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#un beau monstre
rhera · 4 months
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UN BEAU MONSTRE — (1971) dir. Sergio Gobbi
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pygartheangel · 1 year
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"Un Beau Monstre" (1971) - "Cabaret" (1972)
Last night I watched the 1971 French/Italian Helmut Berger movie "Un Beau Monstre" (US title: "Love Me Strangely") ...and in a pivotal scene, in walks the exquisite Virna Lisi wearing the dress I'd heretofore always thought of as "Liza Minnelli's 'Cabaret' Dress"! That's Liza Minnelli, of course, on the right singing the title number in 1972's "Cabaret" wearing the very same signature gown a year after it was worn by Virna Lisi in a film most people probably have never heard of.
The gown is by French fashion designer Loris Azzaro and is titled "Gilda" (he designed a collection of gowns named after famous film stars or iconic roles) and was sold at his Paris boutique in 1970-71.
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olympia3000 · 1 year
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source: #mabellonghetti
mabellonghetti.tumblr.com
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ekman · 2 months
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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jacquesdor-poesie · 5 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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La métamorphose
J’ai décidé de faire une métamorphose d’une simple pâquerette en une terrifiante plante carnivore. Tout en gardant un côté assez enfantin j’ai tout de même essayer de crée un contraste entre la pâquerette toute innocence et inoffensive et le monstre furieux près à manger tout ce qui bouge.
J’ai alors choisi l’acrylique pour avoir des couleurs vive et pour faire des beau dégrader dans le ciel notamment et pouvoir repasser des couche de peinture les une sur les autres ce qui n’est pas évident avec la gouaches et l’aquarelle, de plus j’aime beaucoup cette technique et je la trouvais bien adaptée au format.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 85
Après un début de semaine consacré aux clients de Jean (lundi, mardi et mercredi), j'ai passé mon jeudi à préparer le réveillon du nouvel an (3 jours à suivre !!).
J'ai passé la matinée à préparer les chambres et le baisodrome. Ammed et Samir sont arrivés dès 14h. Aussitôt, nous nous sommes attaqués à préparer le donjon, la salle de muscu et leurs sanitaires associés.
Vers 17h je les laissais pour aller chercher certains de nos invités qui sont venus en train. Un peu à la bourre, je retrouvais sur le quai, Kev, Manu et Théo. Au retour je passais prendre Ric (Jean, lui, arrivera avec Igor et les jumeaux). Ric trouve sa place à l'arrière écrasant un peu Manu et Théo de sa masse. Kev, à coté de moi, l'a tout de suite jaugé. Il se tourne vers moi et me dit " passif ? ", réponse " ultra passif ", conclusion " miammm ! ".
Arrivés à la maison, je laisse la voiture de Marc dehors, sa place au garage va être prise par les motos. Ammed et Samir s'occupent des bagages. Cela me vaut des questions de nos invités. Je suis obligé d'insister auprès de Kev, ils ne sont pas baisables !
Arnaud est déjà arrivé. Bruno doit nous rejoindre plus tard car il travaille. Présentations, et nous sommes tous à papoter devant un café quand des rugissements de moto se font entendre. Eric, Phil et Luc arrivent ensemble. Je sors leur ouvrir le garage. Dès qu'ils mettent un pied dans la maison, ils quittent leurs combis. Le cuir c'est beau et sexy mais pas chaud ! D'un signe j'indique à Samir d'apporter des gros peignoirs. La maison est surchauffée mais quand même ! A 18h Marc arrive puis tous les autres, étalés jusqu'à 20h. les derniers étant Pierre et Olivier.
L'apéro a remplacé le café, nous sommes 22, plus Samir et Ammed.
Ça discute beaucoup dans tous les coins du salon. Je présente entre eux les quelques qui ne se connaissent pas, notamment la petite bande de nos vacances. Théo est un peu intimidé par le nombre de mec et son physique en fait le plus petit de tous et le plus juvénile aussi !
Nos deux hommes de services passent entre nous avec les plateaux d'amuses gueules. Ils font de l'effet moulés dans leurs shorty en cuir noir. Quelques mains baladeuses s'égarant sur leurs fesses ont obligé Marc à préciser à tous les fonctions de nos deux serveurs et leurs limites de services. J'ai bien vu que malgré l'étroitesse de leurs shorty, ont pouvait apercevoir que leurs virilités s'épanouissaient.
Du coup les mains inquisitrices se sont rabattues sur d'autres culs.
Il est déjà 22h passé, je décide de lancer " l'affaire ". Je me rapproche de Marc et lui roule un méga patin assorti d'une main au paquet.
Ça suffit pour décoincer. Quand on se décolle, je vois Kev qui entreprend Tic ou Tac de là ou je suis c'est pas évident. Par deux ou trois les sens s'échauffent. Ric et Jean sont les premiers à genoux avec une bite dans la bouche. Jean suce Frédéric le copain de Jérôme alors que Ric s'est directement attaqué aux 30cm de Jean Black.
Rapidement un petit cercle se fait autour de ces derniers. Au premier rang les passifs admirent la technique et les capacités de Ric à avaler la presque totalité du " monstre " alors qu'ils se font coller au cul par un deuxième rang qui attend d'eux le même service.
Quelques instants plus tard, les éléments du cercle intérieur se sont réarrangés et ils sont tous à genoux en train de téter une bite appartenant au cercle extérieur.
Nicolas et Seb ont entrepris Manu alors que Théo était déjà dans les bras d'Eric.
Le fond sonore musical est alors couvert par les " slurp, slurp... " et parfois " harggg" quand une bite pénètre plus profondément que prévu / possible.
Au vu du nombre de " harggg " il y en a qui vont repartir de ce WE la gorge plus large qu'avant !
Les habits tombent les uns après les autres, bientôt nous sommes tous en slip et certains sont déjà à poil. Eric est le premier à descendre à la salle de muscu avec accroché à lui Théo. Nous sommes quelques uns à les suivre. Dès qu'ils sont arrivés, Eric place Théo dans le sling et entreprend de lui bouffer la rondelle pour le préparer. Théo en gémis de plaisir, il a intérêt de bien se préparer dans sa tête, je suis pas sur qu'il ai déjà pris aussi gros qu'Eric.
J'admire le spectacle qu'ils nous offrent avec Igor collé dans mon dos. Je sens bien sa bite presser la raie de mon cul. L'excitation ambiante, la fermeté de son engin, l'envie que j'en ai font que je desserre mes fesses et qu'il peut ainsi atteindre ma rondelle. Son souffle dans mon cou est remplacé par un léchage de ma nuque. C'est trop bon ! Je me retourne et me baisse pour lui bouffer la tige. Direct je la prends en fond de gorge. Ça m'étouffe mais j'adore la sensation ! Il me prend la tête dans ses mains pour imposer son rythme. Il alterne des mouvements longs avec de courts pilonnages. Je m'adapte et fait tourner ma langue sur son gland dès que je le peux, ça l'excite un max et il s'enfonce vite au fond de ma gorge pour y échapper.
J'ai trop envie. Je le kpote et me tourne en prenant appui sur un banc. Je sens ses mains m'écarter les fesses et une soudaine fraicheur sur ma rondelle. Cette sensation est vite remplacée par celle provoquée par la poussée de son gland. Je me détends et il peut me pénétrer entièrement. Je ferme les yeux pour apprécier chaque mm de cette première bite qui me perfore. Ses mains sur mes hanches me repoussent déjà pour m'attirer de nouveau vers lui, plus violemment. Son bassin claque sur mes fesses quand ses 22cm sont totalement en moi. Trop bon !! J'ouvre les yeux pour mater les amis. Eric est entré dans Théo, ça explique les gémissements plus forts que j'ai perçus tout à l'heure. Les mains de Théo sont accrochées / crispées aux suspentes du sling. il doit être en train de sentir lui aussi l'extrême puissance de son enculeur et surtout la conicité de son engin (pour rappel gland 5cm de diamètre et base 7cm !).
En face de nous, de l'autre coté du banc, vient s'installer Arnaud dans la même position que moi avec dans son cul Marc. Nos têtes sont proches, plus proche très proches. Nous nous roulons une pelle. Je suis obligé de stabiliser en passant un bras derrière sa tête, les assauts que nous subissons nous feraient nous décoller !
Peu après et quelques chocs de dentitions plus tard, je lui dit de se couchers sur le banc et nous avons entamé un 69, préférable dans nos positions d'alors.
Soudain nous voilà libérés ! pas question de jouir aussi vite. Notre quatuor se disperse à la recherche de nouveaux partenaires. Je déambule parmi nos invités et en même temps je jette un coup d'oeil sur nos serveurs. Samir et Ammed tournent entre les groupes, apportant Kpotes et gel, tenant une jambe pour aider au besoin. Ils bandent comme des fous mais savent que tout pendant le service, si nous n'avons pas le droit de les toucher, eux ne peuvent pas non plus se lâcher.
Mes anciens partenaires ont trouvés de nouvelles bouches, culs ou bites.
Ric est maintenant entre les mains je devrais plutôt dire les cuisses de Kev. Déjà dans la voiture j'avais remarqué son intérêt pour notre jeune masse de muscle.
Ric est à genou sur un tatami, le torse collé au sol et le cul relevé. Kev lui est accroupi derrière lui et l'encule rudement les mains accrochées aux hanches. Les 21 x 5,5 de Kev ont l'air de lui faire de l'effet. Je me penche à son oreille et lui demande comment il trouve mon jeune ami. Il ralenti le rythme et me dit qu'il a rarement senti un cul aussi accueillant mais serré quand même. Je caresse alors le dos de Ric le faisant se relever à 4 pattes et le félicite de bien faire ses exercices de musculation de son anneau. Je me place devant lui a genoux et il m'avale la bite direct jusqu'aux couilles. Kev n'en revient pas de ses capacités.
Sans lui dévoiler l'histoire, je lui dis que j'ai formé Ric à prendre grave, bites hors normes, double sodo, gang bang et le tout en préservant aux maximum l'élasticité de son anus. Hors de question d'en faire une chatte molle ! Kev me félicite en me disant que j'y étais bien arrivé et que le résultat était là. Il me demande si ce n'est pas trop tôt pour une double dans le cul de Ric. je lui réponds qu'il n'y a pas d'heure de prévu pour ça, c'est au feeling !
Surtout que Ric nous entendant, à défaut de pouvoir articuler (ma bite dans sa bouche), opine de la tête pour approuver l'idée. Comme c'est Kev qui a la plus longue (1cm de plus que moi), je lui dis qu'il sera dessous. Il se couche sur le banc de " développé couché " et Ric vient s'asseoir sur sa queue. Elle entre facile. Il se penche accroché à la barre de poids. Je me place et pose mon gland kpoté sur sa rondelle. Elle frémit d'impatience !
Ric commence à savoir comment faire entrer deux bites dans son cul. Il se relève jusqu'à ne garder que le gland de Kev dans son cul couronne au niveau du sphincter. A ce stade, je plaque le mien (de gland) juste sous la couronne de celui de kev et serre fermement nos deux queues ensemble (ça glisse un peu à cause du gel). Je pousse d'un petit coup de rein pour prévenir Ric que je suis en place. Il le sent aussi par la pression nouvelle qui s'exerce sur son anneau. Je le laisse gérer. Il respire fort tout en se détendant. Puis, il recule sèchement et avale mon gland. Pause, c'est pa première fois que Kev participe à une double, il apprécie la compression nouvelle qu'il ressent dans son sexe.
Lentement, Ric recule pour prendre nos deux bites entièrement en lui. Couché sur son dos, moi aussi je m'accroche à la barre de poids. Pas de montre mais je suis sûr que notre pénétration a demandé plusieurs minutes. Mais ç'aurait été plus long que ce n'aurait été que plus agréable. Chaque cm entré demandant un petit plus de dilatation, les effets induits sur nos queues étaient plus forts encore.
C'est quand j'ai senti mes couilles se poser sur celle de Kev que j'ai su qu'on était au fond. Nous sommes restés sans bougé quelques instant, puis Kev a posé ses mains sur mes fesses et en me tirant à lui a fini d'envahir Ric. Difficilement nous nous sommes roulés une pelle à trois avant de se mettre à bouger. Dans un premier temps nous reculions et avancions de façon simultanée puis nous avons suivit en alternant, difficile, mais encore plus de sensations !! Nous avons du faire de nombreuses pauses pour éviter de jouir trop vite.
Il n'empêche qu'à un moment, nous n'avons pu nous retenir et mes mains appuyant sur les épaules de Ric et celles de kev sur ses hanches, plantés au plus profond de son anus, nous avons juté comme des fous dans no kpotes alors que ric se répandait sur les abdos de Kev. Je me suis écroulé sur son dos le plaquant sur Kev qui a du nous soutenir tous les deux. Sortis de Ric, nous avons dékpotés et avons comparé les volumes crachés, à 1mm près pareil ! Nous avons rejoint sous les douches Marc, Igor, Arnaud et Pierre qui se débarrassaient des humeurs (sueur et sperme) leur collant à la peau.
Une fois propre, avant de quitter la salle d'eau, je demandais à Kev de mettre un doigt à Ric. J'ai vu alors sur son visage l'étonnement qu'il a eu quand il s'est senti autant serré par le muscle anal. Il ne pensait pas ça possible aussitôt après une double sodo.
A mon tour j'y mettais mon majeur droit et félicitais Ric pour sa musculature anale. Il se coula alors dans mes bras pour un câlin de remerciement.
JARDINIER
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rayondelun3 · 4 months
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Mon prof de littérature me rend zinzin : j'ai passé les 3/4 de l'après midi a corrigé son cours sur Victor Hugo. Il a donné des mauvaises dates, n'a même pas parlé de la querelle Hernani qui est super importante... Il a parlé de l'engagement politique sans par'er des faits. Vraiment je me suis dit tout le long « mais what the fuck ???? » ok l'erreur est humaine, et c'est pas parce que tu es dans l'enseignement que tu ne peux pas te tromper mais là on parle de TOUT le fucking cours en fait. Et en plus sur Victor Hugo, le monument LE MONSTRE LE BIG BOSS de la littérature française. Comment tu peux autant foiré ton cours sur Victor fucking Hugo à la fac en lisant littéralement tes fiches ? J'hallucine vraiment. J'ai dû tout refaire, tout reprendre... Je n'ai même pas encore fini ! C'est une blague ce prof.
Oui c'est ce prof qui nous a enlevé Flaubert du programme oui. Oui. FLAUBERT. J'ai beau faire des efforts mais je peux plus me le voir. En plus Victor Hugo que je peux pas me l'encadrer celui-là non plus. Heureusement j'ai changé d'avis à force de faire mes recherches sur lui etc. D'où la petite carte postale avec ses petits enfants là... Trop mims.
Vraiment ça me détruit : mon prof a préféré s'attarder sur les funérailles nationales (en donnant les mauvaises dates sinon où est l'intérêt ???) pendant les 15 dernières minutes du cours et se tromper dans l'explication de Notre-Dame de Paris pendant 30 minutes (oui sinon encore une fois où serait l'intérêt right ????). C'est pour nous pranker qu'il fait ça ? Parce que ça ne me fait ABSOLUMENT PAS rigoler. J'ai d'autres trucs à faire, j'ai eu zéro vacances à cause des fucking 3 semaines de partiels et là je reprends et on me sort que des mauvaises informations pendant une heure ?
Je suis affolée. Ça veut dire que les gens de ma classe qui auront pris en notes certains trucs (parce qu'aussi la prise de notes dans son cours c'est un bon gros bordel hein on va pas se mentir sur ça non plus mais on est à la fac alors on va pas chouiner)... S'ils ne vérifient pas ils auront littéralement que de la merde.
C'est génial. Bien joué. J'hallucine vraiment. J'hallucine. Tu m'étonnes qu'il ne met pas ses cours sur cursus le boug. Ça serait mettre à la vue de tous toutes ses fucking erreurs là. VRAIMENT JE N'EN PEUX PLUS.
Et c'est encore que «la reprise» lol.
J'imagine que comme nous sommes jeunes ils se disent qu'on ne sait rien peut-être ? Mais putain heureusement que j'applique la méthode de Descartes.
FUCKING HELL.
Après j'aime bien faire des recherches etc. Normal. Toujours je fais du complément de cours MAIS J'AI AUSSI D'AUTRES MATIÈRES AVEC D'AUTRES LIVRES À LIRE EN FAIT.
When you are young they assume you know nothing.
J'avais tiqué sur des dates, sur les noms des recueils pendant le CM alors que bon, je ne suis pas du tout une pro sur V. Hugo... Mais je pensais pas QUE C'ÉTAIT À CE POINT LA MERDE.
Allô j'ai Plaute à lire, Ovide et Callapée. J'ai mes recherches sur la mythologie greco-romaine ok ? J'ai un million de trucs à faire à côté dans ma vie. J'ai zéro temps pour mes loisirs et après ils viennent nous engueuler parce qu'on finit en burn out ?
Allez c'est bon aussi.
Anyway je suis dans le car pour rentrer j'vais taper un bon run comme d'habitude et essayer de pas péter mon crâne bien que ce ne soit pas l'envie qui manque.
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gatutor · 2 years
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Virna Lisi-Helmut Berger "El bello monstruo" (Un beau monstre) 1971, de Sergio Gobbi.
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x-heesy · 6 months
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AaaaaaaaaH:
Viens, mon amour, ce soir
Tu es si beau en moi
Viens, mon amour, ce soir
Tu es si beau en moi
Délaissée dans le noir
Tout est si beau ce soir
Délaissée dans le noir
Tout est si beau ce soir
Il ne faut pas avoir peur
Lorsque le monstre vert
Dévorera ton cœur
D'enfant
Et si un jour tu vois
Les cheveux des femmes
Sous de cruelles flammes
À force de trop y croire
On peut crever ce soir
On peut crever ce soir
Ce soir
Et si un jour tu vois
Les cheveux des femmes
Sous de cruelles flammes
À force de trop y croire
On peut crever ce soir
Alors tâchons de rêver vraiment
De se laisser couler
Dans le présent
Présent
Viens, mon amour, ce soir
Tu es si beau en moi
Viens, mon amour, ce soir
Tu es si beau en moi
Délaissée dans le noir
Tout est si beau ce soir
Viens, mon amour, ce soir
Viens, mon amour, ce soir
Tu es si beau
Délaissée dans le noir
Tout est si beau ce soir
————-
Come, my love, tonight
You are so beautiful in me
Come, my love, tonight
You are so beautiful in me
Abandoned in the dark
Everything is so beautiful tonight
Abandoned in the dark
Everything is so beautiful tonight
You do not have to be afraid
When the green monster
Will devour your heart
child
And if one day you see
Women's hair
Under cruel flames
By believing too much
We can die tonight
We can die tonight
This evening
And if one day you see
Women's hair
Under cruel flames
By believing too much
We can die tonight
So let's try to really dream
To let yourself sink
In the present
Here
Come, my love, tonight
You are so beautiful in me
Come, my love, tonight
You are so beautiful in me
Abandoned in the dark
Everything is so beautiful tonight
Come, my love, tonight
Come, my love, tonight
You are so Handsome
Abandoned in the dark
Everything is so beautiful tonight
@darksilenceinsuburbiareloaded 🖤❤️‍🔥🖤
Possédée by Potochkine 💃🏽 🪩 🕺🏼 v4
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marie-swriting · 1 year
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Partie De La Famille - Dean Winchester
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Masterlist
Résumé : Tu fais ta première chasse avec ton père John et ton demi-frère Dean en espérant que tu pourras prouver à ton père que tu es une vraie Winchester.
Warnings : half-sister!reader, Y/N a 15 ans, John est un père de merde, angst, sentiment de ne pas appartenir à la famille, tuer des vampires, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : PL n°1, n°10 "We could have prevented this" (On aurait pu éviter cette situation)
-Quelles sont les règles ? te demande John d’une voix dure. 
-Toujours être en alerte et prête à attaquer, tuer et poser les questions plus tard, réponds-tu, déterminée. 
-Très bien, n’oublie pas que tu dois leur couper la tête ou alors ils pourront toujours attaquer. Comme c’est ta première fois sur le terrain, tu restes auprès de moi ou Dean, d’accord ?
-Oui, monsieur.
John te tend la machette avant de fermer le coffre de l’Impala. Ton ventre se tord quand il réalise que tu n’es qu’à quelques secondes du moment le plus dangereux de ta vie. Tes mains commençant à trembler, tu ressers ta prise sur ton arme, espérant te donner un peu plus de courage. Rapidement, tu relèves les yeux et vois Dean te regarder. Il pose une main sur ton épaule pour te rassurer. Tu lui fais un rapide sourire, mais la peur est lisible sur ton visage. Quand vous êtes enfin prêts, vous commencez à vous diriger vers l’entrée du nid de vampires. 
Vous êtes sur leurs traces depuis quelques jours et grâce à tes recherches tu as réussi à les localiser. Tu espères maintenant pouvoir tuer les monstres sans commettre d’erreurs, tu veux prouver à John qu’il a bien fait de te sortir de ta famille d’accueil suite au départ de Sam à l’université. En effet, quand le jeune Winchester a décidé de quitter l’entreprise familiale, John n’a pas aimé se retrouver avec un chasseur en moins alors il est venu te récupérer, en sachant très bien qu’il pourrait récupérer ta garde en un instant, car ta mère est décédée à la naissance. Jusqu’à ce qu’il vienne dans ta famille d’accueil, tu ignorais l’identité de ton père, tu savais encore moins que tu avais deux grand frères. En les rencontrant, une joie immense t’avait envahie, tu pensais que tu allais enfin avoir une vraie famille à laquelle appartenir. John avait déclaré à tes parents d’accueil qu’il venait prendre ta garde, car il venait de découvrir ton existence. Il avait fait tout un beau discours sur l’importance d’avoir sa fille dans sa vie. Quand il avait prononcé ces mots, ton cœur avait explosé d’amour, mais la réalité t’a vite rattrapé quand il a tout de suite mis une distance émotionnelle avec toi avant de commencer ton entraînement de chasseuse. Tu savais que ça n’allait pas être simple, mais tu veux lui prouver qu’il peut compter sur toi pendant les chasses alors tu donnes ton maximum chaque jour. Cependant, John est très exigeant, tu as l’impression que tu ne seras jamais à la hauteur et il t’arrive de faire des erreurs à cause de la pression. Heureusement, Dean sait être patient avec toi, il te protège des réprimandes de John. 
Quand vous êtes dans le vieux bâtiment, vous faites face à un silence pesant. Il ne semble y avoir aucune menace à l’horizon pendant que vous vous enfoncez dans le nid. Vous continuez à marcher discrètement en regardant chaque recoin jusqu’à ce que vous trouviez une sorte de cage avec un prisonnier à l’intérieur. En un coup d'œil, tu reconnais Jake, l’adolescent de ton âge qui t’a aidé à trouver les vampires. Il s’était mis à leur recherche avant que vous arriviez car sa sœur était une de leurs victimes. Ensemble, vous avez mis à profit vos compétences ; pour toi, tes connaissances sur le surnaturel, pour lui, ses connaissances sur la ville et ses habitants. En le voyant, tu abaisses ta machette et cours vers la cage.
-Jake ! Mon Dieu, tout va bien ? Ils ne t’ont rien fait ? questionnes-tu en inspectant rapidement son corps du regard.
-Tu le connais, Y/N ? t’interroge John.
-Il m’a aidé à localiser le nid, informes-tu avant de te retourner vers ton ami. Ça va, Jake ?
-Je vais bien.
-On va te sortir de là, ne t’inquiète pas, déclare Dean en commençant à forcer la serrure.
-Gamin, tu sais où sont les vampires ? le questionne John d’un ton sec.
-Non, j’ai à peine repris conscience, en fait. Merci, dit Jake quand Dean le libère enfin.
Jake sort de sa petite prison en titubant. Tu le rattrapes alors qu’il perd l’équilibre. Tu t’apprêtes à lui demander s’il va bien quand tu vois des dents aiguisées sortir de ses gencives. Sous le choc, tu n’as pas le réflexe de relever ta machette. Dean et John s’apprêtent à réagir quand les autres vampires sortent de leur cachette. Tu repousses Jake, apeurée, mais il revient à la charge. Tu tentes de te débattre en utilisant ton arme, mais Jake te brise le bras, te forçant à la lâcher. En entendant ton cri de douleur, Dean tourne la tête vers toi. Il regarde Jake sur le point de planter ses crocs dans ton cou quand il court jusqu’à vous et coupe la tête de Jake sans réfléchir. Sous le choc de l’action, tu restes figée. 
-Tout va bien ? questionne Dean, préoccupé. 
-Oui, ne t’inquiète pas. 
John grogne de colère, faisant tourner vos têtes vers lui. Dean te laisse, allant aider John. Tu récupères ta machette à terre et tu tentes d’au moins blesser quelques vampires. Ne pouvant plus utiliser ta main dominante, tu as encore moins de force pour couper les têtes. Par miracle, sûrement due à l’adrénaline, tu arrives à tuer un buveur de sang. Malgré toi, tu regardes le corps de la personne et sa tête détachée, ne réalisant pas que tu en sois à l’origine. Reprenant tes esprits, tu relèves les yeux et vois qu’une bonne partie des vampires sont morts. John est en train de s’occuper de l’Alpha vampire alors que Dean semble perdre son combat contre un autre des monstres, ayant du mal à éloigner les dents aiguisées de sa nuque. Tu te précipites vers lui et tu coupes la tête du vampire avec toute la force que tu possèdes. Quand Dean comprend qu’il n’est plus en danger, il te regarde, fier de voir que tu as réussi à le sauver. Tu ne peux empêcher de sourire légèrement en réalisant que, pour une première chasse, tu t’en es plutôt bien sortie. De ta main valide, tu l’aides à se relever au moment où John tue enfin l’Alpha vampire. Tu regardes John, espérant le voir content ou au moins rassuré de vous savoir en vie et à peine blessés, malgré ton bras cassé, mais c’est un John en colère qui s’approche de toi.
-C’était quoi ce bordel ? On s’est retrouvés dans une embuscade à cause de tes conneries ! Comment t’a fait pour pas comprendre que Jake était un vampire alors qu’il t’aidait ? Ne me dis pas que tu n’as même pas pensé à vérifier qu’il n’en était pas un avant de tout lui dire !
-Il… Je…, bégayes-tu, agaçant John encore plus.
-Réponds !
-Il m’a dit qu’il était aussi à la recherche des vampires, mais qu’ils ne savaient pas comment les attaquer, expliques-tu, te sentant honteuse. 
-Et tu t’es pas dit que c’était bizarre qu’il en sache autant ?
-Il disait que ça faisait deux mois qu’il faisait des recherches, ça me semblait normal, te défends-tu et John soupire comme pour contenir sa colère.
-Putain, Y/N, c’est pas possible ! On aurait pu éviter cette situation, si tu avais réfléchi un peu !
-Papa, elle est encore en train d’apprendre. C’est pas si grave, intervient Dean d’une voix calme.
-Pas quand elle nous met en danger ! On aurait pu mourir et elle a le bras cassé. Elle aurait dû faire mieux !
En écoutant le nouveau reproche de John, tu baisses la tête. Finalement la chasse a été pire que ce que tu pensais. Tu as mis tes proches en danger et tu as déçu John. Tu vas encore avoir plus de mal à trouver ta place dans votre petite famille et tu te détestes pour ça. John a raison, tu aurais dû faire mieux.
-On est tous en vie et ils sont morts. C’est une victoire, insiste ton grand frère.
-Je m’en fiche qu’on s’en soit sortis ! Elle aurait dû réfléchir comme une chasseuse, rétorque John avant de te prendre l’épaule avec force, t’obligeant à relever la tête vers lui avec une grimace. T’as pas intérêt à refaire ça, la prochaine fois, utilise ta tête.
-Oui, monsieur.
John soupire avant de lâcher ton épaule. Dean te lance un regard pour s’assurer que tu vas bien, tu lui fais un rapide signe de la tête pour le rassurer, mais tes yeux brillants de larmes ne le convainc pas. 
-Allez, viens, commence John, on doit aller à l’hôpital pour ton bras, on peut pas le réparer nous-même. Une autre perte de temps avec tes conneries.
-Je suis désolée, souffles-tu, les larmes prêtes à couler d’une seconde à l’autre.
-“Désolée” ne change rien. Et enlève moi ces larmes de tes yeux, à moitié Winchester ou pas, les Winchester ne pleurent pas.
-Oui, monsieur.
Les épaules baissées, tu suis John alors que Dean te regarde avec compassion. Il sait ce que c’est de se battre pour avoir l’approbation de John, c’est très rare de l’avoir, même pour lui, c’est compliqué alors qu’il fait tout ce que John dit. 
Dans l’Impala, John n’a pas dit un autre mot, trop en colère il ne te regarde même pas et Dean voudrait te rassurer, mais il ne veut pas énerver encore plus John.Tu tiens ton bras pour minimiser la douleur pendant le trajet tout en repensant aux mots de John. Parmi tout ce qu’il a pu te reprocher, sa dernière phrase t’a plus particulièrement touchée. Depuis qu’il est venu te chercher, tu sais que John te traite différemment de Dean, il ne te voit pas comme faisant partie de la famille. Pourtant, ça ne t’empêche de sentir ton cœur explosé de douleur à chaque fois que John te le rappelle quand il précise bien que tu es seulement la demi-sœur de Dean ou encore quand il refuse que tu l’appelles “papa”, ça, c’est qui te fait le plus mal. 
Quand vous arrivez à l’hôpital, il n’y a pas beaucoup de monde, étonnamment, alors tu dois juste attendre une heure et demie avant d’être prise en charge. Quand ton plâtre est mis, vous retournez au motel, toujours en silence. Tu mords ta lèvre, stressée, alors que tu cherches quelque chose que tu pourrais dire pour rattraper tes erreurs, mais tu connais à peine John, tu ignores ce que tu dois dire. Quand vous passez la porte de votre chambre de motel, John t’indique la table de la petite cuisine. Réticente, tu t’éxecutes sans un mot et t’assois. Dean commence à te suivre, mais John lui ordonne d’aller se laver. Sachant que ce n’est pas le moment de défier ses ordres, Dean lui obéit. John reste debout, face à toi, te dominant de sa taille. Instinctivement, tu baisses les yeux sur tes doigts, tu joues avec eux jusqu’à ce que John prenne la parole.
-J’espère que tu réalises à quel point ce que tu as fait était dangereux.
-Oui, je ne le referai plus, promis.
-T’as intérêt ! T’aurais pu mourir et ton demi-frère aussi. Au moins t’as réussi à tuer quelques vampires, mais sinon tu as ruiné toute cette chasse ! Si tu veux pas retourner dans ta famille d’accueil, tu as intérêt à être plus utile les prochaines fois. J’ai pas besoin d’un poids mort, mais d’un chasseur, tonne-t-il.
-Je ferai mieux la prochaine fois, lui assures-tu, déterminée.
-On verra dans plusieurs mois vu que ta connerie t’a causé un bras cassé. Tu vas retourner aux recherches et dès que tu pourras reprendre l'entraînement, on s’y remettra, mais cette fois, je serai plus sévère. Tu dois apprendre comme il faut, je ne peux pas me permettre d’avoir une gamine qui ne sait pas ce qu’elle fait, crache John en appuyant sur le mot “gamine”, te blessant à nouveau. Me fais pas regretter ma décision d’être venu te chercher. Et enlève moi cet air triste de ta figure, j’ai pas le temps pour les faibles, non plus, t’ordonne-t-il et tu te tentes de te reprendre. Je vais au bar, finit-il en s’éloignant de toi.
Sans te lancer un regard, John quitte la chambre. Quand tu entends la porte claquer, tu sursautes. Les larmes remontent en un instant. Tu essayes de les retenir, mais plus tu clignes des yeux, plus larmes semblent être prêtes à tomber. Malgré toi, une larme coule sur ta joue. Tu l’essuies rapidement et espères que Dean ne t’ait pas vu, car il vient tout juste de sortir de la salle de bain. Tu prends de profondes inspirations, tentant de calmer tes émotions. Dean pose délicatement une main sur ton épaule et s'agenouille devant toi. 
-Hey, gamine, ça va ? 
Contrairement à John, le mot “gamine” dans la bouche de Dean semble plus affectueux. Tu vois à ses yeux qu’il est sincère, mais tu refuses de te montrer faible une seconde de plus. Tu t’éclarcis la gorge avant de le regarder dans les yeux.
-Oui, juste fatiguée de la journée. John est parti dans un bar.
-Juste toi et moi, alors ? Ça te dit d’aller au Burger d’en face ? propose-t-il avec un petit sourire.
-J’ai pas trop faim et je voudrais pas que John s’énerve encore plus, car on serait pas là à son retour.
-Il en a pour longtemps dans ce bar, t’inquiète et puis il faut bien reprendre des forces, tu as fait ta première chasse ! déclare-t-il en espérant te remonter le moral.
-Tu parles d’une victoire ! souffles-tu avant de lever les yeux au ciel. 
-Tu t’en es sortie qu’avec un bras cassé alors que c’était un nid de vampires, j’appelle ça une victoire. Allez, viens.
Dean t’aide à te lever de ta chaise. Il remet sa veste et prend son porte-monnaie avant de t’inviter à sortir. 
Au Burger, tu ne manges presque pas. Tu avales quelques frites, mais ne touches pas à ton hamburger alors que Dean dévore tout en une seconde. Dean ne fait pas la conversation, devinant que tu as besoin de silence, après tout ce que John a pu te dire. Dean sait que John n’a pas été tendre dans son deuxième sermon avec le peu qu’il a pu distinguer à travers les murs de la salle de bain. De plus, Dean te connait depuis seulement quelques mois alors il ignore si dans ce genre de situations, tu préfères parler ou rester seule. Dans le doute, il préfère être proche de toi sans être oppressant comme il le fait actuellement. Quand il a totalement fini son repas, il demande à faire emporter ton plat et va payer. 
Sur le chemin du retour, vous ne voyez pas l’Impala, ce qui te rassure, car tu sais que tu as encore le droit à du répit avant le retour de John. En entrant dans la chambre, tu prends rapidement tes affaires et t’enfermes dans la salle de bain. Une fois prête pour aller dormir, tu vas te coucher dans ton lit, te mettant dos à Dean qui est allongé sur le sien, en train de regarder la télé. Tu essayes de t’endormir, mais les mots de John continuent de tourner dans ta tête. Plus tu repenses à cette chasse, plus tu réalises à quel point tu as été crédule avec Jake. Mentalement, tu t’insultes de tous les noms, te disant qu’avec tes erreurs, tu as encore plus baissé dans le peu d’estime qu’il avait pour toi. En ressentant tes larmes monter, tu te forces à respirer doucement. Tu ne peux pas pleurer, surtout alors que Dean est à côté de toi. Il ne peut pas te voir être faible ou alors tu baisserais dans son estime à lui aussi et c’est la dernière chose que tu veux. Malgré tes tentatives pour être discrète, tu renifles, attirant l’attention de Dean. Au début, il se dit que ce n’est sûrement rien, mais quand il entend ta forte respiration et renifler plusieurs fois, il se lève de son lit et vient vers le tien. Il s’assoit à côté de toi et pose une main réconfortante sur ton épaule. En sentant sa présence, tu n’oses pas bouger, attendant une réprimande de sa part.
-Tu veux qu’on en parle ? questionne-t-il doucement.
-Il n’y a rien à dire, déclares-tu.
-Y/N, je sais à quel point ses mots peuvent affecter quelqu’un.
-Il a raison, j’ai été idiote, j’aurais dû être une meilleure chasseuse. 
-Tu as quinze ans et tu es toujours en train d'apprendre, rétorque Dean. Tu as été naïve, c’est vrai, mais il y encore quelques mois en arrière pour toi les vampires c’était une légende de Transylvanie et pas la réalité. Tu peux pas être parfaite dès le début. Tu allais forcément faire des erreurs lors de ta première chasse, tu ne peux pas t’en vouloir pour ça. Crois-moi, j’ai fait des erreurs bien pires pendant mes premières chasses, tente-t-il de te rassurer, mais tu restes silencieuse. Y/N, tu veux bien me regarder ?
-Non, je ne veux pas que tu penses que je suis faible, refuses-tu, honteuse.
-Pourquoi je penserais ça ?
-Les Winchester ne pleurent pas. Même si je n’en suis pas une vraie, dis-tu en répétant les mots de John.
Dean pousse un soupir, cherchant quoi dire. Il déteste la façon dont les mots de John sont déjà ancrés dans ta tête. Il aimerait pouvoir te rassurer comme un grand frère le devrait, mais tu restes dos à lui, n’osant pas lui faire face. Il sait qu’il ne devrait pas le prendre personnellement, mais savoir que tu penses qu’il pourrait agir comme John lui serre le cœur. 
-Je sais que je ne suis pas la meilleure personne pour dire ça, commence-t-il en hésitant, mais tu as le droit de pleurer. Avant d’être des chasseurs, on est humains.
-Je veux juste pas te décevoir comme j’ai déçu John, murmure-tu en reniflant.
-Tu ne vas pas me décevoir et pour ce qui est de John, il s’en remettra, tu peux me faire confiance. Quand tu te seras bien entraînée, il verra à quel point tu es une excellente chasseuse, une vraie Winchester, affirme Dean. 
-S’il ne m’a pas renvoyé dans ma famille d’accueil d’ici là, ajoutes-tu.
-Je ne le laisserai pas faire, déclare ton grand frère, déterminé. Maintenant que je sais que j’ai une petite soeur, je peux t’assurer que tu es bloquée avec moi jusqu’à ce que t’en décides autrement.
-Demi-sœur, corriges-tu, la voix de John résonnant dans ta tête.
-C’est-à-dire ma sœur. Tu fais partie de la famille, insiste Dean et tu sens une nouvelle larme couler sur ta joue.
-Pourquoi t’es si gentil avec moi ? Tu connaissais pas mon existence il y a encore six mois, tu as tous les droits de m’ignorer, questionnes-tu d’une voix tremblante.
-Je viens de te le dire, on est de la même famille, je tiens à toi. 
Sans répondre, tu te tournes vers lui avant de te jeter dans ses bras. Toutes les larmes que tu retenais depuis ces derniers mois coulent enfin sur tes joues. En sentant tes épaules bouger, Dean te serre un peu plus contre lui. Il te caresse le dos, t’invitant à faire sortir toutes émotions. Son cœur se brise un peu plus en réalisant à quel point tu te retenais de ne pas craquer pour satisfaire un minimum John. Il connait que trop bien la douleur alors ce soir-là, il veut s’assurer que tu saches qu’il sera toujours là pour te soutenir. Ta tête cachée dans le creux de sa nuque, tu restes dans ses bras, acceptant pour la première fois le réconfort de ton grand frère.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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🌊 «ICON OF THE SEAS» : SYMBOLE D'UN MONDE QUI S'EFFONDRE
– En 2022, les 218 navires de croisière européens ont émis plus d’oxydes de soufre qu’un milliard de voitures –
Il est beau, il est neuf, il est multicolore comme un bonbon : un tout nouveau paquebot de luxe. Plus polluant à lui seul qu'une grande ville occidentale.
Le mastodonte est encore en phase de test au large de la Finlande mais il sillonnera officiellement les mers en 2024. Ce n'est plus vraiment un bateau, ni même un paquebot. C'est une sorte de ville flottante pour que les privilégiés se divertissent. Un centre de consommation gigantesque, flottant et dévastateur.
«The Icon of the Seas», de la compagnie Royal Caribbean, mesure 365 mètres sur 20 étages. Il est plus long que la tour Eiffel si elle était couchée, et 5 fois plus vaste que le Titanic. Le monstre pèse 250.000 tonnes, et c'est «le plus grand navire de croisière au monde». Probablement la plus grande embarcation de l'histoire de l'humanité, puisqu'il est capable d'embarquer 7600 clients et 2350 membres d’équipage, soit quasiment 10.000 passagers à bord !
Pour vous faire un idée du délire sans limite de la société capitaliste : on trouve sur le navire un minigolf, une patinoire –oui, au milieu d'océans tropicaux, on va faire geler de l'eau pour que des gens glissent sur de la glace – une quinzaine de bars et restaurants, un simulateur de surf – on crée donc une mer et des vagues artificielles sur un bateau ! – mais aussi sept piscines et des bains à remous, un parc aquatique avec six toboggans géants, des salles de spectacle et de concert, et même un quartier «Central Park».
Cette construction est essentielle à l'humanité, en pleine crise sociale, avec des pénuries d'eau et de nourriture, le manque de ressources vitales dans plusieurs coins de la planète.
Mais les riches se moquent éperdument de l'avenir des êtres vivants sur cette terre. Car c'est bien pour eux qu'a été construite cette oasis privatisée : il faut payer au moins 2029 euros par personne pour une semaine de croisière dans les Caraïbes, et jusqu'à plusieurs dizaines de milliers de dollars pour les meilleurs cabines.
La compagnie Royal Caribeans a mis à l'eau plusieurs énormes paquebots du même type. Le journal The Guardian estimait déjà que les deux moteurs d’un autre navire de la compagnie, «The Harmony of the Seas», pouvaient à eux deux brûler jusqu’à 250.000 litres de carburant par jour. Sans compter le trafic routier et de cargos générés par l’activité du paquebot, qu'il faut ravitailler en permanence. Un spécialiste maritime expliquait que «ces navires consomment autant de carburant que des villes entières. Ils consomment beaucoup plus d’énergie que les porte-conteneurs et même lorsqu’ils brûlent du carburant à faible teneur en soufre, c’est 100 fois pire que le diesel routier».
En 2021, la même compagnie avait fait construire par les chantiers de Saint-Nazaire le «Wonder of the seas». Un monstre de taille comparable à l'«Icon of the seas» : 362 mètres de long et la capacité d'embarquer 9000 personnes. Pendant que la planète brûle, l'industrie des croisières est en pleine expansion. Une étude publiée en juin 2023 montrait que la pollution par les navires de croisière dans les 50 ports les plus fréquentés d’Europe est en augmentation.
Les 94 bateaux du croisiériste de luxe Carnival Corporation émettent dix fois plus d’oxyde de soufre que l’ensemble des 260 millions de voitures du parc automobile européen. Le croisiériste Royal Carribean, auquel appartient le nouveau monstre, en rejette, lui, quatre fois plus ! Rien que les 218 navires de croisière européens ont émis plus d’oxyde de soufre qu’un milliard de voitures en 2022. Un milliard !
Mais surtout, faites attention à vos petits gestes pour la planète.
Contre Attaque
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 20
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Hello les loulous !
Vous lisez certainement cette intro un moment après la publication du post sur le chapitre 19, mais sachez que je commence immédiatement après avoir fini le chapitre précédent. Celui-ci était si mauvais que j’ai désespérément besoin de prendre quelque chose de bon dans cette saga avant de refermer mon document LibreOffice.
La dernière fois, Mara trahissait l’Empire, tuait un Très Haut Mage et volait la sphère-négation, tout ça dans un chapitre qui arrivait à être chiant à mourir en dépit des enjeux.
Aujourd’hui, nous rejoignons notre mauvaise troupe sur Tadix. Le chapitre 20 s’intitule « Archange, ou comment découvrir que son futur potentiel peut-être petit copain voire fiancé est sans doute un sérial killer. »
Bref, la dernière fois qu’ils apparaissaient, nos sacrés camarades venaient tout juste d’invoquer Archange et sa clique, ce à quoi certains dragons ne réagissaient pas très bien.
Archange ordonne à ses démons de se calmer avant que tout ça vire au bain de sang. Tout ce beau monde se détend, les démons sont tous des top models, et Archange va voir Tara, ravi de la croiser. Tout ça ne plaît pas du tout à Cal, qui lâche un grognement. Parce que même le génie du groupe réagit comme un clebs quand il voit sa copine se faire draguer par un prétendant politique.
« Fafnir écrasa le pied de Cal, ce qui le fit sursauter. Il jeta un regard blessé à la naine, qui le lui rendit froidement, haussant ses sourcils roux d’un air de dire : « Eh bien quoi ? Tu veux vraiment tout faire rater ? » »
Putain, même Fafnir a une réaction logique, tu la sens ton efficacité, Cal ?
« Il se sentait l’âme d’un homme de Cro-Magnon. À moi ! À moi ! En fait, il aurait bien attrapé Tara pour l’emmener dans sa caverne. (les hommes de Cro-Magnon ne méritent pas la comparaison avec Cal. Et je suis persuadée qu’ils étaient mille fois plus subtils que ce que Madame S.A.M. imagine. Also Cal vient d’Autremonde et les bouquins passent leur temps à nous dire qu’il est inculte sur tout ce qui concerne la Terre, il ne devrait pas se faire ce genre de réflexion)
Sauf que, pour l’instant, Tara avait l’air littéralement hypnotisée par le bellâtre. Elle le regardait comme s’ils étaient seuls au monde. Cal espéra très fort que c’était du cinéma. Qu’elle n’oubliait pas que ce… truc était un monstre sous ce corps trop parfait. (Oh mais fait chier… qu’est-ce qu’on en a à foutre de la réelle apparence d’Archange ? Certes, je ne choisirai peut-être pas un démon pour une partie de jambes en l’air, mais 1/ peut-être qu’il y a des gens qui aiment bien, d’où tu juges. 2/ les relations inter-espèces ne doivent pas être si rares que ça dans cet univers, il y en a eu plusieurs simplement dans le magic gang 3/ La visée de Tara n’est pas de se marier par amour pour Archange, mais pour former une alliance politique qui leur éviterait une guerre ! Un autre parti envisagé était Chem, tu crois qu’elle a envie de pécho son mentor ? Donc qu’est-ce qu’on s’en fout d’à quoi il ressemble en vérité, ou du fait qu’il cache à quoi il ressemble ?? L’essentiel, ce sont ses actions, à la fin, pas le nombre d’yeux qu’il a !)
En fait, si Cal avait été dans les pensées de Tara, il aurait été encore plus inquiet. Parce que lorsque Archange avait plongé ses yeux verts dans les yeux bleu marine de Tara, la jeune fille avait senti… quelque chose.
Comme si elle était attirée par Archange. Un peu comme ce qu’elle ressentait… avait ressenti pour Robin, lorsqu’elle était folle amoureuse du demi-elfe. »
Ce bouquin aurait dû s’appeler « Tara Duncan : Adonis contre apollons ». Quand j’ai commencé ce PDF, j’attendais de la baston, pas un concours de JoJo poses. Je veux juste qu’un dragon casse la gueule d’un démon à ce stade, s’il n’y a que ça je serai déjà contente. C’est dire.
Sur ce, Archange ordonne à ses subalternes de distribuer les cadeaux qu’ils ont amené.
« Les démons avaient bien étudié les Omoisiens. Ils savaient ce qui allait plaire à Lisbeth. Tout n’était qu’or et joyaux étonnants, pierres extraites de leurs planètes, nouvelles couleurs, nouvelles textures, étoffes soyeuses rebrodées d’animaux improbables. Tara ne put s’empêcher d’être surprise. Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait du mal à imaginer que les démons avaient un tel sens artistique. Mais elle comprenait très bien ce qu’ils faisaient. « Regardez, nous ne sommes pas différents de vous, nous aimons les mêmes choses, nous avons le sens de la beauté, soyons amis. »
C’était incroyablement habile. D’ailleurs, tout autour d’elle, elle sentait que les gens se détendaient »
Putain mais quelle habileté de fou d’offrir des cadeaux pour briser la glace face à des alliés politiques. Trop malins les gars. Stade avancé de réflexion, 4739 de QI, hauts potentiels intellectuels.
« [Lisbeth] leur offrit de précieuses semences, des blés résistant aux maladies, des pousses d’arbres fruitiers en stase prêtes à être plantées, des embryons d’animaux, un millier environ, des objets et gadgets fabriqués par ses usines et ses savants. Elle montrait l’étendue de ce qu’AutreMonde et Omois pouvaient apporter aux nouvelles planètes. Les machines mi-mécaniques mi-magiques, des systèmes de communication (elle avait la ferme intention d’inonder ce nouveau et juteux marché avec ses plaquettes de cristal-phone super-sophistiquées avec projection holographique des appelants, mémoire de plusieurs milliers de TMO52 etc.), des connaissances médicales aussi, des sorts de Reparus automatiques très coûteux et complexes, puisqu’on ne pouvait pas se guérir soi-même, ou encore de merveilleux parfums, des onguents onctueux et adoucissants, bref, un panel très varié dans lequel leurs futurs partenaires commerciaux allaient pouvoir choisir ce qui leur serait utile.
C’était aussi intelligent que ce qu’avaient fait les démons. »
Nan. Nan, c’est bien plus intelligent que ce qu’ont offert les démons, bien plus élaboré et ciblé, et une plus grande preuve de considération. Rendons à César ce qui appartient à César, ça, c’est une écriture de Lisbeth telle qu’elle la mérite. D’autant que, si on est indulgent envers madame S.A.M. et qu’on choisit de dire que ce n’est pas un élément sorti du chapeau, les Reparus automatiques ne sont pas répandus dans l’univers de Tara Duncan. Ce qui signifie que Lisbeth réserve ces éléments coûteux à la diplomatie avec les démons. Très in-character pour le personnage. À côté de ça, les tissus péniblement décrits que leur offrent les démons, ils peuvent aller se rhabiller avec.
« De fait, avec ses coffres regorgeant de joyaux et d’étoffes, il paraissait un peu futile, quoique très luxueux, alors que l’Impératrice montrait sa volonté de commercer. D’accord. Le point était pour Lisbeth. Il tourna son regard vers Tara. La jeune fille l’avait certainement conseillée. Il ne devait pas, jamais, sous-estimer l’intelligence de la jeune humaine. »
Oui bah c’est ça, suppose que le mérite revient à Tara et pas à Lisbeth. C’est sûr que Lisbeth n’a pas l’intelligence de prendre cette décision elle-même. Elle n’est jamais qu’Impératrice d’Omois depuis plusieurs années. Une broutille.
Bon, cela dit, vu la façon dont elle a exercé son pouvoir dans les chapitres précédents, la narration a probablement raison d’accorder cette idée à Tara. Mais ça m’énerve profondément.
Archange est parfait et il trouve Tara parfaite, blablabla. C’est l’heure de la récré, et par récré on entend que les démons vont se balader un peu partout et le reste des gens présents aussi. On a une redite de la blague « Ce serait drôle si on tuait un démon sans faire exprès oupsie » du chapitre 17, mais qui ne marche pas cette fois. Les âmes démoniaques, prisonnières des objets que porte Tara, se tiennent à carreau.
Un Tadixien vient s’enquérir du magicgang, ce qui fait réagir bizarrement Fabrice, qui se demande s’il ne serait pas atteint un peu par la magie démoniaque de la troupe d’Archange. Oupsie doupsie.
« Fabrice aurait dû rester sur Terre » : 3 (surtout que pour l’instant il est aussi utile qu’un plot).
Et sur ce, Glubl est de retour !! Vous savez, le type que rencontre Moineau pendant la réception, dans le chapitre 4 ? Je l’aime bien, même s’il n’a pas fait grand-chose pour l’instant. C’est le moment d’en apprendre un petit peu plus sur lui :
« Comme Sylver, il était une sorte d’hybride. Une création artificielle voulue par un sortcelier qui désirait que des humains, et non plus des gnomes, soient capables de communiquer avec les Santivoriens. Il avait donc mélangé les ADN, mis les produits dans le ventre de plusieurs mères porteuses humaines, puis attendu de voir ce qui allait en sortir. La majorité des infortunés frères et sœurs de Glubl étaient morts ou étaient nés si déformés que la mort aurait été préférable. Fort heureusement, le sortcelier en question avait fini par être démasqué et emprisonné. Glubl avait été confié à des parents humains, mais, très jeune, avait manifesté de grandes capacités télépathiques. Dès qu’un Diseur se promenait à proximité, le jeune garçon était capable de percevoir ce qu’il disait. »
Bon, mis à part cette histoire d’être né « si déformé que la mort aurait été préférable » (je vois d’où ça vient mais ça a des petits relents de validisme quand même), je trouve l’origin story de Glubl cent fois plus intéressante que tout ce qui a été tenté en terme de personnages jusque-là. Sincèrement.
Tara va pour se reposer, mais elle croise…
« Mourmur les attendait près de l’entrée du couloir alors qu’ils se dirigeaient vers leurs chambres. »
YES, enfin ma dopamine est de retour.
« — L’Impératrice ne fait pas confiance aux démons (ça, elle n’était pas la seule !). Elle pense qu’ils vont peut-être tenter d’utiliser leur magie démoniaque afin de faire venir d’autres démons, maintenant qu’autant d’entre eux sont ici. Mes petits bijoux sont là pour les en empêcher. Ils bloquent le flux du pentagramme, on ne peut pas l’utiliser, et si on passe les défenses de mes machines, elles émettent tout de suite un signal d’alarme qui réveillerait un mort. Elles passent aussi du vert au rouge dès qu’un vortex est ouvert dans un rayon de cent tatrolls (j’ai tendance à penser qu’il y a plus subtil, comme alerte. Genre quitte à ce que Lisbeth et Tara aient toutes les deux des montres, utilisez-les pour les avertir discrètement, afin que les démons ne se doutent pas qu’on sait ce qu’ils sont en train de faire ? C’est donner une information capitale à un potentiel ennemi... Bon je sais pas pourquoi je me fatigue, Mourmur son truc c’est les explosions, pas la discrétion). Grâce à ma présence dans le cercle, j’ai pu mesurer tout ce dont j’avais besoin pour nous protéger et surtout pour les calibrer. Pardon si cela a pris autant de temps, mais j’ai dû utiliser une partie de la magie que vous envoyiez dans le vortex afin de les rendre compatibles avec. (Mourmur qui s’excuse ? OOC, je suis entièrement sortie de l’histoire. Plus sérieusement, le mec est giga imbu de lui-même et a une trop forte confiance en lui, il devrait plutôt se vanter)
Le vieux savant avait l’air très satisfait de lui (MERCI, ça c’est le Mourmur que je connais). Tara comprenait à présent un peu mieux pourquoi il avait fait partie de l’étoile du pentagramme, alors qu’il était le plus faible d’entre eux en magie, et de loin, mais aussi pourquoi il avait été si long et si compliqué de faire venir les démons »
Oui, c’est bien ce que je pensais, Mourmur n’excelle pas en magie comme le reste de la famille. Faut pas s’étonner après si c’est mon personnage préféré (même si, faut avouer, s’ils avaient continué de développer Manitou, ça aurait sans doute été lui mon préféré).
« Ils hochèrent tous la tête d’un air très convaincu.
Tara aperçut du coin de l’œil une silhouette qu’elle connaissait bien.
Angelica.
La peste parlait avec un démon qui semblait l’écouter avec passion.
Tara serra les lèvres. Qu’est-ce que son ennemie était en train de manigancer encore ?
�� la fin de la discussion entre Angelica et le démon, alors que Mourmur continuait à expliquer ce qu’il avait mis en place pour les protéger, Tara faillit avaler de travers. Angelica venait de poser la main sur le torse musclé du démon, moulé par une fine chemise bleue. C’était un geste très intime pour quelqu’un qu’elle avait dû rencontrer deux minutes plus tôt ! Le démon sourit et ils partirent ensemble.
— Et toi, Tara, qu’est-ce que tu en penses ?
— Hein ? dit Tara qui n’avait pas écouté un mot.
— Deux, répondit Cal, moqueur. (Bon, je peux critiquer Cal autant que je veux, mais celle-là j’aurais pu la faire, j’accepte. L’un de mes crushs répond bien « Feur » quand on lui dit « Quoi », donc bon...) Nous nous demandions si tu pensais que les démons étaient aussi inoffensifs qu’ils s’appliquent à le paraître ou bien des bêtes assoiffées de sang. Pour l’instant, les bêtes assoiffées de sang mènent cinq voix contre une, notre amie Fafnir s’obstinant à les trouver « mignons ». »
Étrangement, j’aime bien cette scène… ? Oui, mes standards ont fortement baissé, mon fav c’est Mourmur et je lis Tara Duncan, de plus le chapitre précédent était affreux… Mais en terme de mise en scène et de dialogue, elle fonctionne. C’est facile de la visualiser car elle se découpe exactement comme un extrait de série télévisée. Là je comprends l’idée, et c’est plutôt bien retranscrit.
Tara apprend que Lisbeth a décidé d’éloigner les chambres de ses amis de la sienne. Mais bon, le fait que Lisbeth accepte leur présence est déjà une faveur que j’ai du mal à comprendre.
« Tara rentra donc seule dans sa suite toute blanche et prit une douche pour délasser ses épaules fatiguées par la charge de magie. Les sièges, perchés sur de fragiles tiges d’acier, robots animés et non pas magiques, s’écartaient sur son chemin. La première fois qu’elle s’était assise sur l’un d’eux, elle avait eu peur que son poids ne le fasse basculer ou ne le casse, mais le siège avait tenu le choc. Puis, d’une voix métallique, lui avait signalé qu’elle pouvait se laisser aller, qu’il était inutile qu’elle se tienne sur la pointe des pieds afin de répartir son poids et qu’il avait été fabriqué pour supporter une masse de deux tonnes. Tara avait fait la grimace, ces robots étaient un peu trop malins à son goût. Elle préférait les bons vieux fauteuils de bois confortables animés sur AutreMonde.
Au moins, eux ne parlaient pas. Enfin, pas encore »
Des fauteuils animés comme des robots c’est giga stylé, Tara est juste une hater des Tadixiens, c’est fou. Je suis sûre que si Mourmur ou Cal lui avaient fabriqué la même chose elle aurait trouvé ça super original et inventif. Et puis bon, un truc en principe pas vivant mais qui parle et rend des services elle en a un sur sa nuque, c’est sa changeline. Et je doute que son exosquelette du tome précédent n’était pas un poil robotisé. Les doubles standards ça suffit.
Bon, j’exagère, je ne suis pas opposée à ce qu’ils développent l’aversion irrationnelle de Tara envers une planète inconnue. C’est simplement dommage que ce soit contre Tadix qu’elle soit hostile, car à part les mœurs des Tadixiens autour des banquets, il n’y a rien d’extraordinairement détestable. Au moins, la narration nous fait savoir que ce n’est que le point de vue de Tara. Pour l’instant.
« La changeline lui créa un pyjama moelleux et frissonnante, parce que la température était un peu fraîche dans sa chambre, (je ne sais pas pourquoi j’ai ri en imaginant à quoi ressemblait un pyjama « moelleux et frissonnante ». Disons que coller ces deux bouts ensemble n’était pas super habile) Tara se glissa avec Galant à ses côtés dans le grand lit tout aussi blanc. Elle posa les Objets près d’elle, les sangles se resserrèrent afin de l’empêcher de s’envoler pendant son repos et sombra dans un sommeil sans rêve, tandis que son pégase l’enveloppait de ses ailes duveteuses. (mais l’image de cette chambre… je veux vivre là-bas, vraiment. Pourquoi on passe autant de temps sur AutreMonde ? Tout ce qu’ils ont pour eux c’est des palais faits en pierres précieuses)
Le lit la réveilla une heure plus tard, tandis que les sangles se rétractaient et qu’une douce lumière commençait lentement à éclairer la chambre. Tara sourit en réalisant qu’elle était surprise. D’habitude, soit on l’enlevait, soit quelqu’un s’introduisait dans sa chambre, soit il se passait quelque chose de bizarre ou d’étrange. Et là, rien. Comme si on lui donnait un petit répit avant que les choses vraiment sérieuses ne commencent. Elle s’étira et commença à se lever.
Puis se figea lorsqu’une voix bien connue murmura doucement.
— Tara ? »
Et le chapitre se termine ainsi ! J’ai bien fait d’enchaîner avec celui-là, il était nettement plus agréable à lire.
La prochaine fois, nous nous concentrerons sur Robin ! Ce sera l’occasion de savoir ce qui lui est arrivé.
D’ici là, à toutes !
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luc3 · 1 year
Text
(ce serait trop long à expliquer.)
Je n'arrive plus à écrire. Il faut que j'écrive.(Encore l'injonction. Tout n'est qu'injonction.) Je n'ai plus que les envolées lyriques de l'insomniaque, quand l'inspiration te saisit, comme un envol puis te laisse exsangue, tu n'as rien pu noter, c'était vraiment beau. Tu n'as rien pu noter.
C'était le jour où elle avait assigné sa pseudo autorité devant le petit Ruisseau, une plume comme messagère, un petit brin d'oseille et de roseau. Le serpent regimba, piaffa, mais ne rua pas. Mais Il ne fut pas content non plus. Les chants d'oiseaux s'en donnaient à cœur joie, comme pour la moquer. Comme pour la désigner. Elle convint alors d'une Promesse, et on sait qu'il ne faut jamais faire de promesse en l'air avec les serpents-les typhons, les êtres de l'autre côté du voile et leurs alliés. Ce texte est sûrement pour ne pas oublier.
Oui. Je voudrais tant arriver à consigner. Tellement de noms, de gens, de choses, de lieux, de sourires, de peurs. À noter.
One for beginning.Two means exchanges.. Three shows things growing...Four does not change. Le changement s'étire à perte de vue comme un champ vide, un champ fauché, un champ même pas une chanson, une vitre même pas en verre, quelque chose de stérile et triste.
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J'ai besoin d'écrire. J'étouffe. Écrire. J'étouffe. Il y a un œil et ses milles manières. Il y a tout à l'heure cette minuscule fleur. Il y a le Père qui n'a dit qu'une seule parole : son Fils. Et le Silence éternel en est l'écho. Il y a l'amour qui me broie, qui me ploie. L'amour qui ronge tout et ne résout rien.
L'impuissance de celle qui veut agripper. L'impuissance des tout petits.
Mais Il est allé nu-pieds et nu-tête, seul et en haillons, flanqué de son armée de pauvres, il a dansé sous le soleil qui nait de la ténèbre et se donne à tous, sans distinction. Il a crié au Désert, il a communié en Nature. Il a consolé et il a puni.
Comme Vous.
Et tout à l'heure cette araignée minuscule et noire dans l'oratoire si blanc. D'un blanc de coton, un blanc de nuages, d'un silence comme les vagues. Si poignant, si tendu, qu'il en vibre.
Et puis, les gens moi, ne sont bons qu'à être soignés ! La maladie seule est capable de te rendre la dignité que tu t'es aliéné, oh monstre capitaliste.
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(English below)
I can no longer write. I have to write. (Again the injunction. Everything is only injunction.) I only have the lyrical flights of the insomniac, when inspiration seizes you, like a flight then leaves you bloodless , you couldn't notice anything, it was really beautiful. You couldn't write anything down.
It was the day when she had assigned her pseudo authority before the little Stream, a feather as a messenger, a little sprig of sorrel and reed. The snake kicked, pawed, but did not really kick. But He wasn't happy either. The songs of birds gave themselves up to their heart's content, as if to make fun of her, as if to name her. She then agreed to a Promise, and we know never to make empty promises with serpents-typhoons, beings on the other side of the veil and their allies. This text is surely not to forgot.
Yes. I would so much like to be able to consign. So many names, people, things, places, smiles, fears.
One for beginning. Two means exchanges.. Three shows things growing…Four does not change. Change stretches as far as the eye can see like an empty field, a mown field, a field not even a song, a window not even made of glass, something sterile and sad.
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I need to write. I choke. To write. I choke. There is an eye and its thousand ways. There is this tiny flower just now. There is the Father who spoke only one word : his Son. And the eternal Silence is its echo. There is love that crushes me, that bends me. The love that eats away at everything and solves nothing.
The helplessness of the one who wants to cling. The helplessness of the little ones.
But, He went barefoot and bareheaded, alone and in rags, flanked by his army of the poor, he danced under the sun which is born from darkness and gives itself to all, without distinction. He cried out in the Desert, He communed in Nature. He consoled and he punished.
Like you.
And just now that tiny, black spider in the so white oratory. White cotton, white clouds, a silence like the waves. So poignant, so tense, it vibrates.
Besides, people myself, are only good for being cared for! Illness alone is capable of restoring to you the dignity that you have alienated from yourself, oh capitalist monster.
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