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#l'humain qui va mal
kino51 · 2 years
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Bonheur académie   2017
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jeanchrisosme · 8 months
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Et tout ce qu'on entend ne se dit pas. Et tout ce que l'on voit, n'est pas perçu. Et les silences sont parlants, vous savez. Très bavards, si vous y faites attention. Et tous les chemins n'ont pas d'issues. Et toutes les impasses ont des solutions. Et si un jour quelqu'un, juste quelqu'un me comprend, alors, peut être que je n'aurais pas été juste là pour passer. Peut être que j'étais faite pour rester. Pour inscrire mon âme dans des choses, des cœurs, des mots. Si le monde va mal, comment aller bien dedans ? Hein !? Sans se soigner, sans se guérir, sans se comprendre. Si le monde tourne mal, l'humain ne peut que mal aimer. C'est le monde qui est amour. C'est tout ce qui nous entoure. Tout ce qu'on touche n'est pas concret, Et tout ce qui est concret, ne nous touche pas. Tout n'est que sensibilité, Plus vous façonnez la votre à l'extrême, plus votre vie émane une vibration. Tout ce qui brille, n'est pas forcément beau. Tout ce qui est beau, ne brille pas. On passe. On passe sur les gens. Sur leur vies. Dans leurs souvenirs. Dans leurs soupirs. On passe en un coup de vent, Parfois on reste. J'avais la sensation que quelque chose m'attendait. Un moment de vie important. Un rendez vous sans heure, sans jour, mais qui allait bel et bien me tomber dessus. Qui allait bouleverser l'ordre des choses. L'ordre que j'avais construit. J'étais prête sans l'être vraiment. Parce que la vie n'a pas de signaux d'alarme, de préventions, de mises en garde et de fausses alertes. La vie c'est toujours prendre un risque. Quand on ne le fait pas, je pense que c'est encore plus risqué. Alors moi, je me prépare toujours à danser avec une tempête. À pleurer sur des rivières déjà bien pleines. Je me mets dans mes valises mes sentiments fragiles, et puis j'avance en perdant, en gagnant, en laissant des morceaux de souvenirs qui serrent le cœur de l'autre, quand moi le mien éclate. Parce que la vie c'est toujours faire des rencontres, qui nous effleurent nous transcendancent, ou nous fracassent. Qui s'installent en nous, confortablement, Pour habiter nos souvenirs. On a tellement de portes qui ouvrent notre âme. De celles que l'on claquent, à celles que l'on ne ferment jamais.
Cyrielle soares
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mariannaszymanska · 9 days
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A L'AMI QUI A MAL A LA VIE
Nous sommes tous plus ou moins addict à ces smartphones !
Pourtant, un objet est un objet :
il n'est ni bon, ni mal en soi.
C'est l'usage qui importe.
Prends le nucléaire :
Il peut aussi bien générer la lumière que la mort !
C'est l'humain qui a créé les réseaux sociaux et la façon dont ils nous enferment dans notre clan !
Pourquoi toujours être avec des personnes qui nous ressemblent ?
Qui aiment les mêmes choses?
Qui partagent les mêmes valeurs ?
Des tribus qui s'affrontent et qui pensent chacune détenir la vérité.
Du sectarisme, somme toute !
Mais cela a toujours existé.
Le progrès à la fin du 19 ème devait permettre à tous de mieux vivre.
Et bam ! Une guerre mondiale avec des armes qui tuent les civils !
En art, ça a donné le mouvement Dada.
Et oui, il y aura toujours des personnes qui luttent contre l'absurdité du monde, d'une façon ou d'une autre !
Notre époque peut sembler terrifiante, semée de violence et de chauvinisme divers et variés.
Mais les humains qui ont assisté à la montée du nazisme et des nationalismes en tous genres, dans les années 30, devaient ressentir les mêmes sentiments que toi !
Tu vas me dire que c'était mieux avant, du temps de ta jeunesse. Mais ton regard est biaisé, ce n'est qu'un point de vue !
Si ce monde était si merveilleux, pourquoi certains sont partis dans des communautés hors du monde ?
Pourquoi le mouvement Punk ?
Est-ce que tout le monde a profité des mannes des 30 glorieuses ?
Oui, si tu es un bon petit blanc d'un pays industrialisé sûrement !
Mais le reste du monde, des mondes... Je ne crois pas !
Et notre société actuelle n'est que la continuité de ce "c'était mieux avant " :
Avoir
posséder
Ne pas savoir d'où tout cela provenait ni de quelle manière nous nous l'accaparions.
Une pseudo liberté ces 30 glorieuses !
Une société où tu dois toujours faire,
Être actif
Avoir un travail,
Avoir de l'argent,
Sinon au rebut.
Et même pas grave,
Les guerres étaient loin,
Les horreurs étaient loin,
Pas grave,
On pouvait le cacher aux masses !
Maintenant, cela a changé, il y a un accès illimité à l'information.
Faire le choix,
réfléchir,
ne pas être dans l'instantaneité, dans les émotions, dans le sectaire !
Moi aussi, cette société me fait peur.
Et si cela était simplement du à une addiction aux smartphones, ce serait simple !
Mais, derrière les algorithmes, il y a des hommes.
Des démiurges de l'ombre, des politiques, des hommes avides de pouvoir et qui n'en ont jamais assez.
Pourtant l'évidence devrait être de sauver notre Terre et l'Humanité !
Mais, bon, tout le monde s'en fout et se regarde le nombril, national, consumériste, occidental,
avec ce besoin de thésauriser, d'accumuler .
On trouve toujours de bonnes raisons :
laisser un patrimoine à ses enfants.
Si la vie devient invivable sur notre planète, à quoi bon ?
Après, plein de personnes font.
Ce n'est pas rien...
Voilà, faire à son niveau,
aider les autres,
aider la planète.
Sur cette terre, existent de nombreuses belles énergies, de celles qui luttent.
Peu importe, les moyens...
Penser, parler, échanger, porter, aider, penser l'autre, faire grandir des enfants.
Il y a tellement de moyens aussi minimes et invisibles soient-ils !
Alors, va au fond de la jungle mais pour te construire une nouvelle vie pas pour te détruire.
Un jour, nos enfants seront grands et nous serons "libres" de choisir, rester, partir ?
Ici, ailleurs ?
Dans une hutte ou dans une maison avec piscine ?
Quand je pense à toi, je vois ta capacité à aider les autres, à les porter.
Tu as ça en toi, tu ne l' as pas choisi ou pas.
Se reconstruire demande de l'énergie et pour être avec les autres, il faut peut-être être bien avec soi.
Voir aussi, ce qu'il y a de beau et de bon dans notre monde :
Pas les grandes choses, mais les petites et les petites gens.
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ltalaynareor · 1 month
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Comment Jane et Alec réagiraient à un OC humaine, compagne d'un des rois qui agirait comme une mère ?
Jane :
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Elle ne comprendrait pas et serait froide. Puis comprenant que l'humaine essaye simplement de la materner car elle ressemble à une adolescente.
Elle essaierait d'être méchante pour voir jusqu'où elle peut la pousser.
L'humaine reste et continue à lui demander si elle va bien, si elle n'a besoin de rien et l'invite toujours à aller aux courses avec elle. Jane se réchauffe petit à petit et prudemment au début va aux courses, répond poliment et un jour alors que l'humaine ne s'y attend pas, Jane laissera échapper un "maman", qui sera récompensée par un câlin et non par une brimade.
Alec :
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Il a peur au début. Il craint que l'humaine veuille quelque chose.
Quand il se rend compte que l'humaine ne veut pas lui faire de mal, ni à lui, ni à sa sœur, il s'intéresse à elle et lui répond beaucoup plus poliment.
Un jour dans la salle du trône, devant tout le clan, alors que l'humaine lui demande s'il va bien, il répond oui maman et est récompensé par un gros câlin.
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natsutaki · 8 months
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Dans la vie, il faut philosopher un peu, prendre du recul sur les choses... se remettre en question...
il faut pas seulement entendre, il faut écouter. Même si on est pas d'accord voir carrément opposé, avec quelqu'un ou dans un couple, il faut dialoguer, et se respecter ! Souvent les gens dès qu'ils sont pas d'accord deviennent agressif verbalement, alors que ça n'a pas lieu d'être ! Beaucoup de gens vont être méchant envers les autres sans se remettre en question et sans empathie, par exemple, abandonner un animal (ducoup qu'est ce que ça te ferais si tu était à la place de l'animal), tromper quelqu'un (si toi tu avais été trompé, ça t'aurais fais quoi ?!!!!) , se moquer de la maltraitance que quelqu'un a subit (toi, tu aurais connu ça, le critiquerai tu? )
c'est triste, je ne souhaite le mal à personne, mais l'humain, a perdu toute son humanité, son empathie, son ame...
voila, moi le premier, je ne suis pas du genre à aimer. Je hais, je suis du genre à hair ! je ne suis pas quelqu'un qui va avoir de l'empathie envers de la triste, de la misère, de la précarité... je ne suis pas quelqu'un qui va aider les autres. Je ne suis pas quelqu'un qui va pleurer pour son papa qui est partie ou d'autres personnes, je ne suis pas quelqu'un qui va revivre et subir psychologiquement son passé de maltraitance. Non, je n'ai jamais pleurer, d'ailleurs j'ai toujours le sourire ! Je ne suis pas quelqu'un qui donne de l'affection, je suis quelqu'un qui sourit ! je ne suis pas quelqu'un qui va connaitre une grande tristesse quand quelqu'un le trompe, je ne suis pas quelqu'un qui chiale ! Je ne suis pas quelqu'un qui connait la peine. Je ne suis pas quelqu'un qui as des sentiments peu importe lesquelles, je ne suis pas quelqu'un qui ressent la détresse, la peine, la tristesse, la précarité des autres. Non, qui je suis? une merde qui n'a qu'une envie... de partir, que ne fais qu'une chose, se laisser partir peu à peu, se détruire, se hair... je n'attends plus qu'une chose....
prenez du recul, arrêtez de vous prendre la tête pour un rien, soutenez vous! quand un truc ne va pas ou que vous avez des idées radicalement opposées : soufflez un coup, prenez du recul et dites vous que ça ne sert à rien ne s'engueuler pour ça ... quand il y a du dialogue et du RESPECT les choses tournent positivement...
le respect c'est la base, la fidélité aussi ! que va t'il se passer demain? j'en sais rien et vous non plus : vais je mourir pour x raisons (maladie.. accident, suicide...)? la vie est courte alors pourquoi se mettre des batons dans les roues? pourquoi empecher l'autre de faire ce qu'il veut du moment qu'il n'y a ni trahison, ni mensonge, ni irrespect? à la fin, vous aurez peut être des regrets, des remords ...
bref, le bonheur n'est pas ici, je l'ai compris. Le truc qui est mal fait dans la vie c'est qu'on ne peux pas décider quand on nait si on veut poursuivre la néfaste aventure pour souffrir tellement après....
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maaarine · 2 years
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Bruno Falissard:
“C’est vrai que les succès de la médecine à partir du 19ème siècle sont venus avec la disparition de la spiritualité dans la pratique médicale. 
Et pour certains patients, c'est un problème, et ils se disent qu'ils vont aller voir quelqu'un qui leur parle différemment. 
Son discours va raisonner avec quelque chose qui est en moi, et qui ne relève pas des organes, de leur fonctionnement, etc. 
Je pense que ça doit nous faire réfléchir, nous des médecins de la médecine occidentale. 
Croire en dieu protège du suicide et des addictions, c'est une réalité scientifique. (…)
Nous discutions avec la directrice d'un institut de formation en hypnothérapie. Elle forme notamment des anesthésistes. 
Elle commençait par leur dire: "à la première séance, il faut regarder les gens dans les yeux quand on leur parle." 
Or, beaucoup de médecins aujourd'hui regardent leur ordinateur parce qu'ils doivent remplir le dossier informatisé du patient. 
Et puis c'est moins dur émotionnellement de regarder un écran d'ordinateur que de regarder un patient. 
A la seconde séance, pas mal d'étudiants disaient: "vous savez, vous avez raison, quand on regarde les gens dans les yeux, en fait ça marche mieux." 
On oublie l'essentiel, la relation médecin-malade, qui est un élément indispensable de l'efficacité thérapeutique. 
Et ces soins complémentaires nous font redécouvrir certaines facettes de la relation médecin-malade sur lesquelles nous n'avons pas l'habitude de travailler. (…)
Il y a plein d'essais randomisés sur l'acuponcture. Que l'on pique sur le méridien, ou que l'on fasse semblant de piquer, ou pique à côté, le plus souvent ça donne le même résultat. 
Donc en fait, les méridiens dans l'acuponcture ne doivent pas exister vraiment. Par contre, ils peuvent exister métaphoriquement. 
Dans le discours du soignant, il y a une construction mythologique sur une représentation de l'humain par rapport au cosmos, aux éléments, etc. Et là, les méridiens entrent en jeu. 
Et peut-être que dans l'entretien que fait l'acuponcteur avec le patient, ces éléments mythologiques vont raisonner positivement avec la plainte du patient. 
Quand on va piquer, alors ça va marcher, parce que je pique au bon endroit, mais ce n'est pas parce qu'il y a vraiment un méridien. C'est parce que le discours qui l'a accompagné a fait que ça marche. 
Du coup, on retrouve l'histoire du placebo, qui pour moi est un faux ami. Oui, l'acuponcture est vraisemblablement un placebo, comme l'homéopathie. 
Mais il ne faut pas dire ça, parce que dire que c'est un placebo décrédibilise le soin. 
Je pense que ce n'est pas bien de décrédibiliser les soins à outrance tant qu'on ne les a pas vraiment compris. 
Je vais prendre l'exemple du piment: ça brûle vraiment, mais vous pouvez mettre votre doigt dans votre bouche, et elle sera toujours à 37 degrés. 
Le piment est un hallucinogène. Ça fait croire au cerveau que vous vous brûlez, mais en fait rien ne change. 
Pourtant, le cerveau peut déclencher tout un tas de réactions inflammatoires, il y a même des enfants qui sont morts après avoir consommé trop de piment. 
Donc dire qu'un placebo c'est juste quelque chose qui ne fait rien, c'est pas vrai. 
Des mots violents peuvent modifier votre rythme cardiaque, le diamètre de votre pupille, la perméabilité cutanée, et même votre système immunitaire. 
Donc réduire l'importance de la relation médecin-patient et tout ce qu'elle contient à un mot qui est placebo, c'est quelque chose qui est vraiment extrêmement dommageable sur le coeur de la médecine.”
Source: La science, CQFD: Médecines alternatives, mieux vaut prévenir que guérir
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christophe76460 · 1 year
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L'humaine disproportion ou le culte de l'homme
L'homme de "Vit et trouve rien"
L'homme de Vitruvien
L'homme de Vitruvien est le symbole de l'humanisme de la Renaissance, l'homme y étant considéré comme le centre de l'Univers. Symbole même de la fameuse divine proportion ou plutôt de l'humaine disproportion ! Le culte de l'homme devenu lui-même dieu (vous serez comme des dieux, connaissant le bien et la mal) !
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Sur un fond d’oubli volontaire de Dieu, se développe le culte abominable de la confiance en l’homme, en ses capacités extraordinaires, en son génie «prométhéen», en son pouvoir à changer le monde, à infléchir le cours des événements. Quelques esprits lucides, ici et là, discernent le côté dramatique de notre situation, voient que l’humanité va tout droit «dans le mur», entrevoient avec terreur la catastrophe finale. Mais ce qui prévaut, en général, c’est une confiance folle, aveugle et obstinée en l’homme, un optimisme buté, suicidaire, et cela malgré les coups de boutoir des deux grandes guerres mondiales, et les preuves accumulées au cours des siècles - «erreurs et horreurs» - de la misère morale de l’homme. Même s’il reste «grand» par certains côtés comme créature faite à l’image de Dieu, l’homme a amplement démontré sa faillite, son impuissance totale à maîtriser les forces du mal et de la destruction, à commencer par le mal qui est en lui et ronge son propre cœur. En dépit de tout, l'orgueil, la confiance, l’assurance, l’arrogance continuent à prévaloir, et l’on s’acharne sans états d’âme à élever «une statue d’or» à la gloire de l’homme. C’est la répétition de l’Histoire. Nous entendons souvent des discours allant exactement dans le même sens, celui de l’optimisme à tous crins nourri aux sources de la foi en l’homme. Cela fait frémir, surtout après des avertissements divins (catastrophes naturelles, pandémies, guerres...), comme ceux que nous avons eus récemment ! La forme individualisée de cette foi démente en l’homme, c’est «le culte de soi» que promet et nourrit la psychologie, si omniprésente dans notre culture : «Or, sache que dans les derniers jours il y aura des périodes dangereuses. Car les hommes seront égoïstes, ambitieux, vantards, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à pères et à mères, ingrats, corrompus, sans affection naturelle, déloyaux, dénonciateurs, indisciplinés, cruels, détestant les gens vertueux, traîtres, obstinés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, Ayant l'apparence de la piété, mais en ayant renié la puissance. Éloigne-toi aussi de ces gens-là.» (2 Timothée, 3:1-5). Or, le mot «égoïstes» signifie littéralement «épris d’eux-mêmes». Un narcissisme effrayant sévit dans notre société, y compris dans une chrétienté décadente qui n'est qu'une contrefaçon de sa réalité.
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lesombresdeschoses · 1 year
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MORIARTY vs MORTENSEN
— Je suis désolé pour ce que mon oncle vous a fait subir.
— Vous êtes la nièce de Deyn ?
— Oui.
— C'est vous qui avez tué ces filles ?
— Non.
— C'est vous qui avez incendié cet entrepôt, provoquant la mort de l'inspecteur McKenzie ?
— Non.
— Alors on parle de quoi, là ?
— Il...
— Vous n'êtes pas responsable des saloperies des autres, quand bien même ils font partie de votre famille. Vous êtes seulement responsable de vos propres actes. Et si un jour quelqu'un vous dit le contraire, crachez-lui à la gueule, parce que c'est tout ce que cette personne méritera comme réponse de votre part.
— Hm. Merci... Bon, euh, commençons...
— Je vous en prie, c'est vous le reporter.
— Comment percevez vous le XXI° siècle avec tous ces problèmes géopolitiques, le réchauffement climatique etc... ?
— Pour ce que ça m'intéresse... la politique je la laisse volontiers aux connards narcissiques... J'ai eu un mal fou à coller les criminels en taule, alors les restes du monde, trop peu pour moi. L'écologie c'est un sérieux bordel, mais l'humain est trop con pour se remettre en question, alors quand il aura tout cramé, il crèvera dans sa merde et franchement c'est pas moi qui vais pleurer la disparition de cette espèce de parasites.
— La rencontre. Pour vous qu'est-ce que c'est ?
— Ouh ! De la philo ! Hum, aller vers l'autre, mais c'est pas trop mon truc... ou alors, ce moment surprenant qu'on ne s'imagine pas, même dans ses fantasmes les plus fous.
— Avez-vous essayé de vous mettre à la place d'un dirigeant, que ressentiriez-vous si l'on vous donnait les rênes d'un pays ?
— Je serais dictateur. Faut pas venir m'emmerder, j'ai fait l'armée. Alors à la dure, ça me va. Donc ce sera marche droit ou crève. Mais évitez de me filer ce genre de responsabilités, j'ai déjà assez à faire dans ma vie.
— Faut-il s'intéresser à la politique, avoir une instruction politique ?
— Pour éviter de se faire baiser la gueule... mais pour ce que ça sert, on se fait quand même baiser la gueule. Après, si tu veux comprendre une structure, le droit, la sociologie, l'anthropologie, si t'as que ça à faire...
— La technologie, qu'en pensez-vous ?
— Tant qu'on ne me colle pas un mouchard au cul, ça me va. C'est pratique. Faut apprendre à s'en servir par contre et éviter de bosser avec des collègues qui n'y comprenant rien, alors que c'est pas la lune. D'ailleurs, il attendent quoi à la NASA pour nous faire un remake de Star Trek ? Parce que là on file plutôt droit dans Un meilleur des monde à la sauce 1984 !
— Que pensez-vous de la place de la culture dans le monde ?
— Je suis obligée de répondre ?... L'école c'est pour conditionner. Le reste de la culture c'est trop cher pour les pauvres, parce que les bourgeois et les arrivistes veulent garder leurs foutus privilèges. Ce monde a subit un lavage de cerveau. Il faut aimer Citizen Kane et autres conneries du genre, parce qu'un bobo a décidé que ce sont des œuvres d'arts ! La Dolce Vita c'est bien plus parlant. Vous saviez que Van Gogh est mort dans la pire misère ? La culture... heureusement que mon éditeur ne me demande pas du Shakespeare !
— Avez-vous fait des recherches spécifiques pour les aspects techniques de votre roman ? Sciences, géographies... ?
— Oui. La trame et le personnage sont inspirés de mon vécu mais, comme j'ai transposé les récits dans l'univers SF, il a fallu que je fasse des recherches poussées pour élaborer une nomenclature à peu près potable. La géographie... des galaxies… Théorie des cordes, théorie du chaos, les mathématiques avec les nombre magiques, pour encoder certains de mes textes, quand un personnage cherche à percer un secret... Oui, je fais pas mal de recherche, j'ai l'encyclopédie comme livre de chevet, puis internet pour les détails à la con. Wikipédia est très bon. L’information est juste. Il doit y avoir une boulette sur dix mille. Je lis des livres, des magazines sur la physique quantique, puis je regarde des émissions scientifiques, parce que Doctor Who, faudrait pas pousser !
— Quelle est la part de virtuel dans votre vie ? Réseaux sociaux, games, lecture de romans...
— J'ai lu le dernier Griffiths. Behaviors, un policier plus axé sur la vie des perso que sur les enquêtes, j’aime bien le côté psycho. Et j'ai commencé Elements d'Archer, franchement c’est sympa, un roman sur des gens avec des super-pouvoirs, ça change des comics. Sinon rien. Les réseaux sociaux c'est antisocial, que des egos dégénérés qui cherchent à devenir le centre du monde, ces trous d'cul ! Ma part de virtuel, c'est mon nouveau métier.
— Comment percevez-vous le journalisme ? La parole médiatique, aujourd'hui ?
— Le masse-média c’est de la merde sans vouloir vous offenser, mais votre job c'est pas du JT pour les bœufs ou la gazette des bofs avec les info sur le pire du pire et les dernières perles enfilées par la ménagère du coin, donc...
— En effet, nous publions plutôt des reportages photo, des biographies et des carnets de voyages. Un journal culturel, en somme.
— Ouais, ça me plaît, j'aurais pas dit « OK » à ce rendez-vous, sinon. Donc, revenons à nos roastbeef... les médias... de la merde pour voyeuristes et autres pétasses en manque de sensations fortes. Du gros myto pour décérébrés.
— Comment jugez-vous le bizness du cinéma Hollywoodien, la suprématie de l'économie sur la culture ?
— Les bons films résistent. Les British, on n'arrêtera jamais d'être cyniques. Chez les ricains certaines grosses productions sont pas mal. Le film d'action à la Bruckheimer me manque un peu, mais il suffit d'acheter les DVD, un bon projecteur et John McLane peut venir défoncer votre salon ! Sinon, restent les séries, qui ont pris du galon dans le monde de l'image en mouvement.
— Le manichéisme, oui, non, pourquoi ?
— Non. On ne vit pas en noir et blanc. Trop simpliste. Même l'électricité a compris le truc : plus, moins et masse. Trinité. Le père, le fils, le saint esprit. Mais que les gens ne comprennent toujours pas, ça me dépasse ! C'est écrit clairement dans leur foutu bouquin ! Ils continuent de croire à l'éternel combat entre le bien et le mal. C'est la vie. Une expérience. La mort aussi est une expérience. Croire qu'il y a quelque chose après, j'en sais rien. J'ai sans doute halluciné pendant mon coma. Mais l'enfer n'existe pas. C'est nous l'enfer. Tout ce que t'as dans les tripes et que tu ne digères pas. Bien ou mal, ça instruit, c'est tout. On en découvre toujours un peu plus sur soi, sur les autres, chaque jour. Tu te prends une baffe dans la gueule, tu sais que celui là c'est un connard. Rien de mal. Que de la connaissance pour avancer.
— Votre livre parle de ça ?
— Si on veut, oui. La vie. L'absurdité de l'existence, si on ne lui en trouve pas un. Pour soi, à partir de soi. Je vis pour moi, pas pour les autres. C'est moi qui ressens ce que j'ai dans mon esprit, pas les autres.
— Peut-on tout dire et comment ?
— Moi je dis tout sans détour. Que ça plaise ou non, je m'en bats… Après, il faut savoir faire la différence entre la vérité et les pensées. Ce qu’on pense n’est pas forcément vrai, alors parfois il faut savoir fermer sa gueule. Blesser les gens pour se défouler, c’est idiot.
— Quelle est la place de l'artiste, par rapport à la voix citoyenne ?
— On a eu Huxley, Orwell et beaucoup d'autres... ça change quoi ? Rien. Les gens sont cons. Ils continuent de croire que voter les rend libres. La liberté est un concept. C'est dans votre tête. Tu peux vivre en taule et être libre. Certains ont tout, mais crèvent quand même de maladies de merde, enfermés dans un corps à l’agonie. Et ne me dites pas qu'ils ont la conscience tranquille, que c'est exclusivement la faute de la génétique. Un peu facile de tout coller sur le génome pourri des parents. L'humain n'est pas qu'un sac de chair.
— Si vous deviez réaliser un film, quel genre, quelle inspiration ?
— Le genre Blade Runner à la David Lynch, pour la blague. Mais plutôt en série, façon Au delà du réel. Le Twin Peaks de la science fiction. J'imagine bien une inspectrice galactique, amie avec une hors-la-loi et... spoilers !
— Songez-vous à votre prochain roman ?
— Déjà en cours.
— Un indice ?
— C’est toujours sur l’inspecteur de Brixton, qui enquête sur des phénomènes étranges… Il va rencontrer une équipe d’étudiants qui font la même chose que lui. Ils squattent une friche, dans laquelle ils se réunissent toutes les semaines pour se répartir les missions. J’en dis pas plus, sinon je risque de vendre la mèche sur l’intrigue.
— L’inspecteur Valentine. Inspiré par votre collègue.
— Oui, totalement.
— Bien. Merci beaucoup de m'avoir accordé un peu de votre temps si précieux.
— Suis en vacances. Je chine pour le prochain bouquin, ça va, c'était plutôt agréable. Je sors par là ?
— Oui, je vous en prie. Merci encore.
— Oh, si vous pouviez m'envoyer la marque de votre thé. C'était paradisiaque, j'ai jamais bu meilleur !
— La prochaine fois que j'irai en Suisse, je vous en ramènerai. C'est du thé noir, iranien.
— Une merveille ! Au revoir, Alisson.
— Au revoir, miss Mortensen.
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« Éric Tabarly se tient toujours droit. L’allure supérieure du militaire. Et ce, malgré son petit mètre soixante-dix. Il a une belle musculature. Pas celle des bodybuilders. Celle que l’on retrouve dessinée sur le torse des bucherons de Savoie ou sur les avant-bras des escaladeurs libres du Verdon. La force est réelle et s’accouple avec une âme de dieu romain. Tabarly est un bouclier de Brennus déterminé à vaincre. Si vie se résume aux bateaux, à la mer et aux régates. A vingt ans, jamais il ne se serait vu avec femme et enfants. La vie sédentaire épuise l’aventurier. Éric s’embarque dès sa prime jeunesse sur les grands océans à bord de Pen Duick, sa mésange à tête noire. Il navigue au sextant avec des équipages juvéniles et exaltés. Il n’est heureux qu’en haute mer. La mise en scène est rude, réelle, à sa mesure. L’homme multiplie les victoires et les tours du monde ; il ne quitte pas le pont et les cales de son bateau fétiche. Son exemplarité de commandeur et sa détermination de légionnaire romain hypnotisent toute une jeunesse en mal d’éruptions. Les bourgeois et les va-nu-pieds se retrouvent en ce marin taiseux et bienveillant. Il est le symbole d’une virilité incarnée qui transparaît aussi bien dans sa manière de manœuvrer que dans son sens de l’observation. Pas de grands discours, l’action suffit. Son regard amusé, indifférent, mutique, aux questions frivoles des journalistes parisiens. Tabarly ne paraît pas. Il est.  C’est le père spirituel de toute une génération. De Kersauson à Lamazou, de Poupon à Petitpas. Ils sont tous passés sur le pont de Tabarly. Tous reconnaissent en lui un initiateur. Il éduque à la liberté et à l’excellence, à l’effervescence de la compétition, aux grands espaces et aux splendeurs du Pacifique. Fils d’une mère bretonne et d’un père angevin, il a su devenir le simple héros d’une patrie renaissante. Il est de la race des grands marins disparus qui, pour s’épanouir, a besoin d’un climat plus beau, plus pur, plus spirituel. On pourrait mettre à son compte cette jolie phrase de Kessel. L'inaccessible seul l'attire comme le rachat et la victoire de l'humaine condition. Alors matelots, quittons la Terre et partons à l’abordage de Pen Duick !
Maxime Dalle » (édito RK 15)
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efoueboush · 2 years
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À sens eunuque
À sens eunuque
Télépathie activée Cérébrale activité Mon cervelet a de la vitalité Pour s'enfuir de l'universelle fatalité
Je me tue à la tâche Un mortel ça meurt sans feu Pour l'instant, mon existence me fâche J'anticipe l'approche de mon coup de vieux
C'est les castrés qui ont le plus de couilles Ils n'ont plus rien à perdre Tel Sleepy Hollow, ce sont des légendes, ils savent se défendre Et même ce Brom Bones ne pourra les chasser, garde ta citrouille!
Elles devaient avoir du fun, ces femmes lesbioniques Cruel coup du destin et ça nique même la logique Ils leur manquait le doigt de Dieu, ces pauvres hommes Des pêcheurs sans canne à pêche et eux, c'est tout comme
On peut pas chasser sans cul Cette quête humaine continue Sache qu'un coït interrompu à cause d'un condom perdu Peut tout de même entraîner une grossesse non voulue
Avant l'action, trouve ton moyen de contraception La discussion peut te laisser perplexe Bien que nécessaire pour protéger ton sexe Sans arrière-pensée, vous pourrez ainsi crier à l'unisson
Si j'étais un deux de pique Au moins je serais frimé Il en va de mon côté érotique Puisque de tous, il est primé
Je n'imaginerais pas perdre ce membre Toujours là pour me détendre Et c'est le pourquoi du Drapeau blanc J'essaie d'essayer, c'est un paradoxe qui n'a pas d'bon sens
Le lexique du sexe Se cherche à coups d'index Avec mes doigts, c'est majeur Le Kamasutra, a été fait pour pomper le plus de coeurs
C'est un "Pourquoi" avec un gros "cul" Je suis à nu Le combat entre le mental et le physique est foutu "Fourré" dis-je, je serai jamais assez cru
On peut s'allumer, on peut se réchauffer Chauffer un char qui, sur sa voie, illumine Malmené, sans trop s'accrocher dans le plancher Ce pauvre tuyau d'échappement, pogné dans l'asphalte comme une épine
Vroum, ça va vite Contrat d'gars, je te cite Rouge, couleur de Satan Cet ange déchu, en aura crossé du monde depuis la nuit des temps
Malédiction, excitation sans pénétration Bénédiction, au moins il n'y a pas de couille dans le potage Irréversible, ils n'auront aucune réparation Pour récupérer leur attirail, il aurait fallu le plus grand des mages
Castration barbare C'est enlever à Dieu, son art Stérilité ou vasectomie Peut-être qu'un jour, pour les enfants il n'y aura plus de nid
Penses-y à deux fois si tu veux amener la vie dans ce monde surpeuplé Abstiens-toi et le tour est joué Que ferais-tu si la vie était un jeu vidéo? Personnellement, je pratiquerais mon rodéo
Peut-être pas monté comme un taureau Je ne suis qu'un modeste bipède Celui qui saute quand même dans ce rouge cerceau Pour bientôt partir et laisser sa marque indélébile tel ce vieux Archimède
Compte toi chanceux, sur tes deux têtes met ta tuque Il ne faut pas céder, il faut s'aider Faire avec ce qu'on a, c'est ça l'truc Il n'a rien de mal à s'entre-posséder
D'ici là, la diversité nous rendra unique Après l'acte, le tabac sera à fumer ou à chiquer Même pour baiser, l'humain peut, tes pensées trafiquer La triste réalité, c'est que la confiance des hommes, ne se fera que dans les mains des eunuques
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denton-cray · 3 years
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[ESMERA] ❝ Just stay a little longer. Please. ❞ || ❝ Thankfully, it’s not my job to help you. ❞
❝ Just stay a little longer. Please. ❞
Denton pousse un soupir contrarié. Et si Eadun s'inquiète...? Si le démon observe le moindre soupçon d'inconfort sur le visage de son maître en rentrant, il ne restera plus ici la nuit. Esmera tend le bras vers le démon, et lui abandonne l'idée de renfiler sa chemise, qu'il repose sur la chaise avant de revenir s'installer dans le lit. La jeune femme se remet immédiatement contre son corps comme si il n'était pas la personne qu'il était. Seigneur, c'est bien qu'elle est encore plus défoncée que d'habitude, si elle commence à chercher de l'affection auprès d'un homme qu'elle sait aussi stoïque que lui. Ce n'est pas dans le genre de Denton de faire dans l'empathie, mais quelque chose en cette fille le touche. Sûrement que c'est le tiraillement qu'il sent à l'intérieur d'elle. L'amour, la dévotion. Tout ce qui ferait d'elle une âme parfaite à prendre, sans qu'il ne l'ait jamais osé. "Qu'est-ce-qui s'est passé aujourd'hui?" Denton demande avec la neutralité qui lui incombe. Esmera ne répond pas, et ferme les yeux contre son torse. Le démon blond sent son souffle ralentir. Elle fait une chute au ralenti dans les bras de Morphée. Denton constate qu'il peut partir, puisqu'il n'en a plus rien à tirer... Sauf qu'il ne le fait pas. Il ne sait pas ce qui le retient de partir après avoir tiré son coup comme un traitre, sans avoir même tenté de la satisfaire, comme il le fait habituellement avec elle et les autres. Ce qu'il sait c'est qu'elle est forcément malheureuse pour se mettre dans cet état, qu'elle a forcément replongé pour l'avoir fait venir ici. Il sait qu'il représente toute sa faiblesse, ses ténèbres, et qu'elle ne va vers lui que quand elle va mal. Habituellement tout ça lui est bien égal. Pourtant pas aujourd'hui. Denton soupire à nouveau, avec ce même air contrarié. Pour la première fois depuis des années, quelque chose qui n'est pas relié à son maître arrive à lui provoquer un semblant d'émotion. Une question sans égoïsme commence même à le tirailler. "Et si je t'empêchais de me voir désormais?" Il souffle à l'oreille d'une Esmera endormie, qui lui bave presque sur le torse. Ce serait sûrement mieux pour elle. Eden a sûrement raison... Si il continue comme ça, bientôt il pensera que les humains valent quelque chose.
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❝ Thankfully, it’s not my job to help you. ❞
Esmera va pour fermer la porte sur lui, mais Denton s'interpose à temps pour la tenir ouverte. Evidemment, c'était prévisible. Cette agressivité est plutôt commune chez cette humaine. Surtout après leurs ébats, et surtout quand c'est elle qui est venue les réclamer. C'est bien dommage d'en arriver là après ces quelques bons moments. Quoi qu'il en soit, Denton n'en a pas grand chose à faire. Les émotions lui sont égales de manière générale et c'est encore moins le moment pour que celles de la jolie brune lui complique la tâche. Il doit accomplir sa mission au plus vite. Quatre siècle de service pourraient s'arrêter aujourd'hui. "Si je te dis que j'ai besoin de ton aide pour sauver une vie, et que ça n'a absolument rien à voir avec Eadun... tu acceptes de m'écouter?" La porte se relâche sur son pied, et le visage de l'humaine réapparait, sceptique. "C'est réellement possible qu'il n'y ait pas de rapport avec ton cher Eden?" La brunette s'interloque avec un ton aux accents tout aussi agréables que le début de la conversation. "Et bien... Le seul rapport est que si tu ne fais pas ce que je te demande, il deviendra un danger. Il ne doit absolument pas savoir ce que j'essaie de faire." Le regard de Esmera se trouble, et ses sourcils se froncent en même temps que ceux de Denton, qui commence à ne plus réussir à cacher son anxiété. "Tu es la seule personne en qui j'ai assez confiance pour te confier cette mission, Esmera." Le démon souffle avec toute l'honnêteté du monde, et enfin ce qu'il attendait arrive. L'agressivité s'estompe doucement. Un ange passe. Les moments de calme entre eux sont si rares qu'ils en ont peut-être profité tous les deux. "Qu'est-ce-que c'est alors?" L'humaine soupire, toujours inquiète de ce qu'on va lui proposer. "J'ai besoin que tu caches un enfant."
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ink-flowers · 3 years
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1ère semaine de boulot terminée. Elle a été vraiment intense physiquement. Je n'ai plus l'habitude d'avoir ce rythme aussi soutenu, j'ai dû retenir tellement d'infos, j'avais la tête en vrac. Je vais m'y refaire.
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En plus du stress des premiers jours d'un nouveau boulot, j'ai dû supporter la connerie des gens avec la réouverture des bars/resto ce qui m'a fait rentrer à plus de 22H (sachant que je finissais à 20H) comme y avait trop de monde dans le centre-ville et ça a perturbé le trafic des transports en commun.
Une foule de gens bourrés qui se tapaient de tout et qui ne respectaient plus rien ni personne. J'étais hors de moi. Les gens sont vraiment trop cons et trop égoïstes. Ras le bol de l'humain de base qui ne réfléchis pas.
Et NE VENEZ PAS me dire "gnia gnia gnia s'est normal faut bien profitez de la vie gnia gnia gnia on a refait partir l'économie gnia gnia gnia on est jeune faut bien s'amuser gnia gnia gnia t'es aigrie gnia gnia gnia". NON ! NON ! NON ! Vous êtes des déchets et vous faites honte c'est tout.
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Le lendemain pendant que j'étais au boulot, j'ai appris que Doudou a eu un accident en vélo. Rien de très grave. Il ne s'est pas raté, il s'est bien abîmé la peau mais il peut marcher et n'a pas dû être hospitalisé. Son vélo a bien morflé, il est dans un état pas possible faut qu'on voit pour le faire réparer. Plus de peur que de mal.
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Et en plus j'ai dû gérer par mails et appels en étant au boulot et sur le trajet maison/boulot pendant 2 putains de jours une livraison qui devait être de base simple et qui a finit par me prendre la tête.
Les livraisons avec DPD c'est mort PLUS JAMAIS. De vrais incompétents, sav comme livreurs.
Le 1er livreur n'a même pas prit la peine de sonner à l'interphone et a déclaré direct que le colis n'a pu être livré alors que Doudou était à l'appart. La 1ère personne du sav que j'ai eu a tout bonnement refusé d'appeler le livreur pour savoir ce qu'il a fait de mon colis et pour qu'il repasse dans la journée car "j'avais qu'à être chez moi, le livreur gère sa tournée comme il l'entend " et a finit par m'envoyer chier car "je n'ai qu'à attendre de recevoir le message pour reprogrammer une livraison il n'y aura rien d'autre de fait". J'étais légèrement saoulée mais pas le choix j'ai patienté. Le soir j'ai reçu le message et j'ai reprogrammée direct la livraison en point relais pour le lendemain matin.
Le lendemain aprem aucune nouvelle du colis, j'y vais au culot et je décide d'appeler le dit point relais mais d'après google il serait fermé définitivement. MAIS ALORS POURQUOI IL APPARAÎT DANS LA LISTE DES POINTS RELAIS PROPOSÉS???? Je pète un câble je rappelle le sav DPD pour savoir ce qui se passe. Je tombe sur une 2ème personne relativement compréhensive qui cette fois-ci a pu appeler le 2ème livreur mais les explications qu'elle m'a données étaient imcompréhensibles et elle me proposait juste de faire livrer le colis dans un autre point relais près de mon domicile. Pas le choix je bosse et je veux mon colis donc je choisi le seul autre point relais travaillant avec DPD à côté de l'appart.
Le lendemain Doudou se déplace car il avait un recommandé à y récupérer au passage et on lui annonce qu'ils n'ont pas de colis à mon nom. La dame très gentille fait des recherches avec le n° de colis et le trouve enregistré au premier point relais qui est soit disant fermé. Va falloir m'expliquer ce que la 2ème personne que j'ai eu du sav DPD a bien pu foutre bordel de merde.
Doudou est un amour, il est allé voir à ce point relais qui n'est finalement pas fermé et qui à mon colis depuis la veille. ABUSÉ.
3 jours, 2 livreurs, 2 points relais. Normal quoi.
Bref... semaine de merde.
#Stress à gogo #La semaine des problèmes #Le bonheur de retrouver mon lit je ne vous raconte même pas
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a-room-of-my-own · 3 years
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Plusieurs psychanalystes, psychiatres, pédiatres, initiateurs de l'Observatoire des discours actuels et des pratiques médicales sur l'enfant et l'adolescent*, réagissent au documentaire « Petite fille » de Sébastien Lifshitz, qui fait la promotion du changement de genre chez les enfants.
« Mais si tu prends ma voix, dit la petite sirène à la sorcière, que me restera-t-il ? » Et la sorcière de répondre : « Tends ta jolie langue, afin que je la coupe pour me payer et je te donnerai le philtre tout puissant. » Dans le conte de La Petite sirène de Hans Christian Andersen (1805-1875) paru en 1837, la petite sirène ne parlera plus. Sa transformation lui coûta sa voix. C’est le prix à payer si nous ne continuons pas à nous interroger et à penser le monde tel qu’il va. Les progrès incontestables de la médecine de ces vingt dernières années et en particulier l’endocrinologie et la chirurgie plastique ont rendu possible des « transformations » corporelles qui ont permis à des hommes de devenir des femmes et inversement, du moins en apparence.
ENFANTS ET TRANSGENRISME
Il suffit aujourd’hui de le vouloir avec le blanc-seing du corps médical et de son philtre tout puissant, afin de le pouvoir. Le scalpel, au même titre d’ailleurs qu’un hashtag numérique, vous transforme un homme à la fois dans la chair et sur les réseaux sociaux. Dès lors, se posent des questions éthiques : à quel âge doit-on trancher dans le vif du sujet et rendre possible la demande faite à la médecine de changer de sexe ?
Une récente tribune parue dans The Guardian le 3 décembre dernier met en exergue le cas de Keira Bell, une ancienne patiente, qui regrette le traitement de transformation de genre, a fait valoir qu'elle était trop jeune pour consentir au traitement médical qui a commencé sa transition femme-homme à l'adolescence. Dans une décision de 36 pages, le tribunal a conclu que les enfants de moins de 16 ans qui envisagent de changer de sexe ne sont pas suffisamment mûrs pour donner leur consentement éclairé à se voir prescrire des médicaments bloquant la puberté. Par ce jugement, l'intervention médicale pour les moins de 16 ans souffrant de dysphorie de genre sera plus encadrée.
"Nous assistons encore à une situation de Diktats et d’impératifs catégoriques"
Dans son jugement, la Haute Cour souligne « que les traitements bloqueurs de la puberté apparaissent comme expérimentaux et qu’ils n’ont pas fait suffisamment preuve de leur efficacité à court et long terme ». Cette interrogation sur le genre est particulièrement sensible dans la clinique des adolescents d’aujourd’hui. Ceci n’est sans doute pas un hasard, les adolescents se faisant toujours l’écho de ce qui se trame dans le corps social. En effet, nous assistons à un hypersubjectivisme identitaire « à la demande » qu’une certaine médecine ratifie. Nous assistons encore à une situation de diktats et d’impératifs catégoriques où les discours politiques et militants viennent croiser les discours cliniques au point de se confondre et entraver tout discernement. Certains adolescents qui adhèrent à ces discours vont aussi dans le sens du vent communautariste.
UN DOCUMENTAIRE PROBLÉMATIQUE
Un autre événement médiatique, un documentaire cette fois, a fait des remous chez les professionnels de l’enfance notamment. Le récent film de Sébastien Lifshitz Petite fille ne manque pas de nous interroger au-delà de ses qualités indéniables. Il témoigne du cheminement d’une famille dont l’enfant, Sasha, présente ce que les psychiatres nomment une « dysphorie de genre », symptôme classé récemment dans le manuel de l’Association américaine de psychiatrie (APA) afin de décrire la détresse de la personne transgenre face à un sentiment d’inadéquation entre son sexe biologique et son identité de genre. Depuis 2013, l’APA indique que la non-conformité de genre n’est pas un trouble mental mais une souffrance clinique qui appelle une intervention médicale (non psychiatrique).
Qualifié par Télérama de « bouleversant film d’amour », le documentaire se veut ainsi une ode lumineuse à la liberté d’être soi. Mais est-ce si simple ? La question mérite d’être posée malgré les lignes de vertu qui entourent les discours actuels. De quoi est-il question dans ce film. Un très jeune enfant, Sasha, né garçon, 7 ans est convaincu depuis l’âge de trois ans d’être une fille et depuis lors est en grande souffrance car il fait l’épreuve du regard des autres qui ne comprennent pas sa « différence ». Les petites filles le rejettent car c’est un garçon et les garçons le trouvent trop efféminé. L’école que l’on présente dans le film comme le mauvais élève– la mauvaise mère ? - fait mine de ne rien entendre et campe sur ses positions.
Sa mère l’accompagne, et à plusieurs moments dans le film elle dit : « je voulais une fille », cet énoncé itératif apparaît en filigrane, il est même adressé à la pédopsychiatre jusqu’au moment où le couperet tombe : « non, ce n’est pas ça, le diagnostic est celui de la dysphorie de genre » qui dénote tout de même l’outrecuidance de l’institution médicale, en l’occurrence ici l’hôpital Robert Debré.
La parole de l’enfant, contrairement à ce que nous montre le réalisateur, mérite d’être entendue et nécessite plusieurs consultations et y compris à travers des médiations propres à son âge. La formule au lasso « Je vous ai compris » vient en aplomb taire les angoisses voire même le désarroi que ressentent les parents. « Suffit-il de la seule réponse médicale pour parer au désarroi du sujet en mal d’identité ? », interroge Denis Salas dans son livre Sujet de chair et sujet de droit (D. Salas, Sujet de chair et sujet de droit : la justice face au transsexualisme, PUF, 1994).Et lorsqu’il s’agit d’un enfant ? Qui désire pour lui ?
"Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents"
L’enfant dans le film ne dit-il pas « quand je serai grand, je serai une fille » ? Qu’énonce-t-il lorsqu’il dit vouloir être une fille plus tard ? On ne peut trancher là encore dans le vif du débat sans entendre le désir de l’enfant (le désir par définition c’est aussi ce qui fait rêver). « Nous désirons tellement le bonheur de nos enfants que nous ne nous demandons plus ce qu’ils ont à vivre en propre et quelles sont leurs aspirations véritables. Nous les écrasons sous le poids de nos bonnes intentions », écrit Marcel Gauchet (« L'enfant imaginaire », Le Débat vol. 183, no. 1, 2015, pp. 158-166).
La question qui mérite d’être non seulement posée mais entendue est celle de la place subjective qu’occupe cet enfant dans l’économie familiale et auprès de la mère notamment. Un enfant, seul, ça n’existe pas, il se construit psychiquement avec les premiers autres présents au moment de sa naissance et il lui faut aussi faire un travail psychique pour se séparer d’eux afin de frayer sa propre voie et se singulariser. Tout enfant doit progressivement psychiquement se séparer de ce que veulent pour lui ses parents.
PROTÉGER L'ENFANT
Il s’agit de faire fonctionner la parole comme instance tierce au-delà de la relation duelle mère-enfant. C’est aussi le travail psychique de l’enfant que de devoir composer avec des données de départ qu’il n’a pas choisies – un nom, un prénom, une date de naissance, un sexe, une langue, un milieu social et culturel.
Certes, il pourra toujours s’en affranchir, au moins en partie, une fois adulte mais il est nécessaire qu’il s’en saisisse pour mieux s’en délester. Freud affectionnait particulièrement ces vers de Goethe : « Ce dont tu as hérité de tes pères, acquiers-le pour le posséder. » On nous rétorquera encore l’hétéro-patriarcat d’une telle formule si nous la lisons au premier degré. Mais les pères, c’est la lignée, la filiation, ce qui institue l’ordre des générations. Ce n’est pas le papa ! C’est une parabole intéressante pour comprendre ce qu’il en est de la transmission. L’enfant ne choisit ni ses parents ni son sexe, ni son nom en naissant. Il passe sa vie à composer avec ce qui ne lui est pas donné d’emblée, pour mieux s’en accommoder et devenir ce qu’il est avec ce qu’il n’a pas choisi. C’est ce principe qui est fondateur du genre humain. Il est contraint, il ne peut pas tout.
C’est donc ce questionnement qui est court-circuité par la pédopsychiatre dans ce film, qui refuse de donner le moindre crédit aux paroles de la mère qui s’interroge. L’air du temps est à la reconnaissance de l’individu dans sa spécificité mais où se situe encore la dialectique avec le collectif si ce dernier ne peut plus être rien d’autre que l’assentiment donné à la revendication du particulier.
À aucun moment dans le film, le réalisateur ne se pose la question des difficultés engendrées par une intervention du médical sur le corps de l’enfant : traitement hormonal pour bloquer sa puberté puis plus âgé s’il maintient sa demande, des interventions chirurgicales qui vont trancher dans la chair. Il s’agit d’empêcher la virilisation en ratifiant un ressenti qui pourrait s’avérer transitoire.
"Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite "
À aucun moment, le réalisateur n’interroge les conséquences d’un tel choix, nous assistons plutôt à un film laudatif et prosélyte qui occulte superbement toute la complexité du psychisme et tombe dans les travers de l’indigence de certains discours sur les réseaux sociaux qui préemptent tout débat.
La clinique se doit d’accompagner, d’entendre le symptôme, d’éviter tout passage à l’acte irrémédiable surtout chez des sujets en cours de développement et d’autre part permettre une élaboration où la vie psychique se construit, et donne le temps aux réalités interne et externe de se préciser et de s’articuler.
Aimer un enfant, c’est aussi lui faire accepter la limite ; il peut certes rêver d’être un autre mais le réel le contraindra toujours et il incombe aux parents de le lui faire entendre. Mais la question mérite d’être posée et la médecine peut accompagner la question sans forcément y répondre de manière tranchée et cela d’autant plus lorsqu’il s’agit d’enfants car la prise en charge relèvera alors davantage de la tératologie que de la thérapeutique.
De manière générale, on peut dès lors se poser la question de savoir si la réponse que donne aujourd’hui le corps médical n’est pas une forfaiture puisque le serment d’Hippocrate, toujours d’actualité, enjoint l’impétrant à d’abord ne pas nuire : primum non nocere.
Signataires :
Céline Masson, professeur des universités, psychanalyste
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre, psychanalyste
Claire Squires, psychiatre, maître de conférences à l’Université de Paris
Éric Ghozlan, docteur en psychologie clinique, membre du Conseil National de la Protection de l’Enfance
Hana Rottman, pédopsychiatre, psychanalyste
Natalie Felzenszwalbe, avocate honoraire
Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, psychanalyste
Isabelle de Mecquenem, professeur agrégé de philosophie
Manuel Maidenberg, pédiatre
Anne-Laure Boch, neurochirurgien, praticien hospitalier à la Pitié Salpêtrière
* Contactable à l'adresse suivante : [email protected]
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blog59-world · 3 years
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Yohann de Aurillac 19 h ·
"L'Arrêt de Facebook: un cataclisme pour le monde" Article de Constantin, journaliste sur BFM Facebook, Instagram et What's App ont fait l'objet d'une panne pour quelques heures. "J'ai cru à la fin du monde" nous explique Martin, 25 ans. En effet, les réseaux de notre ami censureur Mark Suckerberg, grand défenseur de la pensée unique ont cessé de fonctionner ce qui n'est pas passé inaperçu. Il y aurait eu près de 200 millions de suicides rien qu'en Europe, toujours d'après le média de désinformation officiel préféré BFM WC. Effectivement, l'un des survivants témoignent "Heureusement que j'avais Fortnite, sinon je succombais" nous dit Kévin, 15 ans. En effet, Fortnite, Call of Duty ou encore Fifa aurait sauvé un bon nombre de personnes. "C'est là où je me suis rendu compte que la technologie était super importante et vitale pour moi et notre société. Créer du lien virtuel avec les autres, raconter sa vie et pouvoir critiquer subtilement mes copines via un écran est un avantage majeur qui permet de se dire les choses." D'après Martine, 48 ans. Après ces quelques témoignages glaçants, il est évident qu'aujourd'hui intégré la technologie, plus au quotidien, mais dans les cellules de chacun ne révèle plus du fantasme, mais de la nécessité. Un certain Laurent, je ne cite point son nom de famille qui est un prénom, nous raconte sa vision des choses "Nous avons vu à quel point cette expérience a été traumatisante pour les gens. Ça tombe bien car nous venons de mettre en place une puce électronique qui se met dans le cerveau permettant d'allumer son facebook par la pensée et de communiquer avec les autres. Mais ce n'est pas tout. Il va falloir tout digitaliser aujourd'hui. Le gouvernement va donc mettre en place un crédit social permettant à chaque citoyen de voir sa note comportemental d'après l'IA, et ceux qui seront mal noté parce qu'ils seront arrivé au travail en retard, par exemple à 8h10 au lieu de 8h pourraient voir leur compte en banque bloqué. Aussi, les paiements devront forcément s'effectuer à distance, via notamment une carte électronique qui se trouve au niveau du poignet, l'argent liquide devra être supprimé. Ceci est juste pour votre sécurité et pouvoir contrôler votre argent. Le monde se modernise. La virtualité est une grande chose. L'un de mes plus grands projets est de créer une forêt virtuelle holographique à base de graphène pour éviter les futurs épidémies de vie. L'homme cyborg n'est plus qu'une question de temps." Sur ses paroles de Laurent qui sont très enthousiasmante pour le futur (pas celui des végétaux), nous espérons, nous, dans les locaux de BFM que ce plan voit effectivement le jour et que la République Maçonnique de France arrive à ses fins dans sa colaboration avec la mafia pharmaco-bancaire mondiale. Pour terminer, j'ai pu interviewé un certain Jacques, dirigeant de la France depuis + de 40 ans. "Aujourd'hui, il parait impensable de revenir en arrière. La politique aujourd'hui doit être basée sur la technocratie. L'humain n'est plus capable de gérer l'humain et nous devront passer par la technologie. Nos partenariat avec les géants de la Big Tech et l'infiltration du PCC dans notre gouvernement va nous aider. Pour compléter le sujet, l'homme-robot va pouvoir donner + de travail et de productivité aux grandes industries." Je mets le mot de la fin pour dire à quel point, moi, constantin, journaliste à BFM, ça a été une fierté pour moi d'être l'une des petites putes préférées du NOM. Constantin - Journaliste à BFMWC, 42 ans.
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narcisskanotfrisk · 3 years
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Tales of a Multiverse: Triangle Amoureux
Après cette longue pause je reviens enfin ma tête pleine d’inspiration ! Voilà un petit texte que j’ai écrit qui met en scène un triangle amoureux entre Chara, Frisk et Sans. Je vous souhaites une bonne lecture ! (Une version anglaise seras publié sous peu) ‘’Il existe une timeline où Frisk ne faisait que des routes pacifiques, bien trop gentille pour faire du mal à qui que ce soit... Jusqu'à un certain jour, Chara s'éveilla. Observant alors les faits et nombreux Reset de Frisk tout en commençant à lui parler. C'est ainsi qu'un jour elle proposa à l'humaine emplit de détermination d'essayer quelques choses de nouveau... Après tout si quelques choses se passer mal, elle pouvait toujours Reset et recommencer. Frisk qui était tombé sous le charme de cet esprit sembla hésitante mais Chara parviens facilement à la convaincre... Amoureuse d'elle Frisk commença une run génocide mais juste après avoir tué Toriel à sa première rencontre avec Sans, elle s'effondra en larme devant lui demandant de la pardonné. Malgré le profond amour qu'elle avait envers Chara c'était bien au delà de ses forces de tuer autant de monstres … Finissant par s'allier avec Sans, les deux amis réussirent à vaincre Chara et reprendre le contrôle de leur timeline. La fantôme disparu alors en lançant un adieu à Frisk... Ce qui la détruisit intérieurement, la personne qu'elle aimait du plus profond de son âme venait de disparaître et cela fait bientôt six mois que Frisk n'est plus capable de Reset n'étant plus déterminé... Sans soupirait en se rappelant de ce que son frère Papyrus venait de lui crier. Frisk avait encore fait des siennes et était porté disparu... C'était loin d'être la première fois que cela arriver en ses quelques mois.... Le squelette savait très bien qu'il n'y avait qu'une destination où l'humaine pouvait être. Il claqua des doigts pour se téléporter juste à l'endroit en question qui n'était d'autre que celui de sa chute... Frisk était assise dans le parterre de fleur la tête baissé. Le squelette ne remarqua pas de suite les larmes silencieuses qui coulait le long des joues de cette humaine. Attendant un  moment il finit s'approcher de Frisk avant de s’agenouillait devant elle et de caresser ses cheveux. Un peu surprise, l'humaine releva la tête vers son ami c'est à cet instant qu'il remarqua les larmes de Frisk... Une douleur apparut alors dans son cœur, il ne savait pas comment aidé celle-ci découvrant cet émotion pure qu'est l'amour. Frisk essuya alors ses larmes avant de détourné son regard de Sans le laissant simplement caresser ses cheveux. Un silence pesant s'installa dans la pièce alors que la tension grimper en flèche... Ce fut l'humaine qui osa rompre ce lourd silence. « Je sais ce que tu vas me dire... Mais je n'arrives pas à l'oublier... » Le squelette retira sa main des cheveux de l'humaine hésitant un instant avant de s’asseoir calmement à coté d'elle. Sans sortit une bouteille de ketchup de son manteau avant de siroter le contenu. Son cœur menaçait d'exploser avec la jalousie qu'il éprouvait à l'instant... Son âme n'était pas prêt à accepter que l'humaine puisse aimer cette choses qu'il considérait comme psychopathe. Essayant de recentrer ses pensées, il se mit à regarder vers le plafond. « Tu devrais, elle t'a forcer à tuer ses monstres que tu chéris tant. C'est mieux ainsi crois moi. - . . . Tu penses ? … Peut-être qu'elle se sentait juste seule ?... Tu sais elle n'est pas aussi mé- -Je t'arrête là Frisk, le coupa le squelette visiblement tellement irrité qu'il manqua d'exploser sa bouteille entre ses phalanges, ce n'était qu'une... Psychopathe ! Tu as tué tant de personnes à cause d'elle ! » Frisk se releva d'un coup en entendant les paroles de Sans, le squelette ne se rendait pas compte à quel point ses mots étaient atroces. Il leva la tête se relevant doucement et soutenant le regard meurtrier de l'humaine. « Parce que tu crois la connaître ? Si je ne t'avais pas dis qu'elle était avec moi tu ne l'aurais jamais su ! -Peut-être mais je le sais maintenant et tu ne me ferras pas changer d'avis ! Elle t'a poussé à tué ! -CE N'EST PAS VRAI !!!! hurla-t-elle» Même Sans fut surpris de l'intonation dans la voix de Frisk... L'humaine profita de l'occasion pour continuer sur sa lancé. « C'est moi qui est décidé d'attaquer un monstre ! C'est moi qui est pris ce jouet en forme de couteau pour être plus puissante ! Et c'est moi qui tué Toriel de mes propres mains ! Chara ne m'a jamais forcé … Elle n'a fait qu'émettre une possibilité... Et c'est MOI, FRISK qui est choisi de parcourir ce chemin.... » Un nouveau silence qui dura plus longtemps que le précédent s'installa... Tournant finalement les talons Frisk commença à partir mais Sans lui attrapa le poignet en cours de route avant qu'elle ne puisse partir. « Frisk je- -Ne dis rien Sans. Je sais que tu me déteste », rajouta-t-elle avant de se libérer le poignet et de partir en trombe. Elle c'était remise à pleurer et c'était de la faute du squelette cette fois-ci... Sans s'assit lourdement sur le sol se laissant presque tombé par terre. Il replia ses genoux contre son thorax avant de se demander ce qui lui appris. Une présence alors familière se dressa en face de lui, toujours autant fantomatique Chara observant Sans avec un grand sourire. Même lui ne put s'empêcher de rire avant de jeter sa bouteille sur l'esprit.... Ce qui la traversa juste. « Eh, que fait un fantôme par ici ? Tu as perdu ta poupée ? -Oh non ~ Rassure toi tête d'os, je l'ai vu partir en pleure et je comptes bien la retrouvé ~ » L’œil gauche de Sans s'illumina alors de bleu, il semblait très clairement énervé par la remarque de Chara mais décida de la jouer fine. Il se releva avec son sourire habituel avant de lui faire un clin d’œil et de lui sortir une de ses fameuses blagues à base d'os. Ce qui est l'effet escompté car la fantôme détester les blagues... Après avoir passé ses nerfs sur le squelette en l'insultant brièvement elle rajouta. « Je vois bien que tu es un tas d'os sans cœur, ne t'en fais plus pour elle c'est moi qui aurait son cœur ~ Si j'ai disparu c'est bien pour réfléchir, et je penses savoir ce que je veux maintenant donc tu n'as aucune chance ~ Tu ferais mieux d'abandonné … ''Sans''. -C'est ce que l'on verras, je vais pas me laisser faire par un esprit... Tu es in-CORPS-orelle après tout ! Tu peux toujours CORPS-rir pour que je te la laisse ! -Argh ! Arrête ça ! » Et sur ses mots, la bataille pour conquérir le cœur de Frisk commença....’‘
Choisissez votre destiné :
==> Route de Sans
==> Route de Chara
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tournevole · 4 years
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Dimanche 22 mars. Coline Serreau, réalisatrice de La belle verte, Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, écolos, humanistes et généreux comme La belle verte ou La crise. LE MONDE QUI MARCHAIT SUR LA TÊTE EST EN TRAIN DE REMETTRE SES IDÉES A L’ENDROIT par Coline Serreau Le gouvernement gère l'épidémie comme il peut… mais les postures guerrières sont souvent inefficaces en face des forces de la nature. Les virus sont des êtres puissants, capables de modifier notre génome, traitons-les sinon avec respect, du moins avec modestie. Apprenons à survivre parmi eux, à s'en protéger en faisant vivre l'espèce humaine dans des conditions sanitaires optimales qui renforcent son immunité et lui donnent le pouvoir d'affronter sans dommage les microbes et virus dont nous sommes de toute façon entourés massivement, car nous vivons dans la grande soupe cosmique où tout le monde doit avoir sa place. La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais l'équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère. Dans cette crise, ce qui est stupéfiant c’est la rapidité avec laquelle l'intelligence collective et populaire se manifeste. En quelques jours, les français ont établi des rites de remerciement massivement suivis, un des plus beaux gestes politiques que la France ait connus et qui prolonge les grèves contre la réforme des retraites et l'action des gilets jaunes en criant haut et fort qui et quoi sont importants dans nos vies. Dans notre pays, ceux qui assurent les fonctions essentielles, celles qui font tenir debout une société sont sous-payés, méprisés. Les aides-soignantes, les infirmières et infirmiers, les médecins qui travaillent dans les hôpitaux publics, le personnel des écoles, les instituteurs, les professeurs, les chercheurs, touchent des salaires de misère tandis que des jeunes crétins arrogants sont payés des millions d'euros par mois pour mettre un ballon dans un filet. Dans notre monde le mot paysan est une insulte, mais des gens qui se nomment "exploitants agricoles" reçoivent des centaines de milliers d'euros pour faire mourir notre terre, nos corps et notre environnement tandis que l'industrie chimique prospère. Et voilà que le petit virus remet les pendules à l'heure, voilà qu'aux fenêtres, un peuple confiné hurle son respect, son amour, sa reconnaissance pour les vrais soldats de notre époque, ceux qui sont prêts à donner leur vie pour sauver la nôtre alors que depuis des décennies les gouvernements successifs se sont acharnés à démanteler nos systèmes de santé et d'éducation, alors que les lobbies règnent en maîtres et arrosent les politiques avec le fric de la corruption. Nous manquons d'argent pour équiper nos hôpitaux, mais bon sang, prenons l'argent où il se trouve, que les GAFA payent leurs impôts, qu'ils reversent à la société au minimum la moitié de leurs revenus. Car après tout, comment l'ont-ils gagné cet argent ? Ils l'ont gagné parce qu'il y a des peuples qui forment des nations, équipées de rues, d'autoroutes, de trains, d'égouts, d'électricité, d'eau courante, d'écoles, d'hôpitaux, de stades, et j'en passe, parce que la collectivité a payé tout cela de ses deniers, et c’est grâce à toutes ces infrastructures que ces entreprises peuvent faire des profits. Donc ils doivent payer leurs impôts et rendre aux peuples ce qui leur est dû. Il faudra probablement aussi revoir la question de la dette qui nous ruine en enrichissant les marchés financiers. Au cours des siècles passés les rois de France ont très régulièrement décidé d'annuler la dette publique, de remettre les compteurs à zéro. Je ne vois pas comment à la sortie de cette crise, quand les comptes en banque des petites gens seront vides, quand les entreprises ne pourront plus payer leurs employés qui ne pourront plus payer les loyers, l'électricité, le gaz, la nourriture, comment le gouvernement pourra continuer à gaspiller 90% de son budget à rembourser une dette qui ne profite qu'aux banquiers. J'espère que le peuple se lèvera et réclamera son dû, à savoir exigera que la richesse de la France, produite par le peuple soit redistribuée au peuple et non pas à la finance internationale. Et si les autres pays font aussi défaut de leur dette envers nous, il faudra relocaliser, produire de nouveau chez nous, se contenter de nos ressources, qui sont immenses, et détricoter une partie de la mondialisation qui n'a fait que nous appauvrir. Et le peuple l'a si bien compris qu'il crie tous les soirs son respect pour ceux qui soignent, pour la fonction soignante, celle des mères, des femmes et des hommes qui font passer l'humain avant le fric. Ne nous y trompons pas, il n'y aura pas de retour en arrière après cette crise. Parce que malgré cette souffrance, malgré ces deuils terribles qui frappent tant de familles, malgré ce confinement dont les plus pauvres d'entre nous payent le plus lourd tribut, à savoir les jeunes, les personnes âgées isolées ou confinées dans les EHPAD, les familles nombreuses, coincés qu'ils sont en ville, souvent dans de toutes petites surfaces, malgré tout cela, le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l'endroit. Où sont les vraies valeurs ? Qu'est-ce qui est important dans nos vies ? Vivre virtuellement ? Manger des produits issus d'une terre martyrisée et qui empoisonnent nos corps ? Enrichir par notre travail ceux qui se prennent des bonus faramineux en gérant les licenciements ? Encaisser la violence sociale de ceux qui n'ont eu de cesse d'appauvrir le système de soin et nous donnent maintenant des leçons de solidarité ? Subir une médecine uniquement occupée à soigner les symptômes sans se soucier de prévention, qui bourre les gens de médicaments qui les tuent autant ou plus qu'ils ne les soignent ? Une médecine aux ordres des laboratoires pharmaceutiques ? Alors que la seule médicine valable, c’est celle qui s'occupe de l'environnement sain des humains, qui proscrit tous les poisons, même s'ils rapportent gros. Pourquoi croyez-vous que ce virus qui atteint les poumons prospère si bien ? Parce que nos poumons sont malades de la pollution et que leur faiblesse offre un magnifique garde-manger aux virus. En agriculture, plus on cultive intensivement sur des dizaines d'hectares des plantes transformées génétiquement ou hybrides dans des terres malades, plus les prédateurs, ou pestes, les attaquent et s'en régalent, et plus il faut les arroser de pesticides pour qu'elles survivent, c’est un cercle vicieux qui ne peut mener qu'à des catastrophes. Mais ne vous faites pas d'illusions, on traite les humains les plus humbles de la même façon que les plantes et les animaux martyrisés. Dans les grandes métropoles du monde entier, plus les gens sont entassés, mal nourris, respirent un air vicié qui affaiblit leurs poumons, plus les virus et autres "pestes" seront à l'aise et attaqueront leur point faible : leur système respiratoire. Cette épidémie, si l'on a l'intelligence d'en analyser l'origine et la manière de la contrer par la prévention plutôt que par le seul vaccin, pourrait faire comprendre aux politiques et surtout aux populations que seuls une alimentation et un environnement sains permettront de se défendre efficacement et à long terme contre les virus. Le confinement a aussi des conséquences mentales et sociétales importantes pour nous tous, soudain un certain nombre de choses que nous pensions vitales se révèlent futiles. Acheter toutes sortes d'objets, de vêtements, est impossible et cette impossibilité devient un bonus : d'abord en achetant moins on devient riches. Et comme on ne perd plus de temps en transports harassants et polluants, soudain on comprend combien ces transports nous détruisaient, combien l'entassement nous rendait agressifs, combien la haine et la méfiance dont on se blindait pour se préserver un vague espace vital, nous faisait du mal. On prend le temps de cuisiner au lieu de se gaver de junk-food, on se parle, on s'envoie des messages qui rivalisent de créativité et d'humour. Le télétravail se développe à toute vitesse, il permettra plus tard à un nombre croissant de gens de vivre et de travailler à la campagne, les mégapoles pourront se désengorger. Pour ce qui est de la culture, les peuples nous enseignent des leçons magnifiques : la culture n'est ni un vecteur de vente, ni une usine à profits, ni la propriété d'une élite qui affirme sa supériorité, la culture est ce qui nous rassemble, nous console, nous permet de vivre et de partager nos émotions avec les autres humains. Quoi de pire qu'un confinement pour communiquer ? Et pourtant les italiens chantent aux balcons, on a vu des policiers offrir des sérénades à des villageois pour les réconforter, à Paris des rues entières organisent des concerts du soir, des lectures de poèmes, des manifestations de gratitude, c’est cela la vraie culture, la belle, la grande culture dont le monde a besoin, juste des voix qui chantent pour juguler la solitude. C’est le contraire de la culture des officines gouvernementales qui ne se sont jamais préoccupées d'assouvir les besoins des populations, de leur offrir ce dont elles ont réellement besoin pour vivre, mais n'ont eu de cesse de conforter les élites, de mépriser toute manifestation culturelle qui plairait au bas peuple. En ce sens, l'annulation du festival de Cannes est une super bonne nouvelle. Après l'explosion en plein vol des Césars manipulés depuis des années par une maffia au fonctionnement opaque et antidémocratique, après les scandales des abus sexuels dans le cinéma, dont seulement une infime partie a été dévoilée, le festival de Cannes va lui aussi devoir faire des révisions déchirantes et se réinventer. Ce festival de Cannes qui déconne, ou festival des connes complices d'un système rongé par la phallocratie, par la corruption de l'industrie du luxe, où l'on expose complaisamment de la chair fraîche piquée sur des échasses, pauvres femmes porte-manteaux manipulées par les marques, humiliées, angoissées à l’idée de ne pas assez plaire aux vieillards aux bras desquels elles sont accrochées comme des trophées, ce festival, mais venez-y en jeans troués et en baskets les filles, car c’est votre talent, vos qualités d'artiste qu'il faut y célébrer et non pas faire la course à qui sera la plus à poil, la plus pute ! Si les manifestations si généreuses, si émouvantes des peuples confinés pouvaient avoir une influence sur le futur de la culture ce serait un beau rêve ! Pour terminer, je voudrais adresser une parole de compassion aux nombreux malades et à leurs proches, et leur dire que du fin fond de nos maisons ou appartements, enfermés que nous sommes, nous ne cessons de penser à eux et de leur souhaiter de se rétablir. Je ne suis pas croyante, les prières m'ont toujours fait rire, mais voilà que je me prends à prier pour que tous ces gens guérissent. Cette prière ne remplacera jamais les soins de l'hôpital, le dévouement héroïque des soignants et une politique sanitaire digne de ce nom, mais c’est tout ce que je peux faire, alors je le fais, en espérant que les ondes transporteront mon message, nos messages, d'amour et d'espoir à ceux qui en ont besoin.
Coline Serreau
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