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#Restauration collective Maroc
latribune · 19 days
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Location de Voiture Casablanca Pas Cher
Location de Voiture Casablanca Pas Cher : Trouvez la Meilleure Offre pour Votre Voyage
Vous planifiez un voyage à Casablanca et cherchez une location de voiture pas cher ? Vous êtes au bon endroit ! Casablanca, la plus grande ville du Maroc, est une métropole dynamique où se mêlent tradition et modernité. Pour explorer cette ville vibrante en toute liberté, louer une voiture est la solution idéale. Voici comment trouver une location de voiture à Casablanca pas cher et profiter pleinement de votre séjour.
Pourquoi Louer une Voiture à Casablanca ?
Casablanca est une ville aux multiples facettes : ses quartiers modernes contrastent avec la vieille médina, et ses larges avenues sont bordées de palmiers et de bâtiments art déco. Pour découvrir toutes ces merveilles à votre rythme, une voiture de location s’avère indispensable. Elle vous permettra de vous déplacer facilement entre les sites touristiques, les restaurants renommés et les plages environnantes.
Conseils pour Trouver une Location de Voiture Pas Cher à Casablanca
Comparer les Offres en Ligne : Utilisez des comparateurs de prix pour trouver les meilleures offres. De nombreux sites permettent de comparer les tarifs de différentes agences de location en un clin d’œil.
Réserver à l’Avance : Les prix des locations de voiture peuvent fluctuer selon la saison et la demande. En réservant plusieurs semaines, voire plusieurs mois à l’avance, vous pouvez bénéficier de tarifs avantageux.
Opter pour une Petite Voiture : Les petites voitures sont généralement moins chères à louer. Elles sont également plus faciles à manœuvrer dans les rues étroites de Casablanca.
Vérifier les Avis des Clients : Consultez les avis des clients pour choisir une agence de location fiable. Les retours d’expérience peuvent vous donner une idée de la qualité du service et de l’état des véhicules.
Profiter des Promotions et Codes de Réduction : Recherchez des codes promotionnels ou des offres spéciales qui peuvent réduire le coût de votre location.
Que Voir à Casablanca avec Votre Voiture de Location ?
Une fois votre voiture louée, ne manquez pas de visiter les sites incontournables de Casablanca :
La Mosquée Hassan II : L'une des plus grandes mosquées au monde, avec une vue imprenable sur l'océan Atlantique.
Le Quartier des Habous : Aussi connu sous le nom de Nouvelle Médina, ce quartier regorge de petites boutiques et de cafés pittoresques.
La Corniche : Une promenade en bord de mer avec de nombreux restaurants, bars et clubs de plage.
Le Musée de la Fondation Abderrahman Slaoui : Pour les amateurs d'art et d'histoire, ce musée offre une belle collection d'œuvres d'art marocaines.
Conclusion
Louer une voiture à Casablanca est le moyen le plus pratique pour découvrir cette ville fascinante et ses environs. En suivant nos conseils, vous pouvez trouver une location voiture Casablanca et profiter pleinement de votre séjour sans vous ruiner. Bon voyage et bonne route !
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castmere · 3 months
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https://www.gibbys.com
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1939-wizard-of-oz · 4 months
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Une impressionniste oubliée sort de l’ombre au musée de Pont-Aven : Anna Boch
Arts et Expositions
Par Guy Boyer le 06.02.2024
Montée avec le musée d’Ostende, l’exposition consacrée à la femme peintre et collectionneuse Anna Boch (1848-1936) permet de découvrir cette figure méconnue de la période impressionniste et postimpressionniste venue en Bretagne en 1901 et 1912.
Premier événement à bénéficier de la générosité du musée d’Orsay en parallèle à l’exposition « Paris 1874. Inventer l’impressionnisme » (du 26 mars au 14 juillet), l’exposition « Anna Boch. Un voyage impressionniste » au musée de Pont-Aven, jusqu’au 26 mai, met au cœur de son parcours le Portrait d’Eugène Boch de Vincent Van Gogh (1853-1890) prêté par le musée parisien. Cette œuvre importante souligne les liens de cette famille belge avec l’avant-garde des années 1890 et leur goût de la collection.
Collectionneurs de Van Gogh, Gauguin, Marquet
L’exposition commence par la carrière de peintre d’Anna Boch, de ses débuts en Belgique jusqu’à ses voyages en Bretagne et dans le Sud de la France. Malgré certaines œuvres assez faibles, le corpus de cette artiste méconnue surprend par certains éclairs de génie et plusieurs emprunts à ses contemporains comme Segantini ou Valtat. Vient ensuite une section dédiée à ses différentes demeures et ses commandes à des artistes Art Nouveau comme Victor Horta (une réussite) et Maurice Denis (un échec). L’un des chapitres les plus passionnants reste celui consacré à ses collections artistiques puisqu’Anna Boch et son frère Eugène possédaient des Ensor, Gauguin, Van Gogh, Émile Bernard, Paul Signac, Henry Moret et Albert Marquet.
Une fortune de faïence
En Belgique, le père d’Anna Boch est célèbre car il est le fondateur de la société de faïencerie Boch frères (antenne belge de Villeroy & Boch). La famille vit confortablement dans le château de La Closière, près de La Louvière. Dès les années 1870, Anna Boch décore des plaques, plats et assiettes en camaïeu de bleus. Dans ces premières créations de céramique, on peut retrouver des traces de sa formation auprès d’Isidore Verheyden, un peintre de plein air (ne pas manquer son incroyable portrait par Anna Boch, où on le voit penché sur un tableau posé en biais).
Avec le groupe des XX
Dès 1885, Anna Boch rejoint le salon des XX, un cercle artistique fondé par son cousin Octave Maus, où exposent James Ensor et Jan Toorop mais aussi une quantité d’invités étrangers. C’est là qu’elle voit les dernières nouveautés artistiques, du divisionnisme de Segantini au pointillisme de Seurat. On reconnaît dans le travail d’Anna Boch une solidité de la composition (ici le reflet du bouquet de fleurs dans un miroir) et une harmonie des couleurs.
Une famille voyageuse
Aimant se déplacer facilement, Anna Boch achète une Minerva en 1907. On la voit ici, à bord de l’automobile, parmi les paysages du Midi de la France. Deux tableaux superposés permettent de comparer son style et celui de son frère. Devant un même paysage méditerranéen surmonté d’une tour sarrasine, on voit leurs approches différentes. Lui (en haut) schématise la composition, elle (en bas) joue des effets de matières et de couleurs. Même le chauffeur, Albert Lepreux, est de la partie et plante son chevalet avec eux dans la nature, de la Normandie au Maroc.
La Bretagne en deux temps
En 1901 et en 1912, la troupe sillonne la Bretagne. De Bénodet à Carhaix, Anna Boch en ramène des paysages maritimes. Aux plages des bords de l’Odet du premier séjour succèdent les falaises et rochers de la Bretagne du nord. Les grands formats panoramiques sont ensuite remplacés par des toiles au cadrage resserré.
Des commandes aux artistes
C’est l’architecte belge Art Nouveau Victor Horta qui restaure en 1895 la villa d’Anna Boch dans le quartier de Saint-Gilles à Bruxelles. Huit ans plus tard, la commanditaire déménage dans une maison construite par Paul Hermanus à Ixelles, où elle fait transporter le décor de Horta, cheminée comprise. Elle imagine également un grand décor qu’elle confie à Maurice Denis mais devant toutes les allégories antiques que celui-ci propose, elle préfère renoncer.
En pleine nature
L’exposition se conclue par une section plus faible consacrée aux liens d’Anna Boch avec le groupe de peintres luministes Vie et lumière. Les scènes bucoliques de ramasseurs de glands ou de ramendeuses de filets, qu’elle réalise alors, perdent en nervosité et en contrastes colorés. Pourtant, c’est l’époque d’une certaine reconnaissance publique en France puisqu’elle expose à la galerie Druet en 1908. Dans les années 1930, elle organise le devenir de ses collections, donnant plusieurs œuvres aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ou au musée d’Ixelles.
https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/impressionnisme/une-impressionniste-oubliee-sort-de-lombre-au-musee-de-pont-aven-11189177/
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PLAGE DE CALHETA - MADÈRE
Coordonnées GPS:  32.72035, -17.17830
La plage de Calheta, située sur la côte Sud de Madère, est une plage artificielle dont le sable doux a été importé directement du Maroc et du Portugal.  Elle a été inaugurée en 2004.  Son accès est gratuit.
En fait, il s’agit d’un lagon qui a été créé avec des digues et une plages de sable a été érigée à chaque extrémité.  La baignade y est sécuritaire.
Ce site dispose d’un restaurant et offre le service de chaises longues et de parasols ($).
On retrouve plusieurs espaces de stationnement payants à proximité de cette plage.
Pour les amateurs de sensations fortes, vous trouverez un bungee situé à quelques pas de cette plage.  Il vous permettra d’effectuer un saut au-dessus de l’océan.
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AUTRES VIDÉOS DE MADÈRE:
https://www.youtube.com/playlist?list=PLlRroQCNvchtukyPhxHvFWcyoxp_RR9kb
ABONNEZ-VOUS  ► https://www.youtube.com/c/SouthAngelVideo?sub_confirmation=1
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itsleela · 3 years
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samifre · 4 years
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referencemaroc-blog · 5 years
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#AGADIRCITY #MOROCCO
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zinebcharifi-blog · 7 years
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Ansamble Maroc société régional à Casablanca spécialisée dans la restauration collective pour les entreprises et les professionnels
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latribune · 2 months
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Ansamble maroc est le leader de restauration collective au Maroc.
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valeran10 · 3 years
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Restauration collective
Notre entreprise de restauration collective à Casablanca ansamble maroc est le leader de restauration collective au maroc.
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salmamohtadi-blog · 7 years
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Dans les villes touristiques au Maroc le tourisme culturel a collaboré de façon significative dans l’évolution du concept de restaurant collective  marocain, comme étape importante pour les touristes étranger dans la connaissance de la richesse marocain et donc de la culture marocaine.
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mounima-blog1 · 5 years
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MARDI 29 JUIN 2021 (Billet 2 / 3)
C'était un vieux rêve devenu réalité pour François Pinault : ouvrir un musée à Paris pour présenter une partie de sa collection d'art contemporain.
Après un premier projet abandonné sur l'île Seguin, à Boulogne-Billancourt (92), l'homme d'affaires français avait finalement trouvé un accord avec la Mairie de Paris – propriétaire de la Bourse de Commerce – il y a plus de cinq ans. Via un bail emphytéotique, celle-ci avait ainsi accepté de lui confier l'intégralité des droits d'exploitation du site pendant cinquante ans.
Baptisé « la Bourse de Commerce - Pinault Collection », ce tout nouveau musée – situé 2 rue de Viarmes (1er) dans le quartier des Halles en plein coeur de Paris– fera donc partie du patrimoine parisien pour au moins un demi-siècle. En lieu et place d'une ancienne halle au blé datée du XVIIIe siècle, transformée en Bourse de Commerce au XIXe siècle et désormais façonnée par l'architecte japonais Tadao Ando.
UNE COLLECTION ÉCLECTIQUE
Là, sous une grandiose coupole de plus de 35 mètres de haut magnifiée par un cylindre en béton dont les murs mesurent plus de 9 mètres, les visiteurs ont accès à une exposition inaugurale baptisée « Ouverture ». Elle est composée de près de 200 œuvres, datées de la fin du XXe siècle et du début du XXIe siècle et signées par plus de 30 artistes.
UN MUSÉE SUR 4 NIVEAUX
Ce musée de 10.500 m2, dont 7.000 m2 dédiés aux expositions, est réparti sur 4 niveaux, avec un total de 10 espaces d'expositions. Au rez-de-chaussée, se trouvent la Rotonde sous la coupole ainsi que le Passage, l'espace d'exposition circulaire qui fait le tour de la Rotonde. Enfin, la Galerie 2 offre également un important espace d'exposition.
Au premier étage se trouve la Galerie 3, alors que le deuxième étage abrite une enfilade de quatre galeries d'expositions (les Galeries 4, 5, 6 et 7).
Au sous-sol ont été installés un auditorium de 284 places, destiné à accueillir des conférences, des projections ainsi que des concerts, et le Studio, vaste boîte noire « propice à la présentation d'oeuvres vidéos et sonores ». Ils sont entourés du Foyer, pouvant également accueillir des performances.
Enfin, le troisième et dernier étage est occupé par le restaurant, indépendant du musée, baptisé « La Halle aux Grains », pensé par Michel Bras et son fils Sébastien. Ce restaurant-café est ouvert de midi à minuit, y compris lorsque le musée est fermé.
UNE TRANSFORMATION COÛTEUSE
Les travaux – finalement estimés à 160 millions d'euros, contre 108 millions lors des premières estimations en 2017 – ont été entièrement pris en charge par des fonds privés ainsi que par la famille Pinault, sans exemption d'impôt.
La Mairie de Paris, en sa qualité de propriétaire, recevra ensuite 7 millions d'euros de redevance les deux premières années d'exploitation, puis 60.000 euros par mois pendant les quarante-huit années restantes.
(Source : « cnews.fr »)
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Nous avions réservé pour le 28 juin sur le site Internet du Musée lorsqu’il a été inauguré car les premiers jours étaient archi-complets et, à l’époque, nous devions partir sur Marrakech et ne rentrer que le 24 juin.
Finalement nous ne sommes pas allés au Maroc et l’avons donc découvert hier. Plutôt que de vous écrire longuement ce que nous en avons pensé, JM a préféré réaliser un petit slide-show avec une sélection de ses photos pour le mettre sur le Blog… et ce sera à vous de voir si cela vous donne envie d’y aller ou pas.
Quant à nous, nous donnons ♥♥♥♥♥ au lieu (et surtout à sa transformation en Musée par l’architecte japonais Tadao Ando !).
Vous dire par contre que nous avons tout aimé des œuvres présentées serait vous mentir mais certains tableaux ne nous ont pas laissés indifférents et les « poupées de cire » du plasticien Urs Fisher, au centre de la rotonde, oeuvres éphémères puisqu’elles ont été « allumées » le jour de l’inauguration, il n’en restera plus rien dans quelques semaines ou quelques mois (selon leurs tailles)… nous ont plus que troublés.
Une fois rentrés à la maison, nous avons décidé de prendre une carte d’abonnement (« Cercle Duo ») car ce Musée n’a pas été conçu pour accueillir une collection « permanente » (comme au Louvre par exemple). Les différentes Galeries sont appelées à accueillir d’autres œuvres, d’autres artistes… cela nous permettra d’y retourner quand et autant de fois qu’on voudra, c’est un des avantages de cette carte.
Et puis le quartier a aussi changé (en beaucoup mieux bien sûr !). Bref, nous avons passé un excellent moment dans cette « Bourse du Commerce » où il nous reste encore une grande partie des œuvres à découvrir. L’organisation et la gentillesse du personnel, parfaites, nous a rappelé celles de la Fondation Louis Vuitton dans le XVIe arrondissement. Bravo M Pinault pour votre générosité !
Nous dédions très chaleureusement ce Billet à notre cousine Catherine (W. B.) qui s’est offert elle aussi un « Cercle » mais qui, malheureusement, suite à une fâcheuse chute, n’a pas pu encore y aller.
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