Pendant que les seides du Discours Capitaliste blablatent sur "l’extrême-droite", "l’extrême-gauche", le "complotisme" en confondant "la science" avec le marketing et les simulations informatiques avec la rigueur mathématique, une femme a quelque chose à nous dire.
Certains se souviennent peut-être de Christine Deviers-Joncour, qui fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des affaires étrangères de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé «La putain de la République»…
Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l'État.
Autant dire qu'elle a vu de ses yeux l'envers du décor, la face obscure du monde politique. Elle parle d’expérience.
Devant les horreurs du fascisme à prétexte sanitaire dont la clef de voûte est la vaccination imposée à tous, elle s’est décidée à reprendre la parole :
J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie.
La fête a assez duré !
Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer.
Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau «monarque».
Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici.
Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.
Je les ai vus et j'ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail …
J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.
Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.
Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs !
Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable.
Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.!
Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives...
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ?
Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?
Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !
Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.
Dans notre pays des «Droits de l’Homme» il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.
Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jours dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.
C’est pour quand la découpe façon abattoir ? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !
Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre.
Mais cette société serait-elle encore humaine ?
Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.
Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?
La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette «plandémie covid» en créant la PEUR !
Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir.
Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.
Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.
Il y a urgence car nous marchons vers l’abime !
Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c'est la spiritualité individuelle.
Il n'y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.
Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.
Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre.
Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent...
Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : «Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent»…
Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.
Levons-nous !
(Christine Deviers-Joncour
Via La Convergence universelle)
4 notes
·
View notes
HARRIET MIDDLETON, DOCTORANTE A L’UNIVERSITE DE RENNES 1, AU LABORATOIRE ECOBIO
Retrouvez la semaine d’Harriet ici
Bonjour à tous ! Je m’appelle Harriet MIDDLETON et je suis en première année de thèse, qui est en cotutelle entre l’UMR CNRS 6553 Ecosystèmes – Biodiversité – Evolution (ECOBIO), à l’Université de Rennes 1, en France, et le laboratoire Yergeau, à l’INRS (Institut National de la Recherche Scientifique) de Laval, au Canada.
Mon parcours académique pour en arriver là est assez basique. De ce que je me souviens, j’ai toujours voulu travailler dans la nature et être une « scientifique », bien que j’ai souvent confondu ce terme avec « aventurière » (merci les documentaires animaliers !) ! Après mon bac scientifique, je voulais poursuivre avec des études en biologie. A l’époque, j’étais passionnée par les neurosciences et je me suis inscrite à l’Université de Nantes, où j’ai rejoins la Licence en Sciences de la Vie. Au fur et à mesure du temps et de mes réflexions, mon attrait pour les sciences naturelles et l’écologie ont refait surface. A ce moment là, j’étais dans un parcours Advanced Biology Training et il a fallu choisir sa spécialité de Licence. Toujours avec la (très humble) volonté de sauver le monde, je me suis petit à petit intéressée aux problématiques liées à la sécurité alimentaire et l’agronomie, et donc in fine aux Sciences du Végétal. J’ai alors opté pour la spécialité Sciences du Végétal et de l’Aliment. C’est d’ailleurs en troisième année de Licence que j’ai fait mon premier stage de recherche, au Laboratoire de Biologie et Pathologie Végétales, de Nantes, sur une plante parasite, Phelipanche ramosa, et les mécanismes épigénétiques enclenchés lors de sa germination, ce qui m’a confortée dans ma volonté de continuer en recherche. Puis, j’ai poursuivi mes études avec le Master Ecoproduction, Biovalorisation et Biotechnologies du Végétal, à l’Université de Rouen. En M1, j’ai profité d’une bourse Erasmus pour faire mon stage à l’Université de York, en Angleterre, où j’ai travaillé sur l’impact de certaines pratiques agriculturales sur la diversité de champignons arbusculaires, symbiotiques et essentiels à la majorité des plantes terrestres. Cette expérience a aiguisé mon intérêt pour les questions d’interactions plante-microbes et m’a poussée à faire mon stage de M2 dans des thématiques similaires. En effet, j’ai alors travaillé à l’IRD de Montpellier, dans l’UMR IPME, dans l’équipe ABIP, où j’ai étudié la réponse moléculaire du riz lors de l’interaction avec des bactéries bénéfiques du genre Burkholderia.
Après mon Master, j’ai tout naturellement voulu réaliser mon doctorat sur les problématiques d’interactions plante-microbes. Ainsi, depuis Octobre 2019, je me suis lancée dans un projet de thèse ayant pour objectif de décrypter la communication entre la plante et les microbes présents dans le sol, à travers une molécule toute particulière : les microARNs. Ressemblant à de très petits bouts d’ADN, les microARNs ont pour rôle de réguler l’expression des gènes : ils répriment l’expression d’un gène spécifique, dit « cible ». L’objectif de ma thèse est de comprendre l’implication de ces microARNs dans la communication plante-microbes et dans l’assemblage des communautés microbiennes associées aux racines de la plante. En effet, tout comme nous avons une floppée de microbes présents dans nos intestins, ce que l’on appelle notre microbiote intestinal, les plantes ont un microbiote rhizosphérique, c’est-à-dire un ensemble de microbes présents dans les racines et le sol qui les entourent. Ces microbes (bactéries, champignons, archées, etc…) peuvent être pathogènes, mais une majorité sont bénéfiques, voire essentiels à la survie de la plante. Dans une étude de Liu, et al., 2016, il a été montré que les microARNs de la paroi intestinale étaient transmis et incorporés par les organismes du microbiote intestinal. Ainsi, les microARNs de l’hôte sont capables de réguler l’expression des gènes microbiens. De plus, la composition du microbiote, c’est-à-dire les différentes espèces présentes, est également influencée par les microARNs de l’hôte. Notre hypothèse est que les plantes communiquent, de la même façon, avec leur microbiote rhizosphérique et le modulent selon les conditions environnementales. Par exemple, nous savons que lorsqu’une plante pousse sur un sol pollué, la composition de son microbiote est différente que lorsqu’elle pousse sur un sol sain : les organismes capables de dégrader le polluant en question sont avantagés. Nous suggérons donc l’existence d’un canal de communication bi-directionnel entre la plante et son microbiote rhizosphérique, à travers les microARNs.
Ainsi, les études sur le microbiote des plantes sont essentielles, non seulement pour des questions agronomiques, mais également dans d’autres champs (non, ce n’est pas un jeu de mots), comme la bioremédiation des sols, dont je parlerai prochainement. Sur le papier, mon sujet est très fondamental, mais en réalité, cette recherche pourra être valorisée à travers de nombreuses applications dans la « vraie vie » : optimisation de la dépollution des sols par les plantes, meilleure tolérance aux stress… Au cours de ma semaine de présentation, je détaillerai les étapes successives mises en place pour répondre à nos hypothèses et je vous partagerai mon quotidien au labo! A bientôt !
1 note
·
View note
Noël : cinq idées de cadeaux D.I.Y à mettre sous le sapin
Et si vous fabriquiez vos cadeaux au lieu de les acheter ? Voici cinq idées DIY pour Noël ou un anniversaire. De quoi faire plaisir tout en exprimant sa créativité. Sans trop dépenser, et sans trop polluer.
Magasins bondés, livraisons polluantes, manque d’inspiration… Les traditionnelles courses de Noël n’ont rien d’une sinécure. Et si vous preniez le temps de confectionner vous-mêmes les cadeaux à offrir à vos proches ? We Demain a sélectionné cinq idées DIY (Do It Yourself) aussi amusantes à concevoir qu’à recevoir.
1. Un kit pour se lancer dans le zéro déchet
Vos poubelles débordent ? Évoluer ver le zéro déchet est une bonne façon de soulager la planète, sa santé et son portefeuille. Mais il n’est pas toujours facile de savoir par où commencer.
Pour aider vos proches à se lancer dans l'aventure, prenez le temps de leur confectionner de petits kits personnalisés : une gourde en inox (il existe aujourd'hui des modèles très esthétiques), du shampoing solide, des cotons lavables pour la salle de bains , des pochons à vrac en tissu ou de jolis bocaux en verre côté cuisine … Pour aller plus loin, il est aussi possible d'offrir un atelier pour apprendre à fabriquer ses propres produits ménagers naturels, comme cette lessive écolo à base de lierre. Au passage, vous pouvez aussi leur parler de la toute première formation en ligne sur le zéro déchet, conçue par l’Université des Colibris en collaboration avec Zero Waste France.
2. Un album photo à feuilleter
Les photos s’entassent sur votre portable, tablette ou ordinateur, et saturent la mémoire de nos appareils. Chaque seconde, plus de 2 263 clichés sont mis en ligne sur Facebook ! Pour redonner de la valeur à ces souvenirs tout en faisant plaisir à vos proches, imprimez et assemblez-les dans un album.
Les plus minutieux peuvent fabriquer des albums décorés avec leurs plus belles images (des labos proposent des impressions rapides), et s’initier au scrapbooking. Pour les autres, plusieurs sites proposent de créer des livres de photos en ligne.
3. Un kit de recette maison
On vous demande votre recette de brownie à chaque repas de famille ? Mettez vos talents de cuisinier à profit et réalisez des kits gourmands personnalisés.
Pour cela, il suffit de choisir un bocal coloré ou transparent, puis de le remplir avec les ingrédients secs nécessaires à la préparation (riz, farine, sucre, chocolat, noix…), en respectant bien sûr le dosage. Superposez-les en couches bien nettes pour un joli résultat. De nombreux sites et blogs proposent leurs idées de recettes.
L’heureux élu n’aura plus qu’à les mélanger avec des produits frais pour reproduire cookies, brownies, risotto ou granola maison !
4. Une playlist choisie avec soin
Sur le chemin du travail, sous la douche, dans le train… la musique vous accompagne au quotidien. Cette année encore, vous avez repéré de belles pépites. Et si vous en faisiez profiter vos proches ?
Choisissez vos titres préférés et compilez-les dans une playlist. Un cadeau original pour votre entourage, qui peut aussi s'adapter à ses goûts musicaux… Et si vous chercher l'inspiration, n'hésitez pas à jeter un oeil à notre playlist spécial Noël pour découvrir les morceaux choisis par les membres de la rédaction.
5. Des vêtements ou de la déco personnalisés
Pas besoin d’être un expert en couture pour customiser ses vêtements et accessoires. Internet regorge de tutos pour apprendre à coudre des mots ou dessins sur du tissu. Une idée toute simple mais qui fera son effet : achetez un T-shirt blanc et brodez le nom de la personne ou un message personnalisé avec du fil coloré.
En s’y prenant suffisamment à l’avance (peut-être pour l'année prochaine), vous pouvez aussi vous lancer dans le tricot de bonnets, gants ou écharpes, mais aussi d’objets de décoration. Les mailles peuvent rhabiller des abat-jours ou un dossier de fauteuil pour une ambiance 100 % cosy !
from We Demain, une revue pour changer d'époque https://ift.tt/2Zh00Qs
via IFTTT
0 notes