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#maladiementale
fnielaubin · 4 months
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Pourquoi pas la dépression de façon frontale ?
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immunobiz · 5 months
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Les niveaux de #glutathion sont suggérés comme moyen de diagnostiquer la #dépression.
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#Glutathione levels suggested as a way to diagnose #depression.
Los niveles de #glutatión se sugieren como una forma de diagnosticar la #depresión.
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sophrotherapist71 · 2 years
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Sortez au plus vite de cette dangereuse relation, faites vous aider par un professionnel , il y a un risque réel pour votre santé mentale, protégez vous ! « Le pervers narcissique accompli se montre socialisé, séducteur, socialement conforme, et se voulant supernormal la normalité, c'est son meilleur déguisement. » P.C. Racamier #manipulation #santementale #perversnarcissique #depression #maladiementale #relationtoxique #schizophrenie #conjugopathie (à Le Creusot, France) https://www.instagram.com/p/Ci7GliBr-Yc/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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plaisirdecrire · 3 years
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Moralité: la prochaine fois j'attendrai que mon médecin traitant revienne de vacances pour prendre rendez-vous.
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sur-un-fil · 3 years
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A propos du trouble bipolaire ( phase maniaque) , par Nayialovecat
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Trouble bipolaire, phase maniaque. Texte écrit par @nayialovecat​​. ( Le lien vers l’image est LA, celui du texte ICI.)
“Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée mondiale de la bipolarité, j'ai décidé de dire quelques mots sur l'autre phase du trouble bipolaire. C'est beaucoup plus difficile cette fois-ci car dans mon cas, les épisodes maniaques sont extrêmement légers (ce qu'on appelle l'hypomanie légère), ils sont presque inoffensifs et souhaitables (surtout en comparaison avec mes épisodes dépressifs sévères). Alors pour vous faire prendre conscience du danger d'un épisode maniaque, j'ai dû chercher des informations sur ceux qui n'ont pas ma chance. Commençons par expliquer la différence entre les épisodes maniaques et dépressifs. Comme l'indique le nom du trouble "bipolaire", il s'agit de deux phases opposées et absolument tout ce que l'on connaît d'un épisode dépressif dans un cas maniaque est inversé à cent quatre-vingts degrés. Dans un épisode dépressif, vous n'avez d'énergie pour rien - dans un épisode maniaque, vous en avez trop. Dans un épisode dépressif, vous dormez de nombreuses heures par jour, dans un épisode maniaque, même une heure ou deux de sommeil suffisent pour fonctionner pleinement. Et c'est là que commence le premier danger, car même si vous ne vous sentez pas somnolent, un tel traitement  épuise votre corps. Mais nous y reviendrons dans un instant. Alors que dans un épisode dépressif, une personne malade pense qu'elle est inutile, qu'elle est un fardeau pour les autres, qu'elle ne doit et ne peut rien faire, dans un épisode maniaque, c'est exactement le contraire : une personne malade est certaine de son infaillibilité, de ses capacités et de sa force. En outre, lorsqu'il s'agit d'un épisode maniaque sévère, il peut se produire (comme lors d'un épisode dépressif il y a des délires dépressifs, des pensées suicidaires et le désir de se mutiler) - divers types de troubles mentaux comme les hallucinations, une mauvaise interprétation des faits. Cette phase peut même être accompagnée de beaucoup de formes de schizophrénies plus dangereuse et de divers types de délires / manies (par exemple la persécution). Cependant, une personne en période maniaque a un point commun avec une personne en période dépressive : elle ne doit absolument pas être laissée à elle-même. Encore une fois, j'aimerais partager avec vous quelques bons conseils sur la façon de traiter une personne en phase maniaque... Certains points seront basés sur ma propre expérience (comme je l'ai écrit à plusieurs reprises : je souffre d'un épisode maniaque très léger), d'autres sur les connaissances que j'ai acquises auprès d'autres sources. Si quelque chose manque ici, je suis désolée: j'ai beaucoup moins d'expérience avec cette partie de la bipolarité.
1 - Il ne faut pas laisser une personne en période maniaque livrée à elle-même. La manie ne doit pas être sous-estimée, comme la dépression ne doit pas être sous-estimée. Chaque personne réagit différemment et a une évolution différente du trouble - pour certains (comme moi), c'est juste un flux d'idées et une volonté d'agir. Dans ce cas, il suffit d'inhiber les idées les plus risquées, de ne pas se permettre, par exemple, de démissionner du travail au profit d'une "nouvelle idée commerciale", et de se rappeler de certaines choses évidentes, comme le besoin de manger ou de dormir. Cependant, il y a des personnes qui commencent à se comporter de manière... insupportable pendant cette période. Elles sont plus impétueuses, plus violentes, elles jurent peut-être plus ou se montrent plus agressives. Certaines personnes deviennent paranoïaques, ne font plus confiance aux autres, prennent des décisions étranges, voire stupides.
2- Un épisode maniaque implique une augmentation de l'énergie - c'est donc une bonne idée de mettre cette énergie sur des rails. Il peut être utile de suggérer à cette personne de commencer à pratiquer un sport ou de s'adonner à une activité quelconque (qui donnent nécessairement des résultats visibles - les personnes en période maniaque n'aiment pas pratiquer des activités dont les effets ne sont pas immédiatement visibles). Cela permettra d'évacuer l'énergie et la tension, de permettre à la personne de se concentrer sur quelque chose de précis et d'éviter la course des pensées et la mise en œuvre d'idées dangereuses.
3- Il est essentiel de rappeler à la personne malade de dormir au moins six heures par jour et de faire au moins trois repas sains. Lorsqu'on est en phase maniaque, il est vraiment facile d'oublier - il y a eu des périodes où je dormais 1 à 2 heures par jour et où je passais la journée à boire un seul thé. Cependant, cela abîme vraiment le corps, ce n'est pas sain pour lui . C'est pourquoi vous devez forcer la personne malade à se coucher ou à manger et vous assurer qu'elle le fait réellement.
4- Les médicaments - encore une fois, il faut lui rappeler ses médicaments et faire attention à leur prise, non seulement ceux pour les troubles bipolaires, mais aussi les autres. Il faut savoir que pendant la période maniaque, l'esprit d'un malade est en mode "je sais tout mieux que les autres" (y compris les médecins) et "tout est mieux que bien pour moi, pourquoi m'empoisonner avec ça ?" Ce qui signifie qu'ils renoncent très facilement à des médicaments qu'ils jugent inutiles. Quand ce n'est pas que selon eux, ils n'ont besoin d'aucun médicaments.
5- S'il/elle a un épisode maniaque grave (avec, par exemple, des délires ou d'autres maladies psychotiques), parler peut l'aider. Mais encore une fois : n'essayez pas la logique. La logique ne fonctionne pas vraiment avec la plupart des maladies mentales. C'est interressant d'écouter attentivement la personne malade, voire de lui donner raison, même si elle dit des choses absolument incohérentes. Les pensées des personnes malades vagabondent très souvent, elles peuvent changer de sujet de conversation même en prononçant une seule phrase. Lorsque la conversation prend une mauvaise tournure, qu'elle stimule beaucoup la personne malade, qu'elle déclenche de l'agressivité chez elle, vous pouvez essayer d'orienter doucement la conversation dans une direction sûre, il faut essayer de la calmer. Le plus souvent, cependant, il suffit d'écouter et de ne pas montrer à l'interlocuteur qu'il parle bêtement ou qu'on ne comprend pas quelque chose - il faut alors faire preuve de beaucoup de compréhension et de patience.
6- Les personnes maniaques sont plus enclines à prendre des risques et sont souvent assez audacieuses pour être stupides. Elles sont prêtes à essayer des choses qui menacent leur vie ou leur position - elles peuvent donc facilement tomber dans la toxicomanie, le jeu ou l'alcoolisme. Elles peuvent contracter des prêts, devenir plus volages ou quitter leur emploi du jour au lendemain. Soyez vigilant.
7- Je ne l'ai pas écrit dans mon texte sur les épisodes dépressifs, car je pensais que c'était évident, mais je vais l'écrire ici : très souvent, il est nécessaire de fournir à une personne malade l'aide d'un psychiatre qui l'aidera à maîtriser certaines techniques de réduction au silence.
Je continue à penser que les épisodes dépressifs sont la  phase la plus dangereuse du trouble bipolaire, mais la vérité est que la maladie dans son ensemble est très, très  dangereuse. Dans le cas d'un épisode dépressif, le risque est davantage centré sur la personne malade. Dans le cas d'un épisode maniaque, il peut s'tendre également à l'entourage de la personne malade (elle peut mettre en danger la vie de sa famille en allumant accidentellement un feu ou en conduisant de manière dangereuse en voiture, par exemple). C'est pourquoi il est si important de connaître l'existence de ce trouble et de tout faire pour que la personne malade se soigne.
J'espère qu'avec ce texte, je sensibiliserai quelque peu les gens au trouble bipolaire et que je pourrai peut-être aider quelqu'un qui en est atteint ou qui a un proche malade .”
Nayialovecat
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° “Today, on the occasion of World Bipolar Day, I decided to say a few words about the other pole of BPAD. This time it is much more difficult, because in my case the manic episodes are extremely mild (the so-called mild hypomania), they are almost harmless and desirable (especially in comparison with my severe depressive episodes), so to make yourself aware of how dangerous a depressive episode is, I had to search for information about people who are not so lucky.
Let's start by explaining the difference between manic and depressive episodes. As the name of the disorder "bipolar" implies, these are two opposite poles and absolutely everything known from a depressive episode in a manic case is inverted one hundred and eighty degrees. In a depressive episode, you have no energy for anything - in a manic episode you have too much of it. In depressive people, you sleep many hours a day - in manic, even an hour or two of sleep is enough to function fully. And here the first danger begins, because although you don't feel asleep, such treatment of your body overloads it. But more on that in a moment. When in a depressive episode an ill person thinks he/she is useless, that he is a burden for others, that he should not and cannot do anything - in a manic episode it is exactly the opposite: an ill person is certain of his/her infallibility, his/her abilities, and his/her strength. Additionally, when we are dealing with a severe course of a manic episode, they can occur (like on the side of a depressive episode there are depressive delusions, suicidal thoughts and the desire to mutilate) - various types of mental disorders such as hallucinations, misinterpretation of facts, and even be accompanied by a lot of more dangerous schizophrenia and various types of delusions and manias (e.g. persecution). However, a person during a manic period has one thing in common with a person in a depressive period: they absolutely should not be left to themselves. Again, I would like to share with you a handful of good advice on how to deal with a person at this stage of bipolar affective disorder... Some points will be based on my own experiences (as I wrote many times: I have a very mild manic episode), others on the knowledge I gained from other sources. If something is missing here, I'm sorry, I have much less experience with this part of bipolar.
1 - You should not leave a person in a manic period to themselves. The mania must not be underestimated, like depression must not be underestimated. Different people react differently and have a different course of the disorder - for some (like me) it is just a flow of ideas and willingness to act. In such a case, it is enough to inhibit the more risky ideas, not to allow, for example, to resign from work at the expense of a "new business idea", and to remind about certain obvious things, such as the need to eat or sleep. However, there are people who begin to behave... unbearably during this period. They are more impetuous, violent, maybe more swearing or showing aggression. There are people who get paranoid, stop trusting others, make strange or even stupid decisions.
2- A manic episode involves an increase in energy - so it's a good idea to put that energy back on track. Perhaps it is worth suggesting to such a person that he/she start practicing some sport or engage in some activity (necessarily giving visual effects - people in a manic period do not like to perform activities whose effects cannot be seen immediately). This will help relieve energy and tension, allow such a person to focus on something specific, and will not allow for racing thoughts and the implementation of dangerous ideas.
3- It is essential to remind the ill person to sleep at least these six hours a day and eat at least three wholesome meals. Being in a manic episode, it's really easy to forget about it - there were times when I slept 1-2 hours a day and spent the whole day having a single tea. However, it really destroys the body, it's not healthy for it - that's why you must even force the ill person to go to bed or eat and make sure that they actually do it.
4- Medicaments - again, you should be reminded of medicaments and be careful about taking them, not only those for bipolar disorder, but also all others. You must know that during the manic period, the mind of a sick person is at the stage "I know everything better than others" (also from doctors) and "everything is better than okay with me, why should I poison myself with it?" Which means that they very easily give up medicaments they think are unnecessary. Or it may be that, in their opinion, they don't need any medicaments.
5- If he/she has a severe manic episode (with, for example, delusions or other psychotic illnesses), talking may help. Just again: let's not try logic. Logic doesn't really work with most mental illnesses. It is worth listening carefully to the ill person, even agreeing them, even if they say absolutely incoherent things. The thoughts of ill people wander very often, they can change the topic of conversation even while uttering one sentence. When the conversation takes a wrong turn, it stimulates the ill person a lot, triggers aggression in her/him, you can try to gently direct the conversation in a safe direction, it's necessary to try to calm down. Most often, however, it is enough to just listen and not show the interlocutor that he/she is talking stupid or that we don't understand something - so you shoulD show a lot of understanding and patience
6- Manic people are more prone to taking risks and are often bold enough to be stupid. They are willing to try things that threaten their life or position - therefore they can easily fall into drug addiction, gambling or alcoholism. They may take loans, become more promiscuous or quit their job overnight. Be vigilant. 7- I didn't write about it in my journal about depressive episodes, 'cause I thought it was obvious, but I will write here: very often it is necessary to provide an ill person with the help of a psychiatrist who will help an ill person master certain techniques of silencing.
Well, personally, I still think depressive episodes are a much more dangerous part of bipolar affective disorder, but the truth is, all of bipolar disorder is insanely dangerous. In the case of a depressive episode, the danger is more focused on an ill person - in the case of a manic episode, it also transfers to an ill person's environment (he/she may pose a threat to life for those around him, e.g. by accidentally starting a fire or driving in a dangerous way in a car). That is why it's so important to be aware of the existence of this disorder and to treating it as soon as possible by the ill person.
I hope that with this text I will slightly increase people's awareness of bipolar affective disorder and maybe help someone who has it or knows someone who has this mental ill.”
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“Przy ostatniej okazji pisałam o epizodach depresyjnych. Dzisiaj, z okazji Światowego Dnia Choroby Afektywnej Dwubiegunowej postanowiłam powiedzieć kilka słów na temat drugiego bieguna ChAD.
Tym razem mam o wiele trudniej, bo w moim przypadku epizody maniakalne mają wyjątkowo łagodny przebieg (tzw. hipomania o łagodnym przebiegu), są wręcz nieszkodliwe i pożądane (zwłaszcza w zestawieniu z moimi ciężkimi epizodami depresyjnymi), dlatego, aby uzmysłowić nawet samej sobie, jak niebezpieczny jest epizod depresyjny, musiałam poszukać informacji o osobach, które takiego szczęścia nie mają. Zacznijmy od wyjaśnienia, czym różni się epizod maniakalny od depresyjnego. Jak sama nazwa choroby "dwubiegunowa" wskazuje, są to dwa przeciwne bieguny i absolutnie wszystko, co było znane z epizodu depresyjnego w przypadku maniakalnego jest odwrócone o sto osiemdziesiąt stopni. W epizodzie depresyjnym nie ma się na nic energii – w maniakalnym ma się jej aż za dużo. W depresyjnym sypia się po kilkanaście godzin na dobę – w maniakalnym wystarcza nawet godzina lub dwie snu, aby funkcjonować w pełni sprawnie. I już tu zaczyna się pierwsze niebezpieczeństwo, bo choć nie ma się uczucia niewyspania, takie traktowanie swojego ciała mocno je przeciąża. Ale o tym za chwilę. Gdy w epizodzie depresyjnym osobie chorej wydaje się, że do niczego się nie nadaje, że jest dla innych obciążeniem, że nie powinna i nie potrafi niczego zrobić – w maniakalnym jest dokładnie odwrotnie: osoba chora jest pewna swojej nieomylności, swoich umiejętności, swojej siły. Dodatkowo, gdy mamy do czynienia z ciężkim przebiegiem epizodu maniakalnego, mogą dochodzić (tak ja po stronie epizodu depresyjnego są urojenia depresyjne, myśli samobójcze i chęć okaleczania się) – różnego rodzaju zaburzenia umysłowe takie jak halucynacje, nadinterpretacja faktów, a nawet mogą towarzyszyć mu dużo bardziej niebezpieczne schizofrenia i różnego rodzaju urojenia oraz manie (np. prześladowcza). Osobę w czasie trwania okresu maniakalnego łączy jednak z osobą w okresie depresyjnym jedna rzecz: absolutnie nie powinna być pozostawiona samej sobie.
Znów chciałabym się podzielić z Wami garścią dobrych rad, jak postępować z osobą będącą na tym etapie choroby afektywnej dwubiegunowej… Kilka punktów będzie opartych na moich własnych doświadczeniach (jak wielokrotnie pisałam: mam bardzo łagodny przebieg epizodów maniakalnych), pozostałe na wiedzy, którą zdobyłam z innych źródeł. Jeśli czegoś tu brakuje, bardzo przepraszam, mam zdecydowanie dużo mniejsze doświadczenie z tą częścią dwubiegunówki.
1- Nie należy zostawiać osoby będącej w okresie maniakalnym samej sobie. Nie wolno bagatelizować maniactwa tak samo jak nie wolno bagatelizować depresji. Różne osoby różnie reagują i mają różny przebieg choroby – u niektórych (jak u mnie) jest to po prostu przypływ pomysłów i chęci działania. W takim wypadku wystarczy jedynie hamować co ryzykowniejsze pomysły, nie pozwolić na przykład na rezygnację z pracy kosztem „nowego pomysłu na biznes”, a także przypominać o pewnych oczywistościach, jak potrzeba spożywania pokarmów czy snu. Są jednak osoby, które w tym okresie zaczynają zachowywać się… nieznośnie. Są bardziej porywcze, gwałtowne, może więcej przeklinają lub przejawiają agresję. Są osoby, którym włączają się paranoje, przestają ufać innym, podejmują dziwne albo wręcz głupie decyzje.
2- Epizod maniakalny wiąże się ze zwiększeniem energii – dobrym pomysłem zatem jest skierowanie owej energii na właściwe tory. Może warto zasugerować takiej osobie, aby zaczęła uprawiać jakiś sport albo zaangażowała się w jakąś czynność (koniecznie dającą wizualne efekty – osoby w okresie maniakalnym nie lubią wykonywać czynności, których efektów nie widać od razu). To pomoże rozładować energię i napięcie, pozwoli takiej osobie skupić się na czymś konkretnym, a nie pozwoli na gonitwy myśli i realizację niebezpiecznych pomysłów.
3- Należy koniecznie przypominać osobie chorej o tym, że powinna spać przynajmniej te sześć godzin dziennie i jeść co najmniej trzy pełnowartościowe posiłki. Będąc w epizodzie maniakalnym naprawdę łatwo o tym zapomnieć – zdarzały mi się okresy, kiedy sypiałam po 1-2 godziny dziennie i cały dzień spędzałam na pojedynczej herbacie. To jednak naprawdę wyniszcza organizm, nie jest dla niego zdrowe – dlatego trzeba wręcz wymuszać na osobie chorej, aby kładła się spać czy jadła i zadbać, aby faktycznie to robiła.
4- Leki – znów należy przypominać o lekach i pilnować ich zażywania, nie tylko tych na chorobę afektywną dwubiegunową, ale też wszystkich innych. Musicie wiedzieć, że w trakcie okresu maniakalnego umysł osoby chorej znajduje się na etapie „wiem wszystko lepiej od innych” (także od lekarzy) oraz „przecież wszystko ze mną jest lepiej niż w porządku, po co mam się tym truć?”. Co oznacza, że bardzo łatwo rezygnują z leków, które ich zdaniem są zbędne. A może tak być, że w ich opinii wszystkie leki są im zbędne.
5- W przypadku przebiegu ciężkiego epizodu maniakalnego (któremu towarzyszą np. urojenia lub inne schorzenia psychotyczne) pomóc może rozmowa. Tylko znowu: nie próbujmy logiki. Logika naprawdę nie działa w przypadku większości chorób psychicznych. Warto za to wysłuchać dokładnie osoby chorej, nawet jej przytakiwać, choćby mówiła rzeczy absolutnie nieskładne. Myśli osób chorych często bardzo błądzą, potrafią zmieniać temat rozmowy nawet w trakcie wypowiadania jednego zdania. Gdy rozmowa przybiera zły obrót, pobudza bardzo osobę chorą, wyzwala w niej agresje, można próbować delikatnie kierować rozmowę w bezpiecznym kierunku, koniecznie próbować wyciszyć i uspokoić. Najczęściej wystarczy jednak po prostu słuchać i nie wykazywać rozmówcy, że mówi głupoty, albo że czegoś nie rozumiemy – należy wykazywać zatem wiele zrozumienia i cierpliwości.
6- Osoby w okresie maniakalnym mają większą skłonność do podejmowania ryzyka i często cechują się odwagą graniczącą z głupotą. Są skłonne próbować rzeczy zagrażających ich życiu lub pozycji – dlatego łatwo mogą popaść w narkomanię, hazard czy alkoholizm. Mogą brać kredyty, decydować się na większą rozwiązłość seksualną czy rzucić pracę z dnia na dzień. Należy zachowywać czujność.
7- Nie pisałam o tym w moim dzienniku dotyczącym epizodów depresyjnych, bo uznałam, że to oczywiste, ale tutaj już napiszę: bardzo często niezbędne jest objęcie chorego pomocą lekarza psychiatry, który pomoże choremu opanować pewne techniki wyciszenia
Cóż, osobiście nadal uważam, że okres depresyjny jest dużo bardziej niebezpieczną częścią ChAD, ale prawda jest taka, że cała choroba afektywna dwubiegunowa jest szalenie niebezpieczna. W przypadku epizodu depresyjnego niebezpieczeństwo jest bardziej skupione na osobie chorej – w przypadku epizodu maniakalnego, przenosi się także na otoczenie chorego (chory może stwarzać zagrożenie życia dla osób wokół siebie, np. niechcący wzniecając pożar, albo poruszając się w niebezpieczny sposób samochodem). Dlatego tak ważna jest świadomość istnienia tej choroby i podjęcie jej jak najszybszego leczenia przez osobę chorą.
Mam nadzieję, że tym tekstem odrobinę zwiększę świadomość ludzi na temat ChAD i być może pomogę komuś, kto się z nią boryka albo zna kogoś chorego.”
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frenchlittlecrown · 4 years
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~ 𝕄𝔼ℕ𝕋𝔸𝕃 ℍ𝔼𝔸𝕃𝕋ℍ ~ Traverser une période de doute, de remises en questions, de fatigue intense... Comment la gérer ? En extériorisant. Tenter de tout garder en vous, de contenir vos émotions : c’est emprisonner une douleur, qui s’intensifie avec le temps, une douleur qui se transforme en véritable poison. #maladiementale Appuyer sur le bouton « pause », prenez du recul, pour apprendre à vous connaître, vous et vos limites, à cerner dans quel état vous êtes. Écoutez votre corps souvent il vous envoie des petits signaux. Il n’existe pas de bonne santé physique sans une bonne santé mentale. L’automne est là, il fait froid et le soleil nous manque déjà... Tout comme ces mots que nous devrions mettre sur ces émotions. Accueillez-les. Donnez du sens à ce qui se passe en vous, reprenez confiance en cet instant présent qu’il soit positif ou négatif. À chaque fois que je me sens submergée, je lâche prise ( difficile à faire parfois ). Je laisse sortir ses #émotions que l on redoute tant, qui finalement s’en iront en temps voulu pour laisse place au positif, pour #avancer à grands pas, plus sûre que jamais. Voilà l’une de ces victoires qui se doit d’être célébrée. ( vous le savez il n’y a pas de petites victoires c est en regardant tout le chemin parcouru que l on prend conscience de sa valeur ) « Je prends soin de moi pour pouvoir prendre soin des autres. » Cette fameuse règle de vie qui te force à te dire : STOP. ( poke @charliesnanoudj ) Écrivez, parlez, entourez-vous... Car peu de gens sont capables de déceler le mal-être qu’il y a derrière un sourire. Il n’y a pas que des jolis clichés, des sourires, du beau ou je dirai même du #lisse sur Instagram. La spontanéité et la sincérité ne devraient pas être menées par des likes, des partages... ou une quête d’attention. Mais par ce que notre cœur nous dit de faire. Laissez le s’exprimer, il a des choses à vous dire. Prenez soin de vous. ✨🖤 Merci @selon_manon pour ton dernier post sur le sujet. #mentalhealth #sincérité #relations #humaine #listenyourbody #listenyourheart #mind #knidness #acceptation #emotions #pause #santementale #lacherprise (à Annecy) https://www.instagram.com/p/CGNcLZOhLaZ/?igshid=ei32nmr4qh59
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girly-mess · 4 years
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{ Billet d’humeur #7 }
La dépression
S’il y a bien une chose à savoir, c’est que personne n’est immunisé. Tout le monde peut passer par une phase de dépression dans sa vie, que ce soit à cause de son boulot, de sa vie sentimentale, de sa famille, de ses finances ou d’une accumulation de problèmes variés. 
Mais je ne vais pas vous parler de la simple déprime qui dure 2-3 jours, puis vous reprenez le cours de votre vie et vous passez à autre chose. Non. Je veux vraiment parler d’épisodes dépressifs récurrents. C’est quand le trouble dépressif vous hante, vous poursuit et ne semble pas vouloir disparaître.
C’est imprévisible. Un jour, on peut être en train de passer un super moment entre amis, à rire à gorge déployée, et le lendemain, être submergé par ses émotions, envahi par ses démons et ses voix dans la tête ( souvent, il s’agit de notre propre voix ) qui nous répètent constamment qu’on ne sert à rien, ou que personne ne nous aime et nous aimera, qu’on a la poisse, que tout le monde se fait chier en notre présence parce qu’on n’intéresse personne ( qui voudrait être ami avec quelqu’un de dépressif, pas vrai... ? ), qu’on n’a pas notre place dans ce monde et qu’on a aucune raison de vivre. 
Vous vous souvenez du chanteur de Linkin Park ? Il s’appelait Chester Bennington. Il s’est suicidé par pendaison, après avoir passé des décennies à se remettre d’un abus sexuel lorsqu’il était gamin, en se plongeant dans l’alcool et la drogue. Et certes, ces dernières informations sont des éléments qui ont joué leur rôle par le passé, mais il faut surtout se rappeler que son mal-être profond est né d’un traumatisme et que ça a détruit sa santé mentale. Les paroles de ses nombreuses chansons pleines de détresse et de colère en sont la preuve. Malgré tout, il continuait de survivre, il s’exprimait à travers ses chansons, les fans du groupe lui apportaient de l’amour et de la reconnaissance, il était bien entouré et il avait une vie de famille épanouie avec sa femme et ses enfants. D’ailleurs, sa femme a confié - avec photo à l’appui ci-dessous - que Chester était tout sourire quelques jours auparavant, à profiter du beau temps avec elle et leurs enfants. Comme quoi... il suffit de très peu de temps pour laisser à nouveau nos démons s’immiscer dans notre esprit et ne pas réussir à s’en extirper...
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La dépression, c’est un combat intérieur permanent, c’est être en mode survie au quotidien et c’est très difficile parfois pour les autres de le déceler car souvent, les gens les plus atteints sont les meilleurs pour le cacher. On n’arrive pas à se projeter et on vit au jour le jour, parce qu’on sait - consciemment ou non - qu’on a aucune garantie de voir les jours suivants. 
Comme je l’ai mentionné plus haut, la dépression, ce n’est pas que la tristesse qui suit la perte d’un proche, une séparation ou un sentiment d’échec. Ça peut l’être si les symptômes s’additionnent ( troubles du sommeil, perte d’intérêt et de plaisir, sentiment de désespoir, troubles alimentaires, pensées sombres, fatigue sévère, perte de motivation, et autres... ). C’est une maladie, à ne jamais prendre à la légère. Ça peut se soigner, à condition d’avoir le courage et/ou l’envie de consulter un psychologue ou un psychiatre. A ne pas confondre, car le psychiatre est un médecin qui traite principalement les troubles du comportement et de la personnalité, et qui peut vous prescrire des traitements ( antidépresseurs, somnifères... etc ), tandis que le psychologue n’est pas médecin et propose simplement des thérapies pour les cas de dépression moins sévère. 
Personnellement, je suis encore réticente à tout ça, mais peut-être qu’un jour, je changerais d’avis si je vois que je n’arrive pas à aller mieux par moi-même, en prenant soin de ma santé mentale et physique. Je n’ai jamais été diagnostiquée, du coup, mais je suis encore convaincue que mon cas n’est pas sévère, juste récurrent, et qu’il faut que je surveille méticuleusement mes humeurs et mes pensées. Je me dis que si j’arrive à maintenir une alimentation à peu près saine, pratiquer une activité physique, prendre soin de moi et écouter mes besoins du moment, c’est déjà un bon début vers la guérison et l’épanouissement...
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blog-missangel-blog · 4 years
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BREATH - 「Chapitre 1」 (on Wattpad) https://my.w.tt/BkwR6V3er6 「 Après deux ans d'hospitalisation, Charlie obtient enfin l'autorisation de rentrer chez elle. Si, au premiers abords, cette nouvelle l'enchantait, elle se rend rapidement compte qu'elle se retrouve maintenant plus seule que jamais. Sans personne sur qui s'appuyer, peut-on vraiment affronter ses vieux démons ? 」 marobrn © ‼️ TW: trouble du comportement alimentaire
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untrucdeouf · 3 years
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Source : soft.peachyy Traduit par moi #borderline #BPD #santémentale #maladiesinvisibles #maladiechronique #handicap #psychiatrie #maladiementale #santé https://www.instagram.com/p/CTjwlSJtGSR/?utm_medium=tumblr
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lonelivy · 3 years
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- Si j’étais moi -
[ je ne sais pas encore si ce sera uniquement un témoignage ou si ça deviendra une histoire...]
Voici le prologue que j'ai écrit la nuit dernière vers deux heures du matin, submergée par le chagrin. Pour une fois, j'ai réussi à transformer ma tristesse en quelque chose... C'est un peu brouillon, pardon... : Si j'étais moi (vivre à travers les autres) (enfin exister pour soi) As-tu déjà eu l'impression que tu n'étais pas réellement toi ? Comme si tu n'étais qu'un mélange de toutes les versions de toi qui existent dans la tête des gens. Parce que moi, c'est exactement comme je me sens. Et aucune d'elles ne me correspond vraiment. J'ai toujours pensé que je devais donner un sens à mon existence. Sauf que c'était constamment par rapport à telle ou telle personne. Jamais juste pour moi. Comme si je devais vivre à travers les autres. Encore aujourd'hui, je peine énormément à me défaire de cette idée car je ne parviens pas à concevoir la possibilité que ma vie puisse avoir de l'importance autrement que par l'approbation d'autrui. C'est encore pire depuis le retour de la dépression. Même si aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu avec cette sensation d'être en décalage, maintenant, nous sommes deux à l'intérieur de moi. Ce qui m'éloigne encore plus de qui je suis. Je suis perdue. Plus le temps passe, plus la limite qui les distingue s'estompe. Petit à petit, je deviens un démon. Ou plutôt un fantôme. Celui présent ma tête qui m'empêche d'être. La bulle qu'il a créé dans mes pensées s'épaissit à une vitesse fulgurante et je vois de moins en moins plus loin qu'elle. J'ai peur qu'un jour, elle finisse par tout engouffrer et qu'il ne reste plus une seule trace de la moi que j'étais avant qu'elle ne soit là, que je me transforme en une boule d'émotions et que mon corps ne serve plus qu'à être son contenant. Tout le monde sait mais ils font semblants de n'être au courant de rien.Même si maintenant, nous sommes deux, je suis seule. Je ne vais pas me présenter, je pourrais être n'importe qui. Vous, moi, peu importe de toute façon, c'est comme si je n'avais jamais existé. Si vous vous reconnaissez dans ces mots alors ce texte est (pour) vous.
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fnielaubin · 4 months
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Parallèle avec "addictions prendre le mal à la racine".
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auteuranaismony · 4 years
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Hello ! Souvent on me demande d'ou je tire mes inspis. Eh bien pour Dans l'Ombre par exemple, ça m'est venu d'une personne de mon entourage ( je ne m'étalerais pas plus) mais quoiqu'il en soit, je suis fasciné par tout ce qui touche au cerveau humain et les maladies mentales en font partis. Tout est venu de là, je voulais vous faire devenir fou et peut-être que moi aussi mdr ! Quand on vous dit de faire attention à ce que vous dîtes ! #inspiration #partage #danslombre #thriller #folie #maladie #maladiementale #puzzle https://www.instagram.com/p/B9BVH-nnb_8/?igshid=lxu8x76sywwo
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klsadan-blog · 5 years
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De l'ombre à la lumière - La descente aux enfers (on Wattpad) https://my.w.tt/KvUtJZVbqV Ce livre portera sur ma propre histoire de harcèlement scolaire, d'abandon de mon père et du développement de mes maladies mentales.
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This is a art collaboration between my gorgeous aunt Pirjo from Finland and me. I got a huge piece of finished felting from her, I did the embroidery with dragonflies and hearts on it. I just can not make up my mind, is it finished or should I do some more embroidery, what do you think ? This work is dedicated those with cancer and mental ilness 💞💞💞. Kirsi * #cancer #cancersucks #fuckcancer #mental #mentalilness #mentaldisorder #collabration #felting #art #handcrafted #handmade #syöpä #mielisairaus #käsintehty #krebs #psychische #handarbeit #malaidementale #handgjort #kvilta #psykiskohälsa #maladiementale #faitesalamain #heart #dragonflie #upcycle #diy #pirjopuhakka #finland #konst #handgjort #
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sur-un-fil · 3 years
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A propos du trouble bipolaire ( phase dépressive) , par Nayialovecat
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 Trouble bipolaire, phase dépressive. Texte écrit par @nayialovecat​. ( Le lien vers l’image est LA, celui du texte ICI.)
Une personne dépressive n'est pas celle qui pleure, qui a l'air malheureuse, qui parle de vouloir se suicider... Les personnes dépressives sont souvent souriantes, calmes, et lorsqu'on leur demande ce qui se passe, elles peuvent être enthousiastes et vous convaincre que tout va bien. Il faut donc être très vigilant. Car bien qu'il y ait un sourire à l'extérieur, il peut y avoir un abîme sombre ouvert à l'intérieur qui engloutit lentement cette personne. C'est un peu comme d'autres maladies - le cancer par exemple... une fois que les symptômes sont visibles - il est souvent trop tard pour les traiter.
"Salut  tout le monde. J'aimerais vous donner quelques bons conseils au cas où vous auriez un jour affaire à une personne souffrant de trouble bipolaire et sur le point d'entrer dans une phase de dépression (la plus dangereuse, à mon avis). Mais n'oubliez pas que les conseils que je donne ici sont basés sur mon propre comportement (et celui de deux personnes de ma connaissance souffrant de conditions similaires ) :  tout le monde n'est pas comme moi. Je ne veux pas être un gourou, parce que quelqu'un d'autre qui est déprimé ou quelque chose comme ça pourrait se dire que j'écris n'importe quoi parce que ça ne fonctionne pas pour lui/elle. Néanmoins... Peut-être que quelqu'un en aura besoin, alors je l'écris.
1- Ce qui est répété partout - vous ne devez pas ignorer et minimiser la dépression, vous ne devez pas laisser cette personne seule avec ses pensées, car ce chemin mène tout droit vers  un abîme sombre.
2- Mais cela n'aidera pas si vous dites "Tu as une vie merveilleuse, tu es une personne merveilleuse, tu as une famille merveilleuse".  Je sais que c'est le cas. Et quoi ? Mon cerveau ne fonctionne pas logiquement en ce moment et parler comme ça ne fera que me faire penser "Ma famille est merveilleuse, je ne devrais pas les encombrer avec une merde humaine comme moi". N'essaiez pas la logique avec les personnes bipolaires en crise. La logique ne marche pas.
3- Le pire que vous puissiez dire est "Arrête d'être triste". Putain, vraiment ? Conseil du siècle ! "Tu dis que tu es déprimé ? Alors arrête." Non, vraiment, ça ne marche pas comme ça. Et les beaux slogans de motivation du style "Il suffit de vouloir" , vous pouvez vous les mettre où je pense.
4- Si la personne malade se voit prescrire des médicaments, assurez-vous qu'elle les prend. Je ne parle pas seulement des médicaments pour les troubles bipolaires, mais aussi autres. Par exemple, si elle est diabétique et qu'elle a un épisode dépressif, elle peut très facilement renoncer à l'insuline. Parfois, il s'agit d'un choix conscient ("je veux mourir"), mais parfois, c'est complètement indépendant, elle oublie simplement ou s'en moque. Vous devez les lui  rappeler, pas nécessairement de manière intrusive, mais en lui disant par exemple : "tu as pensé à prendre tous tes médicaments aujourd'hui ?".
5- C'est bien de la contacter de temps en temps, surtout si elle vit seule ou est souvent laissée seule. Il ne s'agit pas seulement d'empêcher le suicide, car toutes les personnes dépressives n'y pensent pas. Mais le fait est qu'elle ne doit pas être seule, qu'elle doit sentir que quelqu'un pense à elle et s'inquiète pour elle. Et même si elle a l'air heureuse au téléphone, ne vous y trompez pas - il s'agit généralement d'un masque et vous devez donc être prudent. Vous devez lui faire comprendre que vous vous souciez d'elle/de lui.
6- Parler du problème ne fonctionne que dans le cas de maladies physiques. Très rarement pour les maladies mentales (encore une fois : n'essayez pas la logique sur une personne souffrant de troubles bipolaires). Pendant les conversations, essayez de ne pas parler du problème, ne l'analysez pas, parlez plutôt d'autre chose.
7- Et un bon conseil qui fonctionne (du moins pour moi) est de garder la personne occupée. Il ne s'agit pas de la faire rire, essayer de la faire rire ne peut qu'aggraver la situation, mais de faire quelque chose de précis. Une activité où elle n'a pas le temps de (trop) penser. Vous pouvez la motiver et faire le ménage ensemble (la méthode de ma grand-mère, ça marche pour  moi). Lui proposer une nouvelle série addictive (la méthode de mon mari, ça marche pour moi). Ou simplement lui parler beaucoup et souvent de choses diverses , de jeux ou de livres (méthode de mes amis, ça marche pour moi). Bien sûr, chaque personne est différente, j'écris sur les choses qui fonctionnent pour moi à ce stade. J'espère que cela vous aidera un peu.”
Nayialovecat. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° ENGLISH VERSION, WRITTEN BY @nayialovecat​
(Drawing link / text link)
Remember, a depressed person is not the one who cries, looks unhappy, talks about wanting to suicide... Depressed people are often smiling, calm, and when asked what's up, they can be enthusiastic convince you that everything is fine. Therefore, you have to be very wary and vigilant. For although there is a smile on the outside, there may be an open dark abyss inside which slowly engulfs this person. It's a bit like other diseases - cancer for example... once symptoms are visible - it is often too late to treat it.
Hey, folks. I'd like to give you a handful of good advices in case you ever have to deal with someone who has bipolar affective disorder and is about to enter a (more dangerous, in my opinion) period of depression. But remember that the advices I am giving here are based on my own behavior (and also on two people with similar conditions that I know) - not everyone is like me. I don't want to be a guru, 'cause someone else who is depressed or something like this might say I'm writing nonsense here 'cause it doesn't work for her/him. Nevertheless... maybe someone will need it, so I write it.
1- What is repeated everywhere - you must not ignore and downplay depression, you must not leave such a person alone with her/his thoughts, 'cause this way goes along straight into the dark abyss.
2- But it won't help if you say "you have such a wonderful life, you are a wonderful person, you have a wonderful family". I know I have. And what? My brain is not working logically right now and talking like that will only make me think "my family is wonderful, I shouldn't burden them with human shit like me". Don't try logic on such people. Logic doesn't work.
3- The absolute worst you can say is "stop being sad". Fuck, really? Century council! "You say you're depressed? So stop it." No, really, it doesn't work that way. And beautiful motivational slogans in the style of "you only need to want" can be put up your ass.
4- If the sick person is prescribed any medications, make sure that he or she takes them. I'm not just talking about medications for bipolar disorder, I'm also talking about all the others. For example, if she/he is diabetic and has a depressive episode, she/he may very easily give up insulin. Sometimes it's a conscious choice ("I want to die"), but sometimes it's completely independent, she/he just forgets or doesn't care. You need to remind such a person, not necessarily intrusively, but like "did you remember about medicaments today?"
5- It is good to contact such a person from time to time, especially if she/he lives alone or is often left alone. It is not just about stopping suicide, 'cause not every depressed person actually thinks of suicide. But the point is that she/he shouldn't be alone, that she/he should feel that someone is thinking about her/him, worrying about her/him. And even if she/he sounds happy on the phone, don't be fooled - it's usually a mask so you should be careful. You have to make it clear that you care about her/him.
6- Talking about the problem works only in the case of physical diseases. Very rarely for mental illness (again: don't try logic on a person with bipolar disorder). During conversations, try not to discuss the problem, do not analyze it, rather talk about anything else.
7- Exactly, a good advice that works (at least for me) is to keep the person busy. It's not about making her/him laugh, trying to make her/him laugh can only make it worse. But to do something specific. Something where there is no time to think. You can motivate such a person to clean up together (my grandmother's method, works at me). A new addictive series can be proposed (my husband's method, works at me). You can just talk a lot and often about various things with this person, about games or books (my friends method, works at me). Of course every person is different, I'm writing about things that work for me at this point. I hope it helps you a little.
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Hej, ludzie. Chciałabym udzielić Wam kilku dobrych rad na wypadek, gdybyście mieli kiedykolwiek do czynienia z osobą, która ma chorobę afektywną dwubiegunową i wkrótce wejdzie w (bardziej niebezpieczny moim zdaniem) epizod depresyjny. Pamiętaj jednak, że rady, których tu udzielam, opierają się na moim własnym zachowaniu (a także na dwóch ludziach z podobnymi schorzeniami, których znam) - nie wszyscy są tacy jak ja. Nie chcę być guru, ponieważ ktoś inny, kto ma depresję lub coś takiego, może powiedzieć, że piszę tutaj bzdury, ponieważ to nie działa dla niej/niego. Niemniej... może ktoś będzie tego potrzebował, więc piszę.
1- To, co się wszędzie powtarza - nie wolno ignorować i bagatelizować depresji, nie wolno zostawiać takiej osoby samej z jej myślami, bo ta droga prowadzi prosto w ciemną otchłań.
2- Ale nic nie pomoże, jeśli powiesz „masz takie wspaniałe życie, jesteś wspaniałą osobą, masz wspaniałą rodzinę”. Wiem, że tak. I co? Mój mózg nie działa teraz logicznie i mówienie w ten sposób sprawi, że pomyślę tylko: „moja rodzina jest wspaniała, nie powinienem obciążać ich takim ludzkim gównem jak ja”. Nie próbuj logiki na takich ludziach. Logika nie działa.
3- Absolutnie najgorsze, co możesz powiedzieć, to „przestań być smutny”. Kurwa, naprawdę? Rada stulecia! "Mówisz, że masz depresję? Więc przestań ją mieć." Nie, naprawdę, to nie działa w ten sposób. A piękne hasła motywacyjne w stylu „trzeba tylko chcieć” można włożyć sobie w dupę.
4- Jeśli choremu przepisano jakieś leki, upewnij się, że je przyjmuje. Nie mówię tylko o lekach na chorobę afektywną dwubiegunową, mówię też o wszystkich innych. Na przykład, jeśli ma cukrzycę i ma epizod depresyjny, może bardzo łatwo zrezygnować z insuliny. Czasami jest to świadomy wybór („Chcę umrzeć”), ale czasami jest całkowicie niezależny, po prostu zapomina lub nie przejmuje się tym. Trzeba takiej osobie przypominać, niekoniecznie nachalnie, ale w stylu „czy pamiętałeś dzisiaj o lekach?”.
5- Dobrze jest od czasu do czasu kontaktować się z taką osobą, zwłaszcza jeśli mieszka sama lub często zostaje sama. Nie chodzi tylko o powstrzymanie samobójstwa, ponieważ nie każda osoba w depresji myśli o samobójstwie. Ale chodzi o to, żeby nie była sama, żeby czuła, że ​​ktoś o niej myśli, martwi się o nią. I nawet jeśli w telefonie brzmi wesoło, nie daj się zwieść - zwykle jest to maska, więc należy zachować ostrożność. Musisz jasno powiedzieć, że ci na niej/nim zależy.
6- Mówienie o problemie działa tylko w przypadku chorób fizycznych. Bardzo rzadko w przypadku choroby psychicznej (ponownie: nie próbuj logiki na osobę z chorobą afektywną dwubiegunową). Podczas rozmów staraj się nie rozmawiać o problemie, nie analizuj go, raczej mów o czymkolwiek innym.
7- Dokładnie, dobrą radą, która działa (przynajmniej dla mnie) jest zajęcie takiej osoby. Nie chodzi o to, żeby ją/jego rozśmieszyć, próba rozśmieszania może tylko pogorszyć sytuację. Ale zrobić coś konkretnego. Coś, nad czym nie ma czasu na myślenie. Taką osobę można zmotywować do wspólnego sprzątania (metoda mojej babci, na mnie działa). Można zaproponować nowy uzależniający serial (metoda mojego męża, na mnie działa). Możesz po prostu dużo i często rozmawiać z tą osobą na różne tematy, o grach lub książkach (metoda moich przyjaciół, na mnie działa). Oczywiście każda osoba jest inna, piszę o rzeczach, które w tym momencie działają dla mnie.
Mam nadzieję, że to trochę Wam pomoże.
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*𝑽𝒆𝒏𝒆𝒛 𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 #𝑱é𝒔𝒖𝒔𝑪𝒉𝒓𝒊𝒔𝒕 𝒆𝒔𝒕 𝒃𝒐𝒏🎶🎺 𝑼𝒏 é𝒗é𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒑é𝒄𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒇𝒐𝒊 𝒐𝒖 𝒔𝒆 𝒎𝒂𝒏𝒊𝒇𝒆𝒔𝒕𝒆𝒓𝒂 𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝑫𝒊𝒆𝒖 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒄𝒆𝒍𝒖𝒊 𝒒𝒖𝒊 𝒗𝒊𝒆𝒏𝒅𝒓𝒂 à 𝑳𝒖𝒊 𝒆𝒕 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒓𝒂. 𝑳𝒆 17 𝑶𝒄𝒕𝒐𝒃𝒓𝒆 2021 𝒆𝒕 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝒄𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒂𝒏𝒏é𝒆 🙂𝑳𝒆𝒕'𝒔 𝑮𝒐 🚶‍♀️🚶‍♂️ 𝒂𝒅𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆 𝒊𝒄𝒊 👇* #evenement #événementcergy #cergypontoise #cergy #franciscombe #foi #priere #église #CULTE #17octobre #aide #douleurs #detresse #souffrance #souffranceautravail #reconfort #maladie #maladiechronique #maladiesinvisibles #maladiementale👉Jésus s'est chargé de "toutes" nos maladies et "toutes" nos douleurs https://centredaccueil.fr/adresses/ (à Cergy) https://www.instagram.com/p/CVE-RRYIclIK-mICa6-2IlHCTxws3u8-SD-3KI0/?utm_medium=tumblr
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