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#médiathèqueEdmondRostand
rostanoide · 5 years
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Les nouveautés du Fonds Photo
La livraison du jour s’avère riche, curieuse et fructueuse avec la parution du superbe livre d’Erwin Olaf, le catalogue de l’exposition consacrée à Luigi Ghirri, le magnifique « Exils » de Koudelka. On aurait tout aussi bien pu mettre en avant la parution de la collection de nus de Saul Leiter, la réédition du mythique « Marseille » de Germaine Krull ou l’emblématique livre d’Avedon, « Sans allusion », une référence absolue en matière d’édition de livres de photographies. A bien y réfléchir, il serait dommage de passer à côté du «Train » de Paul Fusco (prix Nadar décerné par l’association Gens d’images) qui donne plusieurs points de vue sur le dernier voyage en train de la dépouille de Bob Kennedy ou de rater les très lumineuses images de Géraldine Lay qui montrent une Grande Bretagne inédite.
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« Exils », Koudelka, Éditions Delpire, 86 pages. Cote : PHOTO 2 KOUD
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« Masahisa Fukase », Éditions Xavier Barral, introduction de Simon Baker, textes de Tomo Kosuga, Éditions Xavier Barral, 350 photographies couleur et N&B, 416 pages. Cote : PHOTO 2 FUKA
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« Cartes et territoires », Luigi Ghirri, Catalogue de l’exposition au Jeu de Paume, Éditions Mack Michael, 250 pages. Cote :  PHOTO 2 GHIR
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« Structures de domination et de démocratie », David Goldblatt, Éditions du Centre Pompidou/Steidl, 336 pages. Cote : PHOTO 2 GOLD
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« Coréennes », Chris Marker, Éditions l’Arachnéen, 152 pages. Cote : PHOTO 2 MARK
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« I am », Erwin Olaf, Éditions Aperture, 400 pages. Cote : PHOTO 2 OLAF
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« Only bleeding », Frédéric Stucin, Éditions Le bec en l’air, 144 pages. Cote : PHOTO 2 STUC
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« In my room », Saul Leiter, Éditions Steidl, 148 pages. Cote : PHOTO 2 LEIT
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« Marseille », Germaine Krull, Éditions Jeanne Laffitte, , 71 pages. Cote : PHOTO 2 KRUL
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«  Sans Allusion », Avedon, 160 pages, Éditions Taschen. Cote : PHOTO 2 AVED
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«  North End », Géraldine Lay, Éditions Actes Sud – Beaux-Arts, 96 pages. PHOTO 2 LAY
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« Magnum Chine », Éditions Actes Sud/Beaux-Arts, 378 pages. PHOTO 3
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« The train », Paul Fusco, Éditions Textuel, 143 pages. Cote : PHOTO 2 FUSC
Toutes ces nouveautés sont disponibles au Fonds photo de la Médiathèque.
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rostanoide · 5 years
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« I AM » d’Erwin Olaf
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© Erwin Olaf
« I AM » d’Erwin Olaf
Remarquable, puissant, baroque, provocateur, esthétisant, précis, étrange, décalé, les adjectifs se bousculent lorsque l’on parcourt l’incroyable « I AM » du photographe hollandais, un livre qui résume les quatre décennies de la brillante carrière de l’artiste qui fête son soixantième anniversaire. Superbement édité par la maison d’édition hollandaise Hannibal, l’ouvrage revient sur ses différentes périodes picturales agrémentées de commentaires éclairants de l’auteur qui permettent de mieux saisir sa démarche qui dépasse la simple photo de genre.  
Tout commence à Utrecht, Erwin Olaf étudie le journalisme avant de se lancer dans la photographie de mode et la publicité. « Ce que j’ai retenu du journalisme, c’est mon intérêt pour la vie des autres. La photographie m’as permis d’entrer dans un monde qui n’était pas le mien. Je pouvais me cacher derrière l’appareil mais aussi prendre part à ce que je voyais » explique-t-il. À la fin des années 70, il s’immerge dans le milieu de la nuit amstellodamoise tout en assumant son homosexualité.
Bientôt, un projet artistique nait autour du thème de la normalité qu’il illustre en croquant la faune des nightclubbers et des célébrités qu’il croise. La série « Chessmen » (1987 – 1988) sur le jeu d’échecs comme symbole de pouvoir illustré par une galerie de personnages subversifs et décalés, lance véritablement l’artiste d’autant qu’il obtiendra pour ces mêmes travaux le premier prix du concours “Young european photographer”. Dans la foulée, il sera exposé au Musée Ludwig à Cologne (Allemagne). Il faut dire qu’Erwin Olaf a su imposer au fil du temps, un style, une touche personnelle et un imaginaire qui lui est propre. Ses travaux jouent énormément sur la lumière, le clair-obscur, le velouté de sa palette chromatique et son rendu froid et parfait qui fait irrésistiblement penser…à la peinture hollandaise et à Vermeer en particulier à qui il rendra d’ailleurs hommage dans la série « Johannes Vermeer Prijs » (2008).
Mais ce qu’il y a de notoire dans son travail, c’est l’impression d’étrangeté qui imprègne ses mises en scènes soignées et troublantes, la solitude des personnages, palpable, et ces véritables tableaux qui semblent autant d’énigmes à résoudre. Une solitude récurrente dans son œuvre qui renvoie à ce paradoxe qu’il souligne dans ses interviews, celui d’une humanité de plus en plus nombreuse et d’individus de plus en plus seuls.
Son style évoque un savant mélange où l’on pourrait croiser Gregory Crewdson pour la composition, Edward Hopper pour l’éclairage et l’atmosphère et certaines compositions de Robert Mapplethorpe et de Karl Lagerfeld pour le maniérisme gay, maniéré et décadent. La série « Chessmen » qui l’a rendu célèbre ressemble fort à un hommage à Joel Peter Witkin. Des influences multiples et assumées.
Tout fait sens chez le photographe batave : l’attitude, le mobilier, l’éclairage, l’habillement, le choix des personnages, la couleur de peau, la gestuelle et le lieu apparaissent comme des indices et des codes pour signifier et faire dire à l’image des histoires et des situations parfois dérangeantes. On songe à sa série « Paradise portraits » qui montre des clowns inquiétants outrageusement fardés, on pense à « Rain » (2006) et « Griefs » (2007) qui évoquent le deuil dans une Amérique traumatisée par le 11 septembre 2001 ou encore « Blacks » (1990) qui questionne sur la couleur de peau et les représentations que cela véhicule.
L’ancien journaliste ne s’est jamais finalement déconnecté de l’actualité du monde qu’il interroge avec ses outils comme la série « Tamed and Anger » (2015) qui fait référence à l’attentat de Charlie Hebdo avec ses autoportraits bâillonnés ou encore la série « « Fashion victimes » (1990) qui dénonce la publicité, les grandes marques et la consommation. Projet plutôt ironique pour ce photographe de mode qui travaille régulièrement pour Yves Saint Laurent, Chanel, Gucci, Moschino, Versace et Gucci. Autre irrévérence, en 1999, il élabore la série « Mature » qui montre des femmes d’un certain âge en lingerie fine pour dénoncer le carcan de la séduction, le jeunisme en cours dans la mode et le rapport au corps qui vieillit. De la  même manière, le photographe officiel de la famille royale néerlandaise n’hésite pas à produire une série « Royal blood » (2002) où des princesses superbement parées de blanc, quasiment sacralisées, sont maculées de sang, poignardées et torturées pour évoquer le destin tragique de Lady Diana, la célébrité, le glamour et notre fascination pour la violence et le drame. Là réside sans doute le particularisme stylistique d’Erwin Olaf, cette capacité à travailler sur l’actualité, cette faculté de jouer avec le symbole et le mode de représentation de nos sociétés, de sonder nos phobies et fantasmes pour dire, pour interroger, pour faire réagir et pour provoquer. Les 240 photos qui défilent dans ce superbe ouvrage sont autant de questions, plastiquement parfaites, techniquement remarquables comme suspendues dans l’attente d’une réponse improbable. Un véritable tour de force.
« I AM » d’Erwin Olaf, éditions Hannibal, paru en 2019, 400 pages,
Disponible à la Cote : 2 OLAF
Site officiel d’Erwin Olaf : https://www.erwinolaf.com/
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rostanoide · 5 years
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© Clemens Kalischer
« Clemens Kalisher, des villes et des champs » 
Il y a des rencontres qui scellent un destin et qui définissent un cap, une orientation ou même une vocation. C’est exactement ce qui est arrivé au jeune Clemens Kalischer, à Paris, en 1936. Le jeune Clemens, inscrit au lycée Michelet, décide un jour de faire l’école buissonnière avec un ami. Les deux garnements déambulent dans les allées que l’on imagine grouillantes de monde du Bon marché lorsque le jeune Clemens tombe sur un ouvrage en vente sur un étal. Il s’agit d’un livre de photographies d’André Kertesz, « Paris vu par André Kertesz ». Coup de foudre immédiat pour celui qui vient de découvrir la charge poétique et esthétique de la photographie. Une rencontre que l’on pourrait qualifier de doublement capitale puisque ce livre sur Paris marquera le jeune Kalischer au parcours si atypique.
Né en 1921 à Lindau en Allemagne, Clemens Kalischer réside à Berlin jusqu’en 1933, date de l’accession au pouvoir d’Hitler. La famille Kalischer, opposée au nazisme et de confession juive, se réfugie en Suisse avant de s’établir à Paris cette même année. Un confort provisoire puisque la famille Kalisher sera internée dans des camps en 1939 lorsque débute la seconde guerre mondiale, du fait de sa nationalité…allemande. Au moment de l’occupation, le danger guette à nouveau cette famille parquée dans un camp, un péril qu’anticipe Varian Fry, un journaliste américain installé à Marseille. Ce véritable héros a mis en place un réseau baptisé Emergency Rescue Committee pour exfiltrer ceux qui risquent de subir les foudres de l’occupant. Son réseau permettra la fuite de nombreux intellectuels, d’opposants politiques et d’artistes (Marc Chagall, André Masson, Max Ernst, André Breton, Hannah Arendt) vers les États Unis d’Amérique. La famille Kalischer profitera de cette aubaine inespérée pour fuir encore.  
Ballotté par le destin, Clemens se retrouve donc à New York, employé dans un grand magasin de Manhattan mais il se console en suivant tous les soirs, avec passion, des cours de photographie.  Et c’est tout naturellement vers tous ces mêmes réfugiés qui arrivent par paquebots entiers que Clemens tournera son objectif pour réaliser ses premiers clichés. Ils sont exceptionnels d’humanité, de compassion, de tact, de distance et de vérité. Un photographe est né, sur ces quais, au milieu de cette foule bigarrée et hagarde, rescapée de la Shoah, de ces bagages ficelés dans l’urgence, de cette émotion palpable que l’on peut lire sur ces visages soulagés d’être arrivés à bon port. Il réalisera cette remarquable série intitulée « Réfugiés » (« Displaced Persons  », 1947 – 1948) qui témoigne de cette période tourmentée de l’histoire. Entre temps, du fait de sa parfaite maitrise du français, il est engagé par l’AFP (Agence France presse) avant de devenir photojournaliste pour le New York Times, un contrat qui durera 35 années.  Le voilà professionnel, il croise Henri Cartier Bresson impressionné par sa série « Displaced Persons  », ses clichés sont exposés au MoMa. Sa carrière est lancée.
L’ouvrage intitulé tout simplement « Clemens Kalisher, des villes et des champs » édité par Marval en 2004, retrace une grande partie de l’œuvre de ce photographe trop peu connu en Europe. Les poignantes images de « réfugiés » (« Displaced Persons  ») donnent le ton avant que les photographies d’une ville de New York démesurée, pleine de vie et d’effervescence (1946 – 1959) ne montrent la muette fascination de Kalischer pour l’humain et son environnement. Infatigable arpenteur de la Grosse pomme, Kalischer a un faible pour les quartiers pauvres où s’égaient des nuées d’enfants de toutes les couleurs (Harlem, Bronx), pour les métiers durs où l’effort se voit (dockers, ouvriers) et toujours un regard attentif pour ces lieux de transit (gare, port, Times Square). Il s’inscrit dans le courant qualifié de New York school, de la photographie urbaine qui met en scène des anonymes plongés dans la frénésie des mégalopoles tout comme Helen Levitt, Richard Avedon, Louis Steiner ou Diane Arbus. La série « Nouvelle Angleterre (1949 – 1986) » et « Shenandoah, Pennsylvanie, 1960 » montrent une toute autre Amérique, rurale  avec une place belle accordée à la douceur des paysages et à la joie de vivre des habitants qui transparait dans les photographies sobres et sans effet particulier. « France 1962 – 1963 » n’est pas sans rappeler le travail de Doisneau tandis que la série « Italie 1962 – 1963 » revient sur le côté campagnard avec le travail des champs, la montagne (les Alpes italiennes) et ces hommes et femmes à l’allure rustique mais qui dégagent une humanité et une dignité palpables. Là est la force de Kalisher, cette restitution d’une intuition humaniste que l’on retrouve également dans la dernière partie de son travail intitulée « Inde, 1964 ». Disparu en 2018, il laisse une œuvre pétrie d’humanisme qui dit son émerveillement, toute sa pudeur et son humilité.
Cote : Photo 2 KAL
« Clemens Kalisher, des villes et des champs »  de Alain D'Hooghe (1955-....). Biennale internationale de la photographie et des arts visuels de Liège. Paru en 2004, éditions Marval, 173 pages
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rostanoide · 5 years
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© Editions Xavier Barral
Un florilège des livres publiés par les Éditions Xavier Barral
Décès du grand éditeur de livres photographiques Xavier Barral
Le monde de l’édition et de la photographie a appris la triste nouvelle de la disparition de Xavier Barral à l’âge de 63 ans samedi dernier à Paris. Né le 22 novembre 1955, le fondateur de la maison d’édition du même nom a étudié à l’École supérieur d’arts graphiques Penninghen où il rencontre Robert Doisneau et le graphiste Roman Cieslewicz. Ce passionné de voile et d’océan se lance ensuite dans la photographie de presse avant de prendre la direction artistique de plusieurs magazines (L’évènement du jeudi, Impact médecin, l’Autre journal). Grâce à l’éditeur Éric Hazan il intègre vraiment le monde de l’édition de livres d’art puisqu’il s’occupera de l’édition d’un livre photo…de Robert Doisneau puis d’un ouvrage d’Eugène Atget. Parallèlement, au sein de l’agence Atalante qu’il fonde avec Annette Lucas et Stéphane Trapier, il crée tout un univers graphique, une identité visuelle pour des clients prestigieux comme la Cour des comptes, la Cité de la musique, l’Opéra de Paris, la Fondation Cartier, le BAL ou Radio classique. En 2002, sous l’impulsion de l’éditeur Hervé de La Martinière et de Xavier Buren  (peintre et sculpteur), décide de franchir le pas en fondant sa propre maison d’édition, les Éditions Xavier Barral.  
La réussite est au rendez-vous pour cet amateur du beau nourri d’une solide expérience dans le graphisme, la composition visuelle et le monde de l’édition et de l’art. Au rythme de quatorze livres parus par an, cet éditeur, vite devenu incontournable, cumule les succès avec « M’as-tu vue » de Sophie Calle (2003), les ouvrages du photographe chilien Sergio Larrain, une rétrospective de Paris photo avec une soixantaine de contributions prestigieuses en 2016, un livre mémorable sur le photographe Masahisa Fukaze et un livre de Depardon sur les USA (2018). Infatigable artisan de l’esthétique et du produit bien fait, Xavier Barral était aussi un explorateur à sa manière puisqu’il a su sortir du strict domaine  des photographes pour s’aventurer dans  l’exploration spatiale avec son livre « Mars, une exploration photographique » (de Francis Rocard et Alfred.S.McEwen), l’archéologie avec « Chauvet-Pont-d’arc, l’in appropriable »(de Raphaël Dallaporta), la génétique avec « Évolution » (de Patrick Gries et Jean-Baptiste de Panafieu) ou la géopolitique avec un ouvrage sur le mur de séparation entre la Palestine et Israël, « Wall » de Josef Koudelka.
Le catalogue de la maison d’édition Xavier Barral : http://exb.fr/fr/
Une sélection d’ouvrages publiés par les Éditions Xavier Barral disponibles  à la médiathèque Edmond Rostand :
https://bibliotheques.paris.fr/Default/SearchMinify/URkNd092UUWMnQ7qVpp0zg
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rostanoide · 5 years
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Focus sur la photographie japonaise, une bibliographie (partie 4)
1  « Tokyo », Jacob Aue Sobol, Éditions Actes Sud, 100 pages, 2008.
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2 « Japon », 206 vues de Géraldine Kosiak, Éditions Seuil, 103 pages, 2017.
Cote : PHOTO 2 KOSI
3 « Japon,  Gaijin story » de Xavier Lambours, Éditions Marval – Tachibana Shuppan Inc, environ 150 pages, 1995.
Cote : PHOTO 2 LAMB
La capitale japonaise reste une source d’inspiration inépuisable pour les photographes. Ces trois ouvrages de photographes témoignent de la fascination exercée par la ville tentaculaire et par la culture nippone. Trois beaux voyages…
4 « Maiko nohikari » de Régis Defurneaux, Éditions Le bec dans l’air, environ 120 pages, 2016.
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De la même manière, les Geishas constituent une énigme pour les étrangers et les curieux. Le photographe Régis Defurneaux a choisi cette intrigante spécificité culturelle comme sujet d’études.
5 « A criminal investigation » de Watabe Yukichi, Éditions Xavier Barral – Le BAL, environ 90 pages, 2011.
Cote : PHOTO 2 WATA
Ceci n’est pas un livre photo…comme les autres. « A criminal investigation » nous invite à suivre en images les progrès et les rebondissements d’une enquête policière à propos d’un meurtre. Passionnante plongée dans le Japon d’après-guerre.
6  « Après les vagues, autour de Fukushima » de Mathieu Berthod et Jean-Patrick Di Silvestro, Éditions Notari Genève, 95 pages plus une partie illustrations, 2016 .
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La terrible catastrophe de Fukushima a laissé des traces marquantes dans les esprits et dans les paysages aussi. Mathieu Berthod et Jean-Patrick Di Silvestro ont mis en images les dégâts considérables causés par le séisme et le tsunami. Édifiant.
7 « Traditionnel Japon », Éditions du Chêne, 280 pages, 2009.
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Composé de près de 300 photos anciennes (fin du 19e siècle), cet ouvrage nous donne un aperçu du Japon de l’époque avec un particularisme local puisque les maitres de l’estampe traditionnelle ont brillamment colorisé ces photos très prisées par les amateurs occidentaux d’un Japon que l’on découvrait à l’époque. Les samouraïs, les temples, la cérémonie du thé, les moines et bien sûr les geishas sont au rendez-vous.
D’autres livres de photographie japonaise sont également disponibles dans le Fonds photo de la Médiathèque Rostand. Un focus sur la photographie japonaise se déroule à la Médiathèque du 28 novembre au 16 décembre à l’occasion de “Japonisme 2018″.
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Des liens :
Japonismes 2018 :
https://japonismes.org/fr/officialprograms
Maison de la culture du Japon à Paris :
https://www.mcjp.fr/fr/la-mcjp/japonismes-2018
Les expositions organisées dans le cadre de Japonismes 2018 :
https://www.japan-expo-paris.com/fr/menu_info/programme-japonismes-2018_100985.htm
A voir absolument, l’Installation sonore et vidéo de Ryoji Ikeda :
https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cGrxngp/rBrx5Lx
“Japonisme 2018” : La manifestation XXL pour célébrer toute la diversité culturelle du Japon (Télérama) :
https://www.telerama.fr/sortir/japonisme-2018-la-manifestation-xxl-pour-celebrer-toute-la-diversite-culturelle-du-japon,n5724696.php
In)(between, la galerie parisienne spécialisée dans la photographie japonaise :
https://www.inbetweengallery.com/
Le Japon à Paris :
https://www.lejapon.paris/
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rostanoide · 5 years
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Focus sur la photographie japonaise, une bibliographie (partie 3)
1  « Daido Moriyama », Éditions Photo poche Actes Sud, 144 pages, 2012.
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Rebelle, révolutionnaire, anticonformiste, sauvage, inspirateur, autant d’attributs qui pourraient qualifier le travail hallucinant de ce grand maître. Cadrages baroques, grain à tout va, turbulences, contraste absolu, Moriyama a fait exploser le carcan académique via sa revue « Provok » pour ne garder qu’une esthétique de l’instant, une furtivité de l’image poétique et un déréglage lumineux. Autant  de libertés qui ajoutent à ses sujets préférés (la ville, les bas-fonds, les femmes, les êtres), une touche de puissance expressive.
2 « Provoke », Éditions Steidl – Le BAL, 679 pages, 2016.
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L’emblématique revue de Moriyama superbement éditée par la maison d’édition Steidl. Un condensé d’énergie pure.
3 « Daido Moryama », Éditions Phaidon, environ 70 pages, 2001.
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Voici un ouvrage édité par Phaidon qui regroupe la plupart des images emblématiques du photographe avec ses sujets de prédilection. Un bon résumé et une bonne entrée en matière.
4 « Record » de Daido Moryama, Éditions Textuel, 350 pages, 2017.
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Le plus radical des photographes japonais a fondé en 1972 la mythique revue « record » de street photography pour s’affranchir de toutes les contraintes. Ce livre contient trente numéros emblématiques, soit plus de 350 photos graphiques, acides et puissantes, un vrai concentré de subversion artistique.
5 « Minamata » de Eugéne Smith, Éditions photo notes/Centre national de la Photographie, environ 50 pages, 1991 .
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Voilà l’histoire d’une tragédie, celle de Minamata, un estuaire copieusement empoisonné au mercure pendant des années par une usine chimique avec les dégâts sur la santé des habitants que l’on imagine. C’est le rédacteur en chef américain d’un magazine de photo, Eugène Smith qui décide d’illustrer ce scandale sanitaire en montrant les images d’une population de pêcheurs gravement atteinte, agonisante et désemparée. Ses images saisissantes  auront une portée mondiale, consacrant au passage un grand photographe.
6 « Shome Tomatsu », Éditions Phaidon, environ 50 pages, 2001.
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7 « Skin of the nation » de Shome Tomatsu, catalogue de l’exposition du The San Fransisco Museum of modern art, 223 pages, 2004.
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La carrière de Tōmatsu s’étale sur une cinquantaine d’années. Membre du collectif de photographes Vivo dans les années 50 (le courant « école de l’image »), cet ami de Moriyama s’est attaqué aux symboles de la culture nippone avec humour et gravité à la fois.
8 « Ikko Narahara », Éditions Maison européenne de la Photographie, 210 pages, 2002.
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Ikko Narahara n’est pas très connu en France en dépit d’une œuvre conséquente et intéressante. Tout d’abord documentaire lorsqu’il s’agissait de montrer les meurtrissures de son pays à la fin de la deuxième guerre mondiale, son regard photographique s’est porté ensuite sur l’occident. De nombreux séjours en Amérique et en Europe lui ont fourni une matière créative. Ses images sont belles et toujours infiniment pudiques et poétiques.
9 « Sei » de Yuriko Takagi, Éditions Xavier Barral, 68 pages, 2014.
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Enfin une femme photographe mise à l’honneur. Dans ce superbe livre, Yuriko Takagi nous invite dans l’univers mystérieux et suggestif des graines écloses ou presque. Le titre du livre dit cette ambigüité puisque « Sei » signifie étoile, voix, bleu, sexe, énergie et mort…
10 « Brut photography », Éditions In Between Galery, environ 150 pages, 2013.
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Voilà un projet un peu fou. Confier à des handicapés mentaux japonais un appareil photo avec pour seule consigne une liberté absolue. Le résultat est étonnant, souvent juste et parfois aussi déroutant.
A suivre...
K
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rostanoide · 5 years
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rostanoide · 5 years
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Photos : © Carol Müller
Artiste visuelle, Carol Müller a exploré toutes les voies de la performance et de l'installation avant de se consacrer à la photographie, au dessin et à des projets multimédia. A la clôture de l’exposition photographique Lectrices à la Médiathèque Rostand, nous avons interviewé la photographe.
Absorbées par leurs lectures, vos lectrices créent des paysages intemporels dans un temps personnel ?
  Lorsque j'ai commencé ce projet, mon souci était de traduire à travers la photographie quelque chose de l'acte de lecture. Je voulais faire une impression de ce voyage intérieur. J'ai donc établi un protocole qui laissait beaucoup de latitude à l'événement. J'ai choisi de photographier avec un appareil photographique assez imprécis et où le photographe n'est pas l'acteur du déclic : le sténopé. Cet appareil a aussi l'avantage d'imposer de long temps de pose (20 minutes), il s'agit donc de vivre un moment et non d'être saisi sur le vif. Enfin je ne voulais pas établir un lien modèle-photographe directif mais une véritable alliance autour de la lecture. Les femmes que j'ai photographiées sont de véritables lectrices passionnées, ce sont elles qui choisissent librement  tous les éléments constitutifs de la photo : le lieu, la pose, le livre. Le dispositif doit leur être le plus naturel, le plus commun possible. Je ne fais qu'enregistrer le résultat de cette organisation. Je suis le témoin silencieux de cette scène de lecture. C'est peut-être cela qui fait que ces photographies sont moins des portraits que des paysages.
Proche-lointain, ici mais pas là, est-ce l’espace qui se relativise en lui-même ?
  Le livre nous amène toujours dans un lointain, dans un lieu de l'esprit où ne serions pas allés sans cet état d'attention extrême, de concentration et de rêve mêlés. Je voulais donc que, dans la photographie, subsiste une sorte de flou autour de l'espace. Là encore, l'emploi du Sténopé était indiqué puisque cet appareil sans optique ne précise pas les choses mais immerge tout dans un velouté qui me semblait bien correspondre à ce halo de la lecture.
L’onirique dans la réalité est-il le reflet de l’être ?
 Les livres nous mènent chacun dans un espace qui nous est propre et dans ce moment profondément réel que nous sommes seuls à éprouver. Peut-être que l'effet de réel de la photographie est de cet ordre.
Vos futurs projets ?
  Je voudrais que mes quarante portraits soient rassemblés avec toutes les histoires étonnantes de lectures et de vie que mes lectrices m'ont confiées. Ce pourrait être un livre - bibliothèque !
Site internet : http://www.carolmuller.fr/
A & K
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rostanoide · 6 years
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Photo 1 : Gouthami © Mary Beth Mechan
Photo 2 : Branton © Mary Beth Mechan
« Visages de la Silicon Valley » de Mary Beth Mechan
Souvent citée en exemple, la Silicon Valley symbolise la réussite du nouveau modèle économique, d’un monde ultra connecté et du capitalisme 3.0. Il y a bien sûr des exemples probants de startups devenues en quelques années des multinationales florissantes et puissantes mais comme tout décor, il y a l’endroit et l’envers. Et c’est justement l’envers du décor qu’a choisi de montrer la photographe Mary Beth Mechan dans son livre  « Visages de la Silicon Valley » (C&F éditions).
A côté des milliardaires de la nouvelle économie, il existe des habitants de la vallée, des employés, des classes moyennes et des sans domicile fixe. Ici il n’est pas question de stupéfiante réussite mais de pauvreté, de stress, de pollution, de précarité loin des succès rutilants des géants de l’internet et des campus branchés qui font rêver les jeunes diplômés du monde entier. Portraits et récits apportent une image bien différente de l’eldorado des objets connectés et des réseaux sociaux incontournables.
Comme l’indique le professeur en Fred Turner en sciences de la communication et histoire des médias (Université Stanford) dans la préface de l’ouvrage, il est grand temps de réfléchir sur ce capitalisme version numérique qui prétend apporter du lien et des services en négligeant le facteur humain et toutes ces petites mains qui fabriquent concrètement les objets du désir.
Le Fonds Photo de la Médiathèque Edmond Rostand et C&F Éditions organisent le lancement de l’ouvrage le jeudi 8 novembre 2018 de 18h30 à 21h en présence de la photographe.
K
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rostanoide · 6 years
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© Helmar Lerski
« Helmar Lerski, pionnier de la Lumière » (édité par Gallimard et le maHj) – Cote : Photo 2 Lers
Israël Smuklerski nait en 1871 dans une famille d’origine juive polonaise à Strasbourg mais il passera l’essentiel de sa jeunesse en Suisse. A l’âge de vingt ans, il émigre aux États-Unis avec la ferme intention de se lancer dans la photographie et le métier d’acteur avant de revenir en 1915 sur le vieux continent, à Berlin, pour travailler dans le cinéma comme photographe. Il participera notamment au tournage du mythique film de Fritz Lang, Metropolis en tant que spécialiste des effets spéciaux. Influencé par le courant expressionniste, le Bauhaus, les techniques de cadrage cinématographique et les photographes dits « humanistes », le jeune Israël Smuklerski sous le pseudonyme d’Helmar Lerski se lance dans une carrière de photographe de plateaux et d’acteurs. Jugeant ces derniers trop soucieux du contrôle de leur image, il décide d’accomplir une série de portraits d’anonymes berlinois (« Têtes de tous les jours ») qui participera à sa notoriété grandissante. Sans parvenir à se faire publier, il s’engage résolument dans une carrière de portraitiste avec un intérêt sociologique pour les travailleurs, les mains d’ouvriers et de paysans, la typologie des groupes et bien sûr les visages dans la même veine qu’August Sanders (1876 – 1964).
Engagé politiquement et séduit par le sionisme, il réalise une série de photos à Tel-Aviv intitulée  « portraits juifs » avant de s’installer en Palestine en 1932. Il milite dans le mouvement politique juif en réalisant des films de propagande (Awodah – ‘travail’ notamment) et des séries de photos ‘(« Arabes et juifs ») fortement inspirés par l’esthétique expressionniste et le réalisme social. Basé sur l’utilisation simultanée de plusieurs sources de lumière et de miroirs pour véritablement sculpter les visages pris en gros plan, son mode d’éclairage inonde ses sujets de lumière pour mieux exposer en quelque sorte leurs âmes et leur beauté. Comme une illumination de l’intérieur des sujets.
L’effet de cet éclairage multiple est effectivement saisissant, les traits deviennent des vallées et des ravins obscurs, le modelé du visage forme des angles et autant de reliefs, les yeux semblent des phares de l’âme et la peau et ses ravines et autres rides d’expression ajoutent à cet effet de « paysage ». « J’ai éprouvé la plus intense sensation de ma vie. Le cas de figure idéal de l’effet que peut avoir la lumière provenant de différentes sources sur un visage humain a dû se produire à ce moment-là : ce qui est apparu, ce qui m’a frappé comme un éclair, ce n’était pas l’éclairage mais la translucidité, de sorte que j’avais l’impression de regarder le verre dépoli comme si je voyais à l’intérieur des personnes » témoignait Lerski quant à son expérience lumineuse.
Les magnifiques portraits et autres expérimentations de Helmar Lerski figurent dans l’ouvrage intitulé « Helmar Lerski, pionnier de la Lumière » (édité par Gallimard et le maHj) qui vous attend dans le Fonds photo de la médiathèque sous la cote Photo 2 Lers. Une manière idéale de préparer l’exposition en cours au Musée d’art et d’histoire du judaïsme. En effet, pour célébrer les vingt ans du musée et le 70e anniversaire de la création de l’État d’Israël, le musée d’art et d’histoire du judaïsme (mahJ) présente la première rétrospective consacrée en France au photographe et cinéaste Helmar Lerski (1871-1956). Inaugurée le 11 avril 2018, l’exposition qui s’achèvera le 26 août, donne surtout l’occasion de (re)découvrir le travail de ce portraitiste lumineux.  
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 « Helmar Lerski, pionnier de la Lumière » (édité par Gallimard et le maHj) – Cote : Photo 2 Lers
L’exposition en cours au mahJ : https://www.mahj.org/fr/programme/helmar-lerski-pionnier-de-la-lumiere-74266
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rostanoide · 4 years
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Pendant 3 ans, Julie Glassberg  a suivi le Black Label Bike Club, un des premiers clubs de vélo “hors la loi”. Il a été créé en 1992 par Jacob Houle et Per Hanson à Minneapolis, Minnesota et a des ramifications dans plusieurs états des Etats-Unis.
C’est l’un des principaux contributeurs de la culture des “tall-bikes” et des joutes à vélo. Il est intéressant de voir cette culture destructive et rebelle tourner autour d’un objet peu dangereux : le vélo.
Du 25 février au 22 mars 2020, accrochage à la médiathèque Edmond Rostand (11 rue Nicolas Chuquet 75017 Paris)
Le vernissage a lieu le samedi 29 février à partir de 17 heures, entrée libre et gratuite.
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rostanoide · 6 years
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“Le son que j’ai vu” de Roy Decarava, Éditions Phaïdon
Il y a des livres de photos qui sont de véritables petits miracles, une conjonction improbable de talent, de ténacité et d’originalité. Et c’est le cas de cet ouvrage,  "The Sound I Saw", « Le son que j’ai vu » de Roy Decarava. Roy Decavera, disparu en octobre 2009, est déjà une histoire, une belle histoire, celle d’un gamin noir passionné d’art et de graphisme qui a grandi dans ce sordide décor d’immeubles délabrés et de misère qu’était le quartier de Harlem dans les années 40. Celui qui a choisi d’y rester, épousant au passage le mouvement littéraire, musical, théâtral et d'arts plastiques  de "La Renaissance de Harlem" porté par son ami le dramaturge Langston Hughes (1902-1967), est aujourd’hui considéré comme le plus grand photographe du jazz, du free jazz. Decavera nourrissait en fait à l’époque une ambition immense et simple à la fois : dresser un portrait sensitif de la communauté noire de Harlem à travers sa culture, sa musique, ses hommes, son architecture souvent dévastée, la discrimination et surtout la vie.
Là est le sujet du livre, la vie des hommes, la rudesse du quotidien, la pauvreté, la gaieté, la sueur, le swing du jazz avec ses aristocrates, les ombres, la nuit, le noir, les noirs, les jeux, les bambins, les silhouettes, l’attente grise, l’espérance et la peine. Bref tous ces moments où l’âme de Harlem suinte et se laisse piéger par l’objectif fauve de Decavera. Decavara a commencé l’édification de ce monument qu’est devenu l’ouvrage en 1956 avant d’achever son périple en 1962. Six années à écouter battre le cœur d’Harlem, à voir le quartier vibrer et à saisir son essence même. Il résume également son travail de longue haleine pour "The Sound I Saw" comme une "expression créative, une plongée intérieure et sensible des Nègres, et je crois que seul un photographe nègre peut le faire".
Celui qui a commencé à exercer dans la sérigraphie avant d’enseigner la photographie au Hunter College de New York, n’a jamais cédé à la tentation du genre, à la caricature pour ne garder que la pureté existentielle d’une image. Son parti pris esthétique, celui d’une palette sombre, à peine éclairée où surnagent les tons gris, donne à son travail, une douceur ou une noirceur qui subliment les moments choisis par son œil.  « "Je suis un des rares à comprendre l'importance du gris, le gris exprime ce qui est beau dans la photographie : donner une infinie variation, une fluidité des tons - comme pour le son - au point de ne plus les séparer." expliquait alors le photographe féru de musique.
Dans cet ouvrage atypique, puissant et envoutant, on croise au détour des pages, la crème des musiciens et des interprètes de jazz (John Coltrane, Louis Armstrong, Miles Davis, Ella Fitzgerald entre autres) et une foule d’anonymes. On entend la musique qui accompagne les images par le biais de ses notes écrites, de véritables enluminures, comme un long poème incantatoire et sonore. Ce chef d’œuvre de la photographie, très riche, trop complexe, pas assez commercial, a rebuté des dizaines d’éditeurs avant de voir heureusement le jour en 2011 grâce aux éditions Phaïdon et de s’imposer comme une œuvre majeure dans la photographie.
 Cote : Photo 2 DECA
 Également disponible dans la Médiathèque : Roy Decarava : photographs (Editions The Friends of photography) - Cote : Photo 2 DECA
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rostanoide · 6 years
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Trois voyages
Une superbe exposition se déroule en ce moment même à la Médiathèque Rostand, “Trois voyages”, trois regards de photographe. Jean-Marc Remise, Julien Duhem et Eric Droussent vous proposent leur travail.
Entre poésie, décalage et panoramique, choisissez votre destination photographique. Le vernissage se déroulera ce samedi 24 mars de 17h à 20h. Venez nombreux.
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