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#jardin des haines
guumck · 16 days
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[Jackpot in the Box]đŸ’œâ€ïžFPS CoD Hazardous Infinite Loopâ˜ŁïžđŸŽĄâ˜ąïž
La logique graphique a été crée par hasard sur Call of Duty Black Ops multijoueur dans la section de conception d'avatar puis affinée ultérieurement avec Photoshop pour compléter la conception :
(1) Le premier symbole, l'avertissement nucléaire en rouge représente la naissance, la génÚse, le bouleversement du début de la vie, ou bien un gros problÚme, une crise majeure. Un symbole largement reconnu et souvent utilisé.
(2) Le deuxiÚme symbole, le smiley jaune, le sourire et la joie symbolisés, est une représentation emblématiques et hautement répandue. il vient logiquement en seconde position. Il évoque à la fois la gaieté et l'innocence de l'enfance, mais également le détachement, l'aveuglement et l'ignorance des problÚmes.
(3) Le troisiÚme symbole, le dé, incarne l'expérience de l'ùge adulte et les aléas du parcours de vie. La teinte vert kaki évoque la guerre comme un jeu de hasard, semblable à la roulette russe. Son positionnement en bas semble soumis à la gravité.
(4) Le quatriĂšme symbole, la fleur de Lys, symbolise la vieillesse et l'expĂ©rience de vie cumulĂ©e. Il reprĂ©sente l'ultime Ă©tape avant la mort, marquĂ©e par le sang royal figurĂ© par le bleu. Selon ma perspective, ce stade est atteint par l'acquisition de connaissances et de rĂ©silience au fil du mode de vie, et non seulement par hĂ©ritage. Il requiert une utilisation astucieuse de l'intellect. Ce n’est pas seulement par l’hĂ©ritage qu’on peut accĂ©der Ă  ce rang, il faut savoir utiliser sa caboche.
(5) Le cinquiĂšme symbole, le crĂąne, Ă©voque la mort inĂ©vitable. InclinĂ© comme une tĂȘte guillotinĂ©e Ă©mergeant de la mort elle-mĂȘme, il rappelle la vanitĂ© et la vĂ©nalitĂ©, l'excĂšs d'orgueil. Il adresse Ă  l'interlocuteur un message : Ă©viter d’avoir la grosse tĂȘte. Apparaissant en dernier, comme l'ultime Ă©tape de l'aventure qu'est la vie, malgrĂ© son inclinaison il semble se rĂ©veiller, suggĂ©rant de ne pas succomber Ă  l'hubris dans la quĂȘte de gloire, pour ne pas se brĂ»ler les ailes et Ă©viter une chute abrupte. Enfin, puisque la partie est terminĂ©e, il propose implicitement d'en recommencer une.
(6) Les couleurs violette et rouge existent en tant que gardiens d'un monde souterrain invisible dissimulé derriÚre la quatriÚme branche de l'étoile. Pour le découvrir, il faut commencer à compter comme sur une horloge à partir de midi. Une fois le 4Úme stade atteint, celui de la sagesse, la mort nous adresse ces mots : "Regarde bien derriÚre toi avant de continuer, tu ne l'as pas remarqué mais tu as enjambé une brÚche invisible. Surveille tes pas la prochaine fois, et bienvenue dans mon jardin."
(7) Les symboles s'intĂšgrent parfaitement Ă  l'opposĂ© des couleurs de fond. Ce contraste peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme la prĂ©sence d'une force opposĂ©e, surveillant vos actions et manoeuvrant en coulisses, mĂȘme lorsque vous ĂȘtes sous les projecteurs, et surtout quand il s'agit de glisser sous les feux de la rampe.
(X8X) Le design a Ă©mergĂ© de façon hĂ©sitante, hasardeuse et alĂ©atoire, avec de longues pauses entre les pĂ©riodes oĂč je l'ai repris et finalisĂ©. Trois Ă©tapes principalement, dont voici un rĂ©sumĂ© du cheminement :
(l9l) Chronologie: [2010] - Création de l'avatar sans roue chromatique. [2017] - Roue chromatique ajoutée en arriÚre-plan sur photoshop. [2024] - Finalisation et description écrite sur l'éditeur de texte.
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au-jardin-de-mon-coeur · 10 days
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Pause musicale...đŸŽ¶
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Ensemble...oui...ensemble...il est possible de faire régner la paix sur terre !
Je crois en l'amour plus fort que la haine...ensemble, main dans la main...coeur Ă  coeur, soyons des artisans de paix...des bĂątisseurs d'amour ! đŸ«¶
Time for Peace...Peace and Love ! đŸ™đŸ«¶đŸ™
#au-jardin-de-mon-coeur
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les-portes-du-sud · 1 month
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Quand vos mains veulent impatiemment toucher les touches,
Quand les sons Ă©pars volent en une ligne de sonnerie,
Puis, avec l’arrivĂ©e de l’inspiration, l’ñme et la muse parlent.
Quand l'amour et la haine tournent en cercle au bord de la séparation,
Quand un regard fugace vous sauve des années de tourments,
Puis, selon la providence de Dieu, les paroles et la musique retentissent.
Quand les minutes heureuses vous enivrent d'heures de joie,
Quand un rĂȘve vous emmĂšne du confort bien nourri Ă  un jardin merveilleux,
Puis, dans un élan de perspicacité, la poésie ne connaßt plus de barriÚres.
K. Alla
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simbelmyneswriting · 9 months
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Jour 2 - Ce que cache un masque
Ce que cache un masque, ce sont les milliers de rĂ©flexions dĂ©sagrĂ©ables qui jalonnent les Ă©tapes interminables de la vie. Ce sont ces millions de mots acĂ©rĂ©s plantĂ©s dans un cƓur trop gros, trop tendre, trop jeune, trop frais. Ce sont les heures qui passent trop lentement et trop vite Ă  la fois. Ce sont les amitiĂ©s qui s’épuisent et fanent car on est pas capable de les arroser rĂ©guliĂšrement. Ce sont tous ces sentiments trop grands, trop puissants, trop violemment ressentis que pour pouvoir leur donner corps de façon acceptable. Ce sont les hurlements au coin de la table. Ce sont les insultes. Ce sont les moqueries.
Ce que cache un masque, c’est la laideur rĂ©pugnante d’un corps qu’on a pas choisis, tout comme l’esprit. C’est l’envie de couper Ă  coup de ciseau tout ce qui dĂ©passe, tout ce qui est de trop - maladie de l’ñme qui se montre Ă  tous dans le physique, façon psychosomatique, d’un esprit trop grand, trop tout. C’est l’effroyable solitude qu’il faut accepter, parce qu’on ne correspond pas, nulle part, mĂȘme pas une once Ă  repĂȘcher. Ce sont des abysses de haine et de silence dans lesquels on s’abĂźme Ă  chaque dĂ©ception, Ă  chaque Ă©cueil. C’est le dĂ©goĂ»t constant pour chaque fantĂŽme espionnĂ© dans les cruels miroirs d’un espace haineux.
Ce que cache un masque, c’est un univers luxuriant et foisonnant. C’est un jardin cultivĂ© depuis des annĂ©es, une jungle profonde et complexe, oĂč chaque liane s’enroule autour d’un arbre pour en rejoindre un autre. OĂč poussent des millions d’orchidĂ©es aux parfums suaves et variĂ©s. Parfois, la porte s’entrouvre et un petit coin est rĂ©vĂ©lĂ©, offert aux yeux aventureux pour un temps plus ou moins long, avec un angle plus ou moins grand. Un jardin soigneusement gardĂ©, protĂ©gĂ© des flammes et du gel Ă  n’importe quel prix, surtout le plus fort, surtout le plus terrible. Mais aprĂšs tout, tant sont morts pour des chĂąteaux, alors pour un jardin ?
Ce que cache un masque, c’est l’humanitĂ© du monstre.
Ce que cache un masque, c’est la facilitĂ©.
Ce que cache un masque, c’est la tranquillitĂ©.
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mey-lie · 10 months
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Vive les femmes
Bonjour mesdames
Comment allez-vous ?
En ce beau jour
De pluies sublimées
Par notre clément soleil
Mon bel arc-en-ciel
S’ouvre enfin à vous
L’accalmie des nuages noirs
Est désormais révolue
La prochaine fois
Je les laisserai pleuvoir
Sans aucune amertume
Ne vous inquiétez pas
Mon parapluie vert
Certes timide
Se montrera généreux
Pour vous mesdames
Aujourd’hui
Honneur aux dames
Sortez je vous prie
De sous terre
Elle ne vous mérite pas
Lors du temps
Plus ou moins jadis
Elle vous a souillées
Sans aucune pitié
À prĂ©sent
Vos magnificences
Si longuement malmenées
La cultivent enfin
Mesdames
Ne sous-estimez jamais
Vos chers jardins secrets
Ses fleurs bien que mortelles
Garderont toujours
Une place bien au chaud
Pour vos futures graines
La noblesse insoupçonnée
De vos Ăąmes si belles
Les arrosera avec tendresse
Allez messieurs
Prenez-en de la graine !
Parmi vous mesdames
La princesse au rouge-Ă -lĂšvres
Et la gardienne de Septembre
Seraient sûrement ravies
De percevoir mon bel arc-en-ciel
À l’abri de la haine infñme
Ses couleurs soupirent :
« Mesdames
Vous m’avez fait grandir
Je vous admire
Vive les femmes ! »
‱ Mey-Lie ‱
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secicrexe · 3 months
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Les berceuses me réveillent
.
Servir des muscles scotchĂ©s, cartonnĂ©s et bientĂŽt envoyĂ©s par courrier ... de beaux jardins seront crĂ©Ă©s ... des roses dans des muscles ? des muscles poussent dans des roses ? des muscles roses ? ... Ă  un cerveau qui ne comprend pas que je peux m'asseoir Ă  table comme une personne polie et souriante, mais qu'Ă  l'intĂ©rieur je brĂ»le toute la forĂȘt sans laisser un grain de cendre ... Je me brĂ»le avec dignitĂ© comme des couteaux cachĂ©s derriĂšre le canapĂ© pour que la paix soit conforme – confirmĂ©e - confortable avec son monologue de trois heures

Dans la lumiĂšre amĂšre, La haine ne sera jamais veuve
 Je suis le mari dont les "oui ! - je suis d'accord ! - je comprends !" se font entendre comme des Ă©chos

Est-ce que je dĂ©range l’amour ?
Khalid EL Morabethi
wip
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circeeoflesbos · 1 year
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La Mort de Psappha
POEME DRAMATIQUE EN UN ACTE de Renée Vivien Evocations, 1903
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ScĂšne 1
L’école de poĂ©sie fondĂ©e par Psappha. Une statue de l’Aphrodita enguirlandĂ©e de roses. Par la porte ouverte, on voit l’ÉgĂ©e, les jardins et les maisons de MytilĂšne. Le soleil, pendant l’acte, dĂ©cline et disparaĂźt dans la mer.
Éranna de TĂ©lĂŽs, chante.
« Lasse du jardin oĂč je me souviens d’elle, J’écoute mon cƓur oppressĂ© d’un parfum. Pourquoi m’obsĂ©der de ton vol importun, Divine hirondelle ?
« Tu rĂŽdes, ainsi qu’un dĂ©sir obstinĂ©, RĂ©veillant en moi l’éternelle amoureuse, Douloureuse amante, Ă©pouse douloureuse, Ô pĂąle ProcnĂ©. « Tu fuis tristement vers la rive qui t’aime, Vers la mer aux pieds d’argent, vers le soleil
 Je hais le printemps, qui vient, toujours pareil Et jamais le mĂȘme ! « Ah ! me rendra-t-il les langueurs de jadis, Le fiĂ©vreux tourment des trahisons apprises, L’attente et l’espoir des caresses promises, Les lĂšvres d’Atthis ? « J’évoque le pli de ses paupiĂšres closes, La fleur de ses yeux, le sanglot de sa voix, Et je pleure Atthis que j’aimais autrefois, Sous l’ombre des roses
 »
L’ÉtrangĂšre entre, hĂ©sitante. Elle est blonde. Ses regards incertains errent autour d’elle.
Éranna.
Vierge, que cherches-tu parmi nous ?
L’Étrangùre.
La BeautĂ©. Je cherche la colĂšre et la stupeur des lyres, L’ñpretĂ© du mĂ©lĂŽs, parmi la cruautĂ© Des regards sans Ă©clairs et des mornes sourires.
Damophyla.
Viens cueillir avec nous les roses de Psappha : Elle enseigne les chants qui plaisent aux DĂ©esses.
Atthis.
Viens, tu verras, parmi ses ferventes prĂȘtresses, Celle dont le laurier grandit et triompha.
Éranna.
Ses cheveux sont pareils aux sombres violettes.
GorgĂŽ.
Seule, elle sait tramer les musiques muettes Des gestes et des pas.
Dika.
Son baiser est amer Et mord, comme le sel violent de la mer.
GurinnĂŽ.
Elle est triste ce soir. Son regard inquiĂšte.
L’étrangĂšre.
Quelle angoisse l’étreint ?
Dika.
Un songe de PoĂšte ?
Éranna.
Non. Car elle est sauvage et triste tour à tour, Et se lamente, en, proie aux affres de l’amour.
ScĂšne II
Psappha entre, voilĂ©e, morne et silencieuse. Pendant toute la piĂšce, elle ne dĂ©couvre point son visage. Elle s’arrĂȘte devant la statue de la DĂ©esse.
Psappha.
Accueille, immortelle Aphrodita, DĂ©esse, Tisseuse de ruse Ă  l’ñme d’arc-en-ciel, Le frĂ©missement, l’orage et la dĂ©tresse De mon vain appel. Éloigne de moi ton mĂ©pris et ta haine, Verse Ă  ma douleur tes sourires clĂ©ments, Et ne brise pas mon Ăąme, ĂŽ Souveraine, Parmi les tourments.
Sa voix se déchire dans un sanglot. Elle rejette le paktis et demeure dans une attitude de désespoir.
ChƓur.
Aphrodita changeante, implacable Immortelle, Tu jaillis de la mer, pĂ©rilleuse comme elle. La vague sous tes pas se brisait en sanglots. AmĂšre, tu surgis des profondeurs amĂšres, Apportant dans tes mains l’angoisse et les chimĂšres, Ondoyante, insondable et perfide. Et les flots DĂ©sirĂšrent tes pieds, plus pĂąles que l’écume. Ta lumiĂšre ravage et ta douceur consume.
Psappha, sans entendre, noyĂ©e dans son rĂȘve.
Fille de KuprĂŽs, je t’ai jadis parlĂ© À travers un songe.
Éranna.
Comme un son de paktis indĂ©cis et voilĂ©, L’incertaine douceur de sa voix se prolonge

Psappha.
Tu m’as rĂ©pondu, toi, dont la cruautĂ©
PĂšse sur mon Ăąme immuablement triste : « Pourquoi sangloter mon nom ? Quelle BeautĂ©, Psappha, te rĂ©siste ? « Moi, fille de Zeus, je frapperai l’orgueil De celle qui fuit ton baiser, ĂŽ PoĂšte ! Tu verras errer vainement sur ton seuil Son ombre inquiĂšte. » Ton venin corrompt le sourire des jours, DĂ©esse, et flĂ©trit ma chair humiliĂ©e, Toi qui fus jadis mon rayonnant secours, Ma prompte AlliĂ©e.
Damophyla.
Tel on voit pĂ©rir par le flambeau mouvant L’essor des phalĂšnes.
Psappha.
L’Amour a ployĂ© mon Ăąme, comme un vent Des montagnes tord et brise les grands chĂȘnes

GorgĂŽ.
Rien ne brûle en ses yeux des poÚmes vécus

Atthis.
Son regard se dérobe et pùlit sous les voiles.
Psappha.
Je n’espĂšre point Ă©treindre les Ă©toiles De mes bras vaincus.
Elle sort lentement.
L’Étrangùre.
Oh ! vers quel lointain, vers quel mystĂšre va-t-elle ?
GurinnĂŽ.
Le soir tombe. Elle va vers l’oubli de l’amour, Vers la Mort.
Éranna.
Sans espoir, sans désir de retour, Elle atteint lentement le rocher de Leucade

Atthis, Ă©coutant.
Sa voix fiévreuse pleure et rùle par saccade.
Damophyla.
Vierges, la voluptĂ© de la Mort est dans l’air

Éranna.
Psappha vient de s’éteindre ainsi qu’une harmonie.
Atthis.
J’entends, comme un Ă©cho, son appel d’agonie.
GorgĂŽ.
Et je vois son cadavre emporté par la mer

L’Étrangùre.
Ô compagnes, les pleurs sont de lĂ©gĂšres choses Et ne conviennent point au glorieux trĂ©pas
 Chantez ! il faut remplir de rythmes et de roses La maison du PoĂšte oĂč le deuil n’entre pas !
Elles rĂ©pandent des roses sur le seuil de Psappha. Leurs gĂ©missements se mĂȘlent Ă  l’accord victorieux des lyres.
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Illustration : ThĂ©odore ChassĂ©riau — Sapho, 1849, MusĂ©e d’Orsay
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lupitovi · 2 years
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Tu peux me faire passer Ă  l'Histoire Avec tes mensonges pervers, Et me traĂźner dans la poussiĂšre, Mais, comme elle, je me soulĂšverai. Mon exubĂ©rance t'irrite-t-elle ? La tristesse te gagne, pourquoi ? Parce que j'avance comme si j'avais Des puits de pĂ©trole chez moi. Tout comme les lunes et les soleils, Aussi sĂ»re que les marĂ©es, Tel un espoir qui se rĂ©veille, Toujours, je m'Ă©lĂšverai. Voulais-tu me voir brisĂ©e ? La tĂȘte courbĂ©e les yeux baissĂ©s ? Mes Ă©paules tombant comme des larmes, Par mon Ăąme en pleurs, diminuĂ©es ? Est-ce mon dĂ©dain qui t'offense ? Tu peines vraiment Ă  l'accepter ? Car je ris comme si des mines d'or Dans mon jardin Ă©taient creusĂ©es. Tire-moi dessus avec tes mots, Saigne-moi donc avec tes yeux, Tue-moi avec ta haine, mais Pourtant, comme l'air je m'Ă©lĂšverai. Mon cĂŽtĂ© sexy te dĂ©range ? Et pour toi, est-ce une surprise Que je danse comme si des diamants Nichaient au croisement de mes cuisses ? Des taudis honteux de l'Histoire Je m'Ă©lĂšve D'un passĂ© pĂ©tri de souffrance Je m'Ă©lĂšve Tel un ocĂ©an noir, bondissant et immense, DĂ©bordant, grossissant, je porte la marĂ©e. Abandonnant les nuits de terreur et d'effroi Je me lĂšve Dans une aurore Ă  l'Ă©clat merveilleux Je m'Ă©lĂšve Apportant les cadeaux offerts par mes aĂŻeux, Je suis le rĂȘve et l'espoir de l'esclave. Je me lĂšve Je me soulĂšve Je m'Ă©lĂšve.
Maya Angelou
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samsanglebuc · 1 year
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La geste de Dame Katan et du chevalier Mandalore (suite)
DeuxiÚme chant : renouveau
Le poÚte :
En son chĂąteau d'exil Dame Katan est mi-sise
Sur son trĂŽne alanguie plus de feu qui l'anime
Elle a du renoncer à des brûlures exquises
« Plus de souffle pour moi qui les braises ranime ! »
Quand le preux Din Djarin se présente en audience
En conseil et recherche d'agir superstitieux
D'amertume Bo Katan prend comme une impudence
La requĂȘte du preux et congĂ©die sur ce.
Mais quand à tire d'aile pense t elle « encore lui ! »
Un émois tout brûlant surgit en mots de haine
Qui bascule aussitĂŽt que l'enfant lui sourit
En passion de sauver Din qui se trouve en peine
Sous les cendres Ă©teintes des ruines de Sundari
Lors s'Ă©veillent tes braises reine de Mandalore
Et le fluide fielleux de Cyborg est tari
Pour qu'en Djarin la vie puisse couler encore
Chant troisiÚme : la foi
Din :
Sans le credo que sommes nous ? Dit le guerrier tout Ă  sa quĂȘte
Ton feu sans vie ta foi consume mais au baptĂȘme tu peux renaĂźtre
Aux eaux vivantes conduis moi la rédemption nous est offerte
PrĂȘtons serment en notre nom et au nom de tous nos ancĂȘtres
Chant quatre : conversion
Le poÚte :
Il perd pied le guerrier et les eaux le submergent
Car de foi il n'avait qu'un baptĂȘme de raison
Quand la Dame incroyante voit plus loin que la berge
Des tréfonds Mythausore sera son oraison
Chant cinquiÚme : jardin d'Eden
Dame Katan :
L'oppression qui revient renforce l'unité
Et nous trouvons refuge en réhabilités
Nos demeures en exil nous quitterons enfin
Les tombeaux céderont à la joie des couffins
Mandalore ! Mandalore ! Me voici prÚs de toi
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Ta demeure sera mienne
Vois surgir de partout nos enfants qui reviennent
Nos mains ont trop versé de sang Mandalorien
Le sabre qui fut tien sera de fait mon bien
PlutĂŽt que de soumettre j'ai choisi d'ĂȘtre offerte
Il se dresse soudain pris dans ma main experte
Mandalore ! Mandalore ! Seras tu tout à moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Vois mon large giron
Guerriers et orphelins en mon sein nicheront
Mais le temps a passé je me suis desséchée
Un rÚgne bien court et d'égoïsme entaché
Ce sont nos divisions qui peuvent nous détruire
Je crains de n'avoir plus qu'un sourire pour séduire
Mandalore ! Mandalore ! Veux tu encore de moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Si je n'ai que cette arme
Offrirais je à mon peuple autre chose que des larmes ?
Chant six : ascension
Din :
Ce que je sais du sabre noir c'est toi qui me l'a tout appris
Mais sache que pour moi ou mon peuple ce qui importe ce n'est pas
Un lignée ou bien un titre qui à nos yeux auront du prix
Mais bien plutĂŽt la flamme en toi qui sera guide de nos pas
C'est bien l'honneur la loyauté et la flamme du tempérament
Qui font que Dame Bo Katan je me mets tout Ă  ton service
Pour que ta chanson soit Ă©crite je puis me soumettre au tourment
De ne vouloir à tes cÎtés n'offrir rien d'autre que délices
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penseeephemere · 2 years
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L’odeur de la vie
Mais comment revient-on de ce qui nous a brisée ?
On fait trois pas dans le jardin, on achĂšte des pommes et des fleurs, on rĂȘve d’immenses fenĂȘtres et de cigales. Il fera beau demain. On Ă©crit tous les jours, mĂȘme une seule phrase, mĂȘme un seul mot, pour se protĂ©ger. On se protĂšge. On se lave et on se rendort. On apprend sa valeur, mĂȘme dans le silence des absents. On essaye de se remettre Ă  parler petit Ă  petit pour Ă©loigner la peur. On recoud les morceaux. On se pardonne le mal que l’on s’est fait. On laisse, enfin, la tristesse couchĂ©e dans l’herbe, lui dire qu’on l’aime mais que c’est terminĂ©, que ce n’est pas contre elle mais qu’on a besoin d’autre chose. Parce que l’on veut se rappeler de l’odeur de la vie, de son goĂ»t sous la langue et des Ă©lans qui nous ont traversĂ©s, il y a longtemps, avant l’enfance, avant la honte, avant la haine de soi – et tous ses dĂ©sastres.
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claudiomz · 1 year
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Mais ce n’est ni tes couteaux, ni tes prisons, ni tes bottes, ni mĂȘme tes matraques qui me font si peur.
C’est ton sourire.
Ton sourire Ă  l’émail parfait, Ă  la blancheur de soie, de parfaite splendeur. L’alignement parfait de cette dentition de vainqueur, d’orthodontie scrupuleuse. La sordide mĂ©ticulositĂ© de tes rendez-vous jamais manquĂ© pour une hygiĂšne impeccable dans ce cabinet du XVĂšme arrondissement au pied d’une tour Eiffel aussi hautement dressĂ©e que ta propre suffisance.
Un sourire qui me dit que moi, je ne fais rien d’autre que lecher le peu de miette que tu laisses sur ton passage, toi qui suce la terre jusqu’à en faire pleuvoir des larmes acides sur nos landes infertiles et exsangues, toi qui pisse dans les fleuves des torrents de stupres et des cataractes de pots de yaourt sang pour sang bio, qui jettes jusqu’aux plus hauts des PyrĂ©nĂ©es, des sacs entiers de crĂšme Ă  faire la fesse douce et la pensĂ©e flasque.
La peur de ton sourire, la haine de ton nom.
La haine rouge qui me tient le fond du ventre. Elle me brĂ»le les entrailles. La peur de toi ou la haine de toi me font pĂąlir, car, je me vois me pervertir. Perdre le mien, de nom. De doux agneau de dieu, de doux chĂ©rubin amoureux du ciel, des nuages, des mousses et des prĂȘles, je me vois devenir de que tu es, porteur de la haine de l’autre, Sheitan de gratte-ciel de zone d’affaires. Je me vois succomber Ă  ton sourire. Je me vois parfois m’en revĂȘtir.
D’aucun avait Ă©crit un trĂšs beau texte “vous n’aurez pas ma haine” ; les coups de butoirs sans cesse rĂ©pĂ©tĂ©s des laideurs urbaines en 4 par 3 ou sur mon fil d’instagram me font craindre que ma haine pourrait venir sous peu grossir tes rangs d’arrogants vainqueurs.
Non, je ne veux pas de ça, ni pour moi, ni pour ma femme, ni pour mes enfants, pas plus pour mes patients que pour mes amis.
Je crois en la force des mots, de la tendresse et de la pensĂ©e sur ton sourire d’alligator.
Je crois Ă  la douceur de mes bras, fermes et aimants autour des Ă©paules des gens que j’aime, je crois Ă  la lumiĂšre du soleil du matin sur la rosĂ©e d’une toile neuve d’Epeire dans un troĂšne au jardin.
Je crois aux larmes partagĂ©es qui jaillissent comme un baume sur les plaies de nos douleurs. Je crois aux rires qui s’élĂšvent haut au firmament. De ces rires qui rĂ©sonneront toujours dans mon cƓur, y compris lorsqu’il aura cessĂ© de battre. Lorsque fatiguĂ© de parcourir les sentiers de cette terre, je souhaiterai mourir, je rejoindrai heureux les cieux tapissĂ©s de rires et des larmes de mes enfants et les derniĂšres couleurs que j’emporterai avec moi seront celles de leurs yeux.
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jogallice · 23 days
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Aujourd’hui, mardi 16/04/24, JournĂ©e mondiale contre l'esclavage des enfants  ‍👧‍👩 et JournĂ©e mondiale de la voix đŸ—Łïžâ â â 
Trois dictons du jour pour le prix d’un : « À la saint BenoĂźt, le soleil, du jardin, est toujours le chef. » 🌞 « À la saint BenoĂźt, vient le temps des premiĂšres greffes. » 🌳 « À la saint BenoĂźt, de chanter le coucou Ă  droit, Ă  moins qu’il ne soit mort de froid. » 🐩
Et bonne fĂȘte aux BenoĂźt·e 😘 Sauf, en ce qui me concerne, Ă  un BenoĂźt en particulier qui habitait Annecy Ă  l’origine mais qui a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Aix-les-Bains et qui est un vĂ©ritable enfoirĂ© (il va se reconnaĂźtre, il sait toute la haine que j’ai pour lui et ce jusqu’à mon dernier souffle, c’est vous dire les ami·es) 😡
Bon deuxiĂšme jour de la semaine Ă  toutes et Ă  tous đŸŽș
đŸ“· JamesO PhotO Ă  Annecy le dimanche 14/04/24 📾
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au-jardin-de-mon-coeur · 3 months
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Refaire le monde
Chaque gĂ©nĂ©ration, sans doute, se croit vouer Ă  changer le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tĂąche est peut-ĂȘtre plus grande. Elle consiste Ă  empĂȘcher que le monde se dĂ©fasse.
HĂ©ritiĂšre d'une histoire corrompue oĂč se mĂȘlent les rĂ©volutions dĂ©chues, les techniques devenues folles, les dieux morts et les idĂ©ologies extĂ©nuĂ©es, oĂč de mĂ©diocres pouvoirs peuvent aujourd'hui tout dĂ©truire mais ne savent plus convaincre, oĂč l'intelligence s'est abaissĂ©e jusqu'Ă  se faire la servante de la haine et de l'oppression, cette gĂ©nĂ©ration a dĂ», en elle-mĂȘme et autour d'elle, restaurer, Ă  partir de ses seules nĂ©gations, un peu de ce qui fait la dignitĂ© de vivre et de mourir.
Devant un monde menacĂ© de dĂ©sintĂ©gration, oĂč nos grands inquisiteurs risquent d'Ă©tablir pour toujours les royaumes de la mort, elle sait qu'elle devrait, dans une sorte de course folle contre la montre, restaurer entre les nations une paix qui ne soit pas celle de la servitude, rĂ©concilier Ă  nouveau travail et culture, et refaire avec tous les hommes une arche d'alliance.
Il n'est pas sûr qu'elle puisse jamais accomplir cette tùche immense, mais il est sûr que partout dans le monde, elle tient déjà son double pari de vérité et de liberté, et, à l'occasion, sait mourir sans haine pour lui.
C'est elle qui mĂ©rite d'ĂȘtre saluĂ©e et encouragĂ©e partout oĂč elle se trouve, et surtout lĂ  oĂč elle se sacrifie.
Albert Camus
(Plus de 65 ans aprÚs, un discours qui, hélas ! n'a rien perdu de sa clairvoyance et de sa justesse. Il y a des écrivains et des mots qui sont éternels...)
C'est toujours un bonheur de retrouver A.Camus et particuliĂšrement en ce texte visionnaire...
il Ă©crivait aussi..."Je rassasiais les deux soifs qu'on ne peut tromper longtemps, sans que l'ĂȘtre se dessĂšche : je veux dire aimer et admirer."
Tout ce qui manque Ă  notre monde...l'amour et le sens de l'Ă©merveillement...dĂ©jĂ  lĂ  oĂč nous sommes, faisons scintiller notre lumiĂšre que d'autres pourront suivre...nous ne changerons pas le monde mais nous donnerons du sens Ă  nos vies.
#au-jardin-de-mon-coeur
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yes-bernie-stuff · 1 month
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Jeudi 28 mars 2024
À GethsĂ©mané  JĂ©sus commença Ă  ĂȘtre saisi d’effroi et trĂšs angoissĂ©.
Marc 14. 32, 33
Pilate amena JĂ©sus dehors
 dans le lieu appelé  Gabbatha.
Jean 19. 13
Ils le mĂšnent au lieu appelĂ© Golgotha, ce qui signifie : lieu du CrĂąne
 Or c’était la troisiĂšme heure, quand ils le crucifiĂšrent.
Marc 15. 22, 25
Les souffrances de JĂ©sus
GethsĂ©manĂ© – Gabbatha – Golgotha
– Au jardin de GethsĂ©manĂ©, sur le mont des Oliviers, JĂ©sus prie, angoissĂ©, dans un grand combat spirituel, jusqu’à ce que sa sueur devienne comme des grumeaux de sang (Luc 22. 44). Il accepte la volontĂ© de son PĂšre, en disant : “Non pas comme moi je veux, mais comme toi tu veux” (Matthieu 26. 39). Alors Judas le traĂźtre s’approche, accompagnĂ© d’une foule armĂ©e d’épĂ©es et de bĂątons, pour se saisir de lui.
– À Gabbatha, tribunal romain, les soldats groupĂ©s autour de JĂ©sus se moquent de lui. Pour l’humilier, ils jettent sur son dos ensanglantĂ© un manteau de couleur royale. Ils mettent sur sa tĂȘte une couronne d’épines. Enfin, avant de l’emmener au supplice, ils le frappent et lui crachent au visage (Matthieu 27. 28-30).
– À Golgotha, lieu en-dehors de la ville oĂč se dĂ©roulaient les exĂ©cutions, les soldats percent ses mains et ses pieds (Psaume 22. 17) et le clouent sur la croix, exposĂ© Ă  la vue de tous pour subir ce long supplice destinĂ© Ă  donner la mort (Matthieu 27. 35-37).
Dans ces trois endroits, Jésus a particuliÚrement souffert. Nous sommes touchés de le voir se soumettre à la volonté de Dieu pour le salut des hommes. Il endure pourtant leur haine et leur cruauté, avant de donner sa vie. Il subit le jugement de Dieu, et désormais ceux qui croient en lui sont pardonnés.
2000 ans plus tard, les chrétiens fidÚles aiment se retrouver chaque dimanche pour se souvenir de Celui qui a souffert et qui est mort pour eux.
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christophe76460 · 2 months
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Connais-tu le caractÚre féroce et offensif que le Seigneur Jésus-Christ a démontré en se livrant coûte que coûte pour toi et moi sur la Croix de Golgotha ?
Nous venons de rentrer dans le mois de mars, le mois de la PĂąque et beaucoup d'entre nous dans l'Ă©glise parmi les chrĂ©tiens s'apprĂȘtent Ă  cĂ©lĂ©brer cette merveilleuse fĂȘte pour se rappeler l'Ultime Sacrifice de JĂ©sus-Christ Ă  la Croix, le prix atroce qu'il a payĂ© pour nos pĂ©chĂ©s et les victoires spirituelles que nous avons acquise par son Puissant Nom. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale beaucoup de croyants voit en JĂ©sus un ĂȘtre innocent qui a Ă©tĂ© trahi par son disciple et qu'on a exĂ©cutĂ© par pure mĂ©chancetĂ© mais peu de croyants arrivent Ă  voir le caractĂšre fĂ©roce du Sauveur de l'humanitĂ© qui va jusqu'au bout sans relĂąche malgrĂ© toutes les terrible souffrances qu'il va subir dans sa chair afin de sauver l’humanitĂ©.
Jésus-Christ qui est la 2Úme personne de la Trinité n'avait pas n'importe quelle mission sur ses épaules car malgré l'exécution du plan de Dieu pour qu'il vienne au monde dans la lignée de David, le diable a tout fait dÚs le départ pour qu'il abandonne pour le décourager, pour qu'il laisse tomber pour le pousser à pécher ou pour qu'il fasse demi-tour en décidant de retourner plus rapidement sur son trÎne de Gloire.
Si on Ă©numĂšre, il y a 7 Ă©lĂ©ments que le diable va dresser devant JĂ©sus pour empĂȘcher la concrĂ©tisation de sa mission envers IsraĂ«l et envers toutes les nations du monde entier :
- Le premiÚre élément c'est l'atmosphÚre d'indifférence qu'il va y avoir sur la terre à Bethléhem lorsqu'il va sortir des entrailles de Marie (hormis les bergers et les rois mages). En effet, Jésus fait son apparition dans le monde auprÚs de sa créature en prenant la chair d'un homme mais personne ne l'estime, personne n'a une place convenable à lui offrir, personne n'est disposé à l'accueillir et personne ne reconnait à cet instant précis l'immensité de sa Seigneurie.
- Le deuxiĂšme Ă©lĂ©ment c'est un roi fou de rage (HĂ©rode) qui est dĂ©terminĂ© Ă  le faire disparaĂźtre car aprĂšs avoir eu vent de la prophĂ©tie, il ne veut absolument pas d’un nouveau roi sur son trĂŽne ni aucun rival qui vient rĂ©gner Ă  sa place dans son royaume.
- Le troisiÚme élément c'est la tentation spirituelle de haut niveau envoyée par satan le diable contre lui aprÚs son jeûne de 40 jours et 40 nuits dans le désert afin de le dissuader de poursuivre sa mission en lui offrant d'immenses richesses de la terre qui ne lui appartiennent pas.
- Le quatriĂšme Ă©lĂ©ment c'est l'affrontement avec les fortes influences religieuses qui sont toutes remplies de haine contre lui lorsque JĂ©sus se dĂ©clare ouvertement devant la foule comme Ă©tant le Messie. En effet, la Bible nous dit qu'ils Ă©taient tellement en colĂšre qu'ils voulaient le prĂ©cipitĂ© du haut d'une falaise car selon eux JĂ©sus ne peut pas ĂȘtre ce qu'il dit, JĂ©sus ment, JĂ©sus souille les Ă©critures, JĂ©sus est dangereux, JĂ©sus n'a pas l’apparence d'un roi Ă  l'Ă©chelle humaine et JĂ©sus a toujours Ă©tĂ© reconnu auprĂšs des autres dĂšs sa naissance comme Ă©tant le fils d'un vulgaire charpentier.
- Le cinquiĂšme Ă©lĂ©ment c'est la lutte persistante et continuelle tout au long de sa mission pour expliquer Ă  tous ses opposants ses prises de position avec les pĂ©cheurs, ses innombrables miracles et ses enseignements diffĂ©rents qui bouleversent totalement la loi de MoĂŻse. Tout au long de son parcours, pour JĂ©sus, c'est une lutte constante en Esprit pour faire face Ă  l'endurcissement des cƓurs et pour confronter en permanence devant lui plusieurs formes d'incrĂ©dulitĂ©.
- Le sixiÚme élément c'est la trahison dégoutante provenant d'un de ses disciples pour tenter de le heurter fortement dans sa chair, pour le blesser fortement dans son psychique et pour tenter de le déstabiliser complÚtement dans sa mission à l'approche de la Croix.
- Le septiĂšme Ă©lĂ©ment c'est une situation agonisante pour JĂ©sus dans son Esprit au jardin de GethsĂ©manĂ©, un abandon de ses disciples par l'endormissement, un grand moment de solitude accablant pour lui tout seul rempli de persĂ©cutions spirituelles et une forte angoisse Ă  l'idĂ©e d'ĂȘtre sĂ©parĂ© sur la Croix pour la toute premiĂšre fois avec Dieu le PĂšre.
Pour faire face Ă  son adversaire satan le diable, JĂ©sus-Christ notre exemple n'a jamais employĂ© la nĂ©gligence, la victimisation, la force charnelle, la stratĂ©gie humaine, la tactique religieuse ou le combat de la chair car dĂšs son arrivĂ©e dans le monde, dĂšs son baptĂȘme auprĂšs de Jean-Baptiste et dĂšs son dĂ©marrage dans son MinistĂšre, JĂ©sus a toujours fait le choix de dĂ©montrer son extrĂȘme offensivitĂ© dans la priĂšre pour remplir sa grande mission coĂ»te que coĂ»te jusqu'au bout par Amour envers nous tous.
Le septiÚme élément est vraiment le plus fort car notre Sauveur Jésus-Christ a dit à cet instant précis dans la priÚre : "PÚre, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne." (au livre de Luc 22 verset 42)
Mon frĂšre ma sƓur, la Croix n'est pas uniquement un Acte d’amour magnifique du CrĂ©ateur pour secourir sa crĂ©ature car notre Sauveur par excellence a rĂ©ellement dĂ©montrĂ© une persistante acharnĂ©e, une lutte surdimensionnĂ©e et une fĂ©rocitĂ© extrĂȘmement offensive pour remporter ce puissant combat pour nos Ăąmes. C’est-Ă -dire que, JĂ©sus-Christ nous aime tellement qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  tout endurer jusqu’au bout pour nos Ăąmes malgrĂ© tous les obstacles que le diable avait pris le soin de prĂ©parer contre lui.
Au cours des 7 Ă©lĂ©ments que je viens de citer prĂ©cĂ©demment JĂ©sus-Christ Ă  chaque fois Ă©tait uniquement centrĂ© sur son objectif final pour sauver sa crĂ©ature et malgrĂ© toutes les douleurs Ă©prouvantes de son parcours, il n’a jamais cessĂ© de rĂ©pĂ©ter Ă  plusieurs reprises contre son adversaire satan le diable: J’aime beaucoup trop ma crĂ©ature pour l’a laissĂ© sous ta domination, j’aime beaucoup trop ma crĂ©ature pour la laisser pĂ©rir entre tes mains, j’aime beaucoup trop ma crĂ©ature que j’ai pris le soin de crĂ©er Ă  mon image et Ă  ma ressemblance, j’aime beaucoup trop ma crĂ©ature pour l’a voir finir en enfer loin de moi pour l’éternitĂ©, alors quel que soient toutes les manigances que tu prĂ©pares contre moi ou contre cette mission, ce n’est certainement pas ça qui va m’arrĂȘter ! »
Mon frĂšre Ma sƓur, si ton ambition est de vivre pour glorifier le Nom de ton Seigneur JĂ©sus-Christ, j’aimerai te dire que tu devras dĂ©velopper en toi le mĂȘme caractĂšre offensive de JĂ©sus-Christ dans la priĂšre car jour aprĂšs jour tu as un adversaire qui ne tient pas Ă  ce que tu obĂ©is Ă  Dieu, qui ne tient pas Ă  ce que tu pratique la Parole de Dieu et qui ne tient absolument pas Ă  ce que tu hĂ©rites un jour de la Vie Ă©ternelle. C’est-Ă -dire que tout au long de ta marche chrĂ©tienne, si tu n’es pas rĂ©ellement rempli de la Sagesse de Dieu, si tu n’es pas armĂ© d’une foi fĂ©roce malgrĂ© tous les obstacles et si tu n’es pas vĂ©ritablement habitĂ© par l’intelligence divine de ton CrĂ©ateur, satan le diable pourra facilement t’égarer, facilement te pousser Ă  pĂ©cher, facilement t’éloigner de Dieu, facilement t’écarter de ta mission pour te disqualifier lors du jugement loin du Repos pour l’éternitĂ©.
Dis-le ouvertement dans la priĂšre dĂšs aujourd’hui contre ton adversaire satan le diable en dĂ©clarant spirituellement avec AutoritĂ© : « Ma relation avec mon Seigneur JĂ©sus-Christ est extrĂȘmement prĂ©cieuse pour moi, ma persĂ©vĂ©rance en JĂ©sus-Christ est extrĂȘmement prĂ©cieuse pour moi, mon Salut en JĂ©sus-Christ est extrĂȘmement prĂ©cieux pour moi, alors quel que soient toutes tes manigances contre ma vie, contre mon Ăąme, contre ma croissance spirituelle, contre mon appel et contre ma destinĂ©e, ce n’est certainement pas ça qui va m’arrĂȘter ! »
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osonhodeumacrianca · 3 months
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Âmes heureuses.
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Mon amour non, s'il te plaĂźt, pas toi, pas nous. On peut pas finir comme ça. On mĂ©rite mieux que ça tu le sais. Je le sais que tu as mal je le sais que cette vie fait mal mais s'il te plaĂźt arrĂȘte, j'ai mal lĂ  aussi. Pourquoi ? Pourquoi tu nous fait ça ? Tu te souviens quand on riait jusqu'Ă  s'en tordre le ventre, qu'un geste valait bien plus que milles paroles, quand on fondait l'un en l'autre devant le mur de son, tu t'souviens dit ? Nos promenades impromptus au milieu de rien, tous ces moments Ă  la rach, mais j'm'en foutais d'oĂč on pouvait bien aller parce que tant que c'Ă©tait avec toi, ça m'allait. Je te disais "Je t'aime jusqu'aux Ă©toiles" et ce jour lĂ  j'ai sans doute signer un pacte avec le diable. A force de le dire, l'univers l'a gravĂ© dans mon coeur, malgrĂ© tout je t'aime encore et je n'aimerais plus comme ça demain, avec toute cette candeur. J'ai voulu rĂ©Ă©crire l'histoire une paire de fois, me dire que c'Ă©tait comme ça que ça pouvait pas fonctionner et que c'Ă©tait tout, mais nous deux ça sonnait comme un duo merveilleux.
Deux petits lutins qui rĂȘvent que d'une chose, faire leur vie dans un jardin et se contentait de leurs propres cĂąlins. Un peu de son, un peu de nature, et beaucoup d'amour Ă  partager. Planter une forĂȘt Ă  nous deux, parsemer une graine Ă  chacun de nos "je t'aime".
PĂ©pĂ© & Titi.. ensemble ça pĂ©tille, ça fait des Ă©tincelles et ça part en lambeaux... D'accord ça doit finir, je voulais que tu sois libre mais tu t'emprisonnes dans ton jeu, tu me mens, tu me trahis, mais tu m'aimes ? Laisse moi encaisser, qu'Ă©tait ce le vrai, qu'Ă©tait ce le faux, c'est plein de nƓuds dans mon cerveau.. Attends pourquoi tu me parles comme ça maintenant? Pourquoi tu veux me faire mal? ArrĂȘte, arrĂȘte ça, nous sabote pas. Tu mĂ©rites l'amour, on mĂ©rite mieux que ça. On mĂ©rite mieux que de finir dans les larmes, la haine, le sang. Pas nous, pas toi.
Ah mais si, c'est rĂ©el.. J'ai plus rien Ă  perdre. Il faut que j'me sauve de lĂ , il faut que je me casse. J'ai envie de disparaĂźtre, je me sens m'Ă©teindre, je ne sens plus la faim, je ne sens plus le sommeil, je ne sens que mes os, le vide emplir ma cage thoracique, la douleur dĂ©chirer mon Ăąme. Je vais partir, sauver ma peau. Je m'accroche Ă  cette derniĂšre pulsion de vie, je vais me raccrocher Ă  mes rĂȘves de petite fille. ♄
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