Tumgik
#i hâte goodbyes
beanxiv · 9 months
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i wanted to post some pics of my trip since i'm leaving morocco tmrw also face reveal 😓‼️
@kryscent i love u and tysm
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house-of-slayterr · 2 years
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Noooo…..
Please…
I just found an old YouTube comment of mine on an old lesbian dance YouTube video. It read…
“You guys looking to adopt an orphan?”
I-
Get the fuck out of here baby fang! Why the fuck were you so awkward? Omg!
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killherfreakout · 1 year
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i bet u didn’t think about it when u let me down
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plethodontidae · 3 years
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OH HMG GFODODOODOFOGKSKS WHAYATAYWYEUFS PLEA A S E E E E
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monkeydlesbian · 3 years
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tb to that one time my friend said fukunaga looks like he would do pottery and then i was like pottery is so sensual tho and she was like yeah that’s exactly why i said that to make you lose your mind
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northernmariette · 3 years
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Countess Potocka Visits the Davouts
The moment is drawing near when I will say goodbye to Countess Potocka. In my next post she will share the scene with another memoir-writer, both of them describing the same person in quite contrasting ways. For now, the Countess is still starring on her own, compelled by good manners to accept an invitation to a meal she would have given her left arm to be able to refuse. Marie-Louise being absent, the Countess finds another handy target for her barbs.  
The Countess, having ascertained whether her visit will be more convenient in the daytime or in the evening (daytime), gets dressed in new, fashionable and expensive attire, though she is much bothered by her shoes (too small?). I can't help but think that this outfit was meant to impress the Davouts with her superior status and unimpeachable pedigree - something simpler would have been preferable, as we shall see. Since it's already three in the afternoon when she appears at her hosts' door, maybe they were not expecting her anymore, even if we assume she had advised them this was the day of her visit. At least the Countess is honest enough to state Madame Davout had treated her well in the past.
C'est ainsi que j'allai chez la maréchale Davout, qui m'avait comblée de prévenances pendant son séjour à Varsovie, du temps où son mari commandait en Pologne. Comme elle passait les étés à Savigny (1), c'est là qu'il fallut aller la chercher. J'envoyai à son hôtel en ville quelle serait l'heure la plus convenable pour faire ma visite, - on me répondit que ce serait dans la matinée. Je me rendis donc à Savigny par un soleil brûlant, mal garantie par un très petit chapeau orné de violettes, et très gênée dans mes brodequins lilas parfaitement assortis à une robe montante en gros de Naples de même couleur ; - madame Germont, oracle de la mode, avait elle-même combiné toute ma toilette.
[...]
[J]e me promettais une visite agréable. L'hôtel de la maréchale, à Paris, m'avait donné une grande idée de son goût et de son opulence, et je pensais la trouver luxueusement établie à Savigny. J'arrivai vers trois heures. Le château, entouré d'un fossé et d'un mur, avait pour entrée une porte hermétiquement fermée. L'herbe croissait dans les fossés ; - on eût dit une habitation abandonnée depuis maintes années. Mon laquais, ayant enfin trouvé le cordon de la sonnette, une petite fille assez mal vêtue vint, au bout de quelques minutes, demander ce qu'on désirait.
- Madame la maréchale est-elle à la maison?
- Oh ! pardonnez-moi, qu'ils y sont, et M. le maréchal aussi, répondit la fillette.
Et vite elle accourut appeler un des hommes du château, qui se mit à la suivre sans se presser et tout en ajustant sa livrée.
Je me fis annoncer, et blottie dans la voiture, j'attendis encore assez longtemps, ne sachant trop si je devais insister ou simplement laisser une carte.  
Au bout d'un petit quart d'heure un valet de chambre se présenta enfin à la portière du carrosse et me fit entrer dans une vaste cour ; il s'excusa des lenteurs du service, m'avouant sans façons qu'à l'instant où j'étais arrivée, les gens travaillaient au jardin, et que lui-même était occupé à nettoyer le verger.
On me fit traverser plusieurs salons complètement démeublés ; la pièce où l'on m'introduisit n'était guère plus ornée que les précédentes, mais au moins il y avait un canapé et des chaises ! La maréchale ne tarda pas à apparaître. Je m'aperçus aisément qu'elle avait fait toilette pour moi, car elle attachait encore quelques épingles à son corsage. Après quelques minutes d'une conversation languissante, elle sonna pour faire prévenir son mari. Puis nous reprîmes notre entretien pénible. Ce n'est pas que madame Davout manquât d'usage ou fût dépourvue de cette sorte d'esprit qui facilite les rapports entre deux personnes du même monde, mais il y avait en elle une certaine roideur qui pouvait être prise pour de la morgue. Elle ne perdait jamais de vue le maréchalat ; jamais un sourire gracieux ne venait animer les traits de sa beauté sévère. [...]
Le maréchal arriva enfin dans un état de transpiration qui attestait son empressement ; il s'assit tout essoufflé, et, tenant son mouchoir de poche pour s'essuyer le front, il eut soin de le mouiller de salive afin d'enlever plus sûrement la poussière dont sa figure était couverte. Cet abandon un peu soldatesque cadrait mal avec les manières empesées de son épouse ; elle en fut visiblement contrariée. Me trouvant de trop dans cette scène muette, je me levai et voulus prendre congé, mais on me pria de rester à déjeuner. En attendant que le repas fût servi, nous fîmes une promenade dans le parc... Il n'y avait aucun chemin tracé, les gazons étaient de hautes herbes toutes prêtes à devenir des meules de foin, les arbres coupés pendant la Révolution repoussaient en manière de broussaille ; je laissais à chaque buisson des fragments de mes volants, et mes brodequins lilas avaient pris une teinte verdâtre. Le maréchal nous encourageait de la voix et du geste, nous promettant une surprise charmante !... Quel ne fut pas mon désappointement lorsque, au détour d'un massif de chênes adolescents, nous nous trouvâmes en face de trois petites huttes en osier ! Le duc mit un genou en terre et s'écria :
- Ah! les voilà... les voilà !...
Puis, modulant sa voix :
- Pi... pi... pi...
Aussitôt une nuée de perdreaux se mit à voltiger autour de la tête du maréchal.
- Ne laissez sortir les autres qu'au moment où les plus jeunes seront rentrés, et donnez du pain à ces dames... Elles vont s'amuser comme des reines, dit-il à un rustre qui remplissait les fonctions de garde-chasse.
Et nous voilà, par un soleil brûlant, donnant la becquée aux perdreaux !
La duchesse vida, avec un calme et une dignité imperturbable, le panier qu'on lui avait présenté. Quant à moi, je faillis me trouver mal, et, n'y tenant plus, je fis observer que le ciel se couvrait et que nous étions menacés d'un orage.
[...]
Le déjeuner fini, je m'esquivai en toute hâte, jurant, mais un peu tard, qu'on ne m'y prendrait plus.
Thus I went to the home of Maréchale Davout, who had showered me with courtesies during her stay in Warsaw, when her husband was in command in Poland. As she spent the summers in Savigny (1), it is there that I had to go and find her. I wrote to her Paris house to find out the most convenient time to visit her, and was told that it would be in the daytime. So I went to Savigny on a broiling hot day, little protected from the sun by a very small hat adorned with violets, and very uncomfortable in my lilac booties perfectly matched with a high dress in taffeta in the same color; - Madame Germont, the oracle of fashion, had herself arranged my costume.
[...]
I had promised myself this would be a pleasant visit. The Maréchale's Paris residence had much impressed me with her taste and love of fashion, and I thought I would find her luxuriously settled in Savigny. I arrived at about three o'clock. The door of the chateau, which was encircled by a moat and an enclosure, was hermetically sealed. Tall grasses were growing in the moat; the chateau had the appearance of having been deserted for many years. My footman having finally found the doorbell, a little girl, rather ill-dressed, appeared, after a few minutes, to ask what was wanted.
- "Is Madame la Maréchale at home?"
- "Oh, but yes, they are there, and so is the Marshal," answered the little girl.
And she hurried to summon one of the servants of the chateau, who proceeded to follow her at a leisurely pace, adjusting his livery as he went.
I had myself announced, and huddling in the carriage, I waited for quite a while, wondering whether I should insist or whether I ought to simply leave a visiting card.
After a mere quarter of an hour, a manservant finally appeared at the door of my carriage and led me into a vast courtyard; he apologized for the slowness of the service, informing me without particular deference that at the moment I arrived, the household staff was working in the garden, and that he himself had been engaged in tidying the orchard.
I was led through several completely unfurnished salons; the room into which I was ushered was hardly more ornate than the previous ones, but at least it had a sofa and chairs! The Maréchale presently appeared. I could easily perceive that she had just dressed up for me, because she was still busy fastening some pins to her bodice. After a few minutes of languishing conversation, she pulled the bellcord so her husband could be apprised of my presence. She and I then resumed our awkward conversation. It is not that Madame Davout's manners were lacking, or that she was deprived of that sort of wit which facilitates exchages between people of similar backgrounds, but there was in her manner a kind of stiffness which might be mistaken for arrogance. She never forgot about the marshalate; never did a gracious smile enliven the features of her austerely beautiful face. [...]
The Marshal finally arrived, his haste reflected in his heavy perspiration; out of breath, he sat down and, using his pocket handkerchief to wipe his forehead, he moistened it with saliva in order to more efficiently remove the dust from his face. This casualness, a bit too soldierly, contrasted sharply with the starchy demeanor of his wife; she was noticeably annoyed about it. Finding myself de trop in this silent scene, I rose and tried to take my leave, but I was enjoined to stay for a mid-day meal. While waiting for this to be served, we went a walk in the grounds... There were no paths, the lawn was covered with high grass ready to be turned into haystacks, the trees, cut down during the Revolution, were growing back as scrub; I left shreds of my dress's ruffles on each bush, and my lilac booties had taken on a greenish tinge. The Marshal encouraged us by voice and by gesture with the promise of a charming surprise!... What disappointment when, at the bend of a clump of stripling oaks, we finally stood in front of three small wicker huts! The Duke went down on one knee and exclaimed:
- "Ah! here they are... here they are!..."
Then, modulating his voice:
- "Pi... pi... pi..."
And at once a swarm of partridges began to flutter around the Marshal’s head.
- "Don't let the others go out until the youngest have returned, and give the ladies some bread... They are going to enjoy themselves like queens", he said to a roughneck who was the gamekeeper.
And there we were, under scorching sunshine, feeding partridges!
With unruffled and imperturbable dignity, the Duchess emptied the basket of bread she had been given. I, on the other hand, came close to fainting, and this being beyond my endurance, I pointed out that clouds were moving in and that a storm threatened.
[...]
Once we had finished eating, I left in greatest haste, swearing to myself that this visit would not be repeated.
(1) Savigny-sur-Orge [this note appears in the original text]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5463019n/f278.item  pp. 229-234.
So there went the Countess’s pleasant visit, just not quite as pleasant as foreseen. I confess that I share her feelings about the spit-moistened handkerchief. And I too have been in the excruciating position of trying to make conversation when there is nothing to converse about. But she did not expect  to have her fancy dress shredded by unkempt scrub. All this while traipsing in uncomfortable booties ruined by grass stains, the reward for this being to witness Davout calling his partridges in a falsetto voice, and a final indignity, bringing her close to fainting (or was it the foot-pinching booties?): having to feed breadcrumbs to partridges, while being expected to have fun doing it. Pass the smelling salts.
The food must have been good, because she does not have a word of criticism about it. No word whatsoever about it, in fact. I suppose no artichokes were served.
My little finger tells me the Davouts were not sorry to see the back of her, unless her manners were so exquisite that she was able to feign delight through her visit. But then again there was this laboured conversation, so... no. They were glad she left.
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Note
"Et finalement Voldemort fera une erreur - et quand il le fera, nous serons là" Eliza Potter est peut-être le dernier espoir pour eux tous. Ahahahahah j’ai hâte qu’il apprenne la vérité 😂😂😂. Le gars ne se rends même pas compte qu’il est déjà mort. Au like il se rends compte des incohérences. En fait l’histoire tu compte la continuer après la septième année ( j’espère tellement je veut pas la voir finir )?
We love to see a bit of dramatic irony 😂 and I do intend to continue this fic after seventh year before it comes to an end (I don’t want it to end either, Eliza is my baby now)
Honestly I think after I finish this fic I might create a spin off full of just sort of, small stories from the rest of their lives because I don’t think I’ll be able to say goodbye :(
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larecreative · 4 years
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On se rend sur Spotify pour écouter la playlist
Sophie Laforest
Pour déjouer l’ennui - Pierre Lapointe
J’ai choisi cette chanson pour sa simplicité, son efficacité, son minimalisme. Sa structure incarne un pan de mon année : un retour à l’essentiel, vivre avec peu, trouver la beauté dans les petites choses et ralentir. La candeur qui se dégage des paroles du premier couplet me parle. Car un autre pan de mon année c’est aussi ça : les doutes, les larmes, la consternation et un grand besoin de réconfort. Une belle chanson-symbole, une douce chanson-berceuse 🧡 
Hâte de découvrir et surtout d’écouter vos choix! Bonne année 2020 à tous et à toutes! Amour et chaleur 🙌
Guylaine Dussault
Overturn - Alexandra Stréliski
Une chanson qui me permet de me reconnecter, m’ancrer. J’ai l’impression que le temps s’arrête quand je l’écoute, pis ça, ben ça fait du bien!
Judith Paré
Cinnamon Girl - Lana Del Rey
Tout de son nouvel album me parle.
Ibrahim Ozhan
Barefoot in the park - James Blake (feat. Rosalia)
Cette année mon morceau choisi  sera un morceau du dernier album de James Blake. Sorti le 18 janvier 2019, jour de mon anniversaire pendant mon séjour en Italie. Réveil avec vue sur le lac Como avec une écoute attentive de l’album en entier. Après la première écoute De suite j’étais complètement subjugué et in love avec le 5ème morceau de l’album. Barefoot in the park. En featuring avec Rosalia. Les voix s’emmêlent, se complètent. Superbe harmonie.
4 mois plus tard je vois james blake en live à Londres lors d’un festival. Présentation de l’album.
Quelques semaines après, Barcelone. Primavera Sound. Rosalia et james Blake jouent le même soir à quelques heures d’intervalle. Rosalia est en tête d’affiche et invite James Blake sur scène et ensemble ils interprètent le morceau que j’écoute en boucle depuis des mois. Le même soir james Blake joue sur une autre scène pendant le même festival... il présente à nouveau l’album et d’anciens classiques. excellente soirée!
Et pour terminer j’ai décidé de retourner voir james Blake au montreux jazz festival en suisse dans des conditions complètement différentes. Petite salle à taille humaine. Avec une acoustique exceptionnelle. 2h15 de live au 1er rang.
2019: mon année avec james Blake. ..
Geneviève Fortier
House in LA - JUNGLE
TOUS les titres de l'album "Forever" de Jungle figurent parmi mes chansons les plus écoutées en 2019, selon mon compte Spotify. J'ai choisi la chanson House in LA parce que c'est ma chanson préférée de l'album, mais aussi, parce qu'elle me rappelle une particulièrement belle soirée en début de relation avec mon amoureuse.
Pascal Asselin
Doin' Time - Lana Del Rey
Voilà ma chanson pour cette année. Elle m'a accompagnée sur la route depuis sa sortie, puisque j’ai roulé bcp l'été dernier. Elle symbolise pour moi la joie, la légèreté et les vacances.
Emilia Kudaba
La Nina Del Volcan (Polocorp Remix) - YoSoyMatt, Polocorp
Aucune raison mentionnée
Alex Deschênes
Gengis - Polo & Pan
J’avais tellement de chansons que j’avais envie de soumettre, des tristes, des nostalgiques, des funkys. Simplement parce que j’ai décidé de m’écouter cette année. De faire les choses différemment et de ne jamais me perdre dans ce que je fais. Cette chanson me dit que oui, je m’écoute, je suis bien et je m’aime, merci 2019.
Sarah Latulippe
Bien réel - PETER PETER
Parce que je n’ai découvert Peter Peter qu’en début de cette année 2019 (il était temps)
Parce que c’est le premier vinyle neuf que je me suis acheté.
Parce qu’il m’a suivi dans tous les moments intense de l’année. Les beaux comme les moins beaux.
Chaque fois, il m’a fait réaliser que mes émotions du moment sont vraies et qu’elles ont le droit d’exister. Je les ai donc écoutées, accueillies et acceptées.
Je souris à chaque écoute maintenant parce que ça me rappelle que la vie est en mouvement. La tristesse ne dure pas, le bonheur non plus : alors VIVONS, simplement.
J’adore l’ambiance de la chanson, le piano intense par moment, sa voix douce…
Merci Peter Peter.
Katia Couture
bad guy - Billie Eillish
J’aime son rythme.
Geneviève Dussault
Je m’en permet deux. Exceptionnellement. Deux émotions. Deux univers
Néfertiti - FOUKI
Au début de ce projet en 2011, la musique était au coeur de ma vie. C’était une amie, une complice. Ce qui se passait entre elle et moi était spéciale. Il y a fait une chanson pour accueillir chaque émotion.
La maternité à transformé ça. Pas effacer, mais transformé.
Mes moments de rencontres avec la musique ne sont plus autant individuels. Ils sont familiaux. Maintenant, on vit plus souvent qu’autrement la musique ENSEMBLE.
Le nombre de moments magiques partagés ensemble, tant avec mon fils qu’avec les ados. La musique de Fouki fut rassembleuse. Porteuse de liberté à danser avec notre coeur, le sourire dans les yeux, le son dans l’piton.
Une partie de moi s’ennuie de mes moments d’ivresse musicale et de connexion profonde avec la musique, et l’autre est comblée de voir la musique enrichir ma vie de famille. Danser ensemble. Chanter. Écouter la même chanson trop de fois. Rire. 
Patrick Watson (Waves)
Premier spectacle auquel j’ai assisté depuis la naissance de Gaël qui a failli changé ma chanson de l’année. Moment fort et phare de mon année. Spectacle marquant dans mon parcours de vie. J’ai vu Pat en show au moins vingt fois et ces spectacles m’élèvent et me font toujours voyager. Cette fois, ce fut un voyage intérieur assez intense. J’ai eu les larmes aux yeux le ¾ du spectacle. Pleins d’émotions m’habitaient et je les accueillaient TOUTES. Show parfait pour clore l’année, la décennie.
I stood there still As a wave came and washed on by I watched as change came To change me before it said goodbye It broke my body As it crashed into my sleeping mind I tossed I turned as I learned to let it wash on by Just got to take your time I'll see you on the other side
Yves Lefrançois
Deux choix cette année:
L’Amérique pleure - Les Cowboys Fringuants
J’adore aussi le dernier des Cowboys fringants. J’en retiens surtout la toune l’Amérique pleure qui dégage une belle tristesse parfaitement de mise en cette période de morosité politique bien manipulée par des élites aveugles et sans cœur.
Shallow bay - I.Q.
Salut La belle, je n’ai pas encore eu le temps de t’écrire un petit texte mais voici mes 2 incontournables pour 2019. Shallow bay du groupe progressif I.Q. L’album Résistance est un chef-d’œuvre du genre.
Éric Pilote
Voici donc mon choix (je triche cette année, j'en ai 2😉):
Goin' Back - Beck & Jakob Dylan :
Une trouvaille inattendue en écoutant la trame sonore de ce documentaire (Echo in the Canyon). Il s'agit d'une reprise d'une toune de The Byrds de 1968 par deux artistes que j'affectionne particulièrement. Je vous conseille ce documentaire (disponible sur Netflix) particulièrement si vous aimez la musique rock des années 1960 et si vous voulez en savoir plus sur le quartier Laurel Canyon en banlieue de Los Angeles d'où est sorti un paquet des meilleurs albums de cette époque. La trame sonore est pas pire aussi!
Hello Sunshine - Bruce Springsteen
Une année plus tranquille en 2019 qui a permis d'en profiter un peu plus et un peu mieux, sans trop avoir de stress. Donc, plus de temps pour la réflexion en écoutant ce nouvel album de chansons originales, depuis un bout de temps, par l'un de mes chanteurs préférés. J'aurais pu en mettre plusieurs, mais celle-ci me parle plus en raison de ce que j'ai vécu ces dernières années. Le Boss est encore et toujours Le Boss!
Martine Goulet
Woman - Karen O & Danger Mouse
Après avoir hésité pendant un bon moment entre de la musique mélancolique ou plus énergique, me demandant dans quel mood je voulait quitter 2019, j’ai finalement choisi Woman de Karen O et Danger Mouse. Parce que c’est beau la solidarité féminine. Parce qu’elle a vibré fort cette année, partout et ça me touchait tellement à chaque fois. Des témoignages, des remises de prix, des hommages, de la mobilisation. C’est beau.
Fabien Husslein
"Lil' white sister" - FRUSTRATION
Car dans les moments difficiles, je me réfugie dans la musique et j'écoute des groupes comme Joy Division, moi ça me redonne immédiatement force et motivation, oui c'est paradoxal. Ce morceau de Frustration, groupe très proche musicalement de JD, est sorti au moment où j'ai commencé un nouveau job, c'était assez difficile comme tout nouveau commencement, mais ça m'a aidé à passer le cap.
Julien Cyr
Seventeen - Sharon Van Etten
C'est clairement une année ou les femmes on remplit ma vie!
Guillaume Fafard
Coyote - Dope Lemon
Déjà un an?!? L’année est passée aussi vite que la musique de Dope est mélodieuse. Année de voyages, la musique coulait à flow dans mes oreilles dans l’avion entre Montréal et Porto où dans le train entre Amsterdam et Leiden à la recherche d’inspiration! 
On va où en 2020? Peut-être que je devrais dire on écoute qui en 2020!
Benjamin Robinson
Ça va - Émilie Bilodeau
Merci à Éloi de me faire découvrir une si belle poésie.
Gros Love mon grand!
Carine Côté-Germain
Parapluie - Daniel Bélanger
Le moment phare de mon année 2019 c’est notre beau long road trip en famille dans notre nouveau campeur. Un projet qu’on chérissait depuis un bout de temps déjà et qui s’est concrétisé en beau voyage inoubliable. Alors qu’on roulait sur les belles routes du Québec, les filles écoutaient leur musique de passe-partout en arrière et nous on se mettait de la musique nostalgique comme si on était un jeune couple sans responsabilité le temps d’un instant. Cette toune a aussi été la chanson demandée par ma fille avant le dodo. Une chanson qu’on aime chanter en famille à capella avec des belles fausses notes.❤️
Corinne Barat
What the fuck - The boxer rebellion
Juste pour le trip du refrain, crier What the fuck à tue-tête, crier What the fuck? à mon incompréhension face à ce monde en décrépitude... (Même si ça n'a rien à voir avec les vraies paroles de la toune). Voilà!! 
Joyeuses fête à tous!
Karina Tardif
Ta fille - Stéphanie Boulay
Parce qu’à chaque fois que je l’écoute (et que je la chante)  j’ai l’impression de parler à ma mère, qui est décédée en 2018. Une chanson qui parle des vrais choses, les belles comme les laides et qui me donne beaucoup de réconfort à chaque fois.
Éric Wagner
The loudest voice - Stu Larsen
Dans la continuité de l’année dernière, Stu Larsen est revenu me hanter avec sa dernière pièce, The loudest voice. Cette pièce, simple mais accrocheuse, veut montrer qu’il est possible de vivre de façon simple et tranquille et être bien. Pas besoin de crier et de se pavaner. Cet Australien, sans domicile fixe, semble comblé par la simplicité de la vie de nomade qu’il mène au gré du vent et de ses rencontres. Une belle leçon en cette période d’orgie de consommation qu’est le temps des fêtes…
Marie-Ève Lafortune
Old Statues - Other Lives
Pour sa mélodie, que je trouve belle et qui me fait du bien. J'ai retrouvé cette chanson au début de cette année, après l'avoir entendue pour la première fois 5 ans plus tôt. Je me suis tout de suite souvenu à quel point je l'avais aimée. La personne qui me l'avait fait découvrir est aujourd'hui ma blonde et cette chanson est devenue pour moi un symbole de notre relation.
Danielle Hébert-Boutin
Miracle - Bears of Legend
Mon amour et moi avons vécu un beau moment de douce complicité cette année au show de Bears of Legend. Un moment de « on a le mottons en même temps, pis on n’a pas besoin de se parler pour se comprendre ». Cette toune parle de parentalité, de force, de beauté et de la puissance de nos pensées...j’en ai des frissons à chaque écoute.
Coralie Desroches
Honesty - Pink Sweat$
Cette chanson m’a accompagné au travers de chacun des changements et des défis que j’ai traversés cette année. J’ai passé plusieurs trajets d’autobus à écouter en boucle cette chanson aux paroles si représentatives de mes craintes.
Inès Hamard
I Am Going Home · ROSEAUX (feat. Ben L'oncle Soul)
Patrick Watson m'a touchée encore une fois avec Here comes the river, de nouveau les frissons, les larmes, une rivière d'émotions.
Mais la chanson que je veux partager plus particulièrement vient du deuxième album du collectif Roseaux. I am going home, collaboration avec Ben l'oncle Soul et sa voix profonde accompagnée d'un choeur qui monte en puissance, qui envoûte et invite à une douce transe, comme une litanie, une prière, une méditation. J'embarque dans la transe et je l'écoute en boucle.
Philippe Desroches
Here comes the river -  Patrick Watson
Accueillir les émotions, laisser couler ses larmes, accepter ce qui se présente dans notre vie... du noir, jaillira la lumière.
Cette chanson, interprétée avec tant de douceur et de profondeur par Pat Watson à son spectacle, vient clore en beauté cette année forte en changements et remises en question.
Dominique Paradis
Par la fenêtre de Théo – Alexandra Stéliski
Sur la route, quelque part sur le bord du fleuve, au retour de la Gaspésie…
L’esprit, le cœur et les jambes toujours habités par les montagnes enneigées… Le fleuve qui dégèle, qui m’offre des couchés de soleil vibrants à chaque détour, tous plus beaux les uns que les autres.
Période d’ouverture, de renouveau, d’espoir. C’est l’heure d’oser.
Intuitions qui se confirment, qui s’ancrent, qui trouvent leur place...
Merci 2019, pour toujours autant de moments éblouissants, de sincérité et d’apprentissages.
Geneviève Lalande
Blind - JEAN-MICHEL BLAIS
Ce fut une année où j'ai avancé à l'aveugle en accueillant sous notre toit une adolescente fragilisée par la vie tout en gardant le cap de notre famille avec un conjoint fatigué qui devait s'arrêter pour mieux se relever...
Cette chanson résume cette année qui aura marqué ma vie de plusieurs façons: avec de grands frissons et de grandes émotions! Amour, une chance que tu es là 💞MERCI BEAUCOUP XXX
Andréane Walhman
O Superman - Laurie Anderson
Cette chanson hypnotise. Elle berce. Elle mène à un état de veille consciente, créant un espace pour la guérison. D’un rythme soutenu et répétitif, elle réussit pourtant à m’accompagner doucement vers l’ailleurs. De façon bienveillante. Ainsi, j’en viens à moins craindre la répétition : j’apprends qu’elle permet la (re)découverte, l’affirmation et l’acceptation.
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reminded-archive · 5 years
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i hâte that im at the age where i need to start saying goodbye.
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chrysolina · 6 years
Note
Please can you make a hc with jealous Steve? Maybe a guy is discretely hitting on his girlfriend and Steve shows up at her French class? Cause she works and all but takes French classes?
Sure thing ‘nonnie!! I got a bit carried away on the bus home so enjoy!!Word count - 1.3k
He didn’t know what brought him here to the dated university building. Actually, yes he did - he just didn’t want to admit it aloud. He just had to come, call it an inclination or just butterflies in his stomach but Steve knew from the moment he dropped you off that morning and he made eye contact with that bozo - he knew he was trouble. Steve tried to believe your maturity and that he was just being silly as his thoughts trailed back to that man the whole day but by three pm, he couldn’t stomach it no longer. So instead of helping train Buck with hand-to-hand combat (like he needed it though), he bolted to your shared floor, got out the most least conspicuous clothing he owned and sunglasses and rode on down to he University you were studying in, the rumbling of his motorbike accentuating the rumbling jealously he couldn’t help but feel. As like times before this, Steve was renowned within the team to have a very deep, rigid sense of jealousy and possessiveness - although t only came out at very certain times, it was undeniably there like a proclaimed spot on his face. Steve immediately knew the moment he saw the longing primal look in that douche’s eyes and the shit-eating smirk as you noticed him, even when you lovingly kissed him goodbye he knew that classmate of yours was trouble and wanted you to be his partner in crime.  Unfortunately the position of partner inc time was taken by Steve and god was he proud of it. You were the apple of eyes, his diamond in the rough, the only person that reeled him in from he depths of his despair in the modern world. You taught him everything - from the arts of taking a break to simple mundane things like how to cook a mean pasta bake.You were his lifeline that he never got back in the forties and was the only person - bar Bucky - who knew Steve for who he really was, not ‘Captain America’ Steve Rogers. Hell, when he allowed himself to dream far off into the foggy future he knew you’d be the one he’d start a family and settle down with. So when Steve saw this douche threatening this plan and his girl with the dream of becoming your boyfriend, he had to eliminate him out of the question now. Without much regard for anything else on his mind, Steve pulled into a small space outside the dated university building and trudged up its steps to the reception area, his hands balled and stuffed deep into his jean pockets to prevent any violence spewing out from them. “Hello sir, how may I help you?” The relatively young looking receptionist smiled and leant over the desk in a bid to flash him her slightly impressive cleavage poking out from her blouse. Steve took one glance at her attempts and snorted at her attempts under his breath, the images of your cleavage running through his mind like an old movie reminding him of the beauty of you compared to this lady. “Yeah hi, I’m here to collect my girlfriend?” Steve’s question cake out more like a statement and made the receptionist reel back in shocks and click around her computer. “What room is she in?” The receptionist replied in a slight grumble and attempted to hold herself high from the embarrassment she just faced though failed miserably. 
“27D I believe.” Steve replied nonchalantly.After a few clicks on the mouse and keyboard, the receptionist looked back to him with a questionable look on her face. “I’m sorry sir but they’re still in lessons - do you want me to e-mail her professor to get her?” Steve looked at the woman and gave her a curt yes in return and made a point to check if he wasn’t standing or too much in the glass mirrors along one side of the reception area.Steve couldn’t help but wonder if the dark stubble beard on his face had anything to do with his inconspicuous look, somehow it made him seem a bit more rugged and gave him a look of mystery. Everyone knew Captain America for the blonde hair and shaven face and that was fine for the longest while but with the accords changed and his status returned, Captain Rogers had to have a new look - and god did the dirty blonde hair and beard suit him to a tee. The squeaky creek of the double doors to the building pulled Steve out of his head and made him take note of your presence, your rucksack sling I’ve one shoulder and a dump of papers in the another. A confused look decorated on your features the moment you stepped outside the double doors as you thanked the receptionist and walked with Steve down the old brick steps and to his awaiting Harley bike, his form stiff and tight the whole time he walked. “Steve what’s wrong? You’re like thirty minutes early?” You questioned the captain with a huff and a look of disapproval. Steve stopped his footing for a moment and turned to look back at you with a glare set deep on his brows. “What?” You questioned again. “Who was that guy you went inside with this morning?” His tone was flat yet demanding and made your knees buckle slightly as he neared your form, the difference in height only adding to the mood between you.“T-that,” You gulped and gripped your papers tight to your chest. “That was Arian - he’s the classmate that’s been helping me the past couple of weeks.” Steve knew of an Arian and remembered back to the time you were telling him of him - who he assumed was a she - one night a few weeks ago. “Well, next time you see him tell him one, not to flirt with you and two, you don’t need his help no more.” Steve demanded in his Captain tone and went back to his bike and grabbed the helmets from under the seats. You only stood there dumbfounded momentarily before a confused yet shit-eating grin grew along your lips. “Steve? Were you jealous he was getting close to me?” You questioned in a teasing voice as you swung your backpack around and slid your papers inside, the grim never left your face for a second. Steve only scoffed at your question and handed you your helmet whilst refusing to look into your eyes, knowing that as soon as you caught his eye his posture would crumble in seconds. With a smile, you took the helmet off him and slid in on with ease before stepping onto the back of his bike with a calm posture. Around fifteen minutes into your drive home to the compound, you decided to question a more calmed Steve again and see if he was up for answers. “So,” You spoke into his ear with a curious purr. “How else am I going to get help with my French if I can’t get help from Arian?” Steve could hear the smirk in your voice as you spoke and made him similarly break out into a smirk, the perfect idea popping into his head. “I’ll help you,” Steve stated with a smirk and felt your body peel back a little in shock. “Hey doing time in the trenches in France taught me something a’ight?”“Prove it.” You mumbled in surprise. “J'ai hâte de te ravir ce soir et de te montrer à qui tu appartiens, mon amour.” “I can’t wait to you tonight and show you who you belong to, my love.” The fluency of Steve tongue over the French words he spoke made you squirm on the leather seat and wonder if this was such a good idea, the thought of him teaching you French in the most obscene times made you shiver exponentially. “What’d you say, doll?” “Si tu prévois de m'apprendre le français en dehors de la chambre, alors oui. J'adorerais ça.” “If you’re actually planning to teach me french out of the bedroom, then yes. I’d love that.”“Ce serait mon plaisir, ma chérie”“It would be my pleasure, my sweetheart.”
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jeremyfantou · 3 years
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L'année est sur le point de se terminer et je profite de cette modélisation pour l'honorer ! Je vous remercie énormément à vous tous de m'avoir suivi et soutenu de vos likes et commentaires tout au long de cette année, c’est grâce à vous si je suis ce que je suis devenu ! :) 2021 sera pleine de nouveauté que j'ai hâte de vous partager, passez de merveilleux et sublimes moments auprès des gens que vous aimez, moi je vous dis à la prochaine pour bien plus de partage et de passion ! ;) ;3
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The year is coming to an end and I take advantage of this modeling to honor it ! Thank you very much for following me and supporting me with your tastes and comments throughout this year, it is thanks to you that I am what I have become ! :) 2021 will be full of new things that I can't wait to share with you, I wish you to spend wonderful and sublime moments with the people you love, I say goodbye to you for a lot more sharing and passion ! ;) ;3
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lamoumous · 3 years
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HOW TO SAFELY CELEBRATE THE HOLIDAYS THIS YEAR - LINK IN BIO / COMMENT CÉLÉBRER LES VACANCES EN TOUTE SÉCURITÉ CETTE ANNÉE - LIEN SUR MON PROFIL • Happy Tuesday everyone! It suddenly hit me that it's that time of the year again. I am surprised that I got caught off guard like that given that firstly I love Christmas and secondly I have toddlers. Anyway, I am so ready to put an end to this year. However, with everything that has been happening in the world I am anxious to see what 2021 will bring. As we are approaching the greatest season of the year, it's important regardless, that we find ways to properly say goodbye to 2020. Click on the link in my bio to read some thoughtful advice I have gathered for you on how to safely attend or host a holiday gathering during this pandemic. • Outfit details : 👚 👖 👜 🕶 @glamurboutiquehaiti Earring @_gamonde_ 📸 @vonvonphotography 🏨 @nhhaiti_elrancho • Bon mardi à tous! Cela m'a soudainement frappé que c'est à nouveau cette période de l'année. Je suis surprise d'avoir été prise au dépourvu comme ça étant donné que d'une part j'adore Noël et d'autre part j'ai des tout-petits. Quoi qu'il en soit, je suis tellement prête à mettre fin à cette année. Cependant, avec tout ce qui se passe dans le monde, j'ai hâte de voir ce que 2021 apportera. Alors que nous approchons de la plus belle saison de l'année, il est important malgré tout que nous trouvions des moyens de dire au revoir correctement à 2020. Cliquez sur le lien sur mon profil pour lire quelques conseils judicieux que j'ai rassemblés pour vous sur la façon d'assister ou d'organiser des rassemblements en toute sécurité pendant cette pandémie. • Version française disponible au bas de la page. Voir "translate" choisir "French" dans "Select Language". • #fashion #style #trend #fashionblogger #lifestyle #personalstyle #styletips #imageconsultant #stylecoach #personalstylist #sweaterjacket #beltedblazer #boots #blazer #accesories #fall2020 #falltrend #fall #ootd https://www.instagram.com/p/CHaiJdsjSHE/?igshid=1d3dlw00415tj
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warriorproducteur · 3 years
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LiSA 『炎』(Homura) "Flame"  -MUSiC CLiP-  (Traduction en Français)
Suite à la chanson thème "Gurenka" de l'anime télévisé "Kimetsu no Yaiba" LiSA chante la version cinématographique du single "The Blade of Devil" Infinite Train Edition Theme!
Le 17e single de LiSA "Flame" sorti le 14 octobre 2020, Le MV est sorti!
Paroles par Yuki Kajiura,
Composer par Yuki Kajiura
Arranger par Yuki Kajiura
Eng translation below
Traduction en Français :
Au revoir, merci autant que ta voix, Plus important que la tristesse, Je veux dire à mon dos qui part, À temps pour la chaleur et la douleur
Je pensais que ça continuerait comme ça, Je dessinais notre demain, La lumière qui appelait est toujours la, Même s'il fait chaud au fond de ma poitrine
Nous nous rencontrons au milieu d'un voyage brûlant, Prends ta main et lâche-toi pour l'avenir Chaque fois qu'un rêve devient réalité, je penserai à toi, Souhaitant être plus fort, pleurant avec détermination
Je suis piégé dans des sentiments nostalgiques, Pleurer dans un monde cruel, Plus tu grandis, plus Je ne veux rien perdre d'autre
Si tu est ivre de tristesse et que tu tombée, Je ne ressens aucune douleur, Tes paroles, tes souhaits J'ai juré de les protéger
Il fait du bruit et s'effondre, Seulement un, Un monde irremplaçable
Un bouquet de lumière intense qui a atteint et étreint Brillant et disparaissant pour l'avenir, Un bonheur confié et aller au-delà des promesses
Je vais continuer sans regarder en arrière, J'ai juste hâte et hurle, [Allumez une flamme dans votre cœur Jusqu'à un futur lointain ...]
Engish Translation : 
Following the theme song "Gurenka" from the TV anime "Kimetsu no Yaiba" LiSA sings the movie version of the single "The Blade of Devil" Infinite Train Edition Theme!
LiSA's 17th single "Flame" released on October 14, 2020, The MV is out!
Lyrics by Yuki Kajiura,
Composer by Yuki Kajiura
Arranged by Yuki Kajiura
Goodbye, thank you as much as your voice, More important than sadness, I want to say to my back that's leaving, In time for the heat and the pain
I thought it would go on like this, I was drawing our tomorrow, The light that called is still there, Even though it's hot in my chest
We meet in the middle of a burning journey, Take your hand and let go for the future Every time a dream comes true I'll think of you, Wishing to be stronger, crying with determination
I'm trapped in nostalgic feelings, Crying in a cruel world, The more you grow, the more I don't want to lose anything else
If you're drunk with sadness and fall, I feel no pain, Your words, your wishes I swore to protect them
It makes noise and falls apart, Only one, An irreplaceable world
A bouquet of intense light that reached and embraced Shining and disappearing for the future, A happiness entrusted and going beyond promises
I'll go on without looking back, I just look forward and scream, [Light a flame in your heart Until a distant future ...]
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monkeydlesbian · 2 years
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IM GONNA EAT GLASS
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Angel eyes
Il ne comprenait pas. Vraiment pas. Un nouveau juge dans Asia got Talent ? Mais qui ? Il s’assit à côté de la place qu’occuperait le remplaçant d’Angunn et fixa le dernier quand l’homme arriva. Propre sur soi, quelqu’un de sincèrement stylé. L’homme s’installa calmement alors que la foule hurlait. Il portait une veste de costard bleu nuit, un col roulé blanc et un jeans délavé simple ainsi qu’un beanie noir. L’homme avait du style et les yeux les plus bleus de la terre. Jay arqua un sourcil quand l’homme lui tendit doucement la main avec le sourire le plus tendre du monde.
 « Bonjour, je m’appelle Jack. » dit-il avec une voix profonde.
 Fuck i’m gay.
 « Vous… parlez… coréen… » marmonna Jay
« Bien vu Sherlock. » L’homme fixa la scène alors que les premiers candidats commençaient a arrivés
 Jay observa l’homme très sincèrement, il donnait des avis construits et doux, il était calme et tellement plus reposé. Moins chaotique que lui en soi.  Tout au long des auditions, ils virent enfin un groupe de rock et Jack était assis sur le bord de son siège. Le bassiste du groupe était tellement nerveux sous le regard inquisiteur de Jack qu’il resta blanc comme un linge.
 « You my idol.. » marmonna le bassiste
 Jack rit un peu et se leva pousser par l’autre juge a montrer un peu de talent.
 « Oh my, haven’t done that in a while. »
 Il prit la basse et la plaça sur ses épaules de dos à la sale, montrant en s’étirant légèrement ses tatouages dans le bas de son dos, offrant à Jay tout le luxe de se questionner sur sa sexualité. Jack posa un solo improvisé, jouant sur ses épaules à l’envers. Il s’arrêta en riant et signa la basse du jeune homme en coulisse. Si Jay avait commencé a de plus en plus avoir des sentiments pour cet homme il n’en voyait que la première couche. Et Jack de semaine en semaine s’ouvrit un peu quand une jeune fille au bonnet arriva, avec un petit bracelet orange au poignet, elle chantait une version plus acoustique d’un morceau de JUMP et Jay haussa un sourcil. Jack s’était lever et vint se poser pour jouer au piano laissant la jeune femme chanter. Elle sourit tristement à Jack qui jouait sans trop se soucier du reste. Elle leva les yeux vers le pianiste improvisé à la fin de la musique et se pencha pour l’enlacer. Jack lui rendit son câlin et sourit.
 « How long ? » demanda-t-il
« Seven months. » dit-elle avec un petit sourire posant ses mains sur son bonnet. « you ? »
« One year. » Il posa sa main sur son beanie.
 Et le Coeur de Jay s’arrêta un moment en voyant Jack si doux, si prévenant avec cette fille.
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 Soir de repos pour les juges, chaque partant pour son hôtel… Jay observa de loin Jack puis le rejoignit un peu à la hâte.
 « Ehm… dude… you wanna go… grab a beer ? » osa Jay
 Jack soupira et plaque Jay contre un mur, sans douceur. Son regard bleu plongé dans les noisettes du natif de Seattle.
 « Call me dude one more time, and you can say goodbye to nice Jack. » il recula calmement et s’étira, remontant encore sa chemise pour dévoiler des tatouages.
« Je suis pas certain de comprendre… » Marmonna Jay
« Peut-être qu’en coréen tu comprendras mieux ? Je n’aime pas qu’on m’appelle dude. J’ai même ça en horreur. » Il sourit doucement « Toi tu peux live, parce que tu as des arguments… mais en dehors.. Arrête. Pitié. You’re already making it hard for me to stay friendly… »
“Do … do you hate me ?”
 If he hates me I’m really a badguy...
“Hate you ?” Jack rit en secouant la tête « You really think I could hate you ? »
“I call you dude…” murmura Jay
“And you have a pass for that because you’re hella cute.”  Soupira Jack “I’m no saint you think I am sweetheart.” Jack soupira
“I’m no saint too..” marmonna Jay
“Sure thing. If what you rap you did… you’re the picture perfect American fuckboy.” Dit Jack amusé
“Yeah…” Jay baissa la tête et fixa ses pied savant de regarder Jack “Dude I’v neve-“
 Jack le replaqua contre le mur et prit ses lèvres sans douceurs. Le baiser était féroce et assez sec. Et quand le gallois se recula, la tête basse, Jay reprit le col du gallois pour reprendres ses lèvres entre les siennes et l’embrasser encore.
 Fuck i’m so fucking gay for him… Wait does that count as being gay if he’s the only one i’m hard for ?
 Jack se recula avec douceur et caressa les cheveux de Jay doucement. Il lui demanda s’il n’y avait pas un endroit plus approprié et voilà deux heures plus tard, Jack était installé dans la chambre d’hôtel de Jay. Discutant de musique puis avec l’alcool ils discutaient, de tout et de rien…
 « Hey Jack… Tu disais que ça faisait un an ? » Demanda Jay
« Un an que je suis en rémission totale d’un cancer qui aurait dut avoir ma vie. » dit Jack calmement avec le sourire le plus calme du monde « Depuis j’ai décidé de vivre a fond sans regretter les gestes… T’embrasser par exemple est une impulsion, réfléchie certes, mais le Jack d’avant la maladie n’aurait jamais fait ça. » Il soupira un peu
« Hey Jack… » Jay leva la tête « Est-ce que je suis gay si le seul mec qui me fait bander c’est toi ? » Marmonna Jay assez alcoolisé
« Je ne pense pas que tu sois gay, si y a que moi, je penses surtout que t’as aucun goût… » Jack rit un peu
 Puis les lèvres de Jay se refermaient sur les siennes, le baiser était calme et doux différents des autres, moins forcé, moins féroce… Jay s’installa sur les genoux de Jack pour soupirer.
 « I’ve got too much alcool in my system… you could do what you want with me…»
“Sure thing… but I’ve got none at all in my veins and I am not taking any advantage of you love.”  
 Jack secoua doucement la tête et s’allongea, tapotant la place à ses côtés, les bras ouverts pour que Jay l’y rejoigne.  
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 Jay regardait son téléphone puis ses potes quand il sursauta, Simon et Zico lui montrant une vidéo. Jack Lincoln, était remonté sur scène, sans bonnet, ses cheveux blond vénitien tombant mi longs et hirsute sur son visage brillant, lumineux. Il portait un débardeur noir, proche de son corps, sous-lignant chaque muscle et montrant ses tatouages. Il avait filé sa basse à contrecœur à Elrick qui l’avait pousser du pieds au cul.
 « Sing damn welsh. » fit Elrick dans la vidéo
« Goodness » Jack rit « What should I sing ?!”
 La foule s’exclama sur plusieurs chansons mais la majorité chantait One night Stand.
 « One night stand it is.. » Il sourit a Faust, Elrick et Malia avant de commencer a chanter.
 Et derrière le téléphone Jay avait chaud. Depuis quand l’ange au sourire d’or, cet homme qui avait refusé de tirer profit de son ivresse chantait une chanson si … dépravée… Jack chantait comme un dieu et Jay était très très très confus.
 « Guys, I may be really in love with him…”
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 “Dude… Sorry euh… Jack… would you like date me ? “
“Hm ? What now ? Aren’t you straight ?”
“I’m happy to never touch boobs again if that means being with you.”
“Until you miss them too much.”
“Won’t happen.”
“Try out run of two months ? If you get through them, we’ll officially date.”
“Why try out ?”
“Have you ever had sex with a man my sweet fuckboy ?”
“No.”
“Then lets start out with a try out… after that we’ll see if you stay or run”
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