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#les larmes de crocodile
ciggi3s4ever · 2 months
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idée chanson, vibe musique de grand corps malade ou petit organisme fracassé (selon votre préférence de taille/mood) pour accouplement humain (avec ou sans conséquence naissance enfant), ou pour pleurer en fixant votre plafond à 3h du matin de la nuit en pensant à votre ex ce balourd, ce sot, cet ignorant, ou votre ex cette petite gourgandine, cette fleur de macadame (j'irai même jusqu'à dire cette péripatéticienne mais ce serait pousser le bouchon un peu trop loin Maurice j'ai pas raison la team?). il/elle ne vous méritait pas soyez-en assurément assurés.
"BONNE NUITÉE LES PETIOTS" - Godefroy de Montmirail (les visiteurs - 1993)
En d'autres mots, à plus dans le bus/à demain dans le train
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toutecrue · 1 year
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les gens (MA MERE) pas capable d'entendre un reproche JUSTIFIÉ ++ parce que soit disant tu m'as rendu service ya une heure et tu m'aimes donc???? c'est trop non mais je te parle de respecter mes peurs mes limites en + t'es chez moi donc d'autant plus légitime à pas vouloir que ça arrive et bim qui sait qui va devoir faire le premier pas et s'excuser parce que bah elle elle est sensible et que la moindre remarque serait un aveu de désamour ou serait capable d'annuler les 27 années qui existent entre nous mais quelle saoulance infinie de devoir dealer avec des parents incapables d'être ADULTE ET MATURE même pas ça veut faire la moitié du taff émotionnel par contre ça vient toujours parler de son expérience de la vie comme le grand manitou c'est troooop pk ça veut asseoir son autorité comme ça déjà????? dsl mais pour moi ya pas que crier et intimider les gens qui permet d'avoir le contrôle sur ta progéniture la supposée sensibilité et sortir la carte de la gentille personne qui apparemment suffirait à excuser en permanence des abus c'est non en fait heho on est adulte plus personne n'est dupe ma cocotte les larmes de crocodile et le chantage affectif a peine dissimulé alors que je te parle d'une peur très dense suite a une accident qui aurait pu être évité et qui me bouleverse encore quand j'y pense???? quand je demande de prendre les précautions nécessaires pour pas que ça se reproduise et parce que c'est super récent en fait stop j'ai besoin de temps pour plus être aussi obsédée par ça et bah tu roules pas des yeux quand j'en parle tu souffles pas d'exaspération quand je demande de faire attention tu minimises pas mes réactions réflexes parce que J'AI PEUR tu ridiculises pas mes angoisses vis à vis de ça tu te sers pas de l'amour que j'ai pour toi contre moi pour me faire céder et subir une attitude qui me trigger a 100% C'EST OUF DE DEVOIR L'EXPLIQUER ptn c'est pas un caprice ou l'envie de faire le petit tyran si je veux qu'on fonctionne de cette manière c'est pour me rassurer éviter que je repense à cet accident que je culpabilise à nouveau jpeux faire mon deuil en paix ou???? Jpeux passer a autre chose en mettant autant de temps que j'ai besoin???? j'ai envie de pleurer depuis hier a cause de ça j'ai fait des cauchemars cette nuit a cause de ça mais nickel va aussi falloir que je prenne de mon énergie pour expliquer un truc aussi BASIQUE à ma mère parce que ça me touche.............
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eiffel21 · 8 months
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Sieste
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Tom s’endormit rapidement après le repas. Ce n’était pas son habitude, mais il avait senti une grosse fatigue le terrasser et s’était allongé pour une petite sieste. A peine les yeux clos, les questions à propos de Joe lui revinrent en tête, tournant en boucle : comment le crocodile pouvait-il savoir, sentir à qui il avait affaire ? Comment avait-il échappé à toutes les traques ? Vivait-il seul ou avec d’autres ? Il le voyait glisser silencieusement dans l’eau ou la végétation, apparaissant et disparaissant comme par magie. Il sentait le souffle de son grognement puissant, à en faire trembler l’eau du marécage… Un long silence, puis une voix un peu rauque se fit entendre :
« Tom, tu es un jeune homme bien intelligent... »
L’esprit embrumé, il se retourna dans son lit. Avait-il bien entendu ? Joe lui parlait-il vraiment ?
« Ca fait longtemps que j’attends quelqu’un comme toi… quelqu’un qui puisse entendre mon histoire, avant que je ne parte pour de bon… »
Tom n’en croyait pas ses oreilles : Joe l’avait choisi, lui, pour raconter son histoire ! Il se retourna sur son lit et resta concentré, les yeux fermés. Il ne voulait en aucun cas que la voix se taise.
« Je suis né il y a fort longtemps dans une ferme, bien loin d’ici… Moi et les miens y étions parqués, séparés les uns des autres, bien mal traités. L’une des tiens est venue un jour et m’a montré du doigt. Son regard était différent, ses gestes moins durs que ce que je connaissais. Ensuite, je me suis retrouvé dans le noir, secoué pendant un bon moment, sauf quand celle qui est des tiens me donnait de la viande et de l’eau. Finalement, le sol a eu fini de trembler et je suis sorti dans la lumière. Tout ce temps dans le noir avait transformé mes petites écailles brunes en belles écailles brillantes. Et j’étais ici, dans ces marécages, libre.  Celle qui est des tiens m’a laissé m’éloigner en paix. »
Tom n’en revenait pas. Joe, un crocodile d’élevage ! Il connaissait les hommes et leurs comportements, il avait eu le temps de les observer. Il avait aussi repéré ceux qui le maltraitaient et les autres… Tout cela était resté gravé dans sa mémoire. Voilà qui expliquait beaucoup de choses…
Joe poursuivit.
« Aujourd’hui, je suis fatigué. Ceux qui sont des tiens viennent souvent ici. Ils cherchent les miens, me cherchent… ils ne sont pas bons pour nous, ils tuent la nature et nous, peu à peu. Et je suis épuisé. »
La voix faiblit avant de reprendre.
« Demain matin, je m’endormirai pour de bon. Tu me trouveras près du long marécage, là où les grues font leur nid au printemps. Viens me retrouver. »
Tom s’éveilla en sursaut, le front trempé de sueur. Il ne pouvait pas croire qu’il s’agissait d’un rêve, tout avait l’air si réel. La voix rauque de Joe résonnait encore dans son esprit. Dehors il faisait nuit noire, sa sieste avait duré des heures. Il lui restait un peu de temps avant le lever du jour.
Il saisit son portable et lança une recherche, bien décidé à vérifier les informations que Joe lui avait données. Il trouva rapidement trace d’une ferme à crocodiles sur la côte ouest du pays, où les plus grands maroquiniers venaient choisir les peaux qu’ils pourraient transformer. 18 heures de route. Cela semblait coller. Les journaux locaux faisaient état, cinquante ans plus tôt, d’une visite dans la dite ferme d’une starlette américaine, venue pour choisir le cuir de son futur sac à main. Elle avait finalement acheté un crocodile et était partie avec. Tous deux étaient ensuite tombés dans l’oubli.
Le petit matin était enfin venu. Tom enfila des bottes et partit pour le marécage. Comme guidé par son instinct, il retrouva le lieu mentionné dans son rêve par le vieux crocodile. En s’approchant, il entendit un souffle rauque, à peine audible. C’était lui, aucun doute n’était possible. Le soleil levant reflétait sa lumière sur les écailles du reptile, qui referma ses yeux jaunes pour la dernière fois. Tom était touché par la grandeur et la beauté de l’animal. Il essuya ses larmes avant de faire rouler, avec beaucoup de respect, le corps de Joe au fond de l’eau, son ultime demeure.
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salimsellami · 2 months
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♦ Verser des larmes de crocodile sur Navalny et ignorer Assange
Julian Assange, DR Si vous êtes dans un pays dont le gouvernement a participé à la persécution de Julian Assange, alors vous pouvez continuer à vous taire à propos de Navalny. L’ensemble de la classe politico-médiatique occidentale se tord actuellement les mains à propos de la mort en prison du leader de l’opposition russe Alexei Navalny, et est rejoint par les citoyens de l’empire occidental…
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createurdereves · 9 months
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Over rose
Flamant rose qui prenait la pause, une rivière pleurait des larmes de crocodile, j’halluciné en me faisant des films, et pour moi pas d’idylle? Mon shoot genre rien à foutre gisait sur le sol, à part ça de chagrin qui me console ? Je crevais d’envie, je perdais la vie, fichue over rose qui s’arrachait la dose. Je titubais vers la fenêtre, est-ce que l’on peut renaître ?  La baie vitreuse se reflétait dans mon verre de Chartreuse, Cheers ! Et puis quoi ? Sparadrap, blessures, t’as la douleur qui assure. La vie en doses c’était tout de même quelque chose. Over rose, enchanté, je fais mes contes, c’était Wonderland sans effets, des métaphores qui décrivaient ma honte. Une over rose, barbituriques, Barbie tu raques, la connerie humaine dessinait le quotidien, ce n’était pas une vie de chien, juste une vie pour rien. La race absolue souveraine, tuait le temps dans la haine, il s’agissait d’aimer son prochain, une balle en pleine tête, magicien. Une over rose, je vois la vie en rose, tu déconnes à plein tube, mets dans ton bain de glace des cubes. J’étais sous hypnose, j’en perdais les saisons même pluviôse, ma période bleue dérivait sur la mélancolie des aveux, pourtant il fallait que j’ose, le temps c’était toujours la cause. Un cocktail à l’eau de rose, foule sentimentale, si j’étais un Alpha mâle, j’aurais fait feu de tout bois rose. Ici flamme en rose, le bonheur et ses quantités de chose, finalement juste une malle de sensations moroses. Intuition dans la cour, même sans issue de secours, mon over rose en impression sur les murs, j’avançais doucement à  trépas sans être sûr, que sur un lit de roses j’allais avoir mon ultime over rose.
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claudehenrion · 2 years
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''La folie est sortie des asiles'' ? Non !  C'est de la géo-inginérie !
   Une nouvelle ''académie'' de pâles ''Docteurs Folamour'' qui sévit dans l'ombre, commence à montrer le bout de son nez affreux. Ses membres, tous inconnus du monde entier, se cooptent, autour de Bill Gates, parmi les adorateurs de l'écolo-panique punitive, à ceci près que eux ont décrété que les contraintes imposées par la convention de Paris (dite ''COP 21'') et ses suivantes, n'étaient pas réalistes (ce que tout esprit non-borné savait, dès avant les larmes de crocodile du Fabius-le-nul signant ce ''piège à c...s''), et que ''par conséquent'' (sic !) il faut faire beaucoup plus, beaucoup plus vite, et --pour citer notre Président-- ''quel qu'en soit le prix'' !
Ne vous étonnez donc pas si vous commencez à découvrir, en bas d'une page habituellement réservée aux chiens écrasés, dans votre quotidien, des mots étranges, des concepts ahurissants, des idées sans le moindre sens : il s'agit de ''premières pierres'', posées pour prévenir les foules de ce qui les attend, dans des délais... infiniment plus courts que ce que les prophètes de malheur laissent filtrer pour commencer (Règle n°1 : ne pas effrayer le gogo !). Le raisonnement se résume assez facilement, s'il est impossible à comprendre, difficile à croire, et mortel dans son déroulement : ''Puisque les mesures qui sont  actuellement proposées sont insuffisantes et ne vont pas atteindre leurs objectifs, et puisque la seule chose qui compte est de sauver la planète de ce que prévoit le Giec (que ces déductions soient fausses n'est plus un problème : il est obligatoire de les considérer comme ''parole d'Evangile'' !), il ne reste qu'une voie ouverte : tout faire pour sauver la Terre, fut-ce en sacrifiant l'humanité''.
Il s'agit d'une approche ''progressiste'' (dans le plein sens du mot) de cette question (qui se pose.. ou pas, et en ces termes... ou pas !) : le niveau qu'a atteint notre maîtrise de la ''technique'' (eux disent ''de la science'', c'est plus respectable mais cest faux !) est tel, que tout problème, par le seul fait qu'il est posé et énoncé, doit et peut recevoir une réponse technique. Un point, c'est tout ! Il est prudent et sage de vite ajouter que ces apprentis-sorciers --plus apprentis que sorciers-- ne s'arrêtent pas un seul instant aux conséquences (à court, moyen et long termes) qui peuvent découler de ce qu'ils nomment ''solutions''. L'irresponsabilité attribuée à Madame de Pompadour, ''Après nous, le déluge'', leur est largement applicable.
Ces pseudo-savants vivent dans l'univers totalement irrationnel d'une planète en bout de course, malmenée et maltraitée par ses occupants de fait, qui menace (avec juste raison, disent-ils) de tomber en panne à tout instant, et qu'il faut donc sauver de la négligence des méchants... (Ils sont tellement persuadés de la culpabilité ontologique et systémique de l'humanité-ennemie, que toute idée de cycles ou de périodes astronomiques de refroidissement-réchauffement leur est étrangère). Tous les coups sont donc permis, et les conséquences à traiter par le mépris. Heureusement que de merveilleux sachants (sous entendu : ''eux et leurs amis'' !) ont une réponse technique à toute cette vilenie (Nous répondrons demain).
Et là... commence le ballet des folies intégrales... Un festival de conneries ! Première idée : on va ''construire'' une ceinture forestière tout autour de la planète, pour absorber tout le CO/CO² excédentaire. Pour bien remplir ce rôle fondamental (?), il faudra qu'elle ait au moins 20 km de large, (sans doute 5 fois plus, à l'arrivée !) mais couvre tous les continents (pas de jaloux ! Et tant pis pour les agriculteurs, les réserves d'animaux sauvages, etc...). Mais pour cela, il faut des quantités d'eau que nous n'avons plus, ''because le réchauffement''. Eh ! bien, qu'à cela ne tienne : Deuxième idée : au lieu qu'elle soit faite de vrais arbres, la technique permet de l'envisager en arbres synthétiques boulimiques de CO² (on vous dira à quoi ça ressemble quand on les aura inventés) --d'où le mot ''construire'' utilisé plus haut. Ah ! ça consomme plus d'énergie qu'on peut en fournir ? Tant que la ''science'' (= sa caricature) n'a pas apporté la réponse --ce qui ne saurait tarder (c'est moi qui vous le dis, depuis mon iso- Silicon Valley du ''9--3''), on va essayer autre chose : ce qui compte, c'est ''tuer'' l'évolution actuelle, telle qu’elle est fantasmée par le GIEC.
La troisième idée de ces faux génies, pour modifier le climat en profondeur, est donc de ''fertiliser'' les océans, en y déversant des millions de tonnes d'oxyde de fer --tirés des terrains volcaniques : il y en a partout : ça ''N-tuplerait'' la capacité du phytoplancton à absorber du gaz carbonique, en transformant chacune des pauvres cyanobactéries en éponge à CO². Vous me dites que les micro-algues benthiques des grands fonds marins, qui ne font pas partie du phytoplancton ne supporteraient pas ce traitement, et que le tripatouillage insensé de la très vieille cohabitation harmonieuse de ces deux sous-ensembles ferait disparaître les 3/4 de la faune marine ? Bon... tant que la réponse technique n'est pas là... etc... (voir supra !).
Idées n° 4 et 5 : puisque la banquise fond, disent-ils, on pourrait peindre tout en blanc (toitures, villes, déserts, cultures agricoles trafiquées, routes, pâturages, montagnes privées de neige, etc)... Et tant qu'on y est, on pourrait modifier en profondeur ''l'albédo'' (c'est la capacité de l'atmosphère de refléter la chaleur et renvoyer de l'énergie), en projetant dans la stratosphère des millions de tonnes de soufre mêlé (ou pas) à des sels marins, pour que les rayons du soleil soient réexpédiés à l'envoyeur. De bleu, le ciel deviendrait blanc, ou jaune, ou on ne sait pas, et tout le système des vents, des moussons, des cyclones/anticyclones  etc.. serait détruit sans qu'on sache vers quoi...  Mais, ajoutent ces fous ''ça vaut la peine d'essayer'' ! Enfin... je vous ai gardé le meilleur pour la fin : on pourrait placer en orbite, à 1,5 millions de kilomètres... environ (sic !), d'immenses plaques-miroirs réfléchissantes (1,6 millions de Km² devrait suffire ! Fastoche ! Ya plus qu'à ! (NDLR :  ils emploient le conditionnel pour ne pas nous affoler : ils sont sûrs que cela est inévitable... et qu'on va donc y avoir droit ! Ouf ! Me voilà bien rassuré !).
N'allez surtout pas croire qu'il s'agit là de science fiction : je ne vous aurais pas dérangés pour ça ! On apprend que Bill Gates (le plus grand danger pour l'humanité, après Klaus Schwab et Attali) vient d'investir des sommes pharaoniques dans ce nouveau domaine de la recherche qu'il a baptisé ''la géo-ingénierie''. Les détails de ses rêves --qui sont nos cauchemars-- sont décrits dans ''Les apprentis sorciers du climat -- Raisons et déraisons de la géo-ingénierie'', de Clive Hamilton (Ed. le Seuil), l'auteur de ''Requiem pour l'espèce humaine''. Je ne sais pas ce qui sortira de ce catalogue de folies : des expérimentations hasardeuses et beaucoup de mal, sans doute. Mais je sais, en revanche, que plus le temps passe, plus ma phrase favorite, ''la folie est sortie des asiles'', s’impose. Pas pour la chasser...
H-Cl.
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pauline-lewis · 2 years
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Will you have one on me ?
Cette semaine, j'ai vu la dernière saison de Never have I ever et en voyant le personnage jouer de la harpe, j'ai pensé à Joanna Newsom. À sa musique qui m'évoque tellement de souvenirs heureux — le délice de tomber amoureuse de Bridges and Balloons et de la personne qui me l'avait envoyée dans le même mouvement, assise dans le jardin — et de larmes aussi — pleurer aux Bouffes du Nord pendant Have one on me au moment précis où elle chante When you held me in your arms and I knew that nobody could love me as you love. La transe de cette chanson me prend toujours quelque part dans les marécages de mon imagination. Un crocodile cherchant de la chair fraîche. Elle me fait nager là, tout au fond. Les yeux rivés vers les étoiles chères au cœur d'Emily (la Emily de Joanna mais aussi la mienne, Emily Dickinson, amie imaginaire chère à mon cœur). Joanna Newsom est l'une des étoiles qui brille le plus fort dans ma galaxie. Sa voix, ses mots, cette fréquence qui n'appartient qu'à elle.
En cherchant ce qu'elle fait en ce moment, j'ai trouvé pas mal d'articles faisant référence à elle comme "une fée". Les femmes sont ainsi, des fées, irréelles, fragiles. Quand elles ont de l'imagination, un univers complexe, elles sont soit ça, soit des sorcières. Ça dépend si elles sont blondes et belles. Moi j'ai arpenté la discographie de Joanna Newsom dans tous les sens, même si évidemment mon disque préféré reste Ys, pour ses textes qui me font pleurer et ses envolées célestes. Sa musique n'est pas féérique mais réelle, c'est un voyage initiatique dans des émotions qu'on ne connaît pas vraiment, qui n'ont pas de contours, qui n'existent même pas avant qu'on les entende sous cette forme. Celles qui émergent quand on fait deux pas à gauche après la mélancolie et qu'on tourne à gauche en direction de la tristesse. Qui se nichent dans les entre-deux, quand on se réveille d'un rêve étrange avec l'esprit plongé dans la brume. Moi quand je l'écoute j'effleure les murs froids d'un château étrange, je touche du doigt les étoiles brûlantes, je suis sur ma couverture dans l'herbe à regarder les astres mourir, je suis dans mon propre corps à chercher le rythme de mon cœur, je suis sur un cheval au galop et j'ai peur. Je vais tellement haut, mais tellement bas aussi — il n'y a pas de bons disques qui ne m'emmènent pas là. Tout au fond, au cœur des émotions noires. Je vais dans la colère, dans la joie, dans la forêt humide et mystérieuse. Une fée peut-être, mais une fée bien vénère.
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A Little Touch of Schmilsson in the Night de Harry Nilsson
J'ai toujours adoré les albums qui reprennent des standards, j'aime bien les empiler comme un mille-feuille. La chanson It had to be you a par exemple traversé les années à mes côtés. Chantée par Sinatra bien sûr, telle qu'utilisée à la fin de Quand Harry rencontre Sally. Quand, sorti regarder les vitrines de Noël, Harry voit un couple s'embrasser et qu'il sait. Cette scène de réalisation amoureuse m'a toujours émerveillée et cette chanson y est pour beaucoup. Elle regarde tristement les ballons tomber, il hèle un taxi, et j'ai beau avoir vu ce film 100 fois, je me demande toujours s'ils vont finir par se retrouver. S'il va arriver à temps pour sa grande tirade. Et c'est la voix grave, vibrante et langoureuse de Sinatra qui appuie sur ce besoin de voir les amants se retrouver.
Et puis il y a eu une version de Lisa Ekdahl que je me passais en boucle étant adolescente. Elle était plus joyeuse, parce que la chanteuse avait ce sourire discret dans la voix, comme si elle tordait un peu ses paroles très premier degré. Et Billie Holiday, Ray Charles... La semaine dernière, toujours tandis que je cherchais des news de Joanna Newsom, je suis tombée sur un article sur Van Dyke Parks (qui a fait les arrangements sur Ys — tout cela a un sens je vous le jure) qui mentionnait un disque d'Harry Nilsson dont j'ignorais tout. Il est sorti en 1973, à l'époque où les disques de reprises de standard pour des artistes issus du folk/pop/rock n'était pas encore monnaie courante. Nilsson a donc sorti ce disque magnifique, qui reprend tous mes standards préférés and then some avec ces arrangements de cordes qui font fondre mon cœur. Tout le monde pensait qu'il allait se planter, mais pas du tout. Si votre mood imaginaire préféré c'est chiller avec un verre de whisky dans votre appartement avec vue sur l'Empire State Building alors qu'en fait vous êtes en pyjama à écrire un article de blog avec une tasse de thé (vous n'aime pas le whisky), alors ce disque est pour vous.
Bell, Book and Candle (Richard Quine, 1958)
Je suis contractuellement obligée d'aimer un film avec : Kim Novak en tenues léopard / Jack Lemmon qui joue des bongos / James Stewart / un film en Technicolor. Bell, Book and Candle est un film mignon mais aussi très mélancolique sur une sorcière qui séduit son voisin du dessus. Elle ne le fait pas vraiment parce qu'elle a envie de se marier, mais simplement parce qu'il lui plait. Cependant, elle a peur de tomber amoureuse puisqu'elle perdrait ses pouvoirs magiques et donc son identité. Elle décide de l'envoûter le jour de Noël pour empêcher son mariage à une de ses anciennes rivales.
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C'est un film sur l'engagement, sur ce que les femmes perdent en se mariant (leur particularité et leur indépendance, nous dit le film), mais c'est aussi un film sur la vulnérabilité. Sur la peur de ne pas être aimé·e, sur ce que l'on craint quand on laisse les gens nous voir pour tout ce que nous sommes. Je pensais que j'allais être agacée par le film mais j'étais vraiment émue par le personnage de Novak, même si j'ai ressenti une pointe de tristesse à la fin sur tout ce que le personnage abandonne pour avoir son happy end (son indépendance mais aussi ses tenues goths et son chat — cela dit elle abandonne son commerce d'appropriation culturelle pour vendre des fleurs et des coquillages, good for her). Et visuellement, bien sûr, le film est sublime, la photographie, le technicolor, les effets spéciaux super inventifs bien que discrets, la manière dont Kim Novak (et son chat) sont éclairé·es. Et Jack Lemmon ! Je n'en finis jamais de l'adorer, lui et ses mimiques merveilleuses.
Toute une moitié du monde d'Alice Zeniter (Éditions Flammarion)
C'est drôle parce que j'ai payé ce livre sur la passion de la lecture avec ma cagnotte fidélité à la librairie (bon, moi je trouve ça drôle, vous en faites ce que vous en voulez). Le dernier Alice Zeniter est à mi-chemin entre l'essai et le récit personnel, ça parle du roman et de la fiction, de comment les faire évoluer avec l'époque et de ce qu'on peut en attendre, ça parle d'avoir choisi la voie de l'écriture et puis ça raconte aussi l'expérience de Zeniter d'être une femme dans le merveilleux monde de la littérature.
À la fin du récit, elle explique qu'elle a voulu que ce livre soit une balade et je l'ai vécu exactement comme ça. J'avais l'impression de regarder avec elle les livres de sa bibliothèque, de discuter le long de la plage de Lady Chatterley, de Faulkner, de Julia Kerninon. Cette impression de camaraderie naît évidemment d'une passion commune pour la lecture mais aussi de son humour formidable. Je n'ai résisté à aucune de ses punchline en notes de bas de page et je me suis retrouvée à rire tout fort plus d'une fois. J'admire la manière dont ce livre arrive à être profond mais aussi très sérieux. Et même si elle explique certaines choses que je savais déjà (sur le volet féminisme et littérature), elle apporte un regard tellement intéressant que j'en ai quand même retiré beaucoup de choses. Elle parle de féminisme, de représentation, de vivre avec des personnages, d'écrire alors que le monde va si mal, d'écrire autrement, des héros (masculin intended) de notre enfance. Lu d'une traite et je pense que j'y reviendrai !
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lemondeabicyclette · 2 years
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LE PRIX DES SANCTIONS CONTRE LA RUSSIE Une ancienne démocrate fustige l'immoralité de Joe Biden
Tulsi Gabbard, vétéran de la guerre en Irak et ancienne députée au Congrès, jadis numéro deux dans le Parti démocrate des États-Unis, qui avait soutenu Joe Biden, est passée du côté des conservateurs.
« Malgré leurs larmes de crocodile, il n'a jamais été question de moralité. Il s'agit de changer de régime en Russie, d'exploiter cette guerre pour renforcer l'Otan et d'alimenter le complexe militaro-industriel. »
Joe Biden, selon elle, veut diriger « un nouvel ordre mondial […] quitte à nous amener au bord d'une catastrophe nucléaire ».
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angellyslion · 1 month
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Descendante Steve Rogers | Captaine America
Il y a quelques mois j'ai fait un test ADN. J'avais besoin de m'éloigner de Paris et le plus vite possible. Papillon était vaincu et il s'avérait être Gabriel Agreste. J'ai récupéré le miraculous du chat noir et j'étais étonnée d'apprendre que derrière le masque du héro se cachait Adrien Agreste mon ancien béguin.
Pour revenir sur mon test d'ADN j'avais reçu mes résultats par mail et je l'imprime. Je supprime le mail pour effacer toute preuve de ce test dans mes affaires. En les lisant j'étais surprise d'apprendre que mon arrière-grand père du côté paternel est affilié à captaine America. À part Steve Rogers je n'ai pas de parent proche. Les personnes qui m'ont élevé ne sont pas mes parents biologiques. Je n'avais pas envie de les confronter sur cette situation. D'après le papier mes parents sont morts quand j'étais encore qu'un bambin. Les deux étaient des enfants uniques. Mes grands-parents des deux côtés aussi étaient morts. Je n'avais aucun moyen de m'éloigner de la Ville Lumière et de son drame.
Et je me vois mal envoyer un message à Captaine America pour lui annoncer que je suis son arrière petite-fille. Surtout maintenant qu'il est devenu un héros mondialement connu. Je sais que si cette nouvelle s'ébruite j'aurais une cible sur le dos.
Je souffle et enflamme mon résultat au-dessus de ma poubelle à l'aide d'un briquet. Je me prépare pour les cours sans réelle motivation. J'arrive plutôt pour une fois dans ma classe et elle est déserte. Je m'installe au fond comme à mon habitude depuis le retour de Lie-la et sors mon carnet de commission. Je dessine la prochaine tenue de Clara pour son prochain tournage Je dois le finir pour demain au plus tard et terminer de la concevoir d'ici une quinzaine de jours. Heureusement pour moi j'ai déjà les tissus et ses dimensions.
Je vois la Martiniquaise se rapprocher de moi d'un pas énervé. Je peux apercevoir Lie-la avec ses larmes de crocodiles aux coins des yeux. Je me demande quel mensonge elle a bien ou inventer encore. Je le serai bien assez tôt.
« Qu'ai je fais à la pauvre Lie-la cette fois-ci, Alya ?
Ne joue pas l'innocente Dupin-Cheng !
Je ne sais pas! Je souffle. Je suis arrivée la première en classe se matin. Il n'y avait personne, je souligne piur lui faire comprendre que je ne n'ai croisé personne. Et hier je suis partie en dernière. Je ne sais pas à quel moment j'aurai pu m'en prendre à la pauvre Lie-la ? -…
Tu peux me répondre Alya s'il te plaît ? J'ai besoin que tu me rafraichis la mémoire !
Laisse tomber, elle grogne.
Elle repart. J'ai échappé à un drame. Voyant Miss Bustier rentrée en classe, je range mon carnet dans mon sac et sors mes affaires de cours.
Les enfants, j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer ! Les Avengers vont venir nous rencontrer. Ils ont décidé de rendre visite à plusieurs écoles du monde. Ils viendront demain. Ils aborderont le sujet du harcèlement et du cyber harcèlement.
C'est moi qui est demandé d'intervenir. Je leur ai parlé du problème de la classe sans citer de nom. Ils ont voulu m'aider.
Tu es géniale Lila, s' extasie Alya. Dis tu penses que tu peux m'accorder une interview sur comment tu les as rencontré.
Bien sûr Alya, tu es ma meilleure amie !
Merci Bestie ! Et je pourrais avoir celle des Avengers ?
Je ne sais pas Alya ! Ils sont très occupés. Et ne penses pas qu'ils puissent se libérer de leur emploi du temps chargés.
Oh ! je comprends, elle répond déçu.
Le reste de la journée se passe tranquillement. Lie-la ment sur les Avengers et m'ignore. Je ne vais pas m'en plaindre. Le soir, je m'occupe rapidement de mes devoirs pour pouvoir achevé le croquis qui est ma principale priorité. Je le termine tard le soir ou tôt le matin, j'en ai aucune idée. Je dors quelques heures. Avant de partir, je bois une grande tasse de café et prépare un thermos avec ma précieuse boisson. J'arrive cinq minutes avant la sonnerie. Je profite de ce laps de temps pour envoyer la tenue dessinée au manager de Clara pour voir si cette dernière convient.
Notre professeur arrive avec le sourire au lèvre.
Bonjour les élèves, comme vous le savez aujourd'hui les Avengers viennent. Je compte sur vous pour être sur votre meilleur comportement !
Bien sûr Miss Bustier ! Répond la classe d'une même voix.
Merci tout le monde ! Ils ne vont plus tarder à arriver.
Quelques minutes plus tard le groupe de héro rentrent dans la classe.
Bonjour classe de Paris, nous sommes les Avengers, vous le savez d'ores et déjà. Votre professeur si elle a fait son travail, a dû évoquer le sujet de notre intervention ! S'il reste du temps vous pourrez essayer de soulever le marteau de Thor. Commence Tony
Avant que nous débutons, vous allez tous vous présenter.
En cinq minutes toute la classe s'est présentée au et c'est à mon tour.  Je me lève.
Bonjour je m'appelle Marinette Dupin-Cheng. J'ai treize ans. J'aime concevoir des vêtements. Je me rassois, rassurée que ce moment gênant se termine.
Pendant les deux heures et demi suivante, ils nous parlent des effets , des conséquences du harcèlement et du cyberharcèlement. Les premiers signes de ce phénomène. Les choses à faire contre ces personnes et comment les dénoncer sans en avoir peur et ainsi éviter de subir les représailles.
Puisqu'il reste du temps avant que votre sonnerie sonne. Comme dit au début, vous pourrez essayer de soulever le marteau. Toute ma classe a échoué surtout leur précieuse Lie-la. C'est mon tour, je m'avance sous le regard noir de la classe. Je saisis le marteau. Je le trouve léger. J'arrive à le soulever. Je regarde rapidement le dieu et il sourit. Et j'observe ma classe folle de rage que je puisse le porter alors que je suis une "tyrante". Je retourne à ma place, l'attention me met mal à l'aise.
Elle est digne ! Je l'emmène avec moi sur Asgarde.
Tu ne peux pas Thor ! Elle a des parents ici sur terre ! Surtout une personne ne te laissera pas faire. Déclare Tony en regardant mon arrière grand père. Ils n peuvent pas être au courant ? Ce n'est pas possible ! Mademoiselle Dupin-Cheng serait-il possible de vous parler en privé à la fin ?
Bien sûr Monsieur Stark.
Elle à dû tricher ! S'énerve Alya. Elle intimide Lila ! C'est même pour cela que vous êtes venue ! C'est pour soutenir Lila !
Désolé mademoiselle Césaire. Nous ne connaissons aucunement Lila Rossi. Elle nous as jamais aidé. Et d'après ce que je l'ai lu sur votre blog, tout n'est que mensonge. C'est pire qu'un tabloïd !
Ce n'est pas vrai. Je roule des yeux. Tout ce qui est écrit est véridique.
As-tu fait des recherches ? Interroge Tony assied sur le bureau du professeur.
Bien sûr que non. Je sais que ce que dit Lila est vrai !
Tu aurait dû ! Jaggen n'a jamais eu de chat, il en ai allergique. Clara invente ces propre pas elle-même. Elle 'e les a volé à personne. Le Prince Ali défend la cause des enfants malades et non de l'environnement. Je continue mademoiselle Césaire ou c'est bon ?
Je pense que ça ira Monsieur Stark. Réponds mon professeur.
Mari pourquoi tu as fait ça ? Les mensonges de Lila ne font de mal à personne. M'agresse Adrien.
Agreste, je n'ai rien dit et rien fait. Je les ai prévenus plusieurs fois. J'ai dit à Alya qu'elle devait faire des recherches, elle même m'accusait de ne pas en faire quand je voulais prouver mon innocence. J'ai souffert de cette situation au moins ça m'a ouvert les yeux. Les personnes que je pensais être mes amis étaient amis avec moi que par intérêt. Merci Lila pour cette révélation. Je n'ai pas besoin de personne toxique dans ma vie. Et venez pas me voir pour vous excuser. Je ne les accepterais pas. La sonnerie clôture la discussion.
J'attends que toute la classe sorte avancer de m'avancer vers le groupe de héros et de m'asseoir sur un banc de devant. Quand la classe était là, je n'étais pas stressé mais maintenant que je suis face à eux c'est une toute autre histoire.
Que voulez-vous savoir ? Je demande pour terminer au plus vite cet entretien et me libérer de cette pression.
Pourquoi avoir fait ce test.  Demande Natasha.
Espérer que j'avais un parent éloigné qui pourrait m'emmener loin de Paris et de Lie-la. C'était stupide de ma part de faire ce test. J'ai eu mes résultats hier et ça ne  m'a rien apporté. Je vois le regard blessé de Steve.
Comment peux-tu dire ça ?
C'est vrai. Même s'il est mon arrière grand-père, il n'aura aucun droit sur moi. La filiation est un peu éloignée pas sûr que les tribunaux acceptent qu'il est ma garde. Vous pouvez toujours essayer. Ça ne me dérangerait pas qu'il est ma garde.
Vraiment, demande le Captaine America avec de l'espoir.
Oui je penses que si vous êtes là c'est dù aux résultats du test. Je ne savais pas comment vous contacter sans me prendre une folle. J'avoue que vivre à New York sera un bon changement de rythme. Je me doute vous avez mon numéro, vous savez comment me contacter. Si cela ne vous dérange pas, je vais rejoindre ma classe pour manger.
Je n'attends aucune réponse de leur part et quitte la pièce. Je me dirige vers le self. Je prends un plateau et juste un des deux plats principaux du jour. Ma faim n'était toujours pas revenue. Je vois que ma classe désire s'approcher de moi. Un simple regard noir les en dissuadent. En moins de quinze minutes je finis mon repas et débarrasse mon plateau.
Je retourne en classe et constate avec satisfaction et grand soulagement que les héros sont partis. Je n'avais aucune envie de leur faire face une nouvelle fois.
Cap, ton arrière petite-fille à dû culot ! Je l'aime déjà. Je t'aiderai à obtenir sa garde. Cela sera simple si elle le veut déjà.
Merci infiniment Tony ! Remercie le héro de guerre.
Je t'en prie Cap ! J'ai jeté un coup d'oeil sur son site. Je l'embaucherai en tant que ma styliste.
Une semaine plus tard, je reçois une lettre du tribunal et le motif de cette convocation est qui obtiendra ma garde. Le procès est dans trois jours. Je sais que mes tuteurs ont reçu cette notification aussi. Pendant une heure les Dupin-Cheng me font une leçon de morale sur tout ce qu'ils ont fait pour moi depuis des années. Je l s coupes.
Ce sont les Avengers qui l'ont découvert. Ils m'o'tben parlé. La seule chose que je veux c'est de m'éloigner d'ici. Les Avengers me donne cette opportunité. Je l'ai juste saisie !
Comment ose-tu ?
Vous avez cru tous les mensonges de Lila. Je vous ai prévenus vous n'avez pas voulu me croire comme le reste de la classe. Vous récolter ce que vous avez semez ! Cela fait longtemps que vous n'avez pas agit comme mes parents Dans tous le es cas j'ai besoin de m'éloigner de Paris et de tout son drame. Et j'ai déjà pris ma décision dans tous les cas suo est de partir avec les Avengers !
Après ces paroles je retourne dans ma chambre. Je ne l'ai pas quitté durant ces trois jours à part pour me nourrir. Je fais tout pour éviter mes parents et me laver. Je n'ai pas pris la peine d'assister à mes cours.
Le jour du procès arrive. J'ai eu un avocat commit d'office payé par l'état.
Le verdict est que Steve Rogers récupére ma garde. J'en ai profité pour changer de nom avec l'accord du juge. Je suis passée de Marinette Dupin-Cheng à Marinette Rogers.
Cela fait un an que j'habite avec les Avengers ma filiation est restée secrète. Je m'entends bien avec tout le monde. Ils ont découvert comme quoi j'étais Ladybug. Même si je n'étais plus une héroïne. Ils m'ont entraîné sur les bases de l'autodéfense. J'ai rencontré Peter Parker alias Spider-Man, le protégé de Tony. Nous nous sommes rapidement rapprochés, cela fait quelques semaines que nous sortons ensemble. J'ai tourné définitivement la page sur Paris.
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zehub · 2 months
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Oui, les éléphants d’Asie enterrent leurs petits et versent même des larmes de crocodile
Des chercheurs indiens ont repéré cinq sites où des éléphants d'Asie ont enterré un petit selon le même cérémonial, très proche du nôtre. Dans un cas, le troupeau a même bruyamment pleuré l'éléphanteau
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yespat49 · 3 months
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Hommage du 7 octobre : LFI a été conspuée. D’autres le méritaient aussi
À l’hommage aux victimes du 7 octobre, des députés de La France insoumise ont été accueillis par la foule attroupée par des huées et des sifflets. On la comprend. Certains, dans la presse, comparent leurs larmes de crocodile à celles de Jonathan Daval le jour de la marche blanche en l’honneur de son épouse Alexia qu’il venait de tuer. De fait, qui ne chasserait pas à coups de taloche de…
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iradiei · 3 months
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20 janvier
“Mais pour elle, je ferais tout.” A-t-on idée de croire à un féminin sacré et salvateur ? Relisez un instant ces couillons pathétiques des siècles passés. Avachis sur leurs tables de zingue, ils se poivrent sobrement le museau - tout en élégance, s’il-vous-plaît ; que dirais la légende sinon ? - et mêlent à leur absinthe frelatée leurs larmes de crocodiles. Oui, les Romantiques décérébrés, c’est bien vous que nous attaquons ! Et voilà que l’on sanglote sur le départ de celle-ci, que l’on soupire sur la disparition de celle-là, et voilà quelques jolis alexandrins, qui seront soupirés à leur tour par une bande de jeunes dépressifs, qui, par souci d'écologie, liront nous ne savons quels vers pleurnichards, à l’ombre d’un saule pleureur pour ne pas trop bronzer - et pour l’effet dramatique - qu’ils auront préalablement salopé de leur gobelet d’un breuvage immonde, mais bio, et avec leurs petites cigarettes mentholées, parce que, tout de même, l’opium, ça fait mauvais genre, et qu'après, ça fait rien qu’à nous donner des gazs. Remarquez, c’est ainsi que la plupart des Romantiques - et des étudiants en lettres - écrivent leurs torchons, qu’ils nomment littérature, ce qui est facile à faire quand on décide soi-même de ce qui est littérature ou non.
Vous connaissez bien ces vers plaintifs composés par les Victor Lamartine, les Alfred Chateaubriand et autres George Gautier. “Demain, dès l’aube, à l'heure où le temps suspend son vol”, cela vous évoque forcément quelque chose. Mais tout de même, se laisser abattre comme ça, par chagrin, pour écrire des conneries de surcroît. Franchement, il y a de quoi se pendre. À croire qu’ils ne s'étaient pas chauffés la cervelle - ou qu’ils l'avaient trop fait ; remarquez qu’il est difficile d'écrire après s'être plombé la poire -, les pauvres. D’autant que la lamentation sur la femme est déjà dépassée lorsque les Romantiques écrivent. S’ils avaient eu du goût, et un peu d'humilité, ils se seraient dits que d’autres avant eux l’ont fait, sûrement bien mieux qu’ils n’eussent pu le faire eux-mêmes, d’ailleurs, et ce seraient arrêtés là. Mais non, il fallait forcément faire mieux, faire neuf, et voilà des pleurs à tout-va, qui gangrènent encore les gribrouillons des merdeux qui savent tenir un stylo, parce qu’ils n’ont même pas la décence de savoir se servir d’une plume, et que l'encre, c’est pour l’imprimante.
Enfin, dans tout ça, ils écrivent sur la femme. Pas pour elle, pas à son propos, mais sur elle, se servant de la muse comme d’un support vers la postérité. Les mêmes muses qui sont délaissées, trompées, meurtries. Les mêmes dames qui sont cruelles lorsqu’elles éconduisent un amant, mais qui sont faciles si elles cèdent. Est-ce qu’on leur a demandé leur avis, d’ailleurs ? Nous vous entendons déjà vous offusquer : “Mais enfin, c’est un honneur d'être célébrée en tant que muse ! On devient aussi éternel que le poète, on participe à la culture qui nous élève…” Encore faudrait-il que la célébrée puisse trouver un écrivaillon de talent plutôt qu’un misérable qui l’expose au monde et aux générations futures simplement en fétichisant son physique n’ayant besoin d’aucun autre ornement que sa maigre nudité. Mais que voulez-vous ? Voilà de l’art, sans doute un peu cochon, mais n’est-ce pas là la fierté du pays et n’est-il pas bon d'être femme, d'être muse, dans un siècle où les hommes dominent et où on doit servir de pâture à l’inspiration de camés ? Que faudrait-il faire d’autre ? Écrire soi-même et risquer d’avoir du talent, ou, peut-être, n’en avoir aucun et se faire publier sous le nom d’un homme ?
Alors que vous bavez, d’une voix traînante : “Mais t’as vu comment Alfred il écrit trop bien”, nous giclons autant d'étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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finaguide · 4 months
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Manières
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Au Sri Lanka, comme dans tout autre pays, il faut faire attention aux gestes.  Oui, le geste auquel nous sommes habitués, lorsque la paume est serrée en un poing et que l'index est levé, à Ceylan signifie la même chose que le majeur ici.  Ainsi, lorsque vous essayez d'expliquer au vendeur que vous avez besoin de quelque chose en un seul exemplaire, il est préférable d'utiliser votre pouce.  Les Lankais sont très hospitaliers, il ne faut pas les offenser inutilement.
Littérature
Le célèbre écrivain Michael Ondatje est né à Ceylan.  Il est connu du grand public grâce à son roman « Le Patient anglais », récompensé par le Booker Prize.  En 1996, un film du même nom a été réalisé sur la base du roman, qui a remporté neuf nominations aux Oscars.
Un bon signe
Les Lankais considèrent neuf et douze comme des chiffres porte-bonheur.  En multipliant neuf par douze, on obtient le nombre 108, le nombre de grains des chapelets bouddhistes.  Les Sri Lankais aiment aussi le chiffre sept.  Par exemple, lors d’une cérémonie de mariage, exactement sept colliers sont portés autour du cou.
Nature
L'île a la forme d'une larme qui semble tomber de la pointe sud de la péninsule de l'Hindoustan.  La nature ici est majestueuse, généreuse et multiforme, elle passe de la jungle à la savane africaine.
Parc national Safari à Yalle.  Ici vous pouvez voir de nombreux paons, crocodiles, éléphants et l'attraction du parc les léopards.  Et dans le parc lui-même, il y a un hôtel avec son point fort : un éléphant ou des sangliers avec des varans peuvent se promener entre les maisons.
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menmagazinebe · 6 months
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#Actu Erdogan: "Nous afficherons Israël comme un criminel de guerre aux yeux du monde" "Ceux qui hier versaient des larmes... https://www.eurafricanpressclub.com/erdogan-nous-afficherons-israel-comme-un-criminel-de-guerre-aux-yeux-du-monde/?feed_id=9106&_unique_id=653e52d2544fb #Erdogan #eurafricanclubpress #Gaza #génocidegaza #génocidepalestinien #Israëlrimineldeguerre
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Cadre
Peut-être que ce n'est pas Le cadre, qui à chacun de mes pas Change et se transforme Mais c'est mon regard Qui sur celui ci change de forme Le temps est une toile Sur laquelle je tisse mon fil Entre les étoiles Comme des larmes de crocodile Ce sont nos histoires  Qui au fond forment nos pensées  Nous plongent dans un faux noir Pour nous apprendre à voir dans l'obscurité Je pensais m'acharner Tel Arachnée Parfaire mon ouvrage Mais parfois il faut montrer ses œuvres au monde Avant de se croire prêt•e, changer de rivage Et se rendre compte combien chaque goutte fait l'onde Qu'on admire depuis la plage
12.Juin.2023
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margochoco · 7 months
Note
for the asks, 14 & 27?
ohh Hii lil Anon !
ask 14 : What's your favorite color ?
well i would sayyy purple/red !
ask 27 : What's your favorite Book ? or just one that you've read a few times ?
it is a French book named : Les Larmes des Crocodiles by Katherine Pancol !
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