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#ce sentiment de l'été
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Top 5 First-Time Watches of September 2022 1. Amanda (2018, dir. Mikhaël Hers) 2. Ce Sentiment de l'Été (2015, dir. Mikhaël Hers) 3. Les Passagers de la Nuit (2022, dir. Mikhaël Hers) 4. Les Enfants des Autres (2022, dir. Rebecca Zlotowski) 5. Midsommar (2019, dir. Ari Aster) I haven't seen many films this month but it seems like I've got a new fave director 🤗
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lesuperposeur · 2 years
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ernestinee · 2 months
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Je termine à l'instant "L'été de la sorcière" de Nashiki Kaho.
L'histoire commence par la mort de la grand-mère de Mai. Le livre raconte les souvenirs de Mai, alors qu'elle vivait dans une maison de la campagne japonaise, avec cette mamy, surnommée La sorcière de l'ouest, qui lui montre comment comprendre la nature et écouter les petites voix qui la guident. Mélange de plongée en enfance, développement personnel et acceptation de ce qu'on ne peut comprendre ni maîtriser.
La lecture est fluide, comme souvent lorsque le texte est traduit du japonais. Je suis d'ailleurs tentée de trouver la version originale, pour voir quels mots ont été employés dans les superbes descriptions de paysages et de sensations.
Évidemment avec l'enfance que j'aie eue, je me suis identifiée à Mai à 200%. J'ai gardé certains passages qui m'ont profondément touchée tant j'ai ce sentiment de les avoir vécus moi-même il y a bien longtemps.
La plupart de ces extraits sont des sensations dans des lieux, en particulier ceci :
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Percevoir la volonté d'un lieu, depuis toujours j'ai l'impression de personnifier la nature, parfois me sentir accueillie, parfois me sentir jugée, ou cette sensation d'oppression lorsqu'il neige et que le sol me semble étouffer sous l'épais manteau, j'ai des dizaines d'exemples dans lesquels les lieux me semblent vivants, avec leur propre volonté et leur langage, comme dans cet extrait :
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Et puis l'observation, la fascination pour le brouillard, découvrir son origine, son mouvement, sa sérénité et le confondre lui aussi avec des émotions :
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Et enfin cet extrait qui décrit parfaitement la douleur de l'absence, le creux brûlant de vide et coulant gluant dans tout le corps, en particulier quand des remords viennent s'ajouter à la peine.
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Je sens cette entaille tellement fort, tellement précisément.
Ce livre était trop rapide à lire, j'avais envie de passer davantage de temps avec Mai, la voir grandir et, j'espère, rester proche de la nature et utiliser les savoirs acquis lors des journées passées avec sa grand-mère. J'ai un petit goût de pas assez, de fin trop rapide. Est-ce parce que j'ai apprécié le livre ou est-ce plus objectif que ça ? On va dire que c'est la première option.
⭐⭐⭐⭐⭐
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bibliobouc · 8 months
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"Au fond de chaque mot, j'assiste à une naissance" (hommage paternel)
Signe du destin ou simple coïncidence ? Ce sujet tombe le 25 août. 25 août, jour de l'anniversaire de mon père. Qui plus est, 25 août 2023, date-anniversaire de ses quatre-vingt ans. Anniversaire, un mot qui marque une naissance donc. L'occasion (indirecte je l'avoue mais occasion quand même) de lui rendre un (modeste) hommage.
Hommage à un père qui a consacré sa vie à son travail ... Pour le bien de sa famille .... A l'ancienne. C'est à dire pour que son épouse et ses enfants ne manquent de rien , ne comptant pas ses heures au travail quitte à voir leur jeunesse filer sous ses yeux . L'enfant que j'étais a le souvenir d'un père absent la semaine et présent le temps de quelques heures de partage le dimanche ou durant les seuls congés qu'il s'accordait durant l'été. Alors, sûrement pour contourner son manque d'attention (et pour lui faire plaisir aussi car cela ressemblait à des instants de connivence), j'ai passé de longues heures à l'arrière des voitures durant les leçons de conduite de ses élèves (mon père tenait une auto-école). J'ai appris très tôt à conduire une voiture et partagé avec lui sa seule passion, les courses cyclistes.
Si j'ai eu le confort matériel, je n'ai jamais connu les discussions père-fils, pas d'éducation à proprement parler (le domaine réservé aux mères). Les sentiments ne devaient pas s'afficher, l'éducation sexuelle était tabou, et l’éducation à la culture était signe d’oisiveté. Non, le plus important, de bons résultats à l'école et l'obtention du baccalauréat. Je garde un souvenir ému de la fierté de ce père qui avait un fils diplômé. Lui, qui avait été contraint par son père d'arrêter sa scolarité à seize ans pour le rejoindre à la boutique. Une marque de revanche sur le destin.
Et pourtant, mon père est un homme qui sait montrer sa sensibilité à sa manière. A la naissance de mon fils et de ses preuves d'amour en tant que grand-père (histoire de rattraper le temps perdu) ou à la lecture de ses textes en forme d'hommage lors des anniversaires de famille (tiens, tiens...) . Chaque mot écrit est un clin d’œil à sa jeunesse contrariée, lui le quasi-autodidacte.
Alors aujourd'hui, je lui suis reconnaissant, malgré tout, de l'éducation reçue "à sa façon". On me dit que je lui ressemble, sur beaucoup d'aspects. Et j'en suis fier en quelque sorte. L'acharnement au travail est l'exemple que je n'aurai pas dû suivre mais je lui dois son éternelle bonne humeur et son sourire aux petits bonheurs du quotidien malgré une fin de vie dévouée à ma mère handicapée. Ces quelques mots bafouillés chaque jour depuis le début de ce mois sont une (re)naissance de l'héritage paternel.
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claudehenrion · 11 months
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Faire barrage à Poutine ?
 Je sais ce que quelques belles âmes vont penser du titre de cet ''édito'' : on n'a pas le droit de rire du malheur de nos ''frères humains qui avec nous vivons'' (comme disait presque Villon)... ce qui est vrai, à ceci près que je n'ai pas envie de rire. Mais alors... pas du tout ! Le roman-fleuve (ici : ''un roman-Dniepr'' !) ukrainien-russe commence à m'échauffer les oreilles. Vos mails, amis lecteurs, me confortent dans ce sentiment bien partagé que, quelque part, ''on se fout de nos gueules''.
Vous me répondrez que ''pas plus là que sur tous les autres chapitres de nos existences ballottées aux vents mauvais des caprices de leaders indignes des responsabilités pour lesquelles ils se sont vendus, corps et âme, à des idéologies trompeuses, sans lendemains et sans la plus petite possibilité de ''déboucher sur quelque chose''... Mais tout de même : après quinze mois de conflit réel et de désinformation tout aussi réelle, la seule chose dont nos lamentables généraux en retraite reconvertis en experts de combats qui les dépassent, nous ont convaincus, c'est que les russes sont idiots et que Poutine l'est encore plus (c'est le chef !).
Il est inutile de revenir sur les causes, les responsabilités et les raisons-de-ne-pas-être de la guerre en cours. Qu'elle soit horrible suffit à avoir dit ce qu'il faut en penser. Les uns sont russophiles, les autres russophobes, mais ces positions sont trop fortement ancrées pour que qui que ce soit évolue dans un sens ou dans un autre... Laissons tomber ce sujet : il ne mène à rien. En revanche, il pourrait être intéressant de mesurer la stupidité des russes, en gros et en détails : ça peut aider ceux qui ont du mal à séparer le pourquoi du comment et le quoi du qu'est-ce...).
Commençons par nous étonner de leur propension à faire des trucs qui n'embêtent qu'eux seuls (nous, en revanche, ne décidons que des sanctions qui n'embêtent en rien ceux contre qui elles seraient tournées mais nous em...  à qui mieux-mieux). Par exemple, de même que, depuis des années, ils empoisonnaient les espions planqués à Londres avec des substances ''signées'' et aisément traçables... comme de vrais cons... ils ont fait sauter le pipe line Nord-Stream qui leur laissait le peu d'oxygène qu'on leur laissait –attentat que la CIA attribue aux... américains eux-mêmes... Et un peu plus tard, ils ont envoyé leur propres drones russes (fabriqués en Ukraine, mais c'est hors sujet !) se ridiculiser sur le toit du Kremlin pour faire croire à ou que les ukrainiens leur voulaient du mal –ce qui, Pujadas le confirme ''H24'' sur LFI, n'est pas du tout le cas... Et voilà que, hier, en l'absence de tout préparatif d'une grande contre offensive de Kiev, ils auraient, nous disent nos génies de la désinformation, décidé de faire sauter le barrage qui assure l'eau potable des habitants de Crimée...  inondant au passage les éventuels préparatifs de leurs ennemis, ce qui, d'un point de vue strictement militaire, ne serait pas idiot !
Et il faut dire qu'on ne voit pas l'intérêt des Ukrainiens a faire sauter ce barrage : leur président étant étanche à toute idée ressemblant à de la ''Comm'', ils se préparaient, tranquillos, à une contre-offensive de printemps annoncée de partout, pour ménager un effet de surprise,(mais qui pourrait attendre jusqu'à l'été ou à l'automne, voire plus tard, qu'ils aient assez d'hommes encore valides pour mener les chars mahousses qu'on leur distribue gratos), et ils n'avaient donc pas besoin d'une manœuvre de diversion pour faire croire qu'ils n'auraient jamais pu mener cette con-troffensive que l'Occident exige pour prix de ses libéralités... Ils n'avaient donc aucun besoin d'un truc genre ''gesticulation du type qui peut pas faire ce qu'on attend de lui''... Et la preuve probante que c'est pas eusses qui ont fait sauter le barrage, c'est que un char Léopard ou Abrams, ça nage mal et ça flotte très peu...
La seconde certitude que ces quinze mois de conflit nous ont apportée, c'est que Poutine est fou ! La preuve ? Il y en a plein... 1--  C'est Biden qui le dit. Alors... 2— Hitler et Staline ont fait périr des centaines de milliers d'hommes sur des ordres absurdes. Vous voyez ?... 3-- A chaque escarmouche avec les ukrainiens, nos ''experts des plateau-télé'' nous rapportent 30, 40, 100 000 morts  russes... en tout cas bien plus à chaque fois que le nombre total de morts ''relevé'' depuis le début du conflit par la CIA ... dont il faut admirer la réserve et la prudence : eux, ce sont des professionnels ! Ce chiffre est d'autant plus inquiétant qu'il n'y a , en face, que très peu ou pas du tout de morts ukrainiens (Gott mit Ihnen ? En ukrainien, ça se dit тусуватися з ними (ce qui se prononce : tusovat'sya s nimi, paraît-il ) et en russe... тусоваться с ними (qui se dit : tusuvatysya z nymy, me dit-on). On voit tout de suite pourquoi ces deux-là se foutent régulièrement sur la gueule depuis 2014 : pour un ''u'' et un ''s'' à la place d'un ''o'' et d'un ''z''. Faut dire que ''y a de quoi'' ! 
Quand même, Poutine est un méchant, et ça doit être vrai, puisque c'est Patrick Cohen –le ''jeté'' de tout le PAF-- et  David Pujadas, l'affreux gnome de LFI, qui l'ont dit ! C'est un nazi, c'est sûr. Et même... il serait pétainiste que ça m'étonnerait pas, en y repensant ! Sa seule excuse qui n'en n'est pas une : il est à bout de nerfs. Et en plus, il a Alzheimer doublé d'un cancer incurable qui lui laisse 10 jours à vivre depuis 2 ans, entre 2 révolutions de palais qu'il mate dans le sang,  pendant que le peuple russe, uni dans sa détestation contre lui, passe son temps à manifester dans les rues. Tiens ! La situation est tellement pré-insurrectionnelle, à Moscou, que quand on se balade dans les rues, on se croirait à Paris... tant il y a plein de CRS (là-bas, ça se prononce ''OMON''! Tu nous imagine disant ''OmonCRS'' !) et de manifestants qui pillent les boutiques, cassent le mobilier urbain et foutent le feu aux bagnoles... Par un anti-miracle inexplicable, ni Pierre Sergent ni David Pujadas n'ont pu se procurer des photos de ces carnages. Il n'empêche : vous verrez que ces enfants de Poutin sont si cons qu'ils vont faire sauter la centrale nucléaire qu'ils contrôlent, histoire d'emmerder… les russes ! C’est clair comme de l’eau de Dniepr.
Dernier point dont il faut tout de même dire un mot : nos faux boy-scouts amateurs (NDLR - si seulement ils avaient fait un peu de scoutisme, on n'en serait pas là...) voient la guerre comme une bagarre de rue entre poivrots. A la rigueur, on peut tuer quelques animaux –des poules, par exemple, ou un corbeau. Mais pas d'humain. Ça, pour nos saintes Nitouche, c'est un crime de guerre. Que l'armée russe tue des ennemis, c'est franchement pas beau (ce qui est vrai... mais pas pour ça, ni dit comme ça !), et qu'elle choisisse de préférence les endroits où ça fait mal pour frapper... c'est dégueulasse (les ukrainiens ne feraient jamais ça. Ursula l'a dit !) !
En résumé, j'avoue que j'ai un peu perdu pieds : ils rêvaient tous de faire barrage à Poutine (quel qu'en soit le prix, pour les français qui ne sont pas ministres)... et au moment où enfin un barrage ''fait la Une'' –par la volonté de celui qui l'a fait, j'en ai la preuve, même si je ne vous donne pas mes sources--, ils lui tombent dessus à bras raccURSSis... Je ne suis pas fait pour la politique ! Mais ils n'ont pas besoin de moi : nous, on a Thierry Breton, cet ancien grand patron qui a vieilli (très mal !) dans le compromis et la compromission, à en devenir lui-même un con... promis aux plus hautes destinées en Macronie. Aà propos... si la Borne s’en allait à des kilomètres de Matignon... il se verrait bien faisant une fugue à Varenne --(rue de...).
H-Cl.
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perduedansmatete · 9 months
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je crois que j'ai mis le doigt sur quelque chose en passant devant la chambre de ma sœur tout à l'heure, j'étais (encore) pas bien et je me suis mise à chialer d'un coup en regardant ses murs et en me disant que la semaine prochaine on déménageait tout. j'y pensais sous la douche et sous mes larmes, c'est drôle de me dire qu'elle me soûle autant au quotidien mais que le fait de me dire qu'elle ne sera plus là d'ici très vite m'a rendu malheureuse si fort. je me suis rendu compte que j'avais trop peur d'être seule, trop de mal à l'être et que là j'étais en train de perdre tous mes repères. on grandit ou on vieillit je ne sais pas comment on dit ça à nos âges, et elle me disait il y a quelques temps qu'elle voulait absolument qu'on parte un peu en vacances ensemble encore cette année, qu'elle avait ce sentiment de changement elle aussi et que plus rien ne serait comme avant. on le voit déjà dans la famille, les choses ne tournent plus vraiment pareil. j'ai ce même sentiment et je me dis aussi que d'ici la rentrée je ne l'aurai plus à trois pas de moi, que ça va me manquer de ne plus être seule à deux, je pense aussi à ma meilleure amie qui a déjà du déménager il y a quelques mois, au fait que mon autre meilleure amie habitera chez ses grands-parents le temps de trouver quelque chose et d'avoir assez d'argent surtout et je me rends compte que la savoir à trente secondes de chez moi me rassurait beaucoup. et puis il y a les changements avec l'ami platonique que je vois se profiler, et mon autre amie très proche géographiquement et dans mon cœur qui envisage de déménager loooin dans le nord de paris avec son mec. je me sens abandonnée et tout ce renouveau me laisse un sentiment de solitude non voulue atroce, j'ai pleuré car je me sentais toute seule et que j'ai peur que ce sentiment s'accentue. je crois que c'est un peu la peur que j'avais la semaine dernière quand j'étais dans tous mes états, et le fait de m'être renfermée sur moi ces dernières années n'aide en rien. mes quelques relations sont si fortes et précieuses que ces changements me font juste trop mal. j'ai l'impression de repartir à zéro sans partir nulle part contrairement à tout le monde. la rentrée me fait super peur, les nouvelles personnes que je vais rencontrer aussi, je ne me sens pas prête à affronter tout ça dans l'état dans lequel je suis en ce moment, ça me parait bien trop insurmontable pour mes petites épaules. je reviens justement de chez mon amie qui habite à trente secondes de chez moi parce qu'elle avait besoin que je lui imprime un truc pour demain et ça va juste trop me manquer de ne pas pouvoir passer une heure à parler de tout et de rien (et de se plaindre toutes les deux de ma meilleure amie en l'occurrence) alors que je devais juste rester deux minutes. et puis son gros chat bizarre purée lui aussi il va me manquer. bref je pense que mon état lamentable n'est pas du qu'à l'été, mais surtout à cette solitude que je sens venir et qui me broie un peu le cœur.
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womenandbooksonfilms · 8 months
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Judith Chemla
Ce sentiment de l'été; Mikhaël Hers, 2015
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trisnipiw4 · 11 months
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Cet acte égoïste que tu as fait
m'avoir fait t'aimer.
Toute cette attention que tu m'as donnée,
et que tu as en retour supplié
Une aumône douce comme l'été 
et pourtant, c'est bien trop tard que l'illusion s'est dévoilée.
Ton aspect si pur et enchantant m'a trompée
et seule j'ai terminé.
Des souvenirs désordonnés.
Un futur abandonné.
Une foi à retravailler et un cœur mis de côté.
Voilà pourquoi toutes ces années,
rien que pour moi, j'avais gardé 
mes sentiments et rêves désavoués.
Un amour pris en otage, volé.
De mes mains, il fut arraché.
Ah, quel blasphème que je fais.
N'importe qui verrait bien que je te l'avais donné.
De toute mon âme et à genoux devant tes pieds 
Précieusement, tes mains je les avais embrassées,
espérant recevoir ne serait-ce qu'un baiser
Finalement, ce secret entre nous restera bien caché. 
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arc-boutant · 1 year
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Je voudrais t'écrire
Te toucher droit au coeur pis un peu partout ailleurs sans jamais me sentir sous pression. Sans jamais avoir l'impression que si je m'arrête, je te blesse.
Tu prends peut être pour acquis que ça me fait rien de pas avoir de libido. Si tu savais combien jveux avoir envie. J'en ai pleuré des larmes et du sang. Les autres ont toujours été la seule motivation pour me détruire.
J'aimerais tellement mais tellement être normale. Arrêter de me sentir comme une mautadite fucker partout où jpasse. Que ce soit dans les cours ou jme sens tellement intéressé que j'en devient conne pour les autres ou ici, à la maison, quand tu choisis de me faire sentir ton mécontentement. Quand tu penses, pour une raison quelconque, que la colère et la frustration sont les meilleures façades à prendre.
Et jte vois venir dans ta tête tu sais. "Jsuis pas fâché". "J'ai rien dit criss". Et c'est vrai. Mais ça tiens à tellement plus que ça mi. Ça tiens à l'inconfort que je ressent à te dire non, au sentiment de culpabilité qui fait juste me gosser chaque fucking jour. C'est l'impression qu'en plus d'être inadéquate socialement, jsuis inadéquate avec toi. Dans ma maison. T'ES ma maison.
Mais ça l'air tellement facile pour toi d'oublier de me considérer. De faire comme si mon avis comptait pas vraiment. Je sais ben que tu t'en rends pas compte. Mais la difficulté que t'as a te mettre à ma place me font sentir si mal aimée. Et je sais que tu te sens pareil. Jme perd juste tellement mais tellement dans la culpabilité. Jsuis au fond du trou.
Si loins j'ai envie de rien. Je resterais assise dans le noir et le silence pour éviter d'affronter la vie. Pour pas faire face à toutes ces choses qui me terrifies. A toutes ces choses que je ressent en toi mais que tu dis jamais.
Savais tu que cette sensibilité émotionnelle que j'ai est littéralement un sixième sens. Je suis hypersensible. Le mot lui-même le dit. Trop sensible. Mais ça ça signifie tellement de choses. Ça signifie que les larmes montent à un rien et que je pleure pour des bas perdu. Tu connais bien cette partie là.
Mais cette hypersensibilité me permet de voir tellement plus mi. La façons dont tu te sens en général, le mensonge dans tes yeux, dans les coins de ton sourire. J'ai vu la tristesse pis la colère se battre ensemble dans ton regard ce soir. Tu préfères penser que j'invente un don. C'est comme tu veux. Mais jvais continuer à savoir quasi-exactement comme tu te sens. C'est une part de moi que jpeux pas juste effacer. Ça fonctionne pas comme ça.
Jsuis triste de tellement de choses mi et j'ai cette mautadite impression que ma vie tiens à si peu ces temps ci. Qu'il suffirait d'une seule perte de contrôle pour ne plus jamais l'avoir, le contrôle. Mes bras saignent sans même la coupure. La douleur est une source en elle-même.
Je t'aime tu sais. C'est jamais là la question. T'était peut-être trop aveuglée par tes propres sentiments pour le voir, mais te lancer un ultimatum m'a anéantit. Ça me décaliss tellement de devoir me rendre là pour que tu prennes les choses en main...
J'ai juste tellement peur. Jvois ton regard sur moi qui est plus le même. Cette inconfort qui émane de toi. Par rapport à des cheveux. Une coupe de cheveux...
Et oui, je sais, à tes yeux ma beauté ne tient qu'à ça. Des cheveux longs, des vêtements léger. Une femme puissante.
Laisse moi tomber. Je ne suis pas cette femme là.
Je suis forte et faible et tempête. Je suis le froid glaciale de l'hiver et la chaleur de l'été a la fois. Je suis douce et horriblement méchante. Je suis belle et laide. Mais même cette laideur devient belle aimé par les bonnes mains. Les miennes.
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audreyhepblr · 2 years
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Summertime sadness
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C'est tellement un marronnier que ça me surprend que je n'aie pas déjà une entrée de blog avec ce titre. J'ai honte, basic tumblr bitch coincée en 2014. Je traîne la tristesse estivale depuis toujours. Quelque chose dans l'effervescence des jours sans fin qui me laisse sur le carreau. Étourdie et hagarde, spectatrice plutôt qu'actrice. Je regarde de l'extérieur et j'en ai le tournis. Moi qui vais toujours si vite peine à distinguer la familiarité dans ce trop plein de lumière. Je ne suis pas non plus un oiseau de nuit, simplement désarçonnée par la crudité du mois de juin, assommée par la cruauté des rayons du soleil. Juin c'est ce dernier mois d'école où on regarde la télé en comptant les heures un morceau de savane sécos à la bouche. Un supplice interminable, plein de promesses d'un été qui sera franchement probablement à chier, passé en rase campagne à rêver d'un jour meilleur. Que dans chaque voiture qui passe surgisse quelque chose de fantastique, ou du moins quelque chose, n'importe qu'elle chose. L'été je rêvais d'autant plus du moment où j'aurai grandi, quand je serais belle et amoureuse.
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J'ai grandi et même un peu vielli. Je suis devenue plus belle et tombée amoureuse. Mais l'été c'est toujours pas ma putain de saison. Je sens trop mon corps, les absences et les promesses non tenues. Alors j'ai toujours préféré bosser, choisi activement d'être en retrait plutôt que de subir. Il y a eu quelques moments de grâce bien sûr. Ces dernières années j'ai prolongé la saison jusqu'à l'automne, en Méditerranée ou ailleurs et j'ai adoré ce décalage. J'ai eu un bébé d'été, un cadeau d'une telle lumière qu'elle en est devenue le soleil de mon existence. Mais même là, le début, les premières suées, les nuits agitées du bourdonnement des moustiques et des chants assourdissants des perruches à collier me soûle. Le tout à chacun qui se sent obligé de proclamer qu'il part, qu'il part en vacances, lui me colle la gerbe. Cette urgence à profiter d'une pause toujours trop courte. La médiocrité des gens qui fument en terrasse, boivent du mauvais rosé et vivent pour une quinzaine à chier dans un airbnb mal isolé. La Lumière trop crue de l'été n'offre pas de mystère, pas de cachette. Je ne trouve plus là la poésie, que de l'inconfort et des gens qui parlent trop fort.
En fait je comprends que j'ai le cafard du 31 décembre le 30 juin. J'ai quel âge pour toujours compter en années scolaires ? Moi qui ai fait tant d'effort pour ne pas devenir prof je fais toujours mon rythme et mes bilans de vie quand on remise les cartables au placard. À contrario Noël c'est vraiment maman où je vibre sans trouver ridicule l'avalanche de bons sentiments.
Je tourne autour du pot depuis 4 paragraphes, vérité c'est que ma mélancolie estivale est d' une puérilité adolescente pathétique. Je l'ai écrit plus haut j'ai grandi et j'ai vieilli. Il est peut-être temps pour moi de bazarder mes vieilles rengaines et d'embrasser la saison des suées et du melon comme celle d'une nouvelle chance.
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aelixyr · 1 month
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Cœur à toute vitesse
Je découvre après deux ans de trajets plus ou moins réguliers que les trains me rendent contemplatif.
Il faut croire qu'il y a quelque chose de surréaliste à filer à toute vitesse entre des arbres se rhabillant timidement sous un soleil de plus en plus matinal, entre les gares vides de petites villes aux façades ternes, tout en ressentant mille couleurs que ces murs délabrés ne pourraient imaginer.
Mes paupières sont lourdes, et mon cœur un peu plus. Ce coeur novice, qui s'autorise enfin l'ivresse de l'ocytocine traîtresse, qui croule sous des vagues chaudes et douces de sentiments difficiles à nommer mais si facile à ressentir.
Il est tôt, aujourd'hui et pour mon coeur, même si ce dernier est incapable de ne pas courir, même après être tombé tant de fois. Il découvre qu'il peut courir dans plusieurs directions à la fois. C'est beau, c'est intense, mais c'est épuisant et terrifiant de se perdre, de perdre son coeur par petits bouts éparpillés dans des êtres qui n'ont pas demandé tant de chaos. 
Il a fallu deux printemps à mon cœur habitué des tropiques à la chaleur oppressante pour que celui-ci fleurisse à son tour. Peut-être qu'il a peur d'être en retard, et que c'est pour ça qu'il court. Peut-être qu'il souhaiterait prendre le train pour l'automne et ses bras réconfortants, pour fuir l'été et ses journées interminables que les autres semblent adorer.
Le ciel s'éclaircit, les villes sont de plus en plus grandes et modernes bien qu'elles paraissent tout aussi fades. Je suis sûr qu'elles abritent pourtant des êtres colorés de l'intérieur que j'aurai pu découvrir si j'avais eu quelques vies de plus à dépenser à courir dans tous les sens.
J'espère que les petits bouts de cœur que j'ai laissé à d'autres corps se portent bien. Je leur passe le bonjour de la part de celui coincé dans un train, qui admire les arbres se réveillant d'un hiver trop court. J'espère qu'ils profitent de la peau douce et chaleureuse des humains auxquels ils ont choisi de s'accrocher sans trop leur faire de mal. 
J'espère que mon cœur intrépide ne s'essoufflera pas trop vite à se précipiter ainsi. Et plus que tout, plein de désillusions, j'espère qu'il n'y a que moi que je ferai souffrir si c'est le cas.
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paulysson1 · 3 months
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Les fêtes
Sourire,
Amour,
Moments partagés.
Comment espérer plus qu'il n'en est indispensable dans toute ses rêveries ?
Et comment redessiner ce sourire qui t'habite depuis ta renaissance ?
Ton bonheur est le miens et tiens au creux de ceux qui veulent le promouvoir.
Te voir dans ton élément,
Quel mélange de sentiments.
La chrysalide est sur le point de rompre et tel comte il te raconte milles histoire qui s'émerveilleront de te voir omnisciente.
Comment écrire une histoire qui n'a pas de fin ?
Comment adopter un Cheminement qui ne se conclu point ?
Devant les écrits,
Tellement de rire, ou bien d'ignorance.
Mais dans ton regard, ton regard à toi, j'écris de la joie et du doux bonheur.
Et dans la pénombre je guide tes songes et abonde,
Abonde de dédoublement de moi-même,
Je reecris que tu es la plus belle,
Pas seulement extérieurement mais également,
Un entrelacé de complexité si romantique à aimer qu'est ta pensée.
Je te Loupic, je t'aime !
Et que jrien nivelle dans le contre sens de la Clémence de ton pardon pour mes doux poisons,
Je memesure et te demande de venir,
À la rencontré de mon âme impie,
Qui fait tant rire les escargots démago qui assombrissent le dessin,
De nos esquisses,
De nos refrains,
De nos friandises partagées lorsque vient et part l'été.
Paul.amis
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photos-car · 4 months
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buxberg · 6 months
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La vie personnelle de l'Australien ne cesse d'intéresser les fans
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On sait que la première relation sérieuse de Jacob a commencé avec l'actrice Joey King.  La romance a commencé lors du tournage de The Kissing Booth, où Joey a joué le rôle principal féminin.  Au début, Elordi et King n'étaient que des copains qui aiment se faire des blagues, mais après un certain temps, ils ont réalisé que leur relation était passée à un autre niveau.  Les quarts de travail de 17 heures et la nécessité de passer beaucoup de temps ensemble ont influencé l'émergence de sentiments amoureux.
 Le couple est souvent apparu en public.  La seule chose dont les jeunes se plaignaient était le manque de temps libre.  Ils ont rarement réussi à être ensemble, car les carrières des deux artistes se sont développées rapidement.  En conséquence, un an plus tard, les artistes se sont dispersés, même si les raisons officielles de la séparation ont préféré ne pas être divulguées aux journalistes.
À l'été 2019, Elordi a été soupçonné d'une nouvelle romance avec le mannequin Kari Flowers.  L'Américaine a posté quelques photos communes sur son compte Instagram, dont l'une était un baiser d'un couple.  Cependant, la beauté a rapidement supprimé ces images - les rumeurs sur la relation des jeunes se sont avérées fausses.  Mais la passion pour Zendaya - partenaire d'un nouveau projet de film, la série Euphoria - est devenue vraiment sérieuse pour Jacob.
 Les amoureux se sont envolés pour la Grèce, où ils ont passé des vacances communes.  Les fans espéraient que la beauté basanée s'installerait pour toujours au cœur d'Elordi.  Mais le couple se sépare au bout de quelques mois.
 La raison en était appelée les nouveaux sentiments de l'Australien - cette fois pour le jeune mannequin Kaia Gerber. 
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ton-sourir · 7 months
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11.10.23
Ça m'oppresse, ça me brûle à l'intérieur plusieurs fois dans la journée.
Je ressens des trucs un peu trop fort, plus fort que prévu. Envie de le voir tous les jours, difficile de savoir qu'il est en train de chiner une femme qui à l'air faite pour lui. Ce qui veut dire qu'il va se poser en couple sûrement avec elle. Vivre heureux avec une femme bien.
Et moi ? Moi j'avais aucun droit de m'attacher à lui et encore moins de m'attendre à ce qu'il s'attache à moi. Et pourtant c'est ça. Je me suis attaché à lui et pour l'instant lui ne montre pas qu'il est attaché à moi. Ça me fait de la peine de m'être emballé seule dans mon coin. Mais il y a un mais. Il m'a dit des le départ que s'il y avait des sentiments de son côté il ne me le montrerait pas pour éviter de compliqué encore plus la situation. Vu que selon lui il y a rien de possible entre nous car il y a des critères qui ne lui conviennent pas, trop d'écart d'âge, l'enfant ...
Je sais tout ça. Et malgré tout je me dis que c'est pas grave, on pourrait s'aimer de loin. J'aimerais savoir ce qu'il pense vraiment. Je pense qu'il est attaché et ne le montre pas, qu'il se mettre avec l'autre car comme il dit : il faut pas écouter que ses envie, il faut aller avec les personnes qui sont bien pour nous. Elle est bien pour lui. Moi je suis peut-être son envie, mais pas bien pour lui, il aurait que je le fasse souffrir comme le mien souffre en ce moment à cause de moi. Il dit que c'est des caprices, que je veux avoir et que je prends sans me douter des conséquences, il a raison.
Le temps calmera sûrement les choses. J'attendrais que ça me passe. Si ça ne passe pas d'ici l'été prochain pour mes 27 ans alors là j'irais le voir et lui parler de ce que je ressens. Mon fils sera plus grand, moi j'aurais pris du recul sur ma vie, mon couple, ce que je veux vraiment comme vie.
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claudehenrion · 5 months
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Faites ce que je dis...
mais surtout pas ce que je fais... c'est le message subliminal de nos dirigeants dénués de toute pudeur : on cherche en vain un rapport entre ce qu'ils disent et ce qu'ils font : pas la plus petite relation de cause à effet. Malgré le mal que se donnent ces nuls pour camoufler leur ''nullitude'' –comme aurait dit une des plus ''royalement'' nulles parmi eux !-- on va sans (nul) doute devoir bientôt les désigner par un ''les archi-nuls'' qui, compte tenu de leurs performances dans tous les domaines, semble leur aller mieux encore que le ''les Nuls'' qui avait cours jusque là.
La grande foire annuelle sur le climat --qui ne sert qu'à maintenir la pression et l'angoisse sur tous les hommes de bonne volonté-- est revenue occuper la ''une'' de nos organes de Presse, depuis peu réservée en exclusivité à tous les faux problèmes qui n'intéressent, au fond, que de soi-disant ''élites auto-proclamées''. Conçue ''sur mesure'' pour assurer cette inutile fonction, la COP s'est réunie cette année à Dubaï, source d'or noir s'il en est (Attention : rien de raciste dans ce mot : ce ''noir'' ne contient aucune allusion à quelque couleur de peau que ce soit . Pas d'amalgame SVP !) --ce qui confirme si besoin était, son statut de ''gag planétaire''. Elle se glorifie de porter le numéro 28 (ce qui veut dire que cette ''commedia sensa arte'' a déjà eu lieu 27 fois... sans que rien de vraiment utile en soit jamais sorti... ce qui est tout de même ''fort de café'' --un Arabica, sûrement, à Dubaï ! Ils auraient pu au moins faire semblant d'accoucher d'une souris... Même pas !
La vérité est triste : un authentique roman noir (même remarque que ci-dessus !), mais un roman noir effroyablement coûteux pour les contribuables de tous les pays : pensez que cette troupe de prébendiers qui n'ont rien d'intelligent à dire se retrouvent à 88 000 –vous avez bien lu : quatre vingt huit mille nuls) pour discuter sans fin de météo, pour découvrir pour la n -ième fois qu'il fait plus chaud l'été que l'hiver dans l'hémisphère nord et le contraire dans l'hémisphère sud, pour redécouvrir que ''après la pluie, le beau temps'' et vice-versa, ou pour déguiser sous des verbiages technocratiques le fait qu'il y a toujours eu d'énormes variations climatiques sur notre Terre qui n'a pas eu besoin des hommes pour inonder, réchauffer, assécher, refroidir, geler, fondre, etc... dans des cycles gigantesques qui échapperont encore longtemps à toute compréhension de notre ''science''...
Il faut revenir sur ce chiffre tout-à-fait incroyable de 88 000. C'est énorme ! Avant de le lire, je ne croyais même pas qu'il y avait autant de ''Nuls-majuscules'', même en grattant les fonds de tiroirs... A l'immense scandale que constitue leur nombre, il faut ajouter que cette armada inutile est faite de tous les beaux esprits minables qui nous répètent à longueur de journée qu'il faut que nous remplacions la riche palette de nos sentiments et de nos émotions par une seule et unique préoccupation : notre ''bilan carbone individuel''.
Plus d 'avions, plus d'autos, plus de vaches (car ''elles pètent'', viennent de découvrir ces citadins claquemurés dans leur ignorance de la vraie vie), plus d'eau chaude, plus de chauffage dans nos appartements, plus d'industries, plus de voyages, plus d'enfants, plus de vieux... plus rien que le triomphe de leur idée aussi fixe qu'inutile : plus ils nous emmerdent, plus les chiffres se moquent d'eux... Le réchauffement, qui a l'air d'être de fait, l'est sur une période de temps bien trop courte pour quelque généralisation que ce soit, et à une échelle qui a peu ou pas de liens avec les ''chiures de mouche'' que sont nos émissions, à l'échelle cosmique : si la France était brutalement rayée de la carte, corps et âmes, le résultat ne serait pas perceptible sur les chiffres totaux !
Selon l'OCDE, citée par Les Echos, et contre tous les engagement officiellement pris par nos myopes-aveugles-sourds-progressistes-de-Gauche (''Croissant de bois, croissant de fer, si je mens, je vais en enfer'' , disent-ils), le soutien public aux énergies fossiles dans les principales économies du monde a doublé en un an, passant de 770Mds$ en 2021 à 1 481Mds$ en 2022. Et il en va de même pour tous les chiffres, toutes les mesures, toutes les tendances : tout se passe comme si, devant l'énormité des bêtises qu'ils profèrent à longueur de journée, la nature se foutait de leur gueule : les glaciers fondent plus vite... le CO², se fabrique sans limite... les températures évoluent en sens contraire de ce qu'ils annonçaient... et plus on contrôle les quantités et les chiffres ''non-significatifs'' qu'ils brandissent, plus le résultat atteint est à l'opposé complet de ce qu'ils racontent qu'il faudrait. Et Macron d'entériner toutes leurs folies en nous rendant peu à peu la vie invivable !
Le collectif scientifique Global Carbon Project a publié, pas plus tard qu'hier, un rapport qui établit que les émissions mondiales de CO² vont encore progresser de 1,1 % en 2023. A ce train-là , d’ici 7 ans, il nous sera impossible de limiter le réchauffement à +1,5°C max (objectif de la COP21, cet objet inexplicable des larmes de crocodile du comique Fabius, on s'en souvient !). De quoi faire basculer la COP28 dans l’ambition et l’urgence ? Euh… ''faut voir à voir'', d'après TTSO : sur les 88 000 participants enregistrés, près de 2 500 (3%) sont des lobbyistes des énergies fossiles, y compris la puissance invitante et les plus gros ''généreux sponsors'' de cette grosse farce....Les ''chikayas'' entre Macron et les vrais puissants du monde, depuis hier, s'expliquent tout seuls : l'Occident vit sur un nuage d'idées périmées qu'il veut imposer au monde qui, notamment à cause d'elles, l'a pris en grippe ''pour de bon''.
L'émirati Sultan al-Jaber,membre du gouvernement, ministre de l'industrie et des technologies avancées et président de la COP 28 (une autre pointure que Greta Thunberg, tout de même !) a répondu vertement au Guardian : ''Je suis ingénieur et je ne vois rien de réel dans tout ce que vous racontez. Je ne souscrirai en aucun cas à des idéologies alarmistes. Aucune étude scientifique, aucun scénario, ne dit que la sortie des énergies fossiles nous permettra d’atteindre 1,5 °C. (… ni pourquoi il faudrait les atteindre...). Montrez-moi la feuille de route d’une sortie des énergies fossiles qui soit compatible avec le développement socio-économique, sans renvoyer le monde à l’âge des cavernes''... Ambiance !
Venus en avion à 99 %, (NB : ''Bonjour le bilan-carbone'' !), les con-gressistes-prébendiers-profiteurs en goguette à Dubaï ont le choix entre 140 192 chambres (j'ai soigneusement vérifié ce chiffre) hors de prix, dans 769 établissements hôteliers déjà proches de la saturation, les hôtels dubaïotes flirtant avec un niveau d’occupation proche de 82 %. (NDLR - il est intéressant de savoir que, au moment où notre gouvernement et la hidalgo nous annoncent les pires catastrophes pour les Jeux Olympique, Dubaï (82 %) se classé au premier rang mondial, devant Londres (56,0 %), New York (55,3 %) ou Paris (51,2 %), selon les données de la société d’analyse de gestion hôtelière STR. Pour mémoire (j'ai aussi trouvé le chiffre exact), Paris ne dispose que de 85 000 chambre de toutes catégories. On voit vers où est en train de se réorganiser la vraie puissance du monde !).
Je n'ai pas le courage de coucher par écrit les tristes conclusions que m'inspirent ces chiffres, ces remarques, et le choc frontal entre la réalité du monde et le cauchemar dans lequel veulent nous faire errer sans but –et pour rien-- nos lamentables dirigeants. Si on les suit, il est gros comme le nez au milieu de la figure (j'écris ça parce que je dois me faire opérer sous peu d'un cancer sur ma narine droite) que nous serons pressurisés à mort (fiscalement parlant : ils savent faire), étouffé par des dystopies liberticides (ils savent aussi, très bien) … et que nous nous réveillerons avec des résultats... identiques à ''si on n'avait rien fait'' : à analyse sans sens, résultats insensés !
H-Cl
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