Quatrième et ultime étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s il y a un bon mois déjà : ma sœur Dominique et son mari, à Alençon, aux confins de la Normandie et des Pays de Loire.
On passe une journée au Mans. Visite du Carré Plantagenêt, musée d'histoire de la ville
statère gaulois - 1er s. av. J-C
Trésor des Sablons - statère gaulois - 1er s. av. J-C.
idem
aureus de Tibère (origine : Lugdunum) - Le Mans, 20 apr. J-C.
deniers de César (Gaule) + de P. Sepullius Macer (origine : Rome) - Le Mans, 50 av. J-C.
chenets et fac simile de chaudron gaulois - Sarthe, IIème s. av. J-C.
idem
épée et haches - Sarthe, 1500 av. J-C. ;
galet "au Glouton" - Mayenne, magdalénien
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Laocoon: La souffrance d'un prêtre troyen et sa vie après la mort
Le Groupe du Laocoon, exposé au Vatican depuis sa redécouverte en 1506, représente les souffrances du prince et prêtre troyen Laocoon (frère d'Anchise) et de ses jeunes fils Antiphas et Thymbrée et constitue l'une des statues les plus célèbres et les plus fascinantes de l'Antiquité. Dans son Histoire naturelle, Pline l'Ancien affirme que le Groupe du Laocoon, créé par les éminents sculpteurs rhodiens Agésandros, Polydore et Athénodore, "est une œuvre d'art à préférer à toute autre peinture ou statue" (36.37). Parmi les historiens de l'art, le groupe sculptural reçoit un éloge quasi universel depuis sa redécouverte dans des circonstances douteuses en 1506.
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House Sponagel (1967-68) in Riehen, Switzerland, by Max Rasser & Tibère Vadi
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* explosion noises * we're studying the julioclaudian dynasty
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Deux (Filippo Meneghetti, 2019)
Pont Tibère / Pont romain de Sommières
Sommières, Occitania (France)
Bridge over the Vidourle river
Type: arch bridge.
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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"Et Lucain rapporte encore que lorsque César ordonna à ses Légionnaires de couper les arbres de cette forêt, ils refusèrent, impressionnés par la majesté qui se dégageait d’eux. César l’athée, fut obligé de saisir une hache et de porter le premier coup, pour leur montrer qu’il n’y avait aucune vengeance infernale à redouter. Il dut sentir, en accomplissant ce geste qu’il attaquait un ennemi aussi redoutable que les cavaliers de Vercingétorix. C’est alors que commença l’extermination des arbres. Les forêts attaquées par la hache et par le feu sont rapidement détruites. Pour que le pays conquis donnât son maximum de rendement, il fallait des plaines cultivées, des routes nombreuses. Les Gaulois, comme tous les peuples, trouvèrent qu’il y avait avantage à changer une existence primitive, dont la richesse profonde demeure invisible, contre une vie où le bien être apparent, qui s’embellit par la variété des produits, le choix des étoffes, les maisons plus confortables. Ils collaborèrent à détruire les demeures forestières de leurs Dieux. Du pays des Eduens au bord de la Moselle, jusqu’à celui des Aquitains, le long des Pyrénées des feux flambèrent, des feux qui furent allumés pendant un siècle. Les terres qui étaient cultivées au moment de l’arrivée des légions de César suffisaient largement aux besoins des Gaulois. Il fallut que l’étendue de ces terres fut multipliées pour suffire aux exigences des conquérants. Rome, la Rome des gastronomes oisifs, des politiciens ventrus, était comme l’estomac énorme de l’empire et absorbait inlassablement les produits des peuples asservis. Un siècle suffit pour arrêter l’épanouissement végétal de la gaule chevelue. Et déjà sous Tibère, les proconsuls avisés qui tiraient des revenus des forêts autant que des champs, étaient obligés de faire des édits pour empêcher l’excès du déboisement. Mais les grandes forets Gauloises avaient été frappées à mort. Elles étaient comme un homme écartelé, torturé, amputé, auquel il ne reste qu’une partie de ses membres. Les grands troncs lisses avaient descendu les fleuves pour être embarqués à Massilia ou à Fréjus, ils étaient partis vers l’Italie par les routes du sud. En perdant ses forêts, la Gaule dépouillée allait changer d’âme."
Maurice Magre, La Clef des Choses Cachées, 1935.
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Victor HUGO — NOUS.
Nous sommes les proscrits ; nous habitons l’abîme ;
Nous assistons dans l’ombre au vil bonheur d’un crime ;
Nous regardons l’esprit vaincu par l’animal,
Et l’infâme baiser de la fortune au mal ;
Nous voyons des heureux qui sont des misérables ;
Nous parlons entre nous des choses vénérables,
De la liberté morte et du peuple trahi ;
Nous sommes les éclairs du char d’Adonaï ;
Nous jetons des lueurs sur les foules fécondes ;
Notre clarté noyée apparaît sur les ondes,
Disparaît, puis revient, et surnage toujours ;
Un sombre amour remplace en nous tous les amours ;
Nous adorons la France et vivons dans les bagnes.
Ne nous demandez pas d’ébranler les montagnes
Ou de saisir au vol ces noirs alérions,
Le tonnerre, le bruit, le vent, nous l’essaierions !
Nous raillons le forfait qui prétend nous absoudre ;
Nous attendons, avec un grondement de foudre,
Graves, roulant en nous l’anathème rêveur,
Que le droit soit la loi, que Dieu rentre en faveur,
Et que le genre humain ait des moments lucides ;
Nous secouons sur ceux qui sont les parricides
Le noir trousseau de clefs de l’enfer entr’ouvert ;
Pas plus que le sapin ne cesse d’être vert,
Pas plus que le soleil ne renonce au solstice,
Nous n’oublions l’honneur, le droit et la justice ;
En présence du mal que les despotes font
Nous prenons à témoin le firmament profond ;
Nous écrivons avec une plume de bronze ;
Philippe deux, Sylla, Tibère, Louis onze,
Sont là sous notre œil fixe, et tremblent ; les saisons
Passent, que nous importe ! indignés, nous laissons
S’envoler dans les vents des pages redoutées ;
Si l’empereur est Dieu nous sommes des athées ;
À de certains moments, voyant Satan debout,
Nous nous exaspérons au point de nier tout,
Et l’indignation de nos cœurs se hérisse
Jusqu’à mordre parfois notre âme, sa nourrice ;
Mais Dieu permet la plainte au juste qui le sert ;
L’été, quelle que soit l’âpreté du désert,
Nous rêvons, écoutant le chant de la cigale ;
Nous avons des petits ; notre table frugale
Est offerte à quiconque arrive et dit : J’ai faim.
Nous contemplons le ciel, nous attendons la fin ;
Nous murmurons : Viens, toi, Némésis, qui délivres !
Nous écrivons au bord des mers d’austères livres,
Et ce que nous disons, faisons et publions
Ressemble à la colère énorme des lions.
30 novembre.
Victor HUGO - Les Quatre Vents de l’esprit, Texte établi par Gustave Simon, Librairie Ollendorff, 1908, Œuvres complètes de Victor Hugo / Poésie, tome X (p. 229-230).
———————————————
APPERT Eugène (1830-1890). Portrait de Victor Hugo(1802-1885) posant assis dans un fauteuil.
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L’ÉGLISE DE PHILADELPHIE
Lecture proposée : Apocalypse 3. 7-13
La ville
Elle fut fondée comme un centre de culture grecque vers 200 av. J.-C.
Elle est située à environ 50 km au sud de Sardes.
Philadelphie était renommée pour son vin.
Elle comptait une importante population juive.
Détruite par un tremblement de terre en 17 ap. J.-C., elle fut rebâtie par Tibère César.
Le juge se présente : « Je connais tes œuvres. Voici : j’ai mis devant toi une porte ouverte que nul ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n’as pas renié mon nom » (3:8). Voici ce qu’écrit J. Vernon McGee à propos de la description de Christ :
« Christ rappelle aux chrétiens de Philadelphie qu’il est saint ; saint depuis sa naissance (Luc 1:35), saint à sa mort (Actes 2:27), et saint dans l’accomplissement de son sacerdoce céleste présent (Hébreux 7:26). De la même façon, il est vrai (Jean 1:9; 14:6; 15:1). "Vrai" signifie authentique, parfait et complet. Moïse n’a pas donné le vrai pain. Voir Jean 6:32-35. Christ tient aussi la clé de David (Esaïe 22:22). Il s’agit d’une autre clé que celle de la mort et du séjour des morts (1:18). Cette clé évoque son droit à régner comme souverain de l’univers (Luc 1:32). Il s’assiéra sur le trône de David lors du règne de mille ans, mais aujourd’hui, il est souverain » .
L’éloge. L’église de Philadelphie entend Christ lui faire deux des plus beaux compliments qu’une église locale puisse souhaiter.
Tu as publiquement confessé ta foi en l’inspiration de la Parole de Dieu.
Tu as publiquement confessé ta foi en l’incarnation du Fils de Dieu.
Le reproche : aucun n’est formulé.
La recommandation : « Je viens bientôt. Tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne » (3:11).
L’encouragement :
« Voici : j’ai mis devant toi une porte ouverte que nul ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n’as pas renié mon nom » (3:8).
C’est la première des quatre portes mentionnées dans l’Apocalypse :
La porte du service (3:8 ; Actes 14:27; 1Corinthiens 16:9; 2Corinthiens 2:12; Colossiens 4:9).
La porte du cœur humain (Apocalypse 3:20).
La porte de l’enlèvement (4:1).
La porte du retour de Christ (19:11).
Je soumettrai tes ennemis (3:9 ; Philippiens 2:10-11).
Je te garderai à l’heure de la tentation (3:10).
Je ferai de toi une colonne dans le temple de mon Dieu (3:12).
La période ecclésiastique symbolisée par l’église de Philadelphie (1700-1900). Voici quelques-uns des grands hommes de cette période :
Jonathan Edwards (1703-1758), l’un des plus grands théologiens et prédicateurs américains. Son sermon « Les pécheurs entre les mains du Dieu courroucé » est un chef-d’œuvre.
John Wesley (1703-1791), le fondateur de l’Église méthodiste, et l’un des Anglais les plus illustres de tous les temps.
George Whitefield (1714-1770), considéré comme le plus grand prédicateur depuis Simon Pierre. Il contribua à organiser l’Église presbytérienne.
William Carey (1761-1834), missionnaire aux Indes.
Adoniram Judson (1788-1850), missionnaire en Birmanie.
David Livingstone (1813-1873), missionnaire en Afrique.
L. Moody (1837-1899), évangéliste mondialement connu.
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Les foules représentent des maîtres pacifiques quelquefois, comme l’étaient à leurs heures Héliogabale et Tibère ; mais elles ont aussi de furieux caprices. Une civilisation prête à tomber entre leurs mains est à la merci de trop de hasards pour durer bien longtemps.
Si quelque chose pouvait retarder un peu l’heure de l’effondrement, ce serait précisément l’extrême mobilité des opinions et l’indifférence croissante des foules pour toutes les croyances générales.
| Gustave Le Bon | Psychologie des Foules (1895) | Limites de variabilité des croyances |
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Au Louvre-Lens, une expo : “Rome, la Cité et l’Empire” :
- les 2 premières : buste féminin - 50 apr. J-C.
- les 2 suivantes : les skyphos “de Tibère" - Boscoreale, 30 apr. J-C.
- médaillon monétaire, le “Solidus de Constantin" - Sidi Bu Zeid, Lybie, 350 apr. J-C.
- les 2 d’après : Messaline portant Britannicus - Rome, 45 apr. J-C.
- les 2 dernières : statue de Livie - Rome, 15 apr. J-C.
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Légions de Pannonie
Située à l'ouest du Danube, la Pannonie était essentielle à la protection de la frontière orientale de l'Empire romain. Occupée depuis l'an 9 avant notre ère, elle n'acceptait pas l'autorité romaine. La Pannonie et la Dalmatie se révoltèrent en l'an 6 de notre ère, et il faudrait trois ans et un total de onze légions pour que les Romains remportent la victoire en l'an 9 de notre ère. Pour garantir la paix, quatre légions furent affectées à la Pannonie: X Gemina, XIV Gemina, I Adiutrix et II Adiutrix.
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Gartenbad St. Jakob (1953-55) in Basel, Switzerland, by Max Rasser & Tibère Vadi
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WORKS CITED:
Chocolate in the Underworld Space of Death: Cacao
Seeds from an Early Classic Mortuary Cave (Keith M. Prufer and William Jeffrey Hurst)
Chocolate: Cultivation and Culture in pre-Hispanic Mexico
Author(s): Margarita de Orellana, Richard Moszka, Timothy Adès, Valentine Tibère, J.M.
Hoppan, Philippe Nondedeo, Nezahualcóyotl, Nikita Harwich, Nisao Ogata, Quentin Pope,
Fray Toribio de Benavente, Motolinía, Guadalupe M. Santamaría and Daniel Schechter
Source:
Artes de México, No. 103, CHOCOLATE: CULTIVO Y CULTURA DEL MÉXICO
ANTIGUO (SEPTIEMBRE 2011), pp. 65-80
The Power of Chocolate
Author(s): Blake Edgar
Source:
Archaeology, Vol. 63, No. 6 (November/December 2010), pp. 20-25
Published by: Archaeological Institute of America
Tasting Empire: Chocolate and the European
Internalization of Mesoamerican Aesthetics
by MARCY NORTON
CHOCOLATE II: Mysticism and Cultural Blends
Author(s): Margarita de Orellana, Quentin Pope, Sonia Corcuera Mancera, José Luis Trueba
Lara, Jana Schroeder, Laura Esquivel, Jill Derais, Mario Humberto Ruz, Clara Marín, Miguel
León-Portilla, Michelle Suderman, Marta Turok, Mario M. Aliphat Fernández, Laura Caso
Barrera, Sophie D. Coe, Michael D. Coe and Pedro Pitarch
Source:
Artes de México, No. 105, CHOCOLATE II: Mística y Mestizaje (marzo 2012), pp. 73-
96
The Introduction of Chocolate into England: Retailers, Researchers, and Consumers, 1640-
1730
Author(s): Kate Loveman
Source:
Journal of Social History, Vol. 47, No. 1 (Fall 2013), pp. 27-46
Published by: Oxford University Press
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/43306044
Encomienda, African Slavery, and Agriculture in Seventeenth-Century Caracas
Author(s): Robert J. Ferry
Source:
The Hispanic American Historical Review, Vol. 61, No. 4 (Nov., 1981), pp. 609-635
Published by: Duke University Press
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/2514606
Accessed: 12-07-2019 16:34 UTC
The Cacao Economy of the Eighteenth-Century Province of Caracas and the Spanish Cacao
Market
Author(s): Eugenio Pinero
Source:
The Hispanic American Historical Review, Vol. 68, No. 1 (Feb., 1988), pp. 75-100
Published by: Duke University Press
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/2516221
Accessed: 12-07-2019 17:03 UTC
Establishing Cacao Plantation Culture in the Western World - Timothy Walker
The Ghirardelli Story
Author(s): Sidney Lawrence
Source:
California History, Vol. 81, No. 2 (2002), pp. 90-115
Published by: University of California Press in association with the California Historical
Society
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/25177676
The Evolution of Chocolate Manufacturing
Rodney Snyder, Bradley Foliart Olsen, and Laura Pallas Brindle
The Emperors of Chocolate - Inside the Secret World of Hershey and Mars by Joel Glenn Brenner (Random House, 1998)
Bitter Chocolate by Carol Off (The New Press, 2006)
"Cocoa's child labrorers", Whoriskey, Peter; Siegel, Rachel, The Washington Post, June 10 2019
The Harkin-Engel Protocol (Chocolate Manufacturers' Association, 2001)
"Role of Trade Cards in Marketing Chocolate during the Late 19th Century", Virginia Westbrook
"Chocolate at the World's Fairs, 1851-1964", Nicholas Westbrook
Edible Ideologies by Kathleen LeBesco (SUNY 2008)
Cosmopolitan cocoa farmers: refashioning Africa in Divine Chocolate advertisements
Author(s): Kristy Leissle
Source:
Journal of African Cultural Studies, Vol. 24, No. 2 (December 2012), pp. 121-139
Published by: Taylor & Francis, Ltd.
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/42005280
Chocolate Nations: Living and Dying for Cocoa in West Africa by Orla Ryan (Zed Books, 2011)
Cocoa by Kristy Leissle (Polity, 2018)
How Mars Inc., maker of M&Ms, vowed to
make its chocolate green. And failed.
Mufson, Steven . The Washington Post (Online) , Washington, D.C.: WP Company LLC d/b/a The
Washington Post. Oct 29, 2019.
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Deux (Filippo Meneghetti, 2019)
Pont Tibère / Pont romain de Sommières
Sommières, Occitania (France)
Bridge over the Vidourle river
Type: arch bridge.
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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