Tumgik
#Louise Manteau
filmonizirani-filmo · 2 months
Photo
Tumblr media
Il pleut dans la maison (2023) - Godina: 2023 / It's Raining in the House Žanr: Drama Režija: Paloma Sermon-Daï Glavne uloge: Purdey Lombet, Makenzy Lombet, Louise Ma https://filmonizirani.net/il-pleut-dans-la-maison-2023/
0 notes
cultfaction · 10 months
Text
New trailer released for WOLFKIN
Direct from successful plays at Frightfest and MotelX, Uncork’d Entertainment has acquired Jacques Molitor directed body horror WOLFKIN for a release planned for the summer. Single mother Elaine is disturbed by her son Martin’s aggressive behavior and sudden physical changes, she visits his late father’s estranged family in small-town Luxembourg – where a much darker secret lurks. When she…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
moviesandmania · 11 months
Text
WOLFKIN (2022) Werewolf reviews and US release news
‘Everyone must find their pack’ Wolfkin is a 2022 Luxembourgian horror film about a single mother who realises her son has a dark destiny that she must resist. Directed by Jacques Molitor from a screenplay co-written with Régine Abadia and Magali Negroni. Produced by Gilles Chanial and Olivier Dubois. The Les Films Fauves-Novak Production movie stars Louise Manteau, Victor Dieu, Marja-Leena…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
genevieveetguy · 11 months
Photo
Tumblr media
It's Raining in the House (Il pleut dans la maison), Paloma Sermon-Daï (2023)
1 note · View note
darkmovies · 1 year
Text
Tumblr media
Wolfkin (2022) Date de sortie : Courant 2023 Réalisateur : Jacques Molitor Scénario : Jacques Molitor Avec : Louise Manteau, Victor Dieu, Marja-Leena Junker
1 note · View note
chicinsilk · 6 months
Text
Tumblr media
Harper's Bazaar November 1954
Jean Patchett in a luxurious Jasmine EMBA white mink coat by Ritter Bros., turquoise and diamond jewelry by Van Cleef & Arpels.
Jean Patchett dans un luxueux manteau de vison blanc Jasmine EMBA de Ritter Bros., bijoux turquoise et diamants de Van Cleef & Arpels.
Photo de Louise Dahl-Wolfe
37 notes · View notes
chic-a-gigot · 8 months
Text
Tumblr media
La Mode illustrée, no. 41, 12 octobre 1902, Paris. Manteau du soir avec longue pèlerine. Modèle de Mmes Guermont et Bonnefoy, rue de Provence, 67. Elégante toilette de visites. Modèle de Mlle Louise Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Manteau du soir avec longue pèlerine.
La façon de ce manteau, fait sans manches, est très pratique et permet de le porter sur des toilettes très légères, sans les froisser. On l'exécute en drap mastic orné de piqûres et on le double de ouatine vert Nil.
La pèlerine longue et le bord inférieur du manteau sont prolongés par des volants étroits, coupés en forme et montés à l'aide de plusieurs rangées de piqûres.
On termine la pèlerine par un grand col rabattu en velours vert, encadré d'une baguette piquée en drap mastic, terminée au bord inférieur des devants.
The style of this coat, made without sleeves, is very practical and allows it to be worn over very light clothes, without wrinkling them. It is made from putty cloth decorated with stitching and lined with Nile green wadding.
The long pelerine and the lower edge of the coat are extended by narrow ruffles, cut to shape and mounted using several rows of stitching.
The cape is finished with a large turn-down collar in green velvet, framed by a stitched strip of mastic cloth, finished at the lower edge of the fronts.
Elégante toilette de visites.
Toilette en drap zibeline blanc, garnie de motifs appliqués en guipure crème et de panne verte.
La jupe, doublée à même avec du taffetas blanc, est garnie dans le bas, en forme de volant, avec différents motifs de guipure.
Le corsage blousant, sur une ceinture en panne verte, est orné de pattes en ruban de satin blanc, recouvertes en partie par de la guipure. On masque la fermeture devant sous un jabot en mousseline de soie noire, terminé par des pans en guipure.
Les manches évasées dans le bas, pour former des bouillonnés, sont garnies d'applications de guipure de différentes formes.
Ensemble in white sable cloth, trimmed with applied motifs in cream guipure and green pinstripe.
The skirt, lined with white taffeta, is trimmed at the bottom, in the form of a ruffle, with different guipure patterns.
The blousant bodice, on a green panne belt, is decorated with white satin ribbon tabs, partly covered by guipure. The front closure is hidden under a black silk chiffon frill, finished with guipure panels.
The flared sleeves at the bottom, to form bubbles, are trimmed with guipure applications of different shapes.
22 notes · View notes
gebo4482 · 2 years
Video
youtube
Wolfkin - Jacques Molitor Feature Film - Trailer
Dir: Jacques Molitor Star: Louise Manteau / Victor Dieu / Marja-Leena Junker
4 notes · View notes
preparfa-2025-eponge · 2 months
Text
Post n°19
Storyboard
Texte : Chanson Douce de Leïla Slimani
"Intérieur appartement. Myriam et son fils Adam attendent Louise, la nounou, pour s’expliquer avec elle, sur les marques que l’enfant a sur les bras. Le lendemain matin, Myriam en parle à Louise. La nounou vient à peine d'entrer dans l'appartement. Elle n'a même pas eu le temps d'enlever son manteau que Myriam, déjà tend vers elle, le petit bras nu d’Adam. Louise ne paraît pas étonnée, elle hausse les sourcils, accroche son manteau. Louise : Paul a emmené Mila à l'école ? Myriam : Oui, ils viennent de partir. Louise, vous avez vu ? C'est une trace de morsure, non ? Louise : Oui, je sais. J'ai mis un peu de crème dessus pour la cicatrisation. C'est Mila qui l’a mordu. Myriam : Vous en êtes sûre ? Vous étiez là ? Vous l'avez vu ? Louise : Bien sûr que j'étais là. Ils jouaient tous les deux dans le salon pendant que je préparais à dîner. Et là, j'ai entendu Adam hurler. Il sanglotait, le pauvre, et au début, je n'ai pas compris pourquoi. Mila l'avait mordu à travers ses vêtements, c'est pour cela que je n'ai pas tout de suite su. Myriam : Je ne comprends pas, répète Myriam, en embrassant le crâne glabre d’Adam. Je lui ai même dit que je ne la punirais pas. Elle m'a juré qu'elle ne savait pas d'où venait la morsure. » Louise soupire. Elle baisse la tête. Elle a l'air d’hésiter. Louise : J'avais promis de ne rien dire, et l'idée de briser une promesse que j'ai faite à un enfant m'embête beaucoup. Elle ôte son gilet noir, déboutonne sa robe chemisier et dévoile son épaule. Myriam se penche et ne peut retenir une exclamation, de surprise et de dégoût. Elle fixe la trace brune qui couvre l'épaule de Louise. La cicatrice est ancienne, mais on voit nettement la trace des petites dents qui se sont plantées dans la chair, qu'elles ont lacérées. Myriam : « C'est Mila qui vous a fait ça ?"
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mars 2024
0 notes
lemagcinema · 6 months
Photo
Tumblr media
Chiennes de vie de Xavier Seron
Tumblr media
Un film de Xavier Seron Avec: Jean-Jacques Rausin, Aurora Marion, Arieh Worthalter, Louise Manteau, Mara Taquin, Ninon BorseiLes aventures de Tom, qui pour plaire à Cécile, la fille du concierge, consent à recueillir le Chihuahua de son défunt voisin. Seul problème, cette bestiole, en apparence inoffensive, semble avoir poussé son maître au suicide et vouloir lui faire la peau. Celles de Greta, comédienne et égérie d’une célèbre marque de parfum, dont le chien et l’assistante sont mort·es écrasé·es par un camion. Dans une blanchisserie, elle rencontre Charlotte et lui propose de remplacer son assistante… à moins qu’il ne s’agisse de se substituer à son chien. Celles enfin de Franck et Lola, qui vivent un véritable coup de foudre. Jamais Franck n’avait partagé autant de points communs avec quelqu’un… Sauf un : Lola n’aime pas les chiens. Franck va devoir choisir entre Lola, son nouvel amour et Perdita, sa meilleure amie et le meilleur des chiens.
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/microcritique/chiennes-de-vie-de-xavier-seron/
0 notes
eamjournal · 1 year
Text
Lettre 63
Samedi 8 Avril 2023
Cher Hugo,
Je me suis réveillée vers 12h, heureuse et pleine de vie comme un petit soleil. Un petit message de Thibault me demandant de me réveiller pour ne pas oublier le cinema s'était affiché sur mon téléphone. La synchronisation était parfaite ahah. La séance était à 14h donc je me suis empressée de me préparer pour être à l'heure. Malheureusement pour moi, mes cheveux n'étaient pas bien et j'ai du les attacher pour le premier date. Malgré tout, j'ai tenté de me faire toute belle pour être au top. Je n'étais pas super satisfaite du résultat à cause de mes cheveux mais j'ai fait au mieux. J'ai mis mon manteau et mes lunettes, choses qu'il avait souligné adorer. J'ai marché d'un pas décidé vers le cinéma et nous sommes arrivés quasiment en même temps. Comme à son habitude, on ne va pas se mentir, il était tout beau. J'étais contente de le voir, il était souriant et déjà plein de conneries pointaient le bout de leur nez. Dans l'attente du film, assis dans la grande salle, nous nous sommes gentiment chamaillés, c'était doux et tendre à la fois. Je ne saurais comment le décrire parfaitement, mais c'était cette sensation là. Je me sentais bien, il me regardait avec des yeux tellement brillant et son sourire idiot ahah. Pour parler du film, nous sommes allés voir "je n'oublierai jamais vos visages". Ce choix s'explique par le thème du film qui n'est autre que la victimologie et la renaissance après des traumatismes divers. Il expose la rencontre encadrée entre des victimes et des criminels, que l'on nomme la justice restaurative. Tous les deux très au fait sur l'actualité judiciaire, il paraissait certain que nous voudrions tous les deux voir ce film. Quoi de mieux que de profiter de cette coïncidence pour partager un moment à deux ? Il y avait beaucoup de références dans le film qui nous faisaient penser à la soirée de la veille. C'est ainsi que nous avons échangé beaucoup de rires et de regards complices durant le visionnage.
A la sortie du Cinema, Tib m'a proposer d'aller boire un verre et par la meme occasion, de nous balader. Nous avons déambulé dans les rues du Havre à la recherche d'un bar que je n'ai évidemment pas aidé à choisir. Je me suis délectée de cette tâche pour la lui remettre alors qu'il déteste ca également. Petit pique de la journée qui l'a beaucoup fait rire. Tout le long du chemin nous avons papoté, rigolé. Nous nous sommes poussés, battus et chamaillés comme à notre habitude, folle expression de notre affection commune. C'est finalement au News que nous nous sommes posés afin d'échanger autour d'un verre. J'étais contente de lui consacrer la journée après la soirée d'hier, le date s'était bien passé et il s'allongeait un peu plus. Les choses évoluent doucement, je me permets d'etre un peu plus tactile avec lui que précédemment. Parfois pour l'embêter ou le secouer quand il boude, je lui prends le bras en le secouant légèrement. Une manière de supplier d'arrêter les bêtises ahah. On certainement mignon vu de l'extérieur et je crois que le pire c'est ça. Nous sommes loin d'être idiots donc on sait forcément de quoi nous avons l'air mais avons nous envie d'en avoir conscience ? Je ne pense pas ahah. Au final, aucune conversation à notre sujet n'aura été commencée et aucune avancée physique n'est a noter. Je peux désormais dire avec certitude que si je lui plais autant qu'il me plait, c'est pour de serieuses raisons et non de légères. Il prend vraisemblablement son temps et souhaite faire les choses correctement. J'en suis très contente.
Une fois rentrée chez moi après ce verre, j'en ai profité pour debriefer avec ma meilleure amie. Louise était très contente pour moi, elle n'arrêtait pas de dire qu'elle était certaine que Tib était en crush sur moi. Cette nouvelle me faisait sourire, je ne me sentais pas effrayée. Tu sais quoi ? Je pense qu'en fait, je l'aime vraiment bien. C'est quelqu'un d'intéressant, de serieux et d'intelligent. Il est droit dans ses bottes et se montre profondément gentil avec moi, il ne laisserait pas un malheure m'arriver, je le crois. Alors cette idée me plait, il me plait.
Tard dans la soirée j'ai appris que Tib sortait rejoindre Noam et Martin qui étaient déjà en bar. Je n'étais pas très motivée et je me suis tâtée à y aller avant de me rappeler que je n'avais plus beaucoup de temps avant que Tib ne rentre à Caen, il fallait donc que j'en profite si je le voulais. C'est sur cette pensée que j'ai sauté dans un outfit de choix, j'ai pris mes clés et mon sac direction le centre-ville. Quand je suis arrivée, Tib était deja au News mais Noam allait arriver au Vent. Quand je l'ai croisé il m'a dit de venir avec lui, Thibault lui ayant dit que quand je serai là il arriverait. Il nous a rejoint une vingtaine de minutes plus tard en compagnie d'une autre falucharde. Assez contente de le revoir, il s'est installé à côté de moi sans poser de questions avant que l'on décale dehors. Lors de cette soirée il était très occupé avec les autres personnes et il avait totalement raison de profiter. Ainsi nous ne nous sommes pas tellement chamaillés. Cependant, au fur et à mesure, les gens sont tous partis du vent, même Noam et la falucharde. Tib et moi nous nous sommes retrouvés tous les deux dans le froid, un peu idiot. Le temps passait et quand il a été l'heure de rentrer, monsieur s'est mis à critiquer ma conduite alors que je n'avais aucune carte en main pour faire de meme. Sur cette remarque, nous avons décidé de manière absurde d'aller à sa voiture et de conduire vers la mienne pour en juger. Finalement embarquée dans un énième délire, je me retrouvais quelques minutes plus tard à dévaler les falaises du Havre à bord de la voiture de Tib. Le moment etait doux, nous rigolions, dans le calme et sous les étoiles de la nuit noire. Il etait agreable et concentré, encore un petit rdv me dirais-tu, oui parce que cela y ressemblait beaucoup. Il y a eu quelques regards et sourires plein de tendresses qui n'ont pas réussi à rester enfouis. C'était plus fort que nous. Quand il m'a raccompagné à ma voiture après ce petit tour, il n'est pas parti tout de suite. Je lui ai fait la bise même si le moment aurait été propice pour autre chose. Quand il a baissé sa fenêtre pour m'insulter, j'en ai profité pour le copier en lui demandant un menu maxi best off. C'est sur ce dernier échange que nous nous sommes quittés. En soi, la soirée a été bonne même si j'aurais préféré qu'elle se termine encore plus tendrement. La balade était un beau cadeau et je le conçois, c'est déjà bien pour quelqu'un de renfermé comme Tib. Les choses évoluent petit à petit et alors, peut-être qu'un jour nous aurons cette conversation tant désirée.
Je te souhaite une bonne nuit et j'espère de tout coeur que tu t'amuses à Budapest avec Maud et Jordi. Tu ne me manques plus autant qu'avant mais je te souhaite quand même d'aller bien, je ne supporterais pas que tu n'ailles pas bien. Je t'adore Hugo
M.
0 notes
beatlesonline-blog · 1 year
Link
0 notes
cultfaction · 11 months
Text
Frightfest Fave ‘WOLFKIN’ snapped up by Uncork'd Entertainment
Direct from successful plays at Frightfest and MotelX, Uncork’d Entertainment has acquired Jacques Molitor directed body horror WOLFKIN for a release planned for the summer. Single mother Elaine is disturbed by her son Martin’s aggressive behavior and sudden physical changes, she visits his late father’s estranged family in small-town Luxembourg – where a much darker secret lurks. When she…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
serafino-finasero · 7 years
Photo
Tumblr media
Luki in Balenciaga coat, Paris, 1953 | photo Louise Dahl-Wolfe (American, 1895–1989)
17 notes · View notes
northernmariette · 3 years
Text
Part 2: Countess Potocka at Napoleon’s Court
Here is Part 2 of Countess Potocka's impressions of Napoleons court. She also describes Napoleon's sisters, only one being spared her withering criticism.
     Cette cour, si magnifique de loin, perdait à être vue de près. On y remarquait une sorte de confusion et de désaccord qui en bannissait l'aspect de grandeur et d'éclat qu'à bon droit on s'attendait à y trouver. Auprès de femmes les plus élégantes et les plus richement parées venaient se placer les épouses des maréchaux, peu habituées à porter le manteau de cour. Il en était à peu près de même de leurs maris, dont les uniformes brodés, si brillants à la parade, si beaux sur le champ de bataille, contrastaient désagréablement avec des paroles et des manières assez peu courtoises. Entre eux et ceux d'autrefois, - qui s'étaient déjà ralliés au gouvernement du jour, il régnait une disparate choquante. On eût cru assister à une répétition où les acteurs venaient essayer leurs costumes et répéter leurs rôles. Ce mélange singulier aurait prêté à rire si le personnage principal n'avait inspiré une sorte de respect et de crainte qui faisait disparaître l'idée du ridicule, ou, du moins, en paralysait l'effet.
   Les soeurs de Napoléon ne se ressemblaient nullement.
   Elisa, grande duchesse fe Toscane, joignait aux traits de son frère une expression infiniment plus dure. On lui accordait beaucoup d'esprit et de caractère, je n'ai cependant jamais entendu citer rien de ce qu'elle eût dit ou fait. Les grands ont toujours autour d'eux des échos prêts à répéter ce qu'ils expriment d'un peu remarquable. Le silence est une sorte de négation. Aussi je restai peu charmée.    La princesse Pauline Borghèse offrait le type de la beauté classique, celle qui se retrouve dans les statues grecques. En dépit de tout ce qu'elle faisait pour hâter les outrages du temps, le soir, moyennant un peu d'art, elle enlevait encore tous les suffrages, et pas une femme n'eût oser lui disputer la pomme que lui décerna Canova, après, disait-on, l'avoir contemplée sans voiles.    Aux traits les plus fins ainsi que les plus réguliers qu'il soit possible d'imaginer, elles joignait des formes admirables et trop souvent admirées. Grâce à tant de charmes, son esprit passait inaperçu ;  on ne parlait que de ses galanteries, et certes il y avait matière à longs discours.    La plus jeune des trois, Caroline, reine de Naples, n'était pas, à beaucoup près, aussi classiquement belle que sa soeur, mais elle avait une figure infiniment plus mobile, un teint de blonde éblouissant, une taille, des bras, des mains irréprochables et, sans être grande, un port de reine. On eût dit qu'elle était venue au monde tout préparée au rôle que le sort lui réservait. Quant à son intelligence, il suffit de citer le mot de M. de Talleyrand, qui prétendait que cette tête de jolie femme reposait sur les épaules d'un homme d'état.    Personne ne fut surpris que l'Empereur l'eût choisie pour aller au-devant de sa fiancée. Toutefois, l'énorme distance qui existait entre Marie-Louise et Caroline fit que jamais elles ne purent se comprendre ni s'aimer.        This court, so magnificent from a distance, did not come out well when seen more closely. One noticed there a kind of confusedness and dissonance, removing from it the appearance of grandeur and brilliance which one would have rightfully expected to find within it. Next to the most elegant and richly adorned women were placed the wives of the marshals, little used to the wearing of court trains. It was more or less the same for their husbands, whose embroidered uniforms, so brilliant on parade, so beautiful on the battlefield, offered an unpleasant contrast to ways of speaking and to manners rather lacking in courtly usage. They and those of former times, - those who had already joined that time's government [1], were shockingly ill-assorted. It was as if one was watching a rehearsal where the actors were there to try on their costumes and rehearse their roles. This odd mixture would have been comical if the main actor [Napoleon] had not inspired a kind of respect and fear which caused the notion of ridiculousness to disappear, or at least countered its effect.
   Napoleon's sisters bore no resemblance to one another.    Elisa, Grand Duchess of Tuscany, had the same features as her brother but with an infinitely harder expression. She was said to have much wit and character, yet I never heard mention of anything that she might have said or done. People in high places always have about them echoes eager to repeat whatever they say which would be even a little remarkable. Silence is a kind of negation [of anything being remarkable]. Thus I remained little charmed. .    Princess Pauline Borghèse had the sort of classical beauty one sees in Greek statues. In spite of all she did to hasten the ravages of time, once evening came, with the help of some skill, she still surpassed all [literally: won every vote], and not one woman would have dared to vie with her for the apple granted to her by Canova after he had, it as said, having gazed at her unveiled [2].      
   To the most refined and the most harmonious features imaginable, she joined a figure that was admirable and too often admired. Thanks to so many charms, her wit went unnoticed; only her amorous adventures were talked about, and certainly there was enough material there to provoke much discussion.      The youngest of the three, Caroline, Queen of Naples, wasn't at all near as classically beautiful as her sister, but she had an infinitely more expressive face, the dazzling complexion of a blonde, a figure, arms, hands without flaws, and, without being tall, a queenly bearing. It was as if she had been born entirely prepared for the role fate had in store for her. As for her intelligence, it is sufficient to cite Monsieur de Talleyrand, who claimed that this pretty feminine head rested on the shoulders of a statesman.
   No one was surprised that the Emperor chose her to go ahead to meet his fiancée [Napoleon sent Caroline ahead so that Marie-Louise travelled part of the way in her company before meeting Napoleon]. However, as a result of the enormous differences between Marie-Louise and Caroline, they never were able to understand nor like each other. [1] The Countess refers to the members of ancien régime nobility who had joined Napoleon's court. It it they whom she contrasts unfavourably with Napoleon's marshals. Of course, Davout for one was born into very ancient nobility, which does not prevent her from tearing into him also elsewhere in her memoirs. [2] The Countess refers of course to Canova's famous statue, for which Pauline might (scandalously), or might not, have posed naked: https://en.wikipedia.org/wiki/Venus_Victrix_(Canova)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5463019n/f252.item, pp. 208-219.
It might seem odd that anybody would comment favourably on a woman’s arms. How often does this happen nowadays? But at the time a woman’s arms were the one feature beyond her face, her hands, or sometimes, maybe naughtily, her feet, that would be exposed. 
One constant aspect of Countess Potocka's personality is the scorn with which she portrays almost everyone who is not of ancient aristocracy. She often dislikes people of her own social standing, but she is withering about the ones who are beneath it. The French Revolution upended the old social order and brought to prominence individuals whose talents would never have allowed them to rise in society before. My impression is that she deeply resented this; but then again she was hardly alone in this, as became evident when royalty was restored after the fall of the Empire. 
Be it as it may, she hardly conceals to what extent she considers Pauline Bonaparte a slut. It was thought at the time that being dissolute aged people prematurely, which explains her comment about Pauline doing everything possible to hasten the ravages of time.
Pauline's health was not good. I don't know whether this had anything to do with her having many lovers; people at the time would certainly jump to that conclusion without the kind of proof that today's medical science would provide. Be it as it may, she died aged only 44. Elisa Bonaparte died aged only 43, yet to my knowledge nobody accused her of being wanton, but then again she was said to be ugly.
20 notes · View notes
joaniepencil · 3 years
Text
L’île de l’amour
Tumblr media Tumblr media
Résumé : Rosie revoit un de ses amis, le monstre vert refait surface.
Avertissement : Blessures, méga angst! (Finalement ma fic est assez sombre 😅) Comme toujours les photos ne m’appartiennent pas.
Chapitre 7
Il ne fût plus question de Louise. Marshall continua d’agir comme si de rien était. Il continua de travailler fort et d’aimer follement sa Rosie.
Leur seul désaccord concernait la contraception, chaque matin Rosie prenait sa pilule religieusement même si Marshall essayait de l’en empêcher.
Un matin alors qu’il la prenait à bras le corps pour l’empêcher d’accéder à ses contraceptifs dans sa salle de bain, elle se fâcha.
-Arrête! Laisse-moi prendre ma pilule.
-Arrête-les ! S’il te plaît Chérie. Sa voix et son regard l’implorait. Elle savait à quel point c’était important pour lui. Elle s’assit sur le lit, toute nue, l’emballage de contraceptif dans ses mains. Marshall se passa les mains sur le visage et se recoucha dans le lit les bras en croix.
-Tu étais prête il y a 5 ans pourquoi maintenant tu n’es plus prête? Tu m’as promis…. Tu as changer d’avis ?
-Non, je veux encore des enfants, je veux tes enfants mon amour mais … Elle soupira en triturant l’emballage d’aluminium et le déposa sur la table de nuit. Quand j’essayais d’avoir des enfants, j’avais une belle carrière, un bon salaire, une grande maison. J’étais en couple depuis 5 ans. Ma vie était stable. Elle se leva et commença à s’habiller pour aller travailler. Maintenant c’est différent, plus rien n’est stable. Je sais que tu en veux vraiment mais c’est trop tôt pour moi. C’est quoi l’urgence?
Elle se rendit dans la salle de bain et entreprit de de brosser sa chevelure rouge feu. Marshall la suivit et s’appuya flambant nu dans le cadre de la porte, les bras croisés.
-On est stable nous. Le reste c’est uniquement du matériel. Tu ne manquera jamais de rien avec moi, ma chérie.
Il s’approcha et mit les mains sur ses épaules et appuya son menton sur le sommet de sa tête elle se retourna contre lui.
-Je trouve ça vite, dit-elle en mettant les mains sur sa poitrine.
- Je vais avoir 36 ans ce printemps et je veux plusieurs enfants. Si ça prend du temps avant que tu tombe enceinte aussi bien commencer tout de suite. Il caressa doucement ses joues de ses pouces et lui donna un baiser sur le front.
-Laisse moi y penser pendant que tu vas à Londres. Tu pars quand demain?
-Demain matin. Pourquoi tu ne viens pas avec moi. On pourrait faire un petit Syverson à Londres…
Elle se lova contre sa poitrine.
-Les dernières semaines ont été dures pour moi aussi. Je vais en profiter pour relaxer et j’ai promis à Sarah d’être là.
-D’accord, on en reparlera à mon retour.
-On se voit se soir?
-Bien sur je vais te donner une bonne raison de t’ennuyer de moi.
Marshall partit le lendemain matin pour une semaine de formation sur l’agriculture biologique. Rosie avait envie de passer sa semaine sans lui à relaxer et faire le point sur toutes les nouvelles informations qu’elle avait eu dernièrement mais les choses ne se passèrent pas comme prévu.
Le mardi après-midi, durant la deuxième visite touristique, Rosie eut la surprise de retrouver un ancien collègue de travail.
-Adam qu’est ce que tu fais ici? Dit-elle agréablement surprise pendant que les autres touristes arrivaient pour la visite.
Adam McDreamy était un jeune homme qu’elle avait connu à Londres quand elle y travaillait à la Desjardins Bank. Ils avaient flirté un peu ensemble quand Rosie était devenue célibataire. Ils avaient même couché ensemble après une soirée bien arrosée.
Adam était toujours aussi craquant. Un grand châtain au yeux noisette et au sourire contagieux.
-Je fais un peu de tourisme. On m’a dit qu’il y avait une visite à Saint-Martin fabuleuse. Je suis venu voir et je tombe sur toi. Quelle bonne surprise!
Cette après-midi là, Adam flirtait ouvertement avec elle. Adam était charmeur et de bonne compagnie. À la fin de la visite, il lui proposa d’aller boire un café.
-Désolée, je ne peux pas, je travaille au pub du village ce soir. Pourquoi ne viendrais-tu pas prendre un verre là-bas?
-Super.
Rosie fut bien contente de le revoir au pub ce soir là. Ils parlèrent du bon vieux temps.
-Dis-moi, pourquoi tu ne travaille plus à la banque? J’ai su qu’on t’avait proposé un poste à Londres?
Rosie lui donna une bière et répondit à sa question entre deux clients.
-J’aime Jersey, je suis bien ici. Je me suis fait une nouvelle vie que j’adore.
Durant toute la semaine, Adam fréquenta le Rivers Shack. Un soir, il paya quelques verres à la jeune femme et lui vola un baiser elle le repoussa bien vite même si elle était vraiment éméchée,
-Non, désolé Adam mais j’ai un amoureux que j’aime vraiment beaucoup.
Adam était déçu.
-Pourquoi tu n’en n’as pas parler avant ? On s’est vu toute la semaine. Il est ou?
Rosie bu un shot de gin, elle venait de finir son service.
-Il est en voyage à Londres il revient demain. On a pas parler de nos amoureux voila tout. Je t’ai dit que j’avais une nouvelle vie ici.
Ce soir là, Rosie bu plus que de raison.
-Viens, je te ramène. Tu es torchée.
Les heures qui suivirent furent plutôt floues pour Rosie.
Elle se réveilla toute habillée le lendemain matin aux sons des coups sur la porte. Tout son corps était dans le brouillard. La tête lui tournait.
Adam ouvrit la porte et Rosie entendit des grognements et des éclats de voix.
-Qu’est ce que tu fais dans l’appartement de ma copine?
Marshall était totalement furieux et hors de lui. Les yeux exorbités, il tenait Adam par la gorge au-dessus de la balustrade et le menaçait de son point. Au dessous trois mètres de vide le séparait du sol.
-Marshall!!! Arrête!!! Il n’a rien fait de mal.
Marshall la regardait un instant, ses yeux flamboyants de colère et de jalousie.
-Il n’a rien fait de mal? Il est à poil chez toi!
La pluie tombait drue ce matin là.
-Ta baiser ma femme ? Dit-il en poussant un peu plus sur Adam par-dessus la rambarde.
Rosie essayait de le faire lâcher sa prise sur son ami mais c’était aussi dur que de déplacer un mur de brique. Ils étaient tous les trois trempés.
-Il ne m’as pas touché…
Rosie tira très fort sur son avant-bras mais sa prise glissa en un instant elle bascula dans les escaliers mouillés. Elle roula une première fois tête première puis son pied droit se coinça dans la rambarde stoppant net sa course. Elle hurla de douleur avant de perdre connaissance.
Elle se réveilla dans l’ambulance et se mit à pleurer quand elle comprit qu’elle était fermement attachée à la civière. On avait placé sa tête dans un genre de coussin pour l’empêcher de bouger. De même que ses épaules. On avait mit une couverture entre ses jambes et on les avait attachée ensembles.
Totalement immobile, elle ne pouvait bouger que les yeux et les doigts. La terreur l’envahit toute entière.
-Mademoiselle Gagné rester calme tout va bien aller, lui dit l’ambulancière en lui tenant la main. Elle lui essuya délicatement les yeux complètement indifférents au chaos de la route et au hurlement des sirènes.
-J’ai mal à la jambe… Où est Marshall? Je veux mon homme. Dit-elle en français.
Elle regarda autour d’elle du mieux qu’elle pu.
-Marshall va nous rejoindre à l’hôpital. Ne vous inquiété pas. Tout va bien aller maintenant. On va bien prendre soin de vous.
Le trajet jusqu’à l’hôpital sembla durer une éternité à Rosie mais il ne fallut que quelques minutes pour arriver à l’hôpital de Saint-Hélier.
Rosie pleura de douleur et de peur tout le long du trajet.
On prit des radiographies de tout son corps, sa cheville avait été disloquée, son genou tordu et les muscles de sa cuisse avait faillit déchiré mais somme toute elle s’en sortait bien. On avait craint pour sa colonne vertébrale mais elle n’avait rien à part quelques bleus.
Elle ne revit pas Adam. Marshall se trouvait dans sa chambre quand elle revint de ses examens. Visiblement, il avait l’air inquiet mais il ne l’approcha pas même si elle lui tendait les bras.
-Je vais apporter quelques affaires chez moi, tu ne peux pas monter 3 étages avec une jambes comme ça, dit-il en se levant pour partir.
-Marshall tu es fâché? Je n’ai rien fait de mal.
Le jeune homme lui renvoya un regard triste.
-On en reparlera à la maison.
Il revint la chercher le lendemain quand elle eut son congé. Le trajet de 20 minutes se fit dans le silence le plus complet. Arriver à la ferme, Marshall l’aida à entrer dans la maison la touchant le moins possible.
Rosie ne comprenait rien, il était tellement froid et distant avec elle.
-J’ai installé tes affaires dans la chambre d’amis. Repose-toi, dit-il en sortant par la cuisine.
-Quoi? Pourquoi? Je veux dormir avec toi!
Il hésita la main sur la poigné de porte.
-Tu m’as trompé, je ne veux pas de toi dans mon lit.
Rosie crut qu’elle allait s’évanouir.
-Non!!! Je n’ai pas fait ça…
Marshall sortit en claquant la porte. Les larmes inondaient ses joues avant qu’elle n’ait atteint la chambre d’invité avec ses béquilles. Elle s’assit sur le bord du lit et balança ses béquilles en travers de sa chambre.
« Il pense vraiment que j’ai pu faire une chose pareille? »
Elle fini par s’endormir au bout de ses larmes.
Quand elle se réveilla, il faisait noir dans la chambre. La douleur dans sa chambre était horriblement vive, sa tête lui faisait mal aussi. Elle ne trouva pas ses antidouleurs dans la chambre. Elle prit ses béquilles et clopina vers la cuisine.
À mi-chemin, elle entendit une conversation dans le salon.
-Ça n’a aucun sens Marsh’, elle t’a trompée et tu l’héberge chez toi. Fou la dehors! Disait Sarah.
-C’est de ma faute si elle est blessée, je ne peux pas la laissé…
Rosie s’avança lentement et vit Marshall regarder le feu, un verre d’alcool ambré à la main. Il regardait le feu appuyé sur le manteau de cheminé. Ses épaules affaissées semblaient porter le poids du monde. Sarah était debout au milieu du salon à faire les cents pas autour de la table basse.
-Ce n’est pas ta faute si elle est tombée! Putain Marsh’, si elle n’avait pas coucher avec ce gars on en serait pas là. Rosie s’avança un peu plus, Marshall la vit dans le reflet du miroir au dessus de la cheminée.
-Pourquoi vous ne me demander pas ma version? Dit-elle en cognant rageusement sa béquille au sol.
Sarah s’enflamma.
-Je t’ai vu embrasser ce type qui est venu te voir tous les soirs et il t’a ramené chez toi. Facile de savoir ce que vous avez fait!
Marshall continuait de regarder le feu sans les regarder, Rosie voyait ses mâchoires se crisper de colère.
-Marshall je n’ai rien fait de mal, je ne t’ai pas trompé. Mon amour …
Sarah monta les deux marches qui séparaient le salon de la cuisine où Rosie chancelait sur ses béquilles.
-Tu n’es qu’une menteuse, je t’ai vu avec lui !! Cria-t-elle à quelques centimètres de son visage.
Rosie tremblait de tout son corps la douleur, la rage et la peine courait dans ses veines.
-Je n’ai rien fait de mal… Je lui ai dit pour Marshall, je lui ai dit que j’avais quelqu’un dans ma vie…
-Tu gâche la vie de mon frère. Tu ne trouve pas qu’il a assez souffert comme ça?
-ASSEZ! Ragea Marshall. Sarah va-t’en!
-Ne laissa pas cette sorcière t’ensorceler encore!
Elle claqua la porte en sortant.
Rosie était complètement vidée, sa jambe l’élançait terriblement et sa tête aussi.
Elle s’affala sur un banc de l’îlot de cuisine la tête entre les mains. La nausée lui retournait l’estomac tellement elle avait mal.
-Où sont mes antidouleurs? S’il te plaît j’ai mal.
Marshall ne bougea pas toujours absorbé dans la contemplation du feu.
-Est-ce que c’est vrai? Tu l’as embrassé?
Sa voix grave avait des accents encore plus rauques que d’habitude. Rosie se força à prendre de grandes inspirations pour calmer la nausée.
-Où sont mes pilules?
Marshall hurla :
-Réponds-moi!
Rosie se leva lentement, la douleur était si vive, les hauts le cœur la gagnèrent pour de bon.
-Je vais être malade.
Elle clopina vers la salle de bain et s’effondra devant la cuvette pour vomir. Une fois la première vague de nausée passée, elle ferma les yeux la joue sur la porcelaine froide et essayait de calmer les vagues de nausée. Elle se sentait dégueulasse, elle avait besoin d’un verre d’eau et ses médicaments. Tous son corps lui faisait mal, elle avait besoin de l’aide de Marshall mais il ne semblait pas décidé à l’aider. Les larmes continuaient de rouler sur ses joues autant de douleur que de tristesse. Une autre crise de vomissement la terrassa avant que Marshall ne vienne la voir. Il lui donna ses médicaments avec un verre d’eau.
Elle ne réussit même pas à avaler une gorgée d’eau sans qu’elle ne ressorte. La jeune femme n’avait même plus la force d’essayer de se lever. Marshall finit par soulever ses cheveux humides et lui mettre une serviette mouillée sur la nuque. Pour la première fois depuis des heures, Rosie le regarda dans les yeux et y vit tellement de colère et de tristesse.
Elle n’osa rien dire, elle n’avait plus la force de se défendre. La douleur était éblouissante, assise au sol sa jambe était trop tendue.
-J’ai trop mal.
Elle tenta de se lever mais tout devient noir rapidement et elle se sentit glisser sur la céramique.
-Merde ma chérie…
Il la prit dans ses bras et l’emmena semi-consciente dans la chambre d’invité et la déposa doucement sur le lit. Elle se réveilla au moment où il revenait avec un verre d’eau, une bassine, ses médicaments et une serviette froide. Il mit la serviette sur son front. Elle ouvrit les yeux pendant qu’il la bordait doucement. Elle retint son bras faiblement.
-Reste ici j’ai besoin de toi…
Marshall se leva sans la regarder.
-Repose-toi.
Rosie prit ses médicaments et s’endormit les larmes aux yeux.
1 note · View note