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#l’histoire de ma vie
fantasiavii · 9 months
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I finally read SVSSS vol 2 and had sooo much fun, maybe too much, but those books are just so over the top and enjoyable
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septperceptions · 2 months
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#brouillon
j’ai appris que les histoires d’amours étaient imparfaites et que c’était ce qui en faisait leurs beauté. j’ai appris que la communication n’est rien sans le travail de soi. j’ai appris que pardonner était possible, sans forcément donner une nouvelle chance. j’ai appris, que l’amour sain, c’était l’amour mature, réfléchi et sincère. L’amour sain se construit comme la confiance en soi. j’ai appris qu’on n’avait pas tous le même langage, surtout dans l’amour. Que sa façon de m’aimer n’était pas la même que la mienne, mais qu’au final c’était ça qui me charmait. j’ai appris que les garçons ne se remettent jamais en question, mais les hommes si. ils savent nous rappeler, reconnaitre leurs erreurs, et demander de l’aide pour ne plus les reproduire. j’ai appris que mon intuition était toujours la bonne, puisque je n’allais pas à l’encontre de moi-même. j’ai appris à m’aimer, pour mieux l’aimer et il a fait pareil de son côté. j’ai appris que les gens qui m’aimaient le mieux, c’était ceux qui me disaient ce que je ne voulais jamais entendre, ceux qui me sortaient de ma zone de confort. ceux qui me faisaient évoluer dans le bon sens. il avait raison, je l’ai détester autant que je l’ai aimé, parce qu’il faisait en sorte de toujours me faire évoluer. Je lui en ai voulu pendant des années, sans jamais comprendre qu’il était l’amour sain que je recherchais. merci la vie, de m’avoir offert la maturité de voir qu’il n’était pas le méchant de l’histoire, et que ces démons étaient le miroir des miens.
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alexar60 · 10 months
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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ascle · 3 days
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La chanson québécoise 1ère partie
Il est impossible de relater l'histoire de la chanson québécoise en quelques lignes. Je vous propose donc aujourd'hui un survole des 100 dernières années de ces chanteurs et chanteuses qui ont forgé, puis transformé et propulsé le Québec. J'ai choisi de vous présenter un artiste par décennie qui aura marqué, à sa manière l'univers musical québécois. Comme il s'agit de vous faire découvrir, vous me pardonnerez de ne pas parler des Leclerc, Charlebois, Reno et Dion, non pas par manque d'importance, mais parce que vous les connaissez déjà.
Les années 20: La Bolduc
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Mary Rose Travers, née en Gaspésie en 1894, est une autrice-compositrice-interprète qui s'inspire de ses racines irlandaises (père) et canadienne-française (mère). Elle va connaitre un immense succès à la fin des années 20, pendant la grande dépression, où sa musique et ses paroles drôles et réconfortantes touchent la classe ouvrière. Entre 1929 et 1932, elle enregistre 70 titres, soit un 78 tours par mois. Elle entreprend des tournées au Canada et dans le Nord-Est des Etats Unis. Reine incontestable de la turlute (non... non... pas celle française!! Retournez dans mes publications précédentes pour la bonne définition), elle enchaine les succès qui traversent les époques et qui, sont encore chantés et repris aujourd'hui.
Je vous recommande:
Ça va venir découragez-vous pas (probablement le plus gros hit)
La bastringue (qui est aussi une danse)
J'ai un bouton sur le bout de la langue (une chanson humoristique)
La cuisinière (une de mes préférées)
Dans le temps du jour de l'an (LE classique du temps des fêtes)
Le commerçant des rues
Vous pouvez aussi regarder l’excellent film de François Bouvier: La Bolduc. Il raconte merveilleusement bien l’histoire de cette grande dame, mais aussi montre la réalité des familles, des femmes québécoises des années 20.
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Les années 30: Quatuor Alouette
Ce quatuor composé de Jules Jacob (ténor), Roger Filiatrault (baryton), André Trottier (basse) et Émile Lamarre (basse), chantant a cappella et dont le répertoire était exclusivement consacré à la chanson folklorique canadienne-française. Le quatuor connait un gros succès international dans les années 30. Se produisant partout au Canada, mais aussi aux États-Unis et même en France où en 1934 il fut officiellement délégué pour les fêtes marquant le quatrième centenaire de la découverte du Canada. Les chanteurs participent à plusieurs centaines d'émission de radio au Québec dans les années 30-40, pour connaitre un déclin et la dissolution du groupe au milieu des années 60.
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Les années 40: Alys Robi
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(S’tu juste moi ou on dirait Laure avec un chapeau ?!? 😮)
J'ai commencé à chanter à l'âge de 4 ans, je fais mes débuts professionnels à 12 ans, je suis la première star internationale québécoise. Qui suis-je? Céline Dion? Nope! Il s'agit d'Alys Robi, née Alice Robitaille, qui a eu un succès phénoménal et mondial dans les années 40 à 60. Interprétant des chansons françaises et américaines, elle fait également découvrir aux Canadiens les rythmes latino-américains. Accident, problème de santé, hospitalisation, lobotomie... la vie de cette grande dame est un mélange de gloire et d'enfer, de joie et de désespoir. Je vous recommande fortement de regarder l'incroyable film "Ma vie en cinémascope" (2004) de Denise Filiatrault et je vous mets au défi de rester insensible. C'est impossible.
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Je vous recommande:
Tico Tico
Brésil
Chica Chica Boom Chic
Zi Padee Doo Dah
Besame Mucho
Les années 50: Willy Lamothe
Le père de la chanson country western au Québec. Passant de chansons originales à traduction de chansons américaines, c'est un répertoire de plus de 500 chansons qu'il aura laissé et dont plusieurs sont encore chantées aujourd'hui par les plus grands. Il suffit de taper "Mille après mille" pour se rendre compte de son héritage à la simple vue des artistes ayant repris le titre: Céline Dion, Isabelle Boulay, Zachary Richard... Mais il n'était pas que chanteur, auteur, compositeur et multi-instrumentaliste, il était aussi animateur à la télévision (Le ranch à Willie) et acteur au cinéma.
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Je vous recommande:
Je chante à cheval
Je suis un cowboy canadien
Mon voyage en Louisiane
Les années 60: Michel Louvain
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Les boîtes à chansons se multiplièrent à partir de 1960, en même temps que la « Révolution tranquille », vaste mouvement d'émancipation économique et culturel, gagnait tout le Québec. Parallèlement, plusieurs chanteurs populaires connurent leur plus grands succès. Parmi eux, Michel Louvain. Très aimé de la gente féminine, séducteur et charmeur, il enchaine les hits à la radio, mais aussi à la télévision où il anime plusieurs émissions au cours de sa carrière. Il sera actif sur scène jusqu'à son décès en 2021.
Je vous recommande:
La dame en bleue (Son plus gros succès)
Sylvie
Buenas noches me amor
Un certain sourire
Les années 70: Offenbach
À ne pas confondre avec Jacques Offenbach :D c'est pas du tout le même style!! Il s'agit ici d'un groupe rock et blues très populaire dans les années 70. Son chanteur, Gerry Boulet, est en grande partie responsable du succès du groupe par sa voix unique, rauque et dure. La poésie des textes, la langue très populaire et le son caractéristique de chacune des pièces d'Offenbach en fait un des groupe les plus importants de la culture québécoise.
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Mes blues passent pu dans porte
(Après avoir écouté l’original, je vous propose cette version de Breen Lebœuf avec une p’tite fille de chez nous)
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Les années 80: Richard Séguin
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Il commence sa carrière avec sa sœur dans les années 70, puis en solo à partir des années 80 jusqu'à aujourd'hui. Chateur engagé aux textes percutants, il défend plusieurs causes en plus d'encourager la relève.
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Les années 90: Jean Leloup
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Comme on dit au Québec, c'est une bibitte! Le genre de gars qui se fout des conventions, qui vit dans son monde, embarque qui veut. Hyper populaire dans les années 90-2000, il se fait malheureusement plus rare maintenant. C'est bien dommage parce qu'on aurait grand besoin de sa folie.
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1990
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Les années 2000: Loco Locass
Groupe de Hip-hop québécois qui connait du succès dès le début avec ses textes engagés politiquement. Ardent défenseur du français, le groupe prêche pour l'indépendance du Québec et inculque aux jeunes la fierté d'être Québécois!
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Hymne à Québec
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Le mémoire de Loco Locass
M'accrocher?
Les années 2010: Les Trois Accords
Je triche un peu puisque ce groupe roule sa bosse depuis le début des années 2000, mais leur succès perdure dans le temps et il m'est impossible de passer à côté. Les 3 Accords est un groupe de pop rock humoristique, leurs chansons, toujours déjantées, rejoignent un public jeune qui grandit avec lui. Ils ont quand même fait la première partie des Rollin Stones!!
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Hawaïenne
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Dans mon corps
Les années 2020: Charlotte Cardin
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Elle fait d'abord carrière comme mannequin à l'âge de 15 ans. Finaliste de la première saison de La Voix (The voice) au Québec, elle fait ensuite un duo avec Garou, puis compose les chansons qui se retrouvent sur son premier EP. Aujourd'hui elle continue à gravir les échelons du star système et son talent est reconnu dans le monde entier.
Je vous recommande:
Meaningless
Confetti
Dirty dirty
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Feel good
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Big boy
Faufile
Voila un petit survole de la chanson québécoise! J'espère que ça vous a plu et que vous avez fait de belles découvertes!
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likielandco · 1 year
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
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«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
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histoire-glitchienne · 10 months
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Bienvenue chez Les Warren… Un couple diablement controversé
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 Bienvenue chez les Warren « chasseurs de fantômes ». Ed se présente comme étant démonologue autodidacte, safemme quant à elle, se dit médium et claire-voyante, capable de communiquer avec les esprits. Le couple n’a jamaisdemandé d’honoraires pour leur travail. Néanmoins, leurs publications, leurs conférences ainsi que les consultations surdes films relatant leurs expériences paranormales leur a apporté un franc succès financier[1].
 Il existe un certain nombre d’articles et d’ouvrages retraçant le parcours professionnel des Warren ; la plupartd’entre eux sont élogieux et ne remettent pas en question la sincérité et l’honnêteté du couple ceci en ce qui concernecertains faits qu’ils relatent et qui seront repris au cinéma, notamment dans Amityville et The Conjuring. Notons quel’activité du couple Warren, à ma connaissance, n’a jamais été le sujet d’étude sérieuse mis à part, peut-être, l’article surlequel je me suis basée pour écrire cette chronique. En effet, les faits qui y sont relatés semblent beaucoup plus objectifsque le reste de la bibliographie qui leur est consacrée. L’un des principaux « problèmes » à souligner est le fait que laplupart des ouvrages ont été écrits par des proches des Warren, Gérald Brittle, par exemple. De ce fait, les propos sontsouvent élogieux et ne remettent rien en question, ni la vie « pieuse » des Warren ni la véracité des expériencesparanormales du couple.
Il en est de même pour les ouvrages publiés de manière plus tardive, comme c’est le cas pour Les dossiers Warren 1 et 2écrits par Marie Alsina, « blogueuse réputée » dans le monde francophone. Je pense qu’un bouledogue français, enadmettant qu’il puisse écrire, aurait une syntaxe et un style bien plus léger et agréable. En outre, à l’instar des «biographes » précédents, elle dépeint Ed et Lorraine Warren comme étant un couple « pieux », volant au secours des genspar pure bonté d’âme. À aucun moment, elle ne sous-entend que les faits rapportés par les Warren aient pu être exagérésvoire manipulés.
Néanmoins, les journalistes Kim Masters et Ashley Cullins travaillant pour The Hollywood Reporter[2] ont écrit un articleintitulé :  War Over « The Conjuring » : The Disturbing Claims Behind A Billion-dollar Franchise. Il s’agit sans doute del’un des articles les plus pertinents qui aient été écrits à ce sujet. De ce fait, à défaut de pouvoir effectuer une rechercheacadémique, par manque de sources et de ressources fiables, je proposerai ici, de retranscrire l’article dans les grandeslignes. Je me baserai également sur d’autres articles critiques majoritairement américains et anglais…
Les films “basés sur des faits réels… »
 Les spécialistes en marketing ont souvent trouvé pertinent et vendeur d’indiquer que le film d’horreur que l’ons’apprête à visionner est, soi-disant, « basé sur des faits réels ». Toutefois, il n’existe ni loi ni règle explicite réglementantl’usage de ce terme. De ce fait, les cinéastes sont absolument libres d’exagérer les faits prétendument « vrais » sansrisquer quoique ce soit. Il y a eu, dans le passé, des contestations en ce qui concerne certains faits dits «réels » rapportésdans les films tels que The Hurricane de Norman Jewison et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow mais les tribunaux ontfait preuve d’indulgence. Remarquons tout de même que ces deux derniers films relatent davantage de « faits réels » queThe Conjuring. En considérant tous les faits surnaturels contenus dans les scénarios de cette série de films, il était évident,pour les réalisateurs et la production, que les spectateurs n’interprèteraient pas l’histoire au premier degré. Quoiqu’il ensoit, tant les crédules que les sceptiques se sont rués sur The Conjuring permettant à Warner d’engendrer un bénéfice d’1.2milliard de dollars. Ces profits ont été à la source d’une longue série de conflits et de controverses à propos des histoiresdu couple Warren.
Le couple Warren au cinéma versus dans la réalité…
 Le premier film The Conjuring, tourné au début des années 70, relate l’histoire d’une famille vivant dans uneferme du Rhode Island. Cette bâtisse serait hantée par l’esprit d’une sorcière. Ed et Lorraine, interprétés respectivementpar Patrick Wilson et Vera Farmiga, interviennent alors afin de libérer l’endroit de l’esprit maléfique. Le scénario n’est pasdénué de romantisme puisqu’à un moment donné Lorraine s’adresse à Ed en lui demandant : « Vous souvenez-vous de ceque m’avez dit lors de la nuit de noce ?» et à Ed de lui répondre : «  Vous avez dit que Dieu nous a réunis pour une raison.» Toutefois, comme nous l’avons souligné auparavant, leur couple n’était ni pieux ni idyllique puisqu’Ed entretenait une «relation » avec une fille de 15 ans et, d’après ce que l’on sait, Lorraine ne s’y est jamais opposée.
Penney…
 Ed Warren était âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il rencontre, pour la première fois, son amante de 15 ans sacadette… Au début des années 60, le couple Warren ne gagnait pas encore des milles et des cents. De ce fait, Ed s’étaitfait embaucher en tant que chauffeur de bus à Monroe (Conneticut) alors que Penney était une lycéenne de la villevoisine. Les deux ont alors entamé une « relation amoureuse ». En 1963, elle emménageait chez le couple… En novembre2014, Penney aurait fait une déclaration évoquant ses souvenirs ; au début, elle dormait dans une chambre située en facede celle du couple. Quelques temps plus tard, un appartement fut construit pour elle, au-dessus de la maison des Warren.Elle partage ses souvenirs en racontant : « Une nuit, il dormait en bas (…) Une nuit, il dormait en haut[3]. »
 Or, même en 1963, une adolescente n’emménageait pas chez un couple sans se faire remarquer. Par ailleurs, levoisinage a dénoncé cette situation graveleuse et indécente. Et surprise…Penney (pas Ed !)[4] a été arrêtée par la policelocale. Selon sa déclaration de 2014, elle a passé une nuit dans la prison de North End à Bridgeport alors que les policierstentaient de la persuader de signer le procès-verbal rapportant l’affaire. Etant donné qu’elle refusait de coopérer, elle a dû,sur ordre du tribunal, se présenter à un bureau pour jeunes délinquants. (Alors qu’Ed n’est pas du tout inquiété…)[5]Penney aurait dit à plusieurs reprises qu’Ed était l’amour de sa vie. De son côté, le couple Warren la présentait tantôtcomme une nièce tantôt comme une pauvre fille recueillie par charité…
 En mai 1978, alors que Penney âgée d’une trentaine d’années tombe enceinte d’Ed. En 2014, elle confessera queLorraine l’a persuadée (forcée ?)[6] d’avorter puisque la naissance d’un bébé pourrait créer rumeurs et scandale au sein del’opinion publique et ainsi ruiner la carrière des Warren. Lorraine, en tant que « fervente catholique » aurait dit à Penney :« le vrai dieu, c’est l’argent [7]». Dans un enregistrement obtenu par The Hollywood Reporter, Penney raconte non sansémotion : « Ils voulaient que je dise à tout le monde que quelqu’un était entré dans mon appartement et m’avait violée, etque je n’avais aucunement l’intention de tomber enceinte. J’avais tellement peur. Je ne savais pas quoi faire, mais j’aiavorté. Le soir, lorsqu’ils sont venus me chercher à l’hôpital, ils sont sortis, m’ont fait la leçon et m’ont laisséetranquille[8]. » Elle a également affirmé qu’Ed pouvait être violent envers Lorraine. Un jour, il l’a frappée si fort qu’elleen a perdu connaissance. D’autres fois, il la giflait pour la faire taire : « Certains soir, je pensais qu’ils allaients’entretuer[9]. »
Néanmoins, Lorraine Warren semble vouloir empêcher que certains aspects sordides et embarrassants de sa vie de couplesoient exposés sur grand écran. Son contrat avec New Line (consultant) comprend des clauses inhabituelles. En effet, lesfilms The Conjuring ne devaient montrer qu’une image positive du couple. Toutes allusions concernant une relationextraconjugale ou une sexualité déviante devaient être exclues du scénario. L’avocate Jill Smith affirme qu’elle n’avaitjamais établi de telles clauses auparavant bien que certaines personnes cédant leurs droits d’auteur restreignent la libertéde représentation. Elle aurait effectué des transactions afin de restreindre de manière drastique certains aspects del’histoire apparaissant comme étant odieux puisqu’ils ne sont aucunement pertinents à la compréhension de l’histoire.Selon elle, le public n’est pas censé être au courant de tels agissements.
En 2013, peu après le lancement du dernier film, le producteur Tony de Rosa-Grund, a envoyé un courriel à la direction deWarners et de New line afin de les informer que l’histoire des Warren avait été fortement enjolivée. Il a déclaré dans soncourriel qu’une femme proche des Warren avait été : « mortifiée quant au portrait inexact de la relation entre Ed etLorraine Warren[10]. »
Nous ne savons pas comment la production a réagi à ces allégations mais ce que l’on sait de manière certaine se trouvedans le fait que l’on a continué à dépeindre les Warren comme étant un couple heureux, pieux et conventionnel. Warners’est refusé à tout commentaire. Ed Warren est décédé en 2006, et l’avocat de Lorraine Warren, Gary Barkin, affirmequ’elle n’a jamais été au courant de rien et que par. Le fait de son âge avancé, 90 ans, elle se trouve dans l’incapacité derépondre à ces allégations. Notons que les avocats des Warren ont souligné qu’il s’agissait d’une vendetta liée à unebataille juridique : Derosa-Grund a affirmé qu’il a été injustement exclu des suites et des retombées que le film a suscité,et plus particulièrement de profits financiers.
De Rosa-Grund écrit : « Ed était un pédophile, un prédateur sexuel et un mari violent[11]. » Lorraine Warren a, en touteconnaissance de cause, couvert ses agissements pendant 40 ans. Selon lui, ils n’ont fait que de mentir au public. Contretoute attente, le scénario de The Conjuring 2, sorti en 2016, ne fait qu’amplifier l’image pieuse et idyllique du coupleWarren. Les experts juridiques affirment que Warners et New Line n’ont pas grand-chose à se reprocher en permettant unereprésentation autant romancée du couple. D’après eux, à la fin de chaque film, Warners inclut un avertissement : « Lesdialogues, ainsi que certains personnages et évènements contenus dans le film relèvent de la fiction[12]».
L’avocat Lincoln Bandlow, spécialisé dans le domaine de la production cinématographique, déclare : « Le film est moinsagréable si les chasseurs de fantômes sont une bande de connards que personne n’aime. Il faut que vos protagonistessoient sympathiques[13]. » Il poursuit en précisant que ces films ne racontent que des histoires de spectres et, de ce fait,ils ne sont pas strictement historiques. La procureure Lisa Callif, conseillère des producteurs indépendants, convient quele problème est davantage une question de relations publiques que de droit. Les cinéastes pourraient facilementargumenter que la version hollywoodienne ne reflète pas la réalité et se justifier en déclarant vouloir s’en tenir à la version« heureuse. »
Quant à Penney, aujourd’hui âgée de 70 ans, il semble qu’elle n’ait jamais reçu un seul centime de la recette des films,bien qu’elle y ait participé à plusieurs reprises. Elle ressent une grande rancœur envers Lorraine mais garde de bonssentiments à l’égard d’Ed. Par ailleurs, ils sont restés en bons termes jusqu’à sa mort, en 2006. Néanmoins, de manièreparadoxale, elle semble davantage en vouloir à Lorraine de ne pas l’avoir aidée à sortir de cette situation aliénante : «Etant plus âgée, je ne comprends pas pourquoi Lorraine m’a laissée vivre avec eux dans cette maison[14]. » D’autres fois,je m’interroge : « Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi ai-je bousillé ma vie ainsi ? Parfois, je mets en colère en pensant àquel point l’on m’a privée de beaucoup de choses[15]. »
Derrière les phénomènes paranormaux…
 En 1990, Ed a prétendu avoir capturé la « dame blanche » sur une bande magnétique. Ce fantôme hanterait lecimetière Union à Easton, dans le Conneticut. En réalité, il s’agissait de Penney qui s’était fabriqué une robe avec desfeuilles blanches… Son but était évidemment d’aider Ed à maintenir sa réputation de « chasseur de fantôme ». Bien quel’article ne s’attarde pas sur cet aspect, il paraît évident que le couple Warren ait amplifié voire inventé les phénomènesparanormaux bien avant que les réalisateurs de films d’horreur n’entrent en scène.
En réalité, il n’existe que peu de sources soulignant l’exagération des « évènements paranormaux. » évoqués par lecouple. Quelques revues cinématographiques et journalistiques l’ont fait, c’est le cas par exemple de la revue HorreurQuébec. En effet, l’article Le procès du démon : l’histoire derrière « The Conjuring : The devil made me do it[16]»,souligne le fait que le couple semble avoir profité de la maladie mentale de certaines personnes en faisant croire qu’ils’agissait d’une possession démoniaque. En effet, dans The Conjuring 3, il est question d’un meurtre commis sousemprise démoniaque. Gérald Brittle[17], sous la direction à peine dissimulée de Lorraine, prétend retracer la « véritable »histoire de cette famille dans son livre The Devil in Conneticut. Suite à sa republication en 2006, une partie de la familleen question a porté plainte pour « diffamation », « détresse émotionnelle infligée intentionnellement et violation de leurdroit à la vie privée.[18]» Sans surprise, Gérald Brittle et les Warren ont maintenu leur version des faits précisant que si lefils de la famille avait été possédé, c’était uniquement par la faute de la mère et de la fille qui avaient côtoyé une sectesataniste…Rien que ça ![19]
En outre, une enquête menée par la New England Skeptical Society en 1997, a conclu que le couple Warren était, dans lemeilleur des cas, « des conteurs d’histoires de fantômes vides de sens et, au pire de dangereux fraudeurs[20]. »
[1] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [2] Magazine américain consacré à l’industrie du cinéma. [3] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [4] Commentaire personnel [5]Commentaire personnel [6] Hypothèse personnelle [7] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [8] Ibid. [9] Ibid. [10] Ibid. [11] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [12] Ibid. [13] Ibid. [14] Ibid. [15] Ibid. [16] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [17] Gérald Brittle est, en quelque sorte, le biographe attitré des Warren. [18] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [19] Ibid. [20] https://the-line-up.com/ed-and-lorraine-warren#
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adri-atique · 4 months
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Tout livre devrait être lu au minimum deux fois. Certain livre demandent à être lu minimum deux fois. Parmi ces derniers, on y trouve Le maitre des illusions de l’auteure américaine Donna Tartt. Faisant usage de sa grande maitrise des mots, Tartt nous dépeint une histoire mouvementée mettant en scène l’étude des classiques grecques et la poursuite de l’esthétique académique à travers un narrateur témoin-sujet qui reviens sur son passé. A une première vue, le livre est tout simplement Richard, jeune homme de 28 ans fortement dépressif, qui nous raconte son année au collège Hampdenau Vermont. Plus le lecteur continue, plus on se rend compte qu’il s’agit en fait d’un aveu, la révélation d’un meurtre rester dans l’ombre depuis neuf ans., et plus on comprend l’état d’âme du narrateur.
« Nous n'aimons pas le reconnaître, mais l'idée de perdre contrôle est quelque chose qui fascine plus que tout, ou presque, les gens aussi contrôlés que nous le sommes. »
À ma première lecture, je me retrouvai dans la peau de Richard à 19 ans, fraichement débarqué dans une nouvelle école. Ayant moi-même vécu cette étape quelques fois dans ma vie, je fus capable de rapidement m’attacher au personnage et de m’immerger dans les descriptions imagées du Vermont. J’ai découvert avec lui les membres du groupe d’étudiants exclusif et leurs personnalités. J’ai tué et j’ai vécu le stress de cacher un meurtre avec ces derniers. J’ai levé les nombreuses couches de secrets gardés par les étudiants et j’ai vécu leur dissolution. La première lecture m’est resté dans la tête, trottant parmi mes idées durant des mois. Ses moments singuliers hantaient mes nuits au point qu’au début je restais éveiller le temps de faire et refaire le point sur les évènements connus, mais par la faute du narrateur et son obsession pour le pittoresque des événements, il y a autant d’inconnu qu’il y a de mauvaises décisions au travers des pages. Je devais le lire à nouveau, ou jamais je ne retrouverai le repos.
« La beauté est rarement douce ou consolatrice. Plutôt le contraire. La véritable beauté est toujours très inquiétante. »
La deuxième lecture révèle beaucoup de chose. Si lors de la première lecture j’étais Richard à 19 ans, je me suis retrouvée plus vielle de neuf ans lors de la seconde. Sachant déjà le dénouement, je découvrais de nouveaux détails qui laissaient présager les futurs événements. Ayant le contexte nécessaire, je remarquais les symbolismes présents dans le texte, que ce soient les fleurs déposées sur le seuil de la fenêtre ou bien les actions en arrière-plan. Cette seconde lecture a donné repos à mon pauvre cerveau malmener par le génie de Donna Tartt.  Je planifie le relire au moins une troisième fois, histoire de trouver encore plus de détails.
« Est-ce que quelque chose comme la “fêlure fatale”, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d’une vie, existe hors de la littérature ? Je croyais que non. Maintenant je pense que oui. Et je crois que voici la mienne : une avidité morbide du pittoresque à tout prix. À moi. L’histoire d’une de mes folies. »
Le maitre des illusions est un livre truffé de citations, de référence à la Grèce antique et totalement obsédée par la beauté, un livre parfait pour s’éduquer à travers maintes références (trouver les sources originales est en soi une aventure passionnante, je peux vous le dire.) Décrit comme étant une aventure de détective inversé, plusieurs lecteurs l’ont interprété plus comme étant une critique de la recherche de l’esthétique et comment faire ses choix pour le pittoresque sans penser aux conséquences peut mener à la perte d’un individu tel qu’il est. Un livre parfait pour les amoureux de la beauté académique.
À noter que j’ai originalement lu ce livre en Anglais, j’ai traduit les citations ainsi que le titre pour les besoins d’un texte uniforme. Toute impression m’es venu du texte original en anglais.
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so1dialled9 · 1 month
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J’appartiens à une génération à part, mais je suis en même temps à part de ma génération
Je me trouve plutôt dans l’histoire, de l’antiquité ;
Dickinson est ma sœur, Sappho ma mère,
Camille et Camus mes cousins.
Je ne suis jamais plus contente que loin de la Vie,
La Vie telle qu’elle existe maintenant
Comme cet acharnement sans fin, sans répit.
Je n’ai pas été créée
Pour mon époque
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fantasiavii · 6 months
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I’m going to write an entire story solely for the moment when a young prince used to being dressed in armor by his servant turns around and begins helping his servant put on armor instead
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septperceptions · 3 months
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J’ai perdu ma lumière plus d’une fois en acceptant le strict minimum. Guérir c’est ça, vivre en n’ayant plus peur de ne pas être aimer pour de vrai. Guérir, c’est ne plus accepter le strict minimum. Guérir, c’est aimer l’amour dans ce qu’il y a de plus beau, apprendre que les concessions font parti de la vie. Aimer en faire, des concessions, pour l’autre et pour que ça fonctionne. Guérir, c’est ne plus saboter l’histoire qu’on aimait tant. J’aime être guérie.
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alexar60 · 10 months
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Souvenirs d'autres vies
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Depuis ma plus jeune enfance, la réincarnation m’a toujours fasciné. J’avais 10 ans quand je m’y suis intéressé après avoir vu le film « Audrey Rose » avec Anthony Hopkins. C’était l’histoire d’une fille qui faisait le même cauchemar, celui de mourir brulée vive dans une voiture. Un jour, un homme prend contact avec ses parents et annonce que leur fille était la réincarnation de la sienne morte dans un accident de voiture. Comme il passait dans les dossiers de l’écran, j’avais regardé le débat qui suivit et fut fasciné d’entendre des gens parler de leur vie antérieure. Je me souviens entre autre de l’acteur Jean Le Poulain (pour ceux qui regardaient ‘au théâtre ce soir’).
J’avais une vingtaine d’années lorsqu’un ami proposa qu’on fasse une séance de régression. Nous partîmes rencontrer une de ses connaissances ayant quelques talents. Ce fut intéressant car cela marcha pour mes potes. L’un s’est vu en grognard pendant une bataille, l’autre en paysan vivant près d’un volcan en activité. Quant à moi, le médium (je ne sais pas si on les appelle comme ça) m’a prévenu que ce serait impossible. Parce qu’il sentait un blocage en mon esprit. D’après lui, j’aurais vécu quelque-chose de terrible. Il avait ajouté que je faisais partie de « ceux qui meurent dans la misère et sont reconnu tardivement pour leur œuvre »
Enfin, il me donna conseil pour essayer une pratique seule et régulière. Alors, chaque soir, je me couchais dans les meilleures conditions pour faire des régressions. Je m’allongeai sur le dos dans le noir complet. Je devais me détendre et me concentrer sur une lumière dans mon esprit, puis j’avançais vers cette lumière et je devais ouvrir une porte difficilement visible. En fait je ne me souviens pas l’avoir ouverte une fois.
Je ne sais pas si cela a réellement marché. Par contre, je me réveillais avec de sacrés rêves semblables à des épisodes de vies antérieures.
J’ai souvenir d’être à table dans une taverne. Je bois un verre avec un homme. Il sourit, il porte des cheveux longs et une petite moustache. Je ne sais pas à quelle période exactement, mais je sais que c’est un mousquetaire.
J’ai été quelqu’un sans importance, un bourgeois ou un paysan et j’ai assisté à un combat entre chevaliers en armure. Etait-ce un duel ou un tournoi ? Je ne sais pas. Ils se battaient à pieds et à l’épée.
La dernière expérience qui est apparue date d’il y a une dizaine d’années. J’étais un européen en plein XVIIIe siècle à la recherche d’une jeune femme dans un village japonais. Chose étonnante, car il me semble que le Japon était interdit aux européens durant ce siècle.
Mais celui qui m’a le plus marqué fut le souvenir d’une bataille. J’étais sur un chariot à me défendre lorsque je reçus un coup violent derrière la tête me faisant tomber au sol. Dès lors, je m’envolais et vis mon corps étendu au milieu d’autres. Je me suis senti voler au-dessus d’une forêt et j’ai vu des centaines de personnes courir et fuir la bataille. C’étaient principalement des femmes et des enfants. J’ai vu une jeune femme portant un bébé dans ses bras. En la voyant, je me suis dit qu’elle avait de l’importance pour moi.
Vingt ans plus tard, je rencontrais et sympathisais avec une femme pour qui j’eus un coup de foudre. Durant une discussion, alors que je n’avais jamais parlé de mes pseudos régressions, nous parlâmes de la réincarnation. Elle expliqua qu’une de ses amies avait des dons et lui avait racontée qu’elle était une amazone dans sa première vie. Dans sa seconde vie, elle était mariée avec son âme-sœur qui eut une mort violente. Son amie dit l’avoir vu fuir à travers une forêt en tenant sa fille dans ses bras (qui serait dans sa vie actuelle, une de ses sœurs). Son amie ajouta qu’elle louperait son âme-sœur à chaque fois qu’elle le rencontrera et qu’il finira très pauvre dans cette vie.
Son histoire me fit froid dans le dos. D’abord parce qu’entre elle et moi, l’idylle est impossible. D’ailleurs, nous ne vivons plus dans la même région. Mais aussi parce que la fin de son âme-sœur rappelle ce que m’avait dit le médium. Enfin, tout ceci n’est peut-être qu’une coïncidence, tout comme le nombre de fois que nos chemins se sont croisés. Mais là, c’est un autre sujet.
Après réflexion, j’aurais dû vous raconter que j’étais un homme préhistorique. Un jour, un extra-terrestre nous a appris à faire du feu. Pour le remercier, nous l’avons mangé. C’est pour cela que les extra-terrestres ne veulent plus se montrer. Ils ont peur qu’on recommence.  
Alex@r60 – août 2023
Photo de Philip McKay
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petitguelb · 11 months
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« J’ai toujours l’impression d’être passé(e) à côté de l’histoire de ma vie. »
_petitguelb
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vinstinx · 2 months
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JVLIVS Tome III theorizings:
1. Il est désormais père (je sais que c’est son propre faire part qui a été envoyé mais ça peut quand même être juste un lien pour amener l’idée d’une quelconque naissance). En étant désormais père, il n’a donc plus le choix que de confronter ses responsabilités tant paternel que mafieuse (son rôle de baron t’as capté). Lui ayant eu un modèle masculin absent pour la majorité de sa vie: il éprouve des difficultés à trouver son équilibre. Le tome raconte his journey to become a better man ou un homme raisonnable if that makes sense (t’as capté un peu comme LFEF orelsan qui réalise qu’il n’est plus un p’tit ado et doit se responsabiliser, parce que you get it LFEF!Orel=Crise de la trentaine et puis quelle âge il a déjà SCH maintenant?)
2. Se termine en suicide (bon je sais j’avais blagué mais juste l’idée de tuer son personnage n’est pas si folle). Avec le hint du faire part ça serait du génie de lier vie (naissance) et mort de JVLIVS dans ce dernier tome ou l’on retracerais la vie de Julius mais en quelque sorte on verrait ce qu’il aurait voulu changer comme si l’album était post Mortem et Julius avait voulu le faire pour changer son histoire ayant trouver que ses proches méritait mieux etcetera etcetera. Un son dédié à sa maman svp, genre style otto tome 1 (merci bilou d’avoir mis cette idée dans ma tête) , un peu dans la continuation de Raison du tome 2 où il explique encore qu’il aurait du l’écouter, qu’il changerait bien des chose, qu’il est désolé… *gunshot* and he’s dead finito pepito la trilogie, Julien peut aller sur une île paradisiaque profiter de sa SACEM. Bon ça c’est pt un peu out of character Mais il se tue genre pour en finir avec tt la pression qu’on lui met dessus avec genre son rôle de baron, tt en gérant ses relations personnelles mais aussi autant l’artiste tho pcq oui j’crois qu’il en pleure la nuit de la pression de voir tt le monde avoir toutes sortes d’attente pour le tome 3.
Et aussi l’idée d’unir vie et mort viendrait rendre hommage à Fusil (célébre meilleur outro rap fr objectivement que SCH proposait dans A7) thé brainrot might have been to far here trying to unite a7 to JVLIVS trilogy
3. Le tome III n’est actually pas le tome 3 mais bien le tome 0. Ainsi, on peut en comprendre que c’est l’histoire PRÉ-Julius (D’où le hint du faire-part reçu par les fans) Donc on découvre ce qu’il l’a mené la où il en est maintenant, quels choix il a fait, complications familiales qui le poussent à évoluer différemment de ce qu’il aurait voulu et déménagements Italie (un feat sur l’album: retour de Sfera dans la discographie du S) … Et puis comme aç la série/trilogie Julius dure pour un autre 4 ans encore. (It’s really not susceptible d’arriver mais c’est permis de rêver)
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raisongardee · 11 months
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“En Occident du moins, la Génération Y est dans une situation historique unique. C’est la première, il me semble, à qui des professeurs de ma propre génération ont simultanément enseigné à l’école et à l’université deux visions apparemment contradictoires de la morale. A cause de cette contradiction, livrés à eux-mêmes, ils ont parfois été désorientés, ont douté et, pire, ont été privés de richesses dont ils ignoraient jusqu’à l’existence. Le premier enseignement, c’est que la morale est relative – au mieux un jugement de valeur personnel. Ce qui signifie qu’il n’existe ni bien ni mal absolu. La morale et les règles qui lui sont associées ne sont qu’une question d’opinion personnelle et de hasard, "relatifs à" un cadre particulier défini, par exemple, par des origines ethniques, une éducation, une culture et une histoire. Ce n’est rien d’autre qu’un hasard de naissance. En accord avec cet argument, désormais une philosophie, l’histoire nous enseigne que les religions, les tribus, les nations et les groupes ethniques ont – et ont toujours eu – tendance à ne pas être d’accord sur l’essentiel. Aujourd’hui, la gauche postmoderne prétend même que la morale d’un groupe est uniquement destinée à lui permettre d’exercer son pouvoir sur un autre groupe. Dès que l’on a compris combien ses valeurs morales et celles de sa société sont arbitraires, il devient évident qu’il faut faire preuve de tolérance envers ceux qui pensent différemment et qui sont d’une origine différente. L’accent mis sur la tolérance est si prépondérant que, pour de nombreux individus, l’un des pires défauts est de se montrer prompt à juger les autres. Et, puisque nous sommes incapables de distinguer le bien du mal, la chose la plus malvenue qu’un adulte puisse faire est de donner des conseils pratiques à un jeune. Ainsi, une génération a grandi sans qu’on lui enseigne ce que l’on appelait jadis à juste titre le "bon sens pratique" qui avait guidé les générations précédentes. La Génération Y, à qui l’on a souvent rabâché qu’elle avait reçu la meilleure éducation possible, a en réalité souffert d’une grave négligence intellectuelle et morale. Les relativistes de ma génération et de celle de Jordan, dont un grand nombre sont devenus leurs professeurs, ont fait le choix de renoncer à des milliers d’années de savoir sur la meilleure façon d’acquérir de la vertu, considérant qu’il s’agissait de méthodes du passé "dénuées de pertinence", voire "oppressives". Ils étaient si doués que le simple terme de "vertu" semble aujourd’hui totalement démodé, et que ceux qui l’emploient passent pour des moralisateurs archaïques et suffisants.”
Norman Doidge, préface à Jordan B. Peterson, 12 règles pour une vie. Un antidote au chaos, trad. Sébastien Baert, 2018. 
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aforcedelire · 27 days
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Virgin Suicides, Jeffrey Eugenides
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Je ne vous fais pas l’affront de vous refaire le résumé en long, en large et en travers, mais retenons simplement que c’est l’histoire de cinq sœurs. Cecilia, Lux, Bonnie, Mary et Therese. Que leur vie bascule le jour où Cecilia, la plus jeune, tout juste 13 ans, se suicide. Les parents décident de les enfermer, et pendant tout ce temps, un groupe de garçons fascinés essaye de communiquer avec elles.
« À la fin, nous avions des pièces du puzzle, mais de quelque façon que nous les assemblions, des trous subsistaient. » Et c’est ça ma plus grande déception avec ce roman : j’aurais tellement aimé lire le point de vue des filles, voir l’intérieur de leur vie, comprendre (et me voilà du côté des autres, qui ne veulent qu’une chose : comprendre). Au lieu de quoi l’auteur nous offre plutôt le point de vue de ce « nous », une bande de garçons (maintenant des hommes) fascinés par les sœurs Lisbon. Des « nous » qui n’ont qu’une partie du puzzle ; puzzle que tout le monde (les garçons, les médecins, les voisins, les psychologues, les journalistes) veut élucider.
L’été dernier j’ai lu Les voleurs d’innocence de Sarai Walker, comparé à Virgin Suicides. Et depuis, j’attendais de pouvoir le lire (c’était un peu la galère vu qu’il n’était plus commercialisé, jusqu’à cette jolie réédition de la part de L’Olivier !). Sauf que je ne sais pas quoi penser de ma lecture : j’en attendais des choses différentes, même si je ne sais pas vraiment quoi. Je ferme ce roman en me sentant perdue, un peu lasse aussi. Déjà, l’histoire est hyper lourde. Ces cinq sœurs qui se suicident toutes, dont quatre en même temps. Ensuite, comprendre en filigrane que leur mère est abusive. Et puis on assiste à leurs tentatives pour s’échapper de leur quotidien infernal. Et le style ne m’a pas aidée, il m’a sortie plusieurs fois de ma lecture, quand bien même l’histoire était intéressante. J’avais lu et adoré Le roman du mariage, même si j’en ai maintenant un vague souvenir, et je pense que ça va me faire pareil pour Virgin Suicides, d’ici quelques mois il se sera effacé. N’empêche que je suis contente de l’avoir lu. Plus qu’à voir le film, maintenant !
05/05/2024 - 06/05/2024
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