Les stations essence Esso en Corse qui se plaignent (jusqu’à FERMER) d’une “““concurrence déloyale””” des stations Total qui baissent leur prix, je vous jure, la loi du marché, c’est seulement quand ça leur permet de s’en mettre plein des poches hein
Ma solitude ne se nomme pas
Elle s’est imposée
charriant mes amours d’hier
leurs massacres
que mes pauvres mots
ornent d’un miracle
L’amour est un mot exilé
que je poursuis dans des mots
des cercueils
chaque aube fleurie
un grand drap dévasté
mon épaule qu’il caressait
et moi aimée
J’ignore les saisons
les îles et continents
J’ai tant voyagé
à l’endroit de l’envers
un large…
Début d'une nouvelle aventure #chefblackberry #rdl #insulaire #naturequebec #lgbtq #goodvibes #gaybear #gaybsl #gayqc #bearqc #bearbsl (at Phare de l'Île-du-Pot-à-l'Eau-de-Vie) https://www.instagram.com/p/CfkAuM7Jwyn/?igshid=NGJjMDIxMWI=
J'ai terminé (dans mon hamac 😍) "Un miracle" de Victoria Mas et j'ai beaucoup aimé !
Ça raconte l'histoire d'une petite ville insulaire, en Bretagne, où un adolescent voit la Sainte Vierge. Ça raconte la croyance et la non-croyance, et la jalousie de la religieuse qui se trouvait sur cette île précisément parce qu'on lui avait prédit cette apparition et qui a cru que ce serait pour elle. On y voit les réactions des habitants, les nouveaux touristes de religion qui veulent apercevoir le voyant et lui demander des miracles, et on assiste à un miracle. Puis à un drame que j'attendais (vu que c'était dans le résumé) mais qui m'a surprise quand même, quant au mobile et au responsable.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de Victoria Mas, ses descriptions et sa façon de les adapter à ses personnages. Par exemple, Madenn est un personnage fort attentif à l'air, à la lumière, à l'odeur, à la marée, et je savais à ces indices que ce personnage allait arriver dans l'histoire.
J'ai aussi beaucoup aimé les lieux, je les trouve bien choisis pour ce type d'histoire, je vois la Bretagne comme un endroit poétique, mystique, venteux et rocheux, ou la Nature est brute et où la religion me semble plus proche des gens (la religion, pas le culte)
Mais quelle marrade ! La gauche ne s’est pas aussi joliment embrenée depuis longtemps ! Les voyous Kanaks, plus ultra-violents encore que nos vaillants Tchétchènes, nos indomptables Blédars ou nos Blackos machetteurs, bordélisent leur bout de jungle insulaire au nom du pillage consumériste, du crétinisme endémique et de leur incapacité notoire à sauvegarder une identité minée par l’alcool et le RSA. Et pourtant c’est bien au nom de “l’identité des peuples autochtones” que les plus zélés imbéciles de gauche métropolitaine klaxonnent ça et là, d’éditos en plateaux. Au nom de la justice républicaine, le poids du nombre de sales Blancs en Nouvelle-Calédonie ne saurait supplanter la légitime prévalence indigène, fut-elle irrémédiablement minoritaire, fut-elle donc condamnée à être défaite lors de n’importe quel scrutin. Que l’on vienne leur faire remarquer que leur raisonnement s’applique au cas d’une France submergée par le tsunami africain que non, alors là pas du tout, mais non, vous jouez avec les mots, vous comparez l’incomparable. Ah bon ?
Dix poids, cent mesures, voilà leur universalisme de branquignole, pourriture intellectuelle qui chasse sans qu’ils le voient leur sacro-sainte croyance égalitaire, leur rousseauisme de fond de cuvette ! Fatals crétins qu’ils sont ! Oser dire que “les Blancs” – pas des Français, mais des Blancs – ont organisé l’étouffement numéraire des Kanaks par le choix d’un collège électoral favorable ! Mais faut-il être bête pour ne pas immédiatement comprendre qu’ils vendent ici-même la preuve du Grand Remplacement, concept qu’ils vômissent, réalité dénoncée sans cesse et encore par le diable camusien !
La pensée racialiste de la gauche issue de la Révolution, renforcée par un colonialisme civilisateur revendiqué Blanc, assumé raciste cette fois, a toujours été porté par la fleur des grands esprits humanistes – nos grands amis du Triangle magique ! On voit maintenant leurs héritiers patauger dans une mélasse confuse, une posture indéfendable, le preuve de facto de leur incapacité à comprendre le monde et à considérer l’humain dans ses vérités premières. Les pieds pris dans leur propre tapis sale, décoré de vieilles lunes, chamaré de conneries absurdes autant qu’indéfendables, les chantres (mous) du “décolonialisme” et de l’indigénisme tentent de faire oublier leur vieux slogan anti-afrikaaner : “un homme, un vote” ! Ce que c’est drôle, quand on a soi-même, en des temps reculés, défendu contre vents et marées le droit des Africains blancs d’Afrique du Sud à vivre et à cultiver leur identité sur une terre que personne d’autre qu’eux ne pouvait revendiquer !
Ce post est un traduction de mon post dernier. Ma langue première est anglais. Alors, si tu as des conseils, dis-les-moi s'il te plaît. Je veux améliorer mon français.
J'ai pris trop de temps pour me rendre compte des insinuations du nombre 'Elena'. Fred et Cucurucho ont leurs nombres de travail, 'WA02' et 'Census Bureau'. Les insulaires les ont nommés 'Fred' et 'Cucurucho'. Maintenant, Fred et Cucurucho utilisent leur nombres de travail et leur nombres que les insulaires leur ont donnés.
Donc, si Elena s'appelle 'WS01' et 'Elena', il y avait un insulaire qui lui a nommé 'Elena'. Nous savons déjà qu'il y a quelqu'un qui la manque. Il semble peut-etre que Elena a eu une situation comme celle de Fred? Elle a été nommée par un insulaire et ils sont devenus très amis?
A Greek island idyll interpreted by Jean Shrimpton and Jeanloup Sieff, and photographed by Richard Avedon.
Rikki's swimsuit for Sport Trio, in Antron nylon, Du Pont nylon and Lycra (Liberty fabric) hairstyles by Ara Gallant.
Une idylle insulaire grecque interprétée par Jean Shrimpton et Jeanloup Sieff, et photographiée par Richard Avedon.
Maillot de Rikki pour Sport Trio, en nylon Antron, nylon Du Pont et Lycra (Tissu Liberty) coiffures d'Ara Gallant.
Sur les murs du soleil les ombres
subsistent depuis qu’elles ont
traversé le clair-obscur des jours
Elles t’entraînent
juqu’au regard des abysses déjà
survolées indiquant la transparente
faille où tu vas te rejoindre
Les aurores tropicales sont
des lames striant le monde
sur le cercle d’où l’on peut
de tout point devenir
l’ombre tournoyant
autour du soleil
Le tapia, arbre vénéré et crucial pour Madagascar, tisse un lien profond entre la nature, la culture et l'économie de l'île. En tant que habitat essentiel pour le vers à soie sauvage, le tapia est un pilier de la production de soie sauvage, une ressource précieuse qui incarne l'élégance et la tradition malgache.
Les feuilles du tapia sont le berceau des cocons de soie sauvage, où les vers à soie tissent leurs fibres précieuses, créant ainsi un élixir de beauté naturelle. Cette soie marron, récoltée dans le respect de la nature, est l'essence même de l'exclusivité et de l'authenticité, capturant la magie des paysages malgaches dans chaque filament.
Au-delà de son rôle dans la production de soie sauvage, le tapia est un pilier de la biodiversité de Madagascar. Ses forêts denses abritent une multitude d'espèces végétales et animales endémiques, préservant ainsi l'équilibre délicat de l'écosystème insulaire. De plus, le tapia est un symbole culturel profondément enraciné dans la vie quotidienne des Malgaches, utilisé pour la construction, la médecine traditionnelle et les rituels ancestraux.
Cependant, malgré son importance capitale, le tapia est confronté à des menaces croissantes, notamment la déforestation et le changement climatique. La disparition des forêts de tapia met en péril non seulement la production de soie sauvage, mais aussi la biodiversité de Madagascar et les moyens de subsistance des communautés locales.
Afin de préserver cet héritage naturel et culturel précieux, des efforts de conservation et de développement durable sont essentiels. Il est impératif de protéger les forêts de tapia, de promouvoir des pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et de sensibiliser à l'importance de la préservation de cet arbre emblématique.
En investissant dans la protection du tapia, nous investissons dans l'avenir de Madagascar, préservant ainsi la beauté naturelle et la richesse culturelle de cette île extraordinaire pour les générations futures. https://presentslointains-madagascar.com/pages/le-tapia-de-madagascar