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#Marianne Clouzot
notbeingnoticed · 2 years
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Marianne Clouzot
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lesbianarthistory · 2 years
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Marianne Clouzot – Under the Fig Tree (n.d.)
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weirdlandtv · 2 years
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Artist/illustrator, Marianne Clouzot (1908-2007). Hard to find high quality images unfortunately.
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oldbooklover · 5 years
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marianne clouzot’s illustration for clara d'ellebeuse, almaide d'etremont, pomme d'anis by francis jammes, 1942
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brieucgwalder · 4 years
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Picasso-Trotsky, the unlikely connection
Picasso-Trotsky, the unlikely connection
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Leon Trotsky, aka Lev Davidovitch Bronstein (above) and Pablo Ruiz Picasso (below) never met. One was born in Russia and assassinated in Mexico in 1940. The other, born in Spain, spent most of his adult life in France, where he died in 1973. They never met, yet there is an uncanny connection.
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Picasso by Dora Maar. c.1940.
Trotsky was born in Russia in 1879. He is better known as the founder of…
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3fiji · 2 years
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Under the Fig Tree by Marianne Clouzot
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lesalbumsroses · 6 years
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LA RONDE DES SAISONS
auteur non précisé
Illustrations de Marianne Clouzot
96/350
Edition originale d'Octobre 1954 avec 28 pages.
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SONG #19 : Marianne OSWALD - En m’en foutant Mettez ça sur le compte de mon « régionalisme » ou de mon goût pour les « outsiders » : je n’en ai rien à foutre d’Édith Piaf. Je n’ai d’yeux que pour Marianne Oswald, grande dame de Sarreguemines. En son temps, elle avait conquis les cœurs d’Henri-Georges Clouzot, Jean Cocteau et Jacques Prévert, qui lui offriront des vers. Elle est de ces chanteuses dites « réalistes », mais elle a ce truc en plus. L’accent, ok. Mais bien au delà, un tempérament et ce goût de la liberté que j’admire par dessus tout. Son œuvre entière est à (re)visiter. Et faites bien ce que vous voulez de mes conseils : je traverse désormais la vie « en m’en foutant ».
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Lot 36. Émile ZOLA, plusieurs œuvres :
— La Terre, éd. François Bernouard, Paris, 1929. — L’Assommoir (deux tomes), éd. Albert Guillot, Paris. Belles illustrations en couleur de Raoul Serres. Exemplaires numérotés sur vélin. — Le Rêve, éd. Albert Guillot, Paris. Belles illustrations de Marianne Clouzot. Exemplaire numéroté sur vélin. — Germinal, éd. Edmond Charlot, Paris, 1946. Belle gravure. Exemplaire numéroté sur vélin satiné.
Cinq vol. In-8, reliés demi cuir cognac, dos à cinq nerfs, pièces de titres appliquées.
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lociincerti · 7 years
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La Trahison des Images
L’émission “à vos pinceaux !”, faute d’audience, passe de France 2 à France 4. Elle présente un télécrochet, un concours entre 10 candidats, peintres plus ou moins amateurs, qui “s’affrontent” autour de thèmes imposés face à deux arbitres : un professeur-conférencier et le directeur de rédaction de Beaux-arts magazine. Le tout “animé” par l’improbable Marianne James, qui rejette la faute sur la chaîne, supportée en cela par des spectateurs qui, dans leur majorité (lorsqu’ils s’expriment sur internet), louent la qualité du programme, tout à la fois novateur, original, éducatif et passionnant. 
Sauf que cette émission est mauvaise et mal conçue.
Quelques éléments de réponse.
1) Le concept d’émission : il reprend évidemment tous les concours du genre. Mais ce genre est loin d’être aussi contraignant qu’on l’imagine, les émissions qui sortent du lot ne se démarquent pas en raison de leur sujet, mais de ce qu’ils parviennent à apporter à côté. Ce plus est nécessaire quand le téléspectateur est tout aussi apte à juger du résultat que les membres du jury. Ink Master repose sur les conflits de personnalité, les inimitiés, les coups bas et seulement en second lieu sur le tatouage. Le processus de recherche, les discussions avec le client, les difficultés sont bien montrées et le jury clair sur ce qu’il attend et les raisons pour lesquelles un tatouage est mauvais. Mais sans le “drama”, l’émission serait certainement moins efficace ; c’est le centre même de l’émission, ce que n’hésite pas à dire le présentateur quand un candidat se plaint trop de l’attitude de ses concurrents. Face Off au contraire mise sur l’entraide et sur la présence d’invités prestigieux, ayant travaillé sur des films populaires. Il est intéressant ainsi de découvrir un peu l’envers du décors. En France, ce qui marche le mieux ce sont les concours de cuisine. Des programmes qui sont loin de toujours mettre la cuisine en avant, malgré les conseils de cuisine qui émaillent les émissions. Dans ces émissions, tout repose sur la suggestion : le jury est seul à goûter, seul apte donc à juger. Le téléspectateur est renvoyé à son désir face aux plats qui “donnent envie”, qui sont beaux. Les jury doivent alors imposer leurs décision par leur compétence : compétence à reconnaître les ingrédients au goût, à reconnaître, par l’aspect, le goût, ce qui n’a pas été réussi et commenter toujours ce qui est fait, ce qu’ils ressentent. Pourquoi ça ne marche pas : Ici, comme le résultat est visuel, le téléspectateur n’a pas à se reposer sur l’expertise du jury. Il juge d’égal à égal, sauf qu’il n’a pas part au jugement. Cela aurait peut-être permis de compenser les défauts de l’émission : comme les concours de cuisine, la peinture, l’acte de peindre n’est pas tellement montré. L’émission mise si peu sur la peinture que l’objet principal semble être les lieux dans lesquels les candidats sont transportés : cirque, bateau-mouche, à Saint-Malo, etc. Elle mise si peu sur la peinture que la présentatrice n’a rien à voir avec ce monde et qu’elle manque étrangement de panache. Les candidats n’ont pas assez d’espace pour exister indépendamment de leurs tableaux, ce qui interdit toute dramaturgie autre que celle du concours (hésitations-efforts-déceptions-éliminations-surprises) et ils n’ont, globalement, peut-être pas assez de talent pour exister réellement par ce dernier. Les présentations de tableaux de peintres reconnus pourraient être un plus appréciable, si on n’était pas contraint de subir un sous d’Art d’Art qui peine à convaincre et manque de tout. Pourquoi ne pas s’être inspiré de Palettes, la formidable émission d’Arte, pour éventuellement axer pour de bon les émissions sur des exercices d’imitation, de réinterprétation ou des jeux autour de grands tableaux (quitte à rendre les épreuves vraiment pop et divertissantes pour tempérer le sérieux des explications), ce que tout artiste fait à un moment donné de sa carrière?  2) L’idée de peinture: Le concours de peinture rappellerait presque les salons de peinture du XIXe siècle, à ceci près qu’alors, l’académisme était la seule manière de peindre, on demandait de l’exactitude, tant dans le dessin que dans la touche légère de peinture. Il s’agissait moins d’expression que de rigueur dans l’exécution. Mais la conception de l’art a changé avec les avant-gardes et les critères sont plus flottants, à défaut d’être inexistants. L’idée d’expression, la création d’un langage propre sont mises en avant. Les séries permettent de développer une idée, de mener à bien une recherche picturale ou d’épuiser un sujet. C’est ce qui fait l’intérêt et la valeur d’une peinture. Rien de tel ici pourtant, où nous flottons dans un entre-deux, entre recherche de nouveauté, de personnalité et de surprises (rejet du déjà-vu, tout de suite inefficace) et simples exercices académiques. Où l’on ne sait pas si les arbitres jugent en fonction de leur goût ou de critères esthétiques qui ne sont pas manifestes (rejet du trait, de l’illustration) : si le candidat qui travaille beaucoup au trait ne correspond pas à ce qui est recherché, pourquoi l’avoir pris en premier lieu ? S’il a développé un langage propre, bien que convenu, pourquoi ne pas l’inviter à s’y tenir tout en le faisant évoluer au gré des contraintes, comme ferait tout artiste ? Au lieu de ça, il semble y avoir volonté de prendre des peintres amateurs et de les gauchir dans un cadre dont ils ignorent la forme. Ce que Le meilleur pâtissier fait, dans les épreuves de Mercotte avec plus d’honnêteté et de transparence, afin de tester l’adaptabilité des candidats et nous faire rire de leur déroute d’abord, de leurs désastres ensuite. Là, le fait de ne pas assumer ces critères interdit d’en faire un élément de dramaturgie qui aurait rajouté un enjeu, mais aurait aussi exigé de trouver des peintres au style très affirmés et à la démarche bien avancée. Il manque donc d’abord un vrai concept d’émission, puis une conception claire de la peinture. Ce vide est désastreux pour l’émission car c’est lui qui autorise à dire que le prochain Picasso pourrait éventuellement en sortir.
3) La peinture à l'écran Picasso participerait-il, s’il vivait aujourd’hui, à un concours télé de peinture ? Il faut répondre non. Imposer une peinture in situ ne va pas de soi. Il offre plus de diversité au téléspectateur, mais l’effet est purement artificiel. Lorsque Picasso se laisse filmer par Henri Georges Clouzot, c’est dans l’atelier : la peinture est au coeur du film. De plus, il était un travailleur insatiable, peignant des journées entières, essayant sans relâche. Ce n’est pas un tableau qu’il fait, c’est une idée, une forme, un défi qu’il poursuit de tableau en tableau jusqu’à être satisfait. On ne juge pas sur une pièce, même les concours, ordinairement, demandent à ce que soient présentées plusieurs oeuvres. De plus, un tableau ne peut pas être réduit à quelques heures de travail. Picasso accomplissait aussi bien des chefs-d’oeuvres en quelques minutes (couverture du premier numéro de la revue Minotaure) ou en plusieurs semaines. Et cela n’a rien à voir avec les dimensions des oeuvres, mais avec la progression d’une démarche, qui exige une continuité et un lien dans les oeuvres qui se succèdent. C’est dire qu’ici on a une trahison du but annoncé (annoncé certes uniquement pour faire monter la sauce) mais on laisse l’idée aussi qu’un peintre accompli ne rate pas. Que chaque tableau est un chef-d’oeuvre. Et là on tombe dans le stupide, l’inepte, le consommable télévisuel. Disant tout cela, le jugement approbateur par excellence de cette émission : “avec ce tableau tu as fait des progrès” ne peut que déranger. Cela ne peut qu’être entendu de deux manières : “tu corresponds plus à ce que l’on attend”, mais alors, point de progrès mais une contorsion. “Par chance, ta peinture me plaît”. Mais alors, point de progrès. Aucune unité n’est cherchée dans les trois épreuves qui rythment l’émission, on reproche aux candidats de s’accrocher à ce qu’ils savent faire, rien de l’acte de peindre n’est vraiment montré ni de ce que c’est qu’un travail de peintre. Et c’est cela le pire.
Il aurait été plus intéressant de prendre des artistes avec une démarche, un style bien définis, de les faire concourir en leur demandant de s’y tenir tout en l’adaptant à des univers de création différents du leur, de s’adapter sans se trahir dans le vain espoir de gagner. Trouver des artistes suffisamment proches les uns des autres, acceptant de se prêter au jeu, n’aurait pas dû être bien difficile pour le directeur de rédaction de Beaux-arts Magazine. Cela aurait pu ensuite montrer comment travaillent des artistes, en insistant sur leur démarche, l’élaboration des oeuvres et leur réalisation, en suivant la main. Cela aurait offert en plus et la diversité des situations, des lieux nécessaire à ce type d’émission et l’élément de continuité imposé par la nature de l’objet mis ici en avant. Cela, évidemment, aurait offert une exposition finale certainement plus intéressante au Petit Palais ...
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oldbooklover · 5 years
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marianne clouzot’s illustration for clara d'ellebeuse, almaide d'etremont, pomme d'anis by francis jammes, 1942
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lesalbumsroses · 6 years
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POUCETTE
H.C. ANDERSEN
Illustrations de Marianne Clouzot
83/350
Edition originale de Mai 1954 avec 28 pages.
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