Tumgik
#primaire ou lycée ?
digi-dol · 1 year
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Question de la semaine !
Entre ta dernière année de primaire et celle de lycée, de laquelle gardes-tu les meilleurs souvenirs ?🌚
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Va falloir attendre pour avoir mon avis perso🥺
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myscoll · 4 months
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MyScol est un Logiciel tout en un pour piloter la gestion quotidienne de votre établissement scolaire. Meilleure solution pour école maternelle, primaire, collège, lycée, enseignement supérieur ou centre de formation privée ou publique.
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0mega-x · 5 months
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Quelqu'un sait ce que c'est le HPI et le HPE ??? Ma mère arrête pas de dire que je le suis comme elle (depuis 1 an) et ma psy veut que j'aille voir la psychologue scolaire parce qu'elle peut me faire diagnostiquer (?) et genre....
Vdm j'ai littéralement fait une dépression au collège parce que je pensais que quelque chose n'allait pas chez moi et je me suis tellement négligée que j'en ai les dents tachées et les cheveux abîmés et une difficulté au niveau de l'hygiène encore aujourd'hui + je suis passée par une période anorexique. Tout ça pour dire à quel point je me suis retrouvée déconnectée de mon corps à cause de ça.
Et ma mère ne m'a rien dit. J'aurais pu me faire aider plus tôt, ou au moins j'aurais pu oser aller vers des espaces pour les gens "comme moi" en ligne. Depuis le collège je me demandais ce que j'avais. Si c'était du TDAH, de l'autisme, n'importe quoi qui aurait pu expliquer pourquoi j'étais comme "ça". Mais pour je ne sais quelle raison, ma mère ne m'a jamais rien dit jusqu'au lycée ou je lui ai demandé si j'étais neurodivergente. Et là elle m'a dit que oui sûrement et que je devais être HP. POURQUOI TU NE ME L'AS PAS DIT PLUS TÔT ?! POURQUOI NE PAS M'AVOIR FAIT AIDÉE ?? J'ÉTAIS CLAIREMENT EN TRAIN DE GALÉRER AU COLLÈGE mais non apparemment pour elle j'étais juste pas compatible avec ceux du collège et le fait que je sois allée dans une section internationale au lycée avec beaucoup de "têtes de classe" m'a sorti de là car il y avait plein de camarades "comme moi".
Des fois ça me fait mal, parce que c'est pas comme si mon mal-être à disparu. Il m'en reste des traces physiquement qui me rend complexée (mes dents, notamment, elles ont des taches blanches (une était déjà là depuis la primaire) qui partent pas même après avoir repris le brossage de dents). Je ne mange plus de la même manière maintenant. Me laver semble toujours être comme quelque chose d'horrible. Pis mentalement la dépression en soi est peut-être partie mais à la place j'ai eu l'anxiété. Donc bon.
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cestmoiquand · 1 year
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Quand tu fais du tinder dans ta ville, et qu'une personne sur 5 tu la connais, soit ancien plan cul, gens du primaire/collège/lycée, pote ,pote de pote, ex de pote ou des gens randoms que tu as déjà rencontré dans ta vie
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rallumons-les-etoiles · 7 months
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Mon parcours de vie : Partie 1
Comment te dire que malgré les embûches je ne regrettes rien , je fais partie comme je te l'ai dis dans ma bio des personnes à l'âme torturée et voici mon histoire :
Je suis née à l'étranger , au Maroc ou j'ai vécu 16 années de ma vie, j'ai vécu une enfance banale, mise à part le divorce de mes parents dont je souffrais , la vie suivait son cours , j'adorais jouer au piano, je faisais des cours de piano à domicile et aussi des spectacles , je faisais aussi de la dance classique et de la dance contemporaine dans une école de dance . J'ai fini mon primaire dans une école marocaine, et j'ai intégré le collège dans un collège francais, compliqué au début , c'était une autre ambiance mais ca me convenait parfaitement au final , en 5ème déja tout était tracé dans ma tête , j'étais une littéraire dans l'âme ; je voulais faire une filière littéraire au lycée ( le lycée francais de Casablanca ) et m'inscrire en école de journalisme par la suite . A ce moment la , je ne m'attendais pas à ce que ma vie bascule...
La suite au prochain post ...
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aurevoirmonty · 1 year
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Monsieur le Président,
Je vous écris de la prison d’Édimbourg, en Grande-Bretagne, où je suis détenu depuis le 10 novembre dernier. Le 8 juin 2023, la justice écossaise se prononcera sur mon extradition que la France réclame afin de me faire purger une peine de prison à laquelle j’ai été condamné en juin 2015.
Quel délit ai-je commis pour qu’on me pourchasse encore après plus de sept ans ? Ai-je braqué une banque, fraudé le fisc massivement, violé ou tué ? Non, j’ai diffusé sur YouTube une vidéo révisionniste — vous diriez : “négationniste” — dans laquelle je dénonçais l’embrigadement politique de la jeunesse au nom du « devoir de mémoire ». J’exposais plus particulièrement les contre-vérités qui lui étaient enseignées à propos d’Auschwitz. Pour cet exposé de moins d’une heure, la justice française m’a infligé un an de prison ferme. J’ai alors fui en Angleterre.
Le révisionnisme n’étant pas un délit au Royaume-Uni, afin d’obtenir mon extradition, les autorités françaises n’ont pas hésité à mentir : elles ont lancé un mandat d’arrêt européen prétendant que j’avais été condamné pour « racisme/xénophobie », un délit qui rend l’extradition automatique. La justice écossaise flairant la manœuvre, Paris a dû lancer un deuxième mandat d’arrêt, en vertu de trois plaintes déposées contre moi, dont une pour « provocation publique à la haine ».
Dans une vidéo diffusée en 2020, j’aurais prêché l’antijudaïsme. Pour l’alléguer, les autorités judiciaires ont extrait 31 secondes d’un exposé de 45 minutes ! Je répondais à un spectateur selon lequel l’extermination des Juifs serait un « mal nécessaire ». Après avoir souligné qu’un « mal nécessaire » était une contradiction morale, j’expliquais pourquoi exterminer les Juifs ne servirait à rien, ceux-ci ne faisant que révéler des dysfonctionnements dont souffriraient nos sociétés et dont nous étions les premiers responsables. Les 31 secondes extraites résument cette opinion : elles ne sauraient constituer un appel à la haine des Juifs.
Le visionnage de toute la vidéo le confirme. Je note d’ailleurs qu’en trente ans de militantisme, je n’avais jamais été poursuivi en vertu de la loi dite “antiraciste”. Pour une raison très simple : je ne suis pas “raciste” dans le sens donné aujourd’hui à ce mot (un “raciste” prônerait la haine raciale). De plus, je me déclare judéo-indifférent. Autrement dit : je n’éprouve ni sympathie ni antipathie pour ce peuple composé — comme tous les peuples — de gens très différents.
Ces poursuites abusives pour « provocation publique à la haine » sont une nouvelle manœuvre tentée par la France qui se démène pour obtenir mon extradition. L’objectif final est de me jeter en prison et de m’y maintenir le plus longtemps possible afin de me réduire au silence.
Quel aveu, Monsieur le Président ! Je ne pouvais espérer, de la part de vos autorités, une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux. En effet, comparons les forces en présence :
d’un côté, la France dotée de multiples musées mémoriaux : le Mémorial de la Shoah à Paris, le Musée de la Déportation à Lyon, le Mémorial de Caen, le Centre de la Mémoire d’Oradour à Oradour-sur-Glane, sans compter les dizaines de « livres de mémoire » à travers tout le pays, auxquels viennent s’ajoutent les programmes scolaires (la Shoah en primaire, au collège et au lycée), les « voyages pédagogiques » au Struthof, à Oradour ou à Auschwitz, les « passeurs de mémoire », les films, les émissions, les livres, les témoins dans les établissements scolaires, car le « devoir de mémoire » bénéficie de milliers de voix — toutes conformes à l’histoire officielle — et d’un financement qui atteint les millions d’euros.
en face de cela, un homme quasiment seul, qui ne dispose d’aucune subvention, seulement des dons venus de son public restreint (deux ou trois milliers de personnes tout au plus) ; qui, pour vivre, donne des cours particuliers ; il diffuse ses travaux à compte d’auteur et vend ses ouvrages au compte-gouttes, car aucun éditeur n’accepte de publier ses recherches ; qui, chassé de toutes les grandes plateformes de partage, publie ses vidéos dans les catacombes d’Internet — à savoir, une chaîne Gab et un blogue aux États-Unis d’Amérique.
Tels sont donc les éléments en présence, que l’on pourrait dépeindre ainsi : face à une immense chorale qui chante à tue-tête accompagnée d’un orchestre assourdissant, un homme seul, muni d’un cône en papier dérisoire en guise de porte-voix. Toutefois, pour les autorités françaises, c’est encore trop : il faut faire taire cet homme seul en le saisissant à tout prix et en le jetant en prison ! Un premier mandat d’arrêt ne suffisant pas, elles en lancent un deuxième après avoir déposé trois plaintes supplémentaires. Oui, vraiment, je ne pouvais espérer une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux.
Vous alléguerez sans doute, Monsieur le Président, que la répression à mon encontre a une tout autre cause : mes thèses, direz-vous, offensent les victimes et peuvent conduire certains éléments fragiles de la population à perpétrer des actes “racistes”. Je répondrai que c’est faux, pour deux raisons.
Je n’ai jamais nié l’effroyable tragédie vécue par les gens présents à Oradour-sur-Glane le samedi 10 juin 1944. Je n’ai jamais nié le drame que fut la déportation précipitée, en pleine guerre, de millions de gens, parmi lesquels des femmes, des enfants, des vieillards, des affaiblis et des handicapés. Si les fouilles menées depuis vingt-cinq ans dans les camps de Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno n’ont pas permis de découvrir des chambres à gaz, elles ont en revanche contribué à la mise à jour de nombreuses fosses communes improvisées. Ces fosses, je n’en ai jamais contesté l’existence. Elles contiennent les corps de dizaines de milliers de Juifs morts dans les trains ou euthanasiés à leur arrivée, parce que blessés, malades ou trop affaiblis pour aller plus loin vers l’Est. De nombreux récits corroborent ces constats matériels. Dans plusieurs vidéos, j’en ai cité, sans les contester ni les rejeter. S’y ajoutent les conditions de vie dans les ghettos surpeuplés et parfois mal ravitaillés en Pologne ou à l’Est : elles firent de nombreuses victimes que j’ai également mentionnées. Viennent enfin tous les déportés morts dans les derniers mois de la guerre lorsqu’au sein d’une Allemagne laminée par les bombardements, la situation à l’intérieur des camps se détériora (surpopulation, manque de médicaments, ravitaillement insuffisant). Les photos effroyables prises à la libération de Buchenwald, de Dachau, de Vaihingen ou de Bergen-Belsen, je les ai montrées à de multiples reprises, sans jamais les qualifier de montages. Personne, donc, ne peut prétendre honnêtement que j’offenserais la mémoire des victimes en niant leur mort ou les circonstances terribles de leur décès.
quant à mener certaines personnes à commettre des actes “racistes”, ma réponse sera simple : depuis trente ans que je diffuse mes travaux, aucune agression n’est à déplorer, dont je me serais révélé être l’inspirateur.
Cependant, allons plus loin. Oui, admettons que mes exposés puissent conduire une poignée de personnes fragiles à perpétrer des violences “racistes”. Faut-il pour autant priver toute la population de certaines vérités historiques en sanctionnant leur diffusion publique ? Assurément non !
Toutefois, j’entends déjà votre réplique, Monsieur le Président : « Pays de la liberté de recherche, à France n’interdira jamais la diffusion de vérités scientifiquement établies. Avec les négationnistes toutefois, il n’est pas question de vérités, mais de mensonges réfutés par les témoins fiables et une cohorte d’historiens accrédités. Vous êtes bien présomptueux, Monsieur Reynouard, de prétendre avoir raison contre ces gens. »
En réalité, je ne suis pas plus orgueilleux qu’un enquêteur persuadé d’avoir élucidé une affaire malgré les dénégations des inculpés et de leurs avocats. Pourquoi ? Parce que d’Oradour à Auschwitz, j’ai adopté les méthodes traditionnelles utilisées dans des enquêtes criminelles.
Je me suis rendu sur place afin d’examiner la scène du crime allégué ;
j’ai effectué des constats matériels afin de comprendre ce qui a pu se passer ;
j’ai vérifié les récits recueillis (témoignages et aveux) en les confrontant aux constats matériels et en analysant leur cohérence interne ;
j’ai complété mes recherches avec l’étude de documents utiles. En résumé, j’ai établi la matérialité des faits.
Ai-je tort dans mes conclusions ? Débattons-en loyalement, chaque partie pouvant librement s’exprimer et déposer ses documents sur la table. Cette confrontation à armes égales, j’y suis prêt. Je la réclame même.
Vous m’objecterez qu’on ne débat pas d’Histoire avec une personne dénuée de toute formation d’historien. Dois-je en déduire, Monsieur le Président, qu’un non-historien ne saurait intervenir dans une question d’Histoire ? Voilà trente ans toutefois, en 1993, le CNRS publia un ouvrage intitulé : Les Crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse.
La presse l’encensa, affirmant qu’il réfutait définitivement les thèses révisionnistes. Or son auteur, Jean-Claude Pressac, était… pharmacien de profession. Plus révélateur encore : l’homme considéré jusqu’à sa mort comme l’expert numéro un de l’Holocauste, Raul Hilberg, n’était pas, lui non plus, historien de formation. Je pourrais également citer Robert Jan Von Pelt, Jean-Jacques Fouché ou Guy Pauchou (pour Oradour). Preuve que des non-historiens peuvent intervenir dans des questions d’Histoire.
Certains de mes contradicteurs — Gilles Karmasyn par exemple — prétendent me réfuter, mais sans jamais accepter le débat. Ils sont comparables à des boxeurs qui, seuls sur le ring, donneraient des coups de poing dans le vide avant de lever les bras en criant : « J’ai gagné ! Il est KO. » À celui qui s’étonnerait de l’absence de l’adversaire, ils répondent : « Voyons ! On ne boxe pas avec un non-boxeur ». Prétendre qu’on ne débat pas d’Histoire avec un non-historien est une dérobade pitoyable.
Certes, je n’ai aucune formation en la matière, mais à Auschwitz et à Oradour, les SS sont accusés d’avoir massacré des innocents. Il s’agit donc d’affaires criminelles. Le fait que les meurtres allégués auraient été commis dans le passé ne modifie pas la nature de la question, donc ne change en rien les méthodes d’enquête. Or, je le répète, j’applique scrupuleusement ces méthodes.
En voulez-vous la preuve ? Voici : à Birkenau, les SS auraient aménagé des chambres à gaz homicides dans quatre grands crématoires. La plus meurtrière — 400 000 victimes alléguées — se serait trouvée dans le Krema II. Les SS auraient déversé le Zykon B par quatre orifices carrés pratiqués dans le toit. Les granulés mortels seraient tombés le long de quatre colonnes grillagées fixées solidement au sol et au plafond. Bien que le crématoire ait été dynamité, le toit, partiellement effondré, subsiste. L’ayant inspecté du dessus et du dessous, je n’ai vu nulle trace ni d’un quelconque orifice d’introduction ni d’une fixation de colonne grillagée. Rien.
Certes, en 2004, trois chercheurs indépendants (MM. Keren, McCarthy et Mazal) prétendirent avoir localisé trois des quatre trous ; mais les autorités du Musée d’Auschwitz n’ont jamais osé invoquer leur étude. Sept ans plus tard d’ailleurs, le directeur du Musée préfaça un Guide historique d’Auschwitz dans lequel les deux auteurs prévenaient qu’il était vain de rechercher l’emplacement exact de ces orifices fantomatiques. Depuis, rien n’a changé.
En cas de débat avec un historien, je porterais tout d’abord la discussion sur ce sujet. Je proposerais que l’on se rende ensemble sur les lieux, à la recherche des trous allégués ainsi que des traces des colonnes grillagées. Je profiterais de notre présence sur le site pour demander à mon contradicteur s’il peut me montrer des traces bleues sur le mur ou au plafond de la « chambre à gaz ».
Au printemps 1943, en effet (date du début des gazages massifs dans les crématoires d’après la chronologie officielle), la structure venait d’être construite. Par conséquent, les maçonneries étaient alcalines. L’acide cyanhydrique prétendument utilisé par les SS pour gazer en masse aurait pénétré en partie dans les matériaux humides (briques, plâtres, béton). Il s’y serait dissocié pour former un pigment à base de ferrocyanures : le Bleu de Prusse.
Très stable, résistant aux rayons lumineux et aux intempéries, les murs et le plafond de la pièce présentée comme ayant servi de chambre à gaz devraient en contenir encore aujourd’hui. Aussi devrait-on y voir des traces bleues plus ou moins larges. Toutefois, l’historien serait dans l’impossibilité de m’en montrer une seule. Prétendrait-il que ce pigment ne peut se former dans une pièce non chauffée ? Je lui démontrerais le contraire. Sur les plans originaux du crématoire, cette salle est désignée comme une morgue. Tout démontre qu’elle a été utilisée à cette fin, sans jamais avoir été reconvertie en chambre à gaz homicide.
« No Hole No Holocaust » (pas de trou, pas d’Holocauste), répétait le professeur Faurisson depuis 1994. Il avait raison, car sans ces trous, les 400 000 victimes alléguées de cette chambre à gaz sont imaginaires. Tous les témoignages et les aveux n’y changeront rien.
Les antirévisionnistes nous demandent : « si les millions de Juifs n’ont pas été exterminés, alors où étaient-ils passés en 1945 ? » Pardon, mais c’est inverser la charge de la preuve. C’est aux antirévisionnistes de démontrer que les Juifs auraient été exterminés systématiquement, parmi lesquels trois millions auraient péri dans des chambres à gaz.
D’après l’Histoire officielle, Auschwitz-Birkenau aurait été le centre de cette extermination par gaz (près d’un million de victimes). La chambre à gaz du Krema II aurait été la plus meurtrière (40 % des asphyxiés). C’est donc elle qu’il faut examiner en premier. Où sont les orifices d’introduction du Zyklon B ? Historiennes et historiens, montrez-les nous, qu’on en discute. Et où sont les traces bleues ? Il est vrai qu’une formation en chimie est nécessaire pour comprendre l’importance de leur absence. Titulaire d’un diplôme de chimie organique, je suis donc mieux placé qu’un historien pour conclure.
Il en va de même à Oradour. Les Waffen SS sont accusés d’avoir massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants dans l’église du village. Ils auraient tenté de les asphyxier avant de les mitrailler, puis d’incendier le bâtiment. L’incendie généralisé aurait transformé le lieu saint en four crématoire, et de très nombreux corps auraient été réduits en cendres. Dans cette affaire, des notions en diffusion de la chaleur, en rayonnement et en résistance des matériaux se révèlent nécessaires.
Mes études m’ayant conduit à étudier ces matières, j’ai mis mes connaissances à profit pour expertiser l’église. Cette expertise fait l’objet d’un chapitre entier de mon ouvrage paru en décembre 2022 : Oradour, le cri des victimes. J’en conclus que l’histoire officielle est fausse : les femmes et les enfants sont morts dans des explosions qui ont ébranlé tout l’édifice. Comment suis-je parvenu à cette conclusion ? Voici :
La préservation du mobilier en bois (le confessionnal dans la chapelle de la Vierge et l’autel de la chapelle Saint-Joseph) dément la thèse de l’incendie généralisé ;
La fusion partielle des cloches (des parties totalement fondues, d’autres intactes au point de montrer encore les motifs qui y étaient gravés) démontre que l’événement destructeur fut très rapide et très bref, en un mot, une explosion ;
L’observation des coups portés à la fine sphère en laiton sous la croix faîtière confirme que le phénomène destructeur fut accompagné d’un souffle puissant.
S’y ajoute l’état des corps retrouvés dans l’église ou à côté : ils ne sont pas carbonisés, mais déchiquetés, avec les habits intacts, comme après un bombardement.
Viennent enfin les récits racontés par la femme présentée comme l’unique rescapée de l’église, Marguerite Rouffanche. Quelques semaines après le drame, par deux fois en novembre 1944, puis une fois janvier 1953 (au procès des Waffen SS) et une encore une fois en 1969 (pour la télévision), elle témoigna. L’étude comparative des différentes versions fait apparaître des contradictions insurmontables et des impossibilités matérielles manifestes.
Fin juin 1944 ainsi, Madame Rouffanche affirma que le massacre de l’église avait commencé avec une « caisse » apportée par deux Waffen SS. L’engin n’avait pas explosé, il avait uniquement dégagé une épaisse fumée noire.
Quelques mois plus tard toutefois, les voûtes de la nef de l’église s’effondrèrent, attestant que l’édifice avait été ébranlé sévèrement. Pour l’expliquer, il fallait invoquer une explosion : le 16 novembre 1944, Madame Rouffanche opéra donc un virage à 180 degrés et prétendit que la “caisse” avait été le siège d’une « petite détonation ».
Toutefois, c’était insuffisant pour expliquer l’ébranlement de ce bâtiment fortifié. Deux semaines plus tard, « l’unique rescapée » changea encore sa version : elle allégua que l’engin avait explosé fortement. Ce témoignage devint le récit officiel, publié partout, cependant que celui du 16 novembre resterait à l’abri des regards, dans les archives militaires fermées au public.
Aux contradictions s’ajoutent des impossibilités manifestes. En particulier, la fuite de Mme Rouffanche hors de l’église, en se hissant jusqu’à un vitrail puis en sautant de quatre mètres de haut sur un plan fortement incliné sans s’occasionner la moindre blessure, un exploit impossible pour une femme de 46 ans.
Dans l’affaire d’Oradour, tout trahit le mensonge improvisé maladroitement. M’appuyant sur les constats matériels, sur les documents et sur des témoignages ignorés, j’affirme qu’un dépôt clandestin de munitions se trouvait sous les combles de l’église, au-dessus des voûtes.
Dans quelles circonstances a-t-il été mis à feu ? Tant que les archives militaires seront fermées aux chercheurs indépendants, aucune réponse certaine ne pourra être avancée. Toutefois, à supposer que, l’ayant découvert, les Waffen SS l’aient fait sauter pour tuer les femmes et les enfants, dès 1944, le fait aurait été révélé : Oradour-sur-Glane aurait été présenté comme un village héroïque dans sa résistance à l’Occupant, victime d’une vengeance abominable des “nazis”. Voilà pourquoi je reste persuadé que les Waffen SS ne portent aucune responsabilité directe dans le déclenchement de la tragédie de l’église.
Ayant découvert que le bâtiment servait à la Résistance locale (qui y cachait des pilotes alliés tombés en France et pris en charge par le réseau d’évasion « Comet Escape Line »), ma thèse est la suivante.
Le 10 juin 1944, des maquisards s’étaient réfugiés dans l’église, avec leurs munitions. En effet, les Waffen SS ayant cerné le village, il était impossible de fuir. Dénoncés par deux collaborateurs vivant dans le bourg (cf. le témoignage de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité), ils firent exploser le dépôt de munitions afin de couvrir leur fuite par une porte latérale qui donnait sur la sortie de l’agglomération. Ils n’avaient pas prévu que les explosions se propageraient au clocher, provoquant la destruction de la voûte fragilisée par la présence de l’oculus. Les gaz surchauffés se répandirent dans la nef, entraînant des débris qui mutilèrent les gens présents.
À Oradour, comme à Auschwitz, mes constats matériels sont indéniables, mes analyses, méticuleuses, et mes arguments, rationnels. Loin de toute considération idéologique, je reste sur le terrain des faits. D’où cette volonté et cet acharnement à me faire taire, les autres raisons invoquées relevant de prétextes fumeux.
La France parviendra-t-elle à me faire extrader ? Peut-être, mais il est trop tard : j’ai diffusé mes travaux sur Internet et j’ai pu de justesse — avant mon arrestation le 10 novembre 2022 — finir mon ouvrage sur Oradour. Depuis janvier dernier, il est en vente.
Voilà une trentaine d’années, tout jeune révisionniste, j’avais été invité chez les Faurisson. Un matin, je discutais dans la salle de travail ; je soulignais que nos adversaires disposaient de moyens financiers et répressifs. Le professeur Faurisson se lavait dans la salle de bain attenante. À ces mots, il entrebâilla la porte et, passant la tête, il lança : « Oui, mais nous, on dort tranquille. »
C’était vrai à l’époque, ça le reste aujourd’hui : dans ma cellule à Édimbourg, je dors tranquille, car ayant semé des graines de vérités historiques, j’ai accompli mon devoir. Désormais, mon destin personnel n’a plus aucune importance. La France que vous représentez peut s’acharner à me faire extrader pour m’emprisonner. Quand on dresse le bilan des forces en présence, son acharnement apparaît comme un aveu : l’aveu que j’ai raison et que mes travaux sont importants. Oui, vraiment, je dors tranquille, et plus vos sbires s’acharneront, plus je dormirai tranquille.
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments choisis.
Vincent Reynouard
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akraphe · 1 year
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Devenir avion de chasse
Quand j’étais petite j’avais un rêve récurrent : je lévitais. Au palier des escaliers ou à l’entrée de la cour de récréation, soudain, pendant deux ou trois secondes, je flotillais quelques centimètres au-dessus du sol. Ce n’était pas un saut ; nul mouvement des jambes ni recroquevillement subite ; sans explication, comme soulevée par un étrange magnétisme, je volais, je rêvais. Des regards incrédules me suivaient à travers les airs, et moi-même je restai émerveillée en voyant mon nouveau petit pouvoir et mes camarades qui, pour la première fois, venaient me parler.
Un peu plus tard, vers la fin du primaire et le début du collège, le rêve revint. J’étais plus grande et mes envols aussi : si je prenais de l’élan, je montais un ou deux étages, assez pour apercevoir, à travers une fenêtre, le sourire de la fille qui me plaisait. Je crois qu’une partie de moi saisissait déjà le plaisir de scruter les toits blancs et d’observer les enfants sur la cour comme des minuscules points noirs. J’aimais déjà, secrètement, la liberté absolue.
Décoller c’était facile mais je n’avais aucune maîtrise du reste, la direction ou la chute. Alors je m’entraînai. Utilisant toujours le carré de la cour comme piste, année après année mon pouvoir s’affirmait, chaque fois un peu plus haut et un peu plus loin. Au collège je dépassai les bâtiments de quatre, cinq, six étages. Il vint un jour où, décidée à tout, je pris position à l’endroit le plus reculé du patio et je courus de toutes mes forces jusqu’à ce que je fis mon premier vrai décollage et je dépassai rapidement tous les toits de mon collège et je vis bientôt ceux de la ville en traçant au-dessus des voitures et des platanes et même des parcs et des rivières touchant le ciel extatique jusqu’à redescendre et devoir atterrir dans une autre cour où, manœuvrant brusquement, je me posai pas trop mal parmi les petits qui se ruaient déjà vers moi à bras ouverts. C’était une fierté intime : je pouvais dire enfin que j’avais v o l é . À un moment où les violences intrafamiliales battaient de plein fouet, après pleurer dans mon lit, quelle joie de me sentir puissante et libre dans les airs.
Cela continua jusqu’au lycée, qui ne fut qu’un entraînement acharné pour dépasser mes limites. Le jour j’apprenais des mots compliqués en plusieurs langues et accumulais les connaissances sur la guerre, les salaires, les quanta ; la nuit, rêve à rêve, l’envol atteignait les nuages, une à une les différentes strates de l’atmosphère. Élancée comme Superwoman, en quelques secondes je survolais les gratte-ciels et les champs, et sans comprendre comment, je posais les pieds sur un autre continent aussi légèrement qu’un avion de papier. Finalement j’arrivai au bord de l’espace ; atteindre cette limite ultime n’était pour moi qu’une confirmation de ma puissance.
Après le bac je quittai la maison familiale et la cour de récréation, et déménageai dans une grande ville. Enfin véritablement, commença alors une longue traînée de fantôme. Le rêve disparut ou presque ; seules quelques rares fois, la nuit, je me retrouvais dans les airs à errer à entre les bâtiments par un rythme lent d’élèvements et de dépressions. Toujours aucun contrôle ; pire encore, parfois je descendais vers le sommet d'une tour ; en m’élevant je me retrouvais dans un parking souterrain. J’aimais toujours voler, mais si par malheur j’essayais de battre les bras comme un oiseau pour rester à flot, je me faisais infiniment ridiculiser par mes camarades hyper-compétitifs de classe préparatoire.
La terre continua de tourner. Je découvris certains endroits et abandonnai d’autres ; pareil avec les gens. Les choses faisaient semblant de s’améliorer mais le rêve restait le même, toujours à traîner sans but parmi des lignes et des lignes de bâtiments, de maisons, de fenêtres, en essayant vainement de me maîtriser. Je me rendis à peine compte quand il disparut. Rien de surprenant ; ce n’était pas un de ces rêves par lesquels une vie se fait diriger, mais un de ceux qui l'accompagnent comme un miracle secret. Aussi, je n’arrivais plus à me souvenir de ce qui se passait en moi la nuit. Le sommeil était devenu aussi futile et désespérant qu’une page blanche.
Et là, je transitionne, je me sens revivre tout à coup. Sous l’effet des hormones mes mains s’adoucissent et arrive le jour où elles écrivent le prénom qui m’attendait. En devenant la femme que j’étais destinée à être, aussi magiquement que le premier flotillement, le rêve revient. Soudain, je comprends soulagée que je peux contrôler mon vol, partir et atterrir quand et où je veux, avec toutes les péripéties du monde ou droit au but ; comme si tout était là depuis le début.
Maintenant la nuit je pleure, cette fois-ci parce que je suis enfin femme, et enfin avion de chasse.
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Crow / Scary et Sweaters 🍁
Hey :)
Crow - what’s an unpopular opinion you have on autumn?
Halloween me soûle un peu, c'est surcoté des fois comme fête. Prête à me recevoir une sauce.
Scary - what’s your favorite scary movie?
Celui que j'ai vu hier (le Dracula de Coppola) est franchement bon. Bien tourné (Un peu dans l'esprit du Jardin Secret mais avec du sang et du sexe).
La scène où il arrive à Londres est une dinguerie.
Après il est pas à faire regarder à tout le monde, l doit y avoir une liste de tw assez longue (film interdit aux moins de 12 ans pour te donner une idée) mais il était vraiment bien....
Sinon, les Burton, comme tout le monde, ça me rappelle le collège mais aussi surtout les films de la Famille Addams qui datent des années 90. Je les avaient découvert sur Gulli quand j'étais en fin de primaire, mais ça m'évoque tellement de souvenirs. genre 15 ans après il y a encore des scènes devant lesquelles je hurle de rire. Je ne le dirais jamais assez, merci Gulli de m'avoir autant fait marrer entre le CM1 et le CM2.
Sweaters - what’s your go to fall outfit?
Au hasard :
Ma minijupe plissée grise, sous un gros pull en laine
Ma saharienne beige qui date des années 2000
Mon pull jaune que j'ai en ce moment
J'ai quelques fringues et accessoires bordeaux qui vont bien du coup
Ma blouse à carreaux vichy noir et blanc va assez bien
Mes docs Martens <3
Mes jupes ? C'est la période où j'ai des collants, et en même temps il ne fait pas trop froid
Mon châle pour la maison couleur tommette est absolument génial, je me traîne avec depuis cette semaine, il est génial.
Après je vais ressortir et ranger toutes mes affaires d'hiver et ranger mes affaires d'été pour voir si je peux me prendre un truc chez Emmaüs ou pas, si il y a besoin d'un pull qui aille un peu avec tout (enfin j'ai beaucoup de pulls...). Je cherche aussi un jean bootcut en velours noir et une minijupe en jean (j'en rêve depuis que j'ai 10 ans). Je verrai j'ai pas mal de fringues mais beaucoup de trucs qui datent du collège/lycée voir du primaire parfois, et beaucoup de trucs que l'on m'a donné, du coup quand j'ai besoin de quelque chose c'est ciblé, je mets des semaines pour trouver ce que je veux sur vinted maintenant.... Le but c'est plus d'optimiser ce que j'ai, je tente de faire du neuf avec du vieux quand je peux
Merci pour les questions :)
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selidren · 2 years
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Eté 1890 - Champs-les-Sims
5/5
Du fait de sa fatigue, Mère a pris en charge les enfants. En ce qui concerne l’éducation de Constantin, Maximilien a décidé d’anticiper. Mon neveu a déjà douze ans et il est prévu de l’envoyer en pensionnat dès l’année prochaine pour son entrée au lycée. Mon frère tient à ce que l’éducation de son fils comble toutes ses attentes, lui qui n’a jamais pu être autre chose qu’autodidacte. J’ai mentionné plus haut le latin, mais Maximilien tient à ce que Constantin ait une avance dans toutes les matières possibles. Le garçon ne semble pas ravi, et je l’ai entendu plus d’une fois faire étalage à Adelphe de sa perplexité face à la culture classique, dont il ne voit pas encore l’intérêt. Vous qui vous revendiquez des grands penseurs grecs, je pense que vous comprendrez la démarche de mon frère.
Adelphe a quand à lui bien grandit. N’y voyant pas l’intérêt, Maximilien ne l’a pas laissé poursuivre l’école et il supervise désormais directement son éducation en lui apprenant tout ce qu’il y a à savoir pour gérer le domaine. 
En vous réitérant mes plus sincères condoléances, 
Lucrèce Le Bris
Transcription : 
Constantin : Je mélange toutes ces déclinaisons. Pourquoi Papa veut-il absolument que j’apprenne tout ceci en plus de mes devoirs d’école ? Cela ne me semble pas utile.
Adelphe : Une fois que tu connaitras le latin ainsi qu’un peu de grec, tu seras en avance sur tous les autres élèves du lycée quand tu y entreras.
Constantin : Tu ne m’explique pas en quoi être en avance me sera utile.
Adelphe : Pendant que les autres se contenteront d’apprendre, tu auras le temps de te perfectionner. Cela te donnera de meilleures notes et les compétences pour entrer à la Sorbonne.
Constantin : Et que pourrai-je faire à l’université ?
Adelphe : Et bien, ce dont tu as envie. Tu pourrais étudier les sciences physiques, l’histoire ou la philosophie. Il y a bien quelque chose qui t’intéresse n’est-ce pas ?
Constantin : Non. 
Constantin : Une fois que j’aurai passé mon certificat, j’aimerai mieux rester avec toi.
Adelphe : Tu peux faire mieux. Tu es intelligent Tintin.
Constantin : Papa ne veut pas que tu m’appelle comme ça. Il dit que je ne suis plus un bébé et qu’on m’a trop souvent traité comme tel.
Adelphe : Je m’en fiche, il n’est pas là. Tu veux que j’arrête ?
Constantin : Non, j’aime bien. Mais dis moi, pourquoi je ne peux pas aller en classe de fin d’études primaires avec toi ?
Adelphe : Ton père veut m’apprendre son métier. Tu veux faire du vin comme lui ?
Constantin : Quoi ? Beurk, non. C’est dégoutant le vin. 
Adelphe : Alors laisse moi m’en charger à ta place. Prends le temps de réfléchir à ce que tu veux étudier.
Constantin : D’accord, je vais chercher et je te dirai.
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orphelinataveomonde · 2 years
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📗📘Aidons les orphelins et les démunis pour cette rentrée scolaire📚📖📝✏️
D'ici quelques jours, ce sera la rentrée scolaire. Des milliers d'élèves vont reprendre le chemin de l'école tant au primaire, au collège qu'au lycée. Cependant, des recherches étendues montrent que beaucoup d'orphelins et bien d'autres enfants démunis manquent de soutien matériel et financier malgré leur bonne volonté de vouloir apprendre. Pour ce faire, l'orphelinat Aveo Monde lance un vibrant appel à l'endroit des particuliers, des couples, des bienfaiteurs, des institutions, des entreprises pour mettre la main dans à la pâte.
Comment nous soutenir ? Vous pouvez apporter toutes sortes de fournitures scolaires, et même des tenues, des vêtements, des chaussures et des produits de toilette. Enfin, vous pouvez également prendre en charge les inscriptions ou les frais d'écolage d'un ou de plusieurs enfants. Grâce à vos dons apportés, l'orphelinat Aveo Monde peut aider les enfants en situation précaire.
Pour tous ceux dont les cœurs sont disposés, l'orphelinat Aveo Monde est situé au quartier Makayabou, non loin de l'école Kouanga Makosso, côte à côte avec la radio bonne nouvelle. Pour de plus amples informations, veuillez nous contacter au +242 06 902 6255 ou +242069012222.
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omagazineparis · 15 days
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Rentrée scolaire 2022 : le protocole sanitaire à l’école
Le 18 juillet 2022, le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse a publié le nouveau protocole sanitaire à respecter pour la rentrée 2022. Outre le socle de mesure, la nouvelle stratégie prévoit trois niveaux de mesures qui seront appliqués, suivant l’évolution de la situation.    Un protocole sanitaire qui s’articule autour de 3 niveaux Pour l’année scolaire 2022-2023, le gouvernement maintient la stratégie qui repose sur un enseignement en présence. Ceci dans le but de garantir la réussite des élèves. Afin de limiter la circulation du virus au sein des établissements scolaires, le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, en lien avec les autorités sanitaires, a établi une stratégie comportant un socle de mesure et trois niveaux de protocole. Le socle commun correspond à la situation normale. Les cours se déroulent au sein des établissements scolaires. Les mesures d’hygiène et les gestes barrières de base sont à respecter. Le niveau 1 garantit les cours en présentiel. Il n’y a pas de limitation de brassage et les activités physiques et sportives sont autorisées. Ce niveau est associé aux mesures suivantes :    - lavage des mains, - désinfection quotidienne des surfaces les plus touchées,  - aération des pièces,  - mesures  de distanciation, notamment à la cantine. Sujet connexe : Code de la route : faire face à vos peurs Le niveau 2, les cours sont encore assurés en présentiel. Les mesures au niveau 1 s’appliquent et sont renforcées : - limitation du brassage, notamment pour la cantine en primaire, - désinfection des surfaces fréquemment touchées plusieurs fois par jour, - arrivées et départs des élèves étalés dans le temps, - activités physiques et sportives en extérieur et avec une distanciation, - récréations organisées par groupes. Niveau 3, à ce stade les cours sont maintenus au sein de l’établissement pour les écoles primaires et collèges. Au lycée, les cours à distance et en présentiel s’alternent. Voici les autres mesures : - les élèves des écoles primaires mangent tous les jours à la même table. La distanciation minimum de 2 mètres doit être respectée. Les tables doivent également être désinfectées après chaque repas, - Seules les activités de basse intensité sont autorisées et doivent se dérouler en extérieur avec distanciation.  A lire également : Ce qu'il faut savoir avant d'acheter un bureau pour enfant Le protocole sanitaire qui s’applique en cas de test positif Si un élève est testé positif, les règles sont similaires à celles de l’année précédente. Pour les élèves de moins de 12 ans, la durée de l’isolement est de 7 jours.  Pour les élèves âgés de plus de 12 ans qui possèdent un schéma vaccinal complet, l’isolement peut prendre fin au bout de 5 jours. A ce moment, un test antigénique ou PCR doit être effectué et le résultat doit être négatif. En ce qui concerne les élèves qui ne disposent pas d’un schéma vaccinal complet, la durée de l’isolement est de 10 jours.  Read the full article
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roroelcapybara · 18 days
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Ma psy pense que je pourrais potentiellement avoir un tsa (trouble du spectre autistique). Depuis qu'elle m'a dit ça, je me suis renseigné sur l'autisme et je me suis rendu compte qu'elle a surement raison, de plus un ami autiste pense aussi que je suis autiste car j'ai beaucoup de trais autistiques qu'il a aussi. Je dois donc aller faire un bilan neuropsychologique pour savoir si effectivement je suis un giga autiste.
J'en arrive donc au faite que puisque c'est surement le cas, je dois accepter le faite que je suis autiste, mais malgré tout les signes je continue d'espérer que ce ne soit pas de l'autisme mais juste que à cause du faite que j'ai vécu pas mal de traumatisme, j'ai développé un comportement pouvant s'apparenter à de l'autisme. Cependant j'ai toujours eu un comportement bizarre et je suis considéré comme la personne bizarre depuis toujours, je suis différent, une amie à moi est venue me voir pour être mon amie car elle adore les personnes différentes. A cause de mon "autisme" (je vais mettre le mot autisme entre " car il n'est pas encore diag et que peut être je ne le suis pas vraiment) je me suis fait rejeté ou abandonné par des amis et au collège j'ai été victime de harcèlement, j'ai été détesté par des classes entières, j'ai été insulté tout les jours jusqu'à ce que j'en pleure car je sais pas gérer mes émotions hahaha, j'ai été poussé dans les couloirs, j'ai été victime de nombreuses moqueries et j'ai été ignoré. Donc arrivé au lycée, afin de ne plus revivre cet enfer, en voyant que je peinais à me faire des amis, j'ai préféré juste devenir invisible, je ne parlais jamais, je mangeais seul et presque dans tout les cours personne ne s'asseyait à côté de moi. Cependant, ce comportement à juste renforcé le faite que je sois bizarre, surtout que je pleurais très facilement, donc ma classe de 2nd me trouve bizarre, j'ai même été appelé "le dark sasuke" par des garçons de ma classe puisque je ne parlais pas. Mais dans ma classe je m'entendais quand même avec quelques personnes, sauf que j'avais rarement la motivation de passer du temps avec eux. Donc j'ai passé beaucoup de temps seul. En octobre de ma 2nd, mon lycée comme beaucoup d'autre lycée français a reçu un message menaçant de faire exploser le lycée. En sortant de lycée, pendant que j'attendais mon bus, une fille de ma classe qui prend le même bus que moi m'a proposé de venir chez elle pour pas qu'on soit seul tout les deux, j'ai accepté car j'avais pas vraiment envie de rentrer chez moi. Chez elle, j'ai eu une longue discussion avec elle a propos de plein de sujet différent. On en est arrivé au faite que j'avais pas vraiment d'amis, puis elle m'a avoué adorer les personnes différentes, ce qui m'a à la fois blesser et fait du bien. Elle m'acceptait comme je suis, mais j'étais considéré comme différent alors que je me suis juste isolé pour que personne ne le remarque. Mais grâce à cette différence impossible à cacher, je me suis fait une amie et grâce à cette amie je me suis fait quelques autres amis.
Mais putain pourquoi je suis différent? C'est juste car je suis "autiste". C'est dur à accepter, mais je ne peux pas rester constamment dans le déni, j'ai trouvé des tas de point commun entre moi et les autistes et même les tests d'internet douteux disent que je suis autiste. Je ne me suis jamais dit "oui je suis peut être autiste" car quand j'étais jeune j'avais des amis car j'allais voir les gens pour leur demander d'être ami en étant totalement moi, et comme chez les enfants on est un peu tous bizarre, j'ai été accepté par les amis que je me suis fais durant mon enfance, donc jamais personne ne s'est posé la question de "est-ce que Roro est autiste", et même moi je pensais qu'il soit improbable que je le soit. Mais arrivé au collège sans savoir pourquoi j'ai été marginalisé, j'étais la "petite intello chelou"qu'on haïssait, qu'on insultait. Mais il me restait quelques amis de primaire donc comme j'avais encore des amis, personnes ne s'est posé de question sur mon sujet. Mais arrivé au lycée, j'avais aucune capacité de sociabilisation. J'ai donc attiré l'attention des professeurs sans le vouloir. Je ne parlais casi jamais, j'avais aucune émotion, un regard vide et quand j'avais des émotions c'était des énormes crises de larmes incontrôlables. Donc on a demandé à mes parents de m'emmener voir une psychologue. Et on en arrive à aujourd'hui, je suis suspecté autiste et j'attend pour passer un bilan neuropsychologie.
Je me retrouve donc à essayer d'accepter que je ne suis juste pas normal, que je suis handicapé (car l'autisme est un handicap), que la société n'est pas adapté pour moi. Et ne pas se haïr est juste impossible pour moi. Je me hais, je hais le faite d'être né "autiste", je hais ma personnalité. Si j'avais été normal je n'aurais surement pas été victime de harcèlement, et donc je n'aurais pas fini dépressif avec surement plein d'autre trouble mentale. Mais il a fallut que la vie s'acharne sur moi et en plus de me donner une enfance pourri, de me donner un handicap qui aurait pu passer inaperçu si j'avais mieux gérer mon masking. En plus j'ai des amis qui n'aiment pas les autistes. La vie n'est vraiment pas génial.
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thierrylidolff · 2 months
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DE SAMUEL PATY AU LYCÉE MAURICE RAVEL : DÉFAITE DE LA RÉPUBLIQUE OU REPRISE EN MAIN ?
LA TOLÉRANCE ET LA PEUR EMPÊCHENT LA FERMETÉ – EN 4 SÉQUENCES L’école de la République est en danger. Il règne à l’intérieur comme à l’extérieur « une violence endémique », selon le rapport des sénateurs François-Noël Buffet et Laurent Lafon , dans le primaire comme dans le secondaire. Une reprise en main doit remplacer la soumission VOIR 1. De Samuel Paty au lycée Maurice-Ravel : sur l’école…
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EN DIRECT Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal. Retrouvez sur cette page notre couverture de l'élection présidentielle du 24 mars au Sénégal. Kafunel vous propose des articles, photos et vidéos produits lors du scrutin de ce 24 mars au Sénégal. Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 1 Les Sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024 dans les différentes régions que compte le pays. Cette élection présidentielle est le 12e que le pays connaît depuis son indépendance en 1960. Ils choisissent le cinquième président de la République. C’est une journée électorale relativement calme qu’a connu le Sénégal, après des périodes mouvementées de la crise politique. Une journée calme dans l’ensemble Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 3 Tout s’est bien passé, indiquent les observateurs de cette élection ainsi que les candidats et autres acteurs politiques du pays. Il n’y a pas eu d’incident majeur à signaler à travers tout le territoire. Les 7,3 millions d'électeurs convoqués dans les urnes ont fait massivement le déplacement. Les autorités en charge de l’organisation de cette élection indiquent que le taux de participation avoisine les 60%. Le direct Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 7 Déjà à la fin de la matinée, presque tous les candidats ont voté. Sauf un, Mouhamed Boun Abdallah qui a été évacué en France dans la nuit de samedi à dimanche pour des soucis de santé. Tous les candidats, après avoir voté, ont appelé leurs partisans à la paix et au calme. Ils ont salué le bon déroulement des opérations de vote et émis leur souhait que cette sérénité prévale jusqu’à la fin du processus. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a déclaré le président sortant Macky Sall au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick. Ousmane Sonko, quant à lui, a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année et à être vigilant pour la suite. « La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage », a-t-il déclaré après le vote. Le candidat Bassirou Diomaye Faye, après avoir appelé ses partisans au calme, a souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection. Amadou Ba, candidat de la Coalition au pouvoir, qui a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée, a aussi appelé au calme et s’est réjoui du bon déroulement des opérations. Même son de cloche au niveau des autres candidats qui ont accompli leur devoir dans leurs différents centres de vote. Cependant, certains électeurs, notamment ceux qui devraient voter au centre de vote du lycée Keur Massar, ont eu quelques soucis pour pouvoir faire leur devoir. Ce qui a provoqué leur colère dans ce centre de vote. Difficultés des électeurs à Keur Massar Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 5 Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer. Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ». Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre viking d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne
peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter. Posté à 20:4120:41 Election présidentielle 2024 au Sénégal : Que retenir de la journée électorale et à quand les résultats ? déroulement du vote à la mi-journée La journée électorale a connu un calme en général au Sénégal, dans le cadre de l'élection présidentielle ce dimanche 24 mars 2024. 18:50 Election présidentielle 2024 au Senegal : Début de dépouillement après la fermeture des bureaux de vote élection présidentielle du 24 mars au Sénégal Les bureaux de vote ont fermé depuis 18 heures au Sénégal. L’opération de dépouillement et de décompte des voix a commencé dans plusieurs bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs ainsi que représentants des différents candidats. 18:06 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Les médias jouent un rôle important tout au long d’un processus électoral. Au Sénégal, les journalistes n’ont pas fait exception. Directs, interviews, reportages et analyses, tous les formats sont au rendez-vous. L’Agence de Presse du Sénégal, APS, par exemple, a déployé des envoyés spéciaux dans plusieurs parties du pays pour suivre le déroulement du scrutin. De l’autre côté, le portail d’informations Seneweb a dressé les profils des différents candidats tout en analysant leurs chances de remporter cette présidentielle. La Radio & Télévision Sénégalaise, RTS, a organisé des plateaux spéciaux consacrés au scrutin. La RTS a également diffusé des interventions de personnalités comme le président sortant Macky Sall. Il y a aussi le Groupe Futurs Médias (radio, télévision et site web) qui a donné la parole aux électeurs sur ses plateformes. Plusieurs autres médias traditionnels et en ligne suivent de près le déroulement du scrutin et publient régulièrement des mises à jour. Posté à 17:4417:44 Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Progressivement, la journée de vote touche à sa fin. Si dans la plupart des centres de vote, l’opération s’est déroulée dans le calme et la sérénité, ce n’est pas le cas au centre de vote du lycée de Keur Massar. Un certain nombre d’électeurs ont, toute la journée, exprimé leur mécontentement parce qu’ils n’ont pas pu voter. Ce qui s’est passé Jusqu’en 2021, Keur Massar faisait partie du département de Pikine. Et tous les électeurs dont les cartes portent l’inscription « département de Pikine » pouvaient voter sans difficulté. Mais depuis que Keur Massar a été érigé en département en 2021, la donne a changé. De nouvelles cartes ont été confectionnées aux électeurs qui votaient à Keur Massar. Ces derniers, qui ne pourront plus voter avec leurs anciennes cartes, devraient aller retirer les nouvelles qui portent l’inscription « département de Keur Massar ». Mais selon ces électeurs, l’information n’a pas circulé. Ce matin, c’est la colère qui se lisait sur leur visage. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que le département a été déplacé à Keur Massar », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. « Sur ma pièce, c’est le département de Pikine au lieu de Keur Massar. Mais quand j’ai vérifié au bureau de vote N°2 avec le président, il a vu effectivement que mon nom se trouve sur la liste, mais que je ne peux pas voter. Juste le département Pikine qui dérange », explique Maman Aissata Camara électrice.
Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre de vote d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Aujourd’hui, ils ont eu la grande surprise de ne pas pouvoir voter parce que sur leur carte c’est bien écrit département de Pikine au lieu de département de Keur Massar », précise-t-elle. Il y a quelques heures, le président de la CENA est intervenu en disant que son institution est en discussion avec la Direction générale des élections (DGE) pour voir les mesures à prendre pour permettre à ces électeurs d’accomplir leur devoir civique. Il a même indiqué que la Commission a demandé que ces électeurs votent, mais que l’information n’est pas parvenue aux responsables des centres de vote à temps. 15:43 Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les citoyens sénégalais auront le choix d’élire le successeur de Macky Sall dans une élection particulière. →À lire aussi Découvrez ici pourquoi : Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 14:5914:59 "Un processus calme, efficace et ordonné" - le bilan à mi-parcours de la Cheffe de la mission d’observation de l’UE Malin Björk, cheffe de la mission d’observation de l’Union Européenne, partage un bilan de la matinée de ce dimanche 24 mars dans les bureaux de vote visités par leurs observateurs. L’UE a déployé une centaine d’observateurs pour observer la présidentielle sénégalaise. Posté à 14:4314:43 Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants » Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants »-2 Bassirou Diomaye Faye un des favoris de la présidentielle, a dit toute sa confiance de remporter l’élection dès le premier tour. Il s’est exprimé après avoir effectué son devoir citoyen dans son village natal, à Ndiaganiao, dans le département de Mbour. « Je demeure confiant quant au choix de la rupture que je suis à même d’incarner cette rupture mieux que quelconque candidat. Je demeure convaincu que cette élection se jouera dès le premier tour. Au sortir de cette élection présidentielle, il n’y a pas de raisons que la tradition démocratique ne soit pas perpétuée, à savoir que le vainqueur soit félicité par le vaincu pour un retour définitif à la sérénité », a-t-il déclaré après son vote. Pour sa part, le candidat du pouvoir l’ancien premier ministre Amadou Ba s’est montré confiant tout en exprimant son souhait que le nouveau président soit connu « dès lundi ». « Mon souhait le plus ardent est que dès demain, les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président et qu’ils puissent vaquer tranquillement à leurs occupations. Les Sénégalais ont besoin d’un président qui va répondre à leurs besoins ». « Je suis très très confiant quant à l’issue du scrutin dès le premier tour, au regard de l’effervescence que notre campagne a suscité », a réagi Amadou Ba. Posté à 14:1614:16 Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal-2 Parmi les candidats les plus en vue figurent on compte des personnalités politiques de premier plan, avec une longue expérience des affaires étatiques, mais aussi des dirigeants de partis d'opposition bien implantés dans le landerneau politique, ainsi que des candidats indépendants avec de riches parcours professionnels. →À lire aussi Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Posté à 13:2013:20 Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême
L’une des particularités de cette élection présidentielle au Sénégal, c’est qu’elle se déroule en pleine période de jeûne du Ramadan. Même si la Constitution ne fait pas de l’islam la religion de la République sénégalaise, la forte proportion de musulmans, plus de 94%, fait du pays l’un des plus islamisés d’Afrique noire. La période du Ramadan est sacrée pour cette communauté qui s’abstient de boire et de manger de l’aube jusqu’au coucher du soleil pour effectuer le jeûne. La coïncidence de la période avec l’élection présidentielle de dimanche 24 mars fait un peu grincer les dents. Beaucoup pensent que ce moment de recueillement et de silence chez les Sénégalais a eu un impact sur la campagne électorale et donc va déteindre sur la mobilisation dans les bureaux de vote ce dimanche. Néanmoins ils ne sont pas tous du même avis. Pour certains, le vote est un devoir civique et donc même en temps de Ramadan, chacun pourra accomplir ce devoir sans que cela impacte son jeûne. C’est le cas de cette Sénégalaise qui pense que le Ramadan n’a vraiment pas impacté la campagne électorale. « Le Ramadan ne nous pénalise pas du tout. Nous partons battre campagne, et le soir nous revenons préparer le repas pour nos familles. Nous vivons la campagne comme d’habitude », dit-elle. « Le carême n’a pas gêné la campagne. Et je pense que le jour du scrutin ça ne dérangera pas », renchérit une chrétienne, également en période de jeûne. Pour d’autres, le temps de carême étant un moment de silence et de communion avec son Dieu, il a eu des répercussions sur la campagne électorale et ce sera probablement la même situation le jour de vote. « J’ai remarqué qu’il n’y a pas eu beaucoup de monde pour les caravanes pendant la campagne, parce qu’on est dans le mois de ramadan qui est un temps de cœur à cœur et de silence avec son Dieu. C’est un peu difficile de lier ça avec la campagne », constate un autre. Pour lui, il n’y a pas eu beaucoup d’ambiance lors de la campagne comme ce qu’on a vécu lors de la présidentielle de 2019. 13:04 «Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le ministre sénégalais de l'intérieur Mouhamadou Makhtar Cissé, vient de voter dans sa ville natale de Dagana, au Nord du Sénégal. Après avoir voté,Mouhamadou Makhtar Cissé a exprimé sa vive joie de pouvoir remplir son devoir civique. Le ministre a également indiqué qu'il reviendra à Dakar après avoir voté pour superviser la suite du processus depuis la capitale. Il a appelé tout le monde à rester calme et à maintenir une attitude pacifique durant tout le processus. « Le jour des élections doit être un jour démocratique, il ne doit pas être un jour de tension et de violence. » Mouhamadou Makhtar Cissé a appelé les candidats à mettre en avant le Sénégal et à se rappeler que le pays transcende les individus. 12:16 Présidentielle 2024 : Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Présidentielle 2024 Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Après avoir effectué son devoir civique au centre Thierno Mamadou Sall de Fatick (centre) accompagné de la première dame Marième Faye Sall, le président sortant Macky Sall s’est exprimé devant la presse, invitant les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats. Ce soir les bureaux de vote vont parler, cela reflétera le choix des Sénégalais. Nous espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a conclu le président Macky Sall qui n’est pas candidat à sa propre succession. Non candidat à la présidentielle, le leader de l’opposition Ousmane Sonko a voté dans son fief à Ziguinchor (sud) avant de réagir face aux journalistes. Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 8 « Nous observons une forte affluence des sénégalais de la diaspora et de l'intérieur du pays. Je crois qu'on n’a jamais vu une telle affluence dès les premières heures de scrutin.
Je n’ai aucun doute que notre candidat Bassirou Diomaye Faye sera largement élu, et ça dès le premier tour ». « Je lance un appel au calme et à la sérénité et j’invite le ministre de l’intérieur à prendre toutes les mesures pour sécuriser le vote », a-t-il ajouté. Posté à 12:1612:16 Bassirou Diomaye Faye vient de voter Bassirou Diomaye Faye vient de voter Le candidat Bassirou Diomaye Faye vient d'accomplir son devoir civique dans sa ville natale, Ndiaganiao. Il a appelé à la paix après des mois de tensions politiques. Il est le candidat de la coalition Diomaye Président pour la présidentielle au Sénégal. 11:40 Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 11:1211:12 Des électeurs réagissent après leur vote C’est dimanche de vote au Sénégal. Les 7,3 millions d’électeurs se rendent dans les urnes aujourd’hui pour élire leur cinquième président de la République. Tôt ce matin, ils sont déjà nombreux à accomplir ce devoir civique. Les bureaux de vote ont ouvert depuis 8 heures. On retrouve de longs fils d’attente devant chaque bureau de vote dans la plupart des centres de vote où est passée l’équipe de la BBC Afrique. El Hadj Amadou, très content d’avoir accompli son devoir de citoyen, décrit l’ambiance dans son centre de vote : « Le vote s’est bien déroulé pour l’instant, et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé un peu rapidement. Pour moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée ». Il souhaite que la réalité des urnes reflète la volontaire populaire à travers les résultats. C’est un soulagement pour Souleymane qui aussi a voté ce matin. Pour lui, la crise lui a fait perdre tout espoir de vote. Mais il est tout content pour avoir fait le geste. « On a voté, pourvu que ça continue dans le calme », souhaite-t-il. « En attendant la suite, nous patientons. C’est un sentiment de devoir accompli », ajoute Maimouna qui aussi a déjà voté ce matin. Dans l’ensemble, tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux de vote à 8 heures. Ceux-ci fermeront à 18 heures. Les citoyens sénégalais continuent d’affluer vers les centres de vote pour le choix du prochain président de la République. Posté à 9:409:40 Ce qu’on peut savoir du parcours des anciens présidents du Sénégal parcours des anciens présidents du Sénégal Macky Sall n’est pas candidat à la présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024. Il l’a déjà dit lors d’un discours qu’il prononcé le lundi 3 juillet 2023. Le 2 avril prochain prend fin son mandat à la tête du Sénégal. Il compte passer la main à celui qui sera élu prochain président de la République. Il a été élu pour la première fois en 2012 puis réélu en 2019. Après des mois de suspense, il a pris la parole pour annoncer sa décision de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la tête du pays, faisant ainsi décrisper la tension politique dans le pays. Pour Prof Mbaye Thiam, historien et enseignant retraité de l’Ecole des bibliothécaires, archiviste et documentaliste de L'Université Cheick Anta Diop de Dakar, cette élection est l’une des plus incertaines. « Le fait que le président sortant était candidat lui donnait toujours une longueur d’avance sur les autres et on estimait que c’est le candidat le mieux positionné. Ici n’ayant pas ce profil, on a des incertitudes sur les résultats », a-t-il analysé. Avant Macky Sall, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade avaient aussi dirigé le Sénégal. Léopold Sédar Senghor Il était dans un contexte de domination coloniale, selon Prof Mabaye Thiam. Il a eu le privilège de conduire le Sénégal à l’indépendance. Il a instauré une rupture avec le colonisateur de manière douce, ce qui a fait que ce dernier a perdu sa souveraineté politique sur le pays, mais a gardé l’essentiel. « Nous avons substitué la coopération à la colonisation », disait le Général De Gaule. Une indépendance factuelle, car la France gardait encore le Sénégal dans son pré carré, comme le souligne le Professeur d’Université.
En 1981, le président Leopold Sédar Senghor avait démissionné en remettant le pouvoir à Abdou Diouf. Abdou Diouf Il a dirigé le Sénégal pendant 19 ans et 3 mois. C’est le président qui a enjambé les deux périodes, la période coloniale et la période de l’indépendance. Il a succédé à Senghor dans les formes qui ont été décriées à l’époque. Abdou Diouf s’est moulé, selon Prof Mbaye Thiam, dans une forme de continuité du système coloniale vers l’accès à une forme d’indépendance plus ou moins douce mais qui, en réalité, reflétait l’attachement à nos racines de colonisés par la France. Abdoulaye Wade Il a présidé la destinée du Sénégal de 2000 à 2012. C’est lui qui a passé le flambeau à Macky Sall. Il est de la même génération que Senghor. Le président Abdoulaye Wade est aussi né dans le système colonial, avec des préoccupations sur comment améliorer les conditions des Sénégalais dans le système colonial. « Le fait qu’il soit resté longtemps dans l’opposition, qu’il ait enduré la répression d’Abdou Diouf, l’a amené, quand il est arrivé au pouvoir porté par des jeunes, à opérer une certaine forme de rupture, non pas dans le fonctionnement de l’Etat, mais une rupture dans l’objet de l’Etat », a souligné Prof Mbaye Thiam qui a énuméré la bataille du développement que Wade a fait pour le pays. Tout cela a amené un changement d’orientation du système vis-à-vis de Senghor et d’Abdou Diouf, selon lui. 9:09 Des votants dans un bureau de vote de St Louis Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 9 Au centre Abdou Diouf de St-Louis, le vote a démarré à l'heure et les citoyens accomplissent leur devoir civique. Posté à 8:348:34 Des citoyens prêts à voter à Boucotte sud, Ziguinchor Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 13 Au centre de vote Amath Barry, de Boucotte sud à Ziguinchor, les votants sont arrivés en masse pour accomplir leur acte civique. 8:20 Les Sénégalais votent aujourd’hui Les Sénégalais votent aujourd’hui Le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal se déroule ce dimanche 24 mars 2024 sur toute l’étendue du territoire. Les citoyens en âge de voter sont appelés aux urnes aujourd’hui pour élire leur prochain président de la République, le cinquième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sur les 18 millions d’habitants que compte la population sénégalaise, sont appelés à voter ce dimanche. Un chiffre légèrement en hausse par rapport à celui que le pays a connu lors de la présidentielle de 2019 où 6 683 043 étaient inscris sur la liste électorale. Ces votants devront choisir parmi 19 candidats dans la course à la magistrature suprême. Les bureaux de vote s’ouvrent à 8 heures et fermeront dans la soirée à 18 heures. Au Sénégal, depuis le référendum constitutionnel de 2016, le président de la République est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à 2 tours. Macky Sall, le président sortant n’est pas candidat. C’est la première fois au Sénégal qu’un président sortant ne participe pas à l’élection présidentielle. Pour gagner cette élection au premier tour, il faut recueillir la majorité absolue, soit plus de 50% des voix. Si aucun candidat n’obtient ce score, un second tour est organisé dans les deux semaines qui suivent la proclamation des résultats pour départager les candidats arrivés en tête. Il faut attendre au moins 5 jours avant de connaître les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes. 8:11 Bienvenue Bienvenue sur cette page. Nous vous proposerons des articles, photos et vidéos sur le scrutin de ce 24 mars au Sénégal Par Kafunel Sources : BBC.com/Afrique
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EN DIRECT Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal. Retrouvez sur cette page notre couverture de l'élection présidentielle du 24 mars au Sénégal. Kafunel vous propose des articles, photos et vidéos produits lors du scrutin de ce 24 mars au Sénégal. Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 1 Les Sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024 dans les différentes régions que compte le pays. Cette élection présidentielle est le 12e que le pays connaît depuis son indépendance en 1960. Ils choisissent le cinquième président de la République. C’est une journée électorale relativement calme qu’a connu le Sénégal, après des périodes mouvementées de la crise politique. Une journée calme dans l’ensemble Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 3 Tout s’est bien passé, indiquent les observateurs de cette élection ainsi que les candidats et autres acteurs politiques du pays. Il n’y a pas eu d’incident majeur à signaler à travers tout le territoire. Les 7,3 millions d'électeurs convoqués dans les urnes ont fait massivement le déplacement. Les autorités en charge de l’organisation de cette élection indiquent que le taux de participation avoisine les 60%. Le direct Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 7 Déjà à la fin de la matinée, presque tous les candidats ont voté. Sauf un, Mouhamed Boun Abdallah qui a été évacué en France dans la nuit de samedi à dimanche pour des soucis de santé. Tous les candidats, après avoir voté, ont appelé leurs partisans à la paix et au calme. Ils ont salué le bon déroulement des opérations de vote et émis leur souhait que cette sérénité prévale jusqu’à la fin du processus. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a déclaré le président sortant Macky Sall au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick. Ousmane Sonko, quant à lui, a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année et à être vigilant pour la suite. « La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage », a-t-il déclaré après le vote. Le candidat Bassirou Diomaye Faye, après avoir appelé ses partisans au calme, a souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection. Amadou Ba, candidat de la Coalition au pouvoir, qui a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée, a aussi appelé au calme et s’est réjoui du bon déroulement des opérations. Même son de cloche au niveau des autres candidats qui ont accompli leur devoir dans leurs différents centres de vote. Cependant, certains électeurs, notamment ceux qui devraient voter au centre de vote du lycée Keur Massar, ont eu quelques soucis pour pouvoir faire leur devoir. Ce qui a provoqué leur colère dans ce centre de vote. Difficultés des électeurs à Keur Massar Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 5 Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer. Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ». Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre viking d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne
peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter. Posté à 20:4120:41 Election présidentielle 2024 au Sénégal : Que retenir de la journée électorale et à quand les résultats ? déroulement du vote à la mi-journée La journée électorale a connu un calme en général au Sénégal, dans le cadre de l'élection présidentielle ce dimanche 24 mars 2024. 18:50 Election présidentielle 2024 au Senegal : Début de dépouillement après la fermeture des bureaux de vote élection présidentielle du 24 mars au Sénégal Les bureaux de vote ont fermé depuis 18 heures au Sénégal. L’opération de dépouillement et de décompte des voix a commencé dans plusieurs bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs ainsi que représentants des différents candidats. 18:06 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Les médias jouent un rôle important tout au long d’un processus électoral. Au Sénégal, les journalistes n’ont pas fait exception. Directs, interviews, reportages et analyses, tous les formats sont au rendez-vous. L’Agence de Presse du Sénégal, APS, par exemple, a déployé des envoyés spéciaux dans plusieurs parties du pays pour suivre le déroulement du scrutin. De l’autre côté, le portail d’informations Seneweb a dressé les profils des différents candidats tout en analysant leurs chances de remporter cette présidentielle. La Radio & Télévision Sénégalaise, RTS, a organisé des plateaux spéciaux consacrés au scrutin. La RTS a également diffusé des interventions de personnalités comme le président sortant Macky Sall. Il y a aussi le Groupe Futurs Médias (radio, télévision et site web) qui a donné la parole aux électeurs sur ses plateformes. Plusieurs autres médias traditionnels et en ligne suivent de près le déroulement du scrutin et publient régulièrement des mises à jour. Posté à 17:4417:44 Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Progressivement, la journée de vote touche à sa fin. Si dans la plupart des centres de vote, l’opération s’est déroulée dans le calme et la sérénité, ce n’est pas le cas au centre de vote du lycée de Keur Massar. Un certain nombre d’électeurs ont, toute la journée, exprimé leur mécontentement parce qu’ils n’ont pas pu voter. Ce qui s’est passé Jusqu’en 2021, Keur Massar faisait partie du département de Pikine. Et tous les électeurs dont les cartes portent l’inscription « département de Pikine » pouvaient voter sans difficulté. Mais depuis que Keur Massar a été érigé en département en 2021, la donne a changé. De nouvelles cartes ont été confectionnées aux électeurs qui votaient à Keur Massar. Ces derniers, qui ne pourront plus voter avec leurs anciennes cartes, devraient aller retirer les nouvelles qui portent l’inscription « département de Keur Massar ». Mais selon ces électeurs, l’information n’a pas circulé. Ce matin, c’est la colère qui se lisait sur leur visage. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que le département a été déplacé à Keur Massar », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. « Sur ma pièce, c’est le département de Pikine au lieu de Keur Massar. Mais quand j’ai vérifié au bureau de vote N°2 avec le président, il a vu effectivement que mon nom se trouve sur la liste, mais que je ne peux pas voter. Juste le département Pikine qui dérange », explique Maman Aissata Camara électrice.
Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre de vote d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Aujourd’hui, ils ont eu la grande surprise de ne pas pouvoir voter parce que sur leur carte c’est bien écrit département de Pikine au lieu de département de Keur Massar », précise-t-elle. Il y a quelques heures, le président de la CENA est intervenu en disant que son institution est en discussion avec la Direction générale des élections (DGE) pour voir les mesures à prendre pour permettre à ces électeurs d’accomplir leur devoir civique. Il a même indiqué que la Commission a demandé que ces électeurs votent, mais que l’information n’est pas parvenue aux responsables des centres de vote à temps. 15:43 Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les citoyens sénégalais auront le choix d’élire le successeur de Macky Sall dans une élection particulière. →À lire aussi Découvrez ici pourquoi : Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 14:5914:59 "Un processus calme, efficace et ordonné" - le bilan à mi-parcours de la Cheffe de la mission d’observation de l’UE Malin Björk, cheffe de la mission d’observation de l’Union Européenne, partage un bilan de la matinée de ce dimanche 24 mars dans les bureaux de vote visités par leurs observateurs. L’UE a déployé une centaine d’observateurs pour observer la présidentielle sénégalaise. Posté à 14:4314:43 Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants » Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants »-2 Bassirou Diomaye Faye un des favoris de la présidentielle, a dit toute sa confiance de remporter l’élection dès le premier tour. Il s’est exprimé après avoir effectué son devoir citoyen dans son village natal, à Ndiaganiao, dans le département de Mbour. « Je demeure confiant quant au choix de la rupture que je suis à même d’incarner cette rupture mieux que quelconque candidat. Je demeure convaincu que cette élection se jouera dès le premier tour. Au sortir de cette élection présidentielle, il n’y a pas de raisons que la tradition démocratique ne soit pas perpétuée, à savoir que le vainqueur soit félicité par le vaincu pour un retour définitif à la sérénité », a-t-il déclaré après son vote. Pour sa part, le candidat du pouvoir l’ancien premier ministre Amadou Ba s’est montré confiant tout en exprimant son souhait que le nouveau président soit connu « dès lundi ». « Mon souhait le plus ardent est que dès demain, les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président et qu’ils puissent vaquer tranquillement à leurs occupations. Les Sénégalais ont besoin d’un président qui va répondre à leurs besoins ». « Je suis très très confiant quant à l’issue du scrutin dès le premier tour, au regard de l’effervescence que notre campagne a suscité », a réagi Amadou Ba. Posté à 14:1614:16 Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal-2 Parmi les candidats les plus en vue figurent on compte des personnalités politiques de premier plan, avec une longue expérience des affaires étatiques, mais aussi des dirigeants de partis d'opposition bien implantés dans le landerneau politique, ainsi que des candidats indépendants avec de riches parcours professionnels. →À lire aussi Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Posté à 13:2013:20 Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême
L’une des particularités de cette élection présidentielle au Sénégal, c’est qu’elle se déroule en pleine période de jeûne du Ramadan. Même si la Constitution ne fait pas de l’islam la religion de la République sénégalaise, la forte proportion de musulmans, plus de 94%, fait du pays l’un des plus islamisés d’Afrique noire. La période du Ramadan est sacrée pour cette communauté qui s’abstient de boire et de manger de l’aube jusqu’au coucher du soleil pour effectuer le jeûne. La coïncidence de la période avec l’élection présidentielle de dimanche 24 mars fait un peu grincer les dents. Beaucoup pensent que ce moment de recueillement et de silence chez les Sénégalais a eu un impact sur la campagne électorale et donc va déteindre sur la mobilisation dans les bureaux de vote ce dimanche. Néanmoins ils ne sont pas tous du même avis. Pour certains, le vote est un devoir civique et donc même en temps de Ramadan, chacun pourra accomplir ce devoir sans que cela impacte son jeûne. C’est le cas de cette Sénégalaise qui pense que le Ramadan n’a vraiment pas impacté la campagne électorale. « Le Ramadan ne nous pénalise pas du tout. Nous partons battre campagne, et le soir nous revenons préparer le repas pour nos familles. Nous vivons la campagne comme d’habitude », dit-elle. « Le carême n’a pas gêné la campagne. Et je pense que le jour du scrutin ça ne dérangera pas », renchérit une chrétienne, également en période de jeûne. Pour d’autres, le temps de carême étant un moment de silence et de communion avec son Dieu, il a eu des répercussions sur la campagne électorale et ce sera probablement la même situation le jour de vote. « J’ai remarqué qu’il n’y a pas eu beaucoup de monde pour les caravanes pendant la campagne, parce qu’on est dans le mois de ramadan qui est un temps de cœur à cœur et de silence avec son Dieu. C’est un peu difficile de lier ça avec la campagne », constate un autre. Pour lui, il n’y a pas eu beaucoup d’ambiance lors de la campagne comme ce qu’on a vécu lors de la présidentielle de 2019. 13:04 «Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le ministre sénégalais de l'intérieur Mouhamadou Makhtar Cissé, vient de voter dans sa ville natale de Dagana, au Nord du Sénégal. Après avoir voté,Mouhamadou Makhtar Cissé a exprimé sa vive joie de pouvoir remplir son devoir civique. Le ministre a également indiqué qu'il reviendra à Dakar après avoir voté pour superviser la suite du processus depuis la capitale. Il a appelé tout le monde à rester calme et à maintenir une attitude pacifique durant tout le processus. « Le jour des élections doit être un jour démocratique, il ne doit pas être un jour de tension et de violence. » Mouhamadou Makhtar Cissé a appelé les candidats à mettre en avant le Sénégal et à se rappeler que le pays transcende les individus. 12:16 Présidentielle 2024 : Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Présidentielle 2024 Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Après avoir effectué son devoir civique au centre Thierno Mamadou Sall de Fatick (centre) accompagné de la première dame Marième Faye Sall, le président sortant Macky Sall s’est exprimé devant la presse, invitant les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats. Ce soir les bureaux de vote vont parler, cela reflétera le choix des Sénégalais. Nous espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a conclu le président Macky Sall qui n’est pas candidat à sa propre succession. Non candidat à la présidentielle, le leader de l’opposition Ousmane Sonko a voté dans son fief à Ziguinchor (sud) avant de réagir face aux journalistes. Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 8 « Nous observons une forte affluence des sénégalais de la diaspora et de l'intérieur du pays. Je crois qu'on n’a jamais vu une telle affluence dès les premières heures de scrutin.
Je n’ai aucun doute que notre candidat Bassirou Diomaye Faye sera largement élu, et ça dès le premier tour ». « Je lance un appel au calme et à la sérénité et j’invite le ministre de l’intérieur à prendre toutes les mesures pour sécuriser le vote », a-t-il ajouté. Posté à 12:1612:16 Bassirou Diomaye Faye vient de voter Bassirou Diomaye Faye vient de voter Le candidat Bassirou Diomaye Faye vient d'accomplir son devoir civique dans sa ville natale, Ndiaganiao. Il a appelé à la paix après des mois de tensions politiques. Il est le candidat de la coalition Diomaye Président pour la présidentielle au Sénégal. 11:40 Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 11:1211:12 Des électeurs réagissent après leur vote C’est dimanche de vote au Sénégal. Les 7,3 millions d’électeurs se rendent dans les urnes aujourd’hui pour élire leur cinquième président de la République. Tôt ce matin, ils sont déjà nombreux à accomplir ce devoir civique. Les bureaux de vote ont ouvert depuis 8 heures. On retrouve de longs fils d’attente devant chaque bureau de vote dans la plupart des centres de vote où est passée l’équipe de la BBC Afrique. El Hadj Amadou, très content d’avoir accompli son devoir de citoyen, décrit l’ambiance dans son centre de vote : « Le vote s’est bien déroulé pour l’instant, et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé un peu rapidement. Pour moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée ». Il souhaite que la réalité des urnes reflète la volontaire populaire à travers les résultats. C’est un soulagement pour Souleymane qui aussi a voté ce matin. Pour lui, la crise lui a fait perdre tout espoir de vote. Mais il est tout content pour avoir fait le geste. « On a voté, pourvu que ça continue dans le calme », souhaite-t-il. « En attendant la suite, nous patientons. C’est un sentiment de devoir accompli », ajoute Maimouna qui aussi a déjà voté ce matin. Dans l’ensemble, tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux de vote à 8 heures. Ceux-ci fermeront à 18 heures. Les citoyens sénégalais continuent d’affluer vers les centres de vote pour le choix du prochain président de la République. Posté à 9:409:40 Ce qu’on peut savoir du parcours des anciens présidents du Sénégal parcours des anciens présidents du Sénégal Macky Sall n’est pas candidat à la présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024. Il l’a déjà dit lors d’un discours qu’il prononcé le lundi 3 juillet 2023. Le 2 avril prochain prend fin son mandat à la tête du Sénégal. Il compte passer la main à celui qui sera élu prochain président de la République. Il a été élu pour la première fois en 2012 puis réélu en 2019. Après des mois de suspense, il a pris la parole pour annoncer sa décision de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la tête du pays, faisant ainsi décrisper la tension politique dans le pays. Pour Prof Mbaye Thiam, historien et enseignant retraité de l’Ecole des bibliothécaires, archiviste et documentaliste de L'Université Cheick Anta Diop de Dakar, cette élection est l’une des plus incertaines. « Le fait que le président sortant était candidat lui donnait toujours une longueur d’avance sur les autres et on estimait que c’est le candidat le mieux positionné. Ici n’ayant pas ce profil, on a des incertitudes sur les résultats », a-t-il analysé. Avant Macky Sall, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade avaient aussi dirigé le Sénégal. Léopold Sédar Senghor Il était dans un contexte de domination coloniale, selon Prof Mabaye Thiam. Il a eu le privilège de conduire le Sénégal à l’indépendance. Il a instauré une rupture avec le colonisateur de manière douce, ce qui a fait que ce dernier a perdu sa souveraineté politique sur le pays, mais a gardé l’essentiel. « Nous avons substitué la coopération à la colonisation », disait le Général De Gaule. Une indépendance factuelle, car la France gardait encore le Sénégal dans son pré carré, comme le souligne le Professeur d’Université.
En 1981, le président Leopold Sédar Senghor avait démissionné en remettant le pouvoir à Abdou Diouf. Abdou Diouf Il a dirigé le Sénégal pendant 19 ans et 3 mois. C’est le président qui a enjambé les deux périodes, la période coloniale et la période de l’indépendance. Il a succédé à Senghor dans les formes qui ont été décriées à l’époque. Abdou Diouf s’est moulé, selon Prof Mbaye Thiam, dans une forme de continuité du système coloniale vers l’accès à une forme d’indépendance plus ou moins douce mais qui, en réalité, reflétait l’attachement à nos racines de colonisés par la France. Abdoulaye Wade Il a présidé la destinée du Sénégal de 2000 à 2012. C’est lui qui a passé le flambeau à Macky Sall. Il est de la même génération que Senghor. Le président Abdoulaye Wade est aussi né dans le système colonial, avec des préoccupations sur comment améliorer les conditions des Sénégalais dans le système colonial. « Le fait qu’il soit resté longtemps dans l’opposition, qu’il ait enduré la répression d’Abdou Diouf, l’a amené, quand il est arrivé au pouvoir porté par des jeunes, à opérer une certaine forme de rupture, non pas dans le fonctionnement de l’Etat, mais une rupture dans l’objet de l’Etat », a souligné Prof Mbaye Thiam qui a énuméré la bataille du développement que Wade a fait pour le pays. Tout cela a amené un changement d’orientation du système vis-à-vis de Senghor et d’Abdou Diouf, selon lui. 9:09 Des votants dans un bureau de vote de St Louis Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 9 Au centre Abdou Diouf de St-Louis, le vote a démarré à l'heure et les citoyens accomplissent leur devoir civique. Posté à 8:348:34 Des citoyens prêts à voter à Boucotte sud, Ziguinchor Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 13 Au centre de vote Amath Barry, de Boucotte sud à Ziguinchor, les votants sont arrivés en masse pour accomplir leur acte civique. 8:20 Les Sénégalais votent aujourd’hui Les Sénégalais votent aujourd’hui Le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal se déroule ce dimanche 24 mars 2024 sur toute l’étendue du territoire. Les citoyens en âge de voter sont appelés aux urnes aujourd’hui pour élire leur prochain président de la République, le cinquième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sur les 18 millions d’habitants que compte la population sénégalaise, sont appelés à voter ce dimanche. Un chiffre légèrement en hausse par rapport à celui que le pays a connu lors de la présidentielle de 2019 où 6 683 043 étaient inscris sur la liste électorale. Ces votants devront choisir parmi 19 candidats dans la course à la magistrature suprême. Les bureaux de vote s’ouvrent à 8 heures et fermeront dans la soirée à 18 heures. Au Sénégal, depuis le référendum constitutionnel de 2016, le président de la République est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à 2 tours. Macky Sall, le président sortant n’est pas candidat. C’est la première fois au Sénégal qu’un président sortant ne participe pas à l’élection présidentielle. Pour gagner cette élection au premier tour, il faut recueillir la majorité absolue, soit plus de 50% des voix. Si aucun candidat n’obtient ce score, un second tour est organisé dans les deux semaines qui suivent la proclamation des résultats pour départager les candidats arrivés en tête. Il faut attendre au moins 5 jours avant de connaître les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes. 8:11 Bienvenue Bienvenue sur cette page. Nous vous proposerons des articles, photos et vidéos sur le scrutin de ce 24 mars au Sénégal Par Kafunel Sources : BBC.com/Afrique
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EN DIRECT Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal. Retrouvez sur cette page notre couverture de l'élection présidentielle du 24 mars au Sénégal. Kafunel vous propose des articles, photos et vidéos produits lors du scrutin de ce 24 mars au Sénégal. Couverture des elections présidentielles 2024 au Sénégal Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 1 Les Sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024 dans les différentes régions que compte le pays. Cette élection présidentielle est le 12e que le pays connaît depuis son indépendance en 1960. Ils choisissent le cinquième président de la République. C’est une journée électorale relativement calme qu’a connu le Sénégal, après des périodes mouvementées de la crise politique. Une journée calme dans l’ensemble Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 3 Tout s’est bien passé, indiquent les observateurs de cette élection ainsi que les candidats et autres acteurs politiques du pays. Il n’y a pas eu d’incident majeur à signaler à travers tout le territoire. Les 7,3 millions d'électeurs convoqués dans les urnes ont fait massivement le déplacement. Les autorités en charge de l’organisation de cette élection indiquent que le taux de participation avoisine les 60%. Le direct Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 7 Déjà à la fin de la matinée, presque tous les candidats ont voté. Sauf un, Mouhamed Boun Abdallah qui a été évacué en France dans la nuit de samedi à dimanche pour des soucis de santé. Tous les candidats, après avoir voté, ont appelé leurs partisans à la paix et au calme. Ils ont salué le bon déroulement des opérations de vote et émis leur souhait que cette sérénité prévale jusqu’à la fin du processus. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a déclaré le président sortant Macky Sall au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick. Ousmane Sonko, quant à lui, a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année et à être vigilant pour la suite. « La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage », a-t-il déclaré après le vote. Le candidat Bassirou Diomaye Faye, après avoir appelé ses partisans au calme, a souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection. Amadou Ba, candidat de la Coalition au pouvoir, qui a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée, a aussi appelé au calme et s’est réjoui du bon déroulement des opérations. Même son de cloche au niveau des autres candidats qui ont accompli leur devoir dans leurs différents centres de vote. Cependant, certains électeurs, notamment ceux qui devraient voter au centre de vote du lycée Keur Massar, ont eu quelques soucis pour pouvoir faire leur devoir. Ce qui a provoqué leur colère dans ce centre de vote. Difficultés des électeurs à Keur Massar Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 5 Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer. Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ». Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre viking d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne
peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter. Posté à 20:4120:41 Election présidentielle 2024 au Sénégal : Que retenir de la journée électorale et à quand les résultats ? déroulement du vote à la mi-journée La journée électorale a connu un calme en général au Sénégal, dans le cadre de l'élection présidentielle ce dimanche 24 mars 2024. 18:50 Election présidentielle 2024 au Senegal : Début de dépouillement après la fermeture des bureaux de vote élection présidentielle du 24 mars au Sénégal Les bureaux de vote ont fermé depuis 18 heures au Sénégal. L’opération de dépouillement et de décompte des voix a commencé dans plusieurs bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs ainsi que représentants des différents candidats. 18:06 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Comment la presse sénégalaise a couvert l’élection présidentielle de 2024 Les médias jouent un rôle important tout au long d’un processus électoral. Au Sénégal, les journalistes n’ont pas fait exception. Directs, interviews, reportages et analyses, tous les formats sont au rendez-vous. L’Agence de Presse du Sénégal, APS, par exemple, a déployé des envoyés spéciaux dans plusieurs parties du pays pour suivre le déroulement du scrutin. De l’autre côté, le portail d’informations Seneweb a dressé les profils des différents candidats tout en analysant leurs chances de remporter cette présidentielle. La Radio & Télévision Sénégalaise, RTS, a organisé des plateaux spéciaux consacrés au scrutin. La RTS a également diffusé des interventions de personnalités comme le président sortant Macky Sall. Il y a aussi le Groupe Futurs Médias (radio, télévision et site web) qui a donné la parole aux électeurs sur ses plateformes. Plusieurs autres médias traditionnels et en ligne suivent de près le déroulement du scrutin et publient régulièrement des mises à jour. Posté à 17:4417:44 Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Des difficultés pour certains électeurs à Keur Massar Progressivement, la journée de vote touche à sa fin. Si dans la plupart des centres de vote, l’opération s’est déroulée dans le calme et la sérénité, ce n’est pas le cas au centre de vote du lycée de Keur Massar. Un certain nombre d’électeurs ont, toute la journée, exprimé leur mécontentement parce qu’ils n’ont pas pu voter. Ce qui s’est passé Jusqu’en 2021, Keur Massar faisait partie du département de Pikine. Et tous les électeurs dont les cartes portent l’inscription « département de Pikine » pouvaient voter sans difficulté. Mais depuis que Keur Massar a été érigé en département en 2021, la donne a changé. De nouvelles cartes ont été confectionnées aux électeurs qui votaient à Keur Massar. Ces derniers, qui ne pourront plus voter avec leurs anciennes cartes, devraient aller retirer les nouvelles qui portent l’inscription « département de Keur Massar ». Mais selon ces électeurs, l’information n’a pas circulé. Ce matin, c’est la colère qui se lisait sur leur visage. « Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que le département a été déplacé à Keur Massar », regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine. « Sur ma pièce, c’est le département de Pikine au lieu de Keur Massar. Mais quand j’ai vérifié au bureau de vote N°2 avec le président, il a vu effectivement que mon nom se trouve sur la liste, mais que je ne peux pas voter. Juste le département Pikine qui dérange », explique Maman Aissata Camara électrice.
Pour Salimata Baldé, directrice de l'école primaire d'Aïnoumady et responsable du centre de vote d'Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée. Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale. « Aujourd’hui, ils ont eu la grande surprise de ne pas pouvoir voter parce que sur leur carte c’est bien écrit département de Pikine au lieu de département de Keur Massar », précise-t-elle. Il y a quelques heures, le président de la CENA est intervenu en disant que son institution est en discussion avec la Direction générale des élections (DGE) pour voir les mesures à prendre pour permettre à ces électeurs d’accomplir leur devoir civique. Il a même indiqué que la Commission a demandé que ces électeurs votent, mais que l’information n’est pas parvenue aux responsables des centres de vote à temps. 15:43 Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Les citoyens sénégalais auront le choix d’élire le successeur de Macky Sall dans une élection particulière. →À lire aussi Découvrez ici pourquoi : Les raisons qui rendent inédite l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 14:5914:59 "Un processus calme, efficace et ordonné" - le bilan à mi-parcours de la Cheffe de la mission d’observation de l’UE Malin Björk, cheffe de la mission d’observation de l’Union Européenne, partage un bilan de la matinée de ce dimanche 24 mars dans les bureaux de vote visités par leurs observateurs. L’UE a déployé une centaine d’observateurs pour observer la présidentielle sénégalaise. Posté à 14:4314:43 Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants » Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba se disent « confiants »-2 Bassirou Diomaye Faye un des favoris de la présidentielle, a dit toute sa confiance de remporter l’élection dès le premier tour. Il s’est exprimé après avoir effectué son devoir citoyen dans son village natal, à Ndiaganiao, dans le département de Mbour. « Je demeure confiant quant au choix de la rupture que je suis à même d’incarner cette rupture mieux que quelconque candidat. Je demeure convaincu que cette élection se jouera dès le premier tour. Au sortir de cette élection présidentielle, il n’y a pas de raisons que la tradition démocratique ne soit pas perpétuée, à savoir que le vainqueur soit félicité par le vaincu pour un retour définitif à la sérénité », a-t-il déclaré après son vote. Pour sa part, le candidat du pouvoir l’ancien premier ministre Amadou Ba s’est montré confiant tout en exprimant son souhait que le nouveau président soit connu « dès lundi ». « Mon souhait le plus ardent est que dès demain, les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président et qu’ils puissent vaquer tranquillement à leurs occupations. Les Sénégalais ont besoin d’un président qui va répondre à leurs besoins ». « Je suis très très confiant quant à l’issue du scrutin dès le premier tour, au regard de l’effervescence que notre campagne a suscité », a réagi Amadou Ba. Posté à 14:1614:16 Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal-2 Parmi les candidats les plus en vue figurent on compte des personnalités politiques de premier plan, avec une longue expérience des affaires étatiques, mais aussi des dirigeants de partis d'opposition bien implantés dans le landerneau politique, ainsi que des candidats indépendants avec de riches parcours professionnels. →À lire aussi Qui sont les principaux candidats à l'élection présidentielle au Sénégal ? Posté à 13:2013:20 Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême Ce que pensent les Sénégalais de la campagne et du vote en ces périodes de Ramadan et de Carême
L’une des particularités de cette élection présidentielle au Sénégal, c’est qu’elle se déroule en pleine période de jeûne du Ramadan. Même si la Constitution ne fait pas de l’islam la religion de la République sénégalaise, la forte proportion de musulmans, plus de 94%, fait du pays l’un des plus islamisés d’Afrique noire. La période du Ramadan est sacrée pour cette communauté qui s’abstient de boire et de manger de l’aube jusqu’au coucher du soleil pour effectuer le jeûne. La coïncidence de la période avec l’élection présidentielle de dimanche 24 mars fait un peu grincer les dents. Beaucoup pensent que ce moment de recueillement et de silence chez les Sénégalais a eu un impact sur la campagne électorale et donc va déteindre sur la mobilisation dans les bureaux de vote ce dimanche. Néanmoins ils ne sont pas tous du même avis. Pour certains, le vote est un devoir civique et donc même en temps de Ramadan, chacun pourra accomplir ce devoir sans que cela impacte son jeûne. C’est le cas de cette Sénégalaise qui pense que le Ramadan n’a vraiment pas impacté la campagne électorale. « Le Ramadan ne nous pénalise pas du tout. Nous partons battre campagne, et le soir nous revenons préparer le repas pour nos familles. Nous vivons la campagne comme d’habitude », dit-elle. « Le carême n’a pas gêné la campagne. Et je pense que le jour du scrutin ça ne dérangera pas », renchérit une chrétienne, également en période de jeûne. Pour d’autres, le temps de carême étant un moment de silence et de communion avec son Dieu, il a eu des répercussions sur la campagne électorale et ce sera probablement la même situation le jour de vote. « J’ai remarqué qu’il n’y a pas eu beaucoup de monde pour les caravanes pendant la campagne, parce qu’on est dans le mois de ramadan qui est un temps de cœur à cœur et de silence avec son Dieu. C’est un peu difficile de lier ça avec la campagne », constate un autre. Pour lui, il n’y a pas eu beaucoup d’ambiance lors de la campagne comme ce qu’on a vécu lors de la présidentielle de 2019. 13:04 «Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le Sénégal nous transcende » - Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l'Intérieur Le ministre sénégalais de l'intérieur Mouhamadou Makhtar Cissé, vient de voter dans sa ville natale de Dagana, au Nord du Sénégal. Après avoir voté,Mouhamadou Makhtar Cissé a exprimé sa vive joie de pouvoir remplir son devoir civique. Le ministre a également indiqué qu'il reviendra à Dakar après avoir voté pour superviser la suite du processus depuis la capitale. Il a appelé tout le monde à rester calme et à maintenir une attitude pacifique durant tout le processus. « Le jour des élections doit être un jour démocratique, il ne doit pas être un jour de tension et de violence. » Mouhamadou Makhtar Cissé a appelé les candidats à mettre en avant le Sénégal et à se rappeler que le pays transcende les individus. 12:16 Présidentielle 2024 : Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Présidentielle 2024 Réactions de Macky Sall et Ousmane Sonko Après avoir effectué son devoir civique au centre Thierno Mamadou Sall de Fatick (centre) accompagné de la première dame Marième Faye Sall, le président sortant Macky Sall s’est exprimé devant la presse, invitant les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats. Ce soir les bureaux de vote vont parler, cela reflétera le choix des Sénégalais. Nous espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a conclu le président Macky Sall qui n’est pas candidat à sa propre succession. Non candidat à la présidentielle, le leader de l’opposition Ousmane Sonko a voté dans son fief à Ziguinchor (sud) avant de réagir face aux journalistes. Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 8 « Nous observons une forte affluence des sénégalais de la diaspora et de l'intérieur du pays. Je crois qu'on n’a jamais vu une telle affluence dès les premières heures de scrutin.
Je n’ai aucun doute que notre candidat Bassirou Diomaye Faye sera largement élu, et ça dès le premier tour ». « Je lance un appel au calme et à la sérénité et j’invite le ministre de l’intérieur à prendre toutes les mesures pour sécuriser le vote », a-t-il ajouté. Posté à 12:1612:16 Bassirou Diomaye Faye vient de voter Bassirou Diomaye Faye vient de voter Le candidat Bassirou Diomaye Faye vient d'accomplir son devoir civique dans sa ville natale, Ndiaganiao. Il a appelé à la paix après des mois de tensions politiques. Il est le candidat de la coalition Diomaye Président pour la présidentielle au Sénégal. 11:40 Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Guide de l'élection présidentielle au Sénégal Posté à 11:1211:12 Des électeurs réagissent après leur vote C’est dimanche de vote au Sénégal. Les 7,3 millions d’électeurs se rendent dans les urnes aujourd’hui pour élire leur cinquième président de la République. Tôt ce matin, ils sont déjà nombreux à accomplir ce devoir civique. Les bureaux de vote ont ouvert depuis 8 heures. On retrouve de longs fils d’attente devant chaque bureau de vote dans la plupart des centres de vote où est passée l’équipe de la BBC Afrique. El Hadj Amadou, très content d’avoir accompli son devoir de citoyen, décrit l’ambiance dans son centre de vote : « Le vote s’est bien déroulé pour l’instant, et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé un peu rapidement. Pour moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée ». Il souhaite que la réalité des urnes reflète la volontaire populaire à travers les résultats. C’est un soulagement pour Souleymane qui aussi a voté ce matin. Pour lui, la crise lui a fait perdre tout espoir de vote. Mais il est tout content pour avoir fait le geste. « On a voté, pourvu que ça continue dans le calme », souhaite-t-il. « En attendant la suite, nous patientons. C’est un sentiment de devoir accompli », ajoute Maimouna qui aussi a déjà voté ce matin. Dans l’ensemble, tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux de vote à 8 heures. Ceux-ci fermeront à 18 heures. Les citoyens sénégalais continuent d’affluer vers les centres de vote pour le choix du prochain président de la République. Posté à 9:409:40 Ce qu’on peut savoir du parcours des anciens présidents du Sénégal parcours des anciens présidents du Sénégal Macky Sall n’est pas candidat à la présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024. Il l’a déjà dit lors d’un discours qu’il prononcé le lundi 3 juillet 2023. Le 2 avril prochain prend fin son mandat à la tête du Sénégal. Il compte passer la main à celui qui sera élu prochain président de la République. Il a été élu pour la première fois en 2012 puis réélu en 2019. Après des mois de suspense, il a pris la parole pour annoncer sa décision de ne pas se présenter pour un troisième mandat à la tête du pays, faisant ainsi décrisper la tension politique dans le pays. Pour Prof Mbaye Thiam, historien et enseignant retraité de l’Ecole des bibliothécaires, archiviste et documentaliste de L'Université Cheick Anta Diop de Dakar, cette élection est l’une des plus incertaines. « Le fait que le président sortant était candidat lui donnait toujours une longueur d’avance sur les autres et on estimait que c’est le candidat le mieux positionné. Ici n’ayant pas ce profil, on a des incertitudes sur les résultats », a-t-il analysé. Avant Macky Sall, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade avaient aussi dirigé le Sénégal. Léopold Sédar Senghor Il était dans un contexte de domination coloniale, selon Prof Mabaye Thiam. Il a eu le privilège de conduire le Sénégal à l’indépendance. Il a instauré une rupture avec le colonisateur de manière douce, ce qui a fait que ce dernier a perdu sa souveraineté politique sur le pays, mais a gardé l’essentiel. « Nous avons substitué la coopération à la colonisation », disait le Général De Gaule. Une indépendance factuelle, car la France gardait encore le Sénégal dans son pré carré, comme le souligne le Professeur d’Université.
En 1981, le président Leopold Sédar Senghor avait démissionné en remettant le pouvoir à Abdou Diouf. Abdou Diouf Il a dirigé le Sénégal pendant 19 ans et 3 mois. C’est le président qui a enjambé les deux périodes, la période coloniale et la période de l’indépendance. Il a succédé à Senghor dans les formes qui ont été décriées à l’époque. Abdou Diouf s’est moulé, selon Prof Mbaye Thiam, dans une forme de continuité du système coloniale vers l’accès à une forme d’indépendance plus ou moins douce mais qui, en réalité, reflétait l’attachement à nos racines de colonisés par la France. Abdoulaye Wade Il a présidé la destinée du Sénégal de 2000 à 2012. C’est lui qui a passé le flambeau à Macky Sall. Il est de la même génération que Senghor. Le président Abdoulaye Wade est aussi né dans le système colonial, avec des préoccupations sur comment améliorer les conditions des Sénégalais dans le système colonial. « Le fait qu’il soit resté longtemps dans l’opposition, qu’il ait enduré la répression d’Abdou Diouf, l’a amené, quand il est arrivé au pouvoir porté par des jeunes, à opérer une certaine forme de rupture, non pas dans le fonctionnement de l’Etat, mais une rupture dans l’objet de l’Etat », a souligné Prof Mbaye Thiam qui a énuméré la bataille du développement que Wade a fait pour le pays. Tout cela a amené un changement d’orientation du système vis-à-vis de Senghor et d’Abdou Diouf, selon lui. 9:09 Des votants dans un bureau de vote de St Louis Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 9 Au centre Abdou Diouf de St-Louis, le vote a démarré à l'heure et les citoyens accomplissent leur devoir civique. Posté à 8:348:34 Des citoyens prêts à voter à Boucotte sud, Ziguinchor Présidentielle 2024 au Sénégal le vote en images 13 Au centre de vote Amath Barry, de Boucotte sud à Ziguinchor, les votants sont arrivés en masse pour accomplir leur acte civique. 8:20 Les Sénégalais votent aujourd’hui Les Sénégalais votent aujourd’hui Le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal se déroule ce dimanche 24 mars 2024 sur toute l’étendue du territoire. Les citoyens en âge de voter sont appelés aux urnes aujourd’hui pour élire leur prochain président de la République, le cinquième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sur les 18 millions d’habitants que compte la population sénégalaise, sont appelés à voter ce dimanche. Un chiffre légèrement en hausse par rapport à celui que le pays a connu lors de la présidentielle de 2019 où 6 683 043 étaient inscris sur la liste électorale. Ces votants devront choisir parmi 19 candidats dans la course à la magistrature suprême. Les bureaux de vote s’ouvrent à 8 heures et fermeront dans la soirée à 18 heures. Au Sénégal, depuis le référendum constitutionnel de 2016, le président de la République est élu pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à 2 tours. Macky Sall, le président sortant n’est pas candidat. C’est la première fois au Sénégal qu’un président sortant ne participe pas à l’élection présidentielle. Pour gagner cette élection au premier tour, il faut recueillir la majorité absolue, soit plus de 50% des voix. Si aucun candidat n’obtient ce score, un second tour est organisé dans les deux semaines qui suivent la proclamation des résultats pour départager les candidats arrivés en tête. Il faut attendre au moins 5 jours avant de connaître les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes. 8:11 Bienvenue Bienvenue sur cette page. Nous vous proposerons des articles, photos et vidéos sur le scrutin de ce 24 mars au Sénégal Par Kafunel Sources : BBC.com/Afrique
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