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#aurore evain
shakespearenews · 2 years
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Here are a few assertions they offer. “Lonely” is one of several dozen words Sidney introduced into the English language that Shakespeare later used. She provided patronage to Pembroke’s Men, one of the early companies to perform plays that were later attributed to Shakespeare. Sidney’s extensive library included many of Shakespeare’s sources, and she was familiar with pursuits as varied as falconry, alchemy and cooking, whose vocabulary Shakespeare drew on.
Shakespeare’s First Folio, published about seven years after his death, is dedicated to Sidney’s sons, William Herbert and Philip Herbert.
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lejournaldupeintre · 2 years
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Aurore Evain
Aurore Evain, French writer specialising in French literatureWomen and theatre during the Ancien RégimeGender in performance history http://www.theatredefemmes-ancienregime.org Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – – – – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news…
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thierrylidolff · 2 months
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SHAKESPEARE N’A PAS ÉCRIT … C’EST PRESQU’UNE CERTITUDE. MAIS QUI EST LE VÉRITABLE AUTEUR ?
ÉMISSION : L’œuvre de Shakespeare a-t-elle été écrite par une femme ? Mercredi 20 mars 2024 FRANCE INTER Dans le livre “Mary Sidney alias Shakespeare”, la metteuse en scène Aurore Evain défend la thèse selon laquelle l’œuvre du dramaturge britannique serait en fait à attribuer à Mary Sidney, comtesse de Pembroke. Dans “Mary Sidney alias Shakespeare”, Aurore Evain détaille ses recherches et…
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louduvelleroy · 2 years
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// Shakespeare or not Shakespeare
Last Friday, we went to a theatre called l’Épée de bois. It was a school outing organised by our new French teacher. La cartoucherie is a cultural scene which is lost in the middle of the woods, but still in Paris, and where you can find some theatres with really strange names like l’aquarium, la tempête but also an equestrian centre. I must say the atmosphere was in line with the play we were about to see and the revelations we were about to learn that night. The Épée de bois theatre is a beautiful location where I had been before and I was really glad to come see another play here. The entire place is made of wood, a little cafe is set up on the ground floor and smells of baking cake are floating in the air. One of my close friends was employed in this theatre for a while, and told me that working here was like being part of a little family and now this place feels like home to her. 
If we set aside the beauty of the venue, we understand that the place was not the only significant and marking thing of the evening. In fact, this play was also a conference and there were only two actresses on stage. They were here to tell us about a story that I had never heard of before, and when they started I was quite sceptical. Their statement was that Shakespeare didn’t actually write the works attributed to him. A woman, Mary Sydney Herbert, countess of Pembroke might be the real author. During the first minutes of the play, I told myself, how am I supposed to believe such a thing ? Well, Aurore Evain, the director and Fanny Zeller, who was the costumed actress, had two hours and ten minutes to convince us. 
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Speaking for myself, it worked very well. Aurore is not only an actress and a director, but also a theatre historian, so she knows exactly what she is talking about. She based her play on an essay written by Robin P. Williams, called Sweet Swan of Avon : Did a woman write Shakespeare ? No need to say that the theory presented on stage was backed by rigorously analysed and strongly convincing evidence, such as written documents and social rank reasons. What’s more, I really appreciated the way the play was constructed. The session was divided into three parts : first they revealed the long standing doubts about the authorship of this art work by connecting the lives of Mary Sydney and William Shakespeare. Then, they went over the entire life of the countess of Pembroke, and examined every single element and event that links her to these texts. I was astonished, everything about her fitted remarkably into the hypothesis about the authorship of the Shakespearean plays and sonnets. I think that you can’t leave of this theatre with doubts still in mind. And that led me to another question. 
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After the play, I was asking myself : Why is Mary Sydney Herbert's authorship still controversial in spite of all the arguments and research proofs provided to assign Shakespeare's plays to her name ? Apparently, Mary Sydney is not the only potential candidate, and many areas of uncertainty still remain. A list of many historical figures is regularly updated, including Francis Bacon, The Earl of Oxford, Christopher Marlowe and many more. Nothing is proven and the truth has a long way to go before it comes out. But, as Robin P. William wrote in her book, the important is not to prove that Mary Sydney wrote the plays and sonnets attributed to William Shakespeare, but to provide enough documented evidence to open the inquiry into this intriguing possibility. Mary Sydney may not be the author of these treasures of the English literature, but for me something is certain : neither is William Shakespeare. 
Lou Duvelleroy. 
Publié le 02 octobre, (3622 caractères). 
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lisagautierstuff · 4 years
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La Folle Enchère, une comédie intemporelle
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La Folle Enchère, comédie du XVIIe siècle écrite par Madame Ulrich, représente une sorte de petite révolution en son temps. Un temps où seuls les hommes avait le droit d’exercer l’art de la dramaturgie. En effet, Madame Ulrich s’éloigne des dogmes du théâtre lorsqu’elle créée le personnage d’Angélique, une femme déguisée en homme. Ce personnage ainsi travesti, profite des plaisirs et du pouvoir masculin. Il permet à Madame Ulrich de faire la critique de la société machiste dans laquelle elle tente de se trouver une place en tant qu’autrice.
À la lecture de la pièce, le personnage d’Angélique met apparu comme une icône précurseuse de l’émancipation de la femme puisque son personnage s’affranchi de l’autorité masculine et des préjugés que les hommes se font des femmes du XVIIe siècle. Lorsque j’ai dû réaliser la couverture pour la réédition de La Folle Enchère, il m’est paru évident de mettre en avant la dimension de travestissement de la pièce. Tout comme le personnage d’Angélique, Marlène Dietrich représente selon moi une icône du cinéma partageant les même valeurs. Elle aussi, s’est glissée dans la peau de l’homme en apparaissant à l’écran pour la première fois en costume et chapeau haut de forme. Marlène Dietrich figure alors sur la première de couverture pour représenter l’aspect revendicateur de la comédie de Madame Ulrich.
À travers la mise en scène contemporaine de la pièce, réalisée par Aurore Evain, j’ai découvert un autre aspect de La Folle Enchère notamment grâce au personnage de Madame Argante, mère bourgeoise refusant de vieillir, dont l’excentricité est mise au premier plan. L’essence satirique de la comédie de Madame Ulrich prend un ton burlesque que je n’avais su percevoir à la lecture. Cet aspect est renforcé par le choix des costumes extravagants des comédiens aux couleurs électriques et à la confection ingénieuse. Les couleurs clinquantes que j’ai utilisé pour la couverture ne sont alors pas sans rappeler la mise en scène déjantée d’Aurore Evain.
La première de couverture de la réédition semble alors faire écho à la mise en scène actuelle dont l’univers esthétique s’éloigne volontairement de l’époque de Madame Ulrich. Le choix d’un caractère typographique classique à empattements, permet alors de créer un contraste entre l’écriture de 1690 de la pièce par Madame Ulrich et la mise en scène actuelle d’Aurore Evain.
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[PREMIERE] 🎭 Presqu'illes, cabaret sur la féminisation de la langue française de la Compagnie M42, débute ce soir avec en bord-plateau Aurore Evain, chercheuse, comédienne et metteure en scène ! Jusqu'au 27 avril Réservations sur www.reineblanche.com/calendrier/theatre/presqu-illes
🖋️👩‍ 👩‍🏫👩‍⚖️👩‍🍳👩‍🔧👩‍🔬👩‍🎤👩‍🚀👩‍🚒 Comment nommer les femmes écrivain qui y sont représentées ? "Autrices", sans hésiter, pour la chercheuse Aurore Evain, qui a exhumé la très longue histoire de ce mot, présent dès l'Antiquité. Car non, ce n'est pas un néologisme. "Peut-être que le XXIe siècle sera le siècle du retour du mot autrice" espère Aurore Evain. L’usage du mot autrice est aujourd’hui controversé. L’Académie française le rejette dans son Rapport sur la féminisation des noms du 1er mars 2019, pourtant plutôt favorable à la féminisation des métiers : “Un cas épineux est celui de la forme féminine du substantif auteur [...]. Le caractère tout à fait spécifique de la notion, qui enveloppe une grande part d’abstraction, peut justifier le maintien de la forme masculine.” Pour Aurore Evain, “il y a toujours beaucoup de polémique dès qu’on aborde ce sujet, ce qui veut bien dire que ce n’est pas un sujet anodin. Si on a mis autant d’énergie et passé autant de temps à essayer de l’effacer, c’est bien qu’il y a un enjeu derrière.”
Au Ier siècle du christianisme ”Autrix” est récurrent chez Saint Augustin ou Tertullien. Il désigne souvent la responsable d’un travail, d’une mise au monde… Au IVe siècle, le débat commence. Les grammairiens veulent légiférer la langue. c’est aussi un enjeu politique contre le christianisme qui admet ce féminin. Le masculin “auctor” finit par gagner la manche. Mais dans l’usage populaire, “autrix” continue d’être employé au Moyen Âge. On le retrouve sous la plume de femmes illustres, ou pour les désigner : Hildegard von Bingen, Hrotsvita de Gandersheim, Guda, Ende... Son appropriation devient un acte de féminisme. Mais l’histoire littéraire, dominée par les hommes, n’en garde que peu de trace. À la Renaissance, l’imprimerie se diffuse, le français devient langue nationale ; “autrice” se répand. Le débat sur les genres bat son plein : certains grammairiens pensent à ajouter deux genres au féminin et au masculin : le commun et l’épicène. Au XVIIe siècle, la guerre s’intensifie. Le statut d’écrivain se professionnalise et offre une ascension sociale. L’éducation féminine se développe. Les femmes reprennent la plume. L’Académie française (non mixte) est créée. L’académicien Guez de Balzac proscrit “autrice”, éradiqué des manuels. À la Révolution, dans l’espace public, le débat revient. L’usage discriminatoire d’”auteur” est soulevé. Rétif de la Bretonne veut réformer la langue. Il tente un “auteuse” qui ne prend pas. “Autrice” n’est présenté par erreur que comme un néologisme. En 1891, la romancière Marie-Louise Gagneur interpelle l’Académie. Féminisation et légitimation du statut vont de pair. Le débat se politise. L’Académie considère que le métier d’écrivain ne sied pas à une femme. “Ecrivaine” et “autrice” sont évincés. “Quand on ne peut pas être nommé dans une fonction, on va aussi avoir beaucoup plus de mal à se sentir légitime dans cette fonction et à aller réclamer une augmentation de salaire, des égalités, etc. C’est toute la question des violences symboliques. Et d’ailleurs les féministes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle ne s’y trompaient pas. Elles ont réclamé le droit de vote, et elles ont réclamé la possibilité d’être nommées au féminin. Dans les années 1960, écrire n’est plus interdit aux femmes mais le rapport sexué à la langue est critiqué par les féministes. Le combat est linguistique. En 1984, la ministre Yvette Roudy réunit une commission de féminisation des noms. Le timide “une auteur” est préconisé. La commission de 1997 osera “auteure” un peu plus tard , s’alignant sur le Québec. En Suisse et en Afrique francophone, “autrice” est souvent utilisé. Aujourd’hui, “autrice” est accepté au Scrabble et est entré dans Le Robert. Utiliser "autrice", c’est permettre à la langue d’être fonctionnelle et de la débarrasser de couches de sexisme et de misogynie qui l’ont recouverte depuis trois-quatre siècles”, conclut Aurore Evain.
© Camille Renard France Culture
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whileiamdying · 5 years
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En ce salon du livre qui débute, comment nommer les femmes écrivain qui s'y présenteront ? "Autrices", sans hésiter, pour la chercheuse Aurore Evain, qui a exhumé la très longue histoire de ce mot, présent dès l'Antiquité. Abonnez-vous pour retrouver toutes nos vidéos : https://www.youtube.com/channel/UCd5DKToXYTKAQ6khzewww2g Et retrouvez-nous sur... Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture/
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Rencontres Littéraires
The Institut Français will organise a series of informal literary discussions with several authors invited by the Edinburgh International Book Festival (Stéphane-Yves Barroux, Gaël Faye, Jean-Pierre Filiu and Clémentine Beauvais), as well as Aurore Evain and Neal Ascherson. We will discuss themes as diverse as the Franco-Scottish relations in WWII, the place of women in early theatre creation, and illustrators' work!
All Rencontres Littéraires are free, but booking is essential
Neal Ascherson - Tue 14 Aug 4.00 - 5.00 pm
Neal Ascherson, renowed journalist and Professor has spent much of his life studying World War II. His latest book, The Death of the Fronsac focuses on life in wartime and on Poland's fate. The rencontre littéraire will focus on the theme of the franco-scottish relations during the war.
Aurore Evain - Thu 16 Aug 2.00 - 4.00 pm
Organized in collaboration with the University of Edinburgh, this conference entitled "The Matrimoine", by artist and scholar Aurore Evain will question the position of the first female actresses and playwrights to consider the everlasting presence of women in creation.
Clémentine Beauvais - Tue 21 Aug 4.00 - 5.00 pm
Clémentine Beauvais is a French children's author living in the UK. Her Piglettes won France's biggest children's book prize, the Prix Sorcières. She will talk about her new teenager book, Brexit Romance, staging with humour and emotion love and friendship relationships in the new Brexit context.
Gael Faye - Fri 24 Aug 6.00 - 7.00 pm
French-Rwandan Gaël Faye is not only a writer, but also a composer and rap artist in the pure hip hop tradition who received the prestigious Victoires de la Musique Award in 2018. This informal event in the Institut's médiathèque will look at Faye's career as a multidisciplinary artist and his award-winning debut novel, Small Country.
Jean-Pierre Filiu - Fri 25 Aug 3.00 - 4.00 pm
Distinguished historian, professor of Middle East Studies, former advisor to the French Prime Minister, Jean-Pierre Filiu has recently published a graphic novel exploring the history of relations between America and the Middle East. He will talk about his career as a diplomat and a professor.
Stéphane-Yves Barroux - Sun 26 Aug 2.30 - 3.30 pm
Stéphane-Yves Barroux worked as an art director before working in chidren's illustration and press cartoon. The rencontre littéraire in which he will take part will be about the work of an illustrator.
from Institut Français Écosse http://www.ifecosse.org.uk/Rencontres-Litteraires.html via IFTTT
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manouchka-june-blog · 6 years
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La princesse retrouvée
Le vendredi 16 février 2018, nous avons pu assister au Nouveau Théâtre de Montreuil à une conférence-spectacle intitulée À la recherche de la Princesse de Montpensier, menée par la compagnie La Subversive.
Ce spectacle met en scène quatre femmes, Aurore Evain à la mise en scène et qui tient le poste de conférencière, Anne Cosmao au jeu, Amal Allaoui au chant et Marie Langlet au luth théorbe et à la guitare. Alternant les genres et les discours, ces femmes explorent la première œuvre de Madame de La Fayatte, La Princesse de Montpensier. Publiée en 1662, cette nouvelle annonce le chef d’œuvre de Madame de La Fayette La Princesse de Clèves, paru en 1678 et ouvrage fondateur pour la littérature française du XVIIè siècle. Cependant, contrairement à cette dernière, la Princesse de Montpensier est tombée dans l’oubli et demeure aujourd’hui trop méconnue, bien que faisant partie du matrimoine littéraire français.
Partant de l’affligeant constat que la littérature écrite par des femmes en France est systématiquement soit méprisée, soit oubliée, les quatre artistes de La Subversive mettent en œuvre tous leurs talents pour réhabiliter l’une des plus grandes autrices françaises. Ainsi, le spectacle présente Madame de La Fayette au public, et en dresse un portrait flatteur et complice. Comtesse parisienne née en 1634 et morte en 1693, Marie-Madeleine de Lafayette se distingue par son ingéniosité et son talent pour l’écriture. Fine observatrice des mœurs de la petite noblesse et habituée des mondanités parisiennes, La Fayette écrit sur des personnes de son entourage, et s’inspire de ce qu’elle vit pour écrire ses livres, précurseurs du roman moderne.
La compagnie La Subversive propose une déambulation rythmée par les mélodies de Amal Allaoui dans la vie et l’œuvre de La Fayette, tout en élargissant le débat à la question de la présence (ou ici, l’absence) des femmes autrices dans les programmes scolaires et dans la mémoire collective en France. Sans jamais verser dans la plainte, ces artistes recourent plutôt aux interrogations et à la révolte face à cette injustice perpétrée depuis des siècles envers les femmes qui écrivent. Aurore Evain éclaire cette question de son œil d’historienne et livre une analyse complète des raisons et des mécanismes qui poussent une société à taire la moitié de son patrimoine culturel, qu’elle nomme très justement le « matrimoine ». En écho à la violence des combines amoureuses de la cour subies par la Princesse de Montpensier, ce spectacle expose la violence de traitement infligée à l’œuvre de La Fayette par les critiques d’hier et d’aujourd’hui, la plupart du temps avec pour seul justification l’appartenance de Madame de La Fayette au genre féminin.
À la recherche de la Princesse de Montpensier est donc un spectacle riche qui offre plusieurs perspectives autour d’une œuvre bien malheureusement oubliée. Si le spectacle gagnerait à être encore un peu retravaillé - quelques longueurs et hésitations méritent un peu de peaufinage- l’ensemble réussit brillamment le pari d’être instructif, divertissant et militant.
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illustration représentant Madame de La Fayette
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lejournaldupeintre · 2 years
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Aurore Evain
Aurore Evain https://lejournaldupeintre2.wordpress.com/2022/08/10/aurore-evain/ — À lire sur lejournaldupeintre2.wordpress.com/2022/08/10/aurore-evain/
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[BORD-PLATEAU] 🎭🖋️👩‍ Une rencontre sera prévue à l'issue de la représentation de Presqu'illes, cabaret sur la féminisation de la langue française de la Compagnie M42 le 24 avril au bar du Théâtre La Reine Blanche scène des arts et des sciences avec Aurore Evain, autrice, metteuse en scène & chercheuse. Elle est artiste associée du Théâtre des Îlets – CDN de Montluçon et de la Ferme de Bel Ebat – Théâtre de Guyancourt. Ses recherches et créations sont consacrées à la remise en lumière du matrimoine. Elle co-dirige une Anthologie du Théâtre de femmes de l’Ancien Régime, a publié un essai sur L’Apparition des actrices en Europe et mené une recherche pionnière sur l’histoire du féminin « autrice » (éditions iXe). Sa mise en scène du Favori, de Madame de Villedieu est la première reprise en France de cette tragi-comédie jouée en 1665 par la troupe de Molière, et sera représentée du 9 au 19 mai 2019, au Théâtre de l’Epée de Bois (Paris, Cartoucherie de Vincennes). Le texte « Presqu’illes » sera disponible sur le site des Editions Ixe en collection ixe prime : www.editions-ixe.fr/categorie-produit/ixe-prime
& en librairies à partir du 28 avril, quelques exemplaires seront en vente lors des représentations du spectacle !
Du 24 au 27 avril Réservations au 01 40 05 06 96 ou sur www.reineblanche.com/calendrier/theatre/presqu-illes
© Cécile Dureux
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