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#liquides imaginaires
bebemoon · 1 year
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“the red succubus/maneater goes clubbing”, requested by anonymous .
dilara findikoglu “dissolved doll” dress
{beauty} honor fraser for alexander mcqueen a/w 1998
saint laurent “gippy” patent crisscross mule sandal in red
austin james smith fang earring in silver
liquides imaginaires’ “bloody wood” eau de parfum
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persolaise · 8 days
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Akro Infuse, Rendez-Vous, Parfum D'Empire showcase and other reviews - 2024
An intriguing cup of tea from Akro, gender-bending from Rendez-Vous and several evocative gems from Parfum D'Empire
An unusual cup of tea was on offer in a recent episode of Love At First Scent, in the form of the new Akro Infuse (Olivier Cresp). In the same broadcast, I talked about the intriguing Rendez-Vous, composed by Antoine Lie, after which I presented a showcase review of a brand that doesn’t get anywhere near the attention it deserves from me, Parfum D’Empire, all of whose wares are created by its…
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thebeautycove · 5 months
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LIQUIDES IMAGINAIRES - LIQUIDE GOLD - Collezione Alchemical Trilogy - Eau de Parfum - Novità 2023 -
Sun. Gold. Alchemy. My liquid emotion.
•••
Cosa sprona a scoprire una nuova fragranza? Per me, l’aspetto più intrigante e suggestivo è quello legato alla fase concettuale creativa del profumo. Lì, in un attimo, si spalancano universi di meraviglia e mistero che meritano di essere sondati, che avvincono l’immaginazione, permeano la fantasia di nuovi scenari, in un infinito desiderio di possederne la conoscenza, di sperimentare nuove capacità sensoriali.
Philippe di Meo, direttore creativo di Liquides Imaginaires, ci offre l’ennesimo spaccato della sua vena poetico-artistica. Nella nuova collezione Trilogia Alchemica, di cui Liquide Gold è la prima, seducente espressione, la sperimentazione olfattiva si inerpica tra i meandri ignoti e potentemente evocativi delle emozioni, vaga alla ricerca di una luce primigenia, quella della sapienza e dello spirito, introduce in una nuova dimensione di mistica alchemica, alla ricerca del metallo sublime.
L’oro, emblema di luce, materia pulsante di vita e fulcro stesso della ricerca alchemica ha come simbolo il sole, stella madre, fonte inesauribile di energia. Focolare e tenerezza dell'esistenza lo appella Rimbaud, emblema di perfezione, segno della capacità umana di astrarre il pensiero dalla vita, metallo nobile da sempre in grado di condizionare culture e civiltà.
Così, tra simboli e leggende la fragranza assurge a mezzo di stupefacente potenzialità, in grado di sviluppare gesti liberatori e, come oro puro, alimentare rinnovati desideri di bellezza e spiritualità, nuovi inizi e obiettivi di vita.
Liquide Gold è oro nobile che riluce nella sua purezza incandescente.  Nei suoi accordi fiammeggiano note preziose che trascendono la materia e si trasformano in messaggi di sublime calore e conforto. Immersi in un liquido mirabile, gli aromi fluiscono in pienezza. Subito un mandarino succoso e raggiante sfuma nell’eleganza profonda e dorata dello zafferano. Un evviva di spezie, lampi cangianti sulle dolci corolle di gelsomino e fiore d’arancio, come un sole maturo che bacia e non brucia. Poi energia a profusione, l’accordo ambrato domina sui legni, la ricchezza smerigliata di vaniglia e cisto è illuminata all’infinito dai bagliori sfavillanti del muschio bianco.
Un Sole Liquido. Un destino indossarla. Un’allegoria di rigenerazione.
Creata da Quentin Bisch & Nisrine Grillie.
Eau de Parfum 100 ml. nel flacone maison total gold. In profumerie selezionate.
©thebeautycove   @igbeautycove
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https://www.modaonlinemagazalari.com/moda-markas/liquides-imaginaires/
Liquides Imaginaires
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parfumery-wiki · 2 years
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Lacrima Eau des Yeux Liquides Imaginaires Nose: Anne-Sophie Behaghel
Soft amber
Lacrima is the rare pearl which escapes from the corner of the eye. A precious water laden with your most intimate emotions. The lethal weapon to combat your mood swings.
Key notes: Pink pepper, Elemi, Smoked wood, Benzoin, Castoreum, Moss
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rexaleph · 5 months
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re:Liquides Imaginaires Tellus: yeah that's the one. really sat with it for the first time today, even though i've thought of it as a favorite for years
the punch to the throat dirty animal sensation literally making me salivate that i always associated with Tellus is really just upon first application (costus and cashmeran i'd guess), and as that mostly evaporates (along with the patchouli i wish there was just generally less of), you're left with a magnetic skin scent, soft, just a little dirty, fuzzy, barely-sweet labdanum.
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odoroussavourssweet · 10 months
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Les Liquides Imaginaires Tellus
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Les Liquides Imaginaires Tellus
Nose: Nadege de Garlanezec
notes: soil tincture, patchouli, moss, labdanum, ambroxan, cashmeran, balsam fir, lily, costus
Tellus feels *very* synthetic in a generic way, ominously dark and, yes, a bit earthy, but without the complexity of a “real” perfume.
Mostly it’s a synthetic “ambery” “patchouli” (of what I think of as the Evil Grand Vizier style) like many others. The Grand Vizier goes to the mall.
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angelitam · 2 years
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Parfums de niche du printemps
Parfums de niche du printemps
Au printemps, les parfums de niche se dévoilent. Parfums de niche du printemps Les créateurs de mode proposent de nouvelles collections au printemps donnant l’envie pour  de nouvelles couleurs et matières. La parfumerie surfe, elle aussi, sur la vague, avec de nombreuses nouveautés. Intéressons-nous aux nouveautés des parfums de niche. Parfums de niche du printemps Rayon Vert de Maison Bastille…
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brudnyalgoryrm · 6 days
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"Satisfying the thirst of every creature, and turning the colour of all nature to red" Inspired by one of my favorite perfumes - Bloody Wood from Liquides Imaginaires I've made this small illustration.
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anticbrvtalist · 6 months
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnétique de l’Angleterre » ! Où donc ai-je lu ces mots ? » (Léon Bloy)[1]
Nous ne croyons pas à la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congé à temps. Sans doute était-il fatigué de tituber dans un monde qui meurt. Dès la fin du siècle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratère foré par l’économie monde, plongeant à pic dans le tiède enfer du non-lieu global. Même Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho géographie, d’exposer aux non-initiés ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientôt plus rien à personne. Nous fûmes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sévit pas à l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a épuisé la valeur d’échange s’évapore, disparaît. Même les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiés, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chère Ann, ce Londres s’était tout entier évanoui ; et bientôt, ferait défaut jusqu’à l’humanité encore accessible à de tels souvenirs. Il aura vu le dôme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars désaffectés, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusé dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement écouté par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une désespérante tolérance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la cité des résurrections »[2]. Cette ville lui était à ce point devenue étrangère qu’il ne pouvait plus suivre à l’instinct les affluents de la Tamise, ces méandres aux propriétés magiques jadis cartographiées par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les rivières de Stamford brook et de Walbrook. Désormais incapable de soulever les strates de l’histoire immédiate, mais toujours possédé par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, à quarante ans, enterré vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la première tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-être Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il désirait, de toutes ses forces, différer l’avènement. Peut-être devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entière, allait devenir telle qu’elle figure dans la série Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIè, énonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achève, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poètes sont toujours les premiers à s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un précurseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tâtonne vers la sortie, cherche machinalement son âme comme on s’assure de la présence d’un membre fantôme. Le Brexit, bien sûr, ne résoudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant à l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot à la remorque des États-Unis, tourné vers l’ailleurs, le grand large, l’Océan Pacifique peut-être, pour une dernière aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre à se défaire du monde. Très jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « système », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidé de la société » : cette dernière, il sut la tenir à distance, cultivant l’art de la clandestinité, luttant constamment contre toute forme imposée ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignée d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vécut son homosexualité comme une malédiction, un défi, trop orgueilleux qu’il était pour quémander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplément de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularité draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dès 1984, à écarter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacés, passèrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de côté, la vie de John Balance fut esquive, dérobade radicale. De la société, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’appréhendé latéralement, surtout les êtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’âme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oublié. Cette approche oblique strictement observée, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-à-dire un bruit, un son, que l’on peut prélever, domestiquer, puis torturer à loisir avant de le restituer, méconnaissable, à la société épouvantée.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une étrange réputation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, évoquant à mots couverts auprès d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entièrement peinte en noir, les murs tapissés d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, où il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces étranges inclinations vinrent aux oreilles du cinéaste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rétracter, effrayé. Pourtant, à les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les présentent de noir vêtus, cheveux ras, encapuchonnés dans d’informes sweat shirts, soit la défroque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils étaient passés maîtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dès 1991, ils avaient déjà, par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expérience claustrophobique, se changea en caisse à stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayée de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un député tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes à l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensées, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dé-civilisation dont ils déplorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogénéité qu’ils possèdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dépit d’un mode de vie suicidaire, jalonné d’expérimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblée le pressentiment de l’avènement d’un monde unidimensionnel, hostile à toute intériorité. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment écho aux paroles d’un Barrès, qui, à l’apogée de son « culte du moi », au début du XXè  siècle, déclarait : « Les barbares veulent nous fondre en série ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom à la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de réversion, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quête de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait déjà les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tôt. L’histoire révèle à périodes régulières quelques jeunes gens suffisamment mécontents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible à rendre son secret. John Balance s’identifiait à René Crevel mais ce serait plutôt à Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poète égaré dans son inlassable quête d’« états de stupeur fixe ». (...)
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bebemoon · 7 months
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look for the name: AISLING
paco rabanne white cloud-wool off-shuolder maxi dress w/ gold chain straps
alexander mcqueen white leather logo-embossed opera-length gloves
rockah.brand golden septum nose bell
liquides imaginaires "blanche bête" eau de parfum
rick owens chalk-white leather "kiss" boots w/ lucite heel
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machtwehr · 5 months
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Regarding perfumes, suddenly! I wrote a post about what kind of scent Nigel would be. And omg, I finally found a similar scent in reality. This is "Les Liquides Imaginaires - Saltus". It feels like a dark gloomy forest, a scary fairy tale, you are standing among coniferous trees that are hundreds of years old. someone is watching you.
it is not as complicated as I wrote, it has less nobility, but there are also less ethers.
I hope someday there will be an even more suitable one.
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drackarys · 1 year
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L'imaginaire est puissant, que ce soit dans les photos subjectives ou dans les textes....
Début d'un texte que j'ai écrit.... Vous n'aurez pas forcément la suite mais j'espère qu'il jouera sur votre imaginaire...
Cela fait quelques temps que nous conversons...de tout, de rien... De la vie comme de mes envies...
Nous nous sommes rencontrés une fois au détour d'un café, voir si l'attrait physique était aussi bon que l'attrait intellectuel.
Un soir, sans prévenir, tu es venu me cueillir a la sortie de mon boulot. Tu m'as expliqué être dans la région pour 2 jours et en profiter pour me faire découvrir de façon soft certaines de mes envies...
Tu m'emmènes donc a ton hôtel, arrivés dans la chambre, tu me parles dans l'entrée de celle-ci. Tu m'expliques que je peux arrêter et partir à tout moment. Tu me demandes si tout va bien et si j'ai besoin de quelque chose.
Je demande à pouvoir aller au toilette et prendre une douche...
Tu me réponds que c'est tout a fait possible et que tu aimerai que je fasse pipi la porte ouverte devant toi, que pour cette première fois, il n'y a aucune obligation et que je peux refuser mais que par la suite ce sera obligatoire, assise nue sur le toilette, les fesses bien écartées afin que tu vois le liquide s'écouler, mais que le faire dès maintenant, te montrera ma volonté de docilité envers toi...
Je rougis, me dirige vers le toilette, laisse la porte ouverte, descend mon collant, mon string, remonte ma jupe et m'installe. Je ne suis pas encore prête à le faire nue. Je baisse la tête et sens ton regard posé sur moi.
Je me rhabille et me dirige vers la salle de bain. Une fois entrée, tu me dis, de ne remettre que mes sous vêtements. Tu t'eclipses pour me laisser seule, ça me permets de prendre un peu de temps pour moi sur la suite.
Ma douche finie, je m'essuie et remets mes sous vêtements, tu es dans l'embrasure de la porte. Tu m'informes que lorsque j'aurais passé cette porte, nous commencerons la découverte, tu veux savoir si j'ai des choses à te demander, te dire et aussi un mot qui permettrait de tout arrêter même si tu sais que je n'en aurai pas besoin car ce sera extrêmement soft...
Je te demande 2 choses :
- la première, je m'approche de toi et déboutonne ta chemise, tu me laisse faire. Je pose ma main sur ton torse, au niveau de ton coeur. Je t'explique que c'est un geste qui me permet de m'appaiser. Tu passes ton bras autour de ma taille et me colle à toi. Je sens la douceur de ta peau contre la mienne, je sens aussi la puissance de ton bras qui ne laisse aucun doute sur ta vraie nature
- la deuxième que tu me demande de te vouvoyer et de finir les phrases par Monsieur.
Concernant le mot rien d'autre me vient à l'esprit a cet instant que "safety car". Tu rigoles mais acquiesce... A part devant les courses automobiles, ce n'est pas un mot qu'on utilise souvent.
Tu recules pour me faire entrer dans la chambre, tu plantes tes yeux dans les miens et m'intime l'ordre a ce moment de te vouvoyer et de finir mes phrases par Monsieur.. tu me demandes si j'ai compris, je te réponds : "oui, monsieur"
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parfumery-wiki · 2 years
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Beauté Du Diable Eau De L’Ame Liquides Imaginaires Nose: Louise Turner
Woody amber
Would you be willing to sell your soul to the Devil to possess his perfume? This essence is part of his powers, of his eternal seduction. Somewhere between beauty and peculiarity. More than a perfume, it is a myth, a lure.
Key notes: Italian lemon, Coriander, Bitter orange gin, Absinthe, Clove, Cypress, Geranium, Ylang ylang, Carnation, Haitian vetiver, Guaiacwood, Cistus, Pavement accord
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fruitchouli · 1 year
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hey y’all perfumes of the week u know the deal
24, Faubourg de Hermes, princess di wore it purr
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Dirty Violet de Heretic, violet chachki perfume purr
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Quelques Fleurs Royale de Houbigant, best honey floral🤤
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Violettes du Czar de Oriza L. Legrand, so beautiful violet composition
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Dom Rosa de Liquides Imaginaires, champagne roses
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coyoteincense · 2 months
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hello! i have two prompts 1) i have been searching for an actual coffee fragrance that isn’t overly saccharine for ages so if you had any recommendations for that… 🤲 2) maybe a fragrance collection for the song carry me ohio by sun kil moon? thank you :)
if you're looking for fragrances that actually smell like coffee instead of something sweet with just a hint, you're going to want one of these bad boys:
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awake by akro!
one of the most iconic coffee fragrances by people who want to actually smell like a barista. the rest of the notes add a fresher, citrus balance to the overwhelming dark coffee, so as it dries up it fades into a pleasant more balanced fragrance. mostly just coffee coffee coffee
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followed by kerosene!
don't let the other notes fool you on this, followed is still absolutely a coffee fragrance, but it's a good choice if you want to smell like a nice caramel latte you'd get at a cafe....it is VERY STRONG though. you'll see all over the reviews how strong this one is. to me it makes me think of when walmart had an aisle of coffee bean dispensers...i loved the smell of those and this makes me think of it. it will linger for a long time and is a good choice if you're big on coffee smells
coffee break by replica is another very common coffee fragrance and one you might have seen while searching for some. i don't think it's a bad option whatsoever but it might be a bit more sweet than you're hoping for. replica makes good stuff though so i'll plug it in here
for carry me ohio:
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tellus by les liquides imaginaires!
a soft, reaaaally earthy smell. sort of like wet earth almost. for some reason it gives me the vibe of the setting of the song
i think casting shadows by indie brand solstice smells could also work!
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