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#créolité
jjeremysstash · 4 months
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Anyway
I guess this is my cue to go read Césaire about négritude and then read about créolité in order to finish with the antillanité
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ganglands-marseillais · 4 months
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Créolité - Wikipedia
Créolité is a literary movement first developed in the 1980s by the Martinican writers Patrick Chamoiseau, Jean Bernabé and Raphaël Confiant. They published Eloge de la créolité (In Praise of Creoleness) in 1989 as a response to the perceived inadequacies of the négritude movement. Créolité, or "creoleness", is a neologism which attempts to describe the cultural and linguistic heterogeneity of places like the Antilles and, more specifically, of the French Caribbean.
"Creoleness" may also refer to the scientifically meaningful characteristics of Creole languages, the subject of study in creolistics.
Donald Trump Republican Party Gary Vaynerchuk
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fondsparisien · 11 months
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gravalicious · 3 years
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In this context the clash between Creolists and Alterists can be seen  as one not only between the primacy of language and the primacy of meaning, but centrally as a clash over the nature of being and, further, as one over their respective answers to "the source of evil" (unde malum) question. For Césaire the "source of evil" lies in the désêtre or alienation of the Martinican subject, induced to deny the part of himself that had been semantically stigmatized by the dominant culture as "la part maudite" (cursed, doomed or ill-fated part), as the signifier of "symbolic death" or of Cyclopean alterity (in much the same way as medieval Laity had been forced to deny its "fallen flesh" as its part maudite or Senegalese initiate his/her pre-initiate self). The Creolists answer the unde malum question in terms of language; so in those of a "property of the same." Reenacting the premise of European nineteenth century Romantic paradigms (as they do in their fiction, where, James Arnold shows, they reenact the narrative cum ideological strategies of a George Sand: "Créolité" 5),  the Creolists propose that the multiple ills and crisis situation in Martinique is due to "desolidification" of its writers and thinkers from their "native" Creole language as the substrate of their Creole culture and being. Repeating another Romantic cliché that distinguishes between Volkisch concrete particularity (good) and abstract universality or "cosmopolitan" (evil), they propose that this detachment from their "native" language and culture had been initiated by Césaire's Negritude. Although protesting against French colonization, it had done so, they claim, "in the name of universal generalities thought in the Western way of thinking, and with no consideration for our cultural reality." As a result, those following the path of Césaire's négritude had been exhausted by indulgence in "a really suspended writing, far from the people, far from the readers, far from any authenticity except for an accidental, partial, and secondary one" ("In Praise" 889)
Sylvia Wynter - "A Different Kind of Creature": Caribbean Literature, the Cyclops Factor and the Second Poetics of the Propter Nos [Annals of Scholarship, Vol. 12 (1/2): 153-172, 1997]
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#internationalcreoleheritagemonth #créolité #français #French #Francophone #mounkréyollalwizyàn #criollosdeluisiana #créolesdelalouisiane #créoleslouisianais #louisianacreoles #lalwizyan #luisiana #louisiane #onlyinlouisiana #onlyincreolelouisiana ZOOM (at Louisiana) https://www.instagram.com/p/BZ4ivGygl3G/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1f6kqecwmu82c
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twafordizzy · 5 years
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De creoolse kruidenier gezien door Patrick Chamoiseau
De creoolse kruidenier gezien door Patrick Chamoiseau
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bron foto: tripsavvy.com
De creoolse kruidenier is een wereld op zich. Een rommelkamer die ongetwijfeld beïnvloed is door de praktijk van de Chinese immigranten. Zodra deze het werk in de suikerriet op de velden van de blanken ontvlucht waren, openden ze zo ongeveer overal op het eiland winkels waar ze wat dan ook verkochten van welk gewicht en in welke maat dan ook. In die tijden dat iedereen…
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pompadourpink · 4 years
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hi could you share the names or works of french+ black people pls
Hello,
In music:
Corneille
Oxmo Puccino
Booba
Soprano
Maître Gims
Aya Nakamura
Ninho
Sexion d’assaut
Wejdene
NTM
Hatik
Passi (...)
In literature:
Le Comte de Monte-Cristo + Les Trois Mousquetaires - Alexandre Dumas
Hosties noires + Ethiopiques - Léopold Sédar Senghor
Cahier d'un retour au pays natal 1939 - Aimé Césaire
Le rocher de Tanios - Amin Maalouf
Moi TItuba sorcière - Maryse Condé
Négritude et négrologues - Stanislas Spero Adotevi
Allah n’est pas obligé - Ahmadou Kourouma
Batouala - René Maran 
Histoire de la littérature négro-africaine - Lilyan Kesteloot
Les enfants du nouveau monde - Assia Djebar
La Grève des bàttu ou les déchets humains - Aminata Sow Fall
Mémoires de porc-épic - Alain Mabanckou
L'intérieur de la nuit - Léonora Miano
Matins noirs - Karfa Diallo
Poètes d'expression française - Léon-Gontran Damas
Le temps du martyre - David Diop 
From la Créolité movement: L'éloge de la Créolité (collective), Texaco - Patrick Chamoiseau, Le nègre et l’amiral - Raphaël Confiant, Le Partage des ancêtres - Jean Bernabé
In movies/shows:
Négritude : Naissance et expansion du concept - Jean-Baptiste and Nathalie Fave (documentary about négritude)
Bande de Filles - Céline Sciamma (and many more movies about growing up in the Parisian suburbs (la banlieue) and experiencing racism)
Intouchables - Olivier Nakache (staring Omar Sy)
30° couleur - Lucien Jean-Baptiste (about a man who forgot his roots)
Validé - Franck Gambastide (about rap music/culture)
Polisse - Maiwenn (staring Joey Starr)
Âme noire - Martine Chartrand (canadian, about black culture/music)
In art:
Etude d’homme (Joseph) - Théodore Géricault 
Joseph le nègre - Adolphe Brune
Le Noir Scipion - Paul Cézanne
Etude de nègre - Théodore Chassériau
Portrait de Laure - Edouard Manet 
Seïd Enkess - Charles Cordier
Portrait d’une négresse (Madeleine) - Marie-Guillemine Benoist
La chasse au nègre - Félix Martin
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I’m afraid I wasn’t able to find black artists in painting or sculpture. Also, I’m sorry about using slurs in this last paragraph, just copying the titles.
Hope this helps! x
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kawotdlo · 3 years
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Guadeloupe en sens, en saveurs, en introspections, en tableaux
Retranscrire un peu de ce morceau de terre, un partage, un battement d’ailes entre deux terres.
Départ d’une anémone de mer* détachée, errante, en mouvement dans l’eau. Mon regard est happé par la danse de ses tentacules et la couleur rose-orangée de son pied en mouvement. Le silence se fait quand mes oreilles plongent dans cette eau salée. Mon corps ballote, mes pensées s’étirent et laissent place aux souvenirs. La mer de mon enfance, les glaces pousse-pousse et les beignets, l’odeur de l’été, l’odeur du passé est revenue dans mon nez. Une fois inspirée, cette odeur ouvre grand ses bras et me berce.
Les couleurs de l��île papillon déroulent sa palette :
LE VERT des quenettes* couleur citron vert, couleur de la prune de cythère*, du jus de mangues vertes, captive ma curiosité. Les quenettes sont vendues au coin des rues, au bord des plages, par des jeunes qui grimpent jusqu’au cœur des quenettiers. Quenette tu te dégustes comme un lichi, suspendu avec tes sœurs aux branches longues et brunes.
Je rêve de fabriquer des bijous de graines. Petit pays, tu es un fruit et je plonge dans la multitude de tes graines.
La zeb a fé*  remonte dans mon palais son goût de coriandre, les piments végétariens à la saveur fraîche et légèrement piquante rehaussent sa saveur.
Je me sens petite fille aux pays des grands arbres, arbres à pain, cocotiers, manguiers. Je marche à leurs côtés, je lève les yeux vers les fruits suspendus.
Içi les herbes de canne sont hautes et très présentes.
Pas une route sans un stand de fruits ou de légumes racines. Les bananes plantains, les pastèques, les christophines, les patates douces et les madères emplissent l’arrière des picks-up rouillés et vieillissants.
Les voitures neuves et rutilantes côtoient des carcasses roulantes. Le sel attaque et rouille. Ces amas de rouille grignotent les carrosseries et les tôles de cases, entourées des jeunes pousses de bananier. La couleur éclatante de ces teintes vertes contraste avec la couleur grise, bois ou rouille de ces cases de fortune. Il se peut qu’une maman d’lo se cache dans le morne à l’eau, entourée de crabes touloulou* et d’arbres aux racines-griffes.
La couleur de la ROUILLE grignote tout ce qu’elle peut, comme le flot de fourmis emportent chaque miette, chaque corps en décomposition. Deux envahisseurs silencieux et omniprésents.
Heureusement, l’eau de coco adoucit l’existence et calme le sel sur mes lèvres. Toujours à l’arrière d’un pick-up, des montagnes de noix de coco jaunes dégringolent. L’homme armé de son coupe-coupe ouvre le fruit en deux, fait couler le jus dans l’entonnoir et remplit peu à peu les bouteilles. Des enfants mangent la crème de coco et des gens attendent en file, le temps que la coco se fende, le temps que l’eau s’écoule…
Içi on attend, on attend, rien ne presse. La pâte à bokit* ou à chichis n’est pas prête, on prend quand même ta commande et on attend. Des gens attendent en file, le temps que la farine se tamise, le temps qu’elle se mélange à l’eau, le temps qu’elle gonfle, le temps qu’elle frit dans l’huile, le temps que le bokit obtenu soit rempli d’ingrédients salés (morue ou jambon  fromage avec sauce créole)
Les grèves sont du même acabit, elles durent et peuvent durer très longtemps.
Et dans cette attente, la feuille de l’arbre à pain éloigne les moustiques, le gros thym apaise les démangeaisons causées par les yens yens* et la fleur d’ylang-ylang embaume notre existence.
Le raisinier longe les plages de sables clairs, ses feuilles rondes et vertes entourent les grappes de raisins vert et couleur prune. Les enfants aux mèches salées, emplissent des cornets de feuilles de raisinier de fruits mûrs, pendant que Jeanette, emplit les cornets de feuilles, d’acras fumants et savoureux .
J’aime ce lieu, un mélange entre l’ambiance du film « Bagdad café » et « Le grand bleu ».
Ces références à mon enfance rejoignent la plénitude de mes bains de mer. Nous nous baignons dans un cul de sac marin, la mangrove longe ses côtes. On peut voir des tortues à c’qui paraît. J’ai vu des œufs pondus près des palétuviers*, près de pièges à mangoustes.
J’ai vu un lambi* vivant et j’ai vu des poissons d’eau douce s’arracher la peau des mangues dans la rivière aux écrevisses. J’ai vu cette vivance, elle m’a saisie et déconcertée.
Le voisin du raisinier, l’amandier, délivre de minuscules amandes, que l’on récupère après avoir broyé les deux enveloppes épaisses du fruit, activité très prisée par les enfants à la plage du souffleur. Ils s’arment de pierres et tentent d’ouvrir leur collection d’amandes peyi !
Entre ces arbres et cette mer, vivent les crabes, les bernards-l’hermite, les mangoustes*, les oiseaux, les mal-finis*.
Je glisse mes pieds dans l’eau et je distingue la vie sous l’eau. A mes pieds s’agitent des poissons aux robes colorées, des anémones, des étoiles de mer, des poissons trompettes et d’autres crabes, BLANCS, cette fois.
Et pour les épices et les aromatiques : bois d’inde, cives, cannelle, herbe à fer, roucou, muscade…
Je n’ai pas fini de citer les fruits : mangues, papaye, ananas, pitaya*, carambole*, corossol*, pomme liane*, maracuja*, surette*, sapotille*, prune de cythère*…
J’écris des lettre le matin, des lettres que je n’envoie pas. Elles me propulse dans mon passé et j’accède à mes mondes engloutis, un squat d’Atlantide mémoriel et sensoriel.
Et l’après-midi j’écris ce que je vis, je vois et j’entends.
J’aimerais à entendre, tellement plus. Des contes, des histoires, des chants, des musiques ! Au lieu de ça, mes oreilles se confinent comme à l’extérieur. Elles sont assoiffées de sonorités, de créolité.
Les petits voisins qui aimaient venir jouer à la maison, restent dans leur cour ou leur maison. Les lieux de rencontre et de culture se ferment le temps qu’un virus passe, le temps qu’il emplisse les cellules des hommes, le temps qu’il emplisse les hôpitaux.
Ces petits d’homme nous livraient leur créolité par leur langage. Nos amis d’île de France, venus s’installer pour une année test, nous ouvrent leurs portes et leurs découvertes langagières ! Le papa travaille comme livreur et les fils sillonnent le village avec des amis guadeloupéens ! Coline a aussi fait de chouettes rencontres ! Eyrel apprend à pêcher et Cédric découvre d’autres espèces de poissons avec d’autres méthodes de pêche, pêche aux leurres, pêche des heures…
içi, je me transforme en carotte de l’eau, kawot dlo, mes imaginaires et mes sens infusent, ils s’assemblent et dansent dans mon âme... le début d’une aventure intérieure, caribéenne se tisse dans mes cellules remplies d’amitiés et de saveurs des cévennes.
A vous mes amies, mes fées, mes tendres et joyeuses compagnes d’aventures.
Petit lexique pour découvrir de nouveaux mots, un autre univers :
anémone: polype mou, de la Famille des Coelentérés, muni de tentacules colorés, fixé aux rochers littoraux.
carambole: baie jaune à côtes saillantes, à pulpe juteuse et astringente, fruit du carambolier.
corossol:
prunies de cyhère : fruits ovales à long pédoncule. Ils ont une peau verte devenant jaune à maturité. A l’intérieur, un noyau fibreux et hérissé d’épine adhère à la pulpe juteuse.
lambi: Grand mollusque gastropode des mers chaudes et des récifs, de la famille des strombidés, à la chair appréciée, appelé lambi aux Antilles. (Sa coquille, très épaisse, servait naguère à fabriquer des sortes de camées.)      
maman d’lo : un personnage issu de l’univers antillais entre une « Yemaya », déesse de l’eau et une sorcière
mangouste: petit mammifère carnivore des régions tropicales de l'Ancien Monde, ayant l'aspect d'une belette, se nourrissant parfois de serpents venimeux.
maracuja : fruit de la grenadille ou fruit de la passion.
prunes de cyhère : fruits ovales à long pédoncule. Ils ont une peau verte devenant jaune à maturité. A l’intérieur, un noyau fibreux et hérissé d’épine adhère à la pulpe juteuse.
pitaya: fruit de différentes espèces de cactus, notamment le Hylocereus undatus, qui le plus consommé, à la chair comestible, généralement blanche ou rouge et parsemée de nombreux pépins noirs.
pomme liane: fruit comestible de la passiflore à tiges grimpantes, plante des régions tropicales.
quenettes : On a donc affaire à un petit fruit à la chair juteuse, enfermée derrière une peau coriace assez rigide. 
sapotille :  fruit du sapotier, de la taille d'un citron et recouvert d'une écorce grise ou brune, dont la chair jaune orangé rappelle celle de l'abricot et qui se consomme presque blet, pelé et débarrassé de ses pépins                                                                                                        
touloulou: crabe touloulou est un petit crabe terrestre originaire des Caraïbes.
yens-yens : petit insecte piqueur, diptère hématophage, qu'on trouve dans les Antilles. Un lieu inhospitalier à fuir lorsque les yen-yens s'amusent à piquer l'épiderme
zeb à fé :  La zeb a fé en créole, ou l'herbe à fer, la coriandre longue, coriandre chinoise, ou bien encore la coriandre mexicaine. herbe amie des femmes.
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bossymarmalade · 4 years
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Andrew LaMar Hopkins, “Madame de Boisblanc Lodger”; Installation view of Créolité: Andrew LaMar Hopkins, Venus Over Manhattan (2020)
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lekol-maron · 4 years
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Et voici nos cousins, Luniversité maron ! Son instigateur, Jean-Pascal Lauret, la définit comme un moyen, pour les personnes n’ayant pas accès à la culture, d’accéder à des savoirs vernaculaires ou scientifiques, qui peuvent les toucher particulièrement car ils s’inscrivent dans l’insularité et la créolité. Il propose ainsi, chaque samedi, une conférence gratuite avec des intervenants bénévoles.
Voyez plutôt cette définition du mot “maron”, qui correspond clairement à nos propres objectifs, au sein de Lékol maron :
“Il faut voir dans le mot Maron, l’esprit de liberté plutôt que la volonté de se cacher. Nous ne sommes proches d’aucun parti politique. Nous n’avons aucun statut : pourquoi aurait-on besoin d’un statut pour échanger ou partager du savoir ? Nous fonctionnons volontairement sans argent et sans aide des collectivités pour garder la totale liberté dans le choix des conférences et des conférenciers. Le conférencier et moi-même sommes bénévoles. Les salles sont mises à notre disposition et les conférences sont gratuites. Je considère que chacun de nous peut faire énormément de choses sans argent et aussi très peu de chose avec beaucoup d’argent.”
Merci Brandon, pour cette belle référence ! Je vous invite à visiter la page Facebook de Luniversité maron : https://www.facebook.com/LuniversiteMaron/
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barbarapolster · 3 years
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Photographs of my grandmother, Paula García Coro, on top her décimas, love songs to her native Cuba. As she grew older, she confided to me that one of her greatest disappointments would be that she would be buried outside of her homeland - not for the political reasons one might assume, but for the simple fact that she’d built her adult life elsewhere while her heart was in Cuba. . . . #caribbean #créolité #cuba #décimas #puntoguajiro #🇨🇺 https://www.instagram.com/p/CQFXBMyFxfq/?utm_medium=tumblr
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ganglands-marseillais · 4 months
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Négritude - Wikipedia
Négritude (from French "Nègre" and "-itude" to denote a condition that can be translated as "Blackness") is a framework of critique and literary theory, developed mainly by francophone intellectuals, writers, and politicians of the African diaspora during the 1930s, aimed at raising and cultivating "Black consciousness" across Africa and its diaspora. Négritude gathers writers such as sisters Paulette and Jeanne Nardal (known for having laid the theoretical basis of the movement),[1] Martinican poet Aimé Césaire, Abdoulaye Sadji, Léopold Sédar Senghor (the first President of Senegal), and Léon Damas of French Guiana. Négritude intellectuals disavowed colonialism, racism and Eurocentrism. They promoted African culture within a framework of persistent Franco-African ties.[2] The intellectuals employed Marxist political philosophy, in the Black radical tradition.[3] The writers drew heavily on a surrealist literary style, and some say they were also influenced somewhat by the Surrealist stylistics, and in their work often explored the experience of diasporic being, asserting one's self and identity, and ideas of home, home-going and belonging.
Négritude inspired the birth of many movements across the Afro-Diasporic world, including Afro-Surrealism, Créolité in the Caribbean, and black is beautiful in the United States. Frantz Fanon often made reference to Négritude in his writing.[4]
Donald Trump Republican Party Gary Vaynerchuk
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christellekedi · 4 years
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AfricaMaat - Conférence Afropeanité
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cecibethings · 6 years
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Souvenir de Cuba, visite de La Casa De Las Americas #echangemtllahavane #americas #casa #habana # Arte #art #caribean #identity #creolization #créolité #cuba #lahavana #lahavane #centro #estudio #delcaribe (à Casa de las Américas, Cuba.)
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jbgravereaux · 7 years
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Danyel Waro en Kabar à St Paul.       Le Quotidien TV                                                                                                                                                                            Retour en images sur le concert de Danyèl Waro à Lespas Leconte de Lisle le 21/04/2017. Il présente son dernier album, "MONMON". Toutes les vidéos sur www.lequotidien.tv                                                                                                                                                                                                                                 Et aussi : https://www.youtube.com/watch?v=GXKxJdlCjTE  ,                                                                                                                                                 http://video-streaming.orange.fr/tv/au-c-ur-du-maloya-avec-danyel-waro-et-zanmari-bare-VID0000002kJcB.html                                                                                                                                                                                                    Danyèl Waro Monmon    LE MONDE                                                                                                                                                                                                                         Patrick Labesse :  « Eh dites-moi donc pourquoi ce serait plus beau maman que monmon », chante, en créole, Danyel Waro dans Famila, qui ouvre cet album séduisant, son septième enregistré en studio. D’entrée de jeu, il rappelle l’impérialisme sournois de la langue « du dehors » contre lequel il s’est toujours insurgé. La voix virevolte sur le rythme ternaire mené par le cœur battant du tambour roulèr et le roulis saccadé des graines du kayamb, ces percussions fondamentales du maloya, emblème musical et poétique de la créolité réunionnaise. Le chanteur ouvre le sens des mots à ceux qui n’ont pas le créole dans leur vie, avec les traductions et un lexique dans le livret. Sa poésie raconte des histoires, parle tendresse et spiritualité, égrène des hommages (notamment à toutes les « monmon »). A sa voix répondent les polyphonies rayonnantes de ses musiciens. Son fils Sami Pageaux-Waro et sa femme, Florans Féliks-Waro apportent leurs couleurs, lui aux instruments, elle à la voix. Et puis, il a invité Jean-Claude Acquaviva, l’ami du groupe de polyphonies corses A Filetta qui avait participé à l’album précédent Aou Amwin (Grand Prix de l’Académie Charles Cros). Monmon paraît juste après la réédition par Ocora Radio France d’un album de Firmin Viry (Maloya), celui qui a donné le goût du maloya à Danyel Waro. 
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