15 nominations pour LA DÉESSE DES MOUCHES À FEU au Gala Québec Cinéma 2021
Une autre année pas comme les autres pour le Gala Québec Cinéma, alors que les salles ont longtemps été fermées, ce qui n’a pas empêché une vingtaine de longs métrages de fiction de prendre l’affiche.
Dans la catégorie Meilleur film, on retrouve quatre des films qui ont été le plus vus et appréciés, soit Le club Vinland, La déesse des mouches à feu, My Salinger Year et Nadia Butterly, ainsi que Souterrain, dont la sortie a été maintes fois reportée, mais qui sera le film d’ouverture des Rendez-vous Québec Cinéma cette semaine.
Alignement semblable dans la catégorie Meilleure réalisation, avec Anaïs Barbeau-Lavalette (La déesse des mouches à feu), Sophie Dupuis (Souterrain), Philippe Falardeau (My Salinger Year) et Benoit Pilon (Le club Vinland), mais l’industrie a préféré Daniel Roby (Target Number One) à Pascal Plante (Nadia Butterly).
Dans la catégorie Meilleur scénario, encore là, les gros joueurs sont tous là: Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille – Le club Vinland, Sophie Dupuis – Souterrain, Philippe Falardeau – My Salinger Year, Catherine Léger – La déesse des mouches à feu, Daniel Roby – Target Number One.
Du côté des actrices, on retrouve Émilie Bierre pour Les nôtres, Marie-Evelyne Lessard pour Jusqu’au déclin, l’actrice américaine Margaret Qualley pour My Salinger Year, Karelle Tremblay pour la coproduction Death of a Ladies’ Man, ainsi que Sarah Sutherland pour Like a House on Fire.
Les acteurs en lice pour l’Iris sont Réal Bossé pour Jusqu’au déclin, Paul Doucet pour Les nôtres, Patrick Hivon pour Mont Foster, Antoine Olivier Pilon pour Target Number One, et Sébastien Ricard pour Le club Vinland.
Dans les catégories « rôle de soutien », on retrouve Sophie Desmarais pour Vacarme, Marianne Farley pour Les nôtres, Éléonore Loiselle et Caroline Néron pour La déesse des mouches à feu, et la mythique Sigourney Weaver pour My Salinger Year chez les dames.
Chez ces messieurs, les finalistes sont Normand D’Amour et Robin L’Houmeau pour La déesse des mouches à feu, Rémy Girard pour Le club Vinland, ainsi que James Hyndman et Théodore Pellerin pour Souterrain.
La catégorie Révélation de l’année est l’une des plus intéressantes selon moi, car c’est un aperçu des visages marquants du cinéma des prochaines années. D’ailleurs, Émilie Bierre et Théodore Pellerin, en nomination cette année respectivement pour un premier rôle féminin et un rôle de soutien masculin, font partie des lauréats passés du prix Révélation. Donc, en 2021, les finalistes sont : Kelly Depeault – La déesse des mouches à feu, Jasmine Lemée – Mon cirque à moi, Rosalie Pépin – Vacarme, Joakim Robillard – Souterrain et Arnaud Vachon – Le club Vinland.
Voici le reste des catégories :
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Iris de la Meilleure distribution des rôles
Deirdre Bowen (Deirdre Bowen Casting) | Heidi Levitt (Heidi Levitt Casting) | Bruno Rosato (Rosato Casting) | Supattra « Pum » Punyadee – Target Number One
Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Les Nôtres
Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Souterrain
Murielle La Ferrière, Marie-Claude Robitaille (Casting Murielle La Ferrière et Marie-Claude Robitaille) – La déesse des mouches à feu
Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) – Le Club Vinland
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Iris de la Meilleure direction artistique
Patrice Bengle, Louise Tremblay – Le Club Vinland
Elise de Blois, Claude Tremblay – My Salinger Year
Sylvain Lemaitre, Louisa Schabas – Blood Quantum
David Pelletier – Mon cirque à moi
David Pelletier – Target Number One
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Iris de la Meilleure direction de la photographie
Jonathan Decoste – La déesse des mouches à feu
François Gamache – Le Club Vinland
Mathieu Laverdière – Souterrain
Tobie Marier Robitaille – La nuit des rois
Sara Mishara – My Salinger Year
MEILLEUR SON
Iris du Meilleur son
Pierre-Jules Audet, Emmanuel Croset, Michel Tsagli – La nuit des rois
Sylvain Bellemare, Paul Col, Bernard Gariépy Strobl, Martyne Morin – La déesse des mouches à feu
Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, François Grenon – Jusqu’au déclin
Stéphane Bergeron, Olivier Calvert, Martyne Morin – Nadia, Butterfly
Luc Boudrias, Frédéric Cloutier, Patrice LeBlanc – Souterrain
MEILLEUR MONTAGE
Iris du Meilleur montage
Aube Foglia – La nuit des rois
Michel Grou – Souterrain
Stéphane Lafleur – La déesse des mouches à feu
Arthur Tarnowski – Jusqu’au déclin
Yvann Thibaudeau – Target Number One
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Iris des Meilleurs effets visuels
Alchimie 24 – Sébastien Chartier, Jean-François « Jafaz » Ferland, Marie-Claude Lafontaine – Jusqu’au déclin
Real by Fake – Michael Beaulac, Marie-Hélène Panisset – Target Number One
The Workshop – Barbara Rosenstein, Josh Sherrett – Blood Quantum
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Iris de la Meilleure musique originale
Olivier Alary – La nuit des rois
Patrice Dubuc, Gaëtan Gravel – Souterrain
Guido Del Fabbro, Pierre Lapointe – Le Club Vinland
Jean-Phi Goncalves, Éloi Painchaud, Jorane Pelletier – Target Number One
Martin Léon – My Salinger Year
MEILLEURS COSTUMES
Iris des Meilleurs costumes
Caroline Bodson – Souterrain
Francesca Chamberland – Le Club Vinland
Patricia McNeil, Ann Roth – My Salinger Year
Noémi Poulin – Blood Quantum
Sharon Scott – Mon cirque à moi
MEILLEUR MAQUILLAGE
Iris du Meilleur maquillage
Kathryn Casault – La déesse des mouches à feu
Dominique T. Hasbani – Jusqu’au déclin
Audray Adam, Sandra Ruel – Souterrain
Joan-Patricia Parris, Nancy Ferlatte, Erik Gosselin – Blood Quantum
Larysa Chernienko, Natalie Trépanier – Target Number One
MEILLEURE COIFFURE
Iris de la Meilleure coiffure
Michelle Côté – My Salinger Year
Stéphanie DeFlandre – Mon cirque à moi
André Duval – Le Club Vinland
Marcelo Padovani – Blood Quantum
Johanne Paiement – La déesse des mouches à feu
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur film documentaire
Errance sans retour – Mélanie Carrier, Olivier Higgins | Mö Films – Mélanie Carrier, Olivier Higgins
The Forbidden Reel – Ariel Nasr | Office national du film du Canada – Kat Baulu | Loaded Pictures – Sergeo Kirby | Ariel Nasr
Je m’appelle humain – Kim O’Bomsawin | Terre Innue – Andrée-Anne Frenette
Tant que j’ai du respir dans le corps – Steve Patry | Les Films de l’Autre – Steve Patry
Wintopia – Mira Burt-Wintonick | Office national du film du Canada – Annette Clarke | EyeSteelFilm – Bob Moore
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris de la Meilleure direction de la photographie | Film documentaire
Sarah Baril Gaudet – Passage
Hugo Gendron, Michel Valiquette – Je m’appelle humain
Olivier Higgins, Renaud Philippe – Errance sans retour
Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey
Marianne Ploska – Prière pour une mitaine perdue
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur son | Film documentaire
Pierre-Jules Audet, Luc Boudrias, Olivier Higgins, Kala Miya – Errance sans retour
Stéphane Barsalou, Claude Beaugrand, Julie Innes – Le château
Marie-Andrée Cormier, Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Prière pour une mitaine perdue
Benoît Dame, Catherine Van Der Donckt – Jongué, carnet nomade
Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Wintopia
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur montage | Film documentaire
Anouk Deschênes – Wintopia
Olivier Higgins, Amélie Labrèche – Errance sans retour
Annie Jean – Le château
Annie Jean – The Forbidden Reel
Alexandre Lachance – Je m’appelle humain
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris de la Meilleure musique originale | Film documentaire
Tom Brunt – Prière pour une mitaine perdue
Martin Dumais – Errance sans retour
Justin Guzzwell, Tyr Jami, Eric Shaw – Sisters: Dream & Variations
Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey
Claude Rivest – Jongué, carnet nomade
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Iris du Meilleur court métrage | Fiction
Aniksha – Vincent Toi | Vincent Toi, Guillaume Collin
Comme une comète – Ariane Louis-Seize | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering
Écume – Omar Elhamy | Les Films Rôdeurs – Jonathan Beaulieu-Cyr, Paul Chotel
Goodbye Golovin – Mathieu Grimard | Golovin Films – Simon Corriveau-Gagné, Mathieu Grimard
Lune – Zoé Pelchat | MéMO Films – Mélanie S. Dubois
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Iris du Meilleur court métrage | Animation
Barcelona de Foc – Theodore Ushev | Theodore Ushev
The Fourfold – Alisi Telengut | Alisi Telengut
In the Shadow of the Pines – Anne Koizumi | Nava Projects – Sahar Yousefi
Moi, Barnabé – Jean-François Lévesque | Office national du film du Canada – Julie Roy
La saison des hibiscus – Éléonore Goldberg | Embuscade films – Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur court métrage | Documentaire
Clebs – Halima Ouardiri | Halima Ouardiri
Le frère – Jérémie Battaglia | Les Films Extérieur Jour – Amélie Lambert Bouchard
Life of a Dog – Danae Elon, Rosana Matecki | Entre deux mondes Productions – Paul Cadieux, Danae Elon
Nitrate – Yousra Benziane | Yousra Benziane
Port d’attache – Laurence Lévesque | Elise Bois
PRIX DU PUBLIC
Le Club Vinland – Benoit Pilon | Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille | Les Films Opale | Productions Avenida – Chantal Lafleur
La déesse des mouches à feu – Anaïs Barbeau-Lavalette | Catherine Léger | Entract Films | Coop Vidéo de Montréal – Luc Vandal
Félix et le trésor de Morgäa – Nicola Lemay | Marc Robitaille | Maison 4:3 | 10e Ave Productions – Nancy Florence Savard
Flashwood – Jean-Carl Boucher | Jean-Carl Boucher | Entract Films | Go Films – Jean-Carl Boucher, Nicole Robert
Jusqu’au déclin – Patrice Laliberté | Charles Dionne, Nicolas Krief, Patrice Laliberté | Netflix | Couronne Nord – Julie Groleau
Like a House on Fire – Jesse Noah Klein | Jesse Noah Klein | Entract Films | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering | Woods Entertainment – William Woods
Mon cirque à moi – Miryam Bouchard | Miryam Bouchard, Martin Forget | Les Films Séville | Attraction Images – Antonello Cozzolino
Mont Foster – Louis Godbout | Louis Godbout | K-Films Amérique | Les Films Primatice – Sébastien Poussard
My Salinger Year – Philippe Falardeau | Philippe Falardeau | Métropole Films | micro_scope – Luc Déry, Kim McCraw | Parallel Films – Ruth Coady, Susan Mullen
Nadia, Butterfly – Pascal Plante | Pascal Plante | Maison 4:3 | Némésis Films – Dominique Dussault
Les Nôtres – Jeanne Leblanc | Judith Baribeau, Jeanne Leblanc, | Maison 4:3 | Slykid & Skykid – Benoit Beaulieu, Marianne Farley
Rustic Oracle – Sonia Bonspille Boileau | Sonia Bonspille Boileau | 7th Screen | Nish Media – Jason Brennan
Le sang du pélican – Denis Boivin | Denis Boivin | Les Distributions Netima | Productions Dionysos – Denis Boivin
Slaxx – Elza Kephart | Patricia Gomez Zlatar, Elza Kephart | Filmoption International | EMAfilms – Anne-Marie Gélinas | Head on the Door Productions – Patricia Gomez Zlatar
Target Number One – Daniel Roby | Daniel Roby | Les Films Séville | Caramel Films – Valérie d’Auteuil, André Rouleau
We Had It Coming – Paul Barbeau | Paul Barbeau | MK2 Mile End | Reprise Films – Melissa A. Smith, Paul Barbeau
IRIS HOMMAGE
Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV)
Représentée par Marc Daigle et Bernadette Payeur
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Une nuit au sommet de la Réunion
J’avais vraiment envie de monter au sommet de l’île (3 070 m), comme j’avais pu le faire à Amsterdam pour apprécier l’étendue du paysage et contenir tout le relief dans un seul tour sur moi-même.
J’ai rempli mon sac à dos de tout ce qu’il fallait pour bivouaquer et j’ai pris le bus pour Cilaos. J’ai choisi de monter par le sentier au départ du Bloc.
A 11h10, je me suis lancée pour 1700 mètres de dénivelé. Et à midi, j’étais sous la pluie. Ça a duré jusqu’au sommet, d’où le peu de photos de l’ascension.
Début du sentier, je ne suis pas encore passée dans les nuages.
J’arrive au sommet à 16h30, en mettant exactement le temps annoncé, sans presque m’arrêter. Trempée comme j’étais, j’avais tout de suite froid !
Le sommet est plongé dans le brouillard alors je monte ma tente dans un des emplacements protégés et je me change en attendant que ça se dégage.
Le goûter qui fait plaisir !
Quand je ressors, la vue est grandiose ! J’ai l’impression d’être un oiseau volant au dessus des nuages, j’en ai presque le vertige !
En contre-bas du sommet.
J’aperçois les nuages qui dévalent dans le cirque de Mafate.
Le vrai sommet, un peu à l’écart.
Voici ma petite installation.
Le soleil finit sa course dans les nuages vers 19h.
Avant de m’endormir, je tente une sortie pour regarder encore le paysage et surprise ! Tout est dégagé ! J’aperçois les lumières des villes et la Lune éclaire le reste des montagnes. Je n’ai pas pris mon trépied-photo alors je cale mon appareil dans les rochers pour des photos longue-pose. Voici le résultat.
La commune de Saint-Pierre et du Tampon avec la constellation de la Croix du Sud juste au-dessus.
La Roche-Ecrite.
La commune de Saint-Benoît et le Piton de la Fournaise.
Tout le style est dans les chaussettes. De la buée commençait à se former sur mon appareil.
Une fois rentrée dans ma tente, tout est calme. Je retrouve le silence, perdu depuis longtemps sur une île lointaine…
J’espère m’endormir pour une bonne nuit malgré le froid mais vers 3h, les premiers cris retentissent ! Les randonneurs de la nuit ont atteint le sommet et ne se cachent pas pour le faire savoir ! Puis les gens arrivent au fur et à mesure et c’est impossible de se rendormir.
Vers 5h, je sors et découvre un horizon flamboyant… ainsi qu’une cinquantaine de personnes !
On voit les lumières des lampes frontales sur le chemin.
Le cirque de Salazie est rempli de nuages.
La foule devant le spectacle de la nature.
Pour descendre, je prends le même chemin et je découvre les paysages.
Un mât météo sûrement.
Chemin vers le Gîte de la caverne Dufour parcouru en 1h20 au lieu de 2h en montée.
Voici la fameuse caverne où se sont installés des randonneurs.
Au col pour descendre vers Cilaos.
Une forêt féerique, même sans la brume.
Arrivée en bas du sentier en 3h50 ! Vive les bâtons de marche !
Je rejoins mes parents et après un bon rougail saucisse et une bonne Dodo, je suis remise sur pieds.
Nous tentons une excursion au Bassin Bleu mais la pluie a rendu les roches très glissantes et nous faisons demi-tour.
Retour à Saint-Pierre pour faire sécher et ranger les affaires ! Je suis fière de moi d’avoir mené cette expédition seule.
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Raconter l’Évangile, quel défi !
Ce n’est pas aux lecteurs de la Rébellution que je vais apprendre que le cinéma influence grandement notre vision du monde. Mais alors nous, dépositaires de la vision du monde révélée par Dieu aux hommes, pourquoi nous priver d’un tel medium ? En toute bonne foi, il existe bien quelques films américains d’inspiration chrétienne, mais qui ne présentent que très rarement des chrétiens ordinaires qui luttent comme chacun d’entre nous avec le doute et les pressions du monde, qui ne sont pas des héros vaillants, et qui faibles ne comptent plus que sur Dieu…
Notre projet
Je m’appelle Léo-Nils Boissier, j’ai 18 ans et avec ma sœur Mélodine qui a 15 ans, nous avons commencé il y a 2 ans à relever le défi suivant : réaliser un long métrage chrétien inspiré du livre Le joyau de la colline d’Andrée Dufour.
En 1943, la famille Santello sauve David Cohen, un jeune juif d’une mort certaine et après la guerre, s’occupe de lui. A travers eux David découvre ainsi Jésus. Mais après 15 ans de cette vie joyeuse, des parents juifs veulent le récupérer, et le coupent totalement de la famille qui l’avait sauvé et aimé. Seul, privé de tout soutien, comment résister à la haine et rester attaché à Jésus ? David découvrira que par ses propres forces, il en est totalement incapable, et devant Dieu il devra se soumettre.
Ce projet de longue haleine veut parler à la fois aux chrétiens qui ressentent parfois un Dieu distant et silencieux, là où nous voudrions voir un Dieu éclatant et miraculeux, résolvant toutes nos difficultés d’un mot ; mais aussi aux incroyants, en présentant de manière réaliste l’action de Dieu et son soutien dans les difficultés, et son œuvre grandiose de salut pour l’humanité.
Histoire
Nous avons lancé ce projet en juin 2017 par l’écriture du scénario et après l’avoir corrigé, nous le soumettions au groupe de jeunes de notre Église. Avec le soutien de Jean-Benoît Lemarinier, le responsable, nous avons recruté tout le groupe.
Le premier semestre 2018 a permis de collecter suffisamment de dons pour une semaine de tournage, le temps que nous prévoyions alors.
Mais par la suite, nous avons eu la chance de voir se rallier à notre projet Guy et Timothée Lefebvre, Audrick Mercier, Georges Efremidis, tous impliqués dans le milieu du spectacle, qui ont alors permis d’envisager un tournage d’une bien meilleure qualité.
Une réunion d’urgence un mois avant la semaine prévue nous a alors fait comprendre que si nous voulions voir ce projet achevé, un tournage en une semaine serait impossible. Nous avons alors décidé de transformer cette semaine du 20 au 26 août 2018 en un temps de formation.
Les deux premiers jours, Guy a proposé une formation théorique aux acteurs, puis nous avons enchaîné avec 4 jours de tournage, où chacun a joué une partie de son rôle. Certes cette formation fut utile à tous, mais je peux dire en tant qu’assistant que la personne qui a le plus changé durant le tournage, c’est Mélodine, la réalisatrice. Au long de la semaine, elle a laissé sa timidité de côté pour prendre des choix artistiques et les exposer devant toute son équipe jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement réalisés.
Et la suite ?
Aujourd’hui, deux bandes annonces et un making of ont été montés et sont disponibles sur YouTube.
Par ailleurs, pour pouvoir trouver les 5 semaines nécessaires nous avons décidé de répartir le tournage final sur deux ans, en 2021 et 2022. De ce fait, une partie de l’équipe ne pourra pas poursuivre ce projet. Les deux prochaines années seront donc consacrées à compléter l’équipe et le budget, mais aussi à préciser le scénario par un story-board, à rassembler des soutiens du milieu cinématographique, à organiser le tournage…
D’autre part, pour faciliter toute cette préparation, nous sommes en train de créer un site internet (agapao.fr) avec des outils de gestion et de réalisation encore à finaliser.
Et vous, que ferez-vous dans ce projet ?
Comme vous pouvez l’imaginer, ce projet nécessite des soutiens en tous genres, financier d’une part, mais aussi des bénévoles, artistes, comédiens, techniciens, développeurs… N’hésitez pas à nous contacter si le projet vous intéresse :
[email protected]
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