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admitis · 4 months
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POURQUOI ET COMMENT RÉINVENTER NOËL CETTE ANNÉE ?
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La pilule commence à passer : on célébrera les fêtes de fin d’année en petit comité. Saisissez cette contrainte comme opportunité pour (re)créer du lien avec les enfants, c’est bon pour le moral. À année exceptionnelle, Noël exceptionnel !
Les restrictions se prolongent et les enfants sont las, eux aussi, des interdictions, des restrictions, du manque de contact humain : sorties avec les copains extrêmement limitées pour les ados (sans parler du port du masque obligatoire), manque de longs câlins avec les grands-parents pour les plus petits… Donc, ne pas pouvoir se rassembler à Noël va être un challenge. Nous ne minimisons pas la tristesse que cela peut causer. Mais nous allons essayer de voir cette contrainte comme source de créativité.
RENFORCER LES LIENS POUR DONNER DU RÉCONFORT
Le lien social, dont on nous parle sans cesse depuis des mois, n’est pas une vue de l’esprit. Ces liens permettent aux enfants d’avoir des personnes relais, à qui se confier. Ils leur permettent aussi de se situer, dans la famille, parmi leurs pairs ou dans la société.
Cette année, les parents vont devoir montrer aux enfants que ces liens persistent. Et l’on pourra même en créer de nouveau.
Que faire pour Noël ?
Pensez à vos proches et montrez-le-leur. Confectionnez des cadeaux de Noël personnalisés en famille, par exemple. Des livres photos, des cookies, des petites déco pour la maison de chacun… Les idées et tutos fusent sur internet. Le temps et l’énergie seront ainsi canalisés vers les personnes concernées, ce qui renforce le lien.
Promenez-vous ensemble. Pendant les vacances, trouvez du temps pour vous promener en pleine nature, en famille. Peut-être même pourrez-vous le faire avec ces proches qui vous manquent tant (l’espace et le grand air facilitent le respect des consignes). La marche lance la conversation et ça, c’est tout bon. Ce sont de vrais moments de qualité que vous pouvez multiplier !
Créez de nouveaux liens. Noël est, plus que jamais, synonyme de solidarité. Il y a certainement une maison de repos près de chez vous. De simples dessins, des lettres, des illustrations rigolotes faites par les ados… feront vraiment plaisir à des gens isolés depuis trop longtemps. Renseignez-vous auprès des organisations dans vos environs, c’est parfois plus facile qu’on le pense d’aider. Cette solidarité renoue également les liens intergénérationnels qui sont si importants pour nous tous à Noël.
GARDER LE MORAL POUR GARDER LA FORME
Faire du bien aux autres, c’est se faire du bien à soi. Et cela apporte le réconfort dont on a tous besoin en ce moment. Préserver sa santé mentale est devenu compliqué cette année et pourtant, cela participe à la santé globale.
Par ailleurs, le moral joue, en chaîne, sur : la motivation, donc la concentration et donc la mémorisation. Conclusion : en termes d’apprentissage, à l’approche des examens ou pendant une session, le bien-être mental des enfants est plus qu’important.
Ces petits gestes du quotidien peuvent vraiment faire la différence. Choisissez ce qui vous convient sans vous mettre la pression. Soufflez et prenez du temps pour vous tous. Et peut-être que ce Noël pas comme les autres vous donnera des moments de joie inespérés.
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admitis · 11 months
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École jusqu’en juillet : trouvez l’équilibre pour garder la motivation des enfants
Le mois de juin et les journées ensoleillées sont arrivés. Avec une nuance cette année : il va falloir tenir jusqu’en juillet. Comment garder le cap jusqu’à la fin des examens ? Tout est question d’équilibre. On vous donne les éléments à mettre dans la balance !
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Aller à l’école jusqu’en juillet, c’est une barrière psychologique à franchir. Les examens et autres CEB auront lieu pendant les anciens jours blancs du secondaire ou journées loisirs en primaire, voire quand les écoles flamandes seront déjà en congé. Autant dire que les enfants ont des chances d’avoir la tête déjà en vacances.
Pour préserver la motivation et surtout la concentration, nous vous proposons de jouer aux équilibristes avec vos routines. 
Maintenir la routine
Comme toujours, c’est en respectant les besoins de base des enfants que l’on crée les meilleures conditions de réussite.
Dormir bien et suffisamment
L’obscurité est nécessaire pour faire comprendre au cerveau que c’est le moment de prendre du repos. Or, en juin, il fait clair très tôt et très tard. Il faut donc occulter les fenêtres un maximum. Cela aura aussi le mérite d’éviter la surchauffe des chambres !
Le truc rapide ? Un grand drap de lit foncé que l’on jette par-dessus la tringle à rideaux ou que l’on punaise autour d’un Velux fait une réelle différence.
Manger sainement
La saison des camions de glaces et des barbecues est arrivée. Sucres rapides et graisses à volonté ! Ce n’est pas exactement le top pour mettre les enfants dans de bonnes conditions de travail car le sucre peut être mauvais pour le cerveau.
Comment marier plaisir et santé en été ? Fabriquez vos propres glaces et sorbets à base de yaourts, de jus de fruits ou de smoothies. Les enfants adorent s’en charger et il suffit de se procurer les moules adaptés. Quant aux barbecues, tentez la grillade de poissons ou de crevettes, préparez des accompagnements sympas comme un taboulé plein de légumes, faites une sauce aux herbes et aux yaourts… Le web pullule de recettes sympas et vitaminées si vous manquez d’idées.
Ménager les emplois du temps
En début d’été, les fêtes et invitations inondent les week-ends. Pensez à vous garder des moments vides chez vous, sans rien de prévu. Cela permet de recharger les batteries en fin de semaine, une phase absolument nécessaire pour toutes et tous.
Casser la routine
S’il faut maintenir une certaine rigueur, c’est aussi le moment de lâcher du lest. Il fait beau, les journées sont longues donc les enfants ont envie de s’amuser dehors. C’est bien normal !
Comment injecter un peu de fun dans la routine pour bien terminer l’année scolaire ?
Adapter les habitudes de travail
Vous pouvez envisager de faire quelques révisions dehors ou avec la fenêtre ouverte si les distractions sont trop nombreuses. Peut-être aussi que les horaires de travail peuvent changer un peu, pour laisser une période de défoulement dehors à la sortie des classes ou après un examen. À vous de voir où vous pouvez ajuster les curseurs. 
Profiter du temps laissé libre par la fin des activités extrascolaires
La plupart des activités extrascolaires ont pris fin. Cela allège fortement l’agenda familial. Ce temps libre, faites-en simplement ce qu’il est : du temps libre de toute engagement. Cela vous fera une soupape pour respirer et même faire les choses qui suivent…
Savourer la saison
Selon l’âge de vos enfants, votre lieu de vie et ce que vous aimez, faites ce que vous offre ce début d’été : cueillez des fleurs sauvages, récoltez vos fruits et légumes en direct à la ferme, jouez au foot dans le parc à la sortie des classes, baladez-vous à vélo au coucher du soleil…
Quoi que vous choisissiez, retenez que tout ce qui peut booster le moral de vos enfants est tout bon pour leur motivation et leur concentration.
Retrouvez nos autres conseils pour une fin d’année en toute sérénité :
2 exercices de respiration pour améliorer la concentration
6 idées pour aborder les examens dans le bon état d’esprit
2 techniques de respiration avant de passer une épreuve
4 clés pour bien préparer ses examens
Méditer pour mieux étudier
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admitis · 11 months
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Les 5 accords toltèques à la portée des enfants
Le mois passé, nous vous présentions ces principes de bienveillance envers soi. Ce mois-ci, nous vous expliquons plus en détail en quoi consistent les cinq accords toltèques et comment les traduire dans une vie d’enfant.
Intégrer les accords toltèques dans l’éducation de vos enfants (ados inclus·es), c’est une vraie bonne idée… Et c’est assez facile à réaliser ! 
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Que ta parole soit impeccable
Quand on est adulte, on est, qu’on le veuille ou non, marqué·e et influencé·e par des paroles qui nous ont été adressées quand l’on était enfant. Hélas, ce sont souvent les paroles négatives qui restent gravées (les ‘tu n’y arriveras pas’, ‘ce n’est pas pour toi’ et autres pensées limitatives). Les enfants vivent déjà cela. Ils et elles sont donc en mesure de comprendre que leur parole a un effet sur la personne en face et qu’il est fondamental de faire attention à ce que l’on dit aux autres.
Comment l’expliquer aux plus petit·e·s ? Ne dis rien que tu n’aimerais pas que l’on te dise.
N’en fais pas une affaire personnelle
Ici, on change de position et l’on se place du côté interlocuteur·rice. L’idée est d’apprendre à prendre du recul afin de ne pas prendre tout pour soi quand l’on entend un jugement, une critique… Cette attitude aide à se protéger intérieurement.
Comment l’expliquer aux plus petit·e·s ? Protège-toi en laissant couler les choses sur toi comme l’eau coule sur les plumes d’un canard. Ne laisse pas l’eau glacée arriver jusqu’à toi.
Ne fais pas de suppositions
« Oh, il me regarde de travers, il doit penser que je suis nul·le. » « Je les vois rire en me regardant, elles doivent se moquer de moi. » « Mes parents sont contrariés, c’est sûrement de ma faute. » « Cette fille est trop cool pour moi, je n’ai aucune chance. » STOP ! On n’a jamais de la réalité que notre vision propre et elle est partielle. Elle ne peut pas refléter la réalité. Alors halte aux suppositions toxiques, qui créent d’énorme malentendus et souvent de la souffrance. 
Comment l’expliquer aux plus petit·e·s ? Si tu veux savoir ce qui se passe, informe-toi auprès de personnes concernées. Freine ton imagination car elle fabrique une fausse réalité.
Cet accord est aussi simple à comprendre qu’il est difficile à appliquer au jour le jour. Il faut du temps et c’est bien normal car ces pensées sont des réflexes qui s’ancrent dès le plus jeune âge !
Fais toujours de ton mieux
Cet accord est notre préféré pour plusieurs raisons. D’abord, il fait s’évaporer la pression de la réussite. Ensuite, il valorise la notion d’effort personnel. Enfin, il est relatif car le mieux peut varier d’un jour à l’autre et c’est très bien ainsi. Si on est au plus bas à un moment, notre mieux sera tout petit. Et ce n’est pas grave. Les jours de grande forme, notre mieux sera au top. Et ce sera grisant.
Comment l’expliquer aux plus petit·e·s ? Cet accord est si simple qu’il parle de lui-même.
Sois sceptique mais apprends à écouter
Cet accord qui complète le quatuor de base nous semble particulièrement pertinent pour les enfants et ados d’aujourd’hui. Ne pas croire les choses sur parole, garder un esprit critique, c’est un must absolu face aux réseaux sociaux, aux fake news ou à l’avancée des intelligences artificielles, capables désormais de générer des textes et des visuels parfois bluffants. Mais il fait aussi savoir écouter, autrement dit, garder l’esprit ouvert aux idées des autres. La clé est dans cet équilibre.
Comment l’expliquer aux plus petit·e·s ? Ne crois pas tout ce que tu lis/vois/entends mais reste à l’écoute des autres.
Ces principes, s’ils sont ancrés dans l’esprit, vont enrichir la relation de vos enfants aux monde. Ce sont de vrais outils de vie. Avec eux, vos enfants développent à la fois leur estime de soi et leur respect des autres.
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admitis · 11 months
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Les 5 accords toltèques à la portée des enfants
Ils sont surtout connus des férus de communication non-violente mais méritent d’être propagés bien plus largement. Les accords toltèques sont des accords de bienveillance que l’on passe envers soi-même. Ils vont permettre aux enfants de prendre leur place dans le monde et s’épanouir sereinement. Découvrez-les !
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À l’origine des cinq accords toltèques, on trouve l’auteur mexicain Miguel Ruiz. Né dans la campagne mexicaine, il est le fils de parents guérisseurs et praticiens des traditions toltèques. Il suit ensuite des études de médecine et pratique quelques années en tant que neurochirurgien avant de frôler la mort. Ceci va transformer sa vision de la vie et l’amener à écrire sur ses découvertes. 
Sorti en 1997, son livre ‘The Four Agreements’ (trad. ‘Les quatre accords toltèques’) a fait un carton sur le continent américain (six millions de copies vendues) après avoir suscité l’intérêt d’Oprah Winfrey. En francophonie, son succès quoique plus raisonnable reste indéniable et l’écrit reste d’actualité plus de 25 ans après sa publication.
Qu’est-ce qui explique le succès des quatre accords toltèques ? Le livre réussit à présenter de façon simple et concrète des principes de vie qui peuvent révolutionner notre rapport au monde. On aime aussi la vision nuancée de l’auteur, à la fois scientifique/cartésienne et philosophique/spirituelle. Le tout fait de cet ouvrage une lecture aisée, agréable et convaincante. Ruiz nous livre en mots clairs des idées évidentes et importantes, auxquelles on porte pourtant trop peu d’attention. 
Pourquoi cinq accords dans le titre de cet article ? Car Miguel Ruiz a publié un second livre : ‘Le Cinquième Accord Toltèque’.
Pourquoi toltèques ? Car ce peuple ancien issu d’Amérique du Sud était notamment réputé pour sa grande spiritualité. Ruiz est imprégné de cette culture.
Quels sont ces cinq accords toltèques ?
Que votre parole soit impeccable.
N’en faites pas une affaire personnelle.
Ne faites pas de suppositions.
Faites toujours de votre mieux.
Soyez sceptique mais apprenez à écouter.
Les accords toltèques n’ont pas spécialement été conçus pour les enfants et ados mais sont extrêmement pertinents pour leur vie quotidienne. Dans le prochain article, nous vous expliquerons plus en détail pourquoi et comment intégrer ces principes dans l’éducation de vos enfants.
Rendez-vous le mois prochain !
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admitis · 1 year
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Cher journal
Le journaling, c’est le journal intime 2.0 : plus libre sur le fond et la forme. Faire du journaling, c’est prendre l’habitude de noter ses émotions, ses pensées, son vécu dans un carnet. Véritable allié de la santé mentale, le carnet peut ainsi devenir le meilleur ami de vos enfants. Découvrez pourquoi encourager vos enfants et ados à faire du journaling !
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1.   Laisser les écrans de côté pour revenir au papier
2.   Exprimer l’intime sans le partager
3.   Mieux se connaître
4.   Laisser courir sa créativité
5.   Ecrire à la main
Pour se connecter à soi
Tout commence par un contact avec le papier, la sensation de la plume qui glisse. Ce retour au tactile offre un moment d’évasion des écrans et réseaux sociaux. Quand on tient son journal, on suspend le temps. C’est une belle occasion pour les ados de se rendre compte qu’il existe un monde hors des vidéos de 10 ou 40 secondes et surtout qu’il existe un monde où tout n’est pas partagé, publié, liké.
Sur le papier, on va coucher ce que l’on a de plus intime, sans fard. Pour les ados, c’est l’occasion, peut-être unique, d’être parfaitement sincère. Plonger en soi puis extérioriser des pensées inavouables est extrêmement libérateur. Cela peut même aider à l’endormissement pour celles et ceux qui ont tendance à ruminer. Tout étant écrit, on peut en effet libérer son esprit.
Au fil des pages, on devient sa·son propre confident·e. On prend de la distance par rapport aux événements compliqués du quotidien (dieu sait si les ados en vivent une multitude, chaque jour !), Tenir un journal devient alors un formidable outil de connaissance de soi. Pour les ados qui sont hyper critiques, vis-à-vis des autres mais surtout d’elles·eux-mêmes, cela leur apporte plus d’indulgence et de douceur par rapport à leur propre personne. Une attitude fondamentale, surtout à cette époque de la vie où la personnalité se construit.
Qu’est-ce qu’on met dans le carnet ?
Le carnet reçoit les coups de gueule ou de blues, les envies, les rêves… Le tout sans filtre aucun. Le carnet se moque du politiquement correct !
Et au texte, on peut ajouter des croquis, des collages, des poèmes, des citations, des listes de souhaits…
Par ailleurs, le journal peut se faire carnet de rêves qui gardera une trace des songes et/ou cauchemars, carnet défouloir pour vider son sac, carnet de croquis ou même carnet de voyage.
Ces pages noircies ouvrent un monde de possibilités, un monde caché des regards, où la créativité peut s’épanouir sans complexe. Le carnet est le lieu ultime où votre enfant, votre ado, sera la·le plus authentique.
Et puis, tenir un journal peut même donner un coup de pouce à l’école car c’est un excellent exercice d’écriture et cela aide à structurer sa pensée.
Quel carnet ? Facile : celui que l’on a sous la main. On peut investir dans un joli cahier tout neuf et tout beau. Mais surtout, plus un carnet est pratique, plus on aura envie d’y écrire. Le format A5 est sympa car il est à la fois assez grand pour dessiner, écrire voire coller en toute fluidité et assez petit pour se glisser dans un sac.
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admitis · 1 year
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ORGANISEZ UN YES DAY POUR ENTAMER L’ANNÉE DANS LA GAITÉ
Imaginez un instant une journée où vous n’auriez pas à dire « non » à vos enfants. Quelle liberté pour vous… Et pour eux ! Le Yes Day, c’est une journée hors du quotidien, hors du temps, pour petits et grands. Découvrez ses bienfaits et c’comment l’organiser avec votre famille.
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Vous avez peut-être découvert les joies du Yes Day dans le film éponyme sorti en 2021. Mais c’est déjà en 2009 que le concept a vu le jour, dans un livre de l’auteure américaine Amy Krouse Rosenthal.
C’est quoi, un Yes Day ?
C’est une journée où vous, parents, pourrez/devrez dire oui à vos enfants, quelles que soient leurs demandes.
Ne partez pas ! On vous voit imaginer les plans les plus rocambolesque, de l’adoption de trois chiens à l’orgie de glace au chocolat.
Pour qu’un Yes Day soit une réussite, il faut le cadrer. 
Aujourd’hui, tout est permis ?
Puisque le Yes Day est un moment fun, donnez à vos enfants les règles du jeu pour que tout se passe bien pour tout le monde.
1/ Le Yes Day dure 24 heures, pas plus, pas moins. Donc tout ce qui est entamé pendant cette période devra se terminer à la fin du temps imparti. C’est ici que vous évitez les choses irréversibles.
2/ On respecte l’hygiène de vie. Cela veut dire qu’on garde un certain équilibre dans l’alimentation, les heures de sommeil, le temps d’écran et l’hygiène du corps. Par exemple, une glace au petit-déjeuner, c’est ok, de la glace non-stop toute la journée, c’est à oublier, aller dormir plus tard c’est ok, passer une nuit blanche c’est à oublier, etc. C’est ici que vous évitez de vous retrouver avec des enfants malades et/ou épuisés.
3/ On respecte la limite de dépenses qui aura été fixée. À vous de voir ce que vous souhaitez dépenser pendant cette journée (ça peut être zéro euro, d’ailleurs). C’est ici que vous évitez que votre compte soit vidé.
4/ On respecte la limite du kilométrage qui aura été fixée. De nouveau, c’est à vous de voir. C’est ici que vous évitez de finir la journée à Pétaouchnok.
5/ On respecte les autres. On n’impose pas au voisinage de la musique à fond pendant des heures, par exemple. C’est ici que vous évitez de vous retrouver en guerre avec vos voisin·e·s.
6/ On choisit le bon moment. Optez pour un jour sans obligation, où vous serez libres ET dans le bon état d’esprit.
Notre conseil en plus ? Si l’idée est de laisser aux enfants libre cours à leurs envies, vous pouvez évidemment apporter des idées en leur rappelant une chose demandée à laquelle il·elle·s ne pensaient pas sur le moment.
Yes Day, une vraie bonne idée
Pourquoi est-il bon de décréter « aujourd’hui, c’est oui ! » ? 
Commençons par vous, parents. Une journée sans rien refuser, quelle soulagement ! Relâchez la pression, oubliez vos règles d’éducation le temps d’une journée et laissez aller. La durée limitée et les règles du jeu évitent la dérives alors, respirez, vous ne risquez rien.
Ensuite, les enfants sont plus que friands de ce genre de chose. Il·elle·s se sentent mis·es en valeur lors de cette journée qui leur est dédiée. Et puis, cela peut resserrer les liens entre frères et sœurs aussi, uni·e·s dans l’élaboration de la journée. Enfin, cela renforce leur sens des responsabilités. Comme les commandes leur reviennent, il·elle·s pensent davantage aux conséquences et ont tendance à respecter vos propres limites, instinctivement. Il·elle·s ont même des chances de se rendre compte de toutes les responsabilités qui pèsent sur vous au quotidien. Que demander de plus ?
Enfin, cette journée de relâche intégrale apporte son lot de rires et fous rires. C’est un moment unique que vous partagez et qui n’appartient qu’à vous. 
Franchement, on n’a pas trouvé mieux pour chasser le coup de blues de janvier.
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admitis · 1 year
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Rangement à la Marie Kondo pour les ados
Marre du désordre qui revient inévitablement dans les chambres de vos enfants ? Nous avons lu et testé la célèbre méthode de rangement KonMari, puis nous nous en sommes inspirés pour les enfants et les ados.
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Nous sommes toujours friands de routines qui allègent la charge mentale et égaient la vie de famille. C’est pourquoi la méthode de rangement KonMari nous intéresse. Elle vise à mettre de l’ordre dans la maison mais aussi dans la tête, tout en boostant le facteur joie du quotidien.
Konmari, c’est quoi, c’est qui ?
Marie Kondo est LA prêtresse de l’organisation, qui a fait de sa méthode perso une religion (et une marque protégée). Si l’on en suit les préceptes à la lettre, on s’offre un foyer ultra rangé. Mais quand le foyer compte des enfants, autant se l’avouer, la technique a ses limites. Il n’empêche que certains principes peuvent être utiles pour les enfants et ados, à partir de 8-10 ans environ.
Ne dites plus « range ta chambre ! »
Le rangement KonMari se fait par catégories d’objets et non par zones. Par exemple, on va s’atteler à trier et organiser les vêtements et non pas le salon. Mais alors, on rangera TOUS les vêtements… et on se rendra vite compte qu’il en traîne partout.
Pourquoi ça marche avec les kids ? 
Fonctionner par catégorie est plus précis, la tâche est moins accablante que celle de ranger toute la chambre. Et surtout, l’idée derrière cela est de trouver une place pour chaque chose, ce qui fait que l’organisation durera dans le temps. Et ça, c’est un gain de temps assuré !
Comment s’y prendre ?
Prévoyez environ une semaine, avec une catégorie par jour. La tâche est morcelée sans traîner en longueur. Définissez les catégories adaptées à vos enfants : BD, jeux vidéo, vêtements, matériel de sport, jeux de société… Le jour J, chaque enfant devra rassembler toutes ses affaires de la catégorie concernée, trier ce qui sera conservé et ce qui ne le sera pas (voir plus bas) et trouver un endroit adapté pour y ranger toutes les choses appartenant à cette catégorie. Bien sûr, vous pouvez aider mais vous verrez que cet aspect ‘trouver une solution créative’ est la partie la plus sympa. C’est là que vos vieilles boîtes de chaussures vous seront utiles et que les enfants pourront s’amuser à les annoter au Posca, par exemple. Car c’est la seule façon de retrouver les choses, en étiquetant les boîtes de façon bien visible.
Trouvez les mots qui motivent
Avant de ranger, Marie Kondo préconise de trier. Logique ! Et pourtant, on a tendance à zapper cette phase qui demande beaucoup d’énergie. 
Comment faire avec les enfants ? 
Choisissez les bons mots. Plutôt que de leur demander de se débarrasser, de donner ou de jeter quelque chose, proposez-leur de « donner une nouvelle vie » ou de « partager » les jeux, livres et autres gadgets électroniques. C’est bien plus engageant pour les enfants.
Et s’ils peinent encore à se séparer de certains vieux jouets qu’ils ont adorés, rappelez-leur que beaucoup d’associations sont à la recherche de jeux en bon état pour la Saint Nicolas et Noël. L’occasion est belle de faire du tri qui a du sens !
Davantage de place pour les idées
Pour l’avoir testé, nous savons que faire chez soi un tri KonMari a un effet apaisant. C’est agréable de savoir où tout se trouve. C’est agréable de ne plus avoir tout ce rangement à faire sur sa to-do-list. C’est agréable de trouver davantage d’espace chez soi. C’est agréable de s’entourer d’objets qui nous aident dans notre vie actuelle, autrement dit de se concentrer sur le présent, en laissant le passé et le futur à leurs places respectives.
Cette légèreté, ce bien-être écloront aussi chez vos enfants. Ils vont pouvoir se réapproprier leur espace. Last but not least, une meilleure organisation visuelle de la zone bureau favorise grandement la concentration en réduisant les sources de distraction et en mettant l’esprit dans de bonnes conditions, dans un environnement clair et paisible.
Profitez sans tarder de ces journées courtes où l’on passe plus de temps chez soi pour y injecter de la joie !
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admitis · 1 year
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Help ! Mon enfant a peur de parler en public
Qu’il s’agisse de lire à haute voix ou de faire une présentation en classe, votre enfant est tétanisé·e à l’idée de s’exprimer devant les autres ? Cette angoisse, courante, porte un nom : la glossophobie. Comment la surmonter ? Suivez le guide !
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Nombreux·ses sont les adultes qui redoutent de s’exprimer en public. Alors, imaginez les enfants et ados, l’une avec un appareil dentaire encombrant, l’autre avec une voix qui mue ou affublé d’une poussée d’acné… L’angoisse ! 
Alors, comment aider votre enfant à parler en public ?
Accepter le stress
La peur du regard et du jugement, on peut tous la ressentir, enfant comme adulte. Pour éviter que cette peur paralyse, encouragez votre enfant à oser dans tous les domaines. Prendre des risques et essuyer des échecs font partie du jeu. 
Par ailleurs, apprenez à votre enfant qu’avoir un peu peur – le fameux trac – est normal et bénéfique. Ce stress à juste dose mobilise l’attention, rend alerte. Il est donc tout à fait humain de se sentir stressé avant de parler en public. 
Le truc en +
La respiration ventrale aide à réduire le niveau de stress avant une épreuve (quelle qu’elle soit).
S’entraîner
Pour devenir un·e orateur·rice hors pair, il n’y a pas de secret : il faut s’exercer. En famille, favorisez l’expression orale dès que vous le pouvez. 
Donnez la parole à votre enfant et, surtout, écoutez ce qu’il ou elle vous raconte, sans critiquer les éventuels tics de langages dans un premier temps. Plus tard, vous pourrez émettre des critiques constructives. 
À table, en voiture ou ailleurs, amusez-vous à débattre, sur n’importe quel sujet qui tient à cœur à votre enfant. Développer son point de vue, poser des questions, argumenter… Tout cela développe l’éloquence. Et, quand votre enfant vous demandera une faveur raisonnable et argumentera de façon pertinente, vous pourrez lui montrer l’importance de son discours en acceptant cette faveur. Evidemment, c’est à vous de juger, au cas par cas ! 
Les trucs en +
Améliorez la diction en jouant aux virelangues, ces phrases particulièrement difficiles à dire.
Encouragez la lecture à voix haute. Cela va de la page de BD aux simples ingrédients des biscuits qu’il ou elle est en train de manger
Régler le débit
Quand on est stressé, on a tendance à parler vite, très vite. Et quand on est timide, on a tendance à parler bas. Dans ces cas-là, le discours devient incompréhensible. Or, un auditoire qui n’écoute plus va déstabiliser encore plus la personne qui s’exprime.
Pour captiver le public, il faut d’abord veiller à ce que l’on soit entendu. C’est le prérequis.
À la maison, entraînez votre enfant à :
prendre une respiration courte entre chaque phrase. 
parler plus lentement que nécessaire, pour casser les habitudes.
compter 1 seconde après une virgule, 2 secondes après un point (ou un concept pour un exposé.)
Adopter la bonne posture
Les personnes effrayées auront tendance à se recroqueviller sur leur chaise ou à se tortiller devant la classe. Cela n’aide pas, hélas. 
Assis ou debout, les deux pieds doivent être à plat au sol. La colonne vertébrale et la tête doivent être droites. Il ne faut pas être rigide comme un balai, simplement se placer en position verticale stable, bien ancré·e à sa place. Ceci agit sur la confiance en soi car on s’agrandit et sur la portée de la voix car le son est libéré. 
Savoir s’exprimer avec éloquence devant une audience, petite ou grande, est une faculté clé pour tout le parcours scolaire mais surtout pour toute la vie !
Nos trucs en + pour préparer un exposé
maîtriser le sujet pour pouvoir répondre aux questions
employer des termes, formulations et expressions issus du langage parlé, sans réciter par cœur pour éviter la rigidité du langage écrit
concevoir la présentation comme une histoire, avec un début, des rebondissements et une fin pour captiver le public
répéter plusieurs fois en famille pour se sentir à l’aise. Attention, de votre côté, à donner votre feedback avec tact et de façon constructive, pour ajuster ajustez ensemble.
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admitis · 2 years
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Arts martiaux : à coup(s) sûr(s) pour les enfants et ados
Il en va des activités extra scolaires comme de tout : c’est la qualité qui importe, non la quantité. Et un art martial bien choisi, c’est un enfant épanoui. Il est bénéfique pour le corps, l’esprit, à l’école et dans la vie.
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Un art martial se commence à tout âge et les cours sont habituellement mixtes alors, avec vos enfants, foncez sans hésiter !
Quelle est la différence entre les sports de combat et les arts martiaux ?
Il existe de nombreuses différences entre les sports de combat et les arts martiaux. Les sports de combat s’orientent vers l’affrontement et la compétition, la performance. Les arts martiaux, issus de techniques ancestrales de combattants asiatiques, prônent une philosophie de vie, avec des valeurs de respect, d’humilité et même une dimension spirituelle (pour qui souhaite aller au bout des choses).
Là où sports de combat et arts martiaux se rejoignent, c’est par la nécessité d’être ancré·e, centré·e. Et cela, c’est un apprentissage plus qu’utile pour les enfants angoissés, hyperactifs, à haut potentiel… et tous les autres ! 
Pourquoi les arts martiaux sont bons pour les enfants et ados ?
De façon très pragmatique, un art martial va apprendre à se défendre évidemment. Mais cela va bien plus loin. Un art martial va faire travailler le corps ET l’esprit. Dès 6 ans environ, un art martial va développer l’équilibre et la coordination tout en dopant la confiance en soi. Par exemple, les petits sont très vite – à juste titre ! – de pouvoir neutraliser un adversaire plus costaud en réalisant la bonne technique. 
Un art martial va a aussi renforcer les capacités de concentration. D’une part, la pratique-même requiert d’être parfaitement présent·e, d’autre part les attitudes et intentions adoptées pendant la pratique s’ancrent dans la vie quotidienne.
On comprend donc qu’un art martial apprend à se connaître, physiquement et mentalement, à garder la maîtrise de son corps et de son esprit. Une faculté particulièrement utile pour les ados en pleine transformation physique et aux émotions à fleur de peau.
La liste pourrait durer encore longtemps, voici encore quelque bienfaits issus des arts martiaux : 
Respect de l’autre : une valeur-clé dans la pratique d’un art martial.
Goût de l’effort, de la rigueur et de la persévérance : l’entraînement est long avant de maîtriser une technique.
Compréhension que la force n’est pas tout : beaucoup d’arts martiaux visent en effet à pouvoir neutraliser un adversaire plus fort que soi.
Meilleure faculté d’adaptation : le combat est ici plus fluctuant, imprévisible, il faut être sur le qui-vive et aviser en fonction de chaque situation.
Quel art martial choisir ?
Voici quelques spécificités des arts martiaux les plus courants. La liste est loin d’être exhaustive et chaque art martial est complexe, ceci vous donnera toutefois un premier rapide coup d’œil pour vous aiguiller.
Judo : l’accent est mis sur le fait de lancer ou jeter l’adversaire grâce à des techniques de préhension.
Karaté : plusieurs styles existent, qui ont en commun des techniques de frappe (poings, coude, pieds, mains ouvertes…) et de blocage. 
Taekwondo : c’est ici que vous verrez des coup de pieds hauts, qui lui donnent un caractère spectaculaire qui plaît aux kids.
Krav Maga : peut-être le plus radical. C’est le système officiel d'autodéfense des Forces de défense israéliennes (FDI). Très exigeant, il emprunte des techniques à diverses disciplines pour viser une efficacité maximale en termes d’autodéfense. 
Jiu-jitsu brésilien (BJJ) : très à la mode, il apprend à se défendre contre un adversaire plus costaud en utilisant la force de levier et des techniques appropriées. Il applique notamment des prises d’étranglement et des manipulations articulaires pour neutraliser. 
Aïkido : considéré parfois comme le plus noble. Plusieurs écoles cohabitent, émanant des techniques ancestrales des samouraïs. Issues du cercle et de la spirale, ces techniques sont exclusivement basées sur la défense et redoutablement efficaces. Dernière spécificité, qui en fait notre préféré : l’aïkido exclut toute forme de compétition. 
Un art martial se commence à tout âge et les cours sont habituellement mixtes alors, avec vos enfants, foncez sans hésiter !
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7 étapes pour apaiser un enfant ou un ado angoissé
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L’angoisse n’est pas l’apanage de l’âge adulte. Les enfants font eux aussi des anticipations effrayantes ou paralysantes. Et nous, parents, pouvons aider ces cerveaux en développement.
Pas de panique ! L’angoisse fait partie de la vie. C’est un sentiment qui se développe en parallèle avec la conscience. Cette peur face à un futur incertain surgit de temps en temps. Quand ces anticipations bloquantes s’installent dans la durée, on parle alors plutôt d’anxiété et, comme pour tout trouble sérieux, il est bon de consulter un spécialiste de la santé. Nous traiterons donc de l’angoisse ponctuelle.
Comme les angoisses qui naissent dans l’enfance peuvent nous poursuivre jusqu’à l’âge adulte, voyons comment les désamorcer et même, les utiliser.
Quelles sont les sources d’angoisse ?
Elles varient selon la personnalité et la situation de chacun.e. Bien évidemment, l’école peut être une source d’angoisses, qu’il s’agisse de la vie en groupe, d’un cours en particulier, d’un professeur, d’un voyage scolaire… La vie à la maison peut aussi apporter son lot d’angoisses. Et si un divorce ou un déménagement sont des causes évidentes, il est inutile de culpabiliser en tant que parents car vous faites ce que vous pouvez et il ne sert à rien de protéger un enfant de tout tracas. 
L’information inadaptée est en revanche une source sur laquelle vous pouvez agir. Même quand ils sont ados, les enfants doivent être accompagnés quand ils s’informent. Parlez de l’actualité qu’ils suivent pour voir comment elle les impacte. Et ne leur donnez quant à vous que des informations adaptées à leur âge.
Comment apaiser un.e enfant ou un.e ado angoissé.e ?
1) Reconnaissez ses émotions. Validez-les. Sous-estimer l’importance d’une angoisse en minimisant le problème ne ferait qu’accroître le mal-être de votre enfant, qui se sentirait inadapté.e. Donc quelle que soit l’angoisse, acceptez-la telle qu’elle est.
2) Aidez-le.la à verbaliser son ressenti et son vécu. Cela aide à trouver des solutions. Et partager un problème est un soulagement en soi. Il est en effet plus facile de vivre une angoisse quand on sait que l’on est pas seul.e.
3) Mettez les choses en perspective. Il ne s’agit pas de minimiser mais de rappeler que tout change constamment. Certes, la situation actuelle, quelle qu’elle soit, est très angoissante. Mais, bonne nouvelle, cette situation ne durera pas éternellement. Et c’est plus facile d’affronter quelque chose quand on sait qu’à un moment, ce sera terminé.
4) Faites-le.la respirer. Si l’angoisse vire à la crise d’angoisse (avec le cœur qui bat trop vite, la poitrine qui semble se comprimer, des nausées, vertiges, etc.), les exercices de respiration sont une trousse de premier secours. Essayez la respiration abdominale ou la cohérence cardiaque, toutes deux rudement efficaces.
5) On bouge ! Pour réduire les angoisses sur la durée, faites bouger votre enfant. Le mouvement produit notamment les substances qui garantissent le bien-être du cerveau (dopamine, endorphine, sérotonine…). En bougeant régulièrement, votre enfant limite l’impact que les angoisses peuvent avoir sur lui.elle. C’est donc un entretien sur le long terme.
6) Écoutez l’angoisse. Elle peut être considérée comme un signal d’alarme. Elle montre en effet ce qui est important pour votre enfant (ex : réussir à l’école, être accepté parmi les autres, vous faire plaisir…). Et connaître ces « trigger points » peut lui donner un véritable pouvoir, sur cette peur en particulier mais aussi dans sa vie future. En étant pleinement conscient.e de ce qui l’effraie, votre enfant saura mieux y faire face. 
7) Soyez là, tout simplement. Et rappelez-le, régulièrement. C’est finalement votre principal rôle de parent et c’est plutôt rassurant.
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Une motivation et une organisation très SMART
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La méthode SMART, bien connue des managers, facilite la réalisation de projets dans le monde de l’entreprise. Adaptée aux enfants et ados, elle leur permet d’atteindre des objectifs variés en toute fluidité. Suivez le guide ! La méthode SMART est un acronyme : Spécifique, Mesurable, Ambitieux, Réaliste et Temporel. Ce sont autant d’étapes-clés pour définir et atteindre des objectifs. Concrètement, il s’agit de décortiquer un projet, une envie, un besoin, en objectifs qui respectent ces critères : Spécifique Le but doit être précis, clair, facilement compréhensible. Prenons l’exemple d’un élève qui enchaîne les échecs en math. Oui : je dois remonter ma moyenne en algèbre. C’est précis et explicite. Non : je dois m’améliorer en math. C’est trop vague, que veut dire « s’améliorer » et les math, c’est vaste aussi. Mesurable Le but doit pouvoir être quantifié, pour savoir quand il est atteint tout simplement. Oui : je dois sortir de l’échec en algèbre et pour cela remonter de x points. Ambitieux L’objectif doit apporter un challenge, pour donner un coup de boost à la motivation. Oui : je dois passer de 9/20 à 12/20. Non : je dois passer de 9 à 10/20. Réaliste L’objectif doit rester atteignable, tenir compte de la réalité, des capacités et des contraintes. Oui : je dois passer de 9/20 à 12/20. Non : je dois passer de 9 à 19/20. Temporel L’objectif doit être arrêté dans le temps, afin de pouvoir maintenir l’effort. Savoir que la cadence ne devra pas être maintenue indéfiniment est nécessaire pour ne pas se décourager. Oui : je dois remonter de 2 points au prochain bulletin, puis de 1 point encore à celui d’après. Non : je dois toujours avoir de bonnes notes en math.
3 astuces en + 1. Divisez - Pour appliquer et réussir la méthode SMART, aidez votre enfant à scinder son objectif en micro-tâches. Cela rend chaque effort plus facile, tout en maintenant le défi.
Imaginer l’objectif ultime comme un escalier et chaque marche à grimper sera une micro- tâche à réaliser façon SMART. 2. Automatisez - Pour réaliser ces micro-tâches, instaurez une routine. Exemple : travailler l’algèbre chaque mardi 30 minutes ou prévoir un rendez-vous chaque semaine au même moment avec un professeur particulier. 3. Félicitez - Enfin, prévoyez une récompense à chaque étape que votre enfant aura franchie. C’est miraculeux pour garder la motivation et renforcer l’estime de soi. Bien évidemment, vous pouvez imaginer une plus grosse récompense une fois l’objectif atteint, au terme du délai imparti.
C’est la simplicité et l’évidente logique de la méthode qui la rend si efficace. Elle est valable dans tous les domaines de la vie, quelle que soit la chose que l’on veuille réaliser. Cette méthode de travail, à la fois universelle et facile à appliquer, sera utile à vie !
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LA PHILO À LA RESCOUSSE
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Comme nous vous en avons parlé le mois passé et comme vous l’apercevez certainement autour de vous, les mesures sanitaires drastiques envers les adolescents atteignent leur moral. Et si la philosophie pouvait aider à remettre un peu de sens dans tout ça ?
Si vous avez fait l’exercice que nous vous proposions le mois passé, vous comprenez peut-être mieux aujourd’hui ce qui se passe dans la tête de vos ados. Certains sont en crise, d’autres font le dos rond, peu sont indifférents.
Chaque vécu est unique mais ce qui vaut pour tous, c’est qu’un an en « temps adolescent », c’est une éternité ! En effet, à ce stade de leur vie, les jeunes sont en pleine construction identitaire et le cerveau termine doucement sa maturité. Ajoutez à cela la tornade hormonale qui les assiège. Et vous comprenez en ce qu’ils traversent en ce moment un impact énorme sur la personne qu’ils sont en train de construire.
Si vous remarquez des signes inquiétants persistants (déprime qui dure, problème de sommeil, manque d’appétit…), n’hésitez pas à consulter votre médecin de famille ou un thérapeute. Et rassurez votre enfant si nécessaire : beaucoup d’entre eux (d’entre nous, même) ont besoin d’aide actuellement et c’est une preuve de force d’admettre qu’on est dépassé. Et surtout, rappelez-lui que c’est lié au contexte, pas à sa personne.
Pour des signes plus légers et même pour des ados qui se sentent a priori bien, l’occasion est belle de se plonger dans la philosophie. Cette discipline qui peut sembler parfois abstraite trouve tout son sens dans la situation que nous vivons.
Parcourez par exemple les stoïciens, plutôt pertinents en temps de crise. Voyez ce que disent les philosophes contemporains sur ce que nous vivons. Et parlez de tout ça ensemble car le dialogue est plus important que jamais. 
La philosophie permet de ramener du sens dans ce que nous vivons et cela tombe à point nommé car la perte de sens est inéluctable aujourd’hui et elle nous accable tous : ados, adultes et même enfants.
Bon plan : il existe des supports (livres, podcast…) adaptés à chaque tranche d’âge, même aux enfants de primaires.
Prendre du recul, faire travailler l’esprit critique, ouvrir ses horizons, mettre les choses en perspective et partager ses idées : cela fera un bien fou au moral de toute la famille.
Trouvez d’autres ressources sur la plateforme JOY (une initiative de la Belgian Pediatric Task Force avec le soutien de la Commission nationale pour les droits de l’enfant, du Délégué Général aux Droits de l’Enfant, de la Fondation Roi Baudouin et de UNICEF Belgium).
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ÉCOLE À DISTANCE : ADOPTEZ 4 BONS RÉFLEXES
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En secondaire, c’est reparti pour un tour d’école à la maison. Votre mission (on ne vous demande pas si vous l’acceptez…) est de préserver la qualité de vie de votre enfant. Que pouvez-vous faire pour rendre l’école à distance efficace et confortable ? Voici quelques pistes.
PRÉSERVEZ LES YEUX
Pour limiter l’éblouissement :
Réglez les paramètres d’affichage de l’écran : activez le mode nuit toute la journée et/ou réduisez la luminosité. Les yeux seront ainsi bien moins agressés.
Eclairez correctement. De jour, placez l’ordinateur de façon perpendiculaire à une fenêtre, jamais de face. S’il fait sombre, prévoyez un éclairage d’appoint doux et indirect. 
Maintenez une distance suffisante avec l’écran. Il suffit de jouer avec le zoom de l’affichage pour que cela reste confortable.
Et pour reposer le regard, organisez des séances de « palming ». Quelques minutes suffisent pour apaiser :
1.se chauffer les mains en les frottant l’une contre l’autre ;
2.les placer, en coque, devant les yeux ;
3.fermer les yeux quelques instants :
4.puis les ouvrir quelques instants dans la pénombre créée par les mains.
RESPECTEZ SON RYTHME BIOLOGIQUE
Nous vous avons déjà parlé de l’importance de la chronobiologie, ce rythme interne qui donne le tempo de la journée. Pour faire court : les disciplines nécessitant réflexion et attention passent mieux le matin et les activités actives, créatives, sportives ont leur place l’après-midi. Certes, vous ne décidez pas de l’emploi du temps scolaire de votre enfant. Mais en période d’école à la maison, vous pouvez intégrer ce rythme dans votre quotidien. Par exemple, après le lunch, gardez le temps de l’habituelle récré où votre enfant ira se défouler dehors (une virée en skate, la promenade du chien…). Cela a l’avantage supplémentaire de maintenir une constance dans le rythme des journées.
AIDEZ SA MÉMOIRE
Les capacités de concentration d’un enfant sont limitées mais évoluent : on passe de +/- 45 minutes (maximum) à l’âge de 10 ans, à +/- 60 minutes vers 16 ans. Il faut donc clairement une pause après chaque heure de travail car sans concentration, pas de mémorisation. De nouveau, gardez le rythme des intercours et des récrés, tout simplement. Réduisez aussi les sources de distraction : pas de téléphone à proximité pendant les cours, casque si nécessaire pour s’isoler…
La théorie des intelligences multiples explique notamment pourquoi chaque personne apprend et retient différemment. Certains doivent parler, d’autres visualiser. D’autres encore ont besoin de bouger pour retenir. Dans ce cas, l’école à distance est une aubaine. À la maison, votre enfant peut s’asseoir sur un ballon de gym, s’installer un poste de travail debout, gigoter sur sa chaise, balancer ses jambes… Alors qu’en classe, c’est compliqué. 
SURVEILLEZ CE QUI EST INGURGITÉ
Plus que jamais, la tentation est énorme de siroter de grignoter non-stop, dès que l’on passe dans la cuisine. Outre les méfaits connus sur la santé, l’excès de sucre nuit aux facultés cérébrales. Pour éviter les abus, laissez à vue une corbeille de fruits et préparez des eaux aromatisées (dans une carafe, laissez reposer quelques heures des d’orange et/ou de citron, voire un mélange de pomme et cannelle… expérimentez ensemble). Et gardez un moment gourmand à l’heure du goûter, ça motive pour la journée.
Quelques astuces, c’est peu et beaucoup en même temps. Plus votre enfant se sentira en équilibre, mieux il apprendra et vivra cette période.
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Automne en forme 5 aliments à glisser dans les assiettes pour booster l’immunité
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Certains aliments ont le don de faire du bien au corps et au moral. C’est plus que jamais le moment de les intégrer dans le quotidien de la famille.
Les intestins sont le siège de l’immunité. Voilà pourquoi il est fondamental de prendre soin de la flore intestinale dès le plus jeune âge. Comment faire ? Il faut nourrir cette flore avec de bonnes bactéries. Et manger des bonnes choses qui chouchoutent tout le système digestif.
Les aliments fermentés
Ils sont riches en probiotiques, ces bactéries qui font du bien aux intestins. 
Pensez aux végétaux lactofermentés, comme la choucroute ou le kimchi, cette recette de chou coréenne qui fait fureur. 
Pour un effet max, consommez la choucroute crue, dans une salade par exemple (avec quelques dés de pomme, des noix et du fromage de brebis par exemple). Sinon, cuisez-la vous-même et à feu doux pour préserver ses bienfaits.
Si vos kids sont réfractaires à ces saveurs, optez pour les produits laitiers fermentés : le kéfir de lait, à boire ou, tout simplement, le yaourt nature. Privilégiez le yaourt nature entier, artisanal si possible (c’est-à-dire avec le moins d’additifs possible).
Enfin, la soupe miso, un classique de la cuisine nipponne, est une excellente source de probiotiques et plaît souvent aux enfants, petits ou grands. Le top, c’est de la saupoudrez d’algues, riches en minéraux essentiels. La pâte de miso et les algues se trouvent facilement dans le commerce (le miso blanc est plus doux que le brun).
Le miel et les autres produits de la ruche
Une cuiller de miel, c’est doux et réconfortant. C’est aussi un super geste contre les microbes. Le miel, le vrai, artisanal et local, est connu pour ses vertus antiseptiques depuis une éternité, ou presque. Attention, ce produit délicat perd ses bienfaits quand il est trop chauffé. Alors prenez simplement une cuillère à soupe à température ambiante (plutôt que de le plonger dans une tasse de thé).
Pour renforcer les défenses immunitaires de façon préventive, essayez la propolis ou la gelée royale, en compléments alimentaires par exemple (à voir avec un spécialiste bien entendu).
Le gingembre
Cette racine qui réchauffe la gorge est miraculeuse. Elle facilite grandement la digestion, stimule la flore digestive et a des propriétés antivirales (en cas de grippe ou de bronchite, par exemple).
Consommez-le de préférence frais, simplement râpé. Allez-y mollo pour les enfants car son goût est puissant. Mais quand on y prend goût, on ne s’en passe plus ! Utilisez-le dans des desserts (ex : cake ou crêpe) ou des plats salés. La bonne idée ? Râpez un peu de gingembre dans une soupe à la courge butternut avant de la mixer (inutile alors de poivrer).
Le kiwi super fruit
On pense souvent que l’orange est LE fruit riche en vitamine C. Il y a mieux… Et plus digeste ! Un seul kiwi couvre les besoins journaliers en vitamine C. Et c’est tout bon car c’est un fruit de saison.
Pourquoi la vitamine C est-elle importante ? Car elle agit sur plusieurs fronts, notamment en stimulant les défenses et en favorisant l'absorption du fer (contre la fatigue).
Le citron
Outre ses apports en vitamine C, le citron soutient le fonctionnement du foie, qui nettoie l’organisme de ses toxines. Et quoi que son goût acide vous fasse penser, le citron n’irrite pas l’estomac (à dose modérée évidemment), au contraire !
Comment le consommer ? Remplacer le vinaigre par du citron fraîchement pressé dans vos salades. Préparez une limonade maison. Arrosez-en vos plats (certaines viandes grillées par exemple, comme on le fait en Grèce, ou un plat de pâtes aux courgettes)…
Et toujours : faites boire vos enfants suffisamment  d’eau (qui hydrate ET aide le corps à éliminer ce qu’il doit éliminer).
Et donnez-leur un maximum de fruits et légumes frais et de saison, qui garantiront un bon apport en vitamines et sels minéraux.
Un goûter spécial immunité prêt en 10 minutes
1.Mélangez une cuillère de miel dans un yaourt nature entier non sucré.
2.Faites dorer dés  de pommes (locales, c’est encore mieux) quelques minutes à feu doux, dans du beurre (du vrai, pour la vitamine D). Épicez selon les goûts avec de la cannelle, du gingembre ou de la cardamome.
3.Faites un lit de pommes (encore chaudes) dans un bol.
4.Nappez du yaourt au miel
5.Miam
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L’ÉCOLE À L’ÈRE COVID19 – COMMENT PRÉVENIR LE DÉCROCHAGE SCOLAIRE ?
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Le confinement, l’école à distance ont creusé un fossé profond entre certains jeunes et l’école. Les risques de décrochage scolaire sont accrus. Votre enfant est-il concerné ? Risque-t-il de l’être en cette année compliquée ? Repérez les signes avant-coureurs et agissez.
Le décrochage scolaire est la phase culminante d’un désintérêt croissant pour l’école, la rupture de tout lien entre un élève et celle-ci. Le confinement suivi des grandes vacances a littéralement éloigné les enfants de l’école, c’est un fait. On ne refera pas le passé. On peut, en revanche, avancer de façon éclairée.
QUELS SONT LES SIGNES ?
Le décrochage scolaire est un long processus, il s’installe peu à peu, il ne se déclenche pas du jour au lendemain. 
Si votre enfant montre plusieurs traits listés ci-dessous, soyez vigilants et (ré)agissez :
Les échecs, retards, difficultés importantes et récurrentes s’accumulent dans les matières de base.
Il.elle se sent « moins bien » que les autres élèves.
Il.elle est démotivé.e par le fait même d’aller à l’école.
Les enseignants constatent de plus en plus souvent un manque de participation en classe.
Il.elle sèche souvent les cours (pas facile à déceler avant que la sanction tombe). 
Ses meilleur.e.s ami.e.s ont décroché et/ou n’aiment pas l’école.
Il.elle parle d’arrêter l’école.
Ses relations avec les enseignants, l’autorité voire les autres élèves sont conflictuelles.
Vous constatez des symptômes dépressifs persistants (ex : perte d’appétit, insomnies, irritabilité).
Bien sûr, la fameuse « crise d’adolescence » peut expliquer certains de ces comportements. C’est le fait de les combiner et de les voir perdurer longtemps qui doit vous alerter.
QUELLE ATTITUDE ADOPTER ?
Déjà, si vous lisez ces lignes, vous êtes en bonne voie : prendre conscience d’un souci ou d’un risque est un pas énorme.
Ensuite, montrez votre soutien, votre présence et votre compréhension à votre enfant. Epaulez-le tant que possible, tout en encourageant son autonomie.
Pour recréer de l’intérêt envers l’apprentissage, titillez sa curiosité, apportez de l’humour, un côté ludique. Pensez à ses centres d’intérêt et faites le lien avec l’école. Par exemple, les jeux vidéo, c’est du code informatique, donc des algorithmes ; c’est aussi de la psychologie (créer un jeu demande de comprendre les comportements des joueurs). Autre exemple : le tennis, c’est de l’anatomie, de la biologie, de la chimie, de la physique même (comment prédire la trajectoire d’une balle de tennis).
Ce faisant, vous rendez votre enfant davantage actif de son apprentissage, vous renforcez son estime de soi et ainsi sa motivation. L’astuce en plus ? Optez pour une activité extrascolaire où il.elle est à l’aise et peut briller, cela renforcera la confiance en soi. 
Vous êtes dépassés ? Faites-vous aider ! Pensez à votre entourage, aux enseignants, aux structures extra scolaires (école des devoirs, cours de soutien…). Prenez toutes les ressources à votre disposition. Et n’hésitez pas à consulter un spécialiste si nécessaire.
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RÉUSSISSEZ LA FIN DES (TRÈS GRANDES) VACANCES
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En cet été particulier, le mois d’août rime avec questions plutôt qu’avec seconde session. De quoi sera faite la rentrée ? On ne le sait pas encore exactement. Alors, mieux vaut se préparer : entamez en douceur la transition vers le rythme scolaire et profitez encore un peu de l’été.
La mi-août est une date symbolique. Elle marque habituellement le début des épreuves de seconde session et le retour des congés pour la plupart des familles.
Nous préférons considérer que cette date entame le dernier quart des grandes vacances. C’est le moment idéal pour trouver un équilibre entre le mode « vacances » et le mode « rentrée ». En effet, en faisant une transition douce, vous pourrez à la fois savourer l’été qui se poursuit et éviter la rupture radicale et parfois déroutante une fois le mois de septembre arrivé.
Dodo, tout le monde !
Les journées raccourcissent doucement. Saisissez cette opportunité pour avancer petit à petit les heures de lever et de coucher. L’idée est simplement de retrouver une routine, progressivement.
Pourquoi le faire ? Parce que l’horloge biologique des enfants doit être respectée pour qu’ils soient dans de bonnes conditions d’apprentissage. Et le sommeil aime les habitudes, comprenez qu’il est de meilleure qualité, plus réparateur, quand on dort à heures fixes. 
À vos cahiers, prêts…
Le confinement a laissé des traces chez de nombreux élèves et les risques de décrochage scolaire ont augmenté (nous vous en reparlerons). Est-ce le cas pour vos enfants ? Pour le savoir, voyez s’ils sont encore au fait des matières travaillées en fin d’année, s’ils sont capables de lire 30 minutes d’affilée, aptes à faire un petit travail de recherche, à rédiger une dissertation…
Comment faire ? Adoptez un angle ludique. Essayez par exemple des expériences de physique ou chimie liées à l’été, à la chaleur, au soleil et, selon leur âge, voyez s’ils se souviennent des principes en question dans l’expérience. Aux plus jeunes, faites-leur calculer des choses du quotidien (ex : la surface de la piscine ronde que vous avez installée ou celle du terrain de foot qu’ils se sont aménagé…). Et ramenez-les si nécessaire vers la lecture et l’écriture (ex : inventer une histoire sur base d’un souvenir de cet été, créer un mini-livre, lire chaque jour, ne fût-ce que des BD ou des magazines…).
Injectez peu à peu ces pratiques dans votre été et la rentrée, quelle qu’elle soit, se passera en douceur.
L’astuce en plus Profitez-en pour faire aussi les éventuels achats de fournitures scolaires, vous éviterez le stress de dernière minute.
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admitis · 2 years
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Prêt pour l’école à distance ?
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Vacances, j’oublie tout ! Cette année plus que jamais, on en a très envie. Avant de tout oublier, nous vous proposons de faire rapidement le point sur la façon dont votre enfant a vécu l’enseignement à distance pendant en cette période de COVID 19. Parce que les probabilités que cela se poursuivre, même en moindre mesure, sont plus qu’élevées. Autant être prêt !
L’école à distance forcée a mis en lumière deux faiblesses majeures ces derniers mois : le manque d’adaptation du système scolaire actuel et le manque d’accès à domicile pour certains élèves.
L’école sera-t-elle prête, en septembre, à prendre le virage numérique ? Beaucoup en doutent et le débat est sur la table. Il est peu probable et peu plausible que tout soit révolutionné et solutionné en quelques mois. Toutefois, on peut se rassurer car les écoles et enseignants auront au moins eu le temps de se préparer et de se coordonner. L’urgence et le choc seront sortis de l’équation, c’est déjà un pas.
Et l’accès de chaque enfant à un poste de travail numérique ? La FWB cherche des pistes, de même que les écoles de leur côté. Les inégalités se sont en effet creusées de façon nette (et alarmante). La solution ne nous appartient pas. Toutefois, nous pouvons vous aider à vous préparer, votre enfant et vous, à cette rentrée pas comme les autres.
Répondez à ces quelques questions et voyez quels aménagements seraient à prévoir pour un mois de septembre serein. La confinement pur et dur était une période sans précédent et nombreux sont ceux qui l’ont vécue comme « hors du temps ». Prenez donc plutôt la phase de déconfinement (mai-juin) comme repère :  
Votre enfant a-t-il pu faire le travail qui lui a été demandé ?
A-t-il pu gérer son temps de travail de façon autonome ?
A-t-il pu se concentrer quand c’était nécessaire ?
A-t-il trouvé un rythme de travail sain et efficace ?
A-t-il disposé du matériel nécessaire ?
A-t-il gardé son hygiène de vie habituelle (repas, heures de sommeil, activités…) ?
Si vous avez répondu « non » a plus de 3 questions, il vous sera utile de réfléchir aux aménagements à prévoir pour la rentrée.
Peut-être un espace de travail dédié, à l’abri des bruits de la maison. Cet espace peut être partagé par plusieurs enfants, en alternance. 
Peut-être un casque anti-bruit et/ou un casque audio pour les classrooms.
Peut-être une rigueur supplémentaire dans les habitudes de vie.
Chaque famille a son propre vécu, nous ne sommes pas là pour dicter des conduites.
En prenant le temps de comprendre ce qui a fonctionné ou pas, vous y verrez déjà plus clair. N’hésitez pas à parler autour de vous pour connaître les astuces des autres familles… et pour voir que vous n’êtes pas seuls ! Soyez rassurés, personne n’a vécu cette période les doigts dans le nez (quoi que peuvent dire certains ;p). 
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