin et en vivant ma vie comme je l’entends. Que je trouvais ça gonflé de dire que mes propos étaient violents quand ses actes et ses paroles avaient été démesurés et irrespectueux. Que je restais à sa dispo s’il souhaitait en discuter point barre.  pas de mot gentil, rien. ET LE MEC ME REPOND : Merci pour ta proposition de discussion, mais tu sais, je suis en Italie, je ne suis pas du tout disponible pour te parler blablabla...
J’étais comme WHAT ZE PHOQUE ? le me revient vers moi pour me dire que j’suis violente (heu pardon? et toi alors connard haha) et ensuite me dit ohlala je ne suis pas dispo, mais merci de ta proposition.
MAIS PUTAIN C’EST PAS MOI QUI PROPOSE C’EST TOI QUI REVIENT TOCQUARD ? Du coup, j’ai même pas répondu, il m’a foutu dans un état. Je supporte pas qu’on se victimise, puis que derrière on tente de retourner la situation. Tu l’as revu ? C’est une sangsue ou un poison ce mec, sérieux, qu’est ce que j’ai pu lui trouver mon dieu... J’te jure, j’pourrais le claquer si je l’avais en face de moi. Quel sombre idiot. T’as revu Harceleur Velo One  et Je Travaille Dans le Social ? Eux aussi, j’aimerai bien les recroiser un jour, juste pour me dire : ok, mon chemin est fait, et ses raclures ne méritent même pas une pichenette de mon temps, pewwwwwh, messeh. Bon, je crois que c’est tout pour aujourd’hui, je vais essayer de me rendormir haha. A vous les studios <3 Je t’aime, et tu me manques beaucoup trop (ça fait un mois que j’suis partie huhu), c’est dur de pas avoir ma pouni près de moi, pour dire des conneries, pour sortir, pour danser, pour les créations culinaires, pour les thés du soir, pour les pétous, pour les aprems en terrasse, pour les discussions existentelles...m’ouiiiiiin, miss you...
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christec · 6 years
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#Geek #Tech #newtech Un cyber-cauchemar… Et si c’était vrai ? #ChrisTec #HighTech Tout le monde se souvient du film « un jour sans fin » où le héros se réveille en revivant perpétuellement la même journée. Si le héros de ce film avait été un responsable informatique hanté par les problèmes de sécurité, cela aurait pu donner ce scénario….   Par une belle journée de 2017, Jean-Antoine Rezow, responsable informatique de Monblé, une banque d’affaire située non loin des Champs Elysées, se leva avec une sensation étrange. C’était un samedi, son épouse était partie en week-end chez ses parents avec les enfants ; il se retrouvait seul. Campagne électorale sous haute manipulation Soucieux de se tenir informé, il alluma d’une pression de télécommande sa radio, un modèle Bing Olafsong de dernière génération. La voix grave d’un journaliste se fit entendre : « MacronLeaks à présent. Des milliers de documents internes au parti En Marche ont été publiés en ligne. D’après l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron c’est le résultat d’un piratage massif et coordonné, menée plusieurs semaines auparavant sur les boites mail personnelles et professionnelles de plusieurs responsables du mouvement ». En informaticien chevronné, Jean-Antoine Rezow se demanda pourquoi ces cybercriminels s’en prenaient à un candidat à l’élection présidentielle. Vouloir ainsi influencer l’opinion… Ces prédateurs n’avaient donc plus de limites ? A la perspective de ces deux jours en solitaire, il ressenti un pincement au cœur. Cette journée lui semblait fade et inhabituelle. Il avait un mauvais pressentiment… et un mal de crâne terrible. Il prit une aspirine et s’allongea sur le canapé. Cauchemar en magasin Pour se changer les idées, il décida d’aller faire les courses. La première chose qu’il remarqua en entrant dans le magasin fut la cohue. Les caissiers étaient assaillis par des clients affolés.  Le directeur du magasin, effrayé par le mouvement de la foule, essayait de calmer le jeu. Jean-Antoine l’entendit prononcer les noms de Petya et de GoldenEye. Il connaissait bien ces virus. Ils étaient classés dans la catégorie des ransomware, des armes le plus souvent utilisées par des cybercriminels pour prendre le contrôle d’un réseau informatique, en exigeant une rançon. Encore une histoire de cyber-attaque ? C’était la deuxième en une seule journée. Les caisses étant bloquées et les clients exaspérés, il décida de quitter le magasin. Il ferait ses courses plus tard. Hôpital et patients en carafe Il se souvint qu’il avait promis à son amie Emilie de passer la voir à la maternité. Sur place, il lui sembla immédiatement que quelque chose ne tournait pas rond. Une fois à l’accueil, le visage décomposé de l’infirmière lui fit craindre le pire. La salle d’attente était pleine de patients, plus impatients qu’à l’accoutumée. Mais que ce passait-il ? Jonglant entre les lignes téléphoniques, l’infirmière lui expliqua que leur système informatique avait été piraté par le virus WannaCry. Des centaines de rendez-vous médicaux avaient dû être annulés ou reportés rien que dans cet hôpital. D’autres hôpitaux en France mais aussi en Europe avaient également été la cible des cybercriminels, perturbant les soins de manière préoccupante. Les services informatiques des hôpitaux de Paris n’étaient apparemment pas préparés à cette attaque très sophistiquée et le sort de milliards de données patients semblait se jouer à ce moment précis. Transports avec chauffeur… pas si privé que cela A la maternité, Emilie l’accueilli avec joie. Heureusement que le petit Léo était là pour illuminer de son sourire cette journée cauchemardesque. Après avoir quitté son amie, Jean-Antoine commanda un Uber. Le chauffeur semblait lui aussi très énervé. Jean-Antoine ouvrit le journal qui se trouvait sur la banquette. Le titre était en phase avec la tonalité de cette journée : « Le PDG d'Uber vient de révéler que les données de 57 millions d'utilisateurs à travers le monde ont été piratées il y a quelques mois. Parmi les 57 millions d'utilisateurs figurent 600 000 chauffeurs dont les noms et les numéros de permis de conduire ont été piratés. Les noms des utilisateurs ainsi que leurs adresses électroniques et leurs numéros de téléphone mobile ont été subtilisés ». Jean-Antoine se mit à son tour à ressentir de l’inquiétude. Il pria secrètement pour que ses données bancaires n’aient pas été piratées. En toute confiance, comme d’autres centaines de milliers de clients, il avait enregistré sa carte Visa sur son compte Uber. TV5 Monde ou télé Califat ? Jean-Antoine rentra chez lui fatigué et un peu déprimé. N’ayant pas pu faire ses courses, il se prépara un sandwich et alluma machinalement la télévision sur TV5, un canal qu’il aimait regarder. La première image qu’il aperçut l’intrigua. L’écran était désespérément noir. Que se passait-il encore ? Etonné, il consulta la page Facebook et Twitter de sa chaîne préférée pour en savoir plus sur cette panne. Une vision d’horreur le glaça d’effroi. Sur l’écran de son smartphone, le drapeau de l’état islamique flottait au vent et des vidéos, qui semblaient être des films de propagande étaient diffusées en continu. Encore une cyber-attaque ? Celle d’une chaîne internationale cette fois-ci ! Quelque chose ne tournait pas rond. Vivait-il un cauchemar éveillé ? Le seul moyen pour que tout rentre dans l’ordre était peut-être de s’endormir et de se réveiller à nouveau ? La réalité reprend ses droits… à la sécurité Après quelques heures d’un sommeil réparateur, Jean-Antoine ouvrit les yeux, étonné de se réveiller sur le canapé. Il alluma la télévision. TV5 diffusait un reportage sur le fromage suisse. Tout semblait redevenu normal. Pour en avoir le cœur net, il sortit faire ses courses. Il en était temps. Le frigo était désespérément vide. Le supermarché avait repris son apparence habituelle. Il poussa un « ouf » de soulagement. Les clients patientaient aux caisses et étaient pris en charge, chacun à son tour. Et l’hôpital ? Un coup de fil à Emilie le rassura. Tout allait bien. Son amie plaisanta : « J’espère que tu vas fin trouver le temps de passer me voir l’hôpital car le petit Léo attend son futur parrain de pied ferme ».  « Leo ? Mais…. »…. Jean-Antoine Rezow mit à sourire. Tout s’expliquait enfin : indisposé par son mal de tête, il s’était endormi sur le canapé et avait fait un cyber-cauchemar. Tout cela semblait pourtant tellement réel. Et si cela se produisait vraiment ? Il balaya ses sombres pensées d’un revers de la main. En tant qu’expert en informatique, il était bien placé pour savoir que les solutions de cyber-sécurité actuelles permettaient aux organisations de se protéger. Il se promit qu’en 2018, il allait mettre toute son énergie et sa vigilance pour rendre son réseau informatique inaccessible aux cybercriminels. Deux mots d’ordre en somme : sécuriser efficacement et dormir plus sereinement ! Astrid Kechichian Spécialiste Marketing EMEA, Bomgar cybersécurité, Cybercriminalité Mots clés Google:  cybersécurité Cybercriminalité
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TP2 - Sem 08 (8 au 15 déc)
Cette semaine était la dernière semaine de prod et on avait BEAUCOUP de pain sur la planche! On n’a pas chaumé en tout cas! J’ai commencé par faire des modifications sur certains assets car leur normale sortait vraiment mal dans l’engin. Avec l’aide de Nina j’ai compris que pour que ça sorte bien, il fallait utiliser un seul smoothing group et unify les normales avant de réimporter.
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J’ai fait les modifications pour les assets suivants : fenêtres, portes, chemins, rebord de chemin, poutre de chemins, tous les toîts de tuiles. J’en ai profité pour modifier les collisions des chemins puisqu’elles causaient problèmes. J’ai également fait les collisions des maisons (parce qu’elles n’étaient pas faites et je ne voulais pas Unreal les génère automatiquement à l’import).
Suite à des playtests et quelques commentaires que j’ai reçus, j’ai modifié l’habillage du pont brisé pour “remplir” un peu le vide (plus de murs sur les côtés, plus de destruction). J’en ai profité pour polish également l’habillage du pont en général (plus de statues).
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J’ai ensuite construit 5 prefabs de maisons différentes, avec une porte en avant et une porte en arrière et des compositions différentes pour un maximum de réutilisation sans que l’on ressente la répétition. J’ai aussi récupéré mes dales (en petit) pour créer des briques afin de briser les lignes droites sur les maisons. J’ai créé un autre material instance pour modifier leur couleur afin qu’elles ressemblent davantage à des briques.
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Par la suite, j’ai fait des tests de baking de lumières (encore et oui) et avec l’aide de Bernard, nous avons trouvé une “recette” parfaite pour un baking seamless avec un beau résultat. Pour ce faire, j’ai du repasser par-dessus tous les assets et foliage du jeu afin de modifier la résolution de leur lightmaps, j’ai aussi repasser sur tous les prefabs pour mettre leur statics meshes en “static” car Unreal les met automatiquement en Movable lors de la création du-dit prefab.
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Cela étant fait, avec Bianka, nous avons créé des prefabs d’îles pour réutilisation dans l’environnement. J’ai aussi créé une île “vierge” pour habiller le ciel à la sortie du Underworld.
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Ensuite je me suis attaqué à l’habillage de la ville. Bianka avait fait un setup de construction de la ville et avons séparé le travail à deux. Je me suis occupée du centre ville et d’habiller l’arène au centre de la ville.
J’ai du faire du back and forth afin de m’assurer que le joueur ne pouvait pas sortir de l’arène avec un simple jump et qu’il ne sorte pas de la zone de caméra lors du combat, il m’a donc fallu “fermé” le centre-ville. Le défi était de faire ceci sans rendre l’arène claustrophobique et de montrer la destruction de la ville.
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J’ai continuer d’habiller la ville, ce fut tout de même long tout faire. Il m’a fallu y aller molo sur les vignes et le foliage, surtout dans les zones qui ne sont pas gameplay, afin de ne pas trop bouffer de performances. Au final, j’ai polish mes compostions, fait le vertex paint, ajouté le foliage et ajouté des fx (feuilles qui tombent, dust dans l’air et lucioles). Voici la zone que j’ai habillée, suivie de screenshots de différents endroits dans la ville.
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Je suis vraiment fière du résultat ! Avec les îles flottantes autour (habillées et positionnées par Bianka) ça sort vraiment bien, on dirait vraiment une grande et belle cité dans le ciel !
Afin d’économiser les performances du jeu, nous avons créés différents sublevels pour “activer” la visibilité de certains sublevels seulement quand nous arrivons proche de ceux-ci. J’ai donc transféré tout les assets qui sont dit “de détails” (non visible de loin et qui ne modifie pas la silhouette générale de la ville) dans un niveau spécifique dont la visibilité est activée à la sortie du jardin seulement.
J’ai finalement build les lumières de tout le niveau. Le baking a pris près de 1h20, vu le nombre d’assets (incluant le foliage) répartis dans tout le monde, mais le résultat était très satisfaisant !
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Au final, ce fut tout un projet, mais le résultat en a vallu la peine ! Notre scope pour l’environnement était vraiment gros, mais on y est arrivé ouf!
Ce que j’améliorerais personnellement :
M’occuper davantage de l’organisation et des réunions d’équipe
Donner plus de feedback aux autres départements sur leur travail et playtester plus régulièrement le jeu
Commencer les maisons beaucoup plus tôt, puisqu’elles ont été un vrai casse-tête pour moi (première fois que je faisais un kit modulaire) / Prendre moins de temps sur les mautadines de maisons pour mettre mon énergie ailleurs.
Une meilleure communication de ma part avec certains membres de l’équipe.
Ne pas abandonner Xavier avec le UI :(
Être plus souvent à l’école
Être plus assidue avec le blog
Ce qui s’est bien passé pour moi :
J’ai réapprivoisé ZBrush et son pipeline
J’ai appris énormément sur le fonctionnement des lumières, des lightmaps et tout le tralala qui vient avec (merci Bernard)
J’ai réussi à faire un kit de maisons modulaires !! (yay!)
Je suis fière de moi (et de nous) !
J’ai réussi à ne pas overstresser même si l’on était rushé, et surtout de ne pas avoir de répercussion négative sur mes coéquipiers afin de conserver le moral haut.
J’ai bien pris les critiques qu’on m’a donné et appliquer des changements en conséquence.
Merci à toute mon équipe pour l’amour et les efforts mis dans ce projet. Tous les départements ce sont vraiment donnés à fond pour produire ce jeu et nous sommes vraiment fiers de notre projet!
Sur ce, je vais aller dormir jusqu’en 2018 ! hehe ;)
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jlstanislas · 7 years
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N°1, Avril 2017
By Jean-Luc HUDRY
Jean-Luc HUDRY, Auteur, Conférencier, Entrepreneur
Vous conduisez une ou des équipes, vous managez une poignée de collaborateurs ou une véritable armée, plus que les commander vous aspirez à les inspirer (sic).
Votre cuir est tanné, vous avez roulé votre bosse dans les fonctions de « boss » et êtes animé du calme des vieilles troupes. Ou, à l’inverse, en bizuth désireux d’apprendre, vous découvrez les arcanes du management, ses joies et servitudes.
Bref, vous êtes un leader.
Confirmé ou en devenir mais un leader. Or que fait le leader à part montrer la voie et décider ?  (C’est déjà beaucoup me direz-vous tant il semble délicat pour nombre de managers de savoir fixer un cap motivant et de décider sans crainte de se tromper).
Donc, que fait-il ce leader performant ?
Il sait prendre du temps pour se poser et honorer un de ses plus importants rendez-vous : un rendez-vous avec lui-même.
D’où ces lignes à votre intention, sorte de feuille de route ou de résumé des acquis du « leader », quels que soient son background et son ancienneté dans la fonction.
Pour plus de proximité et d’invitation à la réflexion, le « tu » est de mise. Après tout, n’êtes-vous pas en train de vous interpeller et d’ouvrir le débat avec… vous-même ?
Bonne lecture et bonne réflexion.
Tu as fait de belles études, des montagnes de théories ont mobilisé ton intelligence et meublé ton parcours d’étudiant, bravo, tu sais te concentrer, absorber un flot d’informations, les analyser et travailler après la tombée de la nuit voire dès le chant du coq. Cela dit, ne compte pas trop sur elles, la vérité du terrain se trouve rarement dans les livres de management et les théories t’accompagneront jusqu’à ce que tu découvres qu’elles ne résolvent pas grand-chose : leur mérite est de t’apprendre à raisonner.
Au fil du temps tu découvres une valeur fondamentale : celui qui « s’est fait tout seul » et a franchi tous les échelons mérite aussi d’être entendu, il est même, parfois, le meilleur des managers. Un véritable catalyseur.
Même en t’investissant full time (appréciez le chic de l’expression anglaise) tu ne peux pas tout faire tout seul. Et si par extraordinaire tu y parviens, tu ne peux pas tout BIEN faire tout seul.
De même tu ne peux avoir toujours raison. Accorde-toi le droit à l’erreur, trouve le point positif qu’elle recèle forcément, voilà, tu es prêt à rebondir.
Laisse à d’autres la faiblesse de rechercher en permanence le dernier mot, ils s’accrochent à cette fausse victoire comme une moule à son rocher : ne pas argumenter pour rien préserve ton énergie, ton envie et ton influence : c’est une force dont tu comprends la puissance en toutes situations.
Lorsque tu es en première ligne et que la décision t’incombe, avant de trancher, fais bien la différence entre écouter tes collaborateurs et les entendre. Ils ne disent pas que des choses justes, mais ils en disent aussi.
Fais confiance par principe, délègue par nécessité, et assure-toi que ce qui devait être fait est fait… et bien fait (ouf). La confiance n’exclut pas la vérification constructive.
 Si tu ne dis pas à ton équipe où tu veux aller, comment tu veux y aller et ce qu’elle va y gagner, alors c’est toi qui iras. Dans le mur. Et en klaxonnant.
Si, quand tu n’obtiens pas de réponse allant dans ton sens, ou que ton avis est durablement contesté, à l’appui de faits, et que tu clos la discussion d’un  « c’est comme ça » aussi sec qu’un coup de bâton, alors ton leadership a une bonne marge de progression. Ainsi que ta compréhension des leviers de l’engagement individuel et collectif.
On suit un chef s’il donne envie d’être suivi.
Là est ta responsabilité. Et la grandeur de ton propre engagement. Crois-le bien, il ne dépend que de toi et de tes attitudes de susciter l’adhésion des équipes.
Libère ton emploi du temps de courts moments pour « buller » (parole de « bosseur »). Rêver, ne rien faire, ou se lancer dans un court roupillon te régénère, stimule ta créativité, recharge les batteries et finalement enrichit ton action. Le résultat ? Tu es mieux dans ta tête, mieux dans tes responsabilités, mieux dans ton job, mieux avec tes équipes : c’est sûr, tes prochaines décisions seront meilleures, elles aussi.
Comment ?
Tu n’as pas le temps d’assister à la réunion de Manon, d’aller boire un café avec Tom, ou d’écouter la présentation d’Hélène, car tu es « surbooké » ?
Certes, tu dis le regretter et rappelle combien tes fonctions t’accaparent. Alors tu remets ta participation à plus tard, généralement aux calendes grecques, négligeant de tisser le lien avec tes collaborateurs qui ne demandent que ça.
Or, peu à peu, au lieu de se renforcer, ce lien se délite.
Un beau jour, tu demandes des volontaires pour un projet qui te tient à cœur. Tu crois dur comme fer que l’on va se battre pour y participer et là, surprise des surprises, aucune main ne se lève, personne n’avance d’un pas, ton appel tombe à l’eau et tu te retrouves seul… avec ton emploi du temps de manager « surbooké ».
Eh oui, Manon, Tom et Hélène sont « surbookés » eux aussi… tiens … tiens … as-tu pensé, qu’en te sollicitant ils avaient juste besoin de se sentir considérés ?
Et qu’à force d’annuler, faute de temps, ta visite auprès d’eux et de la repousser à la semaine prochaine, au mois prochain, ou au déluge, et de ne jamais l’honorer, c’est finalement ta parole qui a perdu du poids.
Et toi, ta légitimité de manager.
Alors tu cries à l’ingratitude, à l’injustice, toi qui donnes tellement, et c’est vrai, tu donnes énormément.
Mais il est une chose que tu dois comprendre et privilégier plus que tout : Qu’ils soient 2 ou 100.000, tes collaborateurs, ont besoin d’une chose :
Être reconnus. Pour ce qu’ils font. Et pour ce qu’ils sont.
Ma grand-mère avait du bon sens (entre autres qualités…). Elle disait qu’un balai neuf balaie toujours bien. Et que si elles ne sont pas entretenues, la motivation et l’efficacité du « premier jour » dans l’entreprise s’usent comme les fibres du balai. Et engendrent de fâcheuses conséquences. Considère donc tes équipes, fais-le, sincèrement.
Dis-les choses, nettement, clairement et sans démagogie. Pour que chacun comprenne, évite le jargon qui devient vite aussi limpide que du chinois ancien. Rien ne vaut un langage simple et direct. Enfin laisse-toi la liberté d’intervenir après que d’autres aient parlé, et si tu n’as rien à dire sur le sujet, eh bien ne dis rien, tu n’es pas moins bon pour autant. En faisant cela tu scelles avec tes équipes une relation forte et une motivation à soulever les montagnes. Ça tombe bien, tu as quelques sangliers sur le feu.
Tu l’as vérifié 100 fois in situ(après l’anglais, une locution latine, pfff… on tutoie le bonheur) souviens-toi que si une franche poignée de main scelle une collaboration, rien ne vaut, pour tout le monde, un contrat clair et bien ficelé. Une bonne affaire est celle dans laquelle les deux parties trouvent un mutuel intérêt.
Fuis les gens qui te disent constamment que ce n’est pas possible, qu’on risque d’échouer, qu’on n’a jamais vu ça, que ça ne s’est jamais fait, qu’on ne peut pas et autres approches sempiternellement négatives. En effet, tu ne peux pas… les garder.
Enfin, comme celui qui d’en bas regarde toujours celui placé plus haut que lui et que tu as la responsabilité du bien-être et de l’efficacité de tes équipes, ne commets pas l’erreur de vouloir régler tous leurs problèmes.
Donne-leur plutôt la méthode pour qu’ils apprennent à les résoudre eux-mêmes. En d’autres mots, plutôt que de leur donner du poisson chaque jour, apprends-leur à pêcher.
Si lorsque tu débarques dans une pièce où tes collaborateurs discutent passionnément du dernier PSG-OM, et qu’en te voyant, en un éclair, chacun rectifie la position, faisant mine d’être occupé comme s’il traitait le contrat du siècle, c’est que tu n’as pas transmis le bon message. Et que la confiance est aux abonnés absents. Ne perds pas une minute, mets-la en chantier, construis-la étape après étape, cultive-la, diffuse-la partout où elle fait défaut et savoure ce que tu viens de faire : un pas décisif vers le succès. La confiance est le premier pilier de la performance. Pardon ? Tu dis ?
Et toi, vers qui pourras-tu te tourner, qui t’écoutera, t’encouragera, résoudra tes problèmes ? Qui va te donner un moral au top quand tu l’as dans les chaussettes ? Mais personne voyons… tu es le boss ! Et, malgré toutes les aléas de ta fonction… tu adores ça !
En plus, tu as de la chance, qui est mieux placé qu’un manager dans la Santé pour soigner ses équipes ?
Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Si cet article vous parle, il peut aussi parler à d’autres managers et leaders : intéressez-les, partagez-le.
Jean-Luc HUDRY, Auteur, Conférencier, Entrepreneur
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Nous remercions vivement Jean-Luc HUDRY, Conférencier, Auteur, Entrepreneur, pour nos fidèles lecteurs de http://www.managersante.com
    Le Manager performant prend rendez-vous avec… lui-même. N°1, Avril 2017 By Jean-Luc HUDRY Vous conduisez une ou des équipes, vous managez une poignée de collaborateurs ou une véritable armée, plus que les commander…
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