Tumgik
#le chic type
lechictype · 1 month
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J'ai rencontré un type, on a passé une bonne soirée, mais j'ai remarqué qu'il claquait souvent des doigts pour souligner ses propos, un peu comme un toc. A la fin de la soirée il me dit qu'il faisait de l'hypnose de spectacle, et qu'il voudrait bien essayer avec moi : en fait il claquait des doigts comme les hypnotiseurs quand ils commencent ou arrêtent un tour, genre "maintenant réveil toi 👏". Bref, il m'a dit que la prochaine fois qu'on se voyait on pourrait faire un tour ensemble, je suis mi-excitée mi-effrayée, et ça me fait trop rire de toujours tomber sur des types qui font des trucs improbables.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 98
Vendredi,
Je me réveille à 9h passé. Je vais être très en retard au travail !! Je préfère téléphoner à mon boss pour lui dire que je ne me sens pas bien et que je vais rester au lit toute la journée pour me soigner et être en pleine forme lundi. Il me dit de ne pas faire de bêtise et de bien rester au chaud, c'est un chic type.
Je repense à ma semaine, il ne faudrait pas que Marc s'absente trop souvent, ça me fatiguerait trop !!! (et puis c'est tellement bon que j'en viendrais à attendre ses absence). Enfin mon homme rentre ce soir et j'en suis déjà tout fou.
Je range la maison, ce n'est pas encore le domaine de Samir et Ammed, mais je pense que ça va bientôt le devenir. Nous avons pu juger de leur discrétion et de leur enthousiasme à vivre notre trip. De plus une femme de ménage " normale " pourrait s'offusquer des cadavres (Kpotes) trainant dans les cendriers, des trainées suspectes sur les sols et partout ailleurs. Et depuis que Marc les a autorisé à utiliser " mon " appart quand ils le veulent, ils nous en sont tellement reconnaissants que nous pouvons tout leur demander. Je crois que nous allons les salarier (pour les déductions d'impôts), mes revenus annexes peuvent le supporter et ma feuille d'impôt ne sera que plus légère. Il va falloir que j'en parle à mon banquier perso (le père de Ric).
Je glande donc toute la matinée, passage en salle de muscu sans trop de conviction. J'appelle Samir et lui dit que si ils le veulent ils peuvent arriver plus tôt pour se faire une séance de muscu avec moi, quand on est plusieurs, la motivation est plus importante. Il me dit que c'est Ok et qu'il passera chercher Ammed.
Ils arrivent dès 14 heures (ils étaient du matin dans leur taf). Je les regarde monter le perron, ils sont canons nos deux beurs, Marc les a vraiment bien choisi !
Une bise sur chaque joue en guise de bonjour et nous allons direct au sous sol. On se déshabille (ça va plus vite pour moi qui suis encore en peignoir), jocks sur les bites et nous voilà partis pour une bonne séance. Deux heures plus tard, les muscles gonflés par l'effort, nous procédons à une demi-heure d'étirements. Après une douche brûlante, Samir veut me faire voir les progrès d'Ammed (prétexte je crois pour une bonne baise).
Nous repassons donc à la salle de muscu et squattons les tatamis. Nous sommes déjà tout bandants. Ammed se met à nos genoux et nous suce alternativement Samir et moi. Il a vraiment pris le coup pour nous bouffer la queue jusqu'aux couilles. En plus il aime ça ! Samir collé à mon coté en profite pour me lécher l'oreille, jouer avec le lobe, le mordiller tout en pinçant mon téton gauche. Je suis raide au maximum et Ammed en tousse un peu quand je lui racle le fond de sa gorge. Samir veut me montrer la facilité avec laquelle, maintenant, Ammed s'auto-fellationne pendant qu'il l'encule.
Ammed roule sur lui en relevant les fesses, son poids se portant sur ses épaules et sa nuque, ses pieds reprenant contact avec le sol au delà de sa tête. Ses presque 20cm sont bien raides et penché sur son coté, nous le voyons se bouffer la tige. Samir, l'enjambe et place sa bite nue sur sa rondelle. Il crache dessus deux trois fois et s'enfonce. Je note au passage que l'anus d'Ammed supporte vaillamment l'assaut. Quand je dis " Kpote ", Samir me répond qu'ils ont fait le test et qu'ils sont négatifs tous les deux. Je regarde le niveau inférieur, sous les poussées de Samir, Ammed prend les 3/4 de sa bite en bouche. Je me couche à ses cotés et lui murmure à l'oreille. Je lui demande si c'est bon, meilleur qu'une pipe classique, plein de trucs auxquels il ne peut me répondre. Je me redresse et me plante devant Samir la queue plaquée aux abdos. Il comprend le message et se penche pour me sucer. Lui aussi a fait des progrès, il me mange entier. Je lui prends la tête entre mes mains et donne le rythme de la pipe. Doucement la cadence de pompage donne le La à celle de l'enculage.
Après un bon moment, il me propose le cul d'Ammed. Je ne peux pas dire non, ce n'est pas polit de refuser un cadeau !
Ammed s'est déplié, il commençait à fatiguer dans sa position et cela se ressentait au niveau de la raideur de sa bite qui justement commençait à en manquer sérieusement.
Je l'ai mis à 4 pattes en travers d'un banc et à genoux entre ses jambes je l'ai à mon tour enculé. Même recouvert d'une Kpote, j'ai pu sentir toute la topographie de son boyau. Son cul, bien que maintenant fréquemment utilisé par Samir, collait au plus près de ma queue. Le passage de son anus bien marqué par son élasticité toujours résistante, j'ai pris un grand plaisir à m'enfoncer doucement dans son intimité. Mes mains plaquées sur son dos en V, j'enculais là un beau spécimen de mec. Pas encore un " Ric beur " mais si Samir insiste un peu, il pourrait le devenir (coté physique musclé).
Samir s'est placé devant lui pour se faire pomper le dard. Pendant un bon moment nous n'avons plus entendu, que le bruits de mes couilles tapant sur les siennes, le slurp slurp de sa bouche sur la bite de Samir et nos " han " de bûcherons à chaque fois que nous nous enfoncions totalement en lui.
Il fut le premier à jouir, éclaboussant le sol de ses jets de sperme. Samir s'est vite retiré de sa gorge pour lui arroser le dos avec une telle pression qu'un bon nombre de jet a ricoché sur mes abdos. Je n'ai pu me retenir plus longtemps moi aussi et je me suis vite retiré de l'anus d'Ammed, j'ai jeté la kpote par terre et j'ai juté de long traits blanchâtres sur son dos bronzé.
Après avoir repris notre souffle (un bon 1/4 heure plus tard), un passage aux douches s'imposait. Ils se sont mis tous les deux à me savonner et me masser du cou jusqu'aux chevilles. Chaque muscle y a eu droit. Je n'avais encore jamais connu ce type de massage. Ammed m'a dit plus tard que c'était son frère ainé (Kiné / ostéo / masseur) qui lui avait appris pour bosser l'été au hammam quand il était plus jeune et qu'il avait montré à Samir comment faire. En attendant je leur dis que s'ils voulaient bien, j'aimerai en faire profiter Marc.
Pour lui, ils seraient prêts à tout je crois.
Je leur dit alors de vite faire le taf avant que Marc n'arrive et de se préparer à faire le massage de leur vie sur son corps fatigué par une semaine de taf.
Je leur laisse la maison et file vite en ville chercher des huiles de massage. Ammed m'a indiqué une boutique tenue par un vieil arabe et de me présenter de sa part pour avoir la meilleur huile du marché.
Quand je rentre, je passe au donjon avant de rentrer dans la maison. Comme d'habitude après leur passage, il est nickel (même si il n'a pas servi depuis quelques temps, la poussière s'accumule).
Je prépare un diner qui peut être mangé n'importe quand. Je ne connais pas l'heure exacte à laquelle Marc va rentrer, s'il veut me faire l'amour tout de suite ou pas...
Samir et Ammed remontent du sous sol et me disent que tout est propre. Ils restent quelques instants à discuter avec moi. Je leur demande comment ça va dans leurs citées. Ils me disent que tout va bien tant que personne ne sait pour eux. Car dès le premier jour où ça se saura, ils deviendront la " pute " mâle du quartier et même pire car une pute, elle se fait payer ! Là, ils se feront larver dans les caves sans possibilité de se défendre.
Quand je leur dis qu'ils exagèrent peut être un peu, Ammed renchéri en me disant que c'est déjà arrivé à un jeune de leur quartier qui n'a du son salut qu'à une fugue spectaculaire. Mais après ses parents ont été obligés de déménager dans une autre ville. Donc pour le moment ils font profils bas dans leurs quartiers respectifs. A leurs potes un peu curieux de ne plus les voir trainer le WE, chacun y a été d'une version différente. Ammed, lui a déclaré avoir trouvé un job de WE dans l'entretien général d'une propriété pour pouvoir changer sa caisse. Samir quand à lui s'est inventé une meuf dans une autre ville. Je comprends mieux leur intérêt à vouloir rester tout le WE chez nous, même quand il n'y a pas de touze à " servir ".
Nous entendons la voiture de Marc entrer dans la cour. Je leur dis d'aller à l'appart, que je les appellerais pour le massage. Ils croisent Marc sur le perron, salutations quelques mots et mon homme entre seul. Il a à peine le temps de lâcher sa valise et sa sacoche que je suis dans ses bras pour lui rouler une pelle.
Presque nu (j'ai mis sur mes fesses un des jeans coupé short ultra court et décousu au trou du cul) je me colle à lui. De son coté, il me serre dans ses bras à m'étouffer. Il m'a manqué !! (Même si j'ai été bien occupé tous les soirs). Je sens ses mains glisser sur mon dos, se poser sur mes fesses et les écartant écarter le tissus mettant à l'air libre mon petit trou. Je bande depuis que j'ai entendu la voiture arriver. Collé contre lui je sens sa bite bander et déformer le pantalon de son costume. Il me glisse à l'oreille, tout bas, que je lui ai manqué. Nous nous décollons et je lui fais remarquer que dans l'hôtel où il résidait, ça ne devait pas manquer les jeunes serveurs homos prêts à se faire défoncer par un beau mec.
Il prend ma tête entre ses mains pour embrasser mes lèvres et me dit que certains lui avaient proposé leurs " services " plus ou moins ouvertement, mais qu'il n'avait pensé qu'à moi et à ces cons de plans qu'il m'avait organisé. Jusqu'au jeudi soir où il n'a plus tenu et s'est fait un des apprentis et son référent (guère plus âgé). Peut être le fait que c'était le soir d'Emma ?!
Quand je lui ai demandé si il avait faim, il m'a répondu " oui, de toi ". Le costume a pâti de mon déshabillage express. Mais il est entré dans le salon nu comme un ver. Je l'ai poussé dans un canapé et sans lui laisser d'initiative, agenouillé entre ses cuisses, j'ai embouché sa bite, son manche, l'objet de mon plaisir.
Je l'ai entendu gémir et ses mains sont venues se poser sur ma tête pour maitriser, ralentir mon rythme de pompage. Qu'elle est bonne sa queue. Juste assez longue pour me défoncer la gorge sans m'étrangler outre mesure juste assez large pour... enfin parfaite quoi ! La laissant bien luisante de ma salive, je me suis redressé et face à face, mes yeux rivés dans les siens, je me suis assis dessus. Un genou de chaque coté de ses cuisses, mes mains écartent le jeans juste ce qu'il faut pour découvrir mon anus. Ma queue me fait mal, contrainte dans le jeans non déboutonné. Ça me rappelle les fois où il m'enculait dans le jardin alors que je travaillais !
Je ne veux que sa propre jouissance, elle ne sortira pas de sa " cage ". Mes mains sur ses épaules, je monte et descend sur son manche. A chaque descente, je serre mon anus, il apprécie. Il me prend la tête et me met sa langue dans ma bouche. Mes mouvements en sont un peu moins réguliers mais l'excitation monte plus vite. Sa queue n'est pas la plus longue ni la plus large qui m'ait prise, mais c'est quand même la meilleur car elle est fixée sur l'homme que j'aime ! Alors que je ralenti pour faire durer le plaisir, il me prend les fesses et s'assure qu'à chaque descente je sois bien assis, je le prends le plus possible dans le cul.
C'est trop bon. Il ne tient plus et jute dans mon trou. J'en ressens la pression supplémentaire dans mon boyau. Il n'a pas fini d'éjaculer que je gicle dans mon jeans. Une tache humide va s'élargissant puis un peu de sperme coule entre les boutons tirés à l'extrême par ma bite bandée à mort. Nous restons sans bouger jusqu'à ce que sa bite glisse hors de mon trou. Je serre les fesses histoire de ne pas saloper le cuir du canapé. Je me lève tout en lui interdisant de bouger. J'appelle nos deux beurs et en attendant leur venue, dégage la table basse et dépose dessus un drap de bain. La table fait dans les 1m70 x 70cm de large.
Samir et Ammed arrivent en shorty cuir. Ils sont encore tout gonflés de notre séance de muscu,. Je demande à Marc de se coucher sur le drap de bain sur le ventre. Aussitôt, Samir à sa droite et Ammed à sa gauche commencent à l'enduire d'huile. Rien que pour le dos ils en ont eu pour une bonne demi-heure à deux. Marc apprécie le traitement. J'ai mis une musique orientalisante en fond sonore (ça fait cliché mais j'm bien). Quand ils lui demandent de se tourner, on peut admirer sa virilité dans toute sa splendeur. Pour le moment c'est massage. Les quatre mains reprennent leur ballet massant chaque muscle. Après s'être occupé chacun d'un bras, Samir s'attaque aux épaules et au torse quand Ammed s'occupe des pieds puis remonte les jambes.
La remontée, mollets puis cuisses fait tressauter le sexe de Marc sur ses abdos. Ammed s'empare de la seule partie du corps de Marc exempt d'huile et alors que ce dernier est dans un état second, les yeux fermés à savourer la détente musculaire issue du massage il l'avale d'un seul coup jusqu'aux couilles et se verrouille dessus au moins 30 secondes. Marc a voulu se redresser mais Samir en appuyant sur les épaules lui dit de se laisser faire.
Doucement, lentement, ils l'ont amené au point de non retour. Je me suis alors approché et c'est ma bouche qui a recueilli le sperme qui est sorti de sa bite. Bien qu'obligé d'en avaler une partie, j'en ai gardé le plus possible en bouche et une fois sûr qu'il était bien vidé, je me suis couché sur lui et nous nous sommes roulés une pelle spéciale, ne nous arrêtant que quand plus une goutte de sperme ne subsistait entre nos langues.
Nous avons retrouvé un peu plus tard nos deux beurs qui s'étaient exilés dans la cuisine pour nous laisser seul.
JARDINIER
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les voleurs d'Amour
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gogmstuff · 8 months
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More images of 1912 fashion -
1912-1913 Afternoon dress.
1912 (Winter) Jeanne Paquin evening gown (Helen Larson Historic Fashion Collection, FIDM Museum - Los Angeles, California, USA).
1912 (Winter) Jeanne Paquin evening gown (Helen Larson Historic Fashion Collection, FIDM Museum - Los Angeles, California, USA).
Left 1912 Lucile dress (V&A). From omgthatdress.tumblr.com/post/654088327176306688/evening-dress-lucile-1912-the-victoria-albert 1280X1707.
Center and right ca. 1912 Chantilly lace dinner dress front quarter and back (location ?). From whitakerauction.smugmug.com-Fall2012-Clothing-ID-22-140-i-b3kCXfz 3068X2895
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1912 Lady in Furs, Mrs. Charles A. Searles by Cilde Hassam (location ?). From tumblr.com/catherinedefrance 900X1090.
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1912 Lady wearing a large hat sitting by Franz von Stuck (auctioned by Sotheby's). From their Web site 1753X1991.
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1912 Mrs J., by Józef Męcina-Krzesz (location ?). From godsandfoolishgrandeur.blogspot.com/2016/11/randomly-ix.html; shadows 60% and fixed spots w Pshop 750X975.
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1912 Mrs. Ernest Guinness by Sir Francis Bernard Dicksee (auctioned by Christie's) From www.pinterest.com/nouvellegiselle/vintage-inspiration slightly cropped & fit to screen 924X1500.
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1912 Mrs. John Lawrence by Edmund Tarbell (private collection). From cutlermiles.com/mrs-john-lawrence-edmund-tarbell/ 992X1280.
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Left 1912 Princess Elena of Greece, nee Russia, in 1912, wearing the diamond and pearl tiara she later gave to her daughter as a wedding gift From pinterest.com/inara0798/aristocrats/ 602X960.
Center 1912 Princess Paley in a dinner dress with fancy headdress. From Sacheverelle's photostream on flickr 488X983.
Right 1912 Vizcondesa de Termens From laalacenadelasideas.blogspot.com/2012/12 1018X1316.
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1912 Robe de Visite de Paquin (pl.5, La Gazette du Bon ton 1912-1913 n°2) by George Barbier. From edition-originale.com/en/prints-engravings-photographs/ 1682X2518.
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Left ca. 1912 Frau Prinzessin Rupprecht in Bayern, Marie Gabrielle in Bayern, by F. Grainer. From eBay fixed spots w Pshop 1017X1600.
Right ca. 1912-1913 Olga de Meyer wearing the famous Paul Poiret coat La Perse, photograph by Baron de Meyer. From facebook.com/144304418968266/photos/a.397639360301436/1143579645707400/?type=1&theater 1123X2048
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Left 1912 Winifred, Duchess of Portland by Philip Alexius de László (Portland College - Ravenshead, Nottinghamshire, UK). From books0977.tumblr.com/post/111045895147/the-duchess-of-portland-1912-philip-alexius-de 999X1280.
Right 1912 New Book by Walter Bonner Gash (location ?). From tumblr.com/larobeblanche/742427773413556224/the-new-book-c-1912? 876X1024.
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Left 1912 Le Manteau bleu by Xavier Gosé (location ?). From tumblr.com/mote-historie/744587745354301440/painting-by-xavier-gos%C3%A9-le-manteau-bleu-1912?.
Center 1912 Fourrures Max (Max Furs) in the catalogue 'Fourrures Portraits Minatures' by George Barbier. From tumblr.com/mote-historie/732453186620866560/george-barbier-illustration-for-the-catalogue?source=share& 1939X2541.
Right 1912 Man and woman in evening dress by Coles Phillips (NYPL). From tumblr.com/sartorialadventure/747029584815489024?; fixed flaws & spots w Pshop 764X1000
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ca. 1912 a Femme chic, Supplément by A. Souchel (Rijksmuseum). From their Web site; fixed flaws & spots w Pshop 3229X5315.
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Dawn
Pairings: Professor!Matt x Student!Reader
Word Count: 934 words
A/N: A few months ago I was searching for different prompts and came across this: *The last words of your story are, “As night became day, he started to understand the truth.” Now, go write the rest*. I thought it was very interesting and different so I’d like to give it a shot along with the theme: Forbidden Love. So this is the end result. (This also has been saved in my drafts forever so I thought I should post it idk 🤷‍♀️)
Tags: @theworldofotps , @writtingrose , @letsgivethisonemoreshot , @aerynscrichton , @daddyhausen , @damnnhausen , @unoficialy-married-to-ace-austin , @sophiewolfheart-blog , @sultryfandoms , @new-zealand-chic , @crowleysqueenofhell , @thealliasylum , @legit9thlunaticwarrior , @baysexuality , @josiewrites , @seeingstarks , @irish-newzealand-idian-dutch , @whenimakeitshine1234 , @blaquekittycat , @tahiri-veyla, @moxkindagirl
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Behind the big tree hills, they hid. The sun shone fearless and bright upon the San Bernardino National Forest's clear blue sky, and near the lake Matt sat, staring at her as she danced barefoot on the grass near the lakefront. He couldn’t have picked a better day to bring her here, the summer break dragged all the locals and students straight to the beaches, leaving the forests almost inhabited and free from curious eyes.
Her white crepe sundress flowed around her thighs as she spun around, before laughing when the dizziness made her fall on the grass. The sky spun like a wheel before her eyes, making the fluffy white clouds quickly change shapes from a dog to a man, and then they turned into him.
“Are you ok?” Matt chuckled. His face shielded her from the harsh sunbeams and his dark soft hair fell like a curtain around her face. He always let his hair down whenever he was with her, knowing how much she loved the long, dark mane.
“Why wouldn’t I?” She asked back with a giggle, her own fingers twirled around the fluffy locks as she admired the gleam of devotion on his warm chocolate eyes.
The wind blew softly between the branches before it slowly caressed the water on the lake, crashing oh so gently against the calm water as it brought up the familiar song to their ears.
…Pars avant l'aube
Quand la lumière veut nous voir
Quelque part dans le monde…
“I don’t want you to go back to the dorm. Come home with me tonight, please” Matt whispered against her lips, his warm breath caressed her skin like a safety blanket, making all of her worries suddenly disappear. “As a matter of fact, why don’t you spend the summer break with me? You’ll save the dorm rent money and we can be together” His lips covered hers in a sweet kiss as if to make it impossible for her to bargain against his request.
“That’d definitely be a money saver” She chuckled, and her arms circled around his waist, pushing him closer to her body. “But I never pictured you as the playing house type though” Her eyebrow raised in surprise when he smiled back “I’d love to play house if you’re gonna be the one playing with me. Plus, why postpone the inevitable? We already know that the minute you graduate we’ll be finally free to get married”
“Oh is that so?!” She chuckled and smirked with a tease. “And what makes you sure that I’ll want to marry you, huh? Maybe my destiny is to marry the handsome but dumb quarterback, not the sexy anthropology professor. Have you ever thought about that?”
“No, and I won’t!” Matt laughed before blowing a raspberry on her neck. Her loud laugh echoed through the deserted forest. “Because you’re mine, dovey. And I’m the one you’ll get married to, I’m the one you have the hots for and most importantly: I’m the one you love”
“So full of yourself, aren’t you?”
“Did I lie though?” He smirked
“No, but you definitely love to overexaggerate things”
Matt let out a fake shocked gasp “How dare you?! I’m the equivalent of humbleness!”
“That amongst other things” She giggled before her fingers pulled his white tank top up so she could softly scratch his tanned back.
Matt hummed in pleasure as goosebumps rose on his skin despite the burning summer sun “And what other things could I be?” He smirked against her lips, his hands traveling down her body, stopping at her warm exposed thigh and curling his fingers around the soft meat to pull it up his hip.
“I can show you what those are back at your place” She whispered
“What if I want a sample now?” Matt teased while letting his fingers trace the outline of her cotton panties.
“We’ll have to make it quick though”
“You know I love it quick, dove”...
The large multicolored roses bouquet decorated his bedroom nightstand, that’s where she chose to place it after he bought it for her on his way back from the grocery store. “I want it to be the first and last thing I look at” Was her response to the generous bouquet.
Her bags flopped around the bedroom floor, none of them wanted to waste any time unpacking her things the night before. The loud silence of the early hours of the morning was enough to get him to think.
The military green mug fumed with the freshly poured coffee as he sat beside her on the bed. She was still asleep, sprawled on the mattress like a starfish, her hair fell like an untamed mane around her features and her lips pouted as her cheek pressed against the fluffy pillow.
Matt watched her sleep for what felt like hours, mesmerized by her natural beauty that got occasionally blocked by the sight of the green mug whenever he took a sip of the hot, black liquid. She mumbled something in her sleep, which made him instantly hear the same song they heard at the lake again.
…Toi et moi, dans la nuit on trouvera
Quelque part où déposer les fleurs qu'on a cueillies…
She shifted in her sleep before her eyes opened to stare at him. Matt felt a wide smile taking over his lips as he pushed her hair away from her face to get a better look at her features. That familiar feeling surrounded his heart, and the same thoughts roamed his mind. And as night became day, he started to understand the truth.
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ariadynamics · 2 months
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Coffeeshop AU Ilierre but make it hockey
I was looking through my 4thewords, and I didn't realize how many little bits like this I had completely forgotten about.
I'm pretty sure this is the fic I rambled at @hottandcoldd for ages, where hockey player Pierre tries to woo Ilies by helping him co-parent a litter of kittens that gets dropped off at the cafe.
Perhaps ONE DAY, I'll write more of this 😅.
--
"Bonjour-hi."
It takes Pierre a second to realize the guy is talking to him. It's not even seven yet, and the sun is barely out of the horizon. Sue him. He's fairly certain humans were not made to be functional this early. There had been a line when he slid into the new coffee shop one block away from his townhouse, and it had been easy to lose himself on his phone as he waited his turn, the line moving at a snail's pace.
"Bonjour-hi. One espresso macchiato," Pierre slurs out, finally, his voice rough and gravelly even to his own ears. "S'il vous plaît. Make it a double."
The barista grunts and it's only then that Pierre looks up from his phone. 
He almost drops it.
Pierre hadn't known baristas could look like that. 
"You know, the whole point of bonjour-hi is for you to pick one to make it easy for both of us," the barista says, derision punctuating his words. "D'accord. One espresso macchiato. Double. Crédit ou débit?" 
He's being mocked, he knows, but Pierre can't think of a great comeback. Not when he's still struck by the way the guy looks like a goddamn model, even he stares at Pierre with near-comical levels of disdain. "Credit, uh. Please."
The barista points at the card reader in front of Pierre before looking past him and addressing the next person in line. "Bonjour-hi."
Pierre tunes out their conversation as he shuffles down the bar to the pick-up zone. Leaning against a load-bearing pillar, Pierre crosses his arms as he surreptitiously tries to sneak another long look at the barista.
His hair is messily chic–but not the kind of artfully tousled that his more hipster teammates try to pull off. It’s the just-rolled-out-of-bed messy that looks effortless and accidentally sultry, and it’s a challenge for Pierre to stop his train of thought from walking back to an image of the guy in bed.
With Pierre. Naked. Doing activities that are decidedly not cafe-friendly, especially this early in the morning.
“One espresso macchiato, double.”
Pierre opens his mouth to respond when someone says, “Ilies, be nice.”
The barista–Ilies, fuck, even his name is beautiful–takes a long, assessing look at Pierre. “No.” He slides the cup across the bar to Pierre. “I’m checking on the tarts. François, your turn.”
He wants to run after Ilies. And do what? Pierre isn’t sure. Talk to him? Maybe. Set a better impression? Definitely. Ask him on a date? Absofuckinglutely.
“Don’t,” the new guy–François–says. “Save yourself.”
Pierre blinks. “What?”
François shrugs. “You’re not his type. I wouldn’t bother.”
Grabbing his cup from the table, Pierre takes a quick sip. There’s a reason why Pierre’s beaten all odds to get to where he is now. He’s a Frenchman playing Canada’s number one sport. It’s not every day you see a guy from Normandy lacing up for the Habs.
He’s persistent. Really, really annoyingly persistent.
Pierre sees a glimpse of Ilies behind the curtain, a pair of bright red oven mitts over his hands, a dusting of flour streaked over his cheek. He looks like a kitten. A very cute, grumpy, irritated kitten. 
“Merci pour le café, Ilies,” Pierre calls out, leaning over the counter slightly to get a better view of him. He smiles wide, charmingly, he hopes, but Ilies looks unimpressed. It’s fine; you don’t win a Stanley Cup with just one game, after all. “À demain.”
François sighs, his eyeroll unmissable. “If you’re coming back, can you at least bring me a signed Nick Suzuki jersey?”
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museenkuss · 5 days
Note
O' beautiful and wise muse of perfumery, I call upon you for aid; do you have any recommendations on men's perfumes for a hot guy I'm not-so-subtly trying to flirt with?
Hi love!!!! While I do like men’s fragrances, I like them mainly through the lens of them being worn by women, so I’m not sure I can be of any help here. Especially since I don’t know the man.
I’m happy to try, though!🌹🪽
The classics: Bleu de Chanel, Allure Homme Sport de Chanel, Terre d’Hermes. All more on the fresh side. The two Chanel’s are massively popular which could be good (likeable scent) or bad (if he’s afraid of being perceived as “basic”). I get the hype, though. And Hermes is a Darling and known for both being relatively easy to wear (depends on the guy, his age and personality of course) and still being sophisticated. Chanel’s Platinum Égoïste is also very chic imo and more on the fresh side.
If he likes refreshing, cool-water scents, I’d recommend trying L’Eau par Kenzo pour Homme, L’Eau d’Issey pour Homme or Aqua di Giò pour Homme (the frosted EdT from 1996). These are also all classics. The Gaultier Beaus (Le Beau and Le Beau Paradise) are also lighter/refreshing, but a little sweeter than the previous ones.
If he’s more of a “here I am” type, he could try Fucking Fabulous by Tom Ford. One Million by Pack Rabanne is also a scent in that direction, very loud, but I personally find it a little too sweet and cloying. If he is more of a young, popular, clubby type of guy, One Million might work for him, though! It really depends. I think many Tom Fords are both extroverted and young/clubby, if that’s his thing that might be worth checking out? Also Gaultier Le Male, of course, if he’s into the 90s clubbing OGs. That or the flankers always works, I feel — but again he might feel like they’re overplayed (or not his style). Same with Eros by Versace which gets a pretty bad rep in the “fragrance community” (opinionated YouTubers), but I personally don’t hate it? For more modern options, I’d maybe try Scandal pour Homme and that little robot boy from Paco Rabanne. I haven’t tried them yet but I feel like they might be fun.
If he likes sweeter scents, he could try L’Homme Ideal by Guerlain, Dior Homme Intense, or Spicebomb by Victor & Rolf. I’ve also heard interesting things about Luna Rossa Black by Prada, L’Homme Prada and the Valentinos, but haven’t tried them yet. They look really hot though I have to admit.
Scents that really get to me personally are égoïste by Chanel, Antaeus by Chanel, Fat Electrician by Etat Libre d’Orange, La Fin du Monde by Etat Libre d’Orange and Habit Rouge by Guerlain. These are however all a little opulent, old fashioned/“for older men” or unisex (or multiple of these). That’s what makes them hot to me, but depending on the guy he might not be into that.
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longtemps pensé que les mots servaient à la douleur longtemps décris leurs corps et les fissures qu'ils laissaient en moi
bien-sûr la tentation est toujours là de parler de-leurs-sourires-parfaits-de-leurs regards-toujours-noirs-toujours-envoûtants-de-leurs-corps-de-statues et de les embellir en me laissant fragmenter
aujourd'hui je veux mettre les mots du côté de ma force et de ma colère je ne veux plus jeter du sel sur ma tristesse ni romantiser des histoires de merde
ouais mon coeur s'est un peu fissuré à l'écouter s'ouvrir à observer sa peau brune et son sourire parfait
bien-sûr c'est un chic type encore un qui n'a pas un mauvais fond mais qui ne sait pas épargner toujours à moi d'aller chercher les débris amers qu'ils vont me laisser dans l'estomac
ouais j'ai bien eu envie de vomir quand il m'a regardé droit dans les yeux pour me dire je n'ai pas envie de toi après avoir habité tant de nuits mes draps
plus tôt, j'ai voulu écrire briser : j'ai écrit brises et je ne crois pas aux coïncidences ce que je crois c'est qu'aujourd'hui ils me frôlent mais ne fragilisent plus mes appuis
j'ai eu envie de pleurer mais un temps seulement quelques heures dérisoires pour quelques coups de reins dérisoires et un regard certes renversant
ce soir j'ai regardé la pleine lune et je me suis sentie proche d'elle et je l'ai reconnue c'est la même lumière qui m'habite sombre, douce, et pleine et je peux bien la partager un peu avec quelques petits mecs décevants ça ne m'enlève rien
aujourd'hui je sais ma force parce que je suis poète parce que je suis une femme parce que j'ai déjà encaissé quelques coups dans l'estomac et que je sais mettre les mots du côté de ma colère
apparemment on grandit
et on trouve son centre
et contrairement aux histoires de merde avec des petits mecs décevants ça c'est beau et ça c'est rassurant
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mmepastel · 1 year
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Pour une raison qui m’échappe, je n’arrive pas à mettre ici la BA de cette série. Peu importe, elle n’est pas terrible. La série vaut bien mieux que ce conglomérat d’images chocs qui donne le tournis.
L’argument est connu, car cette série a fait grand bruit outre-Atlantique, et on en parle ici aussi maintenant : une obsession haineuse va naître entre Amy (artiste chic et riche, mère de famille) et Danny (type déprimé qui vit chichement avec son frère en essayant de faire tourner sa boîte de construction) suite à une altercation automobile qui n’est même pas un accident, mais une dispute où tous les deux semblent BEAUCOUP TROP ÉNERVÉS au vu des faits.
A partir de là tout s’emballe, l’un et l’autre sont emplis de ressentiments, de frustration, de culpabilité, et ils se sont trouvés une façon d’extérioriser ces sentiments parasites en se détestant et en essayant de ruiner la vie de l’autre.
Les événements s’enchaînent dans une logique de type « catastrophe », et le spectateur est surpris tout le temps devant cette hystérie et cette surenchère de moments gênants voire franchement apocalyptiques.
N’empêche, au cours des épisodes qui s’enfilent comme des bonbons acides, on a un portrait de l’Amérique d’aujourd’hui, à travers un prisme inhabituel : la plupart des personnages sont asiatiques, et d’un côté ça compte, de l’autre non. Ils sont par moments victimes d’un racisme léger mais irritant, et eux-mêmes sont passablement racistes aussi, méprisant les blancs qui semblent toujours hors de portée, mais on remarquera que George, le mari japonais d’Amy est lui aussi détesté parce qu’il est japonais, donc il n’y a pas de « clan asiatique ». Il y a aussi une fausse communauté autour de Danny avec son frère et son oncle un peu « Joe l’embrouille » (super drôle et effrayant), où il est question de famille et de solidarité mais où chacun se savonne la planche dès que possible. Bref, rien n’est simple ni caricatural. C’est même très subtil. Grâce à l’outrance du scénario, à ses excès, le réalisateur met les pieds dans le plat, provoquant horreur, gêne et fous rires. C’est extrêmement culotté.
Et pourtant ça touche juste. Cette série nous tend un drôle de miroir dans lequel on mentirait si on n’avouait pas se reconnaître par moments. Ce fameux sentiment qu’on ne peut mesurer sa réussite sans la comparer à autrui, qu’on sent tout le temps qu’on est trop ceci et pas assez cela, que l’argent compte, terriblement, douloureusement. Qu’on passe beaucoup de temps à essayer d’avoir l’air de quelque chose alors qu’à l’intérieur de nous tout s’écroule pour des raisons idiotes, inavouables. Qu’on se sent tous un peu tarés, perdus, et qu’Amy et Danny, qui nous paraissaient si fous au début de l’histoire, ne sont que des versions exagérées de nos névroses et de nos blessures.
Une série beaucoup plus profonde qu’elle n’en a l’air, servie par deux acteurs extraordinaires (gros crush sur Steven Yeun pour ma part, avec sa tête lunaire toujours au bout du rouleau).
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soeurdelune · 1 year
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j’adore jeremy allen white en ce moment (:
et toi, quel•s est/sont tes visages préférés?
rhoh yes, je l'aime fort aussi (je referais peut-être des avas pour sa bouille tiens)
en général, mes fc préférés concordent avec les films/séries tv coup de cœur que j'ai en ce moment hihi, du coup:
lakeith stanfield, que j'aimais déjà beaucoup beaucoup mais j'ai regardé atlanta dernièrement et il est adorable dans cette série
adam scott, parce que je rebinge parks & rec et je trouve qu'il a un faciès assez versatile, je l'imagine facilement incarner aussi bien un connard fini qu'un chic type à qui il arrive que des poisses?
carey mulligan, dont j'ai (re)vu quelques films dernièrement et elle a un truc tellement spécial, puis sa voix un peu grave me fait chavireeer
shalom harlow, parce que la mode m'a toujours fascinée et cette femme est sublissime et iconique
stephanie hsu; quelle actrice i n c r o y a b l e, je la connaissais de marvelous mrs maisel mais elle est bluffante dans eeaao
paul dano; il a une trogne tellement reconnaissable, je l'ai vu dans the fabelmans récemment et il est formidable dedans
suki waterhouse; elle a une vibe classe et boudeuse à la fois que je trouve très attachante (même si daisy jones & the six c'était vraiment de la merde mdrrrr)
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claudehenrion · 8 months
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Du monothéisme polymorphe... et autres dérives folles...
Un des problèmes récurrents de notre temps touche à une perception simpliste de l'Histoire du monde : au premier coup d’œil, on pourrait penser que l'évolution de l'humanité se résume à un lent passage de l’animisme au polythéisme, puis du polythéisme au monothéisme, pour aboutir à l’athéisme. Cette impression, largement partagée car elle pourrait presque avoir l'air vrai, a pourtant ceci de très particulier que l'athéisme, ce stade soit-disant terminal d'une évolution ainsi caricaturée, est impossible en tant que tel –nous allons le montrer.
Le monde moderne est secoué par d'étranges maladies... qui ne courent aucun risque de nous être un jour présentées comme de nouvelles ''pandémies'' : ce mot autrefois bien défini signifie depuis peu : ''comportement absurde inventé au service de causes indéfendables décidées par des instances dirigeantes'' . Celle qui nous intéresse aujourd'hui se rattache plutôt à la dérive organisée du sens des mots et à la volonté de certains de détricoter ce qui constitue une civilisation, base incontournable de toute humanité.
Après avoir passé presque 3 siècles à bâtir des pyramides d'analyses incertaines produisant des bobards certains, et à nous expliquer que le catholicisme était trop ceci ou pas assez cela, le grand courant d'air dit ''des Lumières'' s'est réclamé... non de l'athéisme, mais d'un déisme prétendu naturel en réalité assez franc-maçon. Et nos élites politiques, sous prétexte de rendre le monde ''sans dieux'', ont inventé un monde ''monothéiste, mais autrement''. Nos aveugles ont fait perdre son ancienne influence à toute présence divine dans l'imaginaire occidental au profit de cataractes –parfois ravageuses, souvent mortelles, toujours néfastes-- de faux dieux pervers et narcissiques, sans cesse occupés à nous perdre en tant qu'humanité, à coups d'idées abstraites mortifères, de grands principes qui n'en sont pas, de vocables dénués de tout sens et de tout bon sens, et de constructions de l'esprit en forme d'usine à gaz.. A l'arrivée, on a échangé un Dieu plein d'espoirs contre des dieux pleins de vide !
Pour beaucoup de nos contemporains, Dieu serait mort, puisqu'on les a persuadés que Nietzsche affirmait l'avoir tué (ce qui est faux : il le déplorait au lieu de s'en réjouir !) et qu'on vit très bien sans lui (ce qui est parfois vrai...). Mais très peu de nos contemporains se rendent compte qu'ils ont tourné le dos à un Dieu pas méchant et plutôt ''chic type et bon copain'', en faveur de hordes de faux dieux intrinsèquement sectaires, intransigeants, exigeants, anthropophages et liberticides : le dieu-Progrès, le dieu-Climat, le dieu-Anti-racisme, le dieu-CO², ou ''Tout électrique'', le dieu-Féminisme, le dieu-Ecologie dénaturée, voire, pour les plus touchés, le ''dieu (?)'' Zélansky, etc... Ces faux dieux anthropophages vous ostracisent si vous vous écartez de leurs rites, pourtant stupides quand ils ne sont pas mortels. (en France, le refus d'obéissance à des ordres contre nature vous ''suspend'' de tout travail et de toute vie sociale). Or on nous en invente sans cesse de nouveaux, tous mauvais, tous mortifères, et tous ''sans existence démontrable''... mais tous exigeants, méchants, pas sympathiques, menaçants, clivants, extravagants... et inutiles –au mieux.
La saturation ès-fausses bonnes idées est telle que nous ne voyons même plus la folie qu'est la myriade de faux ''dieux'' qu'on nous somme d'adorer, tous hostiles à notre condition humaine, tous dangereux pour le futur de nos enfants, tous mortels à court terme, et pour cause : ils n'existent pas, ne sont rien, n'apportent rien, mentent sur tout ! Par exemple, l'athéisme, seul recours des nuls –outre le fait que l'islam (et ''c'est pas rien''!) ne l'admet pas et égorge tous ceux qui le soutiennent... ce qui devrait rapidement diminuer leur nombre !-- est ontologiquement impossible, en vertu d’un raisonnement parfaitement rationnel : si la vie était due au hasard --comme ils le prétendent sans le démontrer--, l’homme n’aurait aucune raison de la souhaiter, ni de la maintenir, ni de la transmettre, ce qui signerait très vite la fin de cet ''Athéisme'' dont nos fausses élites, durablement marquées à Gauche, vantent l'incontournable nécessité, la valeur intrinsèque et la victoire inéluctable, à terme.
En allant au fond des choses, on découvre très vite que notre monde appelle Laïcité le mélange d'un monothéisme caricatural et d'un polythéisme qui n'ose pas dire son nom, dans une sorte de ''athéisme-polythéiste-monothéiste'' (où on adore, à tour de rôle ou en même temps, le Climat, le Vaccin, la mort de Poutine, ou celle de l'homme blanc, le ''genre'', le Métissage d'imaginaires ''droit à'' ou ''droit de''...) –qui ne peuvent apporter que la mort. Mais contre toute intelligence, beaucoup gardent cette impression que le monothéisme ne serait qu’une transition entre le polythéisme heureux et un athéisme réputé triomphant... En fait, un retour au paganisme n'aurait pas été trop grave si la science moderne ne l’avait pas privé de ce qui faisait sa force (l'Olympe, les naïades dans les sources, ou Zeus brandissant la foudre).
Il faut reconnaître que les nouvelles idoles qui nous sont proposées ne sont pas attirantes (progrès, race (sauf blanche), vaccin non vaccinant, guerre des sexes, contraintes contre nature au nom d'un changement climatique sur lequel elles ne sauraient avoir le moindre effet, etc...). Et en plus,  ’'l'idolâtrie n’est jamais plus dangereuse que quand l’idole est unique... comme nous venons d'en faire l'amère et coûteuse expérience avec le covid... qui a même réussi à mettre sous l'étouffoir l'autre idée fixe (et tout aussi fausse) du moment : la responsabilité de l'homme dans les modifications du climat de certaines régions.
Devant ce foisonnement de fausses déités qui se marchent sur les pieds (NDLR : dans la Rome impériale, on comptait quelque 30 000 ''dieux'' –importés de tout l'Imperium romanum. C'est sans doute la cause du collapsus de l'Empire romain... et bientôt, de celui de la civilisation occidentale, dont nous sommes les témoins passifs –et donc complices. Certains disent que ce serait de là que viendrait l'expression ''Ils sont fous, ces romains''. ). Et pourtant, il existe un antidote au foisonnement incontrôlé dont nous souffrons tant, c'est l’humanisme, cette confiance en l’homme.
Cette remarque nous ramène au fameux discours de Benoît XVI à Ratisbonne, le 12 septembre 2006 –dont tous ceux qui ne l'ont pas lu et ne savent rien des sujets évoqués ont, en meute, critiqué chaque mot... et surtout ceux qui ne figuraient pas dans le texte ! Le thème de ce chef d’œuvre de la pensée, loin de se limiter comme on l'a inventé à une supposée critique de l’Islam, parlait de la religion et de la raison, débat rationnel à la racine du droit, dont le fondement est le ''respect envers ce qui est'', cette autre manière de dire : l'Amour. On y lit : ''La liberté telle que la comprend l'Occident et lui seul représentait, récemment encore, une tradition qui remontait au moyen-âge : la Liberté est ce que Dieu dicte à la conscience. Les Lumières n’ont donc pas inventé la liberté, puisque c'est le Moyen âge qui a construit une vision du monde à travers la Bible, qui contient des conceptions implicites sur la liberté''.
Pour en revenir à notre question-du-jour, et puisque les religions sont à la fois semblables et différentes, il n’est pas étonnant que les idées qui les concernent soient confuses, notamment celle de laïcité, que l’on confond souvent avec la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Or l’Etat et l’Eglise n’avaient pas besoin d’être séparés, puisqu’ils n’ont jamais été unis, et ce que nous appelons “séparation” n'a été que l’interruption d’une iso Entente cordiale en forme de coopération. En ce sens, l’Eglise fut la première bureaucratie et elle est devenue étatique en ce qu'elle s’est efforcée de désacraliser le pouvoir des rois au profit d'une prééminence du Divin.
Il y a aujourd'hui 2 types de critiques ou d'inquiétude majeures vis-à-vis des religions. L'une, traditionnelle, consiste à opposer la raison à l'obscurantisme supposé de la foi, et l'autre consiste à s'alarmer du retour sanglant de guerres de religions, même si c'est à la seule initiative d'une seule religion --que l'on n'ose pas accuser. La sacralisation quoi qu'il en coûte de toute idée fausse mais à la mode, est certainement un des facteurs les plus anxiogènes de notre temps. Décidément, il est de plus en plus urgent de rejeter nos a priori et de nous concentrer enfin sur les vrais problèmes !
H-Cl.
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lechictype · 1 year
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Drake 🦉
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la-cocotte-de-paris · 10 months
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Bonsoir ma chère. Mars & taurus & 1H
mars ⇢ are you the type to approach others first or do you like others to do that instead?
I literally pray on the inside that someone approaches me first or someone introduces me to the person in question, I cannot stand doing it the other way around (I will do it sometimes if I have to but it's like I'm in survival mode lol). But romantically the other person absolutely has to approach me first and make the first move. I could be head over heels for someone but I won't do anything about it unless they drop a hint first. And then make a more obvious move. THEN I respond in kind.
taurus ⇢ what's your favorite food?
Fettuccine alfredooooooo, ratatouille, Sicilian olives, hummus, pizza, mozzarella, tacos, noodles, brie, fresh bread, fresh strawberries, pomegranate, chocolateeee, croissantssssss...the list is endless!
1H ⇢ describe your style
Vintage chic with a macabre and sometimes contemporary twist.
Merci pour les questions <3
Astrology ask game ☄️
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livshotline · 11 months
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je vais vous parler des égoïstes. même s'ils savent qu'ils vont te faire du mal ils entrent dans ta vie pour te goûter parce que tu es le type de personne qu'ils ne veulent pas rater. tu brilles trop pour ne pas susciter l'envie. alors quand ils ont bien regardé tout ce que tu as à offrir. quand ils ont pris ta peau tes cheveux tes secrets avec eux. quand ils réalisent combien tout cela est réel. quel orage tu es qui les frappe. c'est là que la lâcheté entre en scène. c'est là que le personne que tu pensais qu'ils étaient est remplacée par la triste réalité de ce qu'ils sont. c'est là qu'ils perdent toute combativité et te quittent en disant "tu trouveras mieux que moi." tu vas rester là debout nue avec une part d'eux encore cachée quelque part à l'intérieur de toi et sangloter. leur demandant pourquoi ils ont fait cela. pourquoi ils t'ont forcée à les aimer alors qu'ils n'avaient pas l'intention de t'aimer en retour et ils vont dire quelque chose du style "il fallait juste que je fasse l'expérience. que je tente le coup. c'était toi après tout". mais ce n'est pas romantique. ce n'est pas chic. l'idée qu'ils étaient si engloutis par ton existence qu'ils devaient prendre le risque de la briser pour le plaisir de savoir qu'elle n'allait pas leur manquer. ton existence signifiait si peu de chose à côté de leur curiosité à ton égard. c'est ainsi avec les égoïstes. ils jouent des êtres entiers. des âmes entières pour satisfaire la leur. à un moment donné ils vous tiennent sur leurs genoux comme s'ils tenaient le monde entier et l'instant d'après ils vous ont rabaissée à une simple image. à un moment. à quelque chose du passé. à une seconde, ils vous engloutissent et vous murmurent qu'ils vous veulent auprès d'eux pour le reste de leur vie. mais à cet instant ils ont peur. ils ont déjà un pied dehors. sans avoir le courage de vous laisser partir avec grâce. comme si le coeur humain signifiait si peu pour eux. et après tout ça. après tout ce qu'ils ont pris. quel culot. n'est-ce pas triste et comique de constater que de nos jours les gens ont davantage de cran pour vous déshabiller avec leurs doigts que pour prendre le téléphone et vous appeler. s'excuser. pour la perte. et c'est ainsi que tu la perds.
rupi kaur
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up2123753 · 1 year
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Art Deco
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Eastern Columbia Building, Los Angeles
The arcitectural style Art Deco was also known as ‘Style Moderne’.
Art Deco originated in France in 1919 – it achieved admiration internationaly which allowed it to spread to more countries. Acccording to NYPL Art Deco was “initially known as ‘le style moderne’ or ‘jazz moderne” and it didn’t receive its current name until 1968. A few years after the Art Deco style started the designs started to reflect the “rapid artistic and technological innovations of the period between the two wars”(NYPL).
This style started in a time of experimentation within design. As said by NYPL their were current art movements within this experimentation era such as: “Bauhaus, Construtivism, Cubism, De stijl, Futurism, Orphism and Surrealism”. Each of these experimental designs and movements inspired the style of Art Deco and pushed the architects to incorportae, “chic elegance, eclectic historical and national imagery”(NYPL) into their designs. According to RIBA, the Art Deco style “became a favourite for building types associated with the modern age”, e.g. garages, airports, cinemas, swimming pools/leisure centers, offices, department shops and factories, etc. So it really did cover all bases of art, design and architecture.
(creativemarket)Characteristics:
Bold geometric shapes
Loud and vibrant colours
Clean, sleek lines
Zigzags
The Art Deco style didn’t only cover architecture, it seems as though it covered the majority of art and design aspects – furniture, textiles, ceramics, sculptures, etc. The style was so popular that art and design changed internationally. It was such a drastic change as it broke all traditions – yes there had been some complex and simpler styles before (some of which had included lots of colour), but the desire of bold shapes and colours seemed to be mesmirizing to the world.
As said by Britannica, the original intention of the Art Deco style was to “create a sleek and anti-traditional elegance to symbolize wealth and sophistication.” The intention to symbolize wealth and sophistication was mirrored through the significant use of colour, this is because at the time people who could afford the boldest and most colourful décor, art and clothes were usually the wealthiest.
References:
“Art Deco.” Www.architecture.com, www.architecture.com/explore-architecture/art-deco.
“Art Deco: A Research Guide.” The New York Public Library, 2009, www.nypl.org/node/171023.
Fox, Martin. “Eastern Columbia Building, Los Angeles,” Quora, 2020, www.quora.com/What-are-the-finest-examples-of-Art-Deco-in-architecture.
Ghisleni, Camilla. “What Is Art Deco Architecture?” ArchDaily, 18 Nov. 2021, www.archdaily.com/972018/what-is-art-deco-architecture.
Tate. “Art Deco – Art Term | Tate.” Tate, 2017, www.tate.org.uk/art/art-terms/a/art-deco.
The Editors of Encyclopedia Britannica. “Art Deco | Definition, Characteristics, History, & Facts.” Encyclopedia Britannica, 25 Oct. 2018, www.britannica.com/art/Art-Deco.
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rewindthetimee · 1 year
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ÉCHEC ET MAT—L’Hymne du Tueur chapitre 6
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Salle de danse
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Izumi: Ça y est, nous y voilà~ Nous sommes en tenue et prêts pour l’entraînement.♪
… Et bien sûr, personne n’est encore là.
Arashi: Hi hi. Dans ce "Backgammon" machin truc, on dirait que vous n’êtes pas nombreux à être motivés.
Izumi: Ne dis pas ça comme si t’étais pas concerné. Tu fais partie du groupe aussi désormais, Naru... kun.
Arashi: Bon sang, je t’ai dit de m’appeler Naru-chan !
Izumi: Avec tous ces muscles saillants, t’as pas vraiment la carrure pour te faire appeler “chan”, tu ne crois pas ? D’ailleurs, quel genre de sports tu pratiques ?
Arashi: Ahhh… Je fais juste de la course à pied dans le club d’athlétisme. J’en faisais déjà un peu avant en primaire.
Et toi Izumi-chan, tu fais partie d’un club ?
Izumi: Nan j’ai pas le temps pour ça. C’est pas comme si les activités de club étaient mandatoires, alors y a pas de mal à pas en avoir non ?
Ritsu: Eugh... Si bruyants... Arrêtez de vous agiter en étant si près...
Arashi: Oh là là, tu es réveillé ! Ritsu-chan, c’est ça ? ... Tu es sûr de ne pas vouloir aller à l’infirmerie ?
Avant de t’endormir, tu as dit que si on te ramenait en intérieur tu irais mieux, alors on t’a emmené ici avec nous.
Izumi: Ouais, merci de l’avoir porté jusqu’ici Naru-kun. Pour être honnête, j’aurais pas réussi à le soulever même d’un centimètre avec ma force actuelle.
Arashi: C’est vrai, tu es si délicat Izumi-chan~ Je suis super jalouse ! Je gagne de la masse musculaire si facilement…
Ritsu: Je vous ai dit de la mettre en veilleuse tous les deux…! Je suis en train de dormir dans mon coin juste là, alors taisez-vous, compris ?
Ne vous en faites pas, j’ai pas l’intention de rester longtemps... Je vais appeler Ma~kun pour qu’il vienne me chercher.
Um, est-ce que quelqu’un ici à un portable ou un truc du genre que je peux utiliser ?
Izumi: “Ou un truc du genre”...? Tiens, je te passe le mien. Ne laisse pas des traces de doigts dessus, c'est clair ?
Ritsu: Merci m’sieur.
Um, qu’est-ce qu’il faut faire déjà...? J’ai mémorisé le numéro de Ma~kun, mais je sais pas comment utiliser un téléphone portable.
Izumi: Purée ça fait pitié à regarder. Je gère, dis-moi son numéro.
Ritsu: C’est si gentil... T’es vraiment un chic type.
Merci. Tu m’as donné un bon coup de main, je m’en rappellerai… Je te retournerai la faveur un jour, promis juré.
Izumi: Un peu excessif comme réaction... Bref, tu nous déranges dans notre entraînement, là, alors reste dans ton coin.
Naru-kuuun, on va commencer avec quelques étirements, ok ?
Arashi: Ça marche ! Ça fait un bail que l’on ne s’est pas échauffé ensemble.
Hi hi. Je suis contente d’être ici à Yumenosaki, Izumi-chan. Et je pèse mes mots, je suis vraiment heureuse.
Izumi: Oookay, assez parlé, on se concentre un peu ! Tu vas te froisser un muscle si tu ne t’étires pas sérieusement !
Tiens-toi prêt, je vais balancer le son. C'est la toute dernière création de cet abruti...♪
Il n'y a pas encore de paroles alors on ne peut pas s'entraîner au chant, mais essaie au moins de mémoriser le rythme et la mélodie.
Aujourd'hui, on va juste habituer nos corps à la nouvelle choré.
Si possible, j'aimerais que tu participes au prochain live. Alors entraîne-toi comme si ta vie en dépendait. Et c'est un ordre.
Arashi: Quoiii~ Tu rigoles j'espère ! Tu ne peux pas décider un truc aussi important sans l’avis de mes aînés de Backgammon !
Et de toute façon, c’est bien trop de travail.♪
Izumi: Ha ? Les autres vont jamais pointer le bout de leur nez quoi qu’il arrive, et même s’ils étaient là, ils se ficheraient pas mal de ma décision...
Leo-kun s’est cassé le bras et ne peut pas se déplacer. C’est donc à nous que revient le choix de faire quelque chose ou non.
Et puis, tu es devenu une idole pour chanter et danser sur scène, entendre les acclamations du public… pas vrai ? En tous cas c’est la raison pour laquelle j’ai rejoint le groupe, mais quelle est la tienne ?
Arashi: Rien de tout ça, je l’ai fait pour me rapprocher de Kunugi-sensei... Cependant, toutes les femmes rêvent d’être adorées et admirées pour leur travail acharné.
Alors je vais quand même tenter ma chance.♪
♪~♪~♪
Izumi: Voilà, c’est ça que je veux entendre.♪
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Ritsu: ♪~♪~♪
Izumi: Hein ? Attends, pourquoi tu danses aussi ? Sois sage et va te reposer. Tu as bien dit que tu ne te sentais pas bien pourtant, non ?
Ritsu: Mh... C’est la musique, elle me donne envie de bouger...♪
Ahhh, je me sens revivre…! Je l’adore, c’est quoi le titre ?
Izumi: J’en sais rien. Elle a pas encore de nom vu qu’elle est toute récente, elle vient à peine de sortir du four...
Son compositeur, Leo-kun, m’a dit que c’est un arrangement de la musique de fond d’un film classique.
Il a aussi ajouté que le contexte originel de cette musique est assez sombre, et qu’il souhaitait donc la rendre un peu plus gaie et joyeuse.
Ritsu: Hm... Ah, je peux sentir Ma~kun.
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Mao: Ricchaaan ! Qu’est-ce qu’il se passe ? Ne m’appelle pas juste pour me dire un truc du genre : "sauve-moi, je suis en train de mourir !” pour raccrocher ensuite !
Au moins dis-moi où tu es d’abord ! Je me faisais un sang d’encre pour toi !
Ritsu: Fu fu. C’est pas grave ça Ma~kun, parce que Ma~kun peut me trouver qu’importe où je suis, n’importe où dans le monde entier…
Notre lien est si fort que les historiens du futur archiveront notre relation avec le mot "amour"...♪
Mao: Je n’ai pas la moindre idée de ce que tu baragouines ! C’était une véritable épreuve de te retrouver, tu sais ? J’ai dû demander à plein d’étudiants s’ils t’avaient croisé dans les couloirs, entre autre !
Mais surprenamment, tu n’as pas l’air d’être mourant du tout. Rahhh t’es encore en train de te payer ma tête, pas vrai !
Izumi: Hé, tu fais trop de bruit ! Tu déranges notre entraînement là !
Mao: Hein ? Ah euh, désolé !
Izumi: Je laisse couler pour cette fois, mais ce gars à l’air vraiment pâle tu trouves pas ? … Assure-toi de le ramener chez lui sain et sauf. De ce que j’ai entendu, vous êtes des amis d’enfance c’est ça ?
Les amis d’enfance qui restent soudés ensemble jusqu’au lycée, c’est plutôt rare. Tu devrais chérir cette relation autant que possible.
Mao: Ah, oui ! C’est… c’est vrai, tu as raison, senpai !
J-je vais le ramener chez lui alors ! Merci infiniment d’avoir pris soin de lui~!
Allez on y va Ritsu ! Arrête de causer des problèmes à tout le monde !
Ritsu: Ah, attends un peu… Toi là~ Je te rends ton téléphone, attrape.
Izumi: Wouah, le balance pas comme ça ! Bon, quoi qu’il en soit, fais attention sur le chemin du retour~ Kuma-kun.
Ritsu: Mkay~
...Ma~kun, porte-moi sur ton dos.♪ J’ai si froid… je veux sentir ta chaleur !
Mao: Argh ! Ne t'agrippe pas sur mon dos comme ça ! T’es un genre de yokai sangsue ou quoi !?
Correction FR : Yunaël
Traduction anglaise : royalquintet
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