Tumgik
#Guerre future
pigeonneaux · 9 months
Text
HENRISITEUR CANON?!? IN MY TIMELINE?!?!?
9 notes · View notes
der-papero · 2 years
Text
Frau Kassiera alla Shell, con un gioco di prestigio, mi ha ciulato 30 centesimi.
Ma la nostra Liebchen non sa che le avevo un paio di minuti prima inculato 1 euro alle macchinette delle toilette.
26 notes · View notes
stevelucienrodrigue · 3 months
Text
=Un voyage chaotique=
Si nous pouvions physiquement reculer de 91 ans dans le temps, et être aptes à changer les résultats de l’élection de 1933 du chancelier allemand qui par la suite déclarera la guerre à la Pologne six ans plus tard en 1939, ce voyage dans notre capsule temporelle serait des plus hasardeux.
Car pendant le voyage en régression dans le temps, la théorie du chaos avec ses millions de variables se collisionnant entre elles, créera un passé qui ne ressemble que peu à nos livres d’histoire.
Par ailleurs, les évènements à venir de cette ère préatomique seront influencés également par la théorie du chaos. Une journée de pluie qui fut est maintenant un jour ensoleillé et ceci peut changer une décision importante d’une personne clé à notre déroulement historique nous conduisant à un futur autre.
Le voyageur incapable de modifier à sa guise le passé qui voudrait remonter vers le 21e siècle perdra ses repères, car amis, famille et patrie seront remodelés par notre théorie du chaos toujours en action indépendamment du facteur temps. L’état de son monde à son départ est maintenant une réalité alternative perceptible que par lui. Ceci pourrait le conduire à la folie !
Nous ne pouvons pas effacer un passé en guerre dû à la théorie du chaos qui modifie tout sur son passage. Nous pouvons cependant améliorer le futur en aimant notre prochain comme l’aîné de la famille qui se bat pour la justice sur tous les fronts ! Tu es une inspiration sœurette !
1 note · View note
Text
Hervé Le Corre - Qui après nous vivrez
Le nouveau Hervé Le Corre, sombre et lumineux à la fois !
RENTREE LITTERAIRE HIVER Que la découverte de ce roman fut difficile ! Mais ça, Hervé Le Corre devait s’en douter en proposant ce début si pessimiste dans Qui après nous vivrez. Cette dystopie, qui se situe au milieu de notre XXIème siècle, raconte le monde d’après, après le point critique écologique, par le récit de trois générations de femmes qui parcourt le siècle sous différentes époques.…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
Mon Passé
Mon Présent
Mon Avenir
Pour Résumer
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mon Passé
Pour
Ma Future
Concernant ce que tu as/peut/pourras lire ce n'était que deux mots que j'assume (maintenant) pleinement car il ne sont que deux definitions véridiques d'une réalité dont maintenant je me refuse à être le seul à porter le secret et les multiples souffrances passées qu'elles soient psychologique, physiques et cætera. Je les répète sans honte. Enfin oui pour l'auteure et l'auteur qui ne sont ce qu'ils ne sont pour moi que sur le papier, j'ai assez confiance en la génétique pour que les gênes puissent suffisamment muter à la création d'un nouvel être humain pour qu'il en soit un totalement différent. Ça s'appelle l'inné. Des décennies de vécu ont confirmées mon étrangeté. Ça c'est l'acquis. Dans cet acquis il y a quelques mots. Juste des vérités incontestables. Juste des incontestables vérités. (Parmi d'autres) :
Maltraitance parentales (on va dire en tout genre dans un milieu bourgeois et favorisé et (je dis ça sans plaisanterie ;) avec amour , juste qu'on a pas la même vision de l'amour,
Violes psychologiques (le mot psychologique est pour respecter ceux ou celles qui en on subient un physique (c'est déjà trop) plusieurs (là l'indicible devient inexplicable, inracontable, inimaginable, inhumain... le mot psychologique est aussi une pudeur, une dernière, la dernière. Devant ce mot le mot exact est incesteS (psychologique) .
(Tellement) plus classiques je croyais ça banal, normal même, puisque mon père disait (sans le jamais le dire, drôle de façon que je respecte pourtant au moins je n'ai pas ces mensonges qui résonnent dans tête et je peux comme homme utiliser ce mot vierge et pur pour moi) qu'il m'aimais...à ça façon... à grands coups de claques, bien souvent ça se limitait à ça c'était juste un peu virile et plus frequent (appartées on appelle ça battre son enfant, choses aussi aggravante pour ce pauvre type que parlante sur lui, sa femme qui lui donnait souvent les "raisons" (mon cul!) de le faire et lui demandait d'arrêter quand elle avait envie d'aller se coucher pour dormir du sommeil du juste, et pour l'ensemble des témoins des hématomes que l'on voyait parfois sur mes joues le lendemain au collège ! Appelons ça des bleus que camarades de classe et tout les adultes none atteint de cécité voyaient. Par contre la cécité morale, le courage, la notion de mission dans son (pauvre) métier et sa (pauvre) vie elles avaient jamais eu de problème ! J'avais une amie très intelligente qui était dans ma classe de la maternelle à la fin du lycée, on habitait depuis toujours à 30 metre dans la même rue, sa mère me connaissait très bien, elle a été mon prof de catéchisme, représentant des parents d'élèves, en primaire, puis au lycée ou elle a été ma prof d'anglais et professeur principale, à part ça c'était une femme de tête surtout pour appeler mes parents qu'elle pouvait mener par le bout du nez...quand c'était pour me faire aller à son église le dimanche matin... que dieu ai pitié d'elle !...
Donc mon père c'est fait mais pas fini (pourtant une simple phrase comportant un mot clé du type "pardon" "excuse" "regret" au singulier je m'en fou si c'est ça sa limite, je lui demande pas une prière en latin qu'il préfère sans même le parler, ni un mot compte triple au scrabble, un poème vu qu'il comprend même pas les miens ou de l'humour il comprend a peine celui de tf1, n'a jamais compris le mien au point que je peux me foutre de lui depuis la nuit des temps face à lui pendant qu'il bouffe comme un porc devant tout le monde... quand il me gueulait dessus (il appelait ça un côté latin, pour ça oui je l'ai toujours entendu parler couramment) de préférence en me tenant et même si il beuglait près de mon oreille pour pas que j'en perde une miette mon nez sentais le repas que j'avais pas pu avaler comme son "vin de table"...je crois qu'il y a deux parenthèse à fermer) ). Trois petits points pour la forme et je reprends le tableau...que les rares de ma mère qui exteriorisait ses nerves parfois physiquement quand sa pudeur était (dépassée) impuissante à rester dans le cadre (débile)mentale (1) avec tout le respect pour ceux qui sont affublés de cette adjectif qui en dit en fait plus sur ceux qui utilisent ce mot réducteur qui ne résume en fait que les limites explicatives de personnes limitées , souvent diplômées médecins dans la médecine ou instituteurs, professeurs, enseignants (j'ai pas été plus loin mes limites du dégoût comme mon dégoût de leurs limites mon arrêtés là) dans l'éducation nationale... À chaque fois que j'entends (et c'est frequent) quelqu'un utiliser ce mot j'insulte consciemment ceux qui utilisent ce mot et qui en sont de vrais et chaque fois j'ai une pensée pleine de respect de gratitude de merci pour une phrase slogan de l'association de monsieur Lino Ventura qui a créé une association pour sa fille (qui pour moi était différente comme tout les êtres humains c'est tout, je le suis comme elle et toi aussi) :
"Vivre ensemble c'est pas débile"
Je referme cette longue parenthèse (moi aussi j'ai été obligé de relire pour savoir de quoi je parlais ou plutôt où j'en étais ;) sur ce que peut être l'amour véritable d'un père pour sa fille et revient (une première et dernière fois officiellement ma vie, comme je l'ai écrit récemment j'ai autre chose non pas à foutre mais à faire du temps qu'il me reste...à Aimer) à feu ma mère. J'ai ma conscience pour moi puisque je lui ai, heureusement, dit tout ça histoire qu'elle meurt moins bête, je ne pensais pas que ça arriverais...aussi vite. une fois comme lui ai dit souvent que je l'aimais, parfois avec ce simple mot, souvent avec des colliers de nouilles ça c'était un truc des maîtresses (mes seules qu'elle a jamais acceptée en fait ni virée de chez moi, pendant 20 ans là où j'ai dormi ou plutôt passé (sensé passé les dernières et plus beaux moments officiellement, j'étais insomniaque naturellement, trop d'idées dans la tête, puis j'avais peur des monstres encore plus quand j'ai vu des reportages dessus à la télévision puis aux cinéma où mes parents m'enmenaient souvent. C'était génial, vraiment. Juste que je me réveillais parfois dans mon vomi, en sueur, sans avoir fermé l'œil de la nuit ou avec 40 degrés de température et desallucinations visuelles avecdes monstres vues dans les fameux reportages. Des fois tout ça en même temps! Je crois que mon cerveau essayait avec ses petits moyens de leurs dire quelques choses! Mais quoi? Mes plus vieux souvenirs de nuits je les passait sous mes draps bien au milieu du lit, c'était mon enfer de canicule chaque nuit, toujours dos au mur en cas d'attaque, je manquais d'air frais et presque d'oxygène, pour survivre je formais en faisant un léger conduit avecdes plis de mes draps impossible à voir par les monstres qui voyaient forcément la nuit car ils existaient que la nuit. Le jour j'étais pénard ... pour d'autres angoisse. Quand ma mère passait me dire bonne nuit j'étais content mais c'était le top départ de l'enfer et je plongeait sous les draps. Elle disait que je "faisait sous-marin"! On dit que les enfants sont naïf, et les parents? Et puis c'était quoi un sous-marin? C'était étanche aux monstres? Si oui comment on y respirait? La réponse m'aurait aidé... ;) lol. J'avais un grand frère ce qui était super car je pouvais découvrir pleins de choses deux ans en avance, c'était mieux que rien. Lui aussi attendait que ça accélère à l'école du savoir. Je crois qu'il a passienté jusqu'au lycée en travaillant. Un peu comme moi sauf que je ne travaillais pas. J'avais dû mal à trouver une raison et comment avoir une moyenne de A+ en primaire. En CE1 j'étais dans une classe à deux niveaux. C'était vaguement plus intéressant les cours de CE2. Par contre en CE2 ca a été la double peine. Premier bulletin de CE2 : A+, commentaire de l'institutrice : "peut mieux faire s'il en a l'envie" ! J'aime pas insulter les femmes mais je le dis à elle comme à l'éducation nationale : "connasse !"...
Mais je m'égare je parlais juste de mon frère aîné qui avait eu la gentillesse de m'inviter à son club cinéma quand il est rentré au collège c'était une chance moi qui était en primaire en CM1! Le film :
"Les Dents De La Mer"...
Bon tout ça reste entre nous, après tout ce ne sont que des banalités que je vais publier en secret sur tumblr pour que ce ne soit jamais lu ni diffusé...
Donc (1) :) :... de la Maltraitance mentale. Après tout si ça la déroulait j'étais croyais elle peut-être que j'étais là pour ça "à portée de main" pour lui faire oublier sa jeunesse passée comme son amour passé pour un homme qu'elle a aimé et avec qui elle m'a fait avant qu'il la traite mal! C'est tout ce que je peux dire avec le must de français que j'ai appris à l'école comme à peu près tout le monde des pays "où c'est qu'on a la chance d'apprendre à écrire" c'est à dire les bases qui approximativement date de l'invention de l'écriture et des décennies de psychothérapie analytique. Je dis pas analyse pour pas recevoir la facture. Là par contre mon ignorance, mon manque de révision (mot toujours et à jamais théorique à mon esprit) et en parlant d'esprit : aux cours de catéchisme interminable donc mille excuses pour les crises de fous rires que j'avais à chaque notre père qu'on recitait à la fin de cette séance de torture hebdomadaire, mettons ça sur la puberté, mon sens critique, le stress de l'école, de ma vie familiale et cætera. Lincroyance en un dieu de carte postale n'a absolument rien à voir avec cela, je respecte absolument toutes les croyances, je connais le notre père toujours par cœur sans jamais le réciter, je ne suis pas hypocrite (moi!..) je vais parfois au cimetière ou je dépose des choses à des personnes et ceci ne regarde que moi. Je ne crois pas en un dieu, en tout cas pas plus qu'en un autre ou qu'en d'autres... je crois en quelque chose. "Dieu est Amour" on a au moins ce point d'accord. Simple parenthèse pour illustrer le fait que je confond le passage de la préhistoire à l'histoire avec la naissance du Christ plus facile à dater... je crois aussi aux extras terrestre, au surnaturel à certains monstres et surtout à l'Amour ! Ça s'est pas une croyance c'est une certitude ! sais absolument pas comment elle savait;) de maternelle, des poèmes, ça c'était mon truc
sont toujours présentes dans ma mémoire, mon corps en garde des cicatrices et maintenant je les arbore fièrement pour l'enfant que j'étais et aussi pour les autres enfants qui ont vécu des choses semblables. Je milite activement à ces sujets depuis très longtemps, maintenant les blessures sont cicatrisé mais j'arbore avec fierté les marques du/d'un/de mon passé simplement comme les souffrances indélébiles comme tout le monde en porte. Personne ne s'excuse d'avoir un nombril ! Mon corps porte juste d'autres traces, seules les plus profondes restent encore visibles, on ne peut voir celles de mon âme, juste les lire pour ceux/celles qui veulent et qui savent. Maintenant : Tant pis et fuck à ceux qui les ont fait (!), et tout leurs complices du Silence ou de la cécité familiale, morale, scolaire, médical, sociétale et cætera. Je sais que les hommes dans la haine resterons toujours à l'âge de pierre ne serait-ce pour continuer à faire le mal c'est à dire leur bien d'être mauvais pour leur jouissances malades de leur déséquilibres conscients et malsains.
Malheureusement pour eux et leurs mémoires auxquelles ils auraient dû penser avant leurs plaisirs violemment malsains et malsainements violents pour les corps et pour les esprits de leurs victimes impuissantes mais des hommes ont inventés l'écriture comme arme de la mémoire et de la justice.
Il arrive (qu')un jour l'enfant prend cette arme pour la vérité et sa justice comme pour surtout que d'autres enfants n'ai pas à en utiliser contre eux-mêmes faute de justice ou contre leurs anciens bourreaux pour faire justice eux-mêmes.
La peur doit changer de camp.
La peur a changé de camp.
La/es souffrances peut-être difficiles à voir mais je l'arbore comme une médaille que la vie m'a offerte. Si elle en ébloui certains ou certaines c'est que leurs cœurs ont été entachés par des noirceurs de leurs âmes, si t'en est qu'ils en ont une.
La mienne pécheresse n'a jamais eu besoin de religion pour chercher un pardon et échapper à l'enfer qu'ils ont créés de leurs vivants, je me confesse chaque jour auprès de ma conscience innocente. Je m'excuse dès que je peux avec mes mots, au pire des cas dans le silence et ma Solitude qui est la seule à voir mes larmes quand j'ai fait un tort et que la personne que j'ai blessée ne peut m'entendre ou n'est plus là à portée de voix ou de mots à temps car je ne l'ai pas été.
Enfin je ne parle même pas de mon grand frère qui ne m'a jamais protégé ni réagi ou combattu les monstres ce qui fait leur complice et presque leur coauteur. Aujourd'hui il repridroduis la maltraitance sans violence physique ni inceste psychologique mais à sa manière qui n'est vraiment pas très belle, je l'ai vu quand je le voyais et maintenant depuis presque mes vingt ans je l'ai vu maltourner, et depuis beaucoup d'années il est infecté avec moi et à dépassé le stade de la maltraitance vis-à-vis de moi. Actuellement c'est insupportable et invivable les choses qu'il m'impose et me fait supporter sans aucune autre raison que son propre plaisir de malade mental agressif, vu cieux et malsains comme malveillant...
Au moins j'ai un (grand) sens de la justice.
Je vais dans son sens. Des fois avec le temps, mais avec/grâce à lui je peux (me) regarder en arrière sans baisser les yeux, bien agir au présent avec chacun/une en le/a regardant dans les yeux, on peut me faire confiance les yeux fermés et je peux préparer un avenir heureux en le regardant droit devant. Les yeux en face.
Le vendredi 19 mai 2023 3heures09.
Brouillon écrit d'une traite que je ne reprendrai pas. Quand on vomi c'est pas pour faire un beau truc qu'on trie pour faire joli. ça fait juste du bien quand c'est fini.
Stéphane
1 note · View note
villefrancois · 1 year
Photo
Tumblr media
Garder l'espoir ? Certains gardent l'espoir, Au lieu de le donner, Autant couper la poire Entre futurs damnés. François Ville #espoir #avenir #futur #climat #guerre #TPMP #Quotidien #citation #proverbe #poeme #poesie #slam #litterature #poete https://www.instagram.com/p/CmgCfW_toAd/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
arobase1987 · 2 years
Photo
Tumblr media
🔹ERREUR CYCLIQUE🔹 #climatechange #endoftheworld #responsability #rechauffementclimatique #guerre #ghostcity #chaos #future #education #patriarchy (at Geneva, Switzerland) https://www.instagram.com/p/Cef7qUOue7-/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
Text
Today, the label luddite is an epithet for someone afraid of technology and the change it can bring. Merchant’s book makes clear that Luddites did not fear automation in the sense of being afraid of the machines or longing for an idyllic past. On the contrary, as Merchant points out, clothworkers were often themselves intimately engaged in improving the technology they used. Some of them proposed paying for job retraining by taxing factory owners who implemented the automating machines, earning the workers the title of “some of the earliest policy futurists,” according to Merchant. These efforts—to use official channels at the local and parliamentary levels—failed, however. With their futures rapidly foreclosing, the clothworkers invoked the fictional Ned Ludd (alternatively, Ludlam), an apprentice stocking-frame knitter in the late 1700s who, the story went, responded to his master whipping him by destroying the machine. Inspired by his act of sabotage against a cruel employer, the Luddites campaigned to halt the spread of the “obnoxious machines.” Soon factory owners found threatening letters signed by Captain Ludd or General Ludd or King Ludd. The letters also allude to another hero of working people from Nottingham, Robin Hood. Merchant argues that the mutability of Ned Ludd served as an organizing symbol akin to a playful but potent meme.
[...]
The Luddites used the tools at their disposal and did so through collective action. Merchant details the day-to-day organizing efforts of the movement’s leaders. We are ushered into a clandestine world of codes and oaths, of backroom meetings and nighttime training. The scheming makes for entertaining reading. But beneath the private planning and public sabotage lurks a more lasting lesson: movements to dismantle automation’s physical infrastructure often depend on building relational infrastructure. Tight-knit communities are extraordinarily important here: they buffered the Luddites from harm and fostered creative thinking rather than merely alienation among adherents and their allies. Increasingly finding themselves wrung out by those in power, these communities coalesced around shared causes that overlooked intragroup differences. This opened space for women, Merchant tells us, to claim the nom de guerre Lady Ludd and charge into markets to demand fair food prices from shop owners and food suppliers. It worked. The “auto-reductions,” as they were called, demonstrate the power of people working together to force change. Similarly, resistance to automation can be creative and provide openings to bring myriad others into the tent.
73 notes · View notes
hedgehog-moss · 1 year
Note
do you ever read scifi or fantasy in french? i am trying to read more sff that was originally published not in english but it's not easy to find 💀
I do! It’s not my favourite genre but one of my friends loves it so I read a bunch of SFF books every year ahead of her birthday to try and find a gift for her. I’m glad I do this because it’s allowed me to discover N.K. Jemisin’s Broken Earth trilogy which was amazing, and I don’t know if I would have picked it up otherwise!
Here are some French-language authors I’ve read or plan to read (unfortunately English translations are few and far between :( I bolded the names for which I found English translations—if you read in another language you can check out the non-bolded authors, there are often translations available in other languages long before English ones)
When it comes to classics you've got Pierre Boulle (Planet of the Apes of course; also Garden on the Moon, which is (deservedly imo) less known), Jacques Spitz (La Guerre des mouches—it was translated but not into English), René Barjavel (The Ice People, Ravage, Future Times Three—I read them a long time ago but I remember them as very sexist even by French classic standards), Bernard Lenteric (La nuit des enfants rois), Alain Damasio (La Horde du Contrevent—maybe too recent to be a classic but it’s everywhere. I was surprised to find no English translation!), Bernard Werber (I feel like he rehashes the same 3 ideas again and again but some of his earlier stuff was fun), Alexandre Arnoux (Le règne du bonheur), Jules Verne of course, Stefan Wul (Oms en série which was adapted into the film La Planète sauvage—Fantastic Planet in English. I like the film better!) And some I haven’t read: Georges-Jean Arnaud, Serge Brussolo (I liked his Peggy Sue series when I was in middle school but it spooked me so much I haven’t dared to pick up any of his SFF for adults, like Les semeurs d’abîmes), Élisabeth Vonarburg.
Newer authors: Estelle Faye (L’arpenteuse de rêves, Un éclat de givre—I tend to like her worldbuilding more than her plots); Sandrine Collette (The Forests—if you count speculative fiction as SFF) (I didn’t like it at all personally but others might), Jean-Philippe Jaworski (I really liked Janua Vera; didn't like Gagner la guerre but it was mainly because I have a low tolerance for rape scenes in fantasy books) (he’s about to be translated into English according to his editor), Stéphane Beauverger (Le déchronologue)
More authors I haven't yet read: Pierre Pevel (The Cardinal's Blades—I've been told it's "17th century Paris with dragons"), Romain Lucazeau (Latium), Laurent Genefort (Lum’en), Christian Charrière (La forêt d’Iscambe), Roland Wagner (La saison de la sorcière), Aurélie Wellenstein (Mers Mortes—I love the synopsis for this one), Magali Villeneuve (La dernière Terre, trilogy)
And non-French, non-anglo SFF authors: Maryam Petrosyan (my review of the Gray House last year was that I understood maybe 1/3 of it but I liked it anyway!), Hao Jingfang (haven’t read her yet), Arkady & Boris Strugatsky (idem), Jaroslav Melnik (I’ve read Espace lointain (originally Далекий простір) but didn’t like it much), Andreas Eschbach (The Carpet Makers), Walter Moers (I read The City of Dreaming Books back when I was still learning German and found it very charming), Liu Cixin (I loved The Three-Body Problem but The Dark Forest was so sexist it made me not want to pick up the third volume), Lola Robles (El informe Monteverde, translated as Memoirs of an Interstellar Linguist), Elaine Vilar Madruga (Fragmentos de la Tierra Rota), Tatiana Tolstaya (The Slynx), Karin Tidbeck (Amatka), Emmi Itäranta (Memory of Water, The Moonday Letters), Angélica Gorodischer (I’ve read Kalpa Imperial and found it only so-so but it always takes me a while to warm up to characters or a setting so I struggle with short story collections. I’ll still give Trafalgar a try) Also my favourite fantasy book as a kid was Michael Ende’s Neverending Story, I was obsessed with it. I re-read it in the original German a few years ago and it was still great.
370 notes · View notes
nemfrog · 1 year
Text
Tumblr media
Dresses for a maid of honor and a bride in the future. Le bon ton d'après-guerre. 1922.
Internet Archive
305 notes · View notes
drsonnet · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media
En près de sept mois de guerre, l’armée israélienne a remodelé Gaza selon ses besoins. Elle rase le bâti sur une « zone de sécurité » de 1 kilomètre environ de profondeur à sa frontière, menaçant de priver durablement l’étroite bande côtière de 16 % de son territoire, notamment de terres agricoles, selon des données satellitaires analysées par Le Monde.
مهم: كيف تعيد إسرائيل تشكيل قطاع غزة؟ يهدف اليمين الإسرائيلي إلى تحويل مدينة غزة المتداعية إلى منطقة عازلة خالية من السكان في الشمال أو إعادة استعمارها.
21 notes · View notes
Text
Tumblr media
Le vent s'engouffre avec insolence par les planches disloquées du vieil hôtel. Edgar, le tenancier à la gueule burinée, frotte un verre avec un torchon qui a connu des jours meilleurs. — Tu crois qu'ils vont pointer leur nez aujourd'hui ? lâche Clara tout en jouant avec le vieux poste qui crachote un air de jazz. Edgar pose le verre et contemple la poussière dansante dans un rayon de lumière. — Ils reviennent toujours ! Pour le charme de l'ancien monde. La porte couine et Monsieur Léon, l’habitué, fait son entrée. — T'as gardé mon poison préféré d'avant-guerre, Edgar ? Son clin d'œil est aussi brillant que sa calvitie. — Pour toi, toujours, rétorque Edgar en tirant une bouteille cachée sous le comptoir. Clara sourit. — Et comment va votre dame ? — Mieux qu'ce vieux rafiot ! s’esclaffe Léon. Elle pense que je vais taquiner le goujon. Si elle savait que je viens m'abreuver d'réminiscences… Soudain, une gamine à l’air débrouillard et au reflex en bandoulière débarque. — Je peux shooter ? C'est d'la balle, on se croirait flanqué dans une autre époque ! Edgar lui lance un regard entendu. — Vas-y, mitraille. Mais même en rafale, ton appareil ne capturera jamais les histoires… La gamine s'installe, son œil vif cherchant l'angle parfait. — J'suis là pour les histoires cachées, moi. Léon lève son verre, amusé. — Alors, t'es au bon endroit, môme. Ici, chaque recoin a son récit. La porte grince une nouvelle fois. Une silhouette encapuchonnée s'avance, brandissant un avis de démolition. — Dernière tournée les croulants ! crache-t-elle d'une voix sinistre. Les regards se croisent, voguant sur le silence lourd que l'intrus vient d’imposer. L'éclat de rire de Léon résonne, défiant le futur. — Immortalise ça, gamine ! Quand les murs tomberont, nos fantômes danseront encore. À la vôtre pour l'éternité !
17 notes · View notes
sciatu · 7 months
Text
Tumblr media
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
SPIAGGIA SENZA SOLE
Una spiaggia senza sole è come una chitarra senza corde un libro senza parole un sogno che non ricordiamo. Eppure, in questo giorno atono senza luce e voci lungo il freddo bagnasciuga qualcuno osserva le onde raccoglie sassi colorati segue le navi scivolare nel blu ascolta ed il vento scuotere nervoso ombrelloni chiusi, barche arenate. Qualcuno insiste testardo ad amare questo mare ora inutile perché la ogni spiaggia è come il bordo della vita vive indifferente e instancabile nutrendo vite ai margini con una forza vitale indomabile come la speranza degli uomini. Per questo c’è sempre qualcuno lungo il suo grigiore infinito, forse i sognatori, o i coraggiosi o forse i più incoscienti ma sicuramente i più innamorati sedotti da questa instancabile distesa da questa liquida energia immortale come la vita. Qualcuno che sa attendere il sole che aspetta che voci e colori tornino sulla sabbia scolorita. Qualche folle, instancabile amante qualcuno presente per vocazione a ribadire speranze e illusioni malgrado le nubi basse ed il vento gelido. Qualcuno che crede nel domani qualche invincibile profeta fermo e risoluto nel suo amore. Così bisogna credere nella vita fedeli ai suoi domani, drogati delle sue pure certezze malgrado le bombe malgrado le stragi la fame ed il dolore qualche poeta inutile qualche cantante da strada o un pittore cieco deve confermare che malgrado tutto la felicità appartiene alla vita che il dolore, come il grigiore è un vestito provvisorio, che la speranza ora assente è come il mare indomabile che la vita è inarrestabile e che le sue onde infinite vincono il nulla, donano nuovi giorni generano altra vita malgrado tutto il dolore malgrado tutte le guerre ed i silenzi, le lacrime che noi uomini ogni giorno doniamo al nostro futuro.
A beach without sun is like a guitar without strings, a book without words, a dream we don't remember. Yet, on this toneless day, without light and voices, along the cold shore, someone observes the waves, collects colored stones he follows the ships sliding into the blue, he listens and the wind shake nervously, umbrellas closed, boats stranded. Someone stubbornly insists on loving this now useless sea, because every beach is like the edge of life, living indifferent and tireless, nourishing lives on the margins, with an indomitable vital force like the hope of men. For this reason there is always someone, along its infinite greyness, perhaps the dreamers, or the brave or perhaps the most reckless, but certainly the most in love, seduced by this tireless expanse from this liquid energy, immortal like life. Someone who knows how to wait for the sun, who waits for voices and colors to adorn the faded sand. Some crazy, tireless lover, someone present by vocation, to reiterate hopes and illusions, despite the low clouds and the freezing wind. Someone who believes in tomorrow, some invincible prophet, firm and resolute in his love for him. This is how we must believe in life, faithful to his tomorrows, addicted to his pure certainties. despite the bombs, despite the massacres, the hunger and the pain, some useless poet, some street singer, or a blind painter, must confirm that despite everything, happiness belongs to life, that pain, like greyness, is a dress temporary, that hope is now absent, is like the indomitable sea that life is unstoppable and that its infinite waves overcome nothingness, they give new days, they generate new life despite all the pain, despite all the wars and silences, the tears, which we men give to our future every day.
22 notes · View notes
hurtbrokenheart · 2 months
Text
Voilà comment sont les choses aujourd'hui. Par où commencer ? Je suis une survivante d'une profonde dépression et je souhaite à tout le monde d'avoir cette fierté un jour. Évidemment, ça ne veut pas dire que mes jours sont remplis de soleil, de paillettes et de sourire. Ça veut juste dire que j'ai récupéré la force de vivre malgré tout ce qui peut me tomber dessus. Je suis encore submergée souvent par mes émotions, mon cœur crie souvent beaucoup trop fort ce qu'il ressent et c'est parfois difficile à gérer. Mais je fais de mon mieux. Oui c'est ça, je fais de mon mieux et pas seulement pour ça, pour la vie en général. J'apprends à canalyser mon anxiété seule, sans me reposer sur les gens ou les cachetons. J'échoue parfois, mais je sais que j'ai le droit d'échouer. Je ne m'en veux pas pour ça. Ou plutôt... je ne m'en veux plus. J'essaye d'accepter toute les émotions à bras ouvert, de pleurer quand l'envie s'en fait ressentir, taper du pied quand je suis contrariée et exprimer mes angoisses quand c'est le bordel dans ma tête au point où je ne m'entends même plus penser. Ah et j'ai des objectifs aussi. Dans le futur je veux dire. Si j'avais su que je m'y verrais un jour dans le futur... c'est fou comme j'avance. Je sais aimer sainement, manger à ma faim sans me priver, sortir dans des lieux publics, faire de nouvelle rencontres, pardonner et surtout j'apprends à m'aimer. Évidemment, la période de ma vie où j'étais au plus bas est encore taboue, je n'aime pas l'évoquer ou m'en souvenir. Mais je sais qu'un jour j'aurai digéré ces événements et que je saurai les accepter.
Je laisse le temps au temps, je me donne le droit d'exister, je me suis pardonné, je me donne la permission de vivre, d'être celle que je suis, de m'aimer. J'ai cessé cette guerre contre moi même car finalement, il n'y aurait jamais eu de gagnant.
Voilà où en est ma vie aujourd'hui. Et toi, comment vas-tu?
17 notes · View notes
from-derry · 3 months
Text
Simone Nelson - Pasteur - 53 ans
Tumblr media Tumblr media
Simone est la première fille et troisième enfant d’une adelphie de sept, du couple Nelson. Élève brillante, elle est aussi la première de sa famille à aller à l’université. Après un cursus remarquable à l’université publique de la ville, Simone se fait embaucher au tribunal de la ville voisine. D’abord remplaçante, son poste est rapidement pérennisé. Se profile alors pour elle un futur tout tracé et radieux. Au sein de la paroisse baptiste que sa famille fréquente, elle rencontre celui qui sera d’abord son fiancé, puis son mari et enfin le père de ses trois enfants. Épanouie, elle mène une vie heureuse, stable jusqu’à la succession de drames qui percutent sa vie de plein fouet.
Des pertes brutales, des membres de son adelphie sont enlevés par la drogue, l’addiction, des guerres dont ils n’auraient pas dû faire partie et ont été les victimes collatérales. Cela a empoisonné leur famille et, contre toute attente, les rapproche tous toujours plus les uns des autres. Pour aider un de ses frères, Simone va à l’encontre de ses principes éthiques et professionnelles – elle use de sa position pour dévoiler des pièces du dossier de son procès. En parallèle, et peut-être parce qu’elle se sent à la fois souillée et parce qu’elle a besoin d’un appui moral, elle s’investit d’autant plus dans la paroisse.
Elle accorde beaucoup de temps à la lecture et l’étude des textes saints, si bien qu’il n’aurait surpris personne – et surtout pas elle – qu’une reconversion se fasse. Elle se consacre toujours autant à sa famille, est une sœur, fille, femme aimante et altruiste, qui rend visite à son frère, prend du temps pour aider ses parents, est présente pour ses enfants.
Lorsqu’elle arrive à Derry, elle est réellement seule pour la première fois depuis des années. Devant initialement être accompagnée de sa cadette – celle-ci a finalement dû abandonner le voyage – à un mariage d’une cousine éloignée, elle se perd en rentrant de celui-ci, se trouvant dans un autre Etat.
Elle découvre une communauté étrangement soudée mais morose. Elle apprend par Beck, au hasard d’une conversation, qu’il n’y a plus de représentant religieux depuis des mois à Derry, personne n’a remplacé le pasteur décédé quelques dizaines de semaines auparavant. Il faut à Simone quelques semaines de réflexion supplémentaires avant d’oser se proposer pour le rôle – et s’adapter à sa nouvelle vie. Elle voit cependant la défection de sa fille comme un signe de Dieu – et sa présence à Derry également. Accueillie d’abord avec une sorte de méfiance de la part des habitants, elle parvient à reconstruire une paroisse à l’image de la ville, un espace où tout le monde peut se recueillir, trouver du silence ou une oreille attentive si besoin.
17 notes · View notes
Text
Qu’est-ce que le progrès au 21ème siècle ?
Voilà bien une idée faussement évidente que celle du progrès, dont on nous parle depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale tandis qu’on passe sous silence l’idée même de 21ème siècle, comme si chacun en comprenait le sens d’instinct. Ce qui m’amène à formuler la contre-interrogation suivante l’idée de progrès est-elle compatible avec celle du XXIème siècle ? Rien n’est moins sûr en vérité, car le progrès tel que nous le connaissons est bien loin de nous apporter les satisfactions escomptées. Par ailleurs, ce siècle diffère de la fin du 20ème en ceci qu’il nous précipite dans un présent traumatisant contrairement aux perspectives qui étaient celles de nos sociétés il y a seulement 40 ans. Il suffit de considérer la façon dont nous avons fantasmé sur l’an 2000, pour réaliser combien nous pouvions relativiser les inconvenances et la toxicité du progrès comme pour mieux rêver à de merveilleux retours vers le futur enchanté
11 notes · View notes