Triangle of Sadness (aka Sans Filtre, dir. Ruben Östlund) x VIFF 2022.
The Force Majeure director is absolutely vicious in his sort of mundane takedown of our current influencer-obsessed culture. It’s a dry series of observations on how useless capitalism has made us all. Even for Östlund, this is a particularly biting caricature of society slaying our distorted overvaluation of beauty, wealth, and materialism encompassed on a luxury cruise vacation where ultra-rich strangers from different backgrounds interact with little in common aside from their immense privilege.
Despite the sharp direction of surreal moments that seem all too familiar, it can be frustrating just how obtuse its commentary is, particularly the scattershot Marxist ideological humour. When the film explores economic-based transactional relationships and the (lack of) utility of luxury goods, themes of actual societal power dynamics start to get very radical.
Screening at the 2022 Vancouver International Film Festival as part of the Special Presentation series at The Centre for Performing Arts on Oct. 3 & 9.
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Triangle of Sadness / Ruben Östlund / Sweden, Germany, France & UK / 2022
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SANS FILTRE - Ruben Östlund, déjà lauréat d’une palme d’or à Cannes, se trouve à nouveau récompensé pour avoir brossé une satire de la superficialité, de la mesquinerie et de la vulgarité de la classe dite dominante.
De son œil acerbe et avec sa caméra qui persiste dans la cruauté d’une crtique radicale et sans aucune pitié, il déshabille et met à nu une bande de privilégiés lors d'une croisière dite de luxe ou l’ennui semble être évidemment le premier invité à bord.
Les situations et des dialogues sont plus ou moins drôles, le casting est talentueux et les plans magnifiquement photographiés, mais le propos reste globalement très mean stream. On ne peut nier que le premier temps de la démonstration est parfait, mais le scénario s’enlise dans un faux comique de répétition très scatologique, transformant la subtilité de l’angle critique en une focale souvent grotesque.
Si le film réussit à être assez divertissant malgré un rythme lent, la réflexion reste en définitive bien limitée: le monde moderne, marqué par la concurrence des apparences, elle même soumise à l’impératif de la course à toutes les consommations possibles, est un monde de "merde" (le mot est dit, répété, et largement montré).
Östlund montre alors que dans une telle configuration de valorisation de soi, et du sens que l’on peut donner à son existence, la prostitution reste la solution “idéale”, et devient de ce fait complètement banalisée comme moyen de survie.
NOTE 10/20 - L’idée est bonne, l’image souvent virtuose, quelques moments drôles, d’autres particulièrement bien sentis; beaucoup de moments de gênants, c’est la marque de fabrique de Östlund, un film qui au final n’a pas grand chose de passionnant, pourquoi?
Too much, trop vu, pas assez équilibré, certainement pas suffisamment drôle pour tant de dégueulis et de sheet...
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les très riches heurts de Ruben Östlund
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