Tumgik
ventingpoem · 4 months
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A l'initial,
Tu étais génial,
"Tu es spécial"
Il te déposa sur son piédestal,
Il t'aimait, t'écoutait
T'enlaçait, te respectait,
Suis quelques déboires de son côté,
C'est pas grave c'est humain,
Alors tu continues de pardonner,
A force de mots bien maniés
Tu te dis que le problème de toi il vient,
Puis est venu le jour où tu deviens Vaurien,
Moins que rien,
Rien de toi n'est bien,
Q'une bonne à rien,
Tu te sens volé,
Cet amour qui te faisait voler,
Où s'en est il allé ?
Des fois il revient,
Tu te sens réconfortée,
Il ambrasse la plaie qu'il a causé,
Ça fait tellement de bien d'être aimé,
Tu ferais tout pour le conserver,
cet amour surjoué.
Mais quand il s'en va c'est un cauchemar éveillé,
C'est une douleurs à hurler,
Mais tu ne dis rien.
Et aujourd'hui est le jour où tu redeviens Vaurien,
Bonne à rien,
Qui se contente d'un rien,
Rien est assez, pour une moins que rien.
Mais de toute façon tu n'as plus envie de rien.
Si tu pouvais signer la fin de tes propres mains,
Tu saignerai ce destin,
Qui n'as fait que de te détruire.
Tu voudrais t'enfuir,
Pour aller où et puis faire quoi ?
Quoi reconstruire ?
Avoir foi,
Mais en quoi ?
Pour toi elle est sans issue cette voie,
Plongeant la tienne dans le silence.
Moi qui eu été la bonne à rien,
La tarée qui fabulais et ne comprenait rien,
Veut croire que dans nos destins,
Se cache peut être quelques choses de bien,
Que ce combats n'est pas vain,
Il paraît que l'univers est né dans le rien,
Alors enfuis toi, laisse le partir, laisse toi partir de sa vie,
C'est si douloureux, c'est comme mourir,
Mais c'est moins pire que ce que l'on a du vivre.
Ces deux dernières années,
Auront anéanti tout ce que j'étais,
Être arraché de toute dignité,
Déshumanisé, désanimalisé, désacralisé,
Juste exister pour exister.
Mais le diable s'en est allé,
Il m'a dit qu'un jour il reviendrait,
C'était pour la Vaurien,
Un cadeau de Valentin.
De sa bouche un hameçon lancé,
Dans mes oreilles une chance de me sauver.
Ce présent qui devait être un autre coup de poing,
A signé la fin,
La fin d'un long et difficile cycle malsain.
Merci pour ce cadeau Valentin.
Je me suis écroulée
Et vais continuer de m'effondrer,
La douleur vas être dur à supporter,
Ça va être à en crever,
Mais arrivera le jour où je renaitrai et respirerai enfin.
Alors accueillons le vide de ces absents,
Laissons enfin l'univers surgir de ce néant.
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ventingpoem · 1 year
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Pour survivre je vais devoir respirer,
Si vous voulez voir la distraction continuer,
Va falloir calmer les remous et me laisser un peu émerger,
A autant couler je vais finir noyer.
Si la punition est bien mérité,
Dites quelle a été la nécrose que j'incarnais ?
Le sel sur la plaie ne fait que brûler,
Mais rien ne s'est cicatriser,
Je voudrais bien respirer,
J'ai le coeur qui va exploser,
Et je ne sais pas nager.
Ma vie est un château de carte près à s'effondrer au moindre souffle,
Il est coupé et pourtant c'est à pique que je coule.
19:14 tout s'était déjà arrêté,
Mais je voulais essayer,
Essayée de nager jusqu'à l'arrivée,
Malheureusement tout est tombé à l'eau,
Et je n'arrive pas à suivre le flot.
A 20:16 j'ai tenté de tout arrêter,
Mais la vie à voulu m'essayer,
Malheureusement je n'atteindrai pas la ligne d'arrivé,
J'ai le mal de mer,
je suis épuisée de ces nausées,
J'ai le souffle coupé, le cœur au bord d'exploser, et les muscles m'ont lâché.
Je suis épuisée,
Je suis épuisée.
Je n'arrive plus à avancer.
Il était pourtant 20:16,
Il était pourtant 20:16
Mais il est 23,
Et je suis encore là.
J'ai le mal de mer.
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ventingpoem · 2 years
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Le temps au temps
Cette nuit il a fait froid,
Me souvenant que tu n'étais plus là,
Le temps, le temps n'a pas fait son travail,
Tu as soufflés sur un coeur de paille,
Je n'ai pas tenus sous ta tempête,
Et me voilà défaite,
Sous chacun de tes silences je tressaille.
Laisser le temps au temps,
Mais c'est gelée,
Je voudrais y jeter mon sel,
Pour panser les plaies,
Ne plus glisser et me blesser.
Respirer de temps en temps,
Sans ton écho perpétuel,
Ramener par tes forts vents,
Qui me rappelle que la vie n'est que cruelle.
Je veux un rayon de soleil,
Qui fera fondre la glace,
Et me laissera la place,
"D'être ou ne pas être",
Selon mes longs éveils.
Je ne suis pas une belle au bois dormant,
Je saurai me sortir de ces sommeils,
Sous les clics du temps,
Car il n'y a pas de "trop vieille",
Même si ma vie reste en veille.
Laisser le temps au temps,
Même si frigorifiée.
J'hibernerai pour patienter,
Mais loin de ton souffle glacé.
Je saurais me réchauffer.
Je laisse alors le temps au temps.
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ventingpoem · 4 years
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Mois d'été.
Ô Juillet,
Toi qui dès mes premières heures m'a bercé,
Mes astres son guidés par la chaleur de l'été,
Mais ton soleil m'a toujours brûlé,
Je n'ai jamais su l'aimer.
Ô Juillet,
Toi qui m'a mit dans les bras d'une étrange destiné,
Levant mes yeux d'enfant face à la folie et stupidité,
Pour n'être le fruit que d'une mauvaise rentabilité,
Devenant le fruit de ma haine trop ancrée.
Ô Juillet,
Je t'en veux toujours d'avoir accepté,
La venue de l'insouciance et la naïveté,
Dans le nid de l'irresponsabilité,
Où seuls cruauté et lâcheté sont couronnés.
Ô Juillet,
Je ne peux souffler la bougie de ton ciel,
La détresse de mon souffle si court est telle,
Que pour ne plus voir ton étoile briller,
Je garderai mon regard sur elle,
Et peut-être dans le noir la mienne je la verrai.
Ô Juillet,
Je n'aime chez toi que tes nuits étoilés,
Tes journées me font suffoquer,
Et leurs vagues m'ont noyés,
Je ne vis à présent que sous ta voie lactée,
Guidé par les lumières du passé.
Ô Juillet,
Entends-tu la complainte,
De l'immature gamine,
Étranglée par de trop faibles racines,
Paralysée par cette étreinte,
Elle ne te demande que de l'a récupérer.
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ventingpoem · 4 years
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Mélancolie.
J'ai vu un ciel rosé,
Qui d'étoiles était décoré,
Brillants même la journée,
Et recouvert légèrement,
De nuages blancs,
Sous le soleil vibrants.
Et j'en viens à me demander,
Quand est-ce que je vais m'en aller ?
J'ai vu une terre,
Qui reunissait la grandeur de l'univers,
Habillée d'un modeste vert,
Mais coupant mon air,
Face à la beauté d'une de ses simple poussière.
Et j'en viens à me demander,
Quand est-ce que je vais m'en aller ?
J'ai vu un animal au loin marcher ,
Qui dans ses yeux ce trouvait,
Une amour et bonté,
Que ne pourrai réunir toute l'humanité.
Et j'en viens à me demander,
Quand est-ce que je vais m'en aller ?
Dans ce mirage,
Apparut un visage,
Qui sans mot me disais,
Que je devais continuer,
Et je lui répondais,
"Pourquoi continuer,
Si je sais déjà que je vais échouer.
J'en viens à me demander,
quand est-ce que je vais m'en aller ?"
Un inconnu alors à mes côté,
Avec qui sans ailes nous nous sommes envolés,
Chaques élévations,
Ce faisait au rythme d'une douce chanson,
Plus hauts nos voix s'élevaient,
Et plus haut on s'envolait,
Vers ce ciel magnifiquement décoré,
Où l'amour n'était compté.
Et j'en suis venue à me demander,
Et si peut être j'allais y arriver ?
Et j'en viens à me demander,
Si peut être la vie n'étaient pas simplement cachés ?
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ventingpoem · 4 years
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I miss the winter.
The delicacy of the snow.
The beauty of it, hidden secrets of earth.
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ventingpoem · 4 years
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Mon arbre.
Un jour tu m'avais demandé si,
Sans être jalouse, mais si des fois,
L'envie était présente quand j'étais ici,
De voir une bague à vos doigts.
J'ai simplement répondu non,
Mais je n'ai pu tout dire,
D'un manque d'amant ne née pas mon envie et désir,
Mais mon cœur envie pire,
Mon cœur envie une inaccessible affection.
J'envie vos tempêtes,
Et vos rayons de soleil,
J'envie ses tonnerres qui des fois vous réveil,
Mais ne vous rendent jamais muette.
J'envie vos ambrassades,
Qui sont doux été,
J'envie votre ciel bleu et ces quelques nuages qui s'y baladent,
Et la sensation d'être au soir apaisé.
J'envie votre grand arbre planté,
Et ses racines si bien ancrées,
J'envie la pluie, la neige et le soleil qui viennent le décorer et le nourrir.
Les fruits si beaux continuent de mûrir.
Ce n'est de la jalousie,
Car à la vu de votre jardin mon cœur se remplit,
Même si je mentirais,
Si je disais,
Que dans mon cœur ne se cache de la colère,
Face aux êtres omniscients qui se trouvent au delà de notre univers.
J'en veux à leur colombe qui s'est trompée de chemin,
Et qui m'a mit dans de mauvaise mains.
Ils m'ont déposée sur un arbre,
Qui est bien trop macabre.
L'écorce a été mutilé, arraché
Et sa résine est un poison qui n'a de cesse de s'écouler.
Cette arbre doit être abattu,
Et brûlé à la racine,
Ses épines sont trop pointues,
Et je suis assourdi par leur doctrine.
Et ses fruits,
Sont beaucoup trop pourris.
Mon jardin est sombre, froid et sans couleur,
Et ne tombe du ciel que d'éternel cendres,
Et celle qui m'atteignaient me rendais misandre,
Transformant ces soirs sans fin en torpeur.
La seule lumière du ciel est un brasier,
Qui des fois vient faire rougir ces énormes nuages,
Et a vif je me sens brûler,
La fumée n'a jamais arrêté de m'étouffer,
Et ce depuis mon plus jeune âge.
De misandre je deviens misanthrope,
De voir les dommages aussi portés un pronom féminin,
Ma haine de plus en plus m'enveloppe,
Et dans ce jardin je ne fais plus qu'un.
Le temps s'est figé,
Et ici les ténèbres continuent de régner,
Je m'y suis habituée,
Non pas sans regrets.
Je me nourris de leur seul fruits sucrés,
Bien que ma fièvre de ça continue de grimper.
Et m'hydrate de cette seul source d'eau,
Me donnant de violentes nausées.
Je sais que cet enclos aura ma peau.
Mais cette eau croupie et leur belladones ont leurs beautés,
Ils sauront me délivrer,
Quand sur mon corps ils auront complètement pu faire effet.
Mais tel une mauvaise herbe je tiens bien,
Sur le plan métaphysique je ne suis plus rien,
Mais mon corps lui sans soucis il se maintient,
Alors qu'il reste inerte, mais je saurai en être son assassin.
Alors oui je t'envie,
Mais pas pour ce que tu crois,
Je rêve d'une vraie famille,
Car je me sens orpheline.
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ventingpoem · 5 years
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Last breath.
Attendant depuis tant d'années,
Une chance de s'en aller, Et d'être en sécurité,
À défaut d'être aimé et protégé. Mais elle était là,
Me tendant les bras,
Mais ne la connaissans pas,
Je l'ai ignoré tant de fois.
Et maintenant chaques jours je me demande pourquoi?
Pourquoi n'ai je pas ignoré les voix,
De ses gens qui refermèrent la vierge de fer sur moi.
Pourtant, les masques plus rien ne cachés,
Dévoilant ce qu'il y avait de plus mauvais,
Dans ses êtres qui ont fait,
Ce qui pour moi devait être un Éden un enfer sur mesure sculpté.
Et elle, elle s'est détournée,
Lassée de mes rejets,
Mais comment faire comprendre à un enfant le dangé,
Qui l'encercle quand il est trop imprégné?
Imprégné par des mensonges répétés,
Imprégné par la malasainité,
Imprégné par de faux rêves qui l'ont bercés,
Imprégné des gens qui l'ont souillés.
A présent toutes les voies se font échos,
Chaque action est mimé,
Chaques aspirations sonnent faux,
Chaques enfants est brisés.
Et maintenant que les années ce sont écoulées,
On me rappelle la chance que j'ai,
De vivre sous un confortable toit,
Mais se toit est un sarcophage pour moi.
Est ce ainsi que va se finir mon histoire?
Où la moral dit de ne pas vivre de ses espoirs?
Où la justice jamais ne pourra triompher,
Face aux crimes tant que le mensonge rassure la majorité?
Dites moi où sont mes rêves?
Ou pourrais je signer la trêve,
Avec la vie qui enfonce de plus en plus son glaive
Avec ce même sourir aux lèvres?
Je veux une rupture de contrat,
Dites à Dieu que je reprendrais plus tard,
Je veux des vacances sans mauvais temps cette fois,
Un voyage allé simple loin de tout ca.
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ventingpoem · 5 years
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Ma Ciguë.
Paralysé, Tu ne peux plus avancer, Quelque chose s'est brisé, Mais tu ne sais ce que c'est.
Chaques âmes croisées sur ton chemin, Te laisse démoli dans un coin, Tu es un aimant à leurs venins, A présent tu regarde l'amour avec dédain.
Et sous ton arbre quand tu te réfugies, Pensant que d'un peu d'affection tu seras nourri, Tu réalise que touts les fruits sont pourris, Et leurs poisons devient ton agonie.
Malgré tout tu tentes d'être normal, Pour que ta fatigue ne soit fatale, Mais la léthargie s'installe, Et l'espoir se fait la malle.
Pour un nouveau lieu visité, De nouvelles blessures infligées, Trop discordant pour qu'ils te laissent respirer, Tu décides donc de t'enfermer.
Ton plafond est devenu ton ciel, Ton lit, un lieu mémoriel, Tes draps, un refuges émotionnels, La solitude devient ta citadelle.
Il n'y a rien pour toi ici, Tu n'as jamais rien accompli, Et à présent tu te sens trop enseveli, Pour pouvoir essayer de réécrire ta vie.
Tu vis livide, Tu es si stupide, Les seuls pensées qui maintenant trépident, Ne sont plus que sordides.
À tes lèvres une fleur de Ciguë, À ton existence tu veux te déraciner, Mais à cette terre tu es enchaîné, Avant ton ascension tu as été rattrapé, Tu t'es encore planté.
Tu te trimballe aujourd'hui cette carcasse, Avec un coeur qui chaques jours s'encrasse, Tu sais que tu n'as plus ta place, Mais tu dois attendre que Chronos se lasse, Avant que le repos ne t'embrasse.
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ventingpoem · 5 years
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Là-bas.
Cette nuit, Est si difficile, Bientôt minuit, Et mes reves ne tiennent qu'à un fil.
Ils ne veulent m'enlacer, Me laissant seul avec la réalité, Ont ils compris que plus rien pourra nous sauver? M'ont ils donc aussi abandonnés?
Mes yeux je ne veux pas les fermer, Je n'ose même pas m'allonger, Jusqu'à ce qu'ils reviennent me bercer, J'ai jamais su comment être paisible sans eux à mes côtés.
Alors je reste éveillé, Même épuisé je vous attendrai, Car vous êtes ce don j'ai toujours manqué, Une douce illusion qui m'a toujours sauvé.
Un support que je n'aurais jamais, Un amour qui ne m'a jamais blessé, Un ami avec qui rigoler, Une famille qui n'a jamais cessé d'aimer.
Une personne aux talents cachés, Une personne qui sait aimer, Une personne accepté, Une personne pouvant s'exprimer, Une personne sachant se relever, Tout ce que je ne serai.
Alors pendants des heures, J'efface ma haine et ma peur, Pour laisser place au bonheurs, Laissant parler mon coeur.
Mais quand ce monde s'efface, Je suis comme dans une impasse, Devant faire face, A un monde de glace.
La réalisation que touts ces gens, Que j'ai aimé tellement, Ne seront jamais vraiment présents, Me laisse de plus en plus inexistant.
Ce n'est jamais dans la joie, Que je reviens ici bas, Me noyant dans un étrange karma, Dans lequel je me débat.
Des fois je réalise qu'il est trop tard, Pour gagner la bataille dans ce cauchemar, Cette vie ne se terminera pas dans la gloire, Mon corps n'est plus qu'un mouroir.
C'est dans ce cerveau malade, Que je trouve mes seules parades, À la vie qui détruis mes galéjades, Avec d'interminables tornades.
Enfin les voilà, Me prenant dans leurs bras, Me rassurant de leurs douces voix.
Très loin de ce monde emmenez moi, Dans ce lieu où personne ne me trouvera, Pour que je me perde pour toujours là-bas.
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ventingpoem · 5 years
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Cassandre.
Tu tentes de parler, Priant d'être écoutés, Tes mots sont comme damnés, Tu sais, mais sera toujours ignoré.
Tu vis un cauchemar éveillé, Que tu ne peux stopper, Et ta voix tu ne peux l'élever, Sans que leurs égos ne soient froissés.
Quand ce n'est pas une page tournée, Mais un livre qui va se fermer, Tu essayes de les réveiller, Mais rien ne peut les secouer.
Et si tu oses te répéter, C'est leurs courroux que tu vas rencontrer, Face aux poing d'un ego démesuré, Rien de bon ne née.
Alors quand ta leçon tu l'a assimilé, Cette voix en toi tu cherche à l'étrangler, Mais elle revient toujours te chercher, Mais seulement dans l'espoir de t'aider.
Toujours leurs yeux seront fermés, Et quand t'es mots s'écrivent dans la réalité, Leurs coeurs sont brisés, Et toi tu les blâmes de ne pas t'avoir écouté, Au lieu de les réconforter.
Ils prêchent ton instabilité, Ta vie désordonnée, Pour leurs surdités, Tu sais qu'ils ont raison alors tu te tais.
À présent quand cette voix vient te hanter, C'est que quelques indices parsemées, Que maintenant tu cherche à partager, Sachant que tu ne pourras les résonner.
Déjà plusieurs années, Que tes bras tu les a baissés.
Car l'histoire n'a de cesse de se répéter, Que la vérité vient t'ambrasser, Pour ensuite te bâillonner, Ton monologue tu as beau le cracher, Il sera toujours étouffé.
Tu continues de crier que personne ne veut comprendre, Ils te répondent “il n'y a qu'à toi que tu peux t'en prendre”, Comme Cassandre, Tes mots ne sont que des cendres.
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