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comma57 · 2 years
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perduedansmatete · 10 months
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en vérité quelquefois je regrette d'avoir arrêté l'athlétisme, même si ce n'était pas de ma faute j'aurais pu reprendre plus tard, j'ai jamais été la plus nulle, jamais la meilleure non plus mais c'était pas le but, j'aimais mon entraîneur qui me le rendait bien (il me motivait avec des bonbons mdr privilège de chouchoute) j'aimais les gens et ce sentiment de famille, ça me faisait du bien de sortir de ma tête et ça me manque un peu d'être douée et reconnue dans quelque chose, ça me manque d'aimer faire du sport, d'imaginer que je tue quelqu'un que je n'aime pas avec mon javelot et de me jeter dans le sable le plus loin possible après avoir compté mes marques tant bien que mal avec quelqu'un qui chante dans mes oreilles pour que je perdre le compte, puis ça me manque d'avoir un corps plus fonctionnel, même le stress des compétitions que je détestais me manque, petite j'allais assez souvent m'entrainer à reculons mais le peu d'autres sports que j'ai pu tester ne m'ont jamais permis de me dépasser comme l'athlétisme et ne m'ont jamais fait autant de bien je crois, à part la boxe peut-être mais ce n'était pas pareil et je n'ai pu en faire que trop peu de temps car mon dojo s'est effondré à peu près au même moment que mon dos, puis ce que j'aimais dans l'athlétisme c'était que même si c'est un sport assez solitaire il y avait quand même une notion d'équipe assez forte, bref depuis je fais plus vraiment de sport (euphémisme, en même temps fut un temps on m'a dit qu'il fallait en faire le moins possible ou bien des trucs nuls genre nager dans une piscine) je n'arrive plus à courir sans avoir atrocement mal aux poumons (et aux ovaires mdr ou un truc par là) je n'ai plus d'endurance et ça c'est franchement un drame et une honte, j'ai le corps cassé, mon esprit ne peut plus se défouler non plus et j'ai peur de refaire du sport avec des gens que je ne connais pas (mais j'ai un peu envie quand même)
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sleepy159 · 8 months
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hazy gray
info : tanjiro x s.h reader
cw: SH,blood,suicidal thoughts, established relationship
a/n: This is mostly for me,im on the verge of relapsing and i jsut wanted to write smth ykwim? This is not proofread and it will probaly be very bad as its my first time writing smth like this<3
wc: 555
૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა
You were home alone, Tanjiro had left on a mission with Zenitzu and Inosuke, you had been lying in bed for what felt like hours, you couldnt get up. You had no motivaition, no will, nothing left of you to make you want to get up. im so lazy, i cant even get out of bed,im just a waste of space and time. You rolled up your sleeves, looking at the marks that were from old habits..you couldnt...you promised. but what were promises if you were going to die anyways?
You slowly & tiredly moved your figure from out of the bed, stumbling towards the bathroom. im so fucking useless. you didnt bother locking the door as you shut it, you were home alone. Your fingers flicked the switch and light flooded into the room, you kneeled down and opened up a cabinet, sifting through the makeup you found the bag, the one you swore you wouldnt open again, the one with razors.
You messily opened the bag and splayed the razors on the counter, you picked the one that had the least amount of blood and rust on it. Tiredly picking up the razor, you pressed it against your skin untill the skin broke, then you dragged, wincing at the sensation at first. i deserve this, you thought as you made line after line of blood appear on your skin.
The feeling was so sickeningly sweet, the push and pull of your skin made you feel... nothing. nothing. That nothing was exactly what you needed, what you craved. You didnt feel the least bit guilty right now, the peace of the silence in your head and the room was what got you so addicted.
You got so lost in the moment, in your suffocating thoughts that you didnt notice the sound of the front door opening,the sound of footsteps getting closer,and the sound of the door knob clicking.You only noticed Tanjiros apperence at the last moment,shock numbing your body as you subconsciously drop the razor on the floor,your arms behind your back.
"Y/n, whats wrong why do i smell blood?! are you ok?!" Your lover burst through the door,his face quivering with concern. He had smelt your tired & bloodied figure long before he entered the house. "Im fin-" you were cut off by a quiet, almost whispered "why?" Tanjiro had moved forward,his teary eyes flashing from the razors on the counter to the razor that had a pool of blood surrounding it on the floor. "im sorry" was all you said, in truth, you were still numb, numb enough to not care. "no no dont apologize its-your going to be ok" he spoke out, you werent quite sure if it was to assure himself or you. He didnt let you stay on the floor for long as he gently pulled you up by your hand, making sure not the re-open any cuts as he did so. He led you to the bed and told you to stay there, he was back in no time with a towel and bandages. You winced as he pressed the towel against your skin, he mustve put disinfectant spray on it. after bandaging your arms, he pulled you into another hug, both of your tears staining each others cloth.
૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა ‧₊˚ ꒰ྀི૮ ྀི◞͈ ˔ ◟͈ ྀིა
i apoligize if this was bad,i wrote it in a daze and idk if i will even be alive to write anymore so!!!
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del-uxie · 2 months
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ughh i have malicious ocs to draw but no motivaition 😭😭😭😭😭😭why is studying so...studying
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mittwoch-addams · 1 year
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Could you upload the article please. It is behind a paywall xx
Van de Donk: «Il y a une atmosphère de victoire unique à Lyon»
De retour sur les terrains depuis six mois après sa grave blessure à la jambe, Danielle Van de Donk savoure de disputer les gros matchs de cette fin d’année 2022, entre la Ligue des champions et ce duel du championnat face au PSG. Ses débuts précoces en foot, l’attachement à sa famille, sa positivité, son mental à toute épreuve qui matche bien avec l’OL… La milieu de terrain néerlandaise de 31 ans se confie.
Depuis quand jouez-vous au football ?
« En fait, c’est assez marrant car ma mère m’emmenait à mes cours de natation sur son vélo quand j’étais petite. J’étais assise dans le siège enfant, derrière elle, et je voyais tout le monde jouer au foot quand on passait devant le club local, ça me donnait envie. Je me rappelle lui avoir demandé : moi aussi je peux jouer au foot ? J’avais 3 ans. Alors elle est allée se renseigner, et on lui a dit que je pouvais m’inscrire dès 4 ans. J’ai commencé à jouer à cet âge-là. Ce qu’on faisait ne ressemblait pas trop à du foot mais ça m’a plu. J’ai aussi pratiqué le tennis, l’équitation… mais ça a toujours été le football pour moi. J’étais toujours dans la rue, à jouer au ballon avec les garçons. »
Quand avez-vous su que vous pourriez en faire votre métier ?
« C’est très bizarre mais aux Pays-Bas, il y a une tradition. Quand tu es tout jeune et que tu fêtes ton anniversaire, tout le monde chante pour toi puis tu dois te tenir bien droit sur une chaise et répondre à la question ‘’qu’est-ce que tu veux faire plus tard ?’’. Dès mes 5 ans, je disais que je voulais être joueuse de foot professionnelle. Ça faisait rire tout le monde car ça ne semblait pas réaliste, mais moi, j’y ai toujours cru. À mes 16 ans, quand j’ai arrêté de jouer avec les garçons pour basculer avec les filles et que l’équipe nationale s’est intéressée à moi, je me suis dit : ‘’voilà, le football m’amène quelque part, c’est ce qui va guider ma vie désormais’’. Quand on a gagné l’Euro avec les Pays-Bas en 2017, là, c’est devenu quelque chose d’énorme. »
Antonin da Fonseca, qui vous a accompagné durant votre réathlétisation la saison dernière , dit que vous êtes très confiante et sereine, que rien ne vous atteint. Vous confirmez ?
« Mes parents m’ont toujours dit : ‘’si tu ne crois pas en toi, personne ne le fera pour toi’’, c’est comme ça que j’ai été élevée et que j’ai grandi. Mais je ne suis pas aussi confiante qu’Antonin le pense. Certaines choses peuvent m’atteindre comme le fait de ne pas être titulaire sur un match. C’est difficile à encaisser mais en même temps, ça me motive pour m’entraîner plus dur et ne pas débuter sur le banc au match suivant. J’essaye de transformer ma frustration en quelque chose de positif. Je ne vais pas aller voir le coach et lui demander : ‘’pourquoi tu ne me fais pas démarrer ?’’, je ne vais blâmer personne d’autre que moi. Il faut toujours travailler. Si tu n’as que le talent, ce n’est pas assez. »
« Se blesser gravement te fait davantage apprécier le football »
Vous semblez pleine de vie, vos proches vous voient comme ça aussi ?
« Oui, je pense qu’ils diraient que je suis souriante et spontanée. Je suis quelqu’un de joyeux. Je ne peux pas me plaindre, j’ai une très belle vie et je fais ce que j’aime : jouer au foot. Je suis très reconnaissante de ça. J’ai ma famille à la maison, mon autre famille au club. On partage les mêmes objectifs, on rigole beaucoup, c’est sympa. »
Comment avez-vous géré votre grave blessure à la jambe l’an dernier ?
« C’était bizarre car personne n’avait connu ce genre de blessure dans le haut niveau avant moi. Au départ, le chirurgien m’avait dit que je pouvais en avoir pour quatre mois, voire six. Au final, ça a duré sept mois. C’était sympa d’être au club durant ma réathlétisation. Les filles venaient me voir, me soutenaient, ‘’Allez Dan, let’s go’’. Ce n’était pas grand-chose, un petit mot d’encouragement par-ci par-là, mais ça me motivait pour tout donner et les retrouver au plus vite sur les terrains. J’essaye de faire pareil avec les blessées actuelles. Le plus dur à vivre a été le dernier mois, car il y avait de grosses échéances qui se présentaient comme la finale de Ligue des champions. J’avais envie d’en faire partie et de jouer mais c’était trop tôt. Et il fallait que je sois rétablie pour l’Euro. »
Vous avez été gravement blessée au genou quand vous aviez 16 ans (rupture du LCA), cette blessure à la jambe n’était pas la première
« Oui, le fait d’avoir déjà expérimenté ça m’a aidée. Cette blessure au genou m’avait davantage fait apprécier le football. Tu dois travailler dur pour revenir à ton niveau : c’est long, c’est compliqué, mais à la fin, tu reviens encore meilleur. »
Cela fait six mois que vous êtes de retour sur les terrains. Comment vous sentez-vous ? Avez-vous encore des craintes ?
« Non, je n’ai pas de peur ou d’appréhension, ce qui est une bonne chose. Après une grave blessure, tu connais généralement une longue période où tes performances sont un peu en dents de scie. Il faut que j’accepte qu’il y aura de très bons matchs comme des moins bons de ma part. Parfois, je réfléchis trop. Il faut que je gagne encore en confiance pour que tout redevienne naturel, automatique. Je suis quelqu’un qui aime bien attaquer, dribbler… Quand je regarde mes derniers matchs, je me rends compte que je ne le fais plus autant qu’avant. Il faut que je retrouve ça car je suis bonne dans ce registre et je sais que je peux apporter quelque chose de spécial à l‘équipe grâce à ça. Je me donne encore un peu de temps, mais je pense qu’en janvier j’aurai retrouvé mon niveau. »
« Il faut savoir se remettre en question mais ça ne sert à rien de paniquer »
Que pensez-vous du début de saison de l’équipe ? Et le vôtre, sur le plan personnel ?
« Je pense avoir plutôt bien commencé la saison, j’ai marqué des buts (3 en trois journées de championnat), j’étais impliquée dans le jeu, je me sentais bien. Puis des joueuses se sont blessées, on n’avait peu de joueuses aptes donc c’était un peu compliqué, il y avait beaucoup de changements dans l’équipe d’un match à l’autre donc c’était dur d’avoir de la cohérence dans notre jeu. C’est une question de feeling, d’automatismes que l’on prend : quand je joue dix, je sais ce que telle attaquante va faire si je vais ici ou là. Là c’était compliqué car on n’avait plus ces connexions-là. Mais on est en train de se remettre sur les bons rails, de bonnes joueuses sont de retour, on retrouve de la consistance. »
La confiance est de retour dans le groupe après les derniers matchs ?
« L’OL est une équipe qui a énormément de confiance. Même s’il y a des matchs où on ne va pas être au top, on sait que c’est une passe et qu’on va se remettre à gagner à nouveau. C’est un principe, je l’ai senti dès mes débuts ici. C’est une pression mais c’est une bonne pression. Il y a une atmosphère de victoire, c’est vraiment quelque chose de spécial et spécifique à Lyon, je n’ai jamais connu ça dans un autre club. »
Il n’y a donc pas eu de panique après la lourde défaite face à Arsenal en Ligue des champions (5-1) ?
« Non, on est en phase de groupe donc on sait qu’on va rejouer contre eux et qu’on a d’autres matchs pour se rattraper. Il faut savoir se regarder dans le miroir, se remettre en question, mais ça ne sert à rien de paniquer. »
Trouvez-vous que cela est plus compliqué de gagner cette année ?
« Chaque match est difficile car le niveau se resserre. En championnat, Paris est comme nous en termes de résultats et a du mal à marquer tant de buts que ça. En Ligue des champions, Arsenal, Wolfsburg sont de mieux en mieux… C’est bien pour le football féminin. Mais au-delà de ça, on joue beaucoup de matchs. Le calendrier est très chargé, si tu joues en sélection en plus de ton championnat, de la Ligue des Champions, de la Coupe avec ton club… C’est beaucoup et ça explique que ce soit aussi compliqué. »
« Personne ne pourra se permettre d’être un cran en dessous face à Paris »
Que pensez-vous du PSG ?
« Je suis toujours excitée de disputer des gros matchs. Comme les rencontres de Ligue des champions, les duels face au PSG font partie de ceux-là. Ce sont des matchs passionnants pour les supporters, la course au podium… On a envie de se montrer, de les jouer et de les gagner. »
C’est un bon souvenir pour vous, le PSG ?
« Oui, j’avais inscrit le 2e but lors du match aller la saison passée (victoire 6-1 le 14 novembre 2021). On avait très bien joué ce jour-là. C’était la première fois que je rencontrais le PSG. Deux semaines avant, les filles m’avaient dit : ‘’Dan, tu es prête là ? parce que c’est le PSG en face, il va falloir que tu te battes !’’ »
Vous aviez aussi marqué contre Paris lors du Trophée des championnes cet été (1-0 le 28 août)
« Oui, c’est vrai. Peut-être que c’est une équipe qui me réussit, je l’espère en tout cas (rires). »
Qu’est-ce qui fait la différence dans ce genre de duel ?
« Si tout est clair, que chacune sait exactement ce qu’elle a à faire et que l’on fait les efforts ensemble, il y aura une bonne énergie. Aucune joueuse ne pourra se permettre d’être un cran en dessous. L’équipe qui sera la plus collective et la plus juste techniquement l’emportera. »
Pensez-vous que Lyon est plus solide ou fragile cette année ?
« Mentalement, nous sommes très fortes. Les standards sont tellement élevés ici, et il y a une telle culture de la gagne… Sur ce genre de match, je sais que les leaders vont élever leur niveau de jeu donc je suis très confiante. »
« Contre Arsenal on avait touché le fond, on ne voulait pas revivre ça »
Est-il plus facile de jouer contre une équipe joueuse comme Paris, plutôt qu’une autre qui joue très bas ?
« C’est toujours compliqué de jouer contre des équipes qui parquent le bus derrière, surtout quand on n’arrive pas à vite marquer. Nos adversaires prennent confiance et nous, on devient nerveuses parce que ça ne fonctionne pas. Contre le PSG, c’est plus agréable d’évoluer car elles aussi veulent jouer au football et montrer ce dont elles sont capables. Elles ne vont pas passer leur temps à défendre, mais adopter un jeu de position. Ce qui va créer plus d’espaces, et permettre de faire plus de courses. »
Comment analysez-vous les difficultés offensives de l’équipe ?
« Il y a toujours une forte attente venant de Lyon, compte tenu de son standing. On s’attend toujours à ce que l’on marque beaucoup de buts. Quand ce n’est pas le cas, il y a tout de suite un peu de pression sur les joueuses, et la peur de rater peut s’installer. On travaille beaucoup ça à l’entraînement. Mais au cours des dernières semaines, j’ai noté une vraie amélioration. »
Est-ce qu’il y a eu un déclic face à Zürich, au match aller (3-0 le 24/11) ?
« Je pense. Jusque-là, nous étions conscientes que nous n’étions pas au niveau. Nous avons touché le fond contre Arsenal, c’était tellement en dessous de nos standards… Personne ne voulait revivre un match comme celui-là. À partir de là, tout le monde a essayé de se reconstruire, en équipe. »
Est-ce inconfortable de jouer Paris avant deux gros matches de Ligue des Champions ?
« Non parce qu’elles ont le même problème que nous. Notre programme est chargé, mais je préfère ce genre de matchs aux entraînements (rires). »
Trois choses à savoir sur « Dan »
➤  Tatie-gâteau. « J’ai grandi à Valkenswaard, une ville située au Sud d’Eindhoven, limitrophe à la Belgique. C’est comme un village, tout le monde se connaît. Toute ma famille vit là-bas. J’ai une sœur aînée de 33 ans qui a deux enfants, ils représentent tout pour moi. Je fais semblant que ce sont les miens (rires). Je les couvre de cadeaux, ils me manquent beaucoup. Mon père a fait un tas de métiers, il a travaillé dans la distribution, comme vendeur de voitures… Ma mère a longtemps cumulé deux jobs. Actuellement, elle travaille dans un hôpital, elle aide les patients à se nourrir suivant leurs allergies alimentaires. »
➤  Artiste à ses heures perdues. « Quand je ne joue pas au foot, j’aime faire les boutiques (rires). Plus sérieusement, j’adore dessiner. Je peux y passer des heures sans voir le temps défiler. Ça me permet de déconnecter, ça fait du bien de temps en temps. Mes amies me demandent régulièrement des ébauches pour leurs tatouages. La plupart se les font vraiment tatouer donc mes dessins ne doivent pas être si moches que ça (rires). »
➤  Appliquée en français. « Je prends des cours deux fois par semaine, avec le club et de mon côté avec un prof particulier. J’aime étudier le français, apprendre les mots. J’en connais pas mal maintenant. J’arrive à comprendre le français, mais à lire c’est plus difficile… avec tous ces accents, c’est dur (rires). C’est un gros challenge, car je n’ai jamais étudié le français à l’école donc je suis partie de zéro. »
Bio express
Danielle Van de Donk,née le 5 août 1991 à Valkenswaard, aux Pays-Bas (31 ans). Milieu de terrain. Passée pro en 2008.
Parcours junior : SV Valkenswaard - VV UNA (2006-08) ; senior : Willem II (2008-11), VVV Venlo (2011-12), PSV-FC Eindhoven (2012-15), Kopparbergs/Göteborg FC (2015), Arsenal (2015-21), à l’OL depuis juin 2021.
130 sélections avec le Pays-Bas depuis 2010.
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nunc2020 · 1 year
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Le désir de me servir du « je »
Continuer à dire « je » m’était nécessaire. La première personne – celle par laquelle, dans la plupart des langues, nous existons, dès que nous savons parler, jusqu’à la mort – est souvent considérée, dans son usage littéraire, comme narcissique dès lors qu’elle réfère à l’auteur, qu’il ne s’agit pas d’un « je » présenté comme fictif. Il est bon de rappeler que le « je », jusque-là privilège des nobles racontant des hauts faits d’armes dans des Mémoires, est en France une conquête démocratique du XVIIIe siècle, l’affirmation de l’égalité des individus et du droit à être sujet de leur histoire, ainsi que le revendique Jean-Jacques Rousseau dans ce premier préambule des Confessions : « Et qu’on n’objecte pas que n’étant qu’un homme du peuple je n’ai rien à dire qui mérite l’attention des lecteurs. (…) Dans quelque obscurité que j’aie pu vivre, si j’ai pensé plus et mieux que les rois, l’histoire de mon âme est plus intéressante que celle des leurs. » Ce n’est pas cet orgueil plébéien qui me motivait (encore que…), mais le désir de me servir du « je » – forme à la fois masculine et féminine – comme un outil exploratoire qui capte les sensations, celles que la mémoire a enfouies, celles que le monde autour ne cesse de nous donner, partout et tout le temps. Ce préalable de la sensation est devenu pour moi à la fois le guide et la garantie de l’authenticité de ma recherche. Mais à quelles fins ? Il ne s’agit pas pour moi de raconter l’histoire de ma vie ni de me délivrer de ses secrets, mais de déchiffrer une situation vécue, un événement, une relation amoureuse, et dévoiler ainsi quelque chose que seule l’écriture peut faire exister et passer, peut-être, dans d’autres consciences, d’autres mémoires. Qui pourrait dire que l’amour, la douleur et le deuil, la honte ne sont pas universels ? Victor Hugo a écrit : « Nul de nous n’a l’honneur d’avoir une vie qui soit à lui. » Mais toutes choses étant vécues inexorablement sur le mode individuel – « c’est à moi que ça arrive » –, elles ne peuvent être lues de la même façon que si le « je » du livre devient, d’une certaine façon, transparent et que celui du lecteur ou de la lectrice vienne l’occuper. Que ce « je » soit, en somme, transpersonnel, que le singulier atteigne l’universel.
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À l’heure où le divorce est largement démocratisé et que des milliers de nouveaux compagnons sont à portée de smartphone, pourquoi certains continuent de s’infliger une relation qui ne leur convient plus, dans laquelle amour et affection ont laissé place au ressentiment et à la frustration ? Il peut y avoir de nombreuses raisons pour qu'un couple reste ensemble, les enfants, la peur de la solitude, les finances, alors que ce qui motivait le désir de vie commune semble se déliter.
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vivre-sans-dettes · 15 days
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Pourquoi je suis reconnaissant face au stress financier
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La plupart d'entre nous fuient le stress financier, mais moi, j'ai choisi de l'embrasser. Vous vous demandez sûrement pourquoi. Laissez-moi vous raconter mon histoire et partager avec vous les leçons précieuses que j'ai apprises en affrontant les difficultés économiques. Mon parcours, bien que semé d'embûches, m'a poussé à réévaluer mes priorités, à améliorer ma gestion de l'argent et à cultiver une résilience intérieure.
Mon Parcours :
Une Histoire de Résilience
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En grandissant, j'ai été confronté à des défis financiers considérables, surtout après la perte de mon père à un jeune âge. Imaginez une montagne de dettes, un revenu insuffisant et la constante inquiétude de ne pas pouvoir subvenir aux besoins de la famille. C'était ma réalité. Mais à travers ces luttes, j'ai appris des leçons inestimables sur la gestion financière, la discipline et la détermination. La perte de mon père a bouleversé notre vie familiale. Ma mère, qui n'avait pas travaillé, a dû emprunter de l'argent pour subvenir à nos besoins. Nos revenus, déjà modestes, sont devenus encore plus précaires. Nous avons rapidement appris à vivre avec moins et à faire des sacrifices. J'ai pris des petits boulots après l'école pour aider financièrement, vendant dans les marches, travailler dans des usines, tout ce qui pouvait apporter un peu d'argent supplémentaire. Malgré ces efforts, les fins de mois étaient toujours difficiles. Les factures s'accumulaient, et chaque sonnerie de téléphone apportait une nouvelle inquiétude : Serait-ce un créancier ? Une autre facture impayée ? Ce stress constant aurait pu nous briser, mais il nous a rendus plus forts. Le stress financier est l'un des plus grands obstacles à la réussite, mais surmonter cet obstacle peut être une source incroyable de force et de résilience. Suze Orman Découverte de la Méthode Boule de Neige Un tournant décisif dans mon parcours a été la découverte de la méthode boule de neige pour rembourser les dettes. J'ai commencé par dresser une liste de toutes mes dettes, de la plus petite à la plus grande. Plutôt que de m'attaquer à toutes en même temps, j'ai concentré mes efforts sur la plus petite. Chaque dette remboursée était une victoire, un poids en moins, et me motivait à continuer. Cette approche a non seulement amélioré ma situation financière, mais elle a également renforcé ma confiance en moi. J'ai réalisé que, même dans les moments les plus sombres, il y avait toujours un moyen d'avancer. Chaque étape, chaque petite victoire, m'a appris l'importance de la persévérance et de la patience. Lire aussi : Libérez-vous de vos dettes avec la méthode boule de neige : une stratégie gagnante ! Apprentissage et Adaptation L'un des aspects les plus cruciaux de ce voyage a été l'apprentissage continu et l'adaptation. J'ai passé des heures à lire des livres sur la finance personnelle, à suivre des cours en ligne et à demander conseil à des experts. J'ai appris à créer et à suivre un budget strict, à réduire les dépenses non essentielles et à économiser chaque centime possible. J'ai également appris à être créatif avec mes sources de revenus. En plus de mon emploi principal, j'ai cherché des moyens supplémentaires de gagner de l'argent. J'ai vendu des objets inutilisés, proposé mes services de freelance et investi dans des formations pour acquérir de nouvelles compétences. Chaque euro supplémentaire gagné était immédiatement réinvesti dans le remboursement de mes dettes. Soutien et Motivation Un autre élément clé de ma résilience a été le soutien de ma famille et de mes amis. Ils ont été là pour m'encourager, me donner des conseils et, parfois, simplement pour m'écouter. Leur soutien m'a donné la force de continuer, même lorsque les choses semblaient impossibles. La motivation est également venue de sources inattendues. Lire les histoires de personnes qui avaient surmonté des situations financières similaires a été une grande source d'inspiration. J'ai compris que je n'étais pas seul et que d'autres avaient réussi à s'en sortir. Cela m'a donné l'espoir et la détermination de poursuivre mes efforts. Résilience et Gratitude Au fil du temps, j'ai appris à voir le stress financier non pas comme un ennemi, mais comme un enseignant. Il m'a appris la discipline, la gestion du temps et la prise de décision stratégique. Plus important encore, il m'a appris la résilience. Chaque défi surmonté m'a rendu plus fort et plus déterminé à atteindre mes objectifs financiers. Aujourd'hui, je regarde en arrière et je me rends compte à quel point ce parcours a été transformateur. Non seulement j'ai réussi à rembourser toutes mes dettes, mais j'ai également acquis des compétences et une mentalité qui me serviront toute ma vie. Le stress financier m'a poussé à devenir la meilleure version de moi-même, à me battre pour un avenir meilleur et à ne jamais abandonner. Lire aussi : Gérer ton stress financier au travail : astuces pour les personnes endettées
Le Stress Financier : Un Catalyseur de Changement
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Le stress financier n'est pas seulement une source d'angoisse. Pour moi, il a été un véritable catalyseur de changement. Voici comment : - Réévaluation des Priorités : Face aux difficultés, j'ai dû réévaluer ce qui était vraiment important. J'ai appris à distinguer mes besoins de mes envies et à concentrer mes ressources sur l'essentiel. - Amélioration de la Gestion de l'Argent : Les contraintes financières m'ont obligé à devenir plus organisé et stratégique avec mes finances. J'ai mis en place des budgets stricts, suivi chaque dépense et cherché constamment des moyens de réduire les coûts. - Cultiver la Résilience : Chaque obstacle surmonté m'a rendu plus fort et plus résilient. J'ai appris à voir les défis comme des opportunités de croissance plutôt que des barrières insurmontables.
Les Leçons Précieuses Apprises
Après 25 ans de lutte, de volonté et de travail acharné, j'ai réussi à rembourser toutes mes dettes et à enfin retrouver ma liberté financière. Voici les leçons que j'ai apprises en chemin et que je souhaite partager avec vous : - La Persévérance est Cruciale : Le chemin vers une vie sans dettes n'est pas facile, mais la persévérance est la clé. Il y a eu des moments de doute et de frustration, mais rester concentré sur mon objectif final a fait toute la différence. - Éducation et Connaissance : J'ai appris l'importance de l'éducation financière. Comprendre comment gérer l'argent, comment fonctionnent les intérêts et comment élaborer un budget efficace sont des compétences essentielles. - La Liberté Financière : Être libre de dettes a apporté une immense sensation de liberté et de contrôle sur ma vie. Cela m'a permis de faire des choix basés sur ce que je veux vraiment, plutôt que sur la pression financière. - Responsabilité Personnelle : J'ai appris à prendre la responsabilité de mes finances. Reconnaître mes erreurs passées et prendre des mesures actives pour les corriger a été un tournant. - L'Importance des Petits Gestes : Chaque petit effort, chaque euro économisé ou supplémentaire gagné a contribué à atteindre mon objectif. La somme de ces petites actions a produit un impact considérable. - Préparation pour l'Avenir : Maintenant que je suis sans dettes, je suis mieux préparé pour l'avenir. J'ai un fonds d'urgence, je planifie mes dépenses et j'investis pour mon avenir. - Gratitude : Ce voyage m'a appris à être reconnaissant pour ce que j'ai. J'ai appris à apprécier les choses simples de la vie qui ne coûtent rien. Lire aussi : Lâcher prise face au stress financier : Conseils pour trouver la paix intérieure
Conclusion : Embrasser le Stress pour une Vie Meilleure
En partageant cette expérience, j'espère inspirer d'autres à voir les défis financiers sous un jour nouveau et à trouver des forces insoupçonnées dans l'adversité. Le stress financier peut être accablant, mais avec de la détermination, un plan solide et la volonté d'apprendre et de s'adapter, vous pouvez surmonter vos dettes et retrouver la liberté financière. Il n'y a pas de victoire plus douce que celle remportée après une lutte acharnée. Restez forts, restez déterminés, et vous verrez que vous pouvez transformer vos finances et, par extension, votre vie. Read the full article
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christophe76460 · 17 days
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🚩 𝗔𝗜𝗗𝗢𝗡𝗦 𝗟𝗘𝗦 𝗘́𝗟𝗨𝗦 𝗗𝗘 𝗗𝗜𝗘𝗨
Mon épouse et moi (Derek Prince) avons un jour porté secours à deux femmes juives qui s’étaient échappées de Russie soviétique.
En un sens, ces deux femmes s’étaient livrées à notre merci.
Nous sommes passés par beaucoup de souffrances et de difficultés pour leur venir en aide, et, par la grâce de Dieu, nous y sommes finalement parvenus.
Un jour, je maugréais intérieurement en grimpant péniblement pour elles une colline très pentue, à Haïfa.
Il faisait très chaud et, même si ces femmes étaient toujours très reconnaissantes, je trouvais que c’était une terrible épreuve à traverser pour leur compte.
⚠️ Puis, Dieu me donna ce verset, je ne savais pas où il se trouvait dans la Bible, mais les paroles me sont venues comme ça : "C’est pourquoi je supporte tout à cause des élus, afin qu’eux aussi obtiennent le salut qui est en Jésus-Christ, avec la gloire éternelle." (2 Timothée 2:10)
🥺 En réfléchissant à la situation, j’ai réalisé que mon attitude était loin de ressembler à celle de Jésus sur la Croix.
Les inconvénients que j’étais en train d’endurer étaient si infimes en comparaison.
Mais le but était d’aider les élus de Dieu à obtenir le salut avec la gloire éternelle.
𝗤𝗨𝗘 𝗥𝗘𝗣𝗥𝗘́𝗦𝗘𝗡𝗧𝗘 𝗟𝗔 𝗚𝗟𝗢𝗜𝗥𝗘 ?
☝️ Nous devrions tous prendre plus de temps pour réfléchir à ce mot gloire, parce qu’il représente notre destinée.
S’il y a un prix à payer pour la gloire, croyez-moi, cela en vaut la peine.
Parfois, nous pouvons être appelés à abandonner ces deux idoles que sont le confort et la commodité.
☝️ Si nous pouvions seulement avoir une vision de ce que peuvent produire notre inconfort et notre sacrifice, nous verrions un jour les gens dans la gloire, s’y trouvant grâce à ce que nous avons fait.
C’était ce qui motivait Jésus.
Il ne l’a pas fait pour Lui-même, mais pour conduire beaucoup de fils et de filles dans la gloire.
🗣 𝗣𝗥𝗜𝗘̀𝗥𝗘-𝗣𝗥𝗢𝗖𝗟𝗔𝗠𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 :
Merci Jésus pour Ton œuvre sur la Croix.
Je proclame que je vais abandonner ces deux idoles que sont le confort et la commodité, comme Jésus l’a fait, afin d’aider à apporter le salut aux élus de Dieu.
Jésus a porté mon ignominie afin que je puisse partager Sa gloire. Amen.
ℹ 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟 𝗗𝗘 𝗟𝗘𝗖𝗧𝗨𝗥𝗘 : "𝗦𝗘𝗣𝗧 𝗘́𝗧𝗔𝗣𝗘𝗦 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗔𝗕𝗢𝗨𝗧𝗜𝗥 𝗔̀ 𝗟'𝗔𝗠𝗢𝗨𝗥 𝗖𝗛𝗥𝗘́𝗧𝗜𝗘𝗡" de #DerekPrince
#Jésus #JésusChrist #Dieu #EspritSaint #SaintEsprit #Christ #Yeshua #Bible #Évangile #Verset #Psaume #Proverbes #Vérité #Croyant #Chrétien #Foi #Citation #Sagesse #Prière #Louange #EnseignementBiblique #Guérison #Délivrance #CombatSpirituel #ConseilSpirituel #VieSpirituelle #VieChrétienne
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deepthinker-society · 1 month
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Nostalgie. Qu'est-ce qui est le plus nostalgique pour vous ? Une odeur, une musique, une image, un lieu ? Je suis retournée, un peu par hasard, dans un lieu que je n'avais pas fréquenté depuis 10 ans. Je dirais que ce n'est pas un détail qui m'a frappé, mais plutôt cette ambiance globale qui régnait à ce moment et qui était déjà présente il y a dix ans. L'expérience était surtout visuelle, olfactive et gestuelle et se ressentait comme un tout. Elle réveillait en moi des souvenirs et expériences passées que non seulement j'avais oubliés, mais qui avaient contribué à construire ce que je suis devenue aujourd'hui. Je me suis revue longer les mêmes allées il y a dix ans. Je me suis replongée dans mon passé avec non seulement ce que j'effectuais dans ce lieu à ce moment-là, mais également la projection de qui j'étais à l'époque. Qui j'étais, ce qui me motivait et ce à quoi j'aspirais. La nostalgie du lieu amène avec elle le souvenir du chemin parcouru. Se crée alors un aller-retour constant entre le passé et le présent : ce que je suis devenue, ce que j'ai vraiment réalisé et ce qui me motive désormais. Il peut se jouer l'appréciation ou non du présent, l'envie de retourner dans ce passé révolu, l'envie peut-être aussi de recommencer, de ne pas faire les choses de la même manière, de prendre d'autres chemins. Que dirais-je à ce moi du passé ? Aurait-elle pu imaginer tout ce qui s'est déroulé ? Aurait-elle pu concevoir un tel futur ? En suis-je fière ? Je peux. Nous pouvons toujours être fiers. Rien que le fait de pouvoir se retourner dix ans en arrière et voir que nous avons réussi à mener notre barque jusqu'à aujourd'hui peut nous rendre fiers. Il n'y a pas besoin d'effectuer de grandes choses. On peut. Mais ce n'est pas obligé. J'ai donc ainsi croisé, histoire de quelques heures, mon moi du passé dans ce lieu dans lequel je ne pensais jamais retourner. J'ai pu voir à quel point j'avais moi changé dans ce lieu immobile que 10 ans n'avait pas altéré. L'expérience est amusante. Je pense qu'elle mériterait d'être effectuée à dose régulière. C'est ça, la magie de l'âge. Nous avons le privilège de pouvoir être nostalgiques d'un florilège de choses. #nostalgie #lieu
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misswoozi · 2 months
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since you said twice atla au i am here to remind you of this: https://tumblr.com/misswoozi/732452394477240320/okay-so-i-actually-want-this-to-be-a-atla-au
I AM STILL WILLING TO DO A FIC EXCHANGE, BRO!!! I NEED SOME GOOD MOTIVAITION TO WORK ON SOME STUFF!!!
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autoanalyse · 4 months
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Je déteste quand il critique les gens
Il critiquait un couple qui se motivait
Enfin j’ai l’impression que tout le monde le soûl et qu’il préférerait être seul
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blogueericdescarries · 5 months
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Genesis GV70 (essence ou électrique), Salon de Montréal (part one) et Nokian
Le 18 janvier 2024
J’ai donc terminé l’année 2023 avec un essai hebdomadaire du VUS intermédiaire GV70 du constructeur sud-coréen Genesis, alors que ce véhicule était mû par un V6 à essence relativement puissant, pour débuter l’année 2024 avec l’essai du même véhicule mais en version électrique. Un exercice qui me fut très intéressant, je dois l’avouer.
Au départ, il faut que je précise que le GV70 n’est pas une grande nouveauté. Il nous est apparu en 2022 et, qui plus est, il a été le sujet d’un reportage dans ce blogue en début d’année 2022…après que je l’ai eu essayé presque en primeur en octobre 2021 au Festival des Essais de l’AJAC, cet évènement annuel qui se déroule depuis les quelques dernières années autour du circuit CTMP (autrefois Mosport). À cette époque, j’aurais pu choisir la version à moteur V6 turbocompressé mais pour mes déplacements d’une semaine, j’avais opté pour le quatre cylindres de 2,5 litres aussi turbocompressé.
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Le VUS Genesis GV-70 à moteur V6 essayé en décembre. (Photo Éric Descarries)
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Avec le moteur V6 viennent des échappements arrière imposants. (Photo Éric Descarries)
Pour la première partie du texte que vous lisez présentement, j’aurais pu reprendre presque exactement les mêmes commentaires que ceux que j’ai publiés il y a deux ans sauf que tout récemment, c’était le V6 qui motivait mon GV70 d’essai. Ce qui n’a pas changé, toutefois, c’est la ligne de ce VUS intermédiaire. Et même si elle est pareille à ce qu’elle était il y a deux ans, elle fait toujours tourner les têtes. Ce ne sont pas les concurrents qui manquent au GV70, surtout des véhicules européens comme les Mercedes-Benz GLC, les BMW X3, les Porsche Macan ou même les Volvo XC60, mais on doit avouer que, cette fois, les concepteurs de Genesis ont su donner au GV70 un design très reconnaissable. Je dirais même que sa ligne est plus classique, voire même plus…noble, peut-être?
Autre remarque «positive», la version toute électrique du même véhicule a conservé exactement la même ligne et la même finition que l’on voit sur les GV70. Seule la calandre de la version électrifiée en a été changée, mais à peine. Elle n’est pas ajourée pour laisser refroidir le moteur et ça se voit. Mais ce n’est pas désagréable à l’œil.
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Le GV-70 V6 qui me fut confié avait un intérieur remarquable. (Photo Éric Descarries)
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Malgré le bel aménagement, j’aurais aimé plus de place à l’arrière. (Photo Éric Descarries)
Même chose pour l’intérieur. La seule différence entre le GV70 à essence et la version électrique, c’est au niveau de l’instrumentation et de quelques commandes. Autrement, les deux affichent le même chic mais avec une petite touche sportive. Pour le reste, j’aurais pu «coller-copier» les remarques de mon texte de février 2022 sauf pour quelques détails de la version électrique qui sont presque invisibles sur les photos. Et je n’ai pas encore changé d’idée en ce qui a trait à l’espace intérieur alors qu’à l’avant, les occupants jouissent de beuacoup de débattement mais qu’à l’arrière, c’est un peu plus resserré (sans être trop inconfortable, toutefois). Et encore une fois, j’ai bien apprécié l’espace destiné au cargo qui permettra d’y loger plusieurs valises si l’on désire de faire un petit voyage (à deux personnes, bien entendu!).  
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Une chose est sure, il y a de l’espace pour les bagages. (Photo Éric Descarries)   
Trois mécaniques…
Alors, je peux donc mettre mon petit grain de sel sur les trois méthodes de propulsion disponibles avec les GV70. D’abord, spécifions que, de base, le GV70 arrive avec une boîte automatique à huit rapports la traction intégrale et un quatre cylindres turbocompressé de 2,5 litres qui fait 300 chevaux et que j’ai bien vanté lors de son évaluation en février 2022. Il est doux et performant. Le GV70 que j’ai conduit en décembre dernier était mû, lui, par le V6 turbocompressé de 3,5 litres de 375 chevaux de Kia-Hyundai dont les performances sont un peu plus étincelantes que celles du quatre cylindres mais pas tant que cela.  Enfin, le GV70 que Genesis m’a confié la semaine dernière était la version électrique dont la fiche technique nous indique qu’il y a deux moteurs électriques (un à l’avant et l’autre à l’arrière pour assurer la traction intégrale) dont la puissance totale fait l’équivalence de 483 chevaux grâce à un ensemble de batteries de 77 kWh. Il n’y a pas de boîte de vitesses. Autrement, les trois véhicules sont presque identiques sauf pour les dimensions des pneus (lors de mes essais, les trois avaient des pneus d’hiver).
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Le GV70 que j’ai conduit en décembre dernier faisait 375 chevaux. (Photo Éric Descarries)
Résultat? Le GV70 à moteur V6 est un tantinet plus rapide que celui à quatre cylindres avec une différence d’environ une seconde pour passer du point mort à  100 km/h (quelque six secondes pour le V6). Le même véhicule avec les moteurs électriques fera beaucoup mieux (environ cinq secondes) mais cela compte-il vraiment? Évidemment, les reprises sont plus intéressantes avec l’électrique mais les deux autres ne font pas si mal non plus.
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Vu que c’est l’hiver au Québec, Genesis avait équipé ma voiture d’essai de pneus Continental appropriés. (Photo Éric Descarries)
Les trois voitures d’essai étaient équipées de pneus d’hiver haut de gamme (des Yokohama sur la version à quatre cylindres, des Continental avec le V6 et des Nokian R5 avec l’électrique). La version V6 a roulé plus sur pavé sec (ce qui m’a fait réaliser comment le GV70 est plus doux que la plupart de ses concurrents sans, toutefois, être trop mou!) alors que le véhicule électrique m’a permis de vérifier l’efficacité de la traction intégrale et des pneus Nokian R5 dans la neige!  
Autrement…
Généralement, je n’ai que des compliments à faire sur ces produits Genesis. D’ailleurs, il n’y a pas longtemps, c’est exactement le véhicule que j’ai recommandé à une jeune dame qui avait l’œil sur un VUS européen plus agressif mais dont la réputation de fiabilité serait…à parfaire. Question tenue de route, tenue de cap, douceur de roulement, silence…les trois GV70 dont il est question ici sont gagnantes.
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La même Genesis mais à moteurs électriques affiche une calandre légèrement différente mais conserve le look original de l’auto. (Photo Éric Descarries)
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La même Genesis GV70 électrique vue de l’arrière n’a, évidemment, pas d’échappements. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, la version à moteur à quatre cylindres serait (relativement) celle qui serait la plus économique des deux à essence. Si vous vous référez à mon texte d’il y a presque deux ans, même en situation hivernale, elle m’a donné des chiffres de consommation de 11,1 l./100 k. Quant au V6, encore une fois en hiver, j’ai obtenu une moyenne de 13,8 l./100 km (alors que l’ordinateur de bord indiquait 13,4). Bien entendu, la version électrique ne m’a rien coûté en essence mais il m’a fallu la recharger. Et là, ce fut une expérience différente. Alors que la majorité des essais d’autres chroniqueurs, le chargeur de cette Genesis serait un des plus rapides sur le marché. Moi, je n’ai pas de chargeur 220 V chez nous. Depuis des années, je recharge avec une prise de 120 V dans ma cours. Disons que ce n’est pas toujours rapide mais avec un peu de patience et de longues périodes de recharge, je réussis toujours à tenir la charge à des niveaux élevés. Toutefois, au bout de presque 20 heures de recharge avec la Genesis, je n’avais accumulé qu’environ 70 kilomètres de réserve. Ce ne sont pas là les résultats auxquels je suis habitué. J’ai pris le véhicule avec presque 300 km de réserve et après 148 km de déplacement, il n’en restait plus que 96. Il y a donc quelque 50 kilomètres de réserve qui s’est «perdu» en quelque part…Et pour bien charger la batterie, j’ai dû me fier à des bornes de Circuit Électrique ce qui m’a pris plus d’une heure et demie.
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La prise de courant de la GV70 est habilement camouflée sous un portillon dans la calandre...et elles est éclairée la nuit ! (Photo Éric Descarries)
Finalement, j’aime faire de longs voyages. Aller chez mon fils en Abitibi me demande quelque six heures de route. Forcément, avec ces calculs, il me faudrait arrêter deux fois (à plus d’une heure) pour m’y rendre…Donc, je demeure «fidèle» au moteur thermique et si vous voulez mon avis, à moins que la seconde de plus pour atteindre le cap des 100 km/h (une course que vous prévoyez faire à tous les coins de rue, n’est-ce pas?), je vous conseillerais le GX70 à quatre cylindres. Allez-vous «polluer» un peu plus? Peut-être. Mais vous allez jouir d’une plus grande tranquillité d’esprit.
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Difficile de voir le moteur électrique avant du Genesis GV70. Mais il y a un couvercle utile qui le cache. (Photo Éric Descarries)
La Genesis GV70 2,5 litres vaut maintenant de 60 150 $ à 68 600 $ pour la finition Prestige. Celle avec le moteur V6 va de 73 650 $ à 79 150 $. La version toute électrique n’a qu’un prix, 84 650 $. Et toutes peuvent remorquer jusqu’à 3500 livres. Toutefois, toutes sont confortables à souhait, rapides et, jusqu’ici, très fiables. Avec le temps, cette superbe Genesis devrait devenir plus populaire et plus recherchée que certaines concurrentes aux noms plus prestigieux…ce n’est qu’une question de temps.
Salon de Montréal
J’ai retardé la publication de ce blogue d’une journée car il me fallait aller à la présentation de presse du Salon de l’auto de Montréal afin de vous convaincre à vous y rendre.
C’est donc chose faite. Par conséquent, je peux donc vous dire que l’édition 2024 de ce Salon vaut encore plus le déplacement que l’année dernière. Forcément, il y manque des constructeurs, surtout européens (mais il y a une foule de Ferrari et de Lamborghini). Puis il manque les produits de Stellantis (Chrysler, Dodge, Jeep, Alfa Romeo et autres) alors que le constructeur a décidé de ne pas revenir aux salons en 2024, nulle part en Amérique (mais il laisse aux concessionnaires leur choix d’y aller à leurs frais…). Mais Ford est de retour (avec Lincoln), GM y est en grande, Toyota aussi avec des nouveautés intéressantes dont la nouvelle Camry et le VUS Lexus GX plus robuste!
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Toyota a choisi de dévoiler son nouveau VUS Lexus GX à la presse spécialisée la veille du salon. (Photo Éric Descarries)
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Qui plus est, Toyota avait aussi la nouvelle Camry à sa présentation anticipée. (Photo Éric Descarries)
Attention, cependant, les premiers stands de ce salon vous surprendront. Vous y verrez des autos de collection, des voitures modifiées, des bolides de course et même un plancher consacré à d’autres formes de mobilité dont des bateaux, des motos, des motoneiges et ainsi de suite. Qu’importe, le plancher principal ne manque pas de nouveautés incluant une min-auto et un prototype pick-up du constructeur vietnamien VinFast (des véhicules qui, la semaine dernière, ont été les vedettes du fameux Consumer Electronics Show de Las Vegas! Vous y verrez plusieurs autres premières dont certaines seront publiées dans mon prochain blogue. Le dernier stand, celui du collectionneur montréalais Luc Poirier vous étonnera! On peut y voir une trentaine de Ferrari de diverses époques, un stand de plusieurs millions de dollars qui devraient être le «clou du spectacle»!
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O.K…J’ai craqué pour un bateau…ce ponton tout en bois fabriqué à Montréal et disponible pour quelque 8000 $ sans moteur! (Photo Éric Descarries)
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Le stand Shelby Canada exposait une originale Eleonar au Salon de Montréal. (Photo Éric Descarries)
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Il y a même des «hot-rods» au salon! (Photo Éric Descarries)
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Et même des autos de course. (Photo Éric Descarries)
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Plusieurs constructeurs ont de grands stands au Salon de Montréal. (Photo Éric Descarries)
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Tour de force de VinFast, le constructeur vietnamien a réussi à déplacer son prototype de pick-up Wild du Consumer Electronics Show de Las Vegas à Montréal en un temps record! (Photo Éric Descarries)
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La cerise sur le sundae (ou le clou du spectacle), les exemplaires de la collection de Ferrari de Luc Poirier! (Photo Éric Descarries)
Nouveau Nokian…
Enfin, vous n’êtes pas sans savoir que le manufacturier finlandais de pneus Nokian n’arrête jamais de développer de véritables nouveautés. Il a récemment déménagé certaines de ses opérations de Russie vers l’Europe et surtout vers l’Amérique du Nord où il a une grande usine à Dayton au Tennessee (non, pas à Dayton, Ohio!). Et c’est à cette usine qu’il a commencé à produire son p’tit dernier, soit le WR G5, une version nettement améliorée de son WR G4 homologué pour toutes les saisons. Le WR G5 est bon tant en hiver qu’en été alors qu’il a été conçu pour le marché nord-américain et il sera commercialisé sous le nom de Remedy (la Cure!).
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Le nouveau Nokian Hakkapeliitta WR G5 nous arrivera sous peu. (Photo Nokian)
J’aurai certainement l’opportunité de vous en parler encore plus au cours des mois prochain mais sachez qu’en attendant, si vous voulez une version moins coûteuse du WR G4, il sera toujours produit mais sous la marque Nordman (ce sera alors le Nordman Solstice 4) qui est devenue une sous-marque officielle mais individuelle de Nokian.
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Nordman (de Nokian) commercialisera sous peu son nouveau Solstice 4 issu du WR G4 de Nokian. (Photo Nordman)
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motivationalt · 7 months
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Tony Robbins Motivaition How to Find Yourself Again Motivation Video...
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lesparisieners · 8 months
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Nous ne fêterons pas les 30 ans de C.
Fêter ses trente ans n’est pas facile. Il s’agit d’une étape difficile de la vie ou un certain nombre d’étapes sont censé être passé dans notre vie. Depuis que vous avez vingt-cinq ans, vous enchainez les fêtes de fiançailles, les EVJF, les mariages, les stories de vos amis en couple en vacances, les déménagements dans l’Essonne, les babyshower et les premiers anniversaires. À ce stade, vous êtes peut-être déjà marraine à vingt-huit ans. Et toute cette pression sociale vous montre que vous devriez être mariée, vous devriez avoir des enfants, un travail stable, peut-être même une petite maison en banlieue ou un appartement dans le douzième. Et vous voilà, à deux semaines de vos trente ans, sans aucun de ses facteurs. Votre couple bat de l’aile, votre travail vous fait pleurer un jour sur deux et en plus, vous vivez dans un appartement miteux Rue des Filles du Calvaire. Donc fêter ses trente ans ne doit vraiment pas être facile. Après, je n’en suis pas sûre, je ne fais que le supposer. Ce n’est pas moi qui fête mes trente ans, mais Clémentine et ce matin-là au brunch, nous ne voulions parler que de ça.
Comme d’habitude, Alexandra nous accueillait avec des croissants de la boulangerie d’à côté et la plus grande des attentions. Notre table était déjà prête. Il y avait le journal du dimanche sur la table, une grande carafe d’eau et une grande de jus d’orange, une bouteille de champagne et nos couverts bien posés afin que nous puissions prendre nos photos pour Instagram.
Après l’arrivé d’Emmanuelle et Lucas, Alexandra nous rappela que dans deux semaines c’était les trente ans de Clémentine et qu’il allait falloir marquer le coup.
« Une soirée au Carmen ? On marque bien le coup ? » Lança Alexandra.
Personne n’eut le temps de dire ce que nous pensions avant de voir entrer Clémentine dans le café d’Alexandra et Monica.
« Désolé du retard, j’ai décidé de venir à pied et ça m’a pris plus de temps que prévu… De quoi on parle ? » Nous demanda Clémentine.
« Comment fêter tes trente ans » lui répondit Emmanuelle. « Oh ! Mais ne vous inquiétez pas pour ça, je ferais une petite soirée avec Louis et je vous inviterais pour le champagne. Pas besoin d’en faire toute une histoire ». Rétorqua Clémentine d’un grand coup de revers.
Lucas sortit le journal du dimanche et commença à le feuilleter en fustigeant chaque titre.
Finalement, avoir trente ans c’est comme en avoir vingt-neuf. Peut-être que malgré son couple qui bat de l’aile, son travail qui l’a fait pleurer un jour sur deux et son appartement miteux Rue des Filles du Calvaire ne sont pas une défaite pour Clémentine. Personne n’y croit évidemment, mais pour ce qui est de la durée du brunch, nous allons faire comme si tout cela était vrai.
Je crois que durant ces deux semaines, ces deux dernières semaines avant ses trente ans, Clémentine nous en appris plus sur son couple que depuis les sept ans qu’elle était restée avec lui. Le jeudi qui suivit notre brunch, nous étions avec Lucas et Clémentine en train de boire une bière sur le canal Saint-Martin quand elle décida de se confier.
Clémentine était terrifiée à l’idée de fêter ses trente ans. Elle, qui avait toujours eu le plan parfait pour sa vie, s’était retrouvé dans l’impasse de son propre plan. Elle avait Louis, qui n’était pas vraiment le mec idéal, mais comme ça au premier abord n’était pas bien méchant. Il ne la motivait pas vraiment, ne passait pas énormément de temps avec elle. Ils avaient des centres d’intérêts très différents et je crois que nous n’avons jamais vu. Louis faire rire Clémentine. Pourtant, Clémentine nous parle presque toujours de lui en bien, si elle décide de nous dire quoi que ce soit à propos de Louis.
Clémentine avait un plan. Un planning bien précis de sa vie à Paris. Et jusque-là elle l’avait bien suivi.
Elle n’eut jamais le besoin d’une grande aventure, elle ne souhaitait pas devenir une grande écrivaine ou n’eut jamais la curiosité de savoir qui était sa mère biologique. Elle voulait trouver un homme beau qui la ferait rire, avoir un petit appartement mignon dans le 3e arrondissement et être marié avant ses trente ans. Et elle avait la moitié de chaque chose.
Car Louis était beau, mais pas drôle, elle vivait dans le 3ème mais dans un appartement défaillant et brouillant, et était peut-être fiancée mais n’en était pas vraiment sûr. Oui parce que 3 ans avant, Louis l’avait amené en vacances à Londres pour une semaine assez magique en amoureux. Alors qu’ils étaient à l’hôtel, elle a entrevu une petite boîte de chez Cartier dans la valise de Louis, elle nous écrivit immédiatement pour nous dire la nouvelle. Mais après une nuit à se disputer à cause d’une histoire de Fish and Chips et de maison Poudlard, elle ne reçut jamais la bague. Quand, à son retour, nous lui demandions où était la bague, elle nous dit qu’elle l’avait imaginé, et qu’ils avaient discuté mais qu’ils se marieraient dans les deux prochaines années. Louis pose la boite dans un tiroir chez lui, Clémentine l’a vue deux semaines après leurs retours de Londres, et elle ne cessa de vérifier chaque fois qu’elle allait chez lui s’il l’avait encore. Un mois avant le brunch, la bague n’était plus là. Est-ce que c’était, car il s’apprêtait à lui demander en mariage enfin ? Avant ses trente ans ? Pour ses trente ans ? Où avait-il décidé de passer à autre chose ?
Sur le bord du canal Saint-Martin, Lucas proposa à Clémence de sortir.
« Je sais que pour tes trente ans, tu ne veux rien d’extravagant. En plus, qui sait, peut-être Louis te garde une surprise, mais moi lundi c’est ma rentrée, et je n’ai pas l’impression que cet été on se soit vraiment défoulé comme il faut. On n’a plus vingt ans, mais ce soir on peut faire semblant ? » Deux heures après, nous étions au Comptoir Général avec Emmanuelle et Alexandra, en train de boire comme si nous n’étions pas un jeudi soir et à rigoler en nous rappelant de nos histoires et anecdotes. Je vis la nostalgie dans les yeux bleus de Clémentine. Elle était là et en même temps tellement loin. Elle me regarda avec un énorme sourire, et se mit à danser en se caressant sa chevelure blonde. Nous étions heureux, les 5 ensembles, à danser comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Et alors que nous profitions tous de notre soirée, Lucas rencontra Paul.
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peacetheweirdo · 10 months
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'im gonna do this tomorrow!' -shortlived, motivaited me
me the next day:
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