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#tobrouk
carbone14 · 4 months
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Soldat polonais de la Brigade indépendante de chasseurs des Carpates pendant le siège de Tobrouk – Campagne d'Afrique du Nord – Tobrouk – Libye – 1941
Les forces polonaises sous commandement britannique gagnèrent le surnom de 'Rats de Tobrouk' lors de leur premier engagement à Tobrouk.
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post-leffert · 1 year
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Tobrouk, Libya (Jul 1st 2022)
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sushis4kalyo · 2 years
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Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.
Michel Audiard, Un taxi pour Tobrouk (1961)
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almeriamovies · 2 years
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“Un taxi pour Tobrouk“ AKA Taxi for Tobruk by Denys de la Patellière (1961) Maurice Biraud, German Cobos, Charles Aznavour and Lino Ventura in Dunas de Cabo de Gata #Almeria.
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claudehenrion · 4 months
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Petit retour aux sources...
Ne trouvez-vous pas que cela fait très longtemps que je ne vous ai pas parlé de mon cher Maroc ? Quand on sait la place qu'occupe ce pays dans mon histoire personnelle, on pourrait s'en étonner... Je vous mentirais, si je ne reconnaissais pas que je m'y réfugie en pensée, à peu près tous les jours, un petit moment... ou pour de longues échappées solitaires... Le célèbre diptyque de Raimbaud (''Je sais que je pourrais être plus heureux ailleurs... Je ne sais pas où c'est, mais je sais que c'est ailleurs'') est devenu, pour moi : ''Mais moi, je sais où c'est : c'est à Rabat''...
Permettez-moi de m'échapper quelques minutes de la grisaille ambiante ���aggravée, comme si besoin était, par un temps... digne de la situation de notre pays et des non-solutions évoquées par nos ''meneurs'' : sinistre, glaciale, stérile, inutile, repoussante, glissante à en être dangereuse... Pourtant, chers Amis-lecteurs, permettez-moi de vous proposer de m'accompagner dans ce qui est pour moi (et de loin, après tant et tant de voyages et tant de tours du monde) la plus belle ville et le plus beau pays. Et ce d'autant plus que notre président, jamais à court d'une mauvaise idée, s'est débrouillé pour brouiller la France avec un de ses plus sûrs, plus fidèles, plus anciens amis... au profit (pour personne !) de l'antipathique et repoussant (et intrinsèquement mauvais pour la France) leader algérien Abdel Madjid Tebboune...
Pour ne pas que ce petit voyage évocateur tombe comme un cheveu dans la soupe, je profite d'un événement que personne ne pense à fêter : le nouvel an berbère. (La communauté berbère est très importante au Maroc et le Roi Mohammed VI a conféré à leur langue le statut de ''seconde langue officielle'' dans la Constitution de 2011). Dimanche, donc, la communauté dite ''amazigh'' (=''les hommes libres'') dans la langue ''t'Amazight'', fêtait son Nouvel An, celui de l'année 2978 dans leur calendrier (entre les 5784 ans des juifs et nos 2024 ans, mais plus du double des 1445 ans des arabes !). Le ''point zéro'' de ce décompte remonte à l'accession au trône de Pharaon du roi Amazigh Sheshonq 1er --dont Wikipédia m'a permis de découvrir qu'il est mort en 922 av. J.-C., qu'il était fils de Nimlot et de Tentsepeth et petit fils de Mehtenvreskhet (à vos souhaits !), qu'il eut pour enfants Osorkon Ier, Sheshonq II et Nimlot Ier, comme petits enfants Takelot Ier, Sheshonq III, Iouwelot et Nesbanebdjed III ... et qu'il régna de 945 à 924 av. J.-C. Mais bon ! Si vous insistez vraiment, j'arrête d'étaler un non-savoir que je n'avais pas il y a 10 minutes...
De manière moins académique, cette population Amazigh (également dite ''Chleuh'' ou ch'l Ha, et berbère au Maroc, kabyle en Algérie ou djerbienne en Tunisie) correspond aux premier habitants de tout le nord de l'Afrique jusqu'à l'invasion des armées d'occupation arabes (''les cavaliers d'Allah'') qui ne sont donc (et ils n'aiment pas qu'on le leur rappelle) que ''des colonisateurs sans espoir de retour''... Permettez-moi une anecdote, un souvenir personnel : mon épouse et moi traversions à cheval une oasis perdue du Désert blanc, dans la région de Siwa (entre Tobrouk et el-Alamein), lorsque nous avons croisé un groupe de paysans qui devisaient entre eux. Ma surprise quand j'ai réalisé que je comprenais ce qu'ils disaient n'a eu d'égale que la leur lorsqu'un ''n'srani'' (= un nazaréen, donc un chrétien) leur a parlé dans cette même langue. Les ''chleuhs'' occupaient bien tout le nord de l'Afrique, jusqu'en Egypte où ils ont donc régné !
Mais ces guerriers farouches (on parlait, au temps de l'Empire français, des ''irréductibles chleuhs'') n'ont jamais été soumis, et ils ont résisté aux carthaginois, aux romains, aux ottomans et aux européens (français et espagnols). Et s'ils ont cédé devant Allah, ce n'est que pour ce qui concerne la pratique de la foi (encore qu'il existe un fort reste chrétien dont mon regretté ami Mgr Pierre Boz était Exarque) : ils se sont repliés dans des zones montagneuses où ils ont conservé et protégé leur héritage culturel, leur langue, leur alphabet et leur mode de vie... avant de devenir, sous le nom prestigieux de ''goums'', les soldats invincibles qui ont eu raison de la Wehrmacht à Monte Cassino et au Garigliano, sous les ordres du futur Maréchal Juin, dans des corps à corps d'anthologie....
Une autre anecdote, moins personnelle mais plus amusante : depuis 1912, lors de la pacification du Maroc par les généraux Gouraud et Lyautey (et d'autres héros) le contingent français avait pu mesurer la vaillance de combattants chleuhs, dans la fameuse ''guerre du Rif''. Lorsqu'ils ont été ramenés en France après 1914 –et pour cause !-- nos ''piou-pious'' ont gardé l'habitude de désigner leurs ennemis du jour par ''les chleuhs''... Et voilà comment l'Armée allemande s'est retrouvée réputée être peuplée d'habitants d'une tribu du Moyen-Atlas !
Outre le maintien de leurs traditions vestimentaires, artistiques ou coutumières ( la ''Guédra'', la célèbre ''Fantasia'' ou le ''T'bourida'' –mot dérivé de ''baroud'' (qui veut dire la poudre ou la guerre)-- il leur reste de ce passé glorieux la pratique, dans les villages les plus reculés, de la Taskiwine, une danse martiale typique des montagnes du Haut-Atlas, qui tire son nom de la corne de bélier richement décorée que porte chaque danseur, le Tiskt, et fait vibrer les épaules au rythme des tambourins et des flûtes en bois d'olivier, ces ''raïtas'' au son si aigre. Cette pratique, qui encourage la cohésion sociale et l’harmonie, a joué un rôle certain dans l'histoire parfois difficile de ce peuple. Nul doute qu'on l'a dansée, et beaucoup, dimanche dernier...
Il me reste à demander pardon à ceux d'entre vous qui ne partagent pas mes choix (que je reconnais parfois contestables) pour tout ce qui touche au Maroc. Mais ceux qui me connaissent connaissent aussi l'analyse que je fais des relations franco-marocaines : ''L'Histoire retiendra que la France a exercé au Maroc une mission iso-coloniale. Mais la vérité est que tout français qui a mis les pieds dans ce pays s'est retrouvé lui-même comme ''colonisé'' par son charme, sa beauté, sa richesse, et la gentillesse de ses habitants''... qui deviennent souvent infréquentables, hélas, dès qu'ils s'expatrient. Mon ami d'enfance le Roi Hassan II aimait faire sur ce sujet des remarques éblouissantes... que nos dirigeants auraient mille fois mieux fait d'écouter religieusement, au lieu de nous enfermer dans leurs certitudes mensongères et doctrinaires qui ne mèneront jamais nulle part !
Nous reviendrons, dès demain, à des sujets plus habituels, c'est promis. En attendant, Bonne Année 2978 à nos amis berbères... même si cette notion n'a pas le moindre sens, en terre d'islam...
H-Cl.
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Né à Berlin dans une famille national socialiste, le tout jeune Hardy intègre une école de cadres NS et tourne même à 16 ans - le premier rôle d'une longue carrière - dans Jung Adler, film à la gloire de la Luftwaffe (1944). D'ailleurs de la fiction, il passe vite à la réalité : recruté en mars 1945 dans la division de grenadiers SS Nibelungen, il tiraille du côté de la Bavière contre les Américains avant d'être capturé par les Yankees au Tyrol. Moyennant quoi Hardy Krüger sera un des grands Allemands du cinéma occidental d'après-guerre, et comme tel endossera souvent l'uniforme nazi, quitte à attirer souvent la sympathie : il est ainsi Fritz von Werra, authentique as de la Luftwaffe acharné à s'évader des prisons britanniques dans le film british L'Evadé du camp 1 (1957, un souvenir de télé enfantine) ; un Afrika Korps malin et correct face à Lino Ventura et ses copains dans Un Taxi pour Tobrouk de Denys de la Patellière (1961) ; prêtre sous l'uniforme de la Wehrmacht dans Le Franciscain de Bourges, pas un des meilleurs Autant-Lara (1967 ; colonel allemand dans la superproduction occidentale et plutôt pro-Tito La Bataille de la Neretva (1968) ; major général des blindés SS stylé dans l'excellent Un pont trop loin de Richard Attenborough, une ambitieuse et prenante évocation de l'opération ratée des Alliés à Arnhem à l'automne 1944... Il est encore officier germanique, mais de Frédéric II de Prusse durant la guerre de Sept ans in Barry Lindon de Stanley Kubrick (1975), vieilli mais parfait de bout en bout. Il est encore militaire, mais sud-africain et mercenaire, dans l'assez bon film de mercenaires Les Oies sauvages d'Andrew V McLaglen (1977), aux côtés d'imposantes stars britanniques comme Richard Burton, Roger Moore, Richard Harris et Stewart Granger.
En 1962, Krüger, résident tanzanien, prête son domaine à Howard Hawks pour le tournage film semi-animalier Hatari, où il se confronte à John Wayne. Mais la même année sort Les Dimanches de Ville-d'Avray, film français de Serge Bourguignon, où Krüger tient un (premier) rôle particulièrement atypique, voire décalé, celui de Pierre ex-pilote de guerre devenu amnésique suite à un crash en Indochine, et qui va par hasard développer une amitié très particulière avec une fillette de 10 ans. Déjà dans le film, cette relation fait scandale chez les Dagovéraniens de l'an 1962, et on ne peut s'empêcher de se demander comment le film aurait été perçu s'il était sorti aujourd'hui ; à sa sortie Les Dimanches de Ville d'Avray est passé relativement inaperçu en France mais a fait un carton aux Etats-Unis et au Japon ! En tous cas dans ce vrai rôle de composition, si éloigné de son " profil " d'acteur Hardy Krüger était convaincant.
Après 1978 et Les Oies sauvages, Hardy Krüger sort de fait des radars cinématographiques. Cette même année il a épousé en troisièmes noces une Américaine et se partagera désormais entre Hambourg et la Californie. Où la mort l'a finalement trouvé, à Palm Springs, à 93 ans : étonnant parcours d'un Allemand ayant acquis - et bien mérité - un statut hollywoodien..
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mycoloradowayoflife · 4 months
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« Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche. »
De Michel Audiard / Un taxi pour Tobrouk.😉
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tumbletumula · 1 year
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Tobrouk et Benghazi contre Tripoli, marchands d'esclaves « philanthropes » et migrants, pétrole et gaz.
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Thème : Tobrouk et Benghazi contre Tripoli, marchands d'esclaves « philanthropes » et migrants, pétrole et gaz. Thomo : Le Tunisien est guidé en pointant vers un avenir : la République de l'espoir. ; Liberté, Égalité, Fraternité. Au Mali, au Niger et au Soudan, j'ai vu le séjour parmi les messagers de la diaspora de la pauvreté, et c'est donc à travers eux, à travers leur inquiétude, leur malaise, que j'ai ressenti l'inquiétude et le malaise de ces pays : dont la cause, je crois , peut s'indiquer schématiquement et sommairement dans le fait que « la révolution n'a pas continué, l'Algérie est secouée par un mouvement de contestation nationale qui a mis « le Pouvoir » en crise », c'est-à-dire que l'État n'a pas décentralisé, n'a pas disparu, et les travailleurs dans les usines ne sont pas vraiment des participants et responsables du pouvoir politique, et sont plutôt dominés – qui ne le sait pas maintenant et ne l'admettra pas ? – d'une bureaucratie qui n'a de révolutionnaire que le nom. Et cela bien sûr, donne aux "révolutionnaires petits-bourgeois" Des millions d'Africains de la diaspora, complètement indifférents aux famines du désert sur leur parcours, sont descendus dans la rue pour crier non au vieil homme - une momie de 92 ans , gravement malade depuis 2013 - et à sa très puissante logique invasive du Cimeterre. à ceux qui croient encore que la "révolution doit continuer". Qu'il y ait des idéologues marxistes en Afrique qui l'aient compris, en termes démocratiques - mais d'une démocratie extrémiste, d'un protestantisme radical exagéré et presque mystique, et qui comme tel, dans sa portée, est révolutionnaire (la création au sein de la communauté africaine d'un «des ZCC Sionistes Cathares») – ne peut manquer de remplir d'intérêt et d'enthousiasme. L'ANC, ET le DA, et une infinité d'autres mouvements qui, dans leur ensemble chaotique, forment la Nouvelle Gauche Africaine, c'est quelque chose, eh bien, qui me rappelle l'époque de la Résistance. Enrico Mattei, parrain de la révolution anti-française, détient actuellement 32 permis miniers avec une production journalière (données de 2018) d'environ 85 000 barils, soit 13 % de la production nationale totale et de l'Algérie En Tunisie, quoique dans mon essai très court, j'ai vécu de nombreuses heures dans l'appréhension du climat clandestin, de lutte, d'urgence révolutionnaire, d'espoir, qui appartient au peuple tunisien aujourd'hui. En Europe, tout est fini : en Ukraine, on a l'impression que tout va commencer ou finir. Je ne veux pas dire qu'il y a une guerre civile en Ukraine, et peut-être même rien de semblable, ni le prophétiser : pourtant nous y vivons comme à la veille de grandes choses. Ceux qui appartiennent au radical New African DA (qui n'existe pas, ce n'est qu'une idée, un idéal pour une République Fédérale Africaine avec les pouvoirs d'une république) se reconnaissent au premier regard, et ce genre d'amour qui liait le partisans de la libération coloniale. Il y a les héros, les déchus, comme le rappelle Piero Messina dans « Limes » (juin 2019) notre voisin « a fourni à Isis 17,5 % de combattants étrangers rien qu'en Irak et en Syrie, soit plus de six mille personnes. Aujourd'hui encore, en Libye, les Tunisiens apportent le plus grand nombre de miliciens étrangers : environ 1500. - et d'innombrables autres - et les grands mouvements, les grandes étapes d'un immense mouvement populaire, centré sur le problème de l'émancipation des Africains, et maintenant sur la guerre contre la faim en Afrique. A qui n'a pas vu de manifestation pacifiste et non violente à l'EFF, il manque une grande expérience humaine, comparable seulement, je le répète, aux grandes journées de l'Espoir de la première lutte de l'ANC.
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frenchbulletin · 2 years
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La Libye en pleine agitation sociale - L'impasse politique demeure
La Libye en pleine agitation sociale – L’impasse politique demeure
Piégés dans une impasse politique, les gouvernements politiques rivaux en Libye subissent une pression croissante de la part des citoyens, avec des manifestations qui éclatent dans tout le pays contre les coupures de courant au milieu d’une vague de chaleur étouffante. Vendredi à Tobrouk, dans l’est de la Libye, des manifestants ont pris d’assaut le bâtiment du parlement avec un bulldozer et y…
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ornoirafrica · 3 years
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Libye : Les raffineries par capacité de production
Libye : Les raffineries par capacité de production
Alors que le secteur pétrolier libyen connaît un nouveau renouveau, le ministère du Pétrole et du Gaz, en collaboration avec le ministère de l’Économie et du Commerce, envisage la construction de raffineries dans des endroits stratégiques à travers le pays – à savoir, Tobrouk et Ubari – qui seront financées par des investissements internationaux sous forme de partenariats public-privé. Le pays…
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carbone14 · 3 years
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Canon antiaérien de 94 mm (QF 3,7 pouces) servi par des australiens, en action pendant le siège de Tobrouk - 30 septembre 1941
Photographe : Australian official photographer
©Imperial War Museums - AUS 897
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post-leffert · 1 year
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protestors set fire to Libyan parlament in Tobrouk, Libya (Jul 1st 2022)
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flimgif · 4 years
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almeriamovies · 4 years
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“Un taxi pour Tobrouk" AKA Taxi for Tobruk by Denys de la Patellière (1961) German Cobos, Charles Aznavour, Lino Ventura and Maurice Biraud in Playa de las Amoladeras (Dunas de Cabo de Gata) Almeria.
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Charles Aznavour et Lino Ventura dans Un taxi pour Tobrouk (1961)
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CinémAznavour : Un taxi pour Tobrouk (Denys de La Patellière - 1960)
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