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#galerie des horreurs
deathlesssaints · 6 months
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vinnie hacker (white)
merci de créditer (c) pau.
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Message du King, monsieur Eric Cantona. Moi, l’amoureux de foot, à contre coeur, j’ai pris ma décision, je vais le suivre, lui et d’autres personnalités comme Philipp lahm, Vincent Lindon et j’en passe. Je ne regarderai pas un seul match de cette coupe du monde. Ça me coûte parce que depuis que je suis gosse c’est un évènement que j’adore, que j’attends et que je regarde avec passion! Mais soyons hônnètes avec nous mêmes! Cette coupe du monde là n’à aucun sens! Pire c’est une abberation! Déjà parce que le Qatar n’est pas un pays de foot! Aucune ferveur, aucune saveur. Une abberation écologique, avec tous ces stades climatisés… quelle folie, quelle stupidité. Mais surtout, surtout, une horreur humaine… combien de millier de morts, pour construire ces stades, pour au final quoi, amuser la galerie 2 mois… et tout le monde s’en fout. La caricature même de ce que l’homme est capable de porter en lui comme saloperie extrême! Le seul sens de cet évènement, on le sait tous, c’est le pognon. Il est plus fort que tout… business is business… le reste… J’ai pris ma décision! Je ne regarderai pas! Arfff je sais bien qu’ils s’en foutent et que ma petite personne ne changera pas la face du monde. Mais moi personnellement, je n’ai juste pas envie de participer à cette grande mascarade. Et faire gagner de l’argent à ceux qui ferment les yeux et se cachent derrière leur petit doigt en disant c’est pas de notre ressort on peut rien faire… Etats, fédérations, diffuseurs, annonceurs etc etc. Si tu peux faire, il suffit juste de prendre une décision simple. Dire nous on joue pas, dire nous on diffuse pas, nous on fait pas de pub etc etc. C’est tout à fait faisable. Parfois dans la vie, il faut prendre des décisions, même si ça nous coûte. Mais tous ces gens là ne l’ont pas prise… encore une fois, le pognon est plus fort que tout. Donc moi je ne participerai pas à ça! Que la France gagne, perde, rien à carrer! Dans la vie, il y à des choses bien plus importantes que le foot! A la place, je me referai tous les épisodes de colombo, ça fait longtemps que je les ai pas vus. En espérant que ça fasse réfléchir tous mes amis fouteux comme moi😉 Moins de téléspectateurs, moins de pognon qui rentre dans leurs poches, aussi bête que ça… « Le Qatar, ce n'est pas le pays du football. Je ne suis pas contre l'idée d'organiser une Coupe du monde dans un pays où il est possible de développer et de promouvoir le football, comme en Afrique du Sud ou aux États-Unis dans les années 1990. » « Ce n'est qu'une question d'argent et la façon dont ils ont traité les gens qui ont construit les stades est horrible. Et des milliers de personnes sont mortes. Et pourtant, nous allons fêter cette Coupe du monde. Pour être honnête, je ne me soucie pas vraiment de la prochaine Coupe du monde, qui n’en est pas une, selon moi » Eric Cantona
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artdesannonces · 1 year
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Comme quoi une cotation d’artiste est importante pour les assurances, lorsque l’on n’expose pas dans les galeries de grande renommée ou que l’on ne s’appelle pas Jeff Koons ;-))
Un visiteur brise la sculpture emblématique de Balloon Dog de Jeff Koons à Miami
"S'il vous plaît, ne touchez pas l'œuvre d'art".
De temps en temps, on nous rappelle pourquoi ces panneaux sont toujours nécessaires dans les galeries et les salons du monde entier.
Les amateurs d'art à Miami étaient témoins avec horreur jeudi soir, lorsqu'une collectionneuse a accidentellement fait tomber au sol une sculpture de 42 000 $ (39 300 €) de l'artiste américain Jeff Koons.
Elle l'avait tapoté avec son doigt, ont déclaré des témoins lors de l'événement.
La statue - l'un des ballons pour chiens emblématiques de Koons - s'est brisée en minuscules morceaux et a dû être balayée par le personnel de la galerie.
L'accident s'est produit lors de la soirée d'ouverture, exclusivement réservée aux VIP, d'Art Wynwood, une foire d'art contemporain qui se tient chaque année à Miami, en Floride.
L'artiste local Stephen Gamson a déclaré au Miami Herald qu'il admirait la sculpture, lorsqu'une "femme plus âgée" l'a tapotée, la faisant tomber de son socle.
Au début, il s'est demandé si cela faisait partie d'une pièce de performance, mais s'est vite rendu compte qu'il s'agissait d'un accident.
"Quand cette œuvre est tombée au sol, c'était comme si un accident de voiture attirait une foule immense sur l'autoroute", a déclaré M. Gamson au journal.
Heureusement pour la femme, la pièce est couverte par une assurance, précise Bénédicte Caluch, conseillère en art aux galeries Bel-Air Fine Art qui présentait la sculpture.
Elle a ajouté que la femme qui a causé les dégâts et qui est restée anonyme était une collectionneuse d'art.
"La vie s'est arrêtée pendant 15 minutes avec tout le monde autour", a déclaré Cédric Boero, qui travaille également pour les galeries Bel-Air Fine Art, au New York Times.
La sculpture faisait partie d'une édition limitée qui est passée de 799 à 798.
"C'est une bonne chose pour les collectionneurs", a déclaré M. Boero au Times en riant.
Bien qu'elle ait été brisée en milliers de morceaux, il y a toujours intérêt à acheter la sculpture détruite.
M. Gamson a proposé de l'acheter sur-le-champ, car, comme il l'a dit sur son compte Instagram, "elle a maintenant une histoire vraiment cool".
Jeff Koons, 68 ans, n'a fait aucun commentaire sur l'incident. Sa gamme de sculptures Balloon Dog compte parmi les œuvres les plus emblématiques de l'art contemporain et s'est vendue pour des dizaines de millions de dollars.
Certaines sont énormes - jusqu'à 3 m - mais ce malheureux n'était qu'un chiot, mesurant 40 cm de haut.
En 2019, Koons est entré dans l'histoire lorsque sa sculpture de lapin s'est vendue aux enchères pour 91,1 millions de dollars (81 millions d’euros à l’époque) – le prix de vente le plus élevé jamais enregistré pour un artiste vivant.
D’après un article de la BBC
Illustration : Crédit Photo Stephen Gamson
#artdesannonces#academienationaledartcontemporain
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fred-the-curator · 4 days
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Découverte de 'Tales of The Walking Dead': Un Nouveau Chapitre Captivant pour les Fans
Découverte de 'Tales of The Walking Dead': Un Nouveau Chapitre Captivant pour les Fans   Admettons-le, je suis un fan de l'univers de Robert Kirkman, Tony Moore et Charlie Adlard. Depuis les premiers tomes des célèbres comics jusqu'à la onzième et dernière saison de The Walking Dead sur AMC, j'ai suivi chaque pas, chaque souffle haletant de cet univers fascinant. C'est donc avec un certain plaisir que j'ai replongé dans Tales of The Walking Dead, le nouveau spin-off diffusé en 2023 sur OCS. Une anthologie qui explore de nouveaux horizons Tales of The Walking Dead se distingue par sa structure anthologique, où chaque épisode est une entité propre, explorant de nouveaux horizons avec de nouveaux personnages.  Après les spin-offs Fear The Walking Dead et World Beyond, cette nouvelle série apporte un vent de fraîcheur bienvenu. En se libérant de la continuité des autres séries, Tales of The Walking Dead peut se permettre plus de créativité et de prise de risques dans ses intrigues.  Des épisodes de qualité variable mais intrigants Le premier épisode, avec Terry Crews de Brooklyn Nine-Nine en survivaliste qui quitte sa zone de confort pour affronter le monde devenu un véritable Zombie Land, pose le décor.  Il est suivi d'un épisode qui mélange science-fiction et horreur, rappelant à la fois Un Jour Sans Fin et Destination Finale, au cœur des premiers jours de l'épidémie.  Le troisième épisode plonge dans les traumas psychologiques neuf ans après le début de la crise, tandis que le quatrième interroge : entre les morts-vivants et ceux qui survivent, qui sont les vrais "morts à l'intérieur"? Chaque histoire, bien que de qualité variable, est suffisamment intrigante pour me garder en haleine, curieux de découvrir quel nouveau pan de cet univers sera exploré ensuite. Un casting de qualité pour incarner de nouveaux personnages Pour incarner cette galerie de nouveaux personnages, Tales of The Walking Dead peut compter sur un casting de qualité. Si aucune grande star ne figure au générique, on retrouve des acteurs solides comme Olivia Munn (X-Men Apocalypse), Terry Crews (Brooklyn Nine-Nine) ou Parker Posey (Lost in Space). Chaque épisode prenant le temps de développer ses protagonistes, les acteurs ont de la matière pour livrer des prestations convaincantes. On s'attache rapidement à ces personnages de passage, même si on sait qu'on ne les reverra probablement pas. Mon Verdict Personnel Tales of The Walking Dead ne révolutionne certes pas la franchise, mais enrichit l'univers de manière significative. Le format anthologique, bien qu'il puisse dissuader certains, offre une liberté de création qui renouvelle agréablement l'expérience Walking Dead. Pour tout fan en quête de nouvelles perspectives sur cet univers, ce spin-off est un passage obligé. En conclusion, alors que je continue de naviguer à travers les divers récits de cette première saison, je suis convaincu que chaque épisode de Tales of The Walking Dead est une pièce essentielle de ce vaste puzzle dystopique. C'est un spectacle à ne pas manquer pour les amateurs de récits post-apocalyptiques cherchant à s'évader dans un monde à la fois terrible et captivant. via Blogger https://ift.tt/ybYthEV April 25, 2024 at 09:00AM
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12 mars 2023
parfois je ne sais pas quoi dire je ne sais pas ce que je ressens je n’ai plus besoin de pansement mais mon cerveau court hors de mes jambes mes mains se sont envolés je ne peux plus l’attrapper
j’ai besoin d’image de voyage pour me projeter pour m’assurer de continuer dans le présent violent le futur me rassure avec des peut être le passé m’effraie avec des pourquoi donc je prend le temps consciemment et je l’aplatis pour en faire une boule mais j’oublie trop souvent que je me crayonne je me chiffonne tout doucement car ce n’est pas le temps qui me presse c’est la faute à cette autre moi en détresse
des ongles et un ordinateur une lumière blanchâtre sur mon visage quand je monte trop dans les airs je dois me rappeler de ce que je vois ce que je touche ce que je couche la texture du drap sur mes genoux la sensation métallique du pourtour du clavier réchauffé par la chaleur de ma paume le sang ne circule pas bien dans mes mollets et plus particulièrement le droit cependant pas d’angoisse rien qui ne me chiffonne la gorge mon corps s’alarme étrange les pensées s’entremêlent dans un tourbillon d’eau je pense à une piscine j’aime bien regarder le mouvement de l’eau et les jets toutes formes de jets mais aussi les vagues surtout les vagues
je déteste cette idée de choisir de plus de mieux de préféré de comparer ça n’a aucun sens les comparaisons car dans l’absolu absolument rien n’est comparable c’est un contre sens absolu j’aime le mot absolu et l’image qu’il me renvoie dans la tête un ciel avec jésus et des bougies un peu comme dans la galerie à Florence ou des entrelacements de lumières partout de toute les couleurs 
j’adore dire je ne sais pas alors qu’il y a des choses que je sais mais qui ne concerne que moi
j’adore parler mais j’ai horreur de poser des mots sur des sentiments d��crire précisément une situation car je sais que ce sont les ressentis d’un moment et projeter en l’autre ce qu’il projettera et que je garderais en secret une identité plaqué au front par mégarde hasard inconscience de soi mais la connaissance de soi aussi c’est totalement invraisemblable ce terme, on peut la chercher toute sa vie qu’on la cherchera encore puisque c’est le concept même alors j’arrête avec les mots il n’y a plus rien a dire tout à faire à voir mais plus à dire, non, penser peut être et encore, pas trop, uniquement pour l’essentiel, d’ailleurs il faut cadrer cet essentiel le faire rentrer dans un dessin comme ceux que je colorier mal enfant, je dépassais je débordais
il faut faire un truc mais pas trop en faire non plus et puis ça devrait aller
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JEUDI 18 MAI 2023 (Billet 1 / 3)
« JEANNE DU BARRY » (1h 56min)
Un film de Maïwenn, avec Maïwenn, Johnny Depp, Benjamin Lavernhe, Pierre Richard…
Comme annoncé dans notre dernière Newsletter, nous y sommes allés hier à 14h, jour de sa sortie en salle, influencés par l’article d’Eric Neuhof dans le Figaro.
Mais après avoir vu le film et lu toutes le critiques « Pro » (qui sont loin d’être unanimes, dans un sens ou dans un autre) et celles des spectateurs (idem), c’est finalement celle de l’Obs qui se rapprochait le plus de ce qu’on en a pensé et nous n’avons presque rien à rajouter.
Peut-être, pour les amoureux de Versailles, dire qu’il y a des plans sublimes du château, les cadrages, les décors et les costumes sont exceptionnels, Maïwen incarnant la Comtesse est très bien, Johnny Depp, litote : « on l’a connu mieux dans d’autres rôles »… mais Benjamin Lavernhe est exceptionnel et nous avons bien apprécié certaines caricatures, très drôles, les filles du Roi, entre autres. Dommage que les colombes blanches de la bande-annonce lorsque Jeanne fait son entrée à la Cour aient disparu dans le film.
Marina a donné au film ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point de plus parce qu’il fait partie de ceux qui sont amoureux de Versailles et qu’il trouve que c’est le plus beau château du monde !).
Maintenant, c’est à vous de voir… ou pas.
Une chose est sûre, les positions de Maïwen sur certains sujets de société sont clivantes, le féminisme par exemple… ou plutôt son anti-féminisme (principalement ses excès), le fait qu’elle ait tiré les cheveux d’un journaliste de Gauche de renom (que personnellement nous détestons) dans un grand restaurant parce qu’il avait écrit des horreurs sur le premier amour de sa vie (Luc Besson) et père de son premier enfant (nous, on trouve ça très gonflé, très romantique)… bref, après l’avoir eue, « elle n’a plus la carte » comme on dit. Cela vous amusera, en lisant les critiques « Pro », à part l’Obs, de constater que tous ceux qui l’ont descendue sont des journalistes de Gauche.
CE QUI EST NUL ! Comme si le talent pouvait avoir une couleur politique !
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Même le château de Versailles, ce vieux beau, retrouve, à la voir, une nouvelle jeunesse. Elle le charme, l’encanaille, l’oblige à l’audace et à bouleverser le protocole. Il cède. Elle, c’est Maïwenn, l’actrice-réalisatrice de « Polisse », qui passe ainsi des bureaux de la brigade de protection des mineurs, où officiait Joey Starr, à la Galerie des Glaces et au parc à la française, où officiait André Le Nôtre. Elle, c’est la courtisane qu’elle incarne, Jeanne Vaubernier, de son vrai nom Jeanne Bécu, une « fille des rues » que le comte du Barry (Melvil Poupaud) épouse pour mieux l’offrir, par l’entremise du duc de Richelieu (Pierre Richard), au roi Louis XV, ce lovelace blasé. Et voici qu’il se ressaisit, s’éprend de la belle et en fait sa favorite, au grand dam de la cour, scandalisée, de ses trois furies de filles, et de la dauphine de France, Marie-Antoinette d’Autriche, toutes choquées de voir une « moins que rien », une opportuniste, succéder à Madame de Pompadour. On connaît l’Histoire. Maïwenn, dont on sent bien qu’elle s’identifie à cette transfuge de classe de l’Ancien Régime, la restitue en grâce et… majesté. Elle filme Versailles, ses ors, ses lustres, ses perspectives au cordeau, avec des yeux de midinette émerveillée, mais sans jamais chercher à moderniser ce conte de fées, qui se terminera mal.
Si elle a découvert Jeanne du Barry sous les traits d’Asia Argento dans le « Marie-Antoinette » de Sofia Coppola, Maïwenn ne glisse dans ses plans ni Converse ni macarons Ladurée. Il lui suffit, sans renier ses origines, d’être téméraire et amoureuse, de croire les sentiments plus forts que l’étiquette, de se moquer du qu’en-dira-t-on, pour montrer combien ce destin d’autrefois a des accents d’aujourd’hui. Farouche devant la caméra, respectueuse derrière, Maïwenn signe un portrait royal de la maîtresse royale. On guettait évidemment Johnny Depp, ce pirate des Caraïbes, dans les habits dorés de Louis XV : marmoréen et silencieux, il fait le job. Mais c’est son premier valet de chambre et rabatteur délicat qui emporte ici le morceau : dans le rôle de La Borde, Benjamin Lavernhe est exceptionnel. A la fois intraitable, impénétrable et attendrissant, il initie Jeanne du Barry au protocole de la cour et la protège des avanies dont elle est la victime. On dirait parfois que, dans les coulisses, il conduit le film jusqu’à son épilogue dramatique. Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles.
Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme !
(Source : « Jérôme Garcin, critique cinéma à l’Obs »)
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loomoffateleprojet · 1 year
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Delacour
SANS TITRES SANG PUR / ORDRE DU TEMPLE
Le calme et la volupté des Delacour est connue de tous. Famille jadis noble, la Révolution française les prive de leur titre mais cela leur est bien égal. Riches comme crésus, ils bénéficient d'un héritage des plus conséquent, on trouve difficilement plus riche qu'un Delacour. Sang pur, ils se fichent bien de la nature de leur sang et si un Delacour venait à mêler son sang avec moldu ou créature magique comme des vélanes, cela leur serait égal. Ils œuvrent pour la charité et les bonnes œuvres. Derby caritatif, exposition d'artistes, vente aux enchères au profit des sorciers dans le besoin, ils sont sur tous les fronts. La famille Delacour possède plusieurs commerces, et possède surtout une fondation. Mais le fleuron de leur propriété est une galerie d'art en plein cœur de Paris, ils s'évertuent à découvrir des artistes sur tous les continents. Véritables mécènes des arts, ils sont depuis des générations à la direction de l'Opéra Ensorcelé, l'institution magique et musicale la plus renommée d'Europe. Le père de Théophile et  Paul était un compositeur de renom qui a fait sa renommée à l’Opéra, mais la réalité est qu’il a volé les œuvres d’Henri  Deveraux, et a bâti sa renommée artistique sur un mensonge. Chez les Delacour, c’est un sujet tabou mais un secret qu’ils emporteront dans leur tombe. Bien que charitable, ils sont prêts à tout pour conserver leurs acquis. Admirateur de la République, la famille Delacour est Templière depuis la fondation de l'Ordre, et font partie de l'aile la plus pacifiste, ils ne voient pas dans le conflit quelque chose de profitable pour qui que ce soit. Ils sont respectueux des autres nobles, et aussi de la famille royale avec qui ils œuvrent dès qu'ils le peuvent. Leur complaisance avec la royauté est parfois mal perçue par les alliés de l'ordre du Temple. Le récent avènement de Grindelwald en Europe les inquiète au plus haut point et ils voient en son émergence un véritable danger pour le secret magique et la liberté de tout sorcier. La famille Delacour a été victime d’un drame durant les attentats perpétrés en 1917 contre la famille royale lors d’un événement public, le fils aîné de Paul et Lidia a été l’une des victimes collatérale de cette horreur. Cela a profondément marqué la famille, qui très unie a perdu un peu de son éclat. Ils s'efforcent de maintenir une unité et une jovialité sans pareil.
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albert-prous · 1 year
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E2463(4)
comment s’appellent la bête à deux têtes une rouge une grise aux pieds d'argile dix bras 3 nageoires 6 ailes latérales cœur de pierre ponce sorte de morue à barbe nain de cirque l'homme qui tua mille bisons boite magique galerie des glaces déformantes la dernière pièce la caverne sésame ouvre toi entrez les petits tenez vous par la main voyez les épaisseur 250 mm main courante en kit 69 € tubage flexible double peau 19,79 € précipité caillebotté blanchâtre peint sur les murs parmi les cervidés lions gazelle aurochs charbon de bois quelle est la différence entre la sidérurgie et la métallurgie c'est quoi une usine métallurgique fleur de soufre quelle forme quelle odeur rose des sables quelle parenté cubes bois exotique puzzle inconnu à construire graines dans la jardinière quelle est la différence entre c'est quoi une u comment se nomme qu'est-ce qu'un quels sont les avantages quels sont les métiers comment s'appelle comment Appelle-t-on un quand a été construite qui sont les premiers peuples quels sont les principaux quel est le procédé d'extraction comment transformer quelles sont les différentes coucou les minots moi votre maîtresse vous parlez à l'arc boutant à l'ancienne unité de volume sec écoutez ce silence communément appelé absence des clous entrée interdite aux plus de 7 ans trop tard pour les parents le spectacle commence applaudissez gamins pubères criez l'union des amours des sans nom oh mes sœurs entrez tous dans le kaléidoscope géant et faite tourner le tube attention de pas glisser en courant horreur sang et fantaisies changez de sens horizon radieux lits superposés mille vierges attendant leurs martyrs pas rigolo du tout sales morveux pour qui cette danse du ventre fesses laiton balancier cuivre tic tac métronome en ligne gamin sympa remonte la clé tu as droit à un tour gratuit juste un doigt sur mon téton appelle moi shérazade plus on est toutes des shérazade moitié pierre ponce moitié tube inox moitié eucalyptus moitié lac profond remous moitié savonnette moitié tilleul musical rayé moitié poux tic tac que le temps passe vite tic tac appelle moi désir mes enfants c'est fini dites au revoir donnez un dessin à la bouffie désigne le hareng présenté entier légèrement fumé et salé
prous 06 22
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yes-bernie-stuff · 1 year
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Un temps pour être pardonné !
Un temps pour être pardonné !
04/11/2022
“Un temps pour déchirer et un temps pour coudre…” Ec 3. 7
Il était de coutume, aux temps bibliques de déchirer ses vêtements pour exprimer soit sa détresse ou son indignation, soit au contraire sa volonté de faire preuve de repentance. Par exemple quand Ruben revint pour libérer Joseph de son trou où peu avant ses frères l’avaient jeté, il découvrit avec effroi que son petit frère avait disparu. Il déchira ses vêtements (Gn 37. 29). Des années plus tard, alors que Joseph règne sur les destinées de l’Egypte, ses frères, venus y acheter des denrées, découvrent dans le sac de Benjamin la coupe que le maître de l’Egypte est censé utiliser pour prédire l’avenir. Terrifiés par cette découverte, ils déchirent leurs vêtements (Gn 44. 13). De nombreuses personnes dans l’ancien Testament déchirèrent leurs vêtements, saupoudrant souvent aussi leur tête de cendres, pour exprimer leur horreur devant tel ou tel évènement. David ordonna à ses soldats de déchirer leurs vêtements à l’annonce de la mort violente de Saül et de ses fils (2 S 1. 1-11). Les “robes”, en ce temps-là étaient de grande valeur et les déchirer était un acte de contrition remarqué. Notez que les soldats qui se partagèrent les vêtements de Jésus préfèrent jouer aux dés Sa robe plutôt que de l’endommager. Malheureusement un tel acte de contrition et de remords pouvait être hypocrite. Dieu, qui regarde au cœur, préfère une repentance intérieure plutôt qu’un acte fait “pour la galerie” ! Ecoutez ce que le prophète Joël écrit : “Revenez à Moi de tout votre cœur avec des jeûnes, des pleurs, des lamentations. Déchirez vos cœurs, non vos vêtements et revenez au Seigneur, votre Dieu : Il est bienveillant et miséricordieux, lent à la colère et plein d’une bonté fidèle” (Jl 2. 12- 13). Comme Joël, nous savons que le pardon divin peut tout “raccommoder”, même les cœurs les plus déchirés !
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mangacultes80 · 2 years
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Set: Dante, Seigneur des démons
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Noms: Dante, Seigneur des démons
Type du Set: Série
NB De Fichiers: 13 Fichers Winrar
Taille du Fichiers : 866 Mo
NB Images: 5.584 Imgs
Taille des Images: 1600x1200
Genre: Action - Horreur / Épouvante - Shônen - Surnaturel
Date de Publication : 25.03.2022
Ages: + 12 Pour public averti : Oui (violence)
Liens des Téléchargement du Set Images : "Dante, Seigneur des démons"
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Une nuit, Ryo Utsugi fait un cauchemar où des monstres l'attaque. Le jour suivant, il apprend qu'un pouvoir mystérieux lui fait entendre des voix et lui donne des visions de filles tuées, la nuit suivante, il entend la même voix.
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frenchiesimgirl · 3 years
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Transformez une maison moderne en maison gothique!
Lorsque Lavinia Addams a reçu l’appel d’un notaire l’informant qu’elle héritait d’un bien immobilier, elle s'est dit qu’elle allait enfin pouvoir quitter sa vieille mère. Mais une fois arrivée sur place, Lavinia a bien vite déchanté:  cette maison est... affreuse! Moderne, lumineuse, avec un intérieur coloré et... trop propre! Tout ce que Lavinia déteste!
Pouvez-vous l’aider à transformer cette maison dans le plus pur style Famille Addams?
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Vous trouverez la maison à rénover sur la galerie. ID: FrenchieSimGirl. #frenchielloweenchallenge
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Seulement quelques règles pour ce challenge de construction:
- Terrain 30x20 impérativement.
- Vous ne pouvez pas bouger ou casser les murs extérieurs (en rouge ci-dessous), ni rajouter de pièces (terrasses, balcons, tonnelles etc. ne sont pas comptés comme pièces). Les terrasses peuvent être supprimées ou modifiées. Tout le reste est libre!
- Vous devez respecter le budget de Lavinia: 45 000 Simflouz, prix du terrain compris. Lavinia est sur la galerie, ID: FrenchieSimGirl.
- Vous devez prendre en compte les exigences de Lavinia, et le style bien particulier sa famille :)
- Pas de CC. Tous les packs sont autorisés (personnellement j’ai tous les packs et kits, du coup si vous ne les avez pas il vous manquera des objets. Ce n’est pas très grave pour ce challenge vu qu’on change complètement le style du mobilier).  
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Vous l’aurez compris, Lavinia déteste à peu près tout dans cette maison moderne! Trop clair et coloré, trop propre, un jardin verdoyant plein de fleurs... quelle horreur!  Lavinia est une vraie Addams et veut une demeure digne de son illustre famille, mais ne veut pas rogner sur son confort non plus. Il lui faut obligatoirement:
- Une cuisine fonctionnelle avec un coin repas
- Une chambre avec lit double
- Une salle de bain, évidemment
- Un coin créativité pour jouer du violon et peindre
- Un coin détente avec une bibliothèque
- PAS de télévision
- Une cheminée ou un poêle
En option, elle aimerait aussi:
- Une petite chambre pour un futur enfant
- Une tonnelle dans le jardin où pratiquer le spiritisme Amusez-vous bien! N’hésitez pas à me taguer si vous postez vos rénovations, et utilisez #frenchielloweenchallenge que je puisse retrouver vos créations! ......................................................................................................................
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mmepastel · 3 years
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https://youtu.be/z3H5DCU1ChU
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Ça y est (pssit @griffes ), nous avons dévoré les trois saisons de Mum.
C’est acide, cruel, drôle et tendre.
Au début je riais nerveusement face à la galerie d’abrutis qui malmenait la douce et patiente Cathy, je n’avais qu’une envie, qu’elle les renvoie dans les cordes... puis je me suis accoutumée, et j’ai vu paraître en filigrane, leurs détresses, leurs complexes, et je les ai pardonnés, ce que Cathy avait déjà fait. C’est un personnage d’une grande sagesse, qui force l’admiration.
Leslie Manville interprète cette maman malmenée par la vie (elle est tout juste veuve) et par ses proches (qui sont plus qu’envahissantes) et depuis Another day, de Mike Leigh (film que j’ai a-do-ré et qui m’a énormément marquée), je l’ai remarquée et admirée. Elle joue toujours avec une justesse infinie.
Par petites touches, le portrait collectif se construit, et on fond pour Peter Mullan en amoureux transi qui endure moqueries et rôle éventuel de paillasson, on serre les dents pour Derek, tyrannisé par Pauline (terriblement insatisfaite et affreusement snob), on se laisse attendrir par Kelly, un peu niaise mais en demande poignante d’amour. Et même le couple âgé (les parents du défunt mari) finit par attendrir avec son amour vache (Reg dit des horreurs à sa femme tout en lui mettant des coussins sous le pied) et sa panique face à un monde pour lequel ils ne se sentent plus très adaptés.
Celui finalement que j’ai le plus longuement eu envie de gifler, c’est Jason, le fils, qui se balade en slip toute la journée en bouffant des trucs, et qui ne brille pas vraiment par son intelligence. Bien sûr on comprend sa difficulté d’accepter que sa mère fasse le deuil de son père auprès d’un autre homme, mais bon dieu, qu’il est lent à grandir !
À l’arrivée, beaucoup plus d’émotion que prévu tant je trouvais les caractères outrés. Finalement, la caricature n’empêche pas l’émotion, grâce à une narration rythmée et subtile, un jeu d’acteurs assez incroyable, et une réelle vision bienveillante et pourtant fine de la nature humaine.
Ils sont forts ces anglais.
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angemorose · 3 years
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coucou ! si tu cherches une modèle pas trop connue (un peu) mais pas trop joué je crois, je peux te proposer en suggestion margaret qualley ! imgbox(.)com/g/q03oXgvPEx la galerie est toute petite mais si elle t'inspire, libre à toi de prendre les shoots que tu veux ! au passage j'en profite pour te dire que j'aime beaucoup ce que tu fais, ton évolution dans ton graff est fou, c'est de plus en plus sublime :)
Hello! Merci pour ton gentil message, ça fait plaisir! ❤️ Ce n’était pas prévu à la base, mais je suis parti sur une thématique horreur pour cette fournée, probablement parce que, well, Halloween approche à grands pas. 👀
Je me suis éclaté à les faire, mais n’hésite pas à repasser si tu préférerais des avatars on va dire plus traditionnels, je comprendrais que passé le 31 octobre, ce soit un peu bizarre mdrrrr.
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aforcedelire · 3 years
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Beloved, Toni Morrison
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« Le 124 était habité de malveillance. Imprégné de la malédiction d’un bébé. Les femmes de la maison le savaient et les enfants aussi. »
Beloved, c’est un roman pour lequel Toni Morrison a reçu le Pulitzer en 1988. Beloved, c’est l’histoire de Sethe, ancienne esclave noire qui s’est enfuie de la plantation. On est dans les années 1850, et les esclavagistes Blancs ont le droit de venir récupérer de force celles et ceux qui réussissent le tour de force de s’enfuir. Alors ils viennent chercher Sethe et ses enfants. Mais pour éviter l’asservissement à sa petite fille, Sethe préfère lui trancher la gorge. Depuis, la maison est hantée par le fantôme de la petite Beloved. Et un jour, alors que Sethe est avec son autre fille Denver, une jeune fille apparaît sur le seuil de la porte, et dit s’appeler Beloved. En plus de cette histoire, Toni Morrison nous raconte celle d’autres personnages — toute une galerie, en fait. On fait la connaissance de Baby Suggs, belle-mère de Sethe, de Paul D, ancien esclave, de Payé Acquitté, ancien esclave lui aussi qui aidait les fugitifs. On alterne entre les temporalités et les points de vue, on découvre avec horreur les sévices subis par les personnes de couleur, les châtiments physiques, les violences, les viols, le racisme... C’est cru, c’est explicite, Toni Morrison ne mâche pas ses mots. À tout cela vient s’ajouter un certain lyrisme, et un soupçon de réalisme magique. Beloved, c’est surtout un roman sur les fantômes, ce qui hante, sur ce passé et les millions de victimes de l’esclavage.
Pour tout avouer, j’ai adoré cette lecture, je l’ai dévorée, mais je ne suis pas sûre d’avoir tout compris. C’est un grand roman, un monument de la littérature américaine, et je pense que c’est une histoire qui ne se révèle pas entièrement immédiatement à la première lecture. Petit avertissement s’il t’intéresse, l’alternance des temporalités (souvent plusieurs dans un seul chapitre) m’ont parfois perdue ! Mais si Beloved te fait de l’œil, je ne peux que te le recommander.
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Friday 29 May 1829
6 35/60
11
Tho I had done the copy of a note to Miss Hobart last night not satisfied with it made considerable alterations all which and writing the note and dressing took me till ten and ten minutes 
Breakfast at 10 10/60 and at that hour sent off George with note to ‘Miss Hobart’ 2pp. 1/2 sheet note ‘Dear Miss Hobart if there be no letter for me, and you have one, do tell me your news – ‘you had a fine day yesterday for Vesailles, and I hope it sent away the gruffness in your throat – when I mentioned Friday (today) for the jardin du roi, it did not, at the moment, occur to me, it was a public day – the 3 private days are Monday Thursday and Saturday M. Desfontaines, who is the present director général is always engaged on Monday, but will accompany us at any hour on any Thursday or Saturday through the serres which, being under his immediate superintendence, he is the very person to shew – as for the galerie d’histoire naturelle, the hours are from 11 to 3, but supposing us to be there before 3, it would be kept open for us till 4 – M. Cuvier’s department is the comparative anatomy – I know he has no time to spare but on Sundays, and, even then, his shewing the lions of the gallery would be a favour; and sunday is the worst of public days – M. Desfontaines will take care to have someone ready to shew us everything that is most interesting; and in this case, we shall not want M. de Noé – abridgement which is a capital book of the kind, turning to Mozerai when you wish to be more largely informed upon any particular subject? But except the reign of Charlemagne, and perhaps, that of his father Pepin, Lord Mansfield would have said, you need not trouble yourself to go beyond Henault till you come to the reign of Louis II, in 1461. Have you read Sully’s memoirs? there is a nice little work on universal history by Zoph, published here some time ago, that you might like – very truly yours AL – 
It seems from your note, Lady Stuart de R- Rothesay will go – if she would like to have Cuvier in the museum, he will, of course, do anything he can for madame l’ambassadrice’ – George brought a kind little note from Miss Hobart in answer to the above and a letter 1/2 sheet from Miss Maclean dated ‘Richmond hill May 24’ from her friends the ‘Skinners’ ‘ I have not time nor strength at present to say much to assure your affectionate heart that I am better daily – since I came here - you will have been in despair at the idea of my having taken possession of Mr Long’s bedroom ‘the Crosbies did not go – this deranged all, and she went to the Skinners’ – much too weak to go to Hampshire now – will go the moment she gains strength ‘have sent for jessy as I can do nothing for myself and am going to take a lodging at the top of Hampstead – for fresh air – I am now eating plentifully, my cough and expectoration better’ –
She received my letter by the post, but not the one I sent the day before by the ambassador’s bag – Miss Hobart writes ‘you will see how it is. Sibbella writes to me rather a favourable account of her progress though I see she has thought herself dying, poor darling – I trust she may yet be spared to us’ – thanks for the trouble I have taken about the history of France and the jardin du roi – old Lady Stuart to sail from London on Sunday and expected here on Thursday so will put off going to the jardin till she can go with them ‘I am sorry she cannot have a letter from me, for I would insist on her insisting on Sibbella going to the Lodge, I am sure she would be comfortable there and at much less expense but I must wait now till I see aunt Stuart …… 
Ever yours in fact a friendly note I think she likes me. I cannot quite make out the depth of her feeling for Miss Maclean, she does not write or seem as if it would break her heart if anything happened to Miss Maclean. Somehow I think Miss Hobart rather flippant but perhaps she likes me I was saying on Monday ‘oh I did not mean that’ she answered you looked as if you did and you never look without meaning something. She took my arm a little on Monday she always declined it before and I made her lean as heavily as she could yet still if I could have her she would not suit me could not introduce me? has not money enough – 
Letter 3pp. and part of one end from M- [Mariana] (Lawton) dated May 11, 15 and 22 – very good accounts of Mr Charles Lawton. It seems Lord Crewe was buried on Friday the 8th instant his left £25000 to each of his grand daughters and £7000 a year to his grandson, Hungerford Crewe, on attaining the age of 24 – the income in the mean while to pay off a mortgage – nothing left to the son general Crewe but the person who lent him money being a defaulter to government, government takes possession of Crewe hall etc. the plate furniture and linen left as it stands for the use of the occupant of the house which may perhaps secure a good tenant – Mr Kennersley married Tuesday 19th instant to a niece of lady Warburtons – the sisters of Mr Kinnersley to remain with them – shall Mariana call or not? optional – Do as the wilbrahams have done? – 
Took George and off in a fiacre at 11 1/4 – got to the jardin du roi in 1/2 hour – the lecture began exactly at 12 and lasted exactly an hour – chiefly insisted upon the difference between mammifères and birds consisting in the difference of their circulation of blood – vide Règne animal (Paris 1817) volume 1 page 288 and 291 the systems being different according to the different media to be breathed air or water – should have been home in an hour, but turned along the rue de Suresne etc. looking for apartments and did not get home till 4 – no. 23 bis rue de suresne at 1600 per annum a nice little 2nde but without coach house and stable – the furnished apartment recommended by Mrs Barlow, 22 rue d’aguesseau, could not see again at the moment a small carrelé apartment au 2nde 45 rue d’anjou might suit such a person as Mrs McK- the salon looking onto a pretty little garden – might be 3 bedrooms, and might be very snug – b[u]t a premier 24 steps high rue neuve des Mathurins 41 looking int[o] a handsome court with good air and the Madeleine church at a little distance at the back, coach house and stable 3 bedrooms and a room for [?] and kitchen on the same floor at 2200 francs a year including all expenses of taxes porter and eclairage paid by the proprietor (and might get it perhaps for less, for 2000/.) seemed the very thing to suit us – but the house new (they said 6 years old) and little doors – had seen several other apartments not worth notice – 
Mrs Barlow came soon after I got home and stayed a couple of hours, till after 6 at which hour dinner came to my room at 8 – wrote out journal of yesterday all but 1/2 hours writing done after 10 p.m. on coming to my room – coffee at 9 1/4 – Note from Madame de Rosny – ‘je pars ma chère dame dimanche à 8 heures pour le château de mon beau frère il me sera impossible d’aller vous voir je serai dans les horreurs des arrangemens vous la journée toute à vous [Cesse] De Rosny Vendredi soir’ – very fine day –
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fierce-little-miana · 4 years
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Règle : Donnez le titre de vos dix romans préférés ( pas nécessairement dans l’ordre.) Vous pouvez expliquer pourquoi vous les aimez, même si ce n’est pas obligatoire.
Taggée par @queenfredegund, merci et désolée pour le délai.
La trilogie de L’Empire Brisé de Mark Lawrence et plus particulièrement Le Roi Écorché
L’Empire Brisé est la série de fantasy grimdark qui a marché du feu de dieu avec moi et c’est principalement grâce à son protagoniste Jorg Ancrath. Soyons bien clair, Jorg est une ordure, surtout dans le tome 1. Il a fait ou a fait faire toute les horreurs possibles et imaginables (âmes sensibles s’abstenir). Ceci étant dit l’auteur ne l’excuse pas et Jorg devient de plus en plus conscient qu’il y a des choses qui ne vont vraiment pas avec lui. C’est surtout une plutôt bonne analyse de combien des années de trauma ne rendent pas badass mais violent et malheureux. Le monde est aussi original pour un monde de fantasy. Pourquoi Le Roi Écorché ? Parce que c’est un roman de siège et j’adore ça. C’est aussi le tome d’introduction de Miana et celui où Jorg apporte un pistolet à un duel à l’épée…
La Fileuse d’Argent de Naomi Novik (lu en VO)
J’avais déjà beaucoup aimé Déracinée mais La Fileuse d’Argent est pour moi trois tons au-dessus. J’ai beaucoup aimé le mixe d’un setting aux enjeux réalistes mais où le registre du conte n’est pas délaissé pour autant. La focalisation sur les personnages féminins est aussi toujours bienvenue en fantasy. Tous les POV sont bien écrits et bien distincts. J’adore Miryem et son arc de progression m’a beaucoup plus.
Voilà une petite citation pour donner envie : “I wasn't sorry they didn't like me, I wasn't sorry I had been hard on them. I was glad, fiercely glad. They had wanted me to bury my mother and leave my father behind to die alone. They had wanted me to be a beggar in my grandfather's house, and live the rest of my days a quiet mouse in the kitchen. They would have devoured my family and picked their teeth with bones, and never been sorry at all. Better to be turned to ice by the Staryk [...].”
American Gods de Neil Gaiman
Un classique de la fantasy contemporaine. Ce livre a une ambiance particulière entre splendeur et misère qui arrive à la fois à humaniser les dieux et mythes et à les ramener à hauteur d’homme. C’est ingénieux et fascinant. C’est un vrai mythe moderne et Ombre suit un chemin initiatique qui l’amène dans un monde plus grand que l’humanité. À lire.  
La trilogie de La Reine Oubliée de Françoise Chandernagor
Une trilogie (le tome trois sort cette année) sur la fille de Cléopâtre. Je ne suis pas forcément d’accord avec tous les choix de l’auteur mais ça se laisse super bien lire et c’est à mon avis 80% plus respectueux de l’Histoire que l’immense majorité des romans historiques. Ce sont aussi les livres qui m’ont vraiment fait connaitre cette période historique et qui m’ont fait comprendre à quel point toutes ces figures historiques sont fascinantes.
Le Maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov
Satan débarque dans l’URSS stalinien et met un boxon de tous les diables (oh le beau jeu de mot). Le livre est contemporain à l’époque où il a été écrit et c’est un véritable ovni. Terriblement drôle et traitant de thèmes profondément intéressant sur la création et la liberté des artistes. Au milieu de l’absurde du système stalinien un chat démoniaque engage une fusillade avec la police politique et le diable déclare “les manuscrits ne brûlent pas”.      
Nous avons toujours vécu au château de Shirley Jackson et Pique-nique à Hanging Rock de Joan Lindsay
Je les mets ensemble parce que je les aime pour des raisons très semblables. Bien que différents les deux livres ont des ambiances particulières qui sont liés à l’époque où les romans se déroulent et à l’hypocrisie des classes sociales représentées. Les deux romans sont aussi construits autour de mystères obsédants liés à des jeunes filles étranges. Ces mystères sont centraux mais ne sont pas le seul but des deux histoires. En bref il s’agit de deux lectures courtes et obsédantes qui valent le coup d’être lues.  
Autant en Emporte le Vent de Margaret Mitchell
Problématique fave quand tu nous tiens. Autant en Emporte le Vent est un livre bourré de problèmes dans son propos mais dont l’étude de ses persos (blancs) principaux et de la condition féminine (blanche) reste résolument moderne. Scarlett est un personnage principal fascinant et non-fiable et le duo qu’elle forme avec Mélanie et aujourd’hui encore trop rare.  
La maison où je suis mort autrefois de Keigo Higashino
J’aime mes histoires résolument sombres et tordues. C’est le cas de La maison où je suis mort autrefois. Il marche terriblement bien dans les deux catégories. Je ne suis généralement pas fan de policier mais celui-ci avec son pseudo huit-clos et ses secrets de famille est littéralement hanté. En plus l’intrigue est bougrement intelligente avec de très bons rebondissements qu’on ne voit pas venir.
De Bons Présages de Neil Gaiman et Terry Pratchett (lu en vo)
Faut-il encore le présenter ? Je me souviens m’être sérieusement marrée en le lisant tout en étant charmé par l’amour de la vie et du monde qui se dégage de l’histoire et des personnages. En plus se servir de l’apocalypse et de tout son bestiaire pour servir ce genre de propos est exactement mon genre de délire (voir Le Maître et Marguerite).
Battle Royal de Koushun Takami
Alors celui-ci mérite une relecture parce que je l’ai lu il y a plus de 10 ans quand j’étais encore une toute jeune adolescente. Cependant je l’avais adoré à cette époque et je l’avais trouvé beaucoup plus puissant que Hunger Games par exemple. Je pense que c’est grâce à ses très nombreux points de vue qui nous permettent de suivre l’histoire à travers les angoisses, les lâchetés, les instants de bravoure, l’honneur de toute une galerie d’adolescents et pas juste d’un héros qui va forcément gagner ou être un martyr. Le monde est aussi beaucoup plus proche du notre ce qui facilite l’horreur à travers l’identification. Bref un de ces quatre je le relirais et peut être que je me briserais le cœur.
Vu que c’est en Français je ne tagg personne mais si quelqu’un à envie de le faire il ne faut pas hésiter.
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