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#chapeau renaissance
petitmonsieur1 · 10 months
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just-a-half-cape · 8 months
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Petit projet du weekend ! Je voulais faire quelque chose pour évacuer un peu ces restes de tissus que je 'e veux pas jeter... Donc j'ai décidé de faire un chapeau ! Il sera comme ça assorti au pourpoint que j'ai déjà fait dans ce tissus. J'aurais bien fait une culotte bouffante, mais ça implique beaucoup d'essais et d'erreurs pour avoir un patron et je voulais quelque chose de simple et rapide. Et voilà ! Bon par contre c'était épais comme tissu. Très épais. Tellement épais que j'ai du faire le fronçage à la main en épinglant tout. Tellement épais que ça ne passait pas sous la machine et que j'ai fini à la main. Mais voilà, un beau chapeau fleuri pour un costume que je n'ai d'autre choix que de remettre ! Je vais probablement en refaire d'autres prochainement, et faire des bourses aussi en utilisant le maximum de tissu dans ma réserve. #couture #renaissance #chapeau #stashbuster
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chic-a-gigot · 8 months
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La Mode illustrée, no. 33, 18 août 1901, Paris. Robe de casino et de réunions d'été. Modèle de Mme Angenault, rue de Provence, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Cette robe, exécutée en batiste de soie vert réséda, est entièrement plissée et ornée d'une riche garniture en dentelle Renaissance ivoire. La jupe est faite avec un empiècement en dentelle terminé par des motifs isolés rattachés à une bordure pareille; la jupe est cerclée, en outre, de cinq rangées de rubans de velours noir plissé avec l'étoffe, le contour inférieur est garni d'une ruche en batiste de soie et d'entre-deux de dentelle ornés de petits choux en velours noir; on pose la jupe librement sur une jupe en taffetas vert. Le corsage, également plissé, est garni de dentelle Renaissance formant boléro dans le dos et descendant devant jusqu'à la ceinture en velours noir. Le corsage ferme devant, la garniture de dentelle sur le côté. Les manches, faites jusqu'au coude avec delà batiste de soie plissée, sont évasées pour former des bouillonnes retenus par des bas de manches ajustés, exécutés en dentelle; la contour supérieur est orné de choux en velours. Le haut col droit est lait en dentelle.
On complète la toilette par une grosse ruche tour de cou, à longs pans, en mousseline de soie blanche.
Le chapeau, en paille de soie vert réséda, est relevè de côté à l'aide d'un nœud de velours noir. La calotte est entourée d'une draperie en mousseline de soie vert réséda et d'une guirlande de fleurs d'acacias.
This dress, executed in reseda green silk batiste, is fully pleated and adorned with rich ivory Renaissance lace trim. The skirt is made with a lace yoke finished with isolated patterns attached to a similar border; the skirt is also encircled with five rows of black velvet ribbons pleated with the fabric, the lower contour is trimmed with a ruffle in silk cambric and lace inserts adorned with small black velvet puffs ; the skirt is placed freely on a green taffeta skirt. The bodice, also pleated, is trimmed with Renaissance lace forming a bolero in the back and descending in front to the black velvet belt. The bodice closes in front, the lace trim on the side. The sleeves, made up to the elbow with pleated silk batiste, are flared to form bubbles retained by fitted cuffs, executed in lace; the upper contour is decorated with velvet puffs. The high straight collar is lace milk.
The toilet is completed by a large hive around the neck, with long sides, in white silk muslin.
The hat, in reseda green silk straw, is raised on the side with a black velvet bow. The crown is surrounded by a reseda green silk chiffon drapery and a garland of acacia flowers.
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gogmstuff · 1 month
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1908 (May) Les Modes cover - Mme Andrée Mégard du Theatre de la Renaissance - Robe d'après-midi, genre directoire, par Redfern & chapeau de Carlier - photo by Reutlinger. From gallica.bnf.fr; fixed flaws & spots w Pshop 1429X2049
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Enseigne à chapeau "Le Sacrifice d'Isaac" en or, émail, diamants, rubis et saphir (circa 1550-60) à l'exposition “Le Goût de la Renaissance. Un Dialogue entre Collections” en collaboration avec le Victoria & Albert Museum à l'Hôtel de la Marine, Paris, avril 2024.
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Votre Fonda!PNJ s'appelle Nyel.
À ne surtout pas oublier le concernant : son corps est indestructible. Son corps se nourrit du soleil, ne tombe jamais malade, ne lui fait jamais mal, n'est jamais fatigué ou épuisé. Il ignore les origines de cet indestructibilité, mais ce pouvoir se manifeste sous la forme d'un gigantesque bouclier qu'on peut voir de temps à autre.
Et à coté du fait d'avoir un corps immortel, Nyel est également amnésique. Mais il a beau être amnésique, il sait qu'il y a une date très importante qui se prépare. Il le sent, chaque lendemain est un jour de moins jusqu'au jour J. C'est donc l'apothéose dans sa tête, surtout qu'il ne sait toujours pas ce que c'est ! Il pense que c'est la fin du monde, forcement, pourquoi ça l'obsèderait autrement ?
En fait, il s'agit de son 1000ème anniversaire…
C'était votre Fonda!PNJ, 70 000 mots supplémentaires à découvrir le concernant ♥ (probablement un très méchant antagoniste ♪ avec ce feat, il ne peut en être autrement, n'est ce pas ? )
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Votre PNJ!Fonda (ft. Adam, Comte Millénaire) s'appelle Nyel depuis qu'xxx est parvenu à lui effacer la mémoire pour le plus grand bien de tous. Grace aux sortilèges d'amnésie, il n'a plus connaissance des terribles incantations pour se servir de la magie occulte tels que la nécromancie mais son don naturel, la maitrise du bouclier temporel, est toujours activée 24h/24, si bien que notre antagoniste amnésique millénaire qui a recommencé une vie simple en tant que pianiste dans un orchestre symphonique ne soupçonne pas encore vraiment que toutes les personnes qu'ils fréquentent ne vieillissent plus à cause de sa proximité avec lui.
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votre PNJ!Fonda :
♥ aime le chocolat ♥ sait se métamorphoser en cerf ♥ sait animer sur le papier des gribouillis - croquis à l'effigie de petits animaux ♥ un pickpocket hors-pair ♥ un magicien illusionniste ♥ s'y connait en sciences occultes mais fera mine que non ♥ souhaite absolument réussir à ensorceler les cendres des cheminées qui lui permettraient alors de se téléporter de cheminée en cheminée, il aurait alors ainsi un réseau avec les cheminées de ses nombreuses propriétés manoirs victoriens mais aussi clandestinement chez les gens, auquel il ne se gênera jamais pour leur dérober quelques poignets de cendres lorsqu'ils auront le dos tourné. ♥ un tatouage étoile sur l'épaule - elle lui fait mal lorsqu'elle tourne ♥ va adopter un petit garçon - dix ans - orphelin de père et de mère depuis trois mois - il survivait péniblement et pensait que le pire restait à venir : l'hiver se rapprochait - des cheveux blancs depuis la mystérieuse tragédie qui lui a également laissé une étoile étrange sur le visage et une main très douloureuse entièrement rouge et avec une pierre précieuse encastrée dans la peau ♥ en cherchant à en savoir davantage sur ce petit garçon à l'étoile au dessus de l’œil, l'intrigue prend place alors dans le cimetière devant une pierre tombale et la renaissance d'un défunt le soir de Noël ♥ aussi il doit retrouver un arbre magique ♥ pour la fabrication d'une puissante baguette magique ♥ sauf que cet arbre a été caché dans une forêt enchantée - le territoire du peuple de Pan, où y vivent des créatures toutes plus dangereuses les uns que les autres …ou peut être pas toutes. ♥ il a laissé tombé quelque part dans la neige son chapeau haut de forme
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56 / Amougies Festival: Le Show continue
56 / Amougies Festival : le Show continue
Les Zoo démarrent (9 musiciens) la journée où midi est bien dépassé et la plus part des aficionados sont partis. Set court et largement instrumental ce qui a été accueilli froidement. Il est vrai quand Joël Daydé chante de sa voix forte et en anglais ça se passe autrement par exemple quand il entonne « If you lose your woman » matiné de musique progressive.  Ils jouent du jazz-blues à fortes influences psychédéliques – guitares électriques, violon électrique, orgue Hammond, saxophone, section rythmique très chargée.
Ils étaient allés au village de quoi ramener des victuailles pour se faire des super sandwiches. Marc avait l’âme de cuisinier et Fred suivait se contentant de payer quand il lui demandait à raison.
Dehors, il y avait pas mal de gens qui étaient assis en tailleur dans l’herbe sur des sacs ou autres protections – certains avaient allumés des feux. Ils jouaient de la guitare, du tambourin, de la flûte au milieu d’odeurs d’encens. Ils étaient sûrement saturés de sons amplifiés – besoin de décompresser près des vaches qui viennent brouter juste auprès du chapiteau.
Evidemment ils ont recroisé Mouna…, son vélo…, et ses fans… (Et ses dreadlocks avant l’heure) ­– Ça faisait un peu boy-scout et kermesse mais la musique est de bonne qualité et la foule décontractée au grand dam des politiques et de certains journalistes français des “grands“ médias.
Un grand dégingandé barbu, une sorte de Merlin l’enchanteur vêtu d’une redingote noire, parcourt la scène à longues enjambées avec son violon électrique et son chapeau large de paysan. Voilà East of Eden : un batteur, un bassiste chanteur, un violoneux à la formation classique, un sax électrifié co-fondateur du groupe avec le guitariste tendance rock.
— Je suis fan de ce groupe : premièrement parce qu’il y a un violon de formation classique qui ne peut qu’apporter à une rythmique rock-blues – deuxièmement parce que j’ai acheté leur album “Mercator Projected“ et que je l’ai écouté attentivement maintes et maintes fois tout en me méfiant de l’artifice des studios – en tout cas en essayant d’y faire abstraction car en public tous les effets tombent à l’eau, déclare Marc.  
Ils entament avec “Gum Arabic / Confucius“ : une musique de désert avec les tintements de clochettes assez longuet – évidemment on imagine le troupeau de chévres, puis la flûte magique, sautillante, discursive matinée d’Orient qui chantonne en leader comme Merlin et qui donne le rythme – thème repris à la basse comme riff d’un Jazz /Indo / Arabo / Psychédélique. En arrière-plan improvisation du saxo électrifié…
—  C’est une autre forme de Prog-rock  avec ici des sons et mélodies orientales parce que tout bonnement Dave Arbus (le violoniste, multi-instrumentiste) est allé en Arabie alors que les autres reprennent des mélodies classiques, du moyen-age, du folk de la renaissance, etc., commente Marc.
— C’est long mais pas désagréable – un peu intello tout de même ! concède Fred.
— Je t’avoue que je ne le connaissais car il n’est pas tout simplement sur le LP que j’ai. Mais il développe avec plus de facilité le travail commencé sur “Mercator“ ce qu’on devrait entendre par la suite.
— Le sax touche pas mal !
Le groupe enchaîne un autre morceau :
— Ça je reconnais le démarrage spatial c’est « Communion » puis le riff flûte et violon qui met une tension permanente et un sentiment d’urgence ainsi la batterie déroule une cavalcade de roulements. C’est parait-il une conversation drôle mais inutile de café-bar avec un serveur parlant presque couramment la langue serbo-croate (un truc bizarre en effet) avec à la fin une blague chantée en serbo croate du style un cheveu ou une mouche sur la soupe.
— Etrange, effectivement !
Le morceau “Northern Hemisphere“ hard-rock-blues-psyché au riff de guitare accrocheur où l’on rencontre dans les forêts les gnomes, et où les choses les plus étranges se produisent, ainsi un magicien disparaît et réapparaît, et de belles choses arrivent, des oiseaux qui volent autour des arbres de diamant, puis le vaisseau spatial décolle dans les larsens. Suivi de “Waterways“ chant sur des vautours roses, bleus et blancs, crocodiles, gondoles noires, pyramides, tombes secrètes des rois, capes écarlates, ailes d'or vers Babylone… plainte du violon en intro puis solos orientaux, tambourins…
Marc reconnaît “Bathers“ les baigneurs du lac hongrois de Balaton – « Parfois il y a des sorcières sur la plage qui s’envolent sur les routes de sable… puis se sont jetées à l’eau au son des flûtes gitanes“ chant mélancolique qui surfe sur la mélodie jouée par la basse. Et puis une gigue irlandaise au milieu de leur set qui surprend Marc et tout le public, avec roulement de tambour en intro ainsi que le violon dansant appelant la batterie qui cavalcade.
— Ils ne font pas que dans l’apport oriental ! Ils font également du folk… irlandais, je pense ? demande Fred.
— Je ne connaissais pas ce morceau. En tout cas il ne fait pas partie du LP.
 Ainsi le groupe continua leur exploration parfois expérimentale bordée de solos orientaux noyant la foule dans une « World Music »  avec toujours le sax free-jazz en rappel.
— Epoustouflant ! conclut Fred.
La foule subjuguée, a suivi et applaudi à tout rompre.
“The next band“ comme ils disent en anglais – Sam Apple Pie. Les puristes n’aiment pas – du rock-blues bien gras & bien couillu aux riffs à deux accords avec Frank Zappa aux soli – Moonlight ça s’appelle. Des spectateurs se lèvent et dansent un peu défoncés tout de même. Le chanteur également harmoniciste se livrent à une bataille de soli avec Zappa.
— Après les intellos, ça nettoie les neurones, commente Fred.
— Oui ! C’est bien qui n’est pas mis tout de suite Soft Machine car deux grands groupes musicalement parlant l’un derrière l’autre, on aurait saturé comme l’autre nuit avec le Gong qu’on a pas écouté, rappelle Marc.
— Absolument ! Mais c’est des “musikos“ qui ont fait la programmation ou des gens dont c’est le métier. Par contre il n’y a pas la dimension sociologique ou anecdotique de Woodstock qui « dit » des choses sur l’évolution ou une tendance d’une génération pour une nouvelle forme de consommation.
— Tu y es allé ?
— Non ! Mais j’ai étudié la possibilité car Rock & Folk proposait des billets avion+concerts pour toute la durée du festival mais ça me faisait trop cher. Concrètement ça me revenait à un mois de salaire sans « l’alimentaire » et les à-cotés. Par contre j’ai lu des reportages et vu pas mal de  photos  dans  la presse spécialisée – rock musique.
— Je n’ai même pas calculé l’éventualité d’y aller car je n’aurais pas eu tout simplement l’argent étant étudiant qui essaie de joindre les deux bouts. Mais quand l’opportunité s’est faite pour Amougies après toutes les défections connues, je n’ai pas hésité.
— Idem pour moi !
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mediaonedesign · 10 months
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After making its grand debut at the The World Forever Changes Barbenheimer 7 21 23 Shirt But I will love this Cannes Film Festival, Wes Anderson’s new film Asteroid City made its New York City premiere last night—and the star studded cast came out for the red carpet affair. A listers such as Margot Robbie, Bryan Cranston, Tom Hanks, and Scarlett Johansson all made a cameo on the glitzy step and repeat. But the night’s most head turning fashion moment came courtesy of Maya Hawke, who chose an unexpected accessory for her look A bejeweled swim cap. Hawke wore Prada’s black sequined dress with a square neckline and wide pleated skirt—but it was her embellished headwear that really made the look. Instead of a traditional chapeau, the fitted cap had her looking ready for a dip in the pool—yet she somehow totally pulled it off. Its shimmering treatment made the accessory feel elevated, and it added a dash of whimsy to her otherwise streamlined ensemble. It’s not the first time the swim cap has gone high fashion, either A few years ago, labels such as Dior, Chanel, and Valentino all sent them down the catwalk.
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Photo Getty ImagesThe question is Would you rock an evening swim cap for your next gala or soirée? Only the The World Forever Changes Barbenheimer 7 21 23 Shirt But I will love this brave will attempt it. Clearly, Hawke gets an A for risk taking. And an A+ for somehow making it feel red carpet worthy, too. At this point, Beyoncé’s Renaissance world tour is part concert, part extended exercise in seeing just how many custom looks one pop star can commission and pack. Queen Bey has upended the typical stadium show model and turned it into an ever changing format full of surprises and new looks. Nearly every tour stop so far—there are 51 dates on the books in total, as of right now—has featured a new never been seen look designed by some of the biggest names in contemporary fashion. Off White, Balmain, Brandon Blackwood, and on and on. What you may not have noticed, however, is that Bey often honors the country she’s in by wearing a designer who calls that nation home Jacquemus for Marseille, France (the designer’s hometown) Alexander McQueen, David Koma, Robert Wun, and Stella McCartney for the singer’s five night residency in London custom Fendi in Barcelona that featured designs pulled from Spanish artist Antonio Lopez. It’s the pop star’s version of fashion diplomacy. Using fashion as a medium to silently signal a connection and appreciation towards a culture or community is nothing new, but it’s more usually the territory of royals (see Kate Middleton and Meghan Markle) and political figures (first lady Jill Biden being one great example). But then again, Beyoncé, with over 300 million followers on Instagram, is her own kind of head of state. The full throated amplification of international voices feels even more poignant in a post COVID landscape. Only a mere few years ago, such a large scale world tour, bringing together thousands of people, was hard to imagine happening again.
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marciamattos · 11 months
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, Les époux Arnolfini, - Noces d'un banquier italien installé à Bruges
Jan van Eyck, 1434, 82 * 60 cm, peinture sur bois, National Gallery, Londres
*Jan Van Eyck (ca 1390 à Maaseik - Ý 1441 à Bruges). Peintre flamand, il devient en 1425 à la fois le valet, le peintre et le confident de Philippe le Bon, duc de Bourgogne et comte de Flandre. En 1431 il s'établit définitivement à Bruges. Déjà fermement établie, notamment avec son tableau La Vierge du chancelier Rolin (1413), sa renommée grandit à partir de l'inauguration du retable de l'Agneau mystique (1432).
Van Eyck est le principal peintre de la Renaissance flamande. Ses tableaux donnent l'impression d'espace grâce à une grande maîtrise de la perspective. Il perfectionne la technique de la peinture à l'huile (les terres et les couleurs sont mélangées avec de l'huile au lieu de l'eau) qui permet un meilleur rendu des matières, une meilleure représentation de la lumière, et une extrême précision de la touche . Il fut proposé comme modèle aux peintres Vénitiens de la fin du siècle.
Dans le tableau, Les époux Arnolfini, Le peintre flamand a voulu fixer, en témoin de l'événement, l'union du négociant italien Arnolfini (originaire de Florence, il était fournisseur, prêteur et conseiller de Philippe le Bon) qui vivait à Bruges, et de son épouse Giovanna Cenami (fille d'un autre riche marchand italien installé à Paris).
Les banquiers italiens étaient, à cette époque, l'une des plus grandes puissances de ce monde occidental bâti sur un axe Flandre-Italie. Ce sont eux qui ont inventé le système bancaire, tel que nous le connaissons à l'heure actuelle.
A Bruges, les frères Arnolfini rencontraient tous les jours les commerçants chez l'un d'entre eux, un certain Van der Buerze. Ils parlaient affaires, et c'est ainsi que naquit l'institution sur laquelle repose le capitalisme : la bourse.
Arnolfini est un riche marchand italien travaillant à Bruges. Intéressé à l'art, il demande à Jan van Eyck de peindre ses noces. Ainsi par bien des aspects de sa vie Arnolfini permet d'étudier les évolutions sociales du XV° siècle.
La femme, Giovanna, est soumise à son mari. L'attitude et le regard témoignent de cette situation.
l'homme est représenté du côté de la fenêtre, donc de l'extérieur et du monde des affaires; la femme est représentée du côté du lit c'est à dire du foyer familial.
- un homme riche et puissant comme en témoigne le logement dans lequel il vit et ses habits, courtisan probablement le commanditaire de l’œuvre.
Son costume : une huque de velours, sorte de grand manteau aux bords garnis de fourrure, un pourpoint noir aux poignets brodés d’or, vêtement court apparu vers 1340, des chausses, sortes de bas qui s’attachent au pourpoint et qui peuvent avoir des semelles, un chapeau de feutre
- La femme porte une robe de drap verte ; depuis l’apparition du pourpoint pour les hommes, la différence de vêtement est davantage marquée, la mode veut des femmes à la silhouette allongée et au ventre proéminent, ce qui est obtenu avec des coussinets sous la robe et une ceinture haute. Les manches de la robe sont garnies de fourrure.
En dessous, elle porte un doublet, vêtement long en toile ou en soie qui sert aussi de robe de chambre ( à partir du 17ème siècle, on différenciera le haut, le corps, du bas, la jupe).
Les cheveux sont rassemblés en truffeaux enveloppés dans une résille dorée sur les tempes ; on y pose une coiffe, la huve. L’ensemble est appelé coiffure à cornes (et a été combattu par l’Eglise car les cornes évoquent le diable). Elle porte un double collier d’or, un anneau à l’annulaire ; elle est déchaussée (on voit ses “ babouches ”rouges au fond. )
La femme à un visage doux et peu expressif; elle est jeune, fraîche et semble soumise.
La femme porte une lourde robe de cérémonie, son ventre est proéminent. Mais il semblerait, malgré tous les détails du tableau évoquant la maternité, qu'elle ne soit pas enceinte, c'est un signe de fertilité. Un coussin est probablement posé à hauteur de son ventre, car petite poitrine et ventre rond étaient à la mode en cette époque du gothique flamboyant. D'ailleurs les couleurs des vêtements ont un sens : le vert signifie l’espérance (d’une maternité), le bleu la fidélité et le blanc la pureté.
Il s'agit donc ici d'une scène de mariage. Un mariage qui a lieu chez soi et entre soi, comme c'était la coutume à l'époque. Il faudra attendre le concile de Trente ( le 13 décembre 1545) pour que s'impose la présence d'un prêtre et de deux témoins officiels aux mariages, qui n'avaient toujours pas lieu à l'église.
La fidélité connue du chien envers ses maîtres a fait de cet animal un symbole de la fidélité conjugale dans de nombreux tableaux.
Derrière le couple, une paire de sandales féminines semble oubliée. Il ne s'agit pas ici d'une négligence, mais d'un autre signe nous certifiant qu'il s'agit bien d'une scène de mariage. Il se réfère à une phrase de l'Ancien Testament :
Et Dieu dit : N'approche point d'ici ; enlève tes sandales de tes pieds, car l'endroit sur lequel tu te tiens est une terre sainte. (Exode, 3,6.)
Les deux époux, pieds déchaussés, sont sur la terre sainte et s'administrent mutuellement le sacrement du mariage
Sur un coffre derrière Arnolfini sont posés des fruits. S'il s'agit d'oranges, il représentent l'innocence d'avant le péché originel. Si ce sont des pommes, ils symbolisent la Tentation au jardin d'Eden
Sur le coté gauche du tableau, à travers la fenêtre on peut voir un oranger chargé de fruits. Ceci renforce la symbolique du péché.
La fenêtre porte, dans sa partie supérieure, des vitres formées de verres ronds . Pour des raisons économiques, le bas de la fenêtre n'a pas de vitre. Il se ferme avec des volets.
Le lustre en cuivre porte une seule bougie allumée sur la gauche, symbole d'amour nuptial. Il évoque également l'oeil du Christ.
La figurine de bois au sommet de la cathèdre derrière la femme représente Sainte Marguerite, patronne des futures mères.
Le lit tendu de rouge évoque la relation charnelle du couple et son aboutissement qu'est l'enfantement.
Comme souvent chez Van Eyck, le sujet officiel de la peinture n'est qu'apparent. Il s'agit d'illustrer un mariage, bien sûr, mais aussi d'entreprendre des recherches picturales, de tenter de capturer le monde en deux dimensions. En vérité, le véritable sujet de ce tableau est en son centre, et c'est le miroir.
Un miroir convexe composé d'un mélange de verre et de métal, enchâssé dans un cadre de bois. Dix médaillons le décorent, illustrant des scènes de la Passion du Christ. Dans ce miroir, le reflet de deux personnages. L'un en rouge, l'autre en bleu. Il s'agit sans aucun doute des deux témoins du mariage, convoqués pour attester de la régularité de ce mariage morganatique. L'un de ces deux témoins est peut-être Jan Van Eyck lui-même, qui a écrit sur le mur au-dessus du miroir : Johannes de eyck fuit hic (était là) au lieu de fecit (l'a fait).
Le miroir a un intérêt dans le travail de représentation du volume de la pièce. Par ailleurs il porte un sens symbolique fort : le miroir sans tache représente la virginité de la femme.
Les symboles moraux sont donc des points essentiels du tableau : les fruits (le péché) et le miroir (la pureté).
Le miroir est décoré d'une série de miniatures représentant les principales étapes de la passion du Christ.
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aforcedelire · 11 months
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Parcourir la terre disparue, Erin Swan
Coup de cœur 🖤
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« Ils ne connaîtront pas la terre disparue, seulement celle dont ils auront hérité, qui gèle, dégèle, s’inonde et s'embrase, mais ne semble jamais résolue à mourir. »
La terre disparue, c’est la nôtre. Submergée par les eaux. Les continents tels que nous les connaissons ont disparu, la société s’est effondrée, des civilisations renaissent et des pionnières sont envoyées dans l’espace pour repeupler la race humaine. Mais d’abord et avant tout, Parcourir la terre disparue nous raconte la formidable histoire d’une famille — une saga familiale qui s’étend de 1873 dans les Grandes plaines américaines, jusqu’en 2073 sur Mars.
À chaque chapitre, on rencontre un membre de la famille. On débute avec Samson, qui pille et participe au massacre des bisons dans le far ouest américain ; on continue en 1975 avec Bea, une enfant d’à peine treize ans et déjà enceinte ; en 2007, on fait la rencontre de Paul ; puis en 2017, celle de Kay. Et ainsi de suite pour arriver en 2073 avec Moon, jeune fille vivant sur Mars en compagnie d’Oncle Un et Oncle Deux. Moon qui ne sait rien de la Terre, qui ne l’a jamais connue. Et qui ne connaîtra jamais la Terre telle que nous lecteur.ice.s la connaissons. Et pour cause ! Dès 2005, des tornades et tsunamis ravageurs ont participé à l’inondation partielle du globe. Toutes les côtes du monde ont été englouties en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
Et c’est ça qui m’a particulièrement plu avec ce roman : non seulement c’est une saga familiale des plus intéressantes, mais c’est aussi une histoire complexe qui aborde beaucoup de points intéressants. On y parle d’écologie, de descendance et parfois de malédiction. J’ai suivi avec horreur, fascination et angoisse comment les différents personnages se sont adaptés pour survivre. Et j’ai vraiment aimé tout le côté SF avec les chapitres sur Moon !
C’était une très très bonne lecture et un gros coup de cœur. C’est foisonnant et passionnant, et pour un premier roman je dis chapeau !
21/05/2023 - 30/05/2023
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En Marche, vers la Renaissance ou la refondation ?
En Marche, vers la Renaissance ou la refondation ?
Par Claude Picard Soutien du site via système de paiement 100% sécurisé : cliquer ICI Macron, le roi de l’entourloupe, se prend pour De Gaulle en nous sortant de son chapeau un nouveau CNR : le Conseil national de la refondation ! Qu’il ne faut pas confondre avec le CNR (Conseil national de la Résistance), voulu par le Général et qui avait pour but de rassembler des Français de tous bords…
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claudehenrion · 3 years
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Ces gros complots qui ne seraient pas ‘’complotistes’’...
  Tout le monde connaît l'existence de complots réels, affichés, affirmés, étalés sur la place publique à en être ''officiels''... Ces complots, pour une raison que la raison n'arrive pas à connaître, ne sont pas visés par la détestation des gens au pouvoir pour tout ce qui n'est pas ''dans leur couleur du temps''... Même sans penser à mal, on est bien forcé de se demander ce qui se cache derrière la chasse aux sorcières complotistes, limitée aux seules idées qui dérangent le catéchisme présidentiel.
  Le plus connu de ces ''complots autorisés'' est relatif à tout ce qui touche à l'islam, ‘‘ -isme’’ ou pas. Pour faire court, rappelons ce dont il ne sert à rien de refuser l'existence, mais dont il est défendu de parler, même masqué, ''distanciationné'' et ''gestesbarrièrisé'' : il existe un vaste plan --en fait plusieurs plans et encore plus de programmes d'action-- qui prévoit ou prévoient de remplacer notre civilisation judéo-chrétienne par les horreurs de la ''Charia'a'', du burkini et des barbes hirsutes, le but clair des tenants de cette idée atroce à terme (voir ce qui se passe à Kaboul, à chaque retrait partiel des GI's) étant l’abolition de tout souvenir des jours heureux.  
  Mais il existe un second ''complot''... dont les conséquences seraient terribles, aussi, s'il se réalisait, même un tout petit peu.  Nous l'avons évoqué, déjà, mais la ''présidentielle'' qui se rapproche le rend incontournable. Répétons que jamais la hargne présidentielle et ministérielle, si prompte à se déchaîner devant qui pose la moindre question sur les vaccins qu'on nous inocule en masse (après une période de tests inférieure à celle qu'ils reprochaient à Didier Raoult...) ne s'est appliquée contre ce tissu de dystopies ''XXL''. (NB - Contrairement au faux ‘’complotisme'’ inventé, qui rend fous nos irresponsables. Mais ''ce n'est pas le sujet'' aujourd’hui).
  Le personnage dont il faut parler (et se méfier, désormais) est une fort jolie jeune femme, Audrey Tcherkoff, qui avance dans la vie avec ''un destin (?) bordé de nouilles'', à en croire Attali, ce prétentieux pathologique qui se vante d'avoir fait élire Emmanuel Macron à la Présidence et d'avoir annoncé l'actuelle pandémie... alors qu’il répète Vous allez voir... un jour, il va se passer quelque chose de très imprévu. Voilà donc une charmante personne --un peu glaçante tout de même-- qui vient de commettre (pas seule) un bouquin que vous pouvez lire si vous êtes un ‘’fan’’ du sulfureux Léopold von Sacher-Masoch, l’un des pères (?) du sado-masochisme.
'  'Vous allez voir, c'est elle ''le ou la'' futur Président de la République'', psalmodient en chœur les ''faiseurs de rois '' (qui en ont tout de même fait un, que personne n’avait prévu. Pas un triomphe !). Celui-là, on pourrait le garder, car ''il fait le job'', et la France disparaît peu à peu : plus de culture (sic !), une langue défigurée, plus de sens commun, plus d'argent, plus de religion (sauf, un peu, l'islam), plus d'orgueil, une Histoire ratatinée à la repentance, une géographie tachetée de ''zones de non droit'' où règne la charia'a, plus d'industrie, plus de recherche, des éoliennes géantes partout... la liste de nos abandons est interminable --et surtout minable, hélas. Mais au cas où il pourrait perdre les prochaines élections... la relève est prête et sortira tout d'un coup du chapeau, née toute armée et ''prête-à-l'emploi'' comme Athéna-Nikè, nette, précise, sérieuse, pas désagréable, acérée, coupante, récitant par cœur son credo mondialoïde et très convaincue de ce qu'elle va faire...
  Ce ''Manuel pour une sortie positive de la crise'' est un énorme piège à gogos qui sortirait à point pour con-crétiser la dernière ''attaliaderie'' : ''Je connais la prochaine présidente de la République''. Lecture faite, il ne reste plus qu'à souhaiter que, comme les autres fois, cette énormité de ce clown d'Etat fasse long feu. Cependant, la méfiance est de mise : personne n'a oublié que, pour des gens décidés à ne reculer devant rien (sans doute une anticipation du ''quoi qu'il en coûte'' qui nous coûte déjà et va nous coûter tant de malheurs à venir), il est possible de faire ''élire par le peuple'' qui les sur-puissants du monde ont envie de voir élu.. . et je ne souhaite pas à mon pays si aimé que cette jolie héroïne (mot si prometteur et si menaçant) applique une seule des folies contenues dans ce brûlot.
  Ce ''programme de mandature'' (car ces complotistes-là avancent à découvert, en terrain déjà conquis) propose comme solution unique à tous nos malheurs un catalogue à l'allure faussement humaniste, à appliquer sans changer un seul ''item'', construit (?) sur un échantillon mondial de... 6000 péquins sélectionnés on ne sait comment (NB : sur 7 milliards et demi d'humains, c'est, au maximum... ''exactement même pas rien'', si j'ose), dont 96 %  auraient dit ''souhaiter un changement positif'' (ça, c'est précis !).  Ce ''Manuel'' qui se croit manuel de survie et de sauvetage de l'humanité, montre le néant technocratico-dystopique qui habite ses sponsors ivres de leur toute-puissante nullité. Ce dangereux brûlot est un ''Manuel pour le pire des mondes'' dont on nous dit qu'il faut l’appliquer dès la fin de cette pandémie (qui peut être arrêtée à tout instant, un jeu de bobard en remplaçant un autre, puisqu'elle n'est pas le truc terrible dont on nous remplit les oreilles, le cerveau... et surtout le trouillomètre : ce n'est ni une peste ni un choléra, ni même une grippe espagnole).
  Partant du faux calcul que ''96 % des citoyens (sur 7,5 milliards, nous l'avons dit, ça veut dire : personne !) veulent du ou des changements ''(ce qui n'est pas faux : les gens veulent que tous les gens comme elle et ses ‘’mandants-sponsors-parrains'' disparaissent à jamais !), notre ''future présidente'' (?) voit  une aspiration aux idées que ses maîtres aimeraient voir triompher... puisqu'elles vont dans ''leur bon sens à eux'', le sens d'une histoire réécrite pour faire d'eux seuls ''les rois du monde'', au détriment de tous les autres, vivants... ou à venir. Sous couvert de nouveauté, elle nous ressert les vieilles salades d'un gouvernement mondial seul garant de l'égalité de tous les hommes, d'un ''nouvel ordre mondial'' qui ne serait que l'enfer, du pandémonium d'une clique libre de se servir de la planète et ses habitants, de la pure folie idéologique, politique, humaine, culturelle ... et autres...
  Un ''monde  nouveau'' où les peuples seraient soumis à une super-ploutocratie oligarchique se prépare donc, en douce, dans les officines secrètes et les coulisses mondialistes... On comprend qu'elle soit ''pour'', si on lui a promis une bonne place ! En fait ce bouquin pourrait être sous-titré : ''Comment tromper son monde avec un discours dégoulinant de faux bons sentiments, avec un vocabulaire qui suinte de progressisme régressif, qui flatte les aspirations des citoyens pour un monde... qui ne sera meilleur que pour une poignée de non-élus et effroyable pour les peuples''.
  Sûrs de leur coup, ils ne cachent même pas leur militantisme actif pour ce monde inhumain. C'est Alice au pays des horreurs : "Un haut conseil de la résilience, avec des experts de chaque pays" (NB: quand on voit les échecs du lamentable conseil scientifique de Macron, on imagine un conseil d'experts de différents pays avec des conflits d’intérêt politiques, raciaux, financiers, culturels, et civilisationnels en plus des querelles d'ego). On imagine la suite : un Conseil ‘’one planet, one health’’  présidé par Bill Gates, un Conseil mondial du climat supervisé par Greta Thunberg, le FMI présidé par George Soros, BezosZukerbergMurdoch à la tête d'un  comité régulateur mondial des médias... et une gouvernance unique avec Klauss Schawb (de Davos) soutenu par 20 000 000 de fonctionnaires (ou le double !) qui, bien sûr (puisqu'on vous le dit !) ne prendraient que les meilleures décisions possibles... On en revient à notre refrain mille et une fois répété : ''La folie est sortie des asiles !’’.
  Le dangereux Jacques Attali (ce ''pro'' de l'annonce de trucs qui n'arrivent jamais --et c'est heureux, car ils tous sont à l'opposé de tout ce qui est bon pour l'Homme), blatérait en 2009 que ''L'histoire nous apprend que l'humanité n'avance vraiment que lorsqu'elle a vraiment peur'' (ce qui est faux, comme le prouvent le Cinque Cento, la Renaissance ou les 30 glorieuses !). Nos technocrates mondialistes nous foutraient-ils le trouillomètre à zéro avec leur satané covid seulement pour préparer la phase suivante de leur main-mise sur l"humanité ? Complotisme, avez-vous dit ?
H-Cl.
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just-a-half-cape · 2 years
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Et une nouvelle cape ! Finie juste à temps pour le GN. Dans le même tissu que le chapeau précédent ! Celle-ci a pris plus de temps à finir parce que j'ai monté le col à l'envers et que je manquais donc de galon... On ne le voit pas très bien sûr les photos mais l'intérieur est rouge. Je me suis beaucoup amusé à trouver un autre système de fermeture. Cette fois j'ai récupéré les boucles des brandebourgs que j'avais utilisés comme attaches pour la chaîne de la précédente cape, et j'ai passé un cordon de rideau dedans. Je me suis aussi beaucoup amusé à terminer les extrémités des cordons avec un noeud constrictor (merci les vidéos de voile en ligne) et en recouvrant le tout de tissu. #cape #renaissance #sewing
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Mutants
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Nous sommes des mutants grandioses.
Nous décapitons le temps ,le vide ,la norme afin de percer l'éternité là où les cris des aliens artistiques cherchent le souffle du Divin .
Mutants.
Des femmes-enfants aux regards d'ovni saignés par la lame de l'existence qui souffle rance !
Nous faisons dansées nos mains baignées de peinture Verte comme la liberté des ovnis cherchant un regard d'Amour dans le chaos .
Je n'ai pas fait le tours du monde .
J'ai fait le tours de moi même ,de mon monde et de mes galaxies puis une partie de celles des êtres que j'aime ,à travers les regards des rues et des inconnus également.
J'ai vu des clochards prophétiques,des musiciens incompris et touchant ,des violeurs aux yeux de fouines ,des animaux avec leur âme ,des arbres avec leur cri ,danse et soupirs propres à chacun .
J'ai vu une dame inconnue ,naïve et candide à la Gare du Nord à Paris
Nous avons pris un café ensemble et elle est partie sans que je ne l'ai jamais revu en me remerciant comme si nos rencontres étaient cosmique et que nous avions appris chacune l'une de l'autre en perçant un secret de l'univers et de l'éther qui est une symphonie
.
Je peut percevoir avec très grande force une infime et minuscule partie des âmes .
Elles remplissent mon histoire comme si chaque être que je rencontrais était une partie de mon roman qui se terminera dans l'au delà de ma planète d'artiste parias et extatiques ,je l'espère.
Les mutants sortent dans la rue ,des asiles psychiatriques.
On regarde de travers leur mutilations d'âmes ou sur leur bras ,leur gueule célestes , somptueuse et ecorchée vive .
Ce sont des êtres qui dansent de travers comme des méduses diva et théâtrales venant d'une autre galaxie .
Ce sont ceux et celles qu'on déteste , dont on se moque parfois ou admire ébahis comme des nébuleuses incroyables qui trébuchent avec leur fesses triangulaires et leur grand chapeau psychédélique car elles ont le coeur trop lourd sur leur main et leur esprit sont trop étourdis dans la beauté de leur étoiles .
Les âmes mutantes ont souvent une grande féminité pures et particulières en elles .
Elles sont très sensibles ,plus puissantes que la plupart des hommes mais également dures ,douces ,vaginales , sécrètes,pudiques,fortes et excentriques avec un reflet volcanique et tendre à la fois ..
Elles représentent tout les êtres les plus marginaux ,des personnalités égocentriques sortant de manga et d'hôpital de dingue à la fois ,des clochards puissant ,bon mais puants avec des gueules qui aboient avec les pieds qui flanchent ,des drogués lumineuses qui cherchent à s'en sortir ,des taulards aux coeurs d'artichaud possédant derrière leur violence une âme de clown ,de fou ou de voyou trop doux et sensible.
Dans mon roman à moi ,j'ai subit des viols à l'âge adulte et à l'âge enfant des insultes ,des coups de poings ,claques ,harcèlements ,humiliations ,coups de chaussures et d'âmes douloureux et parfois profondément insoutenables armés de cris et d'expérience abominables proche de la torture émotionnelle voir physique parfois même .
J'ai arpenter et voyager dans d'autres pays et galaxie sous drogues mais la plupart du temps sans et parfois même plus fort sans rien consommer.
J'ai entendue sans substance et soudainement une voix spirituelle absolument puissante,totalement inattendue et improbable hors de mes propres pensées à propos de la Couleur Verte ,vécu toutes sortes de phénomènes mystiques -chrétiens ,cosmiques voir des transes chamaniques extrêmement intenses et incroyables avec des sorties astrales hors du corps et signes de l'univers extrêmement fort concernant la Couleur Orange.
J'ai vécu bien évidemment aussi des extases avec Dieu au point de pleurer et de hurler de joie .
Je l'ai également vu rentré dans mon corps pour me sauvée du suicide et m'entraîner vers l'amour miraculeux et la folie exceptionnelle et salvatrice de l'Art .
Dans ma vie j'ai effectivement beaucoup vécu en gardant le souvenir de cet infirmier en pédopsychiatrie qui m'a explosé le crâne contre le mur en m'insultant alors que je pleurais de douleur après m'avoir déshabilée le pantalon puis pratiquement plantée une seringue de force remplie de calmant assommant dans les fesses .
J'ai aussi appris avec la pluie sinistre la mort d'une ancienne amie de 25 ans peut être le même jour où pratiquement en même temps qu'un des sombres viols que j'ai vécu en fuyant le foyer de mes parents lorsque je me sentais mal avec eux.
Je recherchait encore inconsciemment un père dans un esprit malsain pour moi même et mes poèmes.
J'ai connue les surdoses extrêmes,profondes ,des black out et overdoses de drogues dures médicamenteuses en me baladant à l'extrémité du bord de ce fleuve qu'est la toxicomanie où j'ai faillit tombée et les vagues des tentatives de suicides très lourdes où votre entourage terrifiée croit vous perdre devant ses propres yeux .
Ma première tentative de suicide ,je l'ai fait à l'anniversaire de mes 16 ans ou quelques jours après car la vie aigre et immonde comme un cachet croqué que je menais était insignifiante .
Je n'avais ni amitiés ,ni encore de talent artistique apart la clarinette et le peut de poésie que j'avais abandonnée en plus de toutes ces railleries, maltraitances graves ,rejet et humiliation que j'ai vécu .
Tout le long de mon existence j'ai fait peut être des dizaine de tentative de suicide ou peut être un peut moins ,chacune pour des homme que je considérais comme un nouveau père de substitution remplaçant ce bourreau émotionnel en m'attachant de manière exclusive à tout ces êtres qui finissaient par me lâcher ,ayant pris peur de cette fusion .
Mon corps et mon âme ont également faillit se defenstrée du 12 ème étage devant un homme sans empathie qui était quand à lui ce faux premier amour et qui m'a au final donnée ses drogues à lui pour que je lui fiche après la paix , regardée durement et sans amour ni moindre amitié après m'avoir empêchée physiquement de commettre l'irréparable alors que j'etait en larmes .
J'ai fait de l'auto stop en pleine nuit dans une forêt ou dans un lieu lugubre et il m'est arrivée toutes sortes de rencontres improbables lors de fugues ou d'aventures dramatiques,farfelues ou merveilleuses dignes de films cinématographiques loufoques .
J'ai regardée et suivie une étoile dans le ciel de la nuit quand j'étais complètement perdue et émotionnellement très mal dans une immense ville que je ne connaissait pas du tout ,très loin de chez moi et de l'appartement que je connaissais peut ,sans mon portable ni rien et pratiquement et même en suivant l'étoile j'ai retrouvé au bout d'une demie heure ou plus le chemin des personnes qui m'avaient hébergée .
C'est là que j'ai compris que le miracle existe car l'existence en elle même est un miracle de Dieu qui est un clown-punk merveilleux et tout être mérite cette énergie splendide et absolument sacrée , sans dogmes ni repentances fausses et réactionnaires que ce soit des trans et homos qui s'assument avec courage ,des clochardes éveillés errant dans la rue et cherchant un espoir ,des toxicomanes avec un fond de lumière infinie , des prostituées avec du coeur , des fous et des folles incomprises et artistes extraordinaire.
La pire souffrance dans mon existence à été de hurler de larmes en redevenant enfant, à la limite de vomir ,avec les sanglots tordus et brutes qui criaient sur ma peau ,dans tout mon corps qui s'etouffait en se violant lui même les veines , s'arrachant les tripes,subissant des millions de crises cardiaques de l'âme devant des hommes ou même des femmes qui me regardaient avec incompréhension ,moquerie ou colère car cela passait pour des simples caprices de môme.
Pourtant en moi même je hurlait et m'etranglait dans cette torture qu'était mon cri violent d'enfant renaissant a la surface dans une fontaine éparpillée de sang noire pourtant étoilée .
Je hurlait comme un guerrier éventré ,avec les yeux arrachés mais on ne voyait qu'une merdeuse réclamant une sucette alors je pleurais encore .
J'écris cachée derrière un écran sans affronter le regard des gens .
Je hurle mon art dans les mots ,dans la scène et les couleurs en me déballant dans l'exhibition extrême voir insolente et ceci pour ne pas mourir définitivement mais ma pudeur immense voir trop grande qui cache ma poitrine de femme ,ma flamme à travers une arme qui rougit rejaillit toujours.
Elle fleurit toujours discrètement dans mon être ecorchée vif et totalement Multicolore,le Coeur Vert, et la puissance Orange et Rouge comme une Aurore qui combat la mort.
Aujourd'hui la lumière de mes veines qu'est ma Peinture et mes Couleurs ont séchée mes larmes à jamais .
Un oiseau chante ce matin et je remercie ce Clown punk qu'est Dieu de m'avoir donnée la vie.
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Nébuleuse
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“Nouveau Recueil de Parures" de Jean-Henri Pouget (1764) et "APrure d'Emeraude : Boucle de Chapeau, de Genou et de Chaussure" de Johann Melchior Dinglinger (début XVIIIe siècle) présentés à la conférence “Le Triomphe de la Joaillerie au XVIIIe Siècle ” par Julie Rohou - Conservateur du Patrimoine au Musée National de la Renaissance - Château d'Ecouen - pendant le cycle de cours d'été “De la Parure de Cour à la Joaillerie Parisienne : Une Histoire du Bijou” de l'Ecole du Louvre, juillet 2021.
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Les soldats libres.
La grande aventure des mercenaires.
Entretien avec François-Xavier SIDOS, auteur du livre.
Les mercenaires défrayent régulièrement la chronique, mais qui sont-ils vraiment ? Les soldats libres, de François-Xavier Sidos, fait pour la première fois le point sur la tradition historique dont sont issus ces « soldats sans frontières ». Un ouvrage utile à ceux qui, à l’heure de la privatisation de la guerre, veulent comprendre ce phénomène sans sacrifier à la facilité des idées reçues.
Loin de la présentation négative généralement faite des « affreux » percent des personnalités surprenantes : des grands chefs de guerre, bien sûr, mais aussi des « sans grade » au destin extraordinaire, des écrivains… et même des philosophes.
- Qu’est-ce qu’un mercenaire ?
Les définitions habituelles des mercenaires sont souvent malveillantes, à commencer par celle de l’ONU et de la Convention de Genève dont l’orientation hostile est clairement affichée. Cette connotation négative est récente. Elle date de la levée en masse, s’est ancrée dans les esprits au cours des XIX° et XX° siècles et prend parfois aujourd’hui une forme proche de l’hystérie.
Pourtant, jusqu’à la Révolution française, les mercenaires formaient le gros des forces armées. Le conscrit de l’an II, paysan arraché à sa terre et brutalement transformé en soldat, avait pour mission première de tuer le mercenaire à qui on ne pardonnait pas sa fidélité au roi, tragiquement illustrée par le sacrifice héroïque des Suisses aux Tuileries le 10 août 1792. Mais le crime ne fut pas parfait.
Pour « vendre » le bidasse, pour fabriquer par millions les soldats prolétaires que l’on jeta plus tard dans les tranchées de la Grande Guerre, il fallut alors dévaloriser le mercenaire. On tenta ensuite de lui faire porter le chapeau des excès de la décolonisation. On prétend aujourd’hui que son utilisation « aggrave la violence, déstabilise les Etats et se traduit par des atteintes aux droits de l'homme. » Cette logique, bien qu’elle soit totalement dépassée, prévaut encore dans certains esprits français. Dans le même temps, les Anglo-saxons occupent le « marché » sans le moindre scrupule.
D’un strict point de vue historique, le mercenariat se définit comme la mise à disposition d’une force armée privée auprès de ceux qui en éprouvent le besoin. D’Héraclès à Bob Denard, en passant par Georg von Frundsberg, le Connétable de Bourbon, le maréchal de Saxe et bien d’autres encore, tous les mercenaires célèbres ont pour point commun d’avoir porté les armes pour le compte d’autrui. Choisissant leurs causes et bien souvent leurs chefs, les mercenaires agissent en hommes libres. Ce sont des soldat libres.
- Pourtant la principale motivation des mercenaires n’est-elle pas l’argent ?
Pour résumer le rapport que les mercenaires entretiennent avec l’argent, il faut avoir en mémoire cette méprisante réplique de Surcouf à un officier anglais qui lui reprochait de se battre pour l'argent, alors que lui ne combattait que pour l'honneur et pour la gloire : « Nous combattons chacun pour acquérir ce qui nous manque ! »
Lorsqu'ils attachent une certaine importance à leur salaire, c'est pour prendre la mesure de la considération qui leur est portée. Mais il se trouve toujours des petits malins pour critiquer le prix du sacrifice, comme s'il ne fallait considérer le salaire comme normal que chez ceux qui ne risquent rien pour le gagner.
- On constate dans votre ouvrage que le mercenariat ne date pas d’hier et qu’il a même ses lettres de noblesse.
Les mercenaires existent depuis que les hommes font la guerre, ce qui en fait un des plus vieux métiers du monde et probablement l’activité la plus prometteuse pour l’avenir. Il y eut cependant des époques plus favorables que d’autres, qui se signalèrent par de très gros contrats.
L’histoire de l’Europe fourmille d’exemples. La glorieuse retraite de l’armée des Dix-Mille racontée par Xénophon dans l’Anabase il y a vingt-cinq siècles est connue de tous. Mais sait-on qu’Alexandre le Grand commanda une des plus grandes armées mercenaires jamais rassemblées ? Sait-on qu’Hannibal dut ses succès au moins autant à ses mercenaires qu’à ses éléphants ? Sait-on que le plus grand chef mercenaire de la guerre de Cent ans s’appelait Du Guesclin ? Sait-on que les Sforza, qui régnèrent longtemps à Milan, étaient avant tout des condottieres, ces mercenaires qui contribuèrent tant à la renaissance italienne ?
Les mercenaires de la mer que furent les corsaires ont aussi largement contribué à forger cette tradition. Jean Bart et Robert Surcouf en sont les plus glorieuses illustrations. A côté de ces grands noms, de fabuleux destins se sont accomplis, comme celui du matelot René Madec qui combattit aux Indes à l’époque où Pondichéry était à la France, qui termina Nabab, accumula une fortune considérable et fut anobli par Louis XVI.
Nous sommes loin du Katanga ou des Comores, mais le même esprit subsiste.
- Votre ouvrage n’est pas uniquement un livre d’histoire. Certains engagements récents y sont racontés.
Il fallait rétablir la vérité. Tout et n’importe quoi a été colporté dans la presse, même la plus sérieuse, au sujet des mercenaires contemporains. Ils sont pourtant bien loin de ces prédateurs sans scrupules qu’une certaine historiographie tente de décrire en eux. Leurs sacrifices aux côtés des Karens, leur rôle important et leur comportement exceptionnel dans plusieurs conflits africains, leur façon de voir le monde et d’influer sur le cours des événements méritent largement qu’on s’y attarde.
Mais j’ai surtout voulu établir la filiation avec les grands anciens. Héritiers de la longue tradition mercenaire, ils l’enrichissent de leurs aventures avant de la transmettre à de nouvelles générations de combattants. Encore faut-il pour cela que leur histoire soit connue.
- Plus surprenant, vous consacrez même un chapitre aux mercenaires célèbres pour autre chose.
Ces mercenaires atypiques éclairent en effet le métier d’une lumière plus douce. Citons pêle-mêle Rodrigo Diaz de Vivar plus connu sous le nom du Cid, Benvenuto Cellini célèbre comme orfèvre et sculpteur mais très méconnu comme mercenaire au service du pape, Christophe Colomb, mercenaire génois au service de l’Espagne. Plus près de nous, Lord Byron, Giuseppe Garibaldi, Arthur Rimbaud, André Malraux ou « Che » Guevara, même si ces derniers sont officiellement considérés comme des « volontaires internationaux » - subtilité sémantique pour désigner les mercenaires autorisés - ont laissé leur nom dans l’histoire pour d’autres raisons que leur engagement mercenaire.
Mais le plus surprenant reste René Descartes, mercenaire et philosophe, engagé sous le nom de « Monsieur du Perron » dans l’armé du prince d’Orange et qui en plein cœur de la guerre de Trente Ans, cantonné aux environs d’Ulm, eut la révélation de cette « science admirable » qui préluda au Discours de la méthode.
Comme quoi le mercenariat mène à tout à condition d’en sortir… vivant.
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