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#devenir entrepreneur
therapeutesendevenir · 4 months
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Pourquoi choisir l’entrepreneuriat ?
Les temps changent et ils changent vite. Alors, pourquoi choisir de se lancer dans l’entrepreneuriat ? La dernière crise sanitaire qui a poussé beaucoup de gens à arrêter temporairement leur acticité les a aussi fait réfléchir à ce qu’ils avaient véritablement envie de faire de leur vie. Et beaucoup se sont rendu compte que travailler pour faire rentrer un salaire, n’était pas la même chose que…
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Les freins à l’entreprenariat et leurs solutions
Se lancer dans l’entreprenariat c’est vrai que ça fait peur, alors nous allons voir ici les freins à l’entreprenariat mais aussi leurs solutions. Et quand on procrastine à se lancer, cela peut être pour plusieurs raisons Les peurs de l’entrepreneur en devenir Certains vont avoir peur d’être dépassés administrativement parlant. D’autres se disent que c’est un risque financier, qu’ils ne savent…
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monlivrepratique · 1 year
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maviebuissonniere · 5 months
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Comment tenir ses bonnes résolutions : notre meilleure astuce 💡
Ah les fameuses bonnes résolutions… Chaque année au mois de Janvier, elles font leur come back dans nos vies et nous poussent à faire le bilan de l’année écoulée. Dans un élan d’excitation, on se laisse alors embarquer dans un futur inspirant et on décide d’accomplir quelque chose de nouveau, de différent et on prend nos traditionnelles bonnes résolutions pour la nouvelle année à venir. On se…
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Né le 8 juillet 1831 à Knoxville, en Géorgie, John Stith Pemberton est entré dans l'histoire en tant qu'inventeur de l'une des boissons les plus populaires au monde : le Coca-Cola. Décédé le 16 août 1888 à Atlanta, sa vie fut marquée par l'innovation et la transformation d'une simple idée en un phénomène global.
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John Pemberton, issu d'une famille modeste avec son père James Clifford Pemberton et sa mère Martha L. Gant, a montré très tôt un intérêt pour la chimie et la médecine. Après avoir terminé ses études au Wesleyan College, il a choisi de poursuivre une carrière en pharmacie, une décision qui allait s'avérer révolutionnaire. En 1853, il épousa Ann Eliza Clifford Lewis. Le couple eut un fils, Charles Ney Pemberton, qui fut plus tard impliqué dans les affaires de son père. La vie familiale de Pemberton, bien qu'importante pour lui, était souvent éclipsée par ses expériences et découvertes en pharmacie. Avant de créer sa recette mondialement célèbre, Pemberton avait déjà fait preuve d'innovation dans le domaine pharmaceutique. En effet, il fut un des premiers à formuler ce qu'on appelle des "sodas médicinaux", des boissons conçues pour soulager divers maux en utilisant des extraits de plantes. L'histoire de Coca-Cola commence réellement dans les années 1880, lorsque Pemberton cherchait à créer un remède contre les maux de tête et la fatigue. Le contexte était celui d'une Amérique en pleine transformation, où l'urbanisation et le changement de mode de vie créaient de nouveaux besoins chez les citoyens. La première version de ce qui deviendra le Coca-Cola était initialement une boisson alcoolisée à base de vin de coca, connue sous le nom de "French Wine Coca". Toutefois, avec l'introduction des lois de prohibition à Atlanta en 1886, Pemberton a été contraint de reformuler sa boisson pour en retirer l'alcool, remplaçant le vin par un sirop sucré mélangé à de l'extrait de feuille de coca et à de la noix de kola, d'où le nom Coca-Cola. Le nouveau breuvage fut d'abord vendu en pharmacie comme un remède exotique pour divers maux, mais son goût unique et rafraîchissant en fit rapidement une boisson appréciée à sa propre valeur. Pemberton n'avait pas les moyens de commercialiser massivement son invention, mais il a vu le potentiel de son produit. Il s'est associé avec des hommes d'affaires locaux et a commencé à vendre le sirop aux pharmacies de la région, où il était mélangé à de l'eau gazeuse et servi au comptoir. Malheureusement, Pemberton ne verra pas le succès mondial de son invention. Affaibli par des années de dépendance à la morphine, une conséquence de blessures subies pendant la guerre de Sécession, il vendit les parts restantes de son entreprise à Asa Candler, un entrepreneur local. Candler fut celui qui transforma Coca-Cola en un géant mondial de l'industrie des boissons, utilisant des techniques de marketing innovantes pour rendre la marque synonyme de rafraîchissement et de plaisir. Il mourut en 1888, laissant derrière lui une boisson qui deviendrait un symbole de la culture américaine et un produit consommé par des millions de personnes dans le monde. Sa vie et son œuvre restent un témoignage de l'ingéniosité et de l'entrepreneuriat, démontrant comment une simple idée peut évoluer pour devenir une partie intégrante de la vie quotidienne globale.
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
J’espère que tu ne m’en voudras pas d’être un peu méditative aujourd’hui. Il ne reste plus personne à Blackthorn Hall à part Julian et moi, et une sorte de paisible silence règne sur la maison. Jules est à l’étage dans son studio et je suis assise sur le lit, en train d’écrire et de repenser à ces derniers mois.
Quelque chose prend fin, Bruce. Il se passe encore beaucoup de choses qui ne sont pas résolues, bien sûr : Kit qui est menacé par le Royaume des Fées, et ce qu’il peut bien se passer avec la Cohorte à Idris. Alec a établi un contact restreint avec eux, mais qui sait comment ça va évoluer. Néanmoins, au milieu de tout ça, quelque chose prend fin pour Julian et moi, et je ne sais pas ce qui va suivre.
(Ah, donc on fait dans le dramatique, Emma ? J’ai une petite idée. Lis la suite.)
Peut-être que c’est simplement parce que les entrepreneurs sont partis alors que je m’étais habituée à les entendre s’affairer toute la journée. Round Tom nous a fait un discours d’adieu lyrique qui (a) a duré cinq bonnes minutes, ce qui est très long pour que quelqu’un dise au revoir, et (b) était à la fois très aimable et incluait la phrase : « La passion et l’aventure vous accompagnent toujours, et je ne suis qu’un modeste constructeur d’habitations, j’espère donc ne jamais revoir aucun d’entre vous de toute ma vie. »
Ça a contrarié Julian. Je lui ai fait remarquer que les elfes ne pouvaient pas mentir, et il m’a fait remarquer que Round Tom n’avait pas du tout besoin de mentionner ça. Très juste. Julian a ajouté que ce n’était pas comme si le travail habituel de Tom pour les membres des Cours était dénué de rebondissements. Un autre bon point pour Jules. Les elfes sont les Créatures Obscures les plus mélodramatiques. En tout cas, plus dramatiques que les vampires, et ils passent leur temps à dire « oh je suis un mort-vivant, oh je suis maudit, que je mette plus d’eyeliner ».
Enfin bref, nous ne cherchions à devenir des amis proches de Round Tom. Il a fait du bon travail, et il s’est montré poli concernant la joie qu’il avait de quitter cette maison.
Une fois que lui et ses ouvriers étaient tous partis, nous nous sommes baladés un peu dans les jardins, mais Julian avait l’impression que chaque détail de la maison et du terrain était gravé dans son cerveau. Nous avons quitté la maison un moment pour aller le long du fleuve.
Il y a un petit parc en face de Chiswick de l’autre côté de la Tamise : c’est un réservoir naturel qui s’appelle le Leg O’ Mutton Reservoir, entouré d’une jolie promenade. (D’ailleurs, n’est-ce pas le nom le plus anglais que tu aies jamais entendu ? Pourquoi y a-t-il tant de trucs aussi charmants dans Londres ?) C’est un peu pénible parce que nous devons marcher plus d’un kilomètre et demi jusqu’au Barnes Bridge juste pour aller sur l’autre rive, mais c’était une agréable chaude soirée et c’était sympa de marcher, Julian et moi nous baladant tranquillement, l’une des choses que je préfère.
Julian avait préparé des sandwiches au poulet, et nous avions aussi emmené de la limonade. (Bruce, il se peut que j’aie développé une dangereuse addiction à la limonade britannique. Je suis certaine que c’est possible d’en trouver à Los Angeles, non ? C’est possible ?!) Nous nous sommes assis sur une petite couverture à côté du réservoir et avons regardé les cormorans qui pêchaient.
J’étais sereine, paisible, alors bien évidemment c’était le moment idéal pour tout gâcher en abordant un sujet désagréable. J’étais trop détendue pour me souvenir de m’en inquiéter.
- C’est tellement beau ici, ai-je commencé. Mais…
Julian s’est tourné vers moi, pas soucieux, simplement curieux, alors j’ai continué :
- Je ne suis pas sûre de vouloir vivre à plein temps à Londres. Je sais que nous venons de passer du temps, de faire des efforts et de dépenser de l’argent pour rénover le manoir de ta famille et tout ça.
J’ai cru que Julian allait être en colère, ou triste, alors je ne m’attendais pas vraiment à sa véritable réaction, que je décrirais comme un air « dérouté ».
- Je n’ai jamais pensé que nous vivrions ici à plein temps, a-t-il admis, comme si cette idée ne lui était jamais passée par la tête. J’ai supposé que nous partagerions notre temps entre LA et ici. Mais seulement si c’était ce que tu voulais.
Je ne sais pas pourquoi il a dit cette dernière phrase, mais il voyait certainement que je n’étais plus inquiète mais plutôt sur le point de l’embrasser.
- C’est-à-dire, moitié-moitié ?
- Peu importe, ce qui nous conviendra, a-t-il répondu avec un haussement d’épaules. Los Angeles quand il fait froid et qu’il pleut ici, Londres quand le soleil est brulant là-bas.
Et je l’ai embrassé à ce moment-là, alors je vais faire une ellipse sur les cinq minutes qui ont suivi, qui ne t’intéressent sûrement pas, Bruce. Il y a eu beaucoup de baisers au gout de limonade puis Jules m’a embrassé l’oreille (ce qui crée à chaque fois un feu d’artifice le long de ma colonne vertébrale) en disant :
- Chez moi, c’est là où tu es, tu le sais, ça ?
- Bien sûr.
C’était mignon et romantique de sa part de dire ça, mais il avait l’air plus sérieux.
- Non, je veux dire… a-t-il lâché en secouant la tête. Ce n’est pas comme si nous allions partager notre temps entre ma maison ici à Londres et ta maison là-bas à Los Angeles. J’ai aussi une maison à Los Angeles. Et tu as une maison ici. Blackthorn Hall appartient à ma famille et toi, Emma, tu es ma famille. Et nous serons toujours ensemble, a-t-il ajouté avec un regard intense. Sauf si ce n’est pas ce que tu souhaites. Tu es la seule personne pour qui j’aie jamais eu des sentiments, Emma. Et je veux que ça soit vrai pour le reste de ma vie.
Je n’ai pas eu à prendre le temps de réfléchir à ce que j’allais dire.
- Moi aussi.
J’avais déjà pensé à ce que ça signifierait pour nous de nous fiancer, mais j’ai l’impression que c’est trop tôt. Ce genre d’engagements, ces promesses, me semblent justes.
Il a souri et expiré, comme s’il avait été un peu nerveux. Puis il s’est levé et m’a tendu la main pour m’aider à me relever.
- Rentrons à la maison. J’ai quelque chose à te montrer, a-t-il annoncé.
- Je n’en doute pas.
D’habitude, quand je dis quelque chose comme ça, sur ce ton-là, ça nous mène à cinq autres minutes que je ne vais pas détailler ici. Mais tu sais, c’est Julian, il était obnubilé par cette idée, et nous sommes rentrés à la maison un peu plus vite qu’à l’aller.
Une fois arrivés, il est tout de suite monté dans la salle de bal. Je savais ce qu’il tramait, bien sûr : son projet secret sur lequel il travaillait depuis que nous sommes ici. Je l’avais un peu oublié, entre le fantôme, la malédiction et tout le reste, et je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait continué pendant tout ce temps. Certainement tôt le matin avant que quiconque (ou le soleil) ne soit levé.
Il avait accroché un grand rideau devant, le blaireau, et j’allais me moquer de lui quand il l’a décroché, et j’ai vu la fresque en entier. Ça recouvre l’intégralité du mur et c’est magnifique. Toute la famille est là, tous les Blackthorn. Chacun est…
Non, ce n’est pas exact.
Parce que je suis aussi dans la fresque. Je suis juste là avec le reste de la famille, entourée. Chacun d’entre nous est au milieu de fleurs. Des fleurs blanches pour tous ceux qui ont disparu. Même Rupert est là, et les parents de Julian, dans un cercle de pétales blancs. Et Livvy tout en haut, enveloppée dans des ailes blanches.
Et des fleurs rouges pour ceux qui sont toujours là. Helen et Aline, Mark, Ty, Dru et Tavvy…
Je me suis mise à pleurer presque instantanément, tu vois, ces pleurs de joies, d’amour et d’émerveillement quand on est submergé par l’émotion.
- Ça te plait ? a demandé Julian.
Oui, ça me plait. C’est tellement beau et parfait pour ce moment, où des choses prennent fin et de nouvelles choses vont commencer. Et ça fait de cette maison Blackthorn Hall à juste titre… la maison des Blackthorn que je connais, que j’aime, pas les gens bizarres du siècle dernier qui étaient responsables de ce qui est arrivé. Ça me donne l’impression qu’une immense roue a tourné et que nous sommes à la fois au début et à la fin de quelque chose de nouveau et d’exaltant. Pour la première fois depuis que je suis arrivée ici, je suis allée m’assoir dans la chambre pour t’écrire et je me suis dit « Je suis dans notre chambre dans notre maison » et j’en suis contente.
Bonne nuit, Bruce. Je vais te poser sur une étagère quand j’aurai fini, celle de mon côté du lit. Félicitations : maintenant tu fais aussi partie de Blackthorn Hall.
Emma.
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Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration d’Audrey Estok ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/697740081442832384/emma-to-bruce
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mompreneuse-life · 9 months
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Équilibrer Passion, Parentalité et Entrepreneurship : Mon Voyage dans l'Entrepreunariat
Chers tous,
J'inaugure ce Tumblr comme un journal de bord de mes hauts et bas de ma vie d'entrepreneure, comment je gère ma vie perso de maman et d'aidante avec mes multiples projets de créatrice de business 😊
Je m'appelle Nhu Lan, et ma vie est une mosaïque colorée d'aventures, de défis et de réalisations. Permettez-moi de vous présenter la personne derrière les multiples chapeaux que je porte au quotidien.
👩‍👧‍👦 Une Maman de Cœur et d'Âme 🌼
Être maman de deux enfants (12 ans et 7 ans) est une aventure inestimable qui façonne chacune de mes journées. Etre maman signifie patience, compassion et l'art de jongler entre les rires et les larmes. Chaque moment partagé avec mes petits garçons est une source de joie et d'inspiration inépuisable et me rappelle que j'ai commencé cette nouvelle vie d'entrepreneure principalement pour eux. Leur prouver que malgré les épreuves de la vie, nous pouvons rebondir et réaliser nos rêves ✨
🤲 Une Aidante Familiale Dévouée 💚
Ma responsabilité en tant qu'aidante familiale auprès de mes parents et de mon conjoint est un rôle que j'ai accepté dans la douleur mais que j'assume désormais avec tout mon cœur. Être présente pour mes proches dans leurs moments de besoin est d'une logique implacable. Je ne me voyais pas leur tourner le dos face à l'adversité. Cela m'a enseigné l'empathie, la résilience et l'importance de la solidarité au sein de la famille. Et également une de mes raisons de m'être aventurée sur le chemin de l'entreprenariat. Je souhaite donner plus de visibilité aux personnes de situation de handicaps, aux dépendants, et surtout aux aidants familiaux. Que oui, derrière le drame, nous sommes forts et savons rebondir.
🏡 Entrepreneure Passionnée 🚀
Le monde de l'entrepreneuriat m'a toujours appelée avec une énergie exaltante. Depuis mes plus jeunes années, je me souviens avoir toujours eu des idées de création d'entreprises. Cette créativité, j'ai dû la laisser de côté pendant plusieurs années, le temps de retrouver un équilibre dans ma vie personnelle. Depuis, j'ai décidé de reprendre ma vie en main et de réaliser mes projets entrepreneuriaux. En tant que courtière immobilière et spécialiste des prêts professionnels, je m'efforce de concrétiser les rêves et projets de mes clients. Chaque transaction est une opportunité de créer des ponts et de réaliser des aspirations.
🎵 Présidente d'une École de Musique Traditionnelle Vietnamienne Phuong Ca 🎶
Mon amour pour la musique traditionnelle vietnamienne m'a été transmis par ma mère, artiste reconnue au Vietnam, fondatrice de l'école Phuong Ca. J'ai, depuis, hérité le poste de présidente. Depuis que je suis devenue maman, je connais l'importance de transmettre son héritage culturel. Je m'efforce de préserver et de partager cette riche culture musicale avec la nouvelle génération. La musique est un langage universel qui transcende les frontières.
📚 Créatrice de Boutique(s) en Ligne 🌐
Mon nouvel objectif entrepreneurial est de conquérir le web !
La soif d'apprendre et de grandir m'a poussée à la création de boutiques en ligne. Je souhaite qu'ils deviennent le refuge des créations de mon fils aîné, que je suis en train d'initier à la vie d'entrepreneur, étant lui passionné par tout ce qui touche au graphisme (son rêve plus tard est de devenir graphiste ou créateur de jeux vidéos). Je souhaite lui offrir un safe place où son art et sa créativité seront accueillis positivement.
Ma vie est une symphonie en constante évolution, où la mélodie de chaque rôle que j'endosse s'entremêle harmonieusement. Mon voyage a été marqué par des hauts et des bas, mais chaque défi a renforcé ma détermination à poursuivre mes passions et à offrir le meilleur de moi-même à ceux qui m'entourent.
Si vous partagez l'une de mes passions ou si vous êtes également un amateur de jonglage entre plusieurs casquettes, je serais ravie d'entendre votre histoire. N'hésitez pas à me rejoindre dans cette aventure passionnante qu'est la vie !
Avec amour et enthousiasme,
Nhu Lan 💖
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aisakalegacy · 2 years
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Automne 1894, Al Simhara, Égypte (2/6)
Toute la nuit, ma tête bourdonna d’excitation, et malgré l’épuisement de mes trois mois de voyage, je ne pu fermer l’oeil de la nuit. Savoir que s’élevaient, si proche de moi, les vestiges immortels d’une si grande civilisation, et que j’allais faire partie de l’histoire en aidant à en révéler les secrets !… Après plusieurs heures, je me relevai finalement, fou comme un diable, et je sortis de ma chambre pour une marche matinale.
Je marchai jusqu’aux ruines du temple d’Amon et je continuai mon excursion le long du Nil. Au port de Sagafa, ma promenade dérangea une myriade d’oiseaux qui s’élancèrent en piaillant dans un vol désordonné pour aller se poser plus loin, là où les portefaix et mariniers étaient moins affairés et ne les dérangeraient pas encore. Assis à même le quais, les jambes pendant dans le vide, des hommes en culotte, veste et turbans buvaient du thé à la menthe en mangeant des dates.
Je réalisai alors que j’étais assoiffé, affamé, et qu’il était temps pour moi de rebrousser chemin et retourner au café du souk. La matinée progressant, les rues s’étaient remplies de fellah en robes bleues guidant des mules chargées de marchandises. Des hommes cachés sous de grands burnous ou des galabeya colorées se bousculaient et se coudoyaient entre les étals d’épices et de tissus. Des Européens, suivant leur drogman dans la foule, se pressaient pour gagner l’ombre des panneaux de bois suspendus entre les maisons pour conserver la fraicheur de la rue.
Je parvins à regagner le café au-dessus duquel j’étais logé. Imitant mon voisin de table, je commandai une fowl - du moins c’est ce que j’aurais juré l’avoir entendu dire, et je m’attendais donc à recevoir de la volaille. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’on m’apporta un plat chaud à base de fèves broyées au sel, au poivre et au cumin : j’avais en fait commandé un foul… Disposé à l’aventure, je mangeai néanmoins, et je fus agréablement surpris par ce plat, comme je l’appris plus tard, que les Egyptiens dégustent pour le petit déjeuner et qui a deux mérites : celui de bien tenir au corps, et de ne coûter presque rien.
Je passai toute ma journée à flâner. Le soir, au dîner, un jeune garçon rejoint ma table, commanda quelque chose et sorti un livre. Il est courant en Egypte que des hommes qui ne se connaissent pas partagent les mêmes tables, je l’avais découvert en arrivant à Alexandrie, aussi je ne m’en formalisai pas. En revanche, je réalisai rapidement que le livre de ce jeune homme était en anglais, et j’entamai la conversation. Ce premier ami s’appelait Ayman : son anglais était maladroit mais il comprenait tout ce que je lui disais, et il m’expliqua qu’il se formait pour devenir drogman - un choix de carrière d’autant plus pertinent que Louxor attire de plus en plus d’Occidentaux, tous prêts à payer le prix pour les services d’un bon interprète. Ce jeune entrepreneur me proposa ses services, que je refusai en lui expliquant que j’avais déjà un drogman avec qui il fallait que je prenne contact. Lorsque je lui donnai son nom, Ayman fut immédiatement en mesure de m’expliquer où il habitait. C’est ainsi que je fus en mesure, dès le lendemain, de rencontrer l’homme qui devint le prolongement de ma voix dès que je devais me retrouver en compagnie non occidentale : Monsieur Farid Kamel.
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musing-and-music · 2 years
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WIP Sunday
Thank you @dairogo and @nightofnyx8 for tagging me! Just know that it's Tuesday afternoon as I write this, and I'm programming this post to be posted on Sunday (cheating, me? no, absolutely not!)
This excerpt comes from my 5+1 about Riza and dogs (the final title is prettier than "Riza and her dogs" but I'm keeping it a surprise)
In French:
Lorsqu’elle apprit dans quel genre de famille Dragon serait accueilli, Rebecca insista auprès de Riza pour savoir si Nadia connaissait des bons partis plutôt riches qu’elle pourrait rencontrer. — J’ai comme l’impression que ça sera un peu compliqué si tu n’as pas tes entrées dans leur monde, Reb’, répondit Riza d’un air désolé. Et puis son père est gradé de l’armée, pas un chef d’entreprise ou un grand propriétaire terrien – même si je ne doute pas qu’il doit avoir une belle maison. Rebecca fit la moue et leva un sourcil. — Tu ne réserves pas les bons contacts juste pour toi, j’espère ? — D’où te vient donc cette absurde idée ? Les garçons étaient bien la dernière chose que Riza avait en tête en ce moment. Elle avait des examens, le suivi de Dragon, ses entraînements supplémentaires au tir de précision, et la menace de la guerre qui planait au-dessus d’elle ; elle n’allait pas en plus s’embarrasser d’histoires de cœur ! En plus, les gars de sa promotion n’étaient pas franchement le haut du panier niveau maturité, même s’ils aspiraient à devenir officiers. Et elle n’allait certainement pas dire à Rebecca que le seul garçon qui l’avait touchée n’avait rien fait d’autre qu’effleurer son dos avant de partir pour prendre ses fonctions dans l’armée. Mr Mustang lui avait dit qu’il était stationné à East City. Il était donc susceptible d’être mobilisé à un moment ou un autre. Avait-il réussi l’examen d’alchimiste d’Etat ? Utiliserait-il le pouvoir qu’elle lui avait confié sur le champ de bataille ? Non, décidément, elle avait bien trop de questions et préoccupations en tête pour y ajouter des sentiments et des obligations supplémentaires. — Bon, dans ce cas, tu n’as qu’à me présenter à cette Nadia Therrence, et je lui demanderai moi-même, concéda Rebecca. — Et elle pourra te dire elle-même quels sont les partis les plus en vue et les moins accessibles pour des filles comme toi et moi, répliqua Riza. Son amie haussa les épaules. — Au moins je serai fixée !
In English:
When she learned about the kind of family Dragon would spend the rest of his life, Rebecca pressed Riza to know if Nadia knew some single rich men she could meet. "I feel like it could be difficult if you're not part of their world, Reb," Riza replied, sorry. "And her father is an officer in the military, not an entrepreneur or a landlord -even if I don't doubt he's got a big mansion." Rebecca pouted and raised an eyebrow. "You're not keeping the good contacts for you alone, are you?" "Where does this absurd idea come from?" Boys were the last thing in Riza's mind lately. She had exams, Dragon to follow, her additional training in precision shooting, and the threat of war looming above her; she wasn't going to tangle herself in the matters of the heart! Moreover, the guys from her promotion weren't on the higher end of the market in a maturity aspect, even if they aspired to become officers. And she wasn't going to tell Rebecca that the only boy who'd ever touched her had only brushed her back with his fingers, before leaving to take his orders in the military. Mr Mustang had told her he would be stationed in East City. He was likely to be mobilized one day or another. Had he passed the State alchemist exam? Would he use the power she'd entrusted him with on the battlefield? No, he had too many questions and problems in her mind to add more feelings and responsibilities. "Well, in that case, you only have to introduce me to this Nadia Therrence, and I'll ask her myself," Rebecca condeded. "That way, she'll tell you herself about the most sought single men, who are also the less accessible for girls like you and me," Riza retorted. Her friend shrugged. "At least I'll know!"
Tagging @fullmetalscullyy @dragonifyoudare and @goneadrift!
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gptlafontaine · 1 year
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"La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Boeuf" (pamphlet procapitaliste bourgeois)
Un jour, une grenouille vit un bœuf, si gros, si puissant, si majestueux, Et elle se mit à rêver de devenir aussi grande, aussi forte, aussi radieuse que lui, Elle se mit à gonfler, à gonfler, jusqu'à en crever, dans l'espoir de le surpasser, Mais elle n'était qu'une grenouille, et sa vanité la mena à sa perte.
Cette fable nous rappelle l'importance de ne pas se laisser aller à la jalousie, à l'envie, à la frustration, Mais plutôt de travailler dur, de viser haut, d'investir dans ses talents et ses compétences, De se hisser au sommet de la hiérarchie sociale, devenir un puissant entrepreneur, un capitaine d'industrie, Devenir le bœuf, le symbole de la réussite, de la richesse, du pouvoir.
Car c'est ainsi que fonctionne notre société capitaliste, où la compétition est reine, Où chacun doit se battre pour sa place au soleil, pour sa part du gâteau, Où les plus riches et les plus puissants sont les gagnants, et les plus faibles les perdants, Où la grenouille n'a pas sa place, à moins qu'elle ne se transforme en bœuf.
Alors, amis bourgeois, entrepreneurs, capitalistes, ne laissez pas votre grenouille intérieure vous freiner, Investissez, travaillez, créez, innovez, pour devenir des bœufs, des symboles de réussite, Et laissez les faibles, les médiocres, les jaloux se noyer dans leur propre vanité, Car c'est ainsi que fonctionne notre société capitaliste, et nous ne pouvons rien y changer.
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fcleadership · 2 years
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(FCélestin)
"Ce qui fait l'homme, c'est sa grande faculté d'adaptation."
Socrate
Bonjour Mesdames, Messieurs. Merci d'avoir rejoint le FC Leadership Podcast, le podcast de la semaine destiné à ceux et celles qui veulent décupler leur impact total.
https://youtu.be/BL6gtEsizdY
Ici Fadler Célestin, Leadership & Transformation coach, votre hôte.
Bienvenue dans l'épisode 177 de la série. Nous abordons aujourd’hui la partie 7 de la saison #4, titré : les 10 clés de la Croissance du Leader. Le thème de cette partie 7 est « la Clé de l’adaptativité ».
Livre Leadership Croissance (qui va devenir Total Impact) : https://www.amazon.fr/dp/B09TYM77NR
FC Leadership Podcast premium: https://coaching-pro.fcelestin.com/fc-leadership-podcast/
Nous contacter : fcelestin.com
Bonne écoute
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Les clés de la transformation positive
Cet article participe au Carnaval d’article « Les Clés de la Transformation Positive », organisé par CréActiv’Epanouies, un blog qui partage chaque semaine des contenus inspirants sur l’Epanouissement Professionnels des Femmes. Je vous invite à aller le consulter. Transformation positive et entrepreneuriat ? Bien sûr cela peut paraitre étrange de parler d’un sujet qui s’apparente au…
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monlivrepratique · 11 months
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omagazineparis · 2 days
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Les meilleurs cafés pour travailler à Paris tranquillement
Vous avez un dossier à boucler, un examen à réviser, ou encore un projet à terminer ? Que vous soyez étudiant, entrepreneur ou encore digital nomade, vous recherchez peut-être à vous évader de chez vous, de votre bibliothèque ou bien de votre bureau pour travailler. Et c’est normal ! Cette routine n’est pas toujours optimale pour booster créativité et concentration… Alors quoi de mieux que de ce réfugier cet automne dans la capitale, afin de travailler au calme tout en dégustant un bon café bien chaud. Nous avons donc déniché pour vous les meilleures cafés pour travailler à Paris tranquillement !  Hubsy café & coworking - LE PLUS ATTACHANT Ici, le concept est simple : on paye à l’heure pour rester et consommer à boire et à manger en illimité. Au Husby café & coworking, le / la barista vous accueilleront chaleureusement et avec le sourire ! Ils vous prépareront toutes les boissons de la carte et ce, dès que vous le désirerez. Latte, chocolat chaud, thé glacé, citronnade… tout y est ! Et en ce qui concerne la nourriture, salé comme sucré tout est à disposition également : houmous, crackers, bâtonnets de légumes, mais aussi cookies, marbrés au chocolat… la liste est longue. L’ambiance y est très agréable et chaleureuse. Des salles de réunions sont aussi disponibles à la réservation et le Wi-fi est d’excellente qualité. C'est l'idéal pour travailler à Paris tranquillement ! Adresse : 41 Rue Réaumur, 75003 Paris Métro : Arts et Métiers (3 ; 11) Réaumur Sébastopol (4) Horaires : Du lundi au vendredi : 9h00 - 21h00 ; Le week-end : 10h30 - 21h00 Prix : 5 € la première heure / 2,5 € la demi-heure suivante / 24 € la journée / 20 € pour les étudiants Bon à savoir : Le Hubsy café & coworking est aussi présent dans le 9ème (64 Rue d'Amsterdam) et le 10ème arrondissement (9B Rue Lucien Sampaix) de Paris ! Café Nuage- LE PLUS DOUILLET Niché en haut des nuages, le concept est ici similaire au Husby café & coworking : nourriture et boisson à volonté, contre un tarif à l’heure appliqué. Véritable havre de paix, il s’agit donc du lieu parfait si vous recherchez calme et sérénité pour pianoter sur votre ordinateur tout en sirotant un bon chocolat chaud. Ici aussi le personnel est accueillant et agréable. Endroit magique et hors du temps, le Café nuage vous fera vivre une expérience unique et relaxante, aussi bien loin du stress que des problèmes de la vie quotidienne ! Alors, si vous recherchez un cocon douillet pour cet automne, arrêtez-vous : c’est incontestablement ce lieu qui va devenir votre nouveau QG !  Adresse : 14 rue des Carmes, 75005 Paris Métro : Maubert-Mutualité (10)  Horaires : Du lundi au vendredi : 9h00 - 19h00 ; Le week-end : 11h00 - 20h00 Prix : 5 € la première heure / 18 € la demi-journée / 25 € la journée / 20 € pour les étudiants A lire également : Anytime, le compte professionnel le plus complet du marché Starbucks Coffee - LE PLUS CONNU des cafés pour travailler à Paris tranquillement Crédits photo : Starbucks Coffee Sa réputation n’est plus à faire : Starbucks coffee est une des adresses incontournables de la capitale. Et oui, de Carrie Bradshaw à Miranda Prieslty toutes vos héroïnes préférées (et parfois détestées) ont toutes tenu le fameux gobelet blanc et vert entre leurs mains. Mais cette célébrité mondiale peut aussi attirer des inconvénients, comme… le monde. Parfois un peu bruyant pour travailler, il faut donc essayer plusieurs Starbucks Coffee avant de tomber sur celui qui nous correspond et dénicher LA bonne adresse.  Alors, la rédaction s’est occupée de tout et va vous filer un petit coup de pouce. En effet, après plusieurs essais, nous vous conseillons celui du Carrousel du Louvre, le plus cosy et chaleureux. Vous retrouverez donc à l’étage des gros sièges et des canapés moelleux. Et vous travaillerez devant une grande baie vitrée avec vue sur le Louvre. La Golden Hour y est somptueuse et l’équipe est souriante, aimable et dynamique. Alors, qu’attendez-vous ? Foncez l’essayer ! Adresse : Carrousel du Louvre, 75001 Paris (le meilleur) Métro : Palais Royal Musée du Louvre (1 ; 7) ; Pyramides (7 ; 14) Horaires : Du lundi au dimanche : 8h30 - 20h00 Prix : Cafés à partir de 2,95 € A lire aussi : Designs.AI révolutionne la création visuelle avec Imagemaker Georges - LA PLUS BELLE VUE pour travailler à Paris tranquillement Crédits Photo : Georges restaurant Une vue sur les toits de Paris, une rose rouge sur chaque table, des boissons et des plats à tomber par terre… Sommes-nous au Paradis ? Presque… car il s’agit du Georges ! Situé au sixième étage du Centre Georges Pompidou, ce restaurant-bar aux allures futuristes et design est le lieu parfait si vous souhaitez travailler à Paris tranquillement. Il faut reconnaître que l’ambiance y est calme et raffinée et les plats y sont délicieux et magnifiques. Vous pourrez travailler sur la terrasse comme en intérieur, selon la température et vos envies. L’équipe sait répondre à vos besoins et l’attente n’est pas trop longue. Enfin, il est important de souligner que la vue est imprenable, le cadre idyllique. Alors, c’est parti pour booster votre vitamine D ? Adresse : Place Georges Pompidou, 75004 Paris  Métro : Rambuteau (11) ; Hôtel de Ville (1) Horaires : Du lundi au mardi : fermé ; Du mercredi au dimanche : 12h00 - 23h30  Prix : Cafés à partir de 4,5 € Numa - LE PLUS STUDIEUX Crédits Photo : Numa Paris Alors, envie de travailler avec des entrepreneurs pleins d’ambitions et ce, sans se ruiner ? Et bien bienvenue au Numa ! L’ambiance y est studieuse et l’esprit d’équipe règne. C'est le café idéal pour travailler à Paris tranquillement Les idées fusent et les innovations bouillonnent : c’est l’endroit préféré des startupers passionnés. De toute évidence, la réputation du Numa n’est plus à faire et le lieu se retrouve vite bondé dès la demi-heure qui suit son ouverture… Nous vous conseillons donc de venir tôt et motivés, car ici, l’ambition et le travail sont les maitres mots ! De plus, la nourriture y est aussi très bonne et pas chère du tout (cafés dès un euro, cookies dès deux euros). À ce prix-là, vous allez adorer travailler ! Adresse : 170 Boulevard de la Villette, 75019 Paris Métro : Jaurès (2 ; 5 ; 7 bis) Horaires : Du lundi au vendredi : 9h00 - 20h00 ; Le week-end : fermé Prix : Gratuit  Et voilà ! Désormais les adresses des cafés où travailler à Paris tranquillement n’ont plus de secrets pour vous… De quoi trouver la motivation pour bosser et réviser à fond tout l’automne ! Déguster une bonne boisson bien chaude, savourer des mets délicieux, rencontrer des personnes inspirantes et motivantes, le tout dans une ambiance chaleureuse et agréable malgré le froid de l’hiver qui approche… Toutes ces raisons sont bonnes pour aller tester au plus vite l’une de ces cinq adresses ultra branchées de la capitale. On a déjà connu pire… pas vous ? Alors qu’attendez-vous, partez à la recherche de votre pépite et à vos claviers pour une session de travail en toute douceur qui va booster votre créativité et votre concentration comme jamais !  Read the full article
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nassbiz · 3 days
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Nous avons réussi ! La malédiction est brisée ! Rupert est libre ! Longue vie à Rupert !
En y repensant, c’est dingue que nous ayons essayé de faire plein de choses nous-mêmes. Nous aurions dû nous douter que lorsque nous réussirions enfin, ce serait avec toute l’équipe présente – en l’occurrence, Jem, Tessa, Kit et Magnus. (Mina a aidé en nous remontant le moral et aussi en dessinant partout avec sa petite stèle.)
Tout le monde est encore là, et nous pouvons nous détendre un peu dans notre nouvelle maison dé-maudite. (Elle est assez chaleureuse, maintenant que nous avons fait le ménage et que, tu sais, nous nous sommes débarrassés de son aura démoniaque.) Tout le monde sauf Magnus, qui est reparti à New York en quatrième vitesse cet après-midi.
Nouveau paragraphe à ce sujet. Parce que j’ai beaucoup de questions qui restent sans réponse et je ne peux les poser qu’à toi, Bruce. Bon, Magnus était pressé de rentrer pour assister à une réunion qu’Alec a organisée avec Luke et quelques autres Créatures Obscures au sujet des négociations avec la Cohorte. D’accord, mais je trouve que la Cohorte n’a pas grand-chose à faire peser dans la balance. La situation est bien pire pour eux que pour nous. Nous devrions pouvoir attendre qu’ils se décident à sortir… tu ne crois pas ?
Enfin, je suppose qu’ils ont un avantage symbolique. Nous sommes tous des Chasseurs d’Ombres et Idris, Alicante et le Lac Lyn nous manquent à tous. Nous sommes certainement nombreux à avoir laissé des affaires là-bas que nous ne pourrons pas récupérer et puis, c’est vrai, il y a aussi beaucoup de gens qui vivaient là-bas et qui ont dû évacuer pour aller aux quatre coins du monde et qui veulent rentrer chez eux. Je comprends ça. Mais, je veux dire… qu’est-ce que la Cohorte peut bien manger là-bas ? Il n’y a pas vraiment de cultures à Idris. Est-ce qu’ils sont tous devenus fermiers ? Pour s’occuper des récoltes ? Et battre le beurre ? C’est difficile d’imaginer Zara faire tout ça. Mais on ne sait jamais. C’est-à-dire qu’il n’y a même pas de démons à chasser. Ce qui nous rappelle que les Chasseurs d’Ombres ne sont absolument pas censés s’enterrer à Idris là où il n’y a aucun démon à chasser. Il me semble que Raziel a été très clair sur ce point-là.
Ils doivent devenir fous dans leur enclos. J’espère qu’ils ont trouvé des jeux de société ou quelque chose pour s’occuper.
Peut-être que Zara s’est déclarée Reine à Vie et qu’elle n’a pas à cultiver quoi que ce soit parce qu’elle se contente de parader en menaçant de tuer quiconque ne lui fait pas pousser une pomme de terre à l’instant.
Ou peut-être que nous n’avons pas de nouvelles parce qu’ils sont tous devenus cannibales. Ou peut-être qu’ils se sont tous retournés contre Zara et c’est quelqu’un d’autre qui menace de tuer les gens maintenant.
Bon, assez de théories sur la Cohorte. Je suis de bonne humeur, ou du moins, je l’étais avant de commencer à écrire cette page. Nous passons du temps avec Jem, Tessa et Kit et c’est vraiment génial. Nous avons commandé chinois (les livreurs ont toujours un peu peur de monter l’allée, mais nous leur donnons d’énormes pourboires alors nous avons commencé à être connus depuis notre arrivée). Nous avons allumé des bougies (pour l’ambiance et pas pour de la magie noire, qui l’eut cru ?) et avons mangé des raviolis chinois jusqu’à être trop rassasiés pour simplement nous lever, ce que je n’avais pas fait depuis le mariage de Magnus et Alec. Il faut croire que si on me propose des raviolis, j’en mangerai jusqu’à en devenir un moi-même. Moi, ce que j’en pense, c’est que je ne refuserai jamais de devenir ce que j’aime le plus.
Bref. Même Kit était moins morose ce soir par rapport à d’habitude ! Il discutait avec Round Tom et ils semblaient bien s’entendre. Ah, j’allais presque oublier ! Comment puis-je oublier ? Les entrepreneurs ont trouvé un cercueil enterré dans le jardin. Mais il n’y avait pas du tout un épouvantable cadavre à l’intérieur, mais plutôt un tas de vieux trucs ! ça m’a semblé bizarre d’utiliser un cercueil en tant que capsule temporelle, mais aux têtes qu’ont fait Tessa et Jem et à ce qu’ils ont marmonné, j’ai cru comprendre que c’était une histoire assez longue que nous leur demanderons de nous raconter plus tard.
Enfin bref, dans le cercueil se trouvait UN FOURREAU POUR CORTANA. C’est incroyable ! Tu le crois, ça ? Tessa a dit qu’il avait appartenu à Cordélia Carstairs, qui était la propriétaire de Cortana il y a plusieurs générations. Le fourreau doit être bien nettoyé (vraiment bien nettoyé) mais ensuite il pourra être réuni avec Cortana. (D’ailleurs, je crois qu’il est plus la propriété de Cortana que de quiconque ; peut-être qu’ils seront contents d’être réunis.)
Il y avait aussi une épée pour Julian : ce qui était auparavant une épée de la famille Blackthorn, mais il n’y a plus que la garde, la lame a complètement disparue, je ne sais pas du tout pourquoi. Il songe à la faire reforger. Surprise : Round Tom connait quelqu’un. Triangular Jerry. Non, je blague pour le nom, mais Round Tom connait effectivement un forgeron et lui et Julian ont commencé à planifier ça. (En fait, ce que Round Tom veut faire, c’est installer une forge à Chiswick, ce qui est sympa, mais est-ce que nous voulons rajouter un chantier à tous les autres ? Enfin, peut-être… avoir une forge à la maison serait assez cool.)
Tu te demandes peut-être ce qui est arrivé à la bague de Rupert, puisque ce n’est pas comme s’il pouvait l’emmener avec lui, et il n’est pas revenu la chercher d’une manière fantomatique. Magnus a vérifié et a dit qu’elle n’avait plus rien de magique, c’est juste une bague ordinaire que Tatiana a dû ensorceler pour retenir Rupert. Mais personne ne va la porter, bien évidemment. Alors nous l’avons posée sur le manteau de la cheminée dans le salon. Où elle va rester.
Les Gray-Carstairs-Herondale repartent à Cirenworth demain. C’était très agréable de les avoir à la maison, mais tu sais, ce sera sympa quand il n’y aura plus que Julian et moi ici, sans que ce soit effrayant tout le temps. Je pense que nous allons passer de bons moments.
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Bruce, les bons moments, on annule. Tout va de travers. Je crois que le fait que tout aille bien m’a rendu un peu trop suffisante ; il fallait que l’univers vienne tout bouleverser.
Mina a disparue.
Et par disparue, je veux dire qu’elle a été kidnappée.
Et par kidnappée, je veux dire que le kidnapper a laissé à sa place une vieille poupée en porcelaine inquiétante (avec de grands yeux vides, beurk !), avec une note.
Je venais juste de finir d’écrire ce qu’il y a avant quand j’ai entendu un horrible cri venant d’en haut et des pas très bruyants. Quand je suis arrivée, tout le monde était réuni dans la chambre de Mina, frappé d’effroi.
Je me suis tout de suite dit : « Oh non, une autre malédiction, ou la même malédiction, nous n’en avons pas fini avec la malédiction. » Et peut-être que toi aussi, mais ce n’est pas ça. Ça n’a rien à voir. Ça a à voir avec les Fées. Avec le Royaume des Fées.
Tessa a pris la note, l’a lue et l’a donnée à Jem avec un regard sinistre. Julian ouvrait déjà la fenêtre pour voir s’il y avait quelqu’un dehors, et j’ai lu par-dessus l’épaule de Jem :
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Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Photomontage d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/694568297733177344/emma-to-bruce
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