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#rue du bac
jeanfrancoisrey · 5 months
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Heurtoir de porte Rue du Bac…
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frenchcurious · 1 year
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Station de métro Rue du Bac - Paris 7e. Ligne 12 du métro de Paris. @unealternanteapari. - source PARIS de mes Amours.
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ecoamerica · 2 months
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Watch the 2024 American Climate Leadership Awards for High School Students now: https://youtu.be/5C-bb9PoRLc
The recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by student climate leaders! Join Aishah-Nyeta Brown & Jerome Foster II and be inspired by student climate leaders as we recognize the High School Student finalists. Watch now to find out which student received the $25,000 grand prize and top recognition!
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cerescereso · 1 year
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colcatcom · 11 months
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Door Knocker ~ Rue du Bac, Paris
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chic-a-gigot · 3 months
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Le Petit écho de la mode, no. 8, vol. 23, 24 février 1901, Paris. 1. Toilettes d'intérieur. (Création des Magasins du Bon-Marché, rue du Bac, rayon spécial des Peignoirs et Robes d'intérieur.) Toilette de bal (Modèle de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris, Mme Audigier, successeur.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(I.) Robe d’intérieur en zenana ornée d’applications en drop brodé et volants de mousseline de soie.
(II.) Robe en zenana ornée d’applications de mousseline de soie et de guipure; pli Watteau garni de petits rubans comète de velours noir.
(III.) Toilette de bal (Modèle de Mme Audigier, 47, boulevard St-Michel, Paris). Cette ravissante toilette de jeune femme est en tulle point d’esprit à pois en relief. La jupe ronde, plissée à plis lingerie, est garnie de neuf petits volants bordés de comète de satin blanc. De mignons bouquets de roses en mousseline de soie sont semés en application entre les plis lingerie. Le corsage, décolleté en rond, froncé légèrement, est garni d’une berthe brodée en paillettes nacrées; à gauche, chou de tulle blanc et nœud Louis XVI en velours.
(IV.) Robe en satin antique broché ornée d’un col modern style et d’une cascade de mousseline de soie coupée par des entre-deux de Valenciennes.
(V.) Robe Empire en satin Bengale plissée du haut à plis lingerie, recouverte par un boléro en velours miroir corail entouré de guipure.
Envoi du catalogue des peignoirs sur demande affranchie.
(I.) Zenana house dress decorated with embroidered drop applications and silk chiffon ruffles.
(II.) Zenana dress decorated with silk chiffon and guipure applications; Watteau pleat trimmed with small comet ribbons of black velvet.
(III.) Ball gown (Model of Mme Audigier, 47, boulevard St-Michel, Paris). This lovely young woman's ensemble is made from point d'esprit tulle with polka dots in relief. The round skirt, pleated with lingerie pleats, is trimmed with nine small ruffles edged with white satin comets. Cute bouquets of chiffon roses are strewn between the lingerie folds. The bodice, round neckline, slightly gathered, is trimmed with a berthe embroidered in pearly sequins; on the left, white tulle and Louis XVI velvet bow.
(IV.) Dress in antique brocade satin adorned with a modern style collar and a cascade of silk muslin cut with Valenciennes interlaces.
(V.) Empire dress in Bengal satin pleated from the lingerie pleated top, covered by a coral mirror velvet bolero surrounded by guipure.
Sending the bathrobe catalog on request, prepaid.
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ecoamerica · 2 months
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Watch the American Climate Leadership Awards 2024 now: https://youtu.be/bWiW4Rp8vF0?feature=shared
The American Climate Leadership Awards 2024 broadcast recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by active climate leaders. Watch to find out which finalist received the $50,000 grand prize! Hosted by Vanessa Hauc and featuring Bill McKibben and Katharine Hayhoe!
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claireonacloud · 2 years
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My dad’s drawing of me drawing 😍 (at Rue du Bac) https://www.instagram.com/p/Cf-nc2dDH90/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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ernestinee · 8 months
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Mon voisin c'est un grand type avec une grande baraque (le terrain fait presque 1km de long sur un bon 100m de large, un grand chien (dogue allemand), une grande famille (4 garçons de 8 à 14 ans). Il est fou de travaux. Il aime le chantier, les machines, les tracteurs, les grues, il sort une machine pour le moindre truc qu'il fait chez lui. Il est prof dans l'enseignement technique pour je ne sais quel emploi mais il a accès aux machines tant qu'il veut.
Il a fait une plage pour ses gamins. Pas un bac à sable, une plage, avec un camion benne qui est rentré dans son jardin par l'immense portail et qui a déversé des tonnes de sable. Les enfants n'ont pas une balançoire, ils ont un triple module qui communique avec une cabane dans un arbre immense. Ils n'y sont jamais, et la plage sert de bac à crottes à l'immense chien.
Il n'a probablement pas eu l'enfance qu'il désirait et il veut mettre ses enfants à l'abri des frustrations, ce n'est ni bien ni mal. C'est leur truc.
Mes voisins sont envahissants. La place qu'ils prennent, le bruit qu'ils font. Les machines quand il y en a. Parler fort sur le chemin avec les autres voisins. Les gamins lorsqu'ils jouent dans leur parc avec leurs quads, leurs potes, les balles de rugby qui volent. J'adore ces gamins, ils sont très polis, le bruit des enfants ne me dérangera jamais. Le bruit de la moto du type, qu'il fait aller fort et longtemps avant de partir de chez lui. Le bruit des graviers quand il utilise l'une de ses trois voitures en faisant des dérapages devant chez lui. Sa façon d'accélérer et de rouler, qu'on entend encore quand il est au bout de la rue.
L'immense chien qui est incroyablement peureux et qui donc aboie sur tout ce qui bouge. Les oiseaux, les poules, les pintades, les oies, son ombre, moi quand je suis dans la maison et que ma fenêtre est ouverte et que je tousse, vide le lave-vaisselle, appelle mon fils, écoute de la musique. Moi quand je vais jongler dans le jardin. Moi quand il fait nuit et qu'il voit ma silhouette monter ou descendre les escaliers derrière le rideau... Etc etc etc ce chien est une plaie et j'ai peur des chiens qui aboient, je n'exagère pas quand je dis que ça m'empêche de me concentrer, d'être sereine, de m'occuper du jardin...
Bref tout ça pour dire qu'en ce moment on fait des gros travaux chez moi et pas chez lui. Il y a des palettes de matériel le long du chemin devant chez moi, la camionnette des types qui bossent reste garée toute la journée devant chez moi et pas devant chez lui.
Du coup, ce matin il a sorti sa voiture avec sa remorque à double essieux, il n'en n'a rien fait, elle est restée garée devant chez lui toute la journée (je ne suis pas sortie de la maison aujourd'hui, j'ai tout vu), et là il vient de la rentrer pour la nuit 🤷‍♀️
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bylagunabay · 1 month
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Guadalupe, Rue du Bac, Lourdes, La Salette, Fatima, Ghiaie of Bonate, Tre Fontane, Akita, Kibeho, Civitavecchia, Medjugorje.
Our Mamy is so lovely.
Yes
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romain8959-blog · 7 months
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pipi au lit à l internat
J’ai toujours adoré faire pipi au lit ,  je sais pas pourquoi, je vais vous raconter surement la fois la plus osée…
Jusqu'à la classe de 3ème, mis a part quelques courts séjours en colonie de vacances, où j’avais été ravi de pouvoir constater que certains de mes petits copains se mouillaient encore allégrement la nuit, ce qui avait sûrement était déterminant dans le besoin moi aussi de le faire aussi, je n’avais jamais réellement quitté le cocon familiale, en tout cas durablement.
Puis vint la seconde. J’avais réussi un concours qui me permettait de rentrer dans une école assez loin de chez moi. Sur le coup je n’étais pas peu fier. Habitant à 400 km de là, naturellement je me suis retrouvé interne, je n’avais jamais connu ça.
Nous dormions dans d’immenses dortoirs qui étaient configuré en boxe individuel, matérialisé par des cloisons qui ne montaient pas jusqu’au plafond et dont la relative intimité était réalisée au moyen de rideaux accroché à une tringle et de 3 cloisons légères.
Cet agencement, une fois le rideau tiré, ménageait une petite zone de relative intimité, ou, même loin de nos parents, on se sentait un peu chez soi. La nuit, fort de cet abri de tranquillité plus imaginaire que réel, moi-même et mes copains du même âge, on pouvait se tripoter un peu la l’abri des regards, si ces petits moments de plaisir intimes n’avaient pas, parfois été trahis par un lit qui grince un peu mêlé au bruissement des draps et parfois un petit gémissement qui échappait à l’un de nos copains.
A cette époque, je ne pouvais plus me livrer à mes petits jeux de pipi au lit, la semaine, impossible, après c’était le week-end, et là, avec les parents sur le dos, très peu… Les premiers mois, la peur du nouveau, les interdits, la méconnaissance des lieux, je n’y pensais même plus, enfin je croyais.
Les couchages étaient fournis par le lycée, c’était à l’époque l’une des rares écoles proposant des bacs techniques hôteliers, et certain de mes copains ne rentraient chez eux que durant les vacances. L’école n’était d’ailleurs pas trop mal étudiée pour ça, il y avait même un lavomatique dans la rue. Et puis doucement, le fait de ne plus pouvoir me faire plaisir et pisser au lit de temps en temps a commencé à me manquer vraiment, surtout que les wc étaient  à l’autre bout du dortoir et qu’il y faisait souvent par très chaud. Mais comment faire. Je n’arrivais pas à trouver l’idée… au jour d’aujourd’hui, je pense que je me serais peut être acheté des couches et que je m’en serait peut être contenté, mais à l’époque, j'y pensais, pas, Le change des draps se faisait par roulement, cycliquement on déposait nos draps au bout de la périodicité prévue, et on en récupérait d’autres. Au début il y avait systématiquement un pion qui s’occupait de ça et très vite le local est resté ouvert, pas grand monde le savait, moi j’avais repéré, si bien qu’un jour je me suis introduit dans cette pièce dans laquelle était posé sur les étagères les couchages.
Et discrètement, j’en suis ressorti avec…2 draps et comble de bonheur, dans le fond d’un rangement il y avait des grands morceaux de caoutchouc et la c’était le bonheur, pourquoi, parce qu’il n’était pas question un seconde que j’abîme le matelas en dessinant un auréole dessus, donc un pipi au lit était impossible, comme ça.
Il y avait bien la possibilité de protéger le lit avec un sac poubelle, c’était la solution de la maison, ça marchait bien, mais gros inconvenant le bruit !
Un sac poubelle ça se froisse et j’aurais sûrement éveillé les soupçons sur moi… mais avec l’alèze que je venais de me dégotter, et puis, s’il y avait une alèze, c’est qu’un jour il y avait eu au moins un pisseur et ça, ça m’excitait  aussi.
Et dans ma tête un plan machiavélique se mettait en place. Je ne suis pas sorti tout de suite avec mes trouvailles, je ne les ai rapatrié que plus tard a un moment ou j’étais sur de ne croiser personne.
Dans l’autre sens je n’avais pas peur, il suffisait de ramener les draps pliés à la buanderie à l’étage en dessous le jour voulu, aucun risque, et au milieu de la pile, si un drap était mouillé, impossible de savoir précisément a qui il était….
Ça y était j’avais trouvé une possibilité.
J’allais pouvoir le faire enfin
quelques soirs plus tard, j’ai discrètement démonté mon lit, j’ai vite positionné l’alèse à la hauteur de mes fesses, je l’ai recouverte de 4 grandes serviettes, style très épaisses, qui absorbent bien, j’ai remis le drap du dessous et celui du dessus, la couverture, le tout bien bordé, et j’étais prêt.
Je ne l’ai pas fait la première nuit, ni même la seconde…
Je savais que le lit était prêt mais paradoxalement, je n’étais plus pressé, non pas que je ne le voulais plus, mais je savais qu’il n’y aurait pas beaucoup de fois, car malgré tous mes calculs je voulais être sur qu’il y avait pas trop de risque.
Je m’étais préparé a tout réfléchissant à ce que j’allais faire du pyjama mouillé, des serviettes de bain, le plus facile, c’était les draps, il suffisait de dire que je les changeais et je les descendais juste avant d’aller au petit déj.
Les affaires mouillées, j’avais décidé que j’irai au lavomatique de la rue de l’école après la classe…
Tout semblait possible, le risque 0 de se faire pincer n’existe pas, mais ça semblait pas irréalisable.
Et de soir en soir je sentais mon plaisir monter graduellement.
Souvent il m’arrivait de m’endormir en me masturbant en imaginant que j’étais en train de pisser dans mon lit au milieu de mes copains, dont j’entendais les respirations de la nuit, et ça m’excitait au plus au point.
Je me préparais à pisser une nuit au lit pour de vrai, comme les petits copains des colos, lorsque j’étais plus jeune, sauf que là, j'étais déjà grand pour faire pipi dans la culotte de pyjama., et chaque jour à ne pas le faire réclamer un peu plus d’énergie. je commençais à rêver que le matin je me réveillais dans mon lit mouillé, pas exprès, de la nuit. Je savais que là ça allait être très fort, d’abord parce que j’en avais monstrueusement envie, ensuite, une fois que je l’aurais fait, comme je ne pourrais rallumer la lumière pour changer mon lit, au risque de me faire voir, il allait falloir que j’attende je petit matin et les premiers rayons de soleil a travers les rideaux pour le faire, donc obligation de rester toute la nuit dans mon pipi. ( a la maison souvent après je mettais tout de suite après le drap à sécher sur le radiateur). Ce pipi au lit, il fallait que ce soit un vrai, je veux dire pas trop calculé, je savais que c’était impossible parce que j’étais propre depuis tout petit, mais il faillait que ça y ressemble en tout cas…
Le soir, j’omettais sciemment d’aller au wc avant de me coucher.
mis à part la première fois, je n'étais jamais resté une nuit dans mon lit mouillé, là, j'allais le faire....
Il m’est arrivé une fois ou 2 de me réveiller avec une super envie vers les 6 heures, mais c’était trop tard, plus le temps, je me disais peut-être demain…et je me retenais jusqu'à heure de se lever.
Une nuit pourtant, je m’étais couché particulièrement énervé par une interrogation sur la chimie particulièrement chiadée qui devait avoir lieu le lendemain, et durant mon premier sommeil j’avais ressassé en boucle des heures de révision qui m’avaient exténuées, et je m’était endormi comme une souche sans avoir eu même besoin de me tripoter avant.
Mais à une heure j’ai été réveillé par un copain qui rêvait dans un boxe plus loin, en plus j’avais envie de pisser…j’avais envie de pipi….et mon cerveau s’est remis en route, envie de pipi… lit protégé….besoin de me calmer pour l’intero de demain….j’ai vérifié avec le plat de mes mains si l’alèse et les serviettes étaient en place… tout était en place.
Et, tu me croiras, si je déplace une virgule, tout ça c’est plus vrai, abruti de sommeil, heureux de savoir que je ne risquais rien, sans aucune préméditation immédiate, j’étais alors sur le dos, les jambes légèrement écartées et… et je me suis laissé aller sans réfléchir. D’habitude je ne peux pas, et quand j’y ai trop pensé avant alors je bande comme un fou, là j’étais tout décontracté et ce qui devait arriver arriva…j’ai senti que je commençais à faire pipi dans ma culotte de pyjama promis, ça s'est passé comme ça !
Et ça y était c’était parti. Et d’un coup je me suis senti léger,  j’avais l’impression de flotter, je sentais le pipi couler dans ma culotte et entre mes fesses et j’étais bien, bien comme je ne l’avais jamais été auparavant, j’avais à l’instant même l’impression de réaliser totalement mon phantasme, je pissais dans mon lit au milieu de mes copains, ça y est je le faisais
, ça y est j'étais petit, c'était la nuit, dehors il y avait du vent, il faisait froid dans le dortoir, il n'y avait pas que moi, je me ferais pas disputé et tant pire moi aussi je pouvais bien faire pipi dans mon lit comme ceux à qui ça arrivait des fois....
, et je laissais aller mon pipi dans la culotte et dans le lit tout doucement......ça y est, je l’avais fait
J’avais les fesses toutes chaudes, le pyjama me collait à la peau, je me sentais trempé…
Avec la main j’ai évalué les dégâts
Oups, je l’avais fait pour de vrai,
De plus je me sentais soulageais, comme quand te viens de faire une énorme envie.
Et j’ai commencé à bander dan mon pyjama mouillé comme il y a fort longtemps que cela ne m’était plus arrivé
Je me suis retourné comme j’aime le faire
Et je j’ai frotté mon sexe sans même ôter le pyjama, contre le drap encore tout chaud de mon pipi et trempé et j’ai senti monter en moi la plus belle éjaculation de l’année, celle qui dure un temps monstrueux, ou tu sens des torrents de sperme traverser à la vitesse de la lumière ton sexe…
A six heures je ne me souvenais plus de cet épisode…
Ma première réaction à été…
-           merde j’ai pissé
Heureusement la suite s’est passé comme je l’avais prévu, et personne n’a vu le drap auréolé de mon pipi de la nuit lorsque je me suis levé et je te promets, il l'était. Je n’en menais pas large quand même.
quand je me suis levé, mon pyjama me collait encore au fesses, c'est pour te dire !
Les mois suivants, il y a eu une autre fois, mais bien moins forte, après ça a été fini les pipis au milieu des copains, j’habitais chez une vieille dame qui me logeait, interdit de jouer à ça, alors j’ai commencé à m’occuper de mes copains d’abord, et des copines aussi…. C’était peut-être mieux…. mais un jour, alors que je faisais un extra de quelques jours avec un copain d'une classe en dessous de la mienne avec qui je m'entendais bien, j'ai eu ma première relation sexuelle avec un garçon
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gamedrot77 · 2 months
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Paris, Rue du Bac
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jeanfrancoisrey · 4 months
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Il fait froid devant le café au carrefour de la rue du bac et de la rue de Grenelle…
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albad · 11 months
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🇫🇷ATTAQUES FASCISTES DANS PLUSIEURS VILLES
En plus d'une répression militarisée, des groupuscules fascistes jouent le rôle d'auxiliaire de police dans plusieurs villes de France contre la révolte. Brigades paramilitaires qui frappent des jeunes. Commandos armés. Attaques à coups de bâtons de manifestations pour Nahel. Et tout cela avec la bienveillance des autorités. Tour d'horizon d'un pays en chute libre.
⚫Lyon : préparation d'attaque armée
Le 2 juillet, une centaine de néo-nazis se sont réunis devant la mairie aux cris de «Bleu-blanc-rouge, la France aux Français», «On est chez nous», avant de défiler dans le vieux Lyon. Sur Twitter, la préfecture dit que ce groupe a «tenté une opération de communication». Une curieuse manière de décrire une descente de fascistes organisés pour frapper des personnes non-blanches.
Plus inquiétant encore, la veille, deux trentenaires d'extrême droite ont été arrêtés en possession d’une arme et de munitions de calibre 12, près d'un hôpital de Bron en banlieue lyonnaise. La voiture était équipée de fausses plaques d’immatriculation et a causé un accident. Ce qui a provoqué leur interpellation. Sur la banquette arrière, un fusil de calibre 12, chargé de trois cartouches, et une boîte de 111 cartouches de calibre 12. La police a aussi trouvé deux fusils et plusieurs boîtes de munitions au domicile du passager. Cet homme était connu pour provocation à la discrimination et dégradations de patrimoine, et interdit de port d’arme. Il a expliqué aux policiers qu’il était question de «se faire des Noirs et des Arabes», en réponse aux émeutes.
⚫Chambery : milice fasciste
Dans la ville de Savoie, des groupes néo-nazis très violents organisent régulièrement des attaques. Le soir du match France-Maroc de la coupe du monde en décembre dernier, ils avaient notamment passé à tabac plusieurs personnes soupçonnées de supporter l'équipe maghrébine. Samedi soir, des militants sont descendus dans les rues en scandant «Français réveille-toi, tu es ici chez toi !»
Le lendemain, des militants d'extrême droite patrouillaient à nouveau dans les rues. Une vidéo les montre marcher au pas, clairement menaçants, dans les rues, alors que la police contrôle une voiture conduite par un jeune non-blanc quelques mètres en arrière. Sur leurs canaux de communications, les fascistes de Chambery se sont vantés «d'affrontements» et d'avoir mis «la racaille au tapis […] les nationalistes plus efficaces que la police». Une vidéo circulait lundi soir montrant en revanche l'un de ces militants d'extrême droite au sol, après avoir été corrigé.
⚫Lorient : brigade paramilitaire
Vendredi 30 juin au soir, une trentaine de jeunes portant des cagoules s'est déployée près de la base navale où stationnent des fusiliers marins et des commandos marines. Ce groupe a attaqué les jeunes soupçonnés de participer aux émeutes, en les plaquant au sol, les menottant avant de les remettre à la police.
«On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés», a expliqué une source policière. Interrogé, un membre du commando raconte tranquillement à la presse : «On se concertait avec la BAC qui nous disait où ne pas aller. Quant aux émeutiers, dès qu’ils nous voyaient, ils couraient. On courait aussi. Si on les attrapait, on leur mettait des Serflex aux mains.»
Un policier reconnaît : «certains d’entre nous ont finalement décidé de les disperser, se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort.» Le commando lui, explique «Nous sommes du bon côté, nous…» sans expliquer qui compose le groupe. Probablement des militaires de la ville.
⚫Angers : reconstitution de ligue dissoute
Vendredi 30 juin au soir, les fascistes du groupuscule l'Alvarium, en principe dissout pour des violences racistes, attaque de la manif d'homme à Nahel. «Sales noirs, sales singes, on va vous buter», a lancé un militant d’extrême droite. Le groupe d'extrême droite porte alors des barres de fer, des matraques et des battes de base-ball. Des personnes sont passées à tabac, par des fascistes à visage découvert, certains de leur impunité. La scène est filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. Une des victimes sera transportée au CHU d’Angers. «Seize points de suture et traumatisme crânien».
Le lendemain soir, l'Alvarium organise carrément une soirée dans son local, dans le centre-ville. Une trentaine de fascistes poursuivent en courant des individus, «armés d’un couteau et de bâtons», puis font tirent un fumigènes incandescent.
Des riverains témoins attestent que la police «protège» l’extrême droite. En effet, après cette altercation, la police est allée protéger le local d'extrême droite, où la soirée a pu continuer tranquillement. «Les fachos, ils restent, et les autres, ils partent ?», lançait, samedi soir, un habitant, consterné.
Lundi soir à Angers, de nouveaux affrontements ont eu lieu devant le local de l'Alvarium.
⚫Les fascistes sont le bras armé de l'Etat et de la bourgeoisie.
C'est leur nature même, depuis Mussolini et ses brigades de briseurs de grève dès les années 1920 : ils maintiennent l'ordre. On se souvient qu'en 2016 déjà, des groupes d'extrême droite tentaient de s'en prendre aux manifestations nantaises ou Lyonnaises contre la Loi Travail, ou des attaques fascistes contre les cortèges de Gilets Jaunes en 2018. Pour mater la révolte des banlieues, le gouvernement Macron et sa police travaillent main dans la main avec des milices.
Ce mardi matin sur BFM TV, la porte parole de la gendarmerie était interrogée sur ces agissements : «C'est condamnable ?» demande la journaliste, «ils peuvent se mettre en danger aussi, il faut éviter qu'ils se mettent en danger» répond la militaire. La seule inquiétude des autorités, c'est que les miliciens armés puissent se faire des bobos.
Contre Attaque
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uniqueivresse · 4 months
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Chère mini me,
Respire, pose toi dans un endroit calme. Je vais t'expliquer ce que la vie nous réserve.
Mais avant tout, n'oublie pas, n'oublie jamais qui tu es, avec tes différences, tes décalages, ta gentillesse et ton sourire que personne n'oubliera.
Tu verras et comprendras que la vie est remplie de choix, joie, et déchirements.
Et même lorsque tu ne vois plus le bout, et que tu es essoufflée, n'oublie pas que ce n'est que passager. Parce que tu vis, parce que tu es unique.
Permets moi de te dire que tu traverseras des épreuves, des océans et des montagnes. Tu vas même t'oublier, te détester, te haïr.
Tu passeras par la dépression, par l'anorexie, tu seras même hospitalisée avec une sonde nazo gastrique pendant des semaines car ni ton cœur ni tes jambes ne survivent. Tu vas hurler de douleurs, penser à des idées noires, vouloir tout plaquer et partir loin. Loin de cette vie qui t'a donné tant de méchanceté.
Ta maman, celle qui sera toujours là, aura deux cancers, un ou elle perdra ses cheveux et sa vitalité, et le deuxième où tout était froid, et elle sera allergique au seul remède qui la guérira. Toi, tu prendras son rôle, tu seras à partir de 17 ans une seconde maman dans ce foyer. Tu vas avoir du mal à suivre le rythme, mais tu verras, tu y arriveras. Tu passeras le permis avec un temps record, feras les courses, à manger, aideras ton frère pour les devoirs...
Mais ta vie ne s'arrêtera pas là.
Tu comprendras que l'amour peut être destructeur mais beau quand il n'y a pas de violences. Cet espoir de rencontrer ton prince charmant, un jour tu le rencontreras, tu verras, Dieu le mettra sur ta destinée au bon moment, au bon endroit. Surtout, n'oublie pas que ce n'est pas parce que tu as subi des violences que tu mérites cela. Après 7 ans, tu verras que la vie et l'amour ne font qu'un.
Avec toutes ces épreuves, certains amis vont t'abandonner pour si peu, d'autres que tu rencontreras au coin d'une rue deviendront des amis fidèles et sincères. Surtout crois au temps qui passe car lui seul te montrera qui t'aime réellement.
Quand à ta famille, avec tout ce mélodrame, vous resterez une famille soudée. Chacun de nous grandira avec ses blessures mais surtout on sait que l'on peut compter les uns sur les autres, et quoi d'autre de plus précieux que ça ? Que l'amour d'une famille unie ?
Tu verras, tu avanceras, même avec des troubles de l'attention, tu arriveras à décrocher ton Bac, ton BTS, ton Bachelor, tu iras même jusqu'en Master, toi qui croyais que tout ceci n'était pas fait pour toi car tu es différente. Crois en toi. Crois en tes capacités. A l'heure où je te parle, tu hésiteras même à faire un doctorat ! Ce n'est pas merveilleux ça ? Dis merci à ton cerveau, et surtout à ta fameuse mémoire.
Promis, après la tempête il y a toujours l'arc en ciel.
Tu auras encore d'autres tempêtes à traverser, les décès de certaines personnes, la génétique, mais tu seras forte pour affronter ces obstacles.
Et surtout, tu auras retrouver plus de 8 ans plus tard, ton sourire et l'envie irréprochable de vivre, tout comprendre et tout voir.
Prendras tu cet envol que tu attends depuis si longtemps ?
Donc cher mini me, soit fière de toi et de tout ce que tu as accompli. Même avec une tête énorme, et une hypersensibilité, tu as ta place dans cet univers.
Je t'embrasse avec tendresse cher mini me et merci pour tout.
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elleferrocerium · 5 months
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 11, 17 mars 1862, Paris. Toilettes de mme Vignon Chauvin, 182 rue de Rivoli. Lingerie de la Mon LeBorgne et Henneveu (Ancne Mon Dupont) Rue du Bac, 56. Coiffures par Mr Croisat, 76, r. de Richelieu. Ameublements et Bronzes de la Mon de Commission Générale, 53 rue d'Hauteville. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de toilettes:
Toilette de jeune fille. — Robe en tarlatane blanche. À 10 centimètres du bord de la jupe, deux bouillonnés en tarlatane s'entrelacent, en formant une grecque double. Cette garniture est répétée à 10 centimètres de distance de la première; une deuxième robe en tarlatane, à bords festonnés, recouvre la première, sans être tout à fait aussi longue; le bord'festonné retombe à 6 centimètres environ du bord de la première robe.
Corsage décolleté, garni d'une berthe à grecque double, pareille à celles de la robe; manches très-courtes, composées d'un seul bouillonné. Coiffure: bandeaux-coques, dégageant le front et l'oreille; guirlande diadème en feuillage.
Robe en crêpe blanc. — Le bas de la jupe est garni avec cinq petits volants tuyautés, à larges plis; chacun de ces volants est bordé par deux rangs de ruban de velours zéro, couleur mauve; au-dessus de ces cinq petits volants, qui couvrent un espace de 33 centimètres environ, sont placés trois grands volants en dentelle noire non espacés, une large écharpe en velours mauve, dont les côtés forment une sorte de treillage, est placée sur le côté gauche; un dessin de grecque, exécuté en soie blanche, encadre l'écharpe, qui est terminée par une large frange de chenille.
Corsage décolleté, à draperie recouverte d'un volant de dentelle noire, surmonté d'un ruban de velours mauve, orné d'une grecque. Nœud de corsage et nœuds d'épaules également en velours mauve, terminés par une frange de chenille. Coiffure composée de bandeaux relevés sur des nattes. Diadème et bouquet de chignon, composés de touffes de violettes.
Girl's ensemble. — White tarlatan dress. 10 centimeters from the edge of the skirt, two tarlatan swirls intertwine, forming a double fretboard. This filling is repeated 10 centimeters from the first; a second tarlatan dress, with scalloped edges, covers the first, without being quite as long; the scalloped edge falls about 6 centimeters from the edge of the first robe.
Low-cut bodice, trimmed with a double Grecian band, similar to those of the dress; very short sleeves, composed of a single bubble. Hairstyle: headbands, revealing the forehead and the ear; foliage tiara garland.
White crepe dress. — The bottom of the skirt is trimmed with five small fluted flounces, with wide pleats; each of these ruffles is bordered by two rows of zero velvet ribbon, mauve color; above these five small ruffles, which cover a space of about 33 centimeters, are placed three large unspaced black lace ruffles, a wide mauve velvet scarf, the sides of which form a sort of trellis, is placed on the left side; a Greek design, executed in white silk, frames the scarf, which is finished with a wide fringe of chenille.
Low-cut bodice, with drapery covered with a flounce of black lace, topped with a mauve velvet ribbon, adorned with a Greek key. Bodice bow and shoulder bows also in mauve velvet, finished with a chenille fringe. Hairstyle composed of headbands raised on mats. Tiara and chignon bouquet, composed of tufts of violets.
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