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#presses de la cité
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Archie Roy - Sorcellerie Écossaise - Presses de la Cité - 1974 (Sable Night)
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mmepastel · 2 years
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Je viens de finir ce livre (un pavé qui se dévore, comme je les aime).
Il s’agit du premier roman de Miranda Cowley Heller, alors que l’écrivaine a soixante ans ; il faut dire qu’elle a toute une vie riche en narration derrière elle puisqu’elle était une des chefs de HBO, la chaîne à laquelle on doit les séries telles que The Wire ou les Soprano. Bref, les histoires, elle connaît ça.
Le thème de son livre pourrait décourager le lecteur tant il semble ressassé : une femme de cinquante ans, Ellie, épouse heureuse du séduisant britannique Peter et mère comblée de trois enfants, succombe une nuit à son amour de jeunesse, Jonas. Leur étreinte, passionnée, la chavire. En plus, elle a lieu en secret dans la maison familiale bondée (sa mère est présente, sa famille, la femme de Jonas, etc…), maison chérie de Cap Cod, maison héritée d’un grand-père, maison qui a accompagné tous ses étés depuis on plus jeune âge, entre un lac et l’océan, maison auréolée de souvenirs heureux, lieu magique du souvenir et du présent, ancrage dans ces eaux et courants de la vie. La question pourrait donc ainsi se résumer à : Ellie doit-elle quitter son mari avec lequel elle a construit une vie qui lui plait pour Jonas, ce jeune garçon étrange qu’elle a toujours aimé mais que la vie l’a forcée à reléguer au second plan devenu un homme qui l’aime autant que quand il avait douze ans ?
La construction rend pourtant ce dilemme palpitant car suite à cette nuit d’amour, la journée chaotique fait remonter à la surface de l’eau qui semblait tranquille toute la vie d’Ellie, et des secrets plutôt graves et déchirants. Petit à petit, on comprend comment elle s’est construite, avec une mère assez fantasque et peu protectrice, quoique terriblement attachante, et un père évanescent, suivi d’autres maris pour sa mère, et de tentatives de famille recomposées, son pilier restant sa sœur Anna, personnage haut en couleur et drôlement bien campé. Le style justement est assez génial : c’est très fin psychologiquement, bourré d’humour et de mélancolie, de dialogues aux petits oignons, et il y a comme une élégance dans certains raccourcis et ellipses. L’autrice n’en fait jamais trop. Les coups les plus durs sont racontés avec justesse et retenue, et les moments heureux sont également bien restitués -et je pense que ce n’est pas très fréquent que de rendre la joie d’un personnage accessible au lecteur sans tomber dans la mièvrerie.
A l’arrivée, on est totalement toqué de cette famille. On les aime tous (ou presque). Alors on brûle de savoir ce que va décider Ellie, des raisons qui la motivent pour trancher cette question insupportable, le lien qu’elle va choisir avec le passé, sa façon de surmonter ses anciennes blessures et culpabilités.
Bref, j’ai adoré ce séjour auprès de cette famille, et j’ai eu l’impression de m’immerger moi aussi dans cette eau du souvenir, ce flux et ce reflux des émotions. La nature, tout comme le corps, ne se trompent pas, semble aussi nous glisser le roman. Une superbe lecture.
(J’ai mis la couverture anglo-saxonne car je la trouvais plus jolie que la française, publiée aux éditions des Presses de la cité).
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angelitam · 3 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #4-2024 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Relire Linley et Havers avec Juste une mauvaise action d’Elizabeth George Juste une mauvaise action d’Elizabeth George – Editions Pocket En lecture, une Masse Critique de Babelio, L’égorgeur des bas-fonds d’Emmanuel Dufour L’égorgeur des bas-fonds Emmanuel Dufour tous les livres sur Babelio.com   Présentation de l’éditeur : Joseph Philippe…
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youraufildespages · 3 months
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Mon coeur a déménagé de Michel Bussi
” Papa a tué maman. ”  Ophélie a tout vu, du haut de ses sept ans.  Son père n’est pas le seul coupable. Un homme aurait pu sauver sa mère.  Dès lors, Ophélie n’aura plus qu’un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu’à la vérité. Et se venger !  Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de sa…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? N°269
Je n'arrive pas trop à lire, je me suis concentrée sur ma thèse et je suis allée voir ma famille, donc je reste plus tranquille cette semaine. J'ai quand même lu 2 mangas et écouté un livre audio.
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, c’est l’heure du “C’est lundi que lisez-vous” je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Je n’arrive pas trop à lire, je me…
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alapagedeslivres · 1 year
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Sous-catégorie ICEBERG : Cruels sont les rivages d'Eric LE NABOUR
Sous-catégorie ICEBERG : Cruels sont les rivages d’Eric LE NABOUR
Dans la sous catégorie du MENU YULE, Iceberg, j’ai choisi Cruels sont les rivages d’Eric LE NABOUR. Ce roman entre parfaitement dans les thèmes du Secret, du mystère. Le résumé des éditions PRESSES de LA CITE – 27 octobre 2022 : Voilà trois ans que Laura Delgado a démissionné de la police parisienne après que son mari, Romain, également policier, a été tué en mission. Préoccupée par l’avenir de…
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Les Origines de la pensée grecque- The Origins of Greek Thought
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Jean-Pierre Vernant - Les Origines de la Pensée Grecque, Presses Universitaires de France (PUF) 1962, republished several times since then. 
" L'ambition [de cet essai] n'était pas de clore le débat par une étude exhaustive mais de le relancer... j'ai tenté de retracer les grandes lignes d'une évolution qui, de la royauté mycénienne à la cité démocratique, et marqué le déclin du mythe et l'avènement de savoirs rationnels. " En quoi consiste le miracle grec ? Quelles sont les innovations ayant marqué ce que nous appelons la pensée grecque et pourquoi se sont-elles produites dans ce monde grec ? Le mérite de Jean-Pierre Vernant est de réaliser une synthèse personnelle et accessible sur un sujet controversé où s'affrontent de nombreux hellénistes. Publié en 1962 dans la collection Mythes et religions, dirigée par Georges Dumézil, l'auteur a lui-même, à l'occasion d'une réédition parue vingt-cinq ans plus tard, réactualisé dans une longue préface certaines de ses interprétations (from the edition of 2013).
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Jean-Pierre Vernant's concise, brilliant essay on the origins of Greek thought relates the cultural achievement of the ancient Greeks to their physical and social environment and shows that what they believed in was inseparable from the way they lived. The emergence of rational thought, Vernant claims, is closely linked to the advent of the open-air politics that characterized life in the Greek polis. Vernant points out that when the focus of Mycenaean society gave way to the agora, the change had profound social and cultural implications. "Social experience could become the object of pragmatic thought for the Greeks," he writes, "because in the city-state it lent itself to public debate. The decline of myth dates from the day the first sages brought human order under discussion and sought to define it.... Thus evolved a strictly political thought, separate from religion, with its own vocabulary, concepts, principles, and theoretical aims."
Jean-Pierre Vernant The Origins of Greek Thought, Cornell University Press, 1984
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Jean-Pierre Vernant (1914-2007), known with the pseudonym Colonel Berthier as commander of units of the French resistance during WWII, was a French historian and anthropologist specialized in ancient Greece.
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lepartidelamort · 2 months
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Déjà, il faut savoir qui produit cette « étude ». Ou plutôt qui finance quoi.
Sur 1 847 105 €, le réseau « Action Climat » est financé à hauteur de 1% par ses adhérents, mais à plus de 50% des fonds privés. Le gouvernement ajoute 31% du total.
Voici la liste des financeurs ayant soutenu le Réseau Action Climat en 2022 :
Agence française de Développement (AFD) Agence de la Transition Écologique (ADEME) Climate Works Commission Européenne (Programme LIFE) ECOS EUKI Feedback Fondation Carasso Fondation Européenne pour le Climat (ECF) Fondation pour le Progrès de l’Homme (FPH) Fondation Oak Mairie de Paris Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires
Dès lors que l’on trouve la Commission Européenne, on sait à quoi s’en tenir. La municipalité écolo-socialiste de Paris est du même calibre.
Le plus intéressant est toutefois l’identité des fondations privées, car nous parlons nécessairement de fonds issus du monde des affaires, pas des impôts.
La fondation Feedback a été créé par Hal Harvey, un agent des familles Rockefeller et Hewlett qui a été chargé d’infiltrer les bureaucraties gouvernementales de nombreux pays.
Il a été baptisé « l’écologiste le plus puissant du monde » par le journal allemand Die Zeit. Disposant de fonds illimités pour recruter, former et soudoyer, il a méthodiquement pris le contrôle du ministère de l’économie allemand après une décennie d’infiltration. C’est lui qui a nommé l’un de ses associés à la tête du ministère, l’écologiste de gauche radical Robert Habeck.
Vu de France, personne ne comprend l’acharnement du gouvernement allemand à poursuivre une politique anti-nucléaire tout en s’alignant sur Washington qui mène une guerre contre l’alliance énergétique germano-russe. Sans le gaz russe, l’industrie allemande est condamnée à moyen terme face aux concurrents mondiaux.
Les Allemands ne le comprennent pas davantage. Une enquête de novembre dernier indique que 73% de l’opinion allemande désapprouve l’action du gouvernement Scholz. Les écologistes sont à 12% d’intentions de vote. Il faut préciser qu’en plus de Habeck, l’écologiste Annalena Baerbock occupe le ministère des Affaires étrangères où elle impose les vues des juifs de Washington, tant sur l’Ukraine que la Palestine.
Une autre fondation citée est la fondation Carasso, de son nom complet Fondation Nina et Daniel Carasso. Daniel Carasso est le juif séfarade qui a fondé Danone. La fondation est dirigée par leur fille, Marina Nahmias.
La Fondation Européenne pour le Climat est une organisation fondée en 2008 qui est présidée depuis 2017 par la juive séfarade Laurence Tubiana. C’est elle qu’Emmanuel Macron avait mandaté pour circonscrire la crise des Gilets Jaunes via la Convention citoyenne pour le climat.
La crise avait été déclenchée par la hausse mécanique des taxes sur le carburant votée par la majorité socialiste sous la présidence Hollande, première étape vers le rationnement de la consommation de la classe moyenne maquillée en « écologie ».
La fondation Oak, quoique officiellement située en Suisse, est une structure légalement basée dans l’île anglo-normande de Jersey, un paradis fiscal d’où elle gère une fortune colossale. Rien qu’en 2018, elle a accordé 350 millions de dollars de dons à diverses initiatives, notamment contre l’utilisation des énergies fossiles. Après des recherches poussées, la presse américaine a découvert qu’elle était indirectement contrôlée par la Banque Royale du Canada via une filiale, la RBC Trust Company Jersey Limited.
La Banque Royale du Canada n’est pas détenue par l’État Canadien, mais par des actionnaires, dont le groupe Vanguard qui gère plus de 7,000 milliards de dollars d’actifs dans le monde.
Personne ne va jamais voir qui finance ces coquilles vides écolo-réchauffistes qui payent des provocateurs pour bloquer les routes ou saccager les musées.
De bout en bout, la finance internationale est le commanditaire et cette finance veut que la plèbe intègre l’idée qu’elle ne pourra plus manger de viande, ni rouler en voiture.
Le discours sur l’apocalypse climatique ne sert qu’à faire accepter une baisse drastique du niveau de vie, baisse devenue inévitable avec l’énorme masse de dettes qui écrase les états occidentaux.
« Les résultats montrent qu’il est possible de réduire de 50% la consommation de viande tout en satisfaisant l’adéquation nutritionnelle et sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations », ce qui « conduirait à une réduction de l’impact carbone de l’alimentation comprise entre -20% et -50% selon le type de changements alimentaires associés ». L’alimentation représente 22% de l’empreinte carbone de la France, et « 60% de ces émissions proviennent de la production, au niveau agricole, des aliments que nous consommons ». L’étude souligne qu’en France, « après deux décennies de baisse entre 1990 et 2012, la consommation de viande par habitant affiche une légère hausse depuis une dizaine d’années ». « La consommation de poulet par habitant en France a en effet plus que doublé entre 2000 et 2022 », ajoute l’étude. Plus généralement, « la quantité de viande consommée par habitant en France est aujourd’hui deux fois supérieure à la moyenne mondiale ».
La moyenne mondiale est notamment calculée en intégrant ce que mangent les noirs et les indiens tous les jours.
Tant que vous mangerez à votre faim, les financiers internationaux estimeront que vous vous gavez, vous et vos enfants, et ils voudront vous enlevez le pain de la bouche pour vous ramener dans le rang.
Le réseau Action climat, qui fédère une trentaine d’associations, et la Société française de nutrition, ont effectué « un travail de modélisation de régimes alimentaires durables » avec le bureau d’études MS Nutrition. L’étude prend comme référence les engagements pris par la France dans le cadre de sa 2e Stratégie bas carbone, qui vise notamment une réduction des gaz à effet de serre de son secteur agricole de 46% d’ici 2050.
Ce sont aussi ces financiers qui éradiquent les agriculteurs avec un mécanisme de concentration des fermes. L’accumulation de normes pseudo écologiques visent à éliminer d’office les agriculteurs qui ne peuvent pas suivre. L’objectif est de détruire la capacité de production.
Si vous vous demandez pourquoi ces financiers planifient cette liquidation des koulaks, c’est très simple : pourquoi attendre une dépression sans précédent, avec son lot de révolutions et de violences, si l’on peut ajuster la demande en compressant l’offre autoritairement ?
Pas d’offre, pas demande, c’est facile.
Dans l’esprit des financiers internationaux, il faut vider les étalages avant que les plébéiens ne soient trop pauvres pour se payer quoi que ce soit et ne demandent des comptes.
En leur disant que s’il n’y a rien dans les magasins, c’est pour survivre à la fin du monde, les affamés sont censés avoir l’impression d’être des ascètes, pas des gueux.
C’est un pari risqué, mais les banquiers juifs sont décidés à le tenter.
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albad · 10 months
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🔥 NANTERRE : NUIT DE RÉVOLTE CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES
Mardi 27 juin au matin à Nanterre, le jeune Naël, 17 ans, était exécuté au volant de sa voiture par un policier qui l'avait menacé juste avant de lui mettre une «balle dans la tête» avant de tirer dans son cœur. L'agent n'était absolument pas en danger, comme en témoignent les vidéos.
Tout la journée, l'extrême droite et les syndicats policiers qui contrôlent les médias français ont sali le jeune défunt, en le décrivant comme un trafiquant de drogue connu des services qu'il a un casier vierge. Une diffamation concertée et délibérée d'un jeune homme tué. Un ambulancier qui a témoigné sa colère devant les policiers tireurs après avoir vu Naël mourir dans ses bras a été mis en garde à vue pour «menaces» et «incitation à la haine».
Dans l'après-midi, l’État déployait ses hommes en armes pour imposer la terreur à Nanterre. Des policiers étaient filmés en train de dire à des habitant-es «retourne en Afrique», ou violenter des passant-es. L'extrême droite en uniforme jette de l'essence sur le feu.
Rapidement, de nombreux feux ont été allumés et la police repoussée par un déluge de feux d'artifices. Dans la Cité Pablo Picasso, les forces de répression ont dû fuir à plusieurs reprises, à court de grenades.
Le journaliste Clément Lanot sur place raconte : «les policiers doivent quitter le quartier face aux projectiles. En plusieurs années de couverture de révolte urbaine comme celle de ce soir, je n’avais jamais vu des policiers armés de LBD et de grenade devoir quitter un quartier de cette façon».
Plusieurs blessés sont à déplorer, notamment une personne touchée par une balle de caoutchouc à l'entrejambe et une autre à l'œil. Mais la détermination n'est pas retombée face à ce nouveau crime policier.
Les émeutes se sont propagées dans plusieurs villes des Hauts-de-Seine ce soir : Suresnes, Gennevilliers, Colombes, Asnières-sur-Seine, Villeneuve la Garenne...
La mairie du Val Fourré a été incendiée à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines. Ailleurs, des incidents sont relevés à Montfermeil, Vitry, Argenteuil, Hem, Bordeaux ou Colmar. «On refuse de vivre sans honorer nos morts».
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🎥 : Rémy Buisine, Clément Lanot, Adcazz, HZ press
Contre Attaque
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claudehenrion · 3 months
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''Relancer le quinquennat... ''
Depuis quelques semaines, la Presse, fatiguée sans doute de nous répéter les mêmes balivernes sur les victoires des ukrainiens et les défaites des russes (quand vont-ils enfin ouvrir les yeux ?), sur la ''seule solution'' (?) au Moyen-Orient (les impossibles ''deux Etats''), sur la non-connexion entre la délinquance et la violence... et l'immigration (sic !), a reçu un nouvel os à ronger : ''Macron, chercherait un cap pour 2024'', après une année difficile (NDLR pourquoi une seule ? Depuis qu'il est là, les tuiles succèdent aux crises et les catastrophes aux mauvaises nouvelles !) (NB : ce ''billet'' a été écrit juste avant la ''conférence de presse'' d'hier).
Ça, au moins, c'est de la nouvelle, et heureusement qu'on a des journalistes bien payés pour nous dire comment va le monde ! Car si on comprend bien (ce qui, après bientôt 8 années de lavage de cerveau et de mensonges ''en même temps'', force l'admiration pour le peuple français !), la France ne serait donc même plus gouvernée ''à vue'', mais trimballée, baladée, au pifomètre ou en fonction des vents : on cherche chaque jour ce qu'on va bien pouvoir raconter le lendemain, et si on trouve, c'est une journée faste ! Mais le plus terrible, dans cette constatation qui aurait du être faite depuis bien longtemps, c'est que les grosses lettres des ''unes'' de nos quotidiens sont le reflet de la dramatique vérité ! Pardon de revenir, une fois encore, sur l'Ecclésiaste et son ''Malheur à la cité dont le roi est un enfant'', mais si vous me proposez une citation qui décrive mieux que celle-là l'état de décomposition avancée de notre pauvre France en train de faire naufrage... je la fais mienne !
A la limite, on pourrait comprendre cette valse-hésitation d'un Président qui a été propulsé à ce poste par le plus inexplicable des hasards (car je ne veux pas revenir –comme il faudrait pourtant le faire, si on veut trouver de vraies explications à notre drame actuel-- sur l'immense scandale Fillon, qui a fait entrer notre pays dans la smala des républiques bananières... qu'il n'a plus quittée, depuis !), et qui aurait aimé laisser dans l'histoire une autre trace que celle, lamentable, de son règne-pour-rien : peut-être, semble -t-il penser, qu'une idée géniale pourrait encore sauver l'in-sauvable ? Beaucoup –dont moi-- sont convaincus qu'il est déjà trop tard. Mais d'un autre côte ''tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir''...
On sait qu'il existe une théorie, qui fut vite qualifiée de complotiste par les seuls complotistes qui existent, ceux qui croient (dis)qualifier par ce titre ceux qui ne pensent pas comme eux (l'expérience permettant de considérer cette théorie comme plus-que-probable) : l'évolution à moyen terme du monde est menacée par ''les cauchemars made in Davos'', dont la perversité ravageuse est disponible dans toutes les librairies, sous le titre de ''The great Reset'' (la grande Réinitialisation), poison violent signé Klaus Schwab. Force est de constater que le monde est dirigé par des vampires dont la seule mission est de mettre en place les non-systèmes inventés par un petit groupe d'illuminés. Il est alors facile de comprendre qu'un président qui doit ''détricoter'' tout ce qui existe, mais sans que ça se sache, n'a pas un job facile. Dans ce contexte, avoir l'air de ne pas avoir de cap peut ne pas être aussi idiot que ça en a l'air... Les intéressés nient cette immense conspiration... mais on ne les croit pas : ils mentent sans cesse !
En réalité, la vraie question est ailleurs : qui peut affirmer que les français, dans leur immense majorité, ont envie de ''sauver'' ce quinquennat qui ne peut logiquement plus l'être ? Et qui peut croire qu'ils pourraient majoritairement souscrire aux visions apocalyptiques que leur laissent entrevoir, comme seul futur, toutes les non-solutions garanties que leur proposent les dystopies ''davossiennes'' ? Autre manière de poser ce problème insoluble : il est difficilement concevable qu'un Président sans boussole détruise autant de choses, toutes dans le même sens, dans l'Histoire, les mœurs, les habitudes, les relations entre citoyens, la culture, la composition du corps social et le système de référence de ses habitants et de ses nouveaux arrivants... ce qui donnerait raison à ceux qui disent ''envahisseurs'' pour parler d'eux... Les réponses semblent autant ''d'allant-de-soi'' à ceux qui se sont juré qu'on ne les y reprendrait plus. Mais pour les autres ?
Dernier point qui mérite d'être pris en considération au lieu d'être ''disqualifié'' avant même d'avoir été étudié : devant la destruction systématique de tout ce qui fut, de ce qui est, de ce que les français voudraient voir maintenu et continué... on se souvient de cette vieille phrase tirée du célèbre ''Sapeur Camembert'' de nos grands-pères : ''pour combler un trou, il suffit de faire un trou un peu plus grand, juste à côté'', idée de génie que tous nos présidents depuis un demi-siècle ont utilisée, en ne résolvant aucun de problèmes qui se posaient à notre pays mais en ''refilant'' toutes les décisions structurantes à ce truc terrifiant qui a usurpé le nom –anciennement respecté et attractif-- de ''Europe'', ce ''bien'' (?) qui s'est révélé pire que le ''mal'' qu'on prétendait soigner (à défaut de le guérir...) en se recommandant de lui... Que tout est donc compliqué !
La relance (ou pas) des 3 années qui restent de ce quinquennat terrible pour la France –qui s'estimera chanceuse si elle existe encore après avoir été soumise à un tel essorage pendant deux fois cinq ans (mathématiquement, ça fait dix ans de trop !), ne semble être désirable que pour le seul Macron –et les quelques prébendiers qui lui restent encore fidèles en titre-- mais vraiment pas pour le peuple français qui le démontre à longueur de mécontentements catégoriels, d'abstention-comme-jamais nulle part ailleurs, et de ras-le-bol perceptible jusque dans les ''dîners en ville'' qui pourtant, lui furent longtemps favorables (tout le monde peut se tromper !).
S'il a vraiment besoin de faire quelque chose –pour se faire croire à lui-même qu'il existe-- il lui suffit de découvrir enfin que tout ''changement-pour-le-changement'' n'est pas un ''progrès'', et que, par conséquence, il serait plus efficace, dans l'intérêt commun, qu'il arrête de nous terrifier avec des bobards en chapelets sur des virus inventés, sur des gaz à effet de serre ou de dessert, inventés aussi, sur des ''transitions climatiques'' fantasmées et inutiles et de ''transition'' totalement inutile --mais terriblement coûteuse ! Par exemple, en signe de sa bonne volonté et de son désir d'un authentique ''changement utile'', il pourrait arrêter de nous dresser les uns contre les autres, à propos de chacune de ses idées-qui-ne-sont-que-mauvaises et ne peuvent que nous séparer en groupes hostiles –toujours au nom d'un prétendu désir d'union sacrée que personne n'a jamais vu... (un peu comme le Pape François, qui fabrique sans nul besoin un risque de rupture avec l'Eglise d'Afrique –la principale force et la dernière chance de la chrétienté-- à propos du simulacre de bénédiction des ''couples'' homosexuels... ce qui n'était vraiment pas la première urgence, en ce moment !)
En conclusion (puisque, comme aimait à le répéter Flaubert ''seuls les imbéciles veulent conclure'' (sic !), je vais me permettre, en ce début d'année, de vous recommander, chers amis-lecteurs, de vous procurer (et de lire !) deux livres qui sont indispensables pour qui veut comprendre pourquoi nos élites indignes de leurs responsabilités mènent si mal les affaires du monde –et les nôtres : le premier –déjà cité ci-dessus-- est le désespérant livre de Klaus Schwab, ''The great Reset '', en français : la grande Réinitialisation (Ed. Forum Publishing), et le second (dont nous parlons souvent dans ce Blog) est ''La gestion de la barbarie'' de Abou Bakr Naji (Ed Eyrolles). Ces deux ouvrages ne sont peut-être pas les seuls qui permettent de ''comprendre demain''. Je les crois néanmoins à la fois nécessaires et suffisants. Bonne lecture à tous ceux qui voudront savoir à quelles sauces indigestes ils vont être ''bouffés'', dans un futur qui, hélas, semble de plus en plus proche...!
H-Cl.
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Josette Bruce - Magie Blanche Pour OSS 117 - Presses de la Cité - 1969
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«Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante.
Vous le savez aussi bien que moi.
Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées.
On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire nous nous retrouverions à la rue illico.
Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent.
Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses.
Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes.
Nous sommes des prostituées de l’intellect.
Tout cela, vous le savez aussi bien que moi !»
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John Swinton, célèbre journaliste qui à New York, le 25 septembre 1880, s'était fâché lors d'un banquet quand on lui a proposé de "faire un toast à la liberté de la presse" (cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)
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youraufildespages · 1 year
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Cruels sont les rivages d'Eric le Nabour
Suspense en Bretagne autour de Laura, ancienne policière de la Crim’. Un mari qu’elle croyait mort, des révélations – de trahisons en mensonges – vont ébranler ses dernières certitudes. Et mettre sa vie en danger et celle de ses filles. Par l’auteur des Ombres de Kervadec. Après la mort de Romain, son mari, flic des Stups tué au cours d’une opération, Laura, elle-même policière, quitte ses…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? N°267
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, c’est l’heure du “C’est lundi que lisez-vous” je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Franchement je suis plutôt contente…
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Mahsa Amini, âgée de 22 ans et originaire de la région du Kurdistan (nord-ouest), a été arrêtée le 13 septembre à Téhéran où elle était en visite avec sa famille, pour «port de vêtements inappropriés» par la police des mœurs, une unité chargée de faire respecter le code vestimentaire strict de la République islamique d’Iran pour les femmes. En Iran, se couvrir les cheveux est obligatoire en public. La police des mœurs interdit en outre aux femmes de porter des manteaux courts au-dessus du genou, des pantalons serrés et des jeans troués ainsi que des tenues de couleurs vives, entre autres. Masha Amini est tombée dans le coma après son arrestation et est décédée le 16 septembre 2022 à l’hôpital, selon la télévision d’État et sa famille. Des militants affirment qu’elle a souffert d’une blessure à la tête alors qu’elle était en détention. La police iranienne a rejeté ces accusations et une enquête a été ouverte. Le décès de la jeune femme a suscité une vague de colère en Iran, où des manifestations ont éclaté samedi au Kurdistan, puis à Téhéran et dans d’autres régions d’Iran. Mardi, le gouverneur du Kurdistan, Ismail Zarei Koosha, cité par l’agence de presse Fars, a fait état de «trois morts» lors des manifestations dans différentes localités de la province, sans préciser de date. Il a qualifié ces morts de «suspectes, faisant partie d’un complot fomenté par l’ennemi». Il a aussi affirmé que l’une des victimes avait été tuée par un type d’arme non utilisé par les forces iraniennes
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life is good
Pêle-mêle: Annecy, ton souvenir et ta bague; Paris Blz, Noémie et l’anarchisme chrétien; Portbou et Walter Benjamin à la tombe fleurie, toi qui es certes mort seul mais dont le souvenir habite tant de tes camarades; Madrid, les baleines ; Gibraltar, le sublime, l’intense désir de mourir face à cette beauté étouffante; Tarifa, le ferry et le souvenir du premier clip que tu m’as jamais envoyé; Tanger, les larmes, enfin au Maroc ; le film de Jarmusch et la chanson de Dylan; Casablanca, quatre plus tard, enfin devenu moi-même; les cousins et cousines, leurs enfants; ana fi dar; ANA FI DAR; le thon frais au petit déjeuner; les ongles sans vernis et les mains dénuées de bagues; les matchs avec les kuul kids de Casa, ces passantes cybernétiques; la plage, les rires, les jeux d’enfants; le darija qui revient; ces visages marquants, touchants sur lesquels j’aimerais tant écrire; ces traits partagés qui me rassurent dans ma marocanité; les souvenirs du mondial; le chaabi; le bled et khalti; Amina et Mahjoub; le puzzle infini; la PS3 et Proust; ton souvenir qui revient ça et là quand je vois la valée du Draa; le regret de ne jamais avoir pu te présenter; la tombe de jaddi; Mahjoub qui recommence à boire; l’ennui, celui que je connais depuis 20 ans, celui qui m’a aidé à imaginer, celui qui m’a permis de me conter tant d’histoires; le souvenir de papa, mentir à tout le monde sur sa maladie; se dire que papa reste un mystère, un secret et une énigme; se dire que le temps presse et qu’il faudra connaitre son histoire, la seule qui vaille la peine d’être racontée; Zakaria, plus qu’un cousin, un frère; Khalti et une dernière photo, la dernière? les larmes et Sufjan stevens; chaque au revoir est un déchirement car on ne sait jamais s’il s’agissait plutôt d’un adieu; Marrakech, Jamaa El Fnaa, les Gnawa, les larmes à nouveau, la vie est belle; Ziyad et Salma, des pestes géniales; Casa encore, Fatna mama dial bled; dima khout fi ftar; Aicha, ses larmes, Abdel est malade; le Tour de France, encore et toujours; Dai, Anna, Gatien, Audrey, Léo; l’Aid et Mountassar; du mouton trois fois par jour à en tomber malade; Malika et la Gandoura; Fatna et le foulard; déjà le 3 juillet, les larmes toujours les larmes; toujours chez moi sans jamais vraiment l’être, condamner à être ni d’ici ni d’ailleurs; Tanger encore, le taxi qui me parle arabe et refuse de m’arnaquer; le ferry; les douaniers racistes; Madrid et Tafouqt; le Prado et Fra Angelico; les tinto de veranos; Reina Sofia Deleuze et Guattari; le souvenir de Tianmo; la Suisse, le festival de la cité, Léo et Audrey, Val et Tridel, les mêmes tenues sans faire exprès, demander aux autres si l’on voit que je vais mieux; la pluie et les rires; sommeil trop court; le Valais, grand-mère, mon être humain favori; la Cité avec Leila, Lolo et Val; Valentino Vivace, les larmes à nouveau, la vie est belle, je suis reconnaissant; Berlin le dimanche, arrivée à 16h30 et berghain à 18h00 avec Loïc, c’en devient aisé; la glace, les bières, les gens, l’émotion et encore les larmes; vive les hétérotopies; Berlin, ne rien faire et voir des gens; Asha, Noah, Katerina et Max; se retrouver dans un local par hasard avec des napolitains et danser des heures durant; Copenhague, Nathalie et Rasmus; Louisiana et William Kentridge; Katrin et la pizza sous la pluie; Morten et Rasmus à Props; un repas avec Kierkegaard; le Tour de France; un restaurant italien, plastiquer des avions et faire la grève des loyers; Mélisandre St Gilles et les frites; des vins natures; les amis stylés de Rasmus; i’m doing so great 9,5/10; les rumeurs les plus folles sur des toilettes; un burger king chelou mais une vraie complicité; un début d’idylle; un tour en voilier; le tour de France encore et toujours; une parmigiana, un souper entre amis; une bodega et de la tuborg; des cafés fancy, une dernière balade; un sandwich pour la route; un dernier au revoir; la Suède, Camila et Leandro, mom & dad; les parents de Leandro, cette mélancolie quand je vois un couple mixte qui s’aime; du sommeil et de la lecture; la horde du contrevent; les balades en forêt; le bord de mer et les méduses; Vingegaard et Pogacar; kalmar et les larmes de Camila; Copenhague encore, Autopoul et Freddy 7 ans plus tard; le portrait de Jonas et le vol raté; Berlin, Noah et une Augustiner; Nathalie, Mikkel et Michelle, Admiralsbrücke et Bayreuther; bateau ivre qui n’est plus; Alice et Luke; la pride internationaliste; des marocain.e.x.s queer; je fais ça pour toi; les émotions encore et toujours; ich liebe mein leben; berlin hat mich verdorben und verführt und ich werde dich bis zum ende lieben; Hélène Cixous et Frantz Fanon; des philosophes non-binaires qui travaillent sur l’ambivalence dans les performances trans; des drapeaux palestiniens n’en déplaisent aux anti-deutsch ; on marche, on marche, on marche; des tenderqueer et leur gramme de c; on se fait bg; herrensauna, 2h30 de queue mais en bonne compagnie; Nene H et la videuse, danser alors que je n’en peux plus; dormir deux heures; flâner; retourner à Herrensauna; appeler Noah et le convaincre de venir; ne pas prendre de drogue, ne pas trop boire, juste danser danser et danser; danser avec des inconnus au point que les autres nous regardent impressionnés par notre énergie; les au revoirs à Nathalie; continuer la soirée avec Noah; ne jamais cesser d’être émerveillé par le délire berlinois; rentrer à 1h du matin; des dernières pâtes à la tomate; le train à 5h26; se dire que c’était nos meilleures vacances :) P.S. J’avais l’espoir romantique de tenir un journal de bord, une sorte de carnet de voyage dans lequel j’aurais inscrit à tout jamais mes souvenirs, mes impressions, mes émotions, mes péripéties bref tout ce qui constituait cette aventure en train. Évidemment, je ne l’ai pas fait; je pourrais faire valoir que l’on écrit que quand l’on pris par la spleen ou comme Casey le dit: “quand ça va bien, je le vis; quand ça va mal, je l’écris” mais la vérité étant que je n’ai pas pris le temps de le faire, assurément pour vivre les évènements mais surtout par flemme. Toutefois les souvenirs de ces 8 semaines sur la route, ou plutôt sur les rails, sont encore vifs et c’est l’occasion de vous les conter autrement que par vlogs et messages instantanés. Il est d’autant plus nécessaire de laisser une trace non pas pour faire le point, mais plutôt pour faire la ligne et garder le souvenir aussi vif que se peut. Par où commencer? Que dire? Comment le dire? À qui le dire? Toujours les mêmes questions, toujours les mêmes insatisfactions… Plutôt que de rédiger, pourquoi pas balancer des noms, des lieux, des choses, des actions qui comme une carte serviront d’entrées à des histoires que je vous conterai quand nous nous reverrons?
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