Tumgik
#j'en ai ma claque
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grosse envie de laisser tomber (tous ces gens qui sont contents d’être tes ami.e.s parce que c’est toi qui organise tout le temps tout et qui relance tout le temps pour tout)
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pigeonneaux · 11 months
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Va falloir que j'arrête de fuck around et que je fasse un vrai book un de ces jours ça va pas du tout
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hydrosspyross · 1 year
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Macron et son gouvernement qui nous enculent à sec avec des graviers
Mais c'est les français qui refusent de comprendre qu'il fait ça pour nous
Pendant ce temps là il ouvre la porte aux connards de l'extrême droite
Ils vont mettre les gens au RSA dans la misère mais qu'est ce qu'ils s'en foutent des pauvres
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rollinginthedeep-swan · 4 months
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Pourquoi rendre les RPGs plus sûr est capital
Et je vais témoigner de ma propre expérience, Tw : Validisme, comportements abusifs et foutage de gueule complet.
Je crois pas avoir déjà songé à VRAIMENT faire un poste complet pour expliquer ça, mais en traînant un peu sur la toile après 4 ans d'absence, force est de constater que j'en ai, des choses à dire. Ironiquement, le temps est passé depuis mes débuts et j'ai pris une bonne claque à mon retour. J'ai réalisé un truc auquel je m'étais pas trop préparée.
Je fais partie d'une génération d'RPGistes d'AVANT. (?? Sérieux ?) Dans cet entre-deux où on se foutait un peu de tout et où c'était yolo, mais où on déplorait déjà le 'bon vieux RPG'. J'en aurais des choses à dire, bonnes ou mauvaises. J'en ai, des mauvais souvenirs, des moments qui m'ont fait trembler en voyant simplement le header d'un forum sur lequel j'étais incapable de revenir et qui aujourd'hui encore, me font carrément grimacer. D'après mon titre, vous vous doutez que je veux en venir à un élément super important : Les RPGs qui ne sont pas sûrs pour chacun-e-s. j'ai donc connu cet entre-deux, où le RPG avait déjà un peu changé mais pas trop. À l'époque, on reprochait surtout au forum une tendance à se complexifier, tant au niveau du contenu que de l'apparence. Y a bien entendu des trucs qui me manquent, mais c'est totalement normal d'avoir de la nostalgie et personne n'a à reprocher ça à quique ce soit. (Du moment que c'est pas des trucs crasseux et mauvais)
En revanche, je vais vous dire cash ce que je regrette pas, ce qui m'a dégoûtée au point de me tirer quatre ans en pensant ne jamais revenir. (J'ai pas arrêté d'RP, j'ai arrêté de relationner avec le monde du RPG.) J'ai arrêté par dégoût d'une ingratitude crasse de certaines personnes qui m'ont prise pour acquise. J'ai beaucoup grapher, pour pas mal de personnes, et certain-e-s d'entre elle-eux ont su tirer sur la corde, faire pression, me repprocher de ne pas être pile à temps pour un délai, d'écrire 'plus avec truc qu'avec elle-eux', de pas avoir vu telle ou telle truc alors que j'étais pas admin, mais graphiste. Je regrette pas les blagues sur mes étourderies orthographiques très nombreuses à ce moment-là et les vannes validistes, je regrette pas les coups bas, les séances de bitching en coulisse quand on pensait que j'allais rien voir. Tout ça, je le regrette pas.
Ici, mon objectif n'est pas de poser un pugilat et de taper sur une personne en particulier, parce que je m'en fous complet aujourd'hui. Non, le but de ce poste c'est de vous dire un truc, à vous, la "nouvelle génération" d'RPGiste. C'est pas parfait, mais au moins vous le faite. Vous tentez des trucs. On n'échappera pas aux types d'individus qui ont fait ce que j'ai cité plus haut, on n'échappera pas aux abrutis validistes, aux joueur-ses un peu envahissant-e-s et culotté-e-s ou aux plagieu-ses-rs éhonté-e-s. Mais vous faite de votre mieux, chaque jour, pour rendre une activité géniale aussi sûre que possible, pile comme elle devrait l'être. Je vois des gens faire des publications pour inspirer les créateurices de forum à optimiser leurs forums pour qu'ils soient ok pour chacun-e. Y a des sources, des options intégrées par FA. (Il était temps.) On pense enfin à prévenir les gens lorsqu'un sujet risque d'être dur, on arrête enfin d'en faire des blagues sans prévenir au coin du flood, on laisse les Dys tranquilles et MIEUX, on les aide. De plus en plus de gens pigent que le RPG est un jeu et qu'il faut arrêter de stalker les joueur-ses. C'est pas partout, mais ça se développe. C'est pas toujours parfait et tout le monde n'y trouve pas toujours son compte, mais c'est là. Parce qu'on est juste là pour ça, à l'origine, inventer des univers à plusieurs mains sans devoir galérer, se justifier où subir du Gaslighting de la part d'un Staff démissionnaire lorsqu'on pointe un problème du doigt. (Sérieux, arrêtez de faire ça.)
Bref, lâchez rien.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 66
La vie a repris son rythme habituel. Les mercredis, j'emmène Jean à ses rendez vous. Ses " clients " sont très chauds. Avec les vacances, ils ont tous sauté leur tour !
Les samedis matins je reprend le chemin de la boite du père de Jean pour le coacher. Si je ne crache pas sur un deuxième salaire officiel, la partie sexuelle de notre contrat me laisse de plus en plus indifférent. Après le sport, je dois le sauter dans la salle d'eau de son bureau, le plus souvent en levrette ou plié sur le lavabo. Pas d'imprévus, de situations excitantes, je dois imaginer de quoi bander suffisamment pour pouvoir l'enculer. Lui se satisfait de cette situation, c'est le principal. Heureusement que de temps à autres je peux faire une halte plus intéressante au poste de garde ! le jeune garde est toujours aussi chaud et quand nous pouvons, j'arrive même à l'enculer derrière les vitres sans tain. Il adore, même si il reste un bi convaincu.
Avec Emma, j'ai attendu le jeudi matin pour lui téléphoner. Elle semblait heureuse que je la re contacte et me demanda si je passais la voir dans l'après midi. Je dis Ok.
Vers 16h je garais ma moto dans son jardin. J'ai eu juste le temps d'ôter mon casque et mes gants qu'elle écrasait sa bouche sur la mienne. Je la serrais dans mes bras et on s'est rouler un patin bien profond. J'en bandais grave dans mon cuir. Une mains partie vérifier son état d'excitation m'appris qu'elle ne portait pas de culotte sous sa robe. J'ouvrais alors ma combi jusqu'à pouvoir sortir ma bite et vite kpoté, debout, ses jambes autour de mes reins, plaquée contre le premier mur venu, je l'ai prise. Elle était bouillante, ma queue s'est retrouvée plongée dans son vagin brûlant. Sensation intéressante mais surtout très excitante. Elle m'aidait dans mes va et vient en prenant appuis sur mes épaules. Est ce le manque, le frottement avec le cuir de ma combi, la situation ou peut être moi, mais elle s'est mise à jouir rapidement, contractant son vagin. J'étouffais ses cris par un baiser, nous étions dehors et elle risquait d'être entendue de la rue ! Je restais en elle le temps quelle se calme puis nous avons émigré vers sa chambre. nos vêtements indiquant le chemin comme les cailloux du petit poucet. Je lui fis la remarque que j'avais l'impression de lui avoir manqué. Elle me donna un claque avant de m'embrasser de nouveau ! avec un peu de chance ça voulait dire oui. Comme j'avais pas joui et que je bandais toujours, à genoux devant moi, elle m'a taillé une pipe. Correcte même si la position ne me permettais pas d'enfoncer ma bite au plus profond de sa gorge. Je la couchais sur le lit et lui plaçais la tête hors du matelas pour pouvoir la pousser (la tête) vers le bas. A genoux je lui mis mon gland dans sa bouche puis tout le reste. La tête bien en arrière, j'ai pu m'enfiler dans sa gorge. J'adore sentir mon gland compressé par un larynx. En faisant attention à lui laisser assez d'air, les mains en appuis de chaque coté de ses hanches, en position de pompes, je lui ai limé la gorge. Quand le mouvement me faisait reculer et que mon gland se retrouvait dans sa bouche, elle aspirait et faisait tourner sa langue d'une façon telle que ça m'envoyait des décharges dans tout le corps. Je m'arrachais d'elle avant de juter dans sa bouche. A mon tour, j'utilisais ma bouche pour l'exciter. Couché sur elle, après un baiser appuyé, je suis descendu m'occuper de ses seins, aspirant, léchant et mordillant les tétons. Puis j'ai laissé courir ma langue par son nombril jusqu'aux lèvres du bas. Tenant ses jambes écartées, j'ai fait gonfler ses grandes lèvres puis je me suis attaqué à son clito. Ma façon de faire a du lui plaire car malgré mes bras en travers de ses cuisses, j'ai eu du mal à la maintenir au contact du matelas. Vite je me suis redressé et me suis de nouveau enfilé en elle. Pas besoin de précautions particulières vu comme elle mouillait. Nous nous sommes déchaînés. Elle répondait à mes assauts, accrochée à mes épaules, elle donnait des coups de reins pour m'enfoncer encore plus en elle. Comme je la prenais en levrette, elle profita d'un mouvement m'ayant fait sortir de sa chatte pour placer mon gland sur son anus et que je l'encule. Emporté par l ;"élan, je l'ai sodomisé brutalement. Elle a accusé le coup mais d'elle même a initié les va et vient. Je fouillais dans sa table de nuit pour y trouver le gode et lui en remplissais le vagin. Sous la double stimulations, elle ne fut pas longue à jouir, entraînant ma propre éjaculation par les nombreux spasmes qui ont agité ses muscles anaux et vaginaux. Il nous a bien fallut 1/2heure avant que l'on reviennent à la réalité. Je sautais sous la douche et vu l'heure ne m'attardais pas.
Ce n'est qu'arrivé à la maison que je trouvais l'enveloppe dans une des poches de ma combi. J'avais complètement oublier ce détail !
Le temps de sortir de ma combi et en shorty et Tshirt je rejoignais Marc au salon. Une petite pelle et il me poussait la tête vers son entrejambe. Je déboutonnais son jeans et ses 22cm m'ont sautés au visage, bien gonflés. Je les enfonçais aussitôt dans ma bouche. dans un premier temps je m'occupais du gland seul. Tournant ma langue autour de la couronne, agaçant le frein, râpant sa surface comme sur une glace. C'est Marc qui a cessé en appuyant fortement sur ma tête pour s'enfoncer jusqu'aux couilles. Son gland surexcité m'étouffait complètement. A la limite, il ressorti pour me laisser respirer puis recommença. Je sais qu'à chaque fois que je vois Emma, il est un peu plus brutal que d'habitude ! J'aime cette jalousie non déclarée ! De mon coté, j'aime quand il est directif et autoritaire. Je l'ai senti monter en régime et la tête maintenue, son pieu enfoncé, il s'est vidé les couilles directement dans mon estomac. Trop bon !! Je réussissais quand même à attraper les dernières giclées dans ma bouche, j'aime sons sperme sous ma langue. quand il est finalement sorti de ma bouche, j'avais nettoyé sa bite de toute trace suspecte. Par contre il bandait toujours. Il m'a poussé à genoux, le torse sur la table basse. Il a baissé mon shorty aux genoux et après avoir juste craché sur son gland me l'a enfiler entre les fesses puis dans le cul. Heureusement que j'avais mouillé d'excitation. Ses mains sur mes hanches, il m'a pénétré d'un seul mouvement. Pour gagner les derniers cm, il m'a écarté les fesses et j'ai pu sentir mon anus s'écarter sous la partie la plus grosse de sa bite. Il est resté sans bouger quelques instant puis m'a limé un bon moment, alternant petits coups rapides, grandes glissades, rotations... j'ai eu droit à une bonne démonstration de tout ce qui m'excite dans une sodomie. Alors que sans pouvoir me retenir, j'avais juté sur la table basse, il continua à m'enculer. Si la sensation juste après m'a semblé douloureuse, le plaisir est vite revenu et ses passages sur ma prostate m'ont fait vite rebander. Ses mains sur mes épaules il m'a donné de grand coups de bite annonciateurs de jouissance. Cette fois nous sommes venus ensemble lui dans mon cul et moi rajoutant une couche sur la table. Sans déculer, il se coucha sur moi et j'écrasais mon sperme sous mes abdos. J'ai serré les fesses quand il est sorti de moi et nous sommes allé nous doucher au sous sol. J'aime aussi c'est moments d'après l'amour. Là je ressens dans ses bras toute la tendresse qu'il a pour moi. Sous les jets d'eau, il me serre fort dans ses bras avant de me savonner et me laver tout en me massant. Je fais de même. Ces douches là nous prennent environ trois bons quart d'heure.
Nous remontons dîner avec juste une serviette sur les reins. Contrairement à certains autres soirs, nous passons notre temps collé l'un à l'autre.
Je l'aime comme ça mon jaloux qui ne veut pas se l'avouer !!
JARDINIER
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15 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
UNE HISTOIRE D'EURABIE
- LES PIEDS DE WISSAM -
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Depuis que la France appartient aux Arabes, les hommes blancs tremblent face aux hommes musulmans. En réalité, c'était déjà le cas avant la conquête. Quoiqu'il en soit, le vieux Thierry avait travaillé toute sa vie pour se payer une maison. Hélas pour lui, il avait été contraint de l'offrir à un jeune garçon arabe arrivé en France depuis son enfance, alors que la famille de Thierry vivait en France depuis toujours.
Thierry avait reçu l'autorisation de rester vivre chez lui à condition qu'il serve Wissam, un jeune arabe musclé et dominant.
La retraite reposante que le gros Thierry espérait ne verrait jamais le jour...
Wissam, assis sur le parquet de sa terrasse, regardait avec dégoût son esclave nettoyer le sol en le léchant. Thierry admirait les longs pieds de son maitre, ayant faim de la sueur d'arabe à laquelle il s'était habitué.
WASSIM : "Hey tu veut quoi ? Arrête de fixer mes pieds putain, tu me dégoutes ! Si tu les aime tant que ça, lèche les sale con! Mais d'abord renifle et lèche l'intérieur de mes claquettes, pauv' con !"
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PARTIE DE tidodore2
THIERRY : "Oui, pardon mon seigneur, je n'arrive pas à m'empêcher de regarder la magnificence de vos divins pieds ! Merci de me faire lecher chaque centimètres de vos claquettes pour me punir d'être un être aussi minable ! C'est tellement difficile de passer ma langue de soumis entre chaque petit interstice ! J'en ai pour des heures, maitre !"
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
WASSIM : "Sad famak (="Ta gueule", en arabe)! Putain mais j'en ai tellement rien à foutre de ta difficulté à lécher des semelles de claquettes, débile ! Juste estime toi heureux que je fasse pas lécher le côté de la chaussure avec lequel je marche ! Au moins en léchant l'intérieur tu peut avaler ma sueur, wjah zabi ("tête de bite" en arabe) !"
Thierry obéit à son maître et se mit à lécher l'intérieur puis l'extérieur des claquettes de son divin jeune maitre. Beaucoup plus jeune que lui, il était plus beau et fort que Thierry ne l'avait jamais été.
WASSIM : "Arrête, kelbe (= "chien" en arabe) !!"
Wassim prit les claquettes avant de donner des coups avec au visage de son gros esclave blanc. Les joues de celui-ci étaient toute rouge.
WASSIM : "Arrête de bouger ou je continue !!"
Thierry prit les gifles de claquettes pendant 10 minutes, et Wissam avait si peu de respect pour les vieux hommes blancs qu'il était très violent. Thierry était obligé de regarder son grand maître dans les yeux.
Quand la torture s'arrêta, le visage de Thierry bouillonnait mais sa petite bite était toute dure !
WASSIM : "Regarde toi, je te claque et t'es excité ! T'es vraiment une charmouta (= "merde" en arabe) !"
Wassim claqua donc les couilles de Thierry et les écrasa, saura dessus et rigolait de la souffrance de son vieil esclave moche.
Lorsqu'il s'arrêta enfin, il accorda au gros serviteur l'immense honneur de décrasser ses pieds transpirants. Lécher les pieds du jeune et beau Wissam était pour Thierry des moments de pur bonheur.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
AN EURABIA STORY
- WISSAM'S FEET MUST BE LICKED -
PART OF submissivegayfrenchboy
Since France belongs to the Arabs, white men tremble in the face of Muslim men. In reality, this was already the case before the conquest. Be that as it may, old Thierry had worked all his life to afford a house.
Unfortunately for him, he had been forced to offer it to a young Arab boy who had arrived in France since his childhood, while Thierry's family had always lived in France.
Thierry had received permission to stay at home on the condition that he serve Wissam, a muscular and dominant young Arab. The restful retirement that big Thierry was hoping for would never see the light of day...
Wissam, seated on the parquet floor of his terrace, watched with disgust as his slave licked the floor. Thierry admired his master's long feet, hungry for the Arab sweat he had grown accustomed to.
WASSIM: "Hey what do you want? Stop staring at my fucking feet, you're disgusting me! If you like them that much, lick them stupid bastards! But first sniff and lick the inside of my flip-flops, you poor bastard!"
PART OF tidodore2
THIERRY: "Yes, sorry my lord, I can't stop myself from looking at the magnificence of your divine feet! Thank you for making me lick every inch of your tap shoes to punish me for being such a pathetic being! It's so difficult to pass my submissive tongue between each little gap! It'll take me hours, master!"
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PART OF submissivegayfrenchboy
WASSIM: "Sad famak ("Shut up", in Arabic)!! Damn but I don't give a damn about your difficulty licking tap soles, stupid! Just consider yourself lucky that I don't make people lick the side of the shoe. shoe I walk in! At least by licking the inside you can swallow my sweat, wjah zabi ("dick head" in Arabic)!"
Thierry obeyed his master and began to lick the inside and then the outside of his divine young master's tap shoes. Much younger than him, he was more handsome and stronger than Thierry had ever been.
WASSIM: "Stop, kelbe (= "dog" in Arabic)!!"
Wassim took the tap dance before kicking his fat white slave in the face. His cheeks were all red.
WASSIM: "Stop moving or I'll continue!!"
Thierry took the tap-dancing slaps for 10 minutes, and Wissam had so little respect for old white men that he was very violent. Thierry had to look his grand master in the eye.
When the torture stopped, Thierry's face was bubbling but his little cock was very hard!
WASSIM: "Look at you, I'm slapping you and you're excited! You're really a charmouta (= "shit" in Arabic)!"
Wassim therefore slapped Thierry's balls and crushed them, knew about it and laughed at the suffering of his ugly old slave.
When he finally stopped, he gave the fat servant the great honor of cleaning his sweaty feet. Licking the feet of the young and handsome Wissam was for Thierry moments of pure happiness.
END OF THE STORY
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undecisivestars · 1 month
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petit partage & avis sur BTTF ♥
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Je pense que vous le connaissez, @bttf-rpg ♥ j'y suis depuis peu mais assez maintenant pour donner un avis constructif sur le forum. Je le dis d'avance, je n'ai aucun point négatif à donner car j'en ai pas trouvé selon mes goûts et exigences, donc il se peut que de votre côté vous en avez mais ça, ça ne regarde que vous. Je vais uniquement parler de l'expérience que je vis et qui depuis quelques temps, dans un mois très difficile, me redonne le sourire quand j'y vais. Voici pourquoi ;
bttf est très accueillant, très ouvert. J'ai facilement réussi à me faire une place et pourtant j'ai été longue à faire ma fiche au point d'avoir dépassé le délais. Au début j'avais peur de m'inscrire car j'étais sur un (très) gros forum bien plus "actif" (j'aime pas ce terme car bttf est actif aussi), mais disons que le nombre de joueurs/comptes sur le plus gros montrait la différence avec bttf et quand on est habitué, ça perturbe au début. Finalement, j'aime ça que ce soit plus calme et beaucoup plus posé. Je trouve que ça me correspond mieux et je n'ai pas cette impression de "rater des choses" ou d'avoir l'obligation d'être présente par la peur d'être oubliée. Bttf n'oublie personne, il est actif mais avec des gens comme moi, et c'est reposant. Donc pour ceux qui ont peur des gros forum avec beaucoup de personnages, je pense qu'un forum tel que Bttf vous conviendra bien.
L'originalité du forum et son design nous plonge dans une nostalgie total et dans un voyage rpgique totalement incroyable. Quand je suis dessus, j'ai totalement l'impression d'être à Mariposa, dans les années 80. Je suis dans une bulle qui m'apaise et m'éloigne complètement de la réalité, comme quand je lis un de mes livres préférés ou carrément quand je lance Back to the future (le film du coup) et plus récemment l'histoire sans fin (omg) ♥ de plus, moi qui ai l'habitude des codages très très simplifiés et loin d'aimer les codages avec beaucoup d'informations comme ça, je dois juste dire que Bttf à su me faire changer d'avis parce-que wow la claque. Tout est bien rangé, on s'y retrouve énormément bien sur la page principale du forum. Il suffit juste de regarder et hop, l'information est là (par exemple je met toujours 15 ans à trouver les codes/balises du forums, bah là, c'est clair). Puis il y a aussi le TV Guide, qui omg, est une bénédiction pour moi car je l'utilise sans arrêt. Il ne quitte jamais mes onglets !
Originalité bis : j'a-dore Mariposa, son côté assez huit-clos et surtout le retour en arrière de cette ville un peu bloquée dans le temps. J'aime écrire dessus et même si j'ai mis du temps à écrire ma fiche pour inventer mon personnage, a la fin c'était juste génial. Je dois aussi forcément parler des lieux imaginés et choisi ! Je suis encore ultra fan et c'est justement en parcourant les lieux que j'ai pu construire mon personnage. Jewel est une totale création pour Bttf, j'ai tout construit autour de ce forum parce qu'il est réellement inspirant et donne tellement de possibilités. Le concept du forum est une bouffée d'air frais car on reste dans un "city" mais pas le city classique où il suffit juste de poser un personnage et voilà. (nb ; je ne critique pas les city plus classiques, au contraire, j'aime tout autant mais il va être plus difficile de caser un vieux perso de city classique sur bttf sans le remanier que de passer de city à city).
L'ambiance et la recherche de liens est véritablement bonne et d'une facilité agréable. J'avais peur au début, j'ai toujours des personnages un peu décalés ou qui sortent des normes. Beaucoup aiment faire du sombre et du drama, j'ai toujours eu du mal à m'y retrouver dedans et généralement de ce fait je m'y retrouve pas trop dans les liens, dans les rps, etc. Cette fois-ci j'ai vraiment cette impression d'être à ma place (bien que les autres forums ne m'ont jamais fait sentir le contraire ! c'est juste mon ressenti à moi car je ne joue pas la même chose que la majorité ?) Mon personnage à facilement été accepté et je prend énormément de plaisir à rp, élaborer des liens parce que l'univers mais aussi l'ambiance est totalement ce que j'ai toujours cherché. Je m'y sens bien et je sais que je suis faite pour ce genre de communauté. Je remercie l'administration pour l'investissement qu'elles (qu'iels ?) se donnent dans le forum mais aussi auprès des membres. Il y a aussi les membres qui se donnent à fond pour ce forum. Se proposer pour des liens, c'est vraiment une bénédiction et franchement ça fait plaisir car grâce à vous on se sent vraiment à notre place et comme de la "famille". Vous avez aussi une joie qui se remarque, une gentillesse incroyable et je suis heureuse d'avoir franchie le pas pour Btff. ♥ Je pense que je vais m'arrêter là, mais pour résumer : Bttf est le forum qui m'a fait comprendre l'importance de bien choisir son forum (cf : un de mes post), qu'on peut trouver sa place car il y en a toujours une quelque part. Je ne vais pas encourager tout le monde à s'inscrire sur Bttf, car oui ça ne va pas convenir à tout le monde et peut-être que des gens ne seront pas d'accord avec ce que j'ai dit au dessus. Je parle que pour moi, car je suis quelqu'un qui en effet pond des rps rapidement et souvent, mais qui se perd vite et se sent très vite mal sur un gros forum (ou surtout sur un forum sombre). Puis je suis une personne très créative avec beaucoup d'imagination, et Bttf est justement pile le forum qui me fallait pour utiliser cette part de moi. De plus le fait que ce soit un "petit" forum, me rassure beaucoup plus car je me sens moins "noyée" du fait qu'il y ait moins de joueurs/comptes. C'est un forum très cosy où s'installer est plutôt facile et très agréable. Je dirais à ceux qui aimeraient le rejoindre de ne pas hésiter à passer dans les pl/scénarios mais aussi dans les recherches de liens rapides ! D'aller dans les fiches de liens se proposer etc. Aussi à ceux qui n'ont jamais essayé ce type de forum mais qui hésitent, personne ne vous jettera la pierre si finalement vous trouvez que ça ne vous correspond pas. Comme on dit, il faut de tout (avec modération sur certains sujets)* pour faire un monde, je pense qu'il en faut de "tout*" pour les forums/joueurs. Bttf va cibler qu'une partie de la communauté, moi il m'a totalement séduite et je dis ça après quelques temps passés dessus donc chaque mots à été le temps de réflexion. Oui je n'ai pas de points négatifs à donner car il répond à tous mes critères que je recherche pour être bien sur un forum. Ok je m'arrête vraiment là maintenant ! mais tout ça pour dire ; Merci Alice et Sophie ♥ ______________________________________________________ (j'en profite quand même pour faire de la pub sur mes petits pré-liens/scénarios et recherche de liens ♥) - famille Ashford (nicola peltz, halston sage, casimere jolette, chase stokes). - breakfast club (propositions sur le pl, groupe d'amis). - l'ami ignorant (fc au choix, amitié, lien rapide).
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marie-swriting · 1 year
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Toute Votre Vie - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Depuis que tu sors avec Robin, tu deviens de plus en plus distante avec tes amies and tout le monde a l'impression que tu changes beaucoup, même Robin qui commence à penser qu'elle ruine peut-être ta vie.
Warnings : fluff, un peu d'angst, un peu de jalousie, soirée, mauvaises amies, mention de mort à cause du froid et d'un accident de voiture, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Ruin My Life par Zolita
Les mains posées sur le volant, tu écoutes Robin te raconter le film Retour Vers Le Futur avec passion. Elle te parle de chaque minute en ajoutant ses commentaires personnels. Toute ton attention est focalisée sur elle, tes yeux se posent souvent sur elle même si tu conduis. Robin est complètement perdue dans son explication donc elle ne voit pas tout de suite que tu es distraite. Quand elle s'en rend compte, elle te réprimande tout de suite.
-Du calme, je suis un pilote, tentes-tu de la rassurer.
-Je veux pas mourir !
-Je sais conduire. 
-On en reparlera quand tu auras fait un accident.
-Eh ! t’indignes-tu. C'est qui qui a le permis entre toi et moi ? questionnes-tu et elle reste silencieuse, une expression agacée sur le visage. Voilà ! Donc tu ne peux pas critiquer ma conduite.
-Je peux quand tu me mets en danger.
-Je sais ce que je fais, Robs ! 
-Ouais, bah regarde la route, t’ordonne Robin en pointant devant toi.
-C'est pas de ma faute si ce que tu dis est intéressant. 
-On écoute avec les oreilles, pas les yeux, j’te rappelle. 
-Mais j'adore voir ton visage s'illuminer quand tu parles de quelque chose qui te passionne ! T'es encore plus mignonne quand tu parles sans t'arrêter, avoues-tu, faisant rougir les joues de Robin. 
-Bref, ne nous cause pas d'accident !
-Jamais, je tiens trop à toi pour te mettre en danger, affirmes-tu en posant rapidement ta main sur la sienne. Bon, tu disais ? Marty aide son père à inviter sa mère au bal ?
Ta question suffit pour la relancer. Robin repart dans son analyse du film, mais cette fois elle s'assure que tu regardes la route.
Robin n’a pas fini de parler de Retour Vers Le Futur quand vous arrivez à votre destination une demi-heure plus tard. Tu l’as conduite à un lac que tu connais très bien. Plus jeune, tes parents t’y amenaient souvent. Peu de personnes se rendent dans ce lieu donc tu sais que vous serez tranquilles pour votre rendez-vous. Vous installez vos affaires pour le pique-nique. Quand tout est prêt, tu regardes Robin avec un sourire malicieux et elle sait que rien de bon ne s'annonce.
-Quoi ? demande-t-elle, craignant le pire. 
-J’espère que t’as bien pris ton maillot de bain comme je t’ai dit.
-J’avais espoir que tu sois pas sérieuse.
-Je suis plus que sérieuse, souris-tu et Robin ouvre grand les yeux. 
-Mais l’eau va être gelée !
-Chochotte. Allez, viens ! dis-tu en commençant à enlever tes vêtements pour être en maillot.
Tu cours vers le lac et saute dedans sans attendre. L’eau est, effectivement, fraîche, mais tu n’y prêtes pas plus attention. Tu fais quelques brasses avant de crier à Robin de te rejoindre quand tu vois qu’elle est en maillot. Avec réticence, Robin marche jusqu’à l’eau. Elle prend une profonde inspiration avant de venir vers toi en nageant rapidement. Elle claque des dents, ce qui te fait rire.
-Elle est congelée ! s’exclame-t-elle pendant que tu la prends dans tes bras. 
-T’inquiète, tu vas t’y habituer dans cinq minutes.
-Cinq minutes ? C’est trop ! J’aurai le temps de mourir de froid. 
-Pourquoi tu penses absolument que je veux faire des choses pour te tuer aujourd’hui ? 
Robin a besoin d’une seconde pour te répondre à cause du froid. 
-C’est pas de ma faute si tous tes actes peuvent amener à une situation horrible.
-Tu ne vas pas mourir d’hypothermie, déclares-tu en frottant ses bras pour lui donner un peu de chaleur. 
-Si je meurs pas de froid dans cette eau, je vais choper une maladie qui va me tuer. J’te préviens, si c’est le cas, je te hante. 
-Ça ne me dérange pas.
-Y/N ! crie-t-elle avec un air horrifié.
-Je rigole. Je te veux près de moi, vivante et en bonne santé, la rassures-tu avant de l’embrasser chastement. On sort ?
-J’ai cru que tu le dirais jamais.
Elle ne te laisse pas répondre avant de sortir de l’eau, serrant son corps contre elle un maximum. Tu ris en la voyant ainsi, mais au fond de toi, tu as aussi froid. Tu cours vers ta voiture et saisit serviettes et couvertures. Tu reviens vers Robin et les lui tends. Elle t’arrache pratiquement une serviette des mains avant de se sécher à vitesse lumière et de s’enrouler dans une des couvertures. Quand tu as fait pareil, tu te colles à Robin, voulant vous réchauffer avec votre chaleur corporelle également.
-Tu es presque bleue, dis-tu après l’avoir regardé avec plus d’attention.
-Normal, ton lac, c’est un glaçon ! rétorque-t-elle en claquant toujours des dents. 
-Sois pas si dramatique.
-Tu n’as pas eu froid peut-être ? 
Ne répondant pas immédiatement, Robin te regarde comme si tu étais un alien, pensant que tu as chaud.
-Un peu, oui, chuchotes-tu avec un sourire. 
-Ha ! Tu vois ? 
Quand votre température corporelle est remontée, vous mangez votre pique-nique alors que Robin divague sur un nouveau sujet. Quand vous avez fini, vous vous allongez en vous prenant dans les bras. Vous n’avez pas l’occasion d’être aussi proche physiquement à l’extérieur, alors vous en profitez un maximum. En milieu d’après-midi, la tête de Robin se retrouve posée sur ta poitrine et ta main se perd dans ses cheveux avec délicatesse. Tu apprécies les rayons du soleil sur ton visage, rendant le moment encore plus agréable. Tu fermes les yeux, savourant chaque seconde. À ce moment-là, tu te dis que tu pourrais rester dans cette position toute ta vie. Tu veux rester avec Robin toute ta vie. Tes pensées romantiques sont arrêtées quand Robin chuchote ton nom.
-Oui, Robs ? réponds-tu doucement.
-Tu sais qu’on reprend les cours dans une semaine ?
-Je suis au courant, oui. Pourquoi ?
-Comment on va faire au lycée ? 
Tu arrêtes de caresser ses cheveux et relève son visage avec ta main. Tu vois à son expression qu’elle est nerveuse, tu fronces les sourcils tentant de comprendre la raison.
-Qu’est-ce que tu veux dire ? 
Robin s’assoit sur la couverture tout en réfléchissant à la façon dont elle peut te partager ses pensées. Inquiète, tu te mets dans la même position, devinant le sérieux de la conversation.
-Est-ce qu’on agit comme si on ne se connaissait pas ? Ou on fait comme si on était des connaissances ? Enfin, dans un monde parfait, je te demanderais si tu voudrais qu’on agisse comme un couple devant tout le monde, mais ce n’est pas le cas, alors comment on fait ? demande-t-elle rapidement.
-Je veux pouvoir te parler quand je le veux. Je ne peux pas t’embrasser devant tout le monde, mais je ne veux pas agir comme si tu étais une inconnue. Enfin, si ça te va, évidemment ! Si tu préfères qu’on la joue discrète, il n’y a pas de problème. 
-Je veux aussi pouvoir être proche de toi autant qu’on le peut. 
-Alors, c’est parfait. Laissons-les penser qu’on est juste de très bonnes amies, souris-tu, Robin fait de même. Au fait, je voulais te demander, Jason m’a dit qu’il faisait une fête ce vendredi, histoire de célébrer la fin des vacances d’été, tu veux venir avec moi ?
-Une fête chez Jason Carver ?
-Je sais que ça a l’air nul aux premiers abords, mais on a pas à rester proche de lui. On peut juste danser toutes les deux ou rester avec mes amis. Tu peux même inviter Steve ! 
-Je crois que Steve a un rendez-vous ce soir-là. Mais t’es sûre que je peux venir ? Il ne m’a pas invitée.
-Plus il y a de monde, plus il est content. Il va y avoir tellement de monde qu’il ne va pas réaliser s’il y a une personne de plus. Et puis, comme j’ai dit, on peut rester dans notre coin tranquille et si c’est vraiment nul, on aura qu’à partir.
-D’accord, allons-y, alors ! confirme Robin pendant que vous reprenez votre position initiale.
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A la soirée de Jason, tu parles avec tes amies en attendant Robin ー tu n’as pas pu l’accompagner donc c’est Steve qui l’amène avant de partir à son rendez-vous. Même si tu écoutes la discussion de tes amies, ton regard est posé sur la porte d’entrée. Quand tu la vois enfin apparaître, tu ne fais plus attention à tes amis et marches prestement vers Robin. Tu ne lui laisses pas le temps de réagir avant de la prendre dans tes bras. Elle te rend ton étreinte en un instant. Quand vous vous séparez, tu lui saisis la main et l’amènes vers tes amies, un grand sourire sur ton visage.
-Les filles, je ne sais pas si vous la connaissez toutes donc voici Robin. Elle fait partie de la fanfare de l’école, informes-tu, fièrement. 
-Tu joues du saxophone, c’est ça ? questionne ton amie Crystal.
-Euh, de la trompette, en fait, la corrige Robin, embarrassée. 
-C’est pareil.
-Contente de te rencontrer, Robin. Vous aviez des cours en commun l’année passée ? lui demande Chrissy. 
-Non, on est devenues amies cet été. Elle m’a aidé à trouver un film à Family Video.
Après la réponse de Robin, tes amies se remettent à parler entre elles jusqu’à ce que Chrissy attire l'attention de Robin. 
-Les boissons sont dans la cuisine, si tu veux. 
-C’est vrai, tu dois avoir soif ! t’exclames-tu, suite à l’information de Chrissy. On revient, les filles.
Tu amènes Robin dans la cuisine et lui sers un verre après qu’elle t’ait dit ce qu’elle voulait. Vous restez dans la pièce à discuter, oubliant complètement tes amies. Vous n’avez pas eu l’occasion de vous revoir depuis la journée pique-nique, alors vous rattrapez les quelques jours de perdus.
Vous parlez depuis presque une heure quand Carol, une autre de tes amies, vient te chercher et te traîner sur la piste de danse, car sa chanson préférée est en train de passer. Tu n’as pas le temps de t’excuser auprès de Robin que tu es déjà dans le salon. Tu danses avec tes amies pendant une trentaine de minutes quand tu arrives enfin à t’évader pour aller rejoindre Robin. Tu veux t’assurer qu’elle va bien, mais tu veux aussi aller dans le salon avec elle. Tu n’as pas à chercher très longtemps. Tu la retrouves dans la cuisine, son verre vide dans la main, en train de discuter avec Joshua, un membre de l’équipe de basket. Tu penses qu’il est trop proche d’elle. Ta jalousie a fait son apparition sans que tu t’en rendes compte. Tu te diriges vers eux et te mets à côté de Robin avant de faire un sourire hypocrite.
-Désolée de vous interrompre, mais j’ai besoin de parler à Robin deux minutes.
-Bien sûr, acquiesce Joshua, mais il ne vous laisse pas tranquille, t’agaçant un peu plus. 
-On aurait dû partir il y a une dizaine de minutes pour rentrer à l’heure chez toi, dis-tu à Robin et elle te regarde avec les sourcils froncés. Tu devrais aller appeler ta mère pour la prévenir que je vais te déposer en retard.
-Qu…, commence-t-elle à dire avant de voir ton regard insistant. Oh oui ! C’est vrai. J’y vais, tu as raison. Salut, Joshua.
Tu regardes Robin quitter la pièce avant de reposer tes yeux sur Joshua. Tu comprends à son regard qu’il est totalement attiré par elle, faisant grandir ta jalousie.
-Y/N, où est-ce que tu avais caché ta magnifique amie tout ce temps ? Je ne l’avais jamais remarquée, déclare-t-il avec un sourire en coin. 
-Elle est dans la fanfare de l’école. Elle est là à tous tes matchs, réponds-tu, sèchement. 
-Maintenant, je le saurai. Dis-moi, c’est vous êtes bonnes amies, c’est ça ? Donc, tu sais quel est son type de mec ?
-Désolée, mais tu n’es pas du tout son type, dis-tu et il n’a pas l’air de vouloir abandonner. Et puis, elle a déjà quelqu’un.
-Tu sais ce qu’on dit, c’est pas parce qu’il y a un gardien que tu peux pas marquer de but, rigole-t-il et tu te retiens de lever les yeux. C’est sérieux avec ce mec ?
-Oui, c’est très sérieux, déclares-tu en croisant tes mains sur ta poitrine. Cette personne aime beaucoup Robin, tout comme Robin l’aime. Tu n’as aucune chance avec elle, Joshua. Je dois y aller. Robin m’attend.
Tu plantes Joshua dans la cuisine et sors de la maison de Jason. Tu retrouves Robin à côté de ta voiture. Vous montez à l’intérieur et tu commences à rouler alors que ta colère redescend doucement. 
-C’était quoi cette histoire avec ma mère ? Je dors chez toi et ta mère a mis le couvre feu à une heure du matin et il est actuellement minuit, veut savoir Robin. 
-Je voulais partir de la fête. Elle était nulle.
-Mais, tu t’amusais avec tes amies.
-Je… Je veux juste passer du temps avec toi, mens-tu, mais elle voit clair dans ton jeu.
-Il y a autre chose.
-Bon, d’accord ! J’étais peut-être un peu jalouse, admets-tu, honteuse.
-Pourquoi ?
-Joshua. 
-Il était un peu lourd, mais il était sympa, dit Robin, sans comprendre. 
-Il te draguait !
-Quoi ? Pas du tout ! s’indigne-t-elle et tu te sens obligée de rigoler face à sa naïveté. 
-Robin, je peux t’assurer que si. La preuve : il m’a demandé quel était ton type de mec et si tu étais avec quelqu’un.
-Oh… Qu’est-ce que tu lui as dit ?
-Qu’il n’avait aucune chance, commences-tu avant de te mordre l’intérieur de la joue. Et… j’ai peut-être laissé échapper que tu étais avec quelqu’un. Je n’ai pas dit que c’était une fille et encore moins que c’était moi, évidemment, mais il sait que tu es en couple. Je suis désolée, je sais que je n’aurais pas dû, mais ma jalousie a parlé pour moi ! Il m’a juste énervé à penser qu’il pouvait se permettre de tenter son coup même quand je lui disais qu’il était pas ton genre.
Tu n’oses pas regarder Robin, craignant qu’elle t’en veuille. Toutefois, tu sens sa main se poser sur ta cuisse, elle te fait un sourire avant de déclarer : 
-Au moins, il me laissera tranquille. T’inquiète, je t’en veux pas. 
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Comme vous en avez convenu à la fin des vacances, vous continuez à vous voir au lycée. Vous parlez, travaillez et mangez ensemble. Certaines de tes amies sont surprises de voir que ton amitié soudaine avec Robin semble être aussi forte. Même si elles ne font pas de commentaires en ta présence, elles n’hésitent pas à parler de Robin et toi. Elles sont surtout outrées de voir que tu as osé annuler beaucoup de sorties à la dernière minute à cause de Robin. Une fois, tu as même manqué un entraînement, car Robin était malade. Bien évidemment, ta petite amie t’avait réprimandé, mais tu lui avais assuré que ce n’était pas grave. Toutefois, Crystal n’hésite jamais à reparler de cet événement dès qu’elle peut. Chrissy semble être la seule de tes amies à soutenir ton “amitié” avec Robin. Elle te défend quand elle entend les autres filles parler dans ton dos. Cependant, tu sais que tes “amies” parlent de plus en plus contre toi. Tu n’es pas dupe, tu vois bien le regard qu’elles te lancent surtout si tu mentionnes Robin ou si elle est proche de toi, mais tu n’y fais pas attention. Tu n’as jamais été très proche d’elles et tu savais qu’une majorité d’entre elles était hypocrites donc tu n’es pas étonnée. Tant que tu as Robin près de toi, c’est tout ce qui t’importe. Crystal, Carol et les autres peuvent continuer à parler, tu veux juste ta petite amie à tes côtés. 
Un vendredi de novembre, il y a un match de basket au lycée. Comme d’habitude, tu as ta tenue de cheerleader et montre ton soutien à l’équipe. De son côté, Robin motive les joueurs avec sa trompette aux côtés de la fanfare. Un des avantages de ces matchs est que tu peux regarder Robin discrètement. Étant face aux estrades, tu dois regarder devant, autrement dit, là où Robin se tient. Il n’est pas rare que vous lâchez des rires discrets en vous regardant un peu trop longtemps. 
Ce soir-là, n’est pas une exception. Accompagnée de tes coéquipières, vous faites votre chorégraphie, sous les applaudissements des spectateurs. À un moment, tes yeux se posent sur Robin et tu te trompes dans tes pas, écrasant le pied de Crystal sans faire exprès. Cette dernière te lance un regard noir, mais tu n’y prêtes pas attention. Robin tente de se retenir de rire tout en jouant de la trompette. Tu continues ta chorégraphie comme si rien ne s’était passé. 
À la fin du match, l’équipe d’Hawkins High gagne donc vous faites votre chorégraphie spéciale jusqu’à ce que les joueurs retournent dans les vestiaires. Quand tout est terminé, les cheerleaders et toi partez vous changer. Il reste seulement deux autres filles quand tu es prête à partir. Tu prends ton sac et te diriges vers la porte quand Crystal t’empêche de partir en se mettant en face de toi, Carol à ses côtés.
-Tu comptes m’expliquer pourquoi tu m’as écrasé le pied ? te demande Crystal avec un regard interrogateur. 
-Je me suis trompée dans les pas, ça arrive.
-C’est pas la première fois que tu fais une erreur depuis le début de l’année, remarque Carol et tu lèves les yeux.  
-Faut juste que je travaille plus les choré, c’est pas grave.
-Faudrait déjà que tu viennes aux entraînements et que tu sois concentrée, rétorque Crystal. 
-Ecoute, si tu as quelque chose à me dire, dis-le directement au lieu de faire des insinuations, commences-tu à t’énerver. 
-Tout ce que je dis, c’est que t’es de plus en plus distraite, surtout pendant les matchs. T’es toujours là à regarder la fanfare.
-Tu veux dire les spectateurs ? 
-Non, tu regardes la fanfare un particulier, te corrige Crystal avec un sourire malicieux. Pas vrai, Carol ?
-Généralement, c’est du côté de Robin. 
-Et alors, j’ai pas le droit de regarder mon amie une fois de temps en temps ?
-Je trouve juste ça bizarre que depuis ton amitié avec Robin, t’es de moins en moins investie. Et je parle même pas du nombre de fois où tu nous as lâché, tu l’as ramenée ou t’es partie des soirées à cause d’elle. Elle est pas censée avoir un copain en plus ? Elle pourrait nous laisser un peu, continue Crystal et tu serres les poings. 
-T’as intérêt à t’arrêter là.
-Je sais même pas pourquoi tu continues à lui parler. Elle est pas méchante, mais elle est bizarre, quand même.
-Tu retires ça tout de suite. Je t’interdis de l’insulter ! t’énerves-tu en faisant un pas en avant. 
-C’est bon, j’ai rien dit de méchant ! se défend Crystal. En plus, la dernière fois que tu l’as invité à une sortie, elle a pas arrêté de parler du dernier film sorti au cinéma. C’est bon, on a compris que Breakfast Club est un chef d'œuvre. On a pas besoin de savoir chaque détail.
-C’est vraiment que c’était un peu pénible, acquiesce Carol, pensive. 
-Si vous êtes pas capable d’apprécier sa compagnie, je vois pas pourquoi je m’obstine à continuer à vous parler. Robin est ma meilleure amie et que vous le voulez ou non, je vais continuer à sortir avec elle, déclares-tu.
-C’est ton problème, mais reste concentrée pendant les matchs, j’ai pas besoin que tu me détruise les pieds avant la fin de l’année. Enfin, ça, c’est si Chrissy veut encore bien te garder. Avec tout ce que tu fais depuis la rentrée, je ne serais pas étonnée de savoir qu’elle veut te sortir de l’équipe, dit Crystal, attendant une réaction de ta part. 
-Tu sais quoi ? Elle n’aura même pas besoin de le faire, car j’abandonne, annonce-tu avec sérieux. Je ne veux plus être cheerleader et je ne veux surtout plus être amie avec des personnes hypocrites et qui se sentent obligées de rabaisser les autres. 
Énervée, tu les dépasses et marches jusqu’à la porte. Quand tu la refermes derrière toi, tu retrouves Robin, un sourire gêné sur le visage. Tu te jettes dans tes bras, ayant besoin de son réconfort. Elle te rend ton étreinte, te serrant un peu plus fort. Quelques secondes plus tard, vous quittez le lycée et tu conduis jusqu’à chez Robin, car tu dors chez elle. Durant le trajet, elle est silencieuse et tu devines qu’elle est préoccupée. Tu n’oses pas lui poser une question, sachant qu’elle viendra te parler quand elle sera prête.
Fatiguée de votre journée, vous n’attendez pas une seconde avant de vous mettre en pyjama quand vous arrivez. Dans le confort de son lit, vous êtes enlacées dans l’obscurité. Tu sombres tout doucement dans le sommeil alors que Robin a les yeux grands ouverts. Ta respiration commence à se calmer quand Robin te secoue doucement. Tu ouvres les yeux alors que Robin allume sa lampe de chevet. Pendant une seconde, tu bloques la lumière à l’aide de ton bras avant de regarder Robin assise en face de toi.
-Désolée, dit-elle en faisant référence à la lumière. J’ai juste besoin de te parler de quelque chose.
-Dis-moi, murmures-tu avec une voix endormie.
-Tu vas vraiment quitter les cheerleaders ? demande Robin et tu fronces les sourcils. Je vous ai entendu. Je sais que tu t’es disputée avec tes amies à cause de moi. Je ne voulais pas créer des problèmes, je m’en veux, avoue-t-elle en évitant ton regard. 
-Robin, c’est pas de ta faute.
-C’est un secret pour personne qu’elles ne m’apprécient pas et qu’elles m’accusent de ruiner ce que tu entreprends.
-Elles sont juste idiotes, déclares-tu en t’asseyant également. 
-C’est tes amies.
-C’était, corriges-tu. Et puis, je n’ai jamais été proche d’elles. J’ai toujours su qu’elles attendaient l’excuse parfaite pour me tomber dessus. Il n’y a que Chrissy avec qui je m’entends bien et je sais que malgré mon départ, on continuera à parler, donc je ne m’en fais pas.
-Mais quand même ! Tu as quitté les cheerleaders à cause de moi alors que tu adores ça, s’exclame Robin, en se sentant coupable. 
-Je vais pas te mentir, je voulais quitter les cheerleaders depuis un moment, disons que Crystal et Carol m’ont ouvert la porte, admets-tu. Et même si j’avais vraiment aimé le cheerleading, je serais partie, car elles ne sont pas gentilles avec toi. Je n’aime pas les réflexions qu’elles font. J’abandonnerais ma pseudo-carrière de cheerleaders si ça veut dire pouvoir être à tes côtés. Et puis, c’est seulement le lycée, je peux faire une autre activité extra-scolaire. Ce n’est pas aussi dramatique. 
-Je veux juste pas que tu changes à cause de moi, chuchote Robin et tu la forces à te regarder.
-Crois-moi, si je change depuis qu’on est en couple, c’est seulement en bien. Depuis qu’on s’est rencontrées, tu m’aides à m’assumer. Je ne veux plus essayer d’être quelqu’un que je ne suis pas. Je veux être la vraie version de moi-même. Et c’est grâce à toi si j’ai le courage maintenant.
-J’ai pourtant l’impression que je ruine plus ta vie qu’autre chose, affirme-t-elle et tu hausses les épaules.
-Ça ne me dérangerait pas que tu ruines ma vie, si ça veut dire être avec toi. Je le pense vraiment, Robin. Je suis contente de t’avoir à mes côtés, alors arrête de penser que tu fais quelque chose de mal, car ce n’est pas le cas. 
Robin te prend dans ses bras, ne sachant pas quoi dire. Tu l’étreins un peu plus, caressant son dos. 
-Merci de m’avoir défendu, au fait, susurre-t-elle à ton oreille.
-Pas besoin de me remercier, j’allais pas les laisser t’insulter ! C’était ça qui te tracassait ? demandes-tu en te séparant d’elle alors que Robin te regarde surprise. J’ai bien vu ton regard quand je t’ai rejoint après le match.
-Disons que j’avais déjà des peurs depuis plusieurs semaines et entendre la conversation ne m’a pas aidé. J’ai commencé à avoir peur. Je me suis dit que si je détruisais vraiment ta vie sans m’en rendre compte, tu voudrais me quitter.
-Jamais, affirmes-tu. Je suis avec toi et je n’ai pas pour projet de t’abandonner. Je compte bien rester auprès de toi toute ma vie, si tu me le permets.
-C’est tout ce que je souhaite. 
Tu poses tes lèvres sur celles de Robin tout en mettant tes mains dans ses cheveux. Celles de Robin trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches te rapprochant un peu plus. Vous vous embrassez pendant quelques secondes avant de vous séparer. Tu lui souris alors que Robin éteint la lumière. Vous vous endormez paisiblement, sachant que vous allez rester ensemble toute votre vie.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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cannotescape · 1 year
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Voilà ça y est. J'ai la haine contre les abstentionnistes aux élections locales maintenant.
Blablabla ça n'a aucune incidence sur ma vie quotidienne. Ben si connard ! Autant si ce n'est plus que pour les élections nationales.
Tu veux des services publics qui fonctionnent ? Mais vote à gauche putain ! Y a des problèmes TOUS LES JOURS sur les réseau RATP et c'est directement lié au fait que Pécresse cette bâtarde baisse les dotations et essaye de privatiser les transports publics.
J'en ai ma claque de changer 20 fois d'itinéraires parce que vous aviez la flemme de vous déplacer. Maintenant on a une meuf qui donne plus d'argent aux lycées privés qu'aux lycées publics et qui augmente le pass Navigo à 90 balles. Bravo.
Ça ose faire la morale pour faire barrage au FN aux présidentielles, mais y a plus personne pour faire barrage à la droite aux élections locale.
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entremesj · 30 days
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youtube
Le corps nu sur le sol Je me fais du mal depuis des années La main sur les yeux Pas envie de la retirer Y a pas de place pour les faibles Y a pas de place pour les regrets Le cœur sur le sel Relèves-toi, faut pas déconner
J'ai ces bruits dans ma tête et j'aimerais que ça cesse mais en vain Oh j'ouvre un peu les yeux, des couleurs, des photos me reviennent Oh tous ces bruits dans ma tête, faut que ça cesse J'ai perdu la tête. Où est le chemin de ma maison Quoi qu'il advienne, je retrouverai les clés de la raison J'ai perdu la tête. Où est le chemin de ma maison Quoi qu'il advienne
Quoi qu'il advienne Le regard des gens, j'en ai que faire Qui sont-ils pour me juger ? Un pardon à mon père eh Insolente, je l'étais Dans les yeux de mon frère Ouais, des claques il s'en ai bouffé Sur les joues de ma mère Des rivières se sont écoulées
J'ai ces bruits dans ma tête et j'aimerais que ça cesse mais en vain Oh j'ouvre un peu les yeux, des couleurs, des photos me reviennent Oh tous ces bruits dans ma tête, faut que ça cesse J'ai perdu la tête. Où est chemin de ma maison Quoi qu'il advienne, je retrouverai les clés de la raison J'ai perdu la tête. Où est chemin de ma maison Quoi qu'il advienne, je retrouverai les clés de la raison
J'ai perdu la tête ou le chemin de ma maison Quoi qu'il advienne, je retrouverai les clés de la raison J'ai perdu la tête ouais Quoi qu'il advienne, je retrouverai les clés de la raison
Src : https://www.lacoccinelle.net/1377532-yseult-corps.html
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manue-ringo · 4 months
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Chapitre 90 : Règlement de compte
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Vous ne vous êtes pas assez défoulé sur moi, c'est ça ? Déclara-t-il dans un sarcasme.
Parker s'assit sur son lit en tailleur avant de lui répondre sèchement :
Non. C'est juste que tout ça commence à me taper sur le système ! J'ai d'autres choses à penser qu'à ces conneries vous voyez ?
Pardonnez-moi, mais c'est vous qui l'avez cherché je vous signal. Lui t-il remarquer.
C'est bon, la ferme. Écoutez, oubliez ce que j'ai dit. Ça n'a plus d'importance. Je vais vous dire ce que je sais, puisque qu'il n'y a que ça qui vous intéresse. Dit-elle d'un air de reproche.
Mulder sentit une profonde colère monter en lui. L'attitude de Parker fit vriller à nouveau le jeune homme, il reprit :
Vous êtes sérieuse ? C'est à croire que vous cherchez vraiment à me rendre dingue ! Comment pouvez-vous dire ça ? Vous n'avez donc rien écouté ? Je vous ai toujours respecté Parker. J'ai été honnête envers vous, mais apparemment, ça ne vous suffit pas !
La jeune femme rabattue nerveusement d'une main, ses cheveux sur le côté. Ce geste banal lui donnait un air très séduisant quand elle le faisait. Mulder semblait ne pas y être indifférent au vu de son regard un peu trop insistant. Parker l'avait remarqué. Elle reprit en tentent de rester de marbre :
Qu'est ce vous mater comme ça ? Ça vous prend souvent ?
Mulder réalisa son manque de discrétion. Cet acte involontaire rendu très vite le jeune homme nerveux. Il reprit en tentent de se rattraper :
Quoi ? Pas du tout je… Ce n'est pas le sujet ! Je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps à vous parler. Cette conversation ne nous mènera à rien ! Dit-il en tournant les talons pour repartir.
Hé ! Où allez-vous ? Je n'ai pas terminé. Dit-elle avec suffisance.
Parker se releva pour faire face au jeune homme. Les traits de son visage étaient plus relâchés. La jeune femme parut presque amusée de la réaction de son partenaire. Elle déclara d'une voix plus calme cette fois :
L'ironie dans tout ça, c'est que ce crétin de Krycek m'a ouvert les yeux.
Mulder fronça les sourcils puis demanda :
Krycek ? Qu'est ce qu'il a avoir avec cette histoire ?
Pour faire bref, j'ai appris que cet imbécile nous espionnait dans ce motel lorsque nous étions dans le Maine. Il s'est servi de ce prétexte pour faire pression sur moi. Je ne me suis jamais senti aussi humilié de toute ma vie. Bref, c'est en partie à cause de ça que j'en ai ma claque ! Mais d'un autre côté, il m'a fait réaliser à quel point j'ai été stupide ce soir-là. Vous m'avez manipulé ! Dit-elle sur un ton plus rude.
Comment ça ? Attendez que je le retrouve. Je me charge de lui. Dit-il très énervé.
Arrêtez ça ! Je m'en suis déjà chargé à mon retour. Là n'est pas le problème. Vous n'écoutez rien non plus ! Dit-elle avec impatience.
Oui, j'ai entendu ! Alors quoi ? Vous allez m'accuser maintenant ? Je vous fais honte, c'est ça ? Dites le ! Qu'est-ce que vous voulez dire par manipuler ? Demanda-t-il à sa partenaire en se rapprochant intentionnellement d'elle pour la faire parler.
Ils se toisèrent un long moment sans rien dire. Mulder s'avança encore plus près d'elle, puis reprit :
Quoi, tu as perdu ta langue ? Pourquoi ce silence ? J'ai mis le doigt sur quelque chose, c'est ça ?
Parker n'apprécia pas du tout son insolence, elle reprit avec fermeté :
Non mais pour qui tu te prends ? Tu crois que tu me fais peur ou quoi ? Recule avant que je ne t'arrange le portrait ! S'exclama-t-elle en le repoussant violemment contre la porte de derrière. Elle semblait avoir perdu la raison. Mulder resta impassible face à la violence de la jeune femme. Bien au contraire, celui-ci en profita pour la pousser à bout pour se venger de son impertinence. Il rétorqua sur un ton désagréable :
Vas-y, ne te gêne pas ma belle ! Frappe donc ! Après tout, je le mérite puisque tout est de ma faute si nous en sommes là !
Parker ria, nerveusement, puis répondit quelque peu surprise par la réaction de son partenaire :
Non, sérieux ? Tu es aussi déjanté que moi en fait. Bien que ce petit coté sadique ne me déplais pas. Bref tout ça pour dire que tu me tape tellement sur les nerfs que j'en ai des bouffées de chaleur ! Dit-elle en retirant son long cardigan noir au passage. Parker ne portait plus qu'un léger débardeur blanc et un shorty de sport. À cette vision, Mulder en resta quelque peu hébété. La jeune femme ne s'était pas tout de suite rendu compte sur le coup de la colère. Elle tiqua un instant avant de reprendre dans un sarcasme :
Ah oui, c'est vrai. Ça ne doit pas t'arriver souvent qu'une fille se découvre devant toi dans ta misérable vie. À vrai dire, je ne sais même pas si ça t'est déjà arrivé. Dit-elle en lui riant au nez. La mesquinerie de Parker commençait fortement à titiller la patience du jeune homme. Mulder décida de la prendre à son propre jeu. Il ajouta :
Très amusant vraiment. Toi, je suppose que tu es une experte en la matière. Et puis tu n'as pas besoin de tout ça puisque la seule chose qui t'intéresse, c'est ta petite personne et rien d'autre. Tu as un ego tellement surdimensionné que tu en oublies tes sentiments. Tout au moins, tu t'efforces de le faire. Mais ça ne marche plus avec moi. Et ça, tu ne peux pas le supporter hein ? N'est ce pas ? Dit-il en s'avançant à nouveau vers elle en la fixant intensément du regard. Parker ne bougeait pas et semblait quelque peu déstabilisé. Elle se mordu nerveusement les lèvres puis renchérie en tentent de rester impassible :
C'est quoi ton problème ? Tu crois que tes beaux yeux et tes belles paroles suffiront pour m'avoir ? Qu'est-ce que tu t'imagines mon vieux ? Tu penses sérieusement que je m'intéresse à toi ? Je vais te dire une bonne chose chéri, c'est toi qui es en train de fantasmer sur moi ! Elle s'était rapprochée à son tour pour arriver à sa hauteur. Mulder en profita pour tenter une manœuvre quelque peu risquée, il déclara :
D'accord, je vois. Où peut-être que je te fais peur. Tu ne t'es pourtant pas gêné la dernière fois dans ce bar. Pourquoi ne retenterais-tu pas l'expérience ? Je sais que tu en as envie. N'essaie pas de le cacher.
Parker crut avoir mal entendu, elle se surprit même à rougir de honte devant lui. S'en était trop pour elle. Il était allé trop loin. Elle se sentit prise au piège à présent. Parker essaya de trouver un moyen pour se sortir de là, elle répondit précipitamment dans un sourire gêné :
Qu'est-ce que je disais ? Tu n'attends que ça hein ? Vas-y. Ose t-y aventurer. Parker n'eut même pas le temps de réagir que Mulder avait posé ses lèvres sur les siennes pour la faire taire une bonne fois pour toutes. La jeune femme se retira instantanément. Elle rétorqua quelque peu secouée :
Hé ! Qu'est-ce que tu fais crétin ?
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philippebresson · 10 months
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J'en ai ma claque
De ce cloaque
De vos commentaires à la con.ne
Vos 😘 ridicules émoticônes
Avant d'finir totally branque
Avant que vos sales gueules me flanquent
Le bourdon
Je mets les voiles au loin à l'Est
Je vais y retrouver ma planque
Là-bas au sud-est de la France
Là-bas au sud-est de la France
C'est pas l'Eden mon Est tu sais
Surtout depuis qu't'as décidé
D'aller rejoindre les lucioles
Qui brillent au ciel des sources folles
Où j'en étais wesh je m'égare
Cœur de l'été quai d'une gare
On en a pris des trains ici
T'en souvient-il ma grande amie ?
J'en ai ma claque
De ce cloaque
De vos commentaires à la con.ne
Vos 🤣 ridicules émoticônes
Plus envie d'voir
Vos têtes à poux
I don't want to be loved by you
Mais alors pas du tout
Pas du tout
Pas du tout
Pas du tout
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Mon Passé
Mon Présent
Mon Avenir
Pour Résumer
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Mon Passé
Pour
Ma Future
Concernant ce que tu as/peut/pourras lire ce n'était que deux mots que j'assume (maintenant) pleinement car il ne sont que deux definitions véridiques d'une réalité dont maintenant je me refuse à être le seul à porter le secret et les multiples souffrances passées qu'elles soient psychologique, physiques et cætera. Je les répète sans honte. Enfin oui pour l'auteure et l'auteur qui ne sont ce qu'ils ne sont pour moi que sur le papier, j'ai assez confiance en la génétique pour que les gênes puissent suffisamment muter à la création d'un nouvel être humain pour qu'il en soit un totalement différent. Ça s'appelle l'inné. Des décennies de vécu ont confirmées mon étrangeté. Ça c'est l'acquis. Dans cet acquis il y a quelques mots. Juste des vérités incontestables. Juste des incontestables vérités. (Parmi d'autres) :
Maltraitance parentales (on va dire en tout genre dans un milieu bourgeois et favorisé et (je dis ça sans plaisanterie ;) avec amour , juste qu'on a pas la même vision de l'amour,
Violes psychologiques (le mot psychologique est pour respecter ceux ou celles qui en on subient un physique (c'est déjà trop) plusieurs (là l'indicible devient inexplicable, inracontable, inimaginable, inhumain... le mot psychologique est aussi une pudeur, une dernière, la dernière. Devant ce mot le mot exact est incesteS (psychologique) .
(Tellement) plus classiques je croyais ça banal, normal même, puisque mon père disait (sans le jamais le dire, drôle de façon que je respecte pourtant au moins je n'ai pas ces mensonges qui résonnent dans tête et je peux comme homme utiliser ce mot vierge et pur pour moi) qu'il m'aimais...à ça façon... à grands coups de claques, bien souvent ça se limitait à ça c'était juste un peu virile et plus frequent (appartées on appelle ça battre son enfant, choses aussi aggravante pour ce pauvre type que parlante sur lui, sa femme qui lui donnait souvent les "raisons" (mon cul!) de le faire et lui demandait d'arrêter quand elle avait envie d'aller se coucher pour dormir du sommeil du juste, et pour l'ensemble des témoins des hématomes que l'on voyait parfois sur mes joues le lendemain au collège ! Appelons ça des bleus que camarades de classe et tout les adultes none atteint de cécité voyaient. Par contre la cécité morale, le courage, la notion de mission dans son (pauvre) métier et sa (pauvre) vie elles avaient jamais eu de problème ! J'avais une amie très intelligente qui était dans ma classe de la maternelle à la fin du lycée, on habitait depuis toujours à 30 metre dans la même rue, sa mère me connaissait très bien, elle a été mon prof de catéchisme, représentant des parents d'élèves, en primaire, puis au lycée ou elle a été ma prof d'anglais et professeur principale, à part ça c'était une femme de tête surtout pour appeler mes parents qu'elle pouvait mener par le bout du nez...quand c'était pour me faire aller à son église le dimanche matin... que dieu ai pitié d'elle !...
Donc mon père c'est fait mais pas fini (pourtant une simple phrase comportant un mot clé du type "pardon" "excuse" "regret" au singulier je m'en fou si c'est ça sa limite, je lui demande pas une prière en latin qu'il préfère sans même le parler, ni un mot compte triple au scrabble, un poème vu qu'il comprend même pas les miens ou de l'humour il comprend a peine celui de tf1, n'a jamais compris le mien au point que je peux me foutre de lui depuis la nuit des temps face à lui pendant qu'il bouffe comme un porc devant tout le monde... quand il me gueulait dessus (il appelait ça un côté latin, pour ça oui je l'ai toujours entendu parler couramment) de préférence en me tenant et même si il beuglait près de mon oreille pour pas que j'en perde une miette mon nez sentais le repas que j'avais pas pu avaler comme son "vin de table"...je crois qu'il y a deux parenthèse à fermer) ). Trois petits points pour la forme et je reprends le tableau...que les rares de ma mère qui exteriorisait ses nerves parfois physiquement quand sa pudeur était (dépassée) impuissante à rester dans le cadre (débile)mentale (1) avec tout le respect pour ceux qui sont affublés de cette adjectif qui en dit en fait plus sur ceux qui utilisent ce mot réducteur qui ne résume en fait que les limites explicatives de personnes limitées , souvent diplômées médecins dans la médecine ou instituteurs, professeurs, enseignants (j'ai pas été plus loin mes limites du dégoût comme mon dégoût de leurs limites mon arrêtés là) dans l'éducation nationale... À chaque fois que j'entends (et c'est frequent) quelqu'un utiliser ce mot j'insulte consciemment ceux qui utilisent ce mot et qui en sont de vrais et chaque fois j'ai une pensée pleine de respect de gratitude de merci pour une phrase slogan de l'association de monsieur Lino Ventura qui a créé une association pour sa fille (qui pour moi était différente comme tout les êtres humains c'est tout, je le suis comme elle et toi aussi) :
"Vivre ensemble c'est pas débile"
Je referme cette longue parenthèse (moi aussi j'ai été obligé de relire pour savoir de quoi je parlais ou plutôt où j'en étais ;) sur ce que peut être l'amour véritable d'un père pour sa fille et revient (une première et dernière fois officiellement ma vie, comme je l'ai écrit récemment j'ai autre chose non pas à foutre mais à faire du temps qu'il me reste...à Aimer) à feu ma mère. J'ai ma conscience pour moi puisque je lui ai, heureusement, dit tout ça histoire qu'elle meurt moins bête, je ne pensais pas que ça arriverais...aussi vite. une fois comme lui ai dit souvent que je l'aimais, parfois avec ce simple mot, souvent avec des colliers de nouilles ça c'était un truc des maîtresses (mes seules qu'elle a jamais acceptée en fait ni virée de chez moi, pendant 20 ans là où j'ai dormi ou plutôt passé (sensé passé les dernières et plus beaux moments officiellement, j'étais insomniaque naturellement, trop d'idées dans la tête, puis j'avais peur des monstres encore plus quand j'ai vu des reportages dessus à la télévision puis aux cinéma où mes parents m'enmenaient souvent. C'était génial, vraiment. Juste que je me réveillais parfois dans mon vomi, en sueur, sans avoir fermé l'œil de la nuit ou avec 40 degrés de température et desallucinations visuelles avecdes monstres vues dans les fameux reportages. Des fois tout ça en même temps! Je crois que mon cerveau essayait avec ses petits moyens de leurs dire quelques choses! Mais quoi? Mes plus vieux souvenirs de nuits je les passait sous mes draps bien au milieu du lit, c'était mon enfer de canicule chaque nuit, toujours dos au mur en cas d'attaque, je manquais d'air frais et presque d'oxygène, pour survivre je formais en faisant un léger conduit avecdes plis de mes draps impossible à voir par les monstres qui voyaient forcément la nuit car ils existaient que la nuit. Le jour j'étais pénard ... pour d'autres angoisse. Quand ma mère passait me dire bonne nuit j'étais content mais c'était le top départ de l'enfer et je plongeait sous les draps. Elle disait que je "faisait sous-marin"! On dit que les enfants sont naïf, et les parents? Et puis c'était quoi un sous-marin? C'était étanche aux monstres? Si oui comment on y respirait? La réponse m'aurait aidé... ;) lol. J'avais un grand frère ce qui était super car je pouvais découvrir pleins de choses deux ans en avance, c'était mieux que rien. Lui aussi attendait que ça accélère à l'école du savoir. Je crois qu'il a passienté jusqu'au lycée en travaillant. Un peu comme moi sauf que je ne travaillais pas. J'avais dû mal à trouver une raison et comment avoir une moyenne de A+ en primaire. En CE1 j'étais dans une classe à deux niveaux. C'était vaguement plus intéressant les cours de CE2. Par contre en CE2 ca a été la double peine. Premier bulletin de CE2 : A+, commentaire de l'institutrice : "peut mieux faire s'il en a l'envie" ! J'aime pas insulter les femmes mais je le dis à elle comme à l'éducation nationale : "connasse !"...
Mais je m'égare je parlais juste de mon frère aîné qui avait eu la gentillesse de m'inviter à son club cinéma quand il est rentré au collège c'était une chance moi qui était en primaire en CM1! Le film :
"Les Dents De La Mer"...
Bon tout ça reste entre nous, après tout ce ne sont que des banalités que je vais publier en secret sur tumblr pour que ce ne soit jamais lu ni diffusé...
Donc (1) :) :... de la Maltraitance mentale. Après tout si ça la déroulait j'étais croyais elle peut-être que j'étais là pour ça "à portée de main" pour lui faire oublier sa jeunesse passée comme son amour passé pour un homme qu'elle a aimé et avec qui elle m'a fait avant qu'il la traite mal! C'est tout ce que je peux dire avec le must de français que j'ai appris à l'école comme à peu près tout le monde des pays "où c'est qu'on a la chance d'apprendre à écrire" c'est à dire les bases qui approximativement date de l'invention de l'écriture et des décennies de psychothérapie analytique. Je dis pas analyse pour pas recevoir la facture. Là par contre mon ignorance, mon manque de révision (mot toujours et à jamais théorique à mon esprit) et en parlant d'esprit : aux cours de catéchisme interminable donc mille excuses pour les crises de fous rires que j'avais à chaque notre père qu'on recitait à la fin de cette séance de torture hebdomadaire, mettons ça sur la puberté, mon sens critique, le stress de l'école, de ma vie familiale et cætera. Lincroyance en un dieu de carte postale n'a absolument rien à voir avec cela, je respecte absolument toutes les croyances, je connais le notre père toujours par cœur sans jamais le réciter, je ne suis pas hypocrite (moi!..) je vais parfois au cimetière ou je dépose des choses à des personnes et ceci ne regarde que moi. Je ne crois pas en un dieu, en tout cas pas plus qu'en un autre ou qu'en d'autres... je crois en quelque chose. "Dieu est Amour" on a au moins ce point d'accord. Simple parenthèse pour illustrer le fait que je confond le passage de la préhistoire à l'histoire avec la naissance du Christ plus facile à dater... je crois aussi aux extras terrestre, au surnaturel à certains monstres et surtout à l'Amour ! Ça s'est pas une croyance c'est une certitude ! sais absolument pas comment elle savait;) de maternelle, des poèmes, ça c'était mon truc
sont toujours présentes dans ma mémoire, mon corps en garde des cicatrices et maintenant je les arbore fièrement pour l'enfant que j'étais et aussi pour les autres enfants qui ont vécu des choses semblables. Je milite activement à ces sujets depuis très longtemps, maintenant les blessures sont cicatrisé mais j'arbore avec fierté les marques du/d'un/de mon passé simplement comme les souffrances indélébiles comme tout le monde en porte. Personne ne s'excuse d'avoir un nombril ! Mon corps porte juste d'autres traces, seules les plus profondes restent encore visibles, on ne peut voir celles de mon âme, juste les lire pour ceux/celles qui veulent et qui savent. Maintenant : Tant pis et fuck à ceux qui les ont fait (!), et tout leurs complices du Silence ou de la cécité familiale, morale, scolaire, médical, sociétale et cætera. Je sais que les hommes dans la haine resterons toujours à l'âge de pierre ne serait-ce pour continuer à faire le mal c'est à dire leur bien d'être mauvais pour leur jouissances malades de leur déséquilibres conscients et malsains.
Malheureusement pour eux et leurs mémoires auxquelles ils auraient dû penser avant leurs plaisirs violemment malsains et malsainements violents pour les corps et pour les esprits de leurs victimes impuissantes mais des hommes ont inventés l'écriture comme arme de la mémoire et de la justice.
Il arrive (qu')un jour l'enfant prend cette arme pour la vérité et sa justice comme pour surtout que d'autres enfants n'ai pas à en utiliser contre eux-mêmes faute de justice ou contre leurs anciens bourreaux pour faire justice eux-mêmes.
La peur doit changer de camp.
La peur a changé de camp.
La/es souffrances peut-être difficiles à voir mais je l'arbore comme une médaille que la vie m'a offerte. Si elle en ébloui certains ou certaines c'est que leurs cœurs ont été entachés par des noirceurs de leurs âmes, si t'en est qu'ils en ont une.
La mienne pécheresse n'a jamais eu besoin de religion pour chercher un pardon et échapper à l'enfer qu'ils ont créés de leurs vivants, je me confesse chaque jour auprès de ma conscience innocente. Je m'excuse dès que je peux avec mes mots, au pire des cas dans le silence et ma Solitude qui est la seule à voir mes larmes quand j'ai fait un tort et que la personne que j'ai blessée ne peut m'entendre ou n'est plus là à portée de voix ou de mots à temps car je ne l'ai pas été.
Enfin je ne parle même pas de mon grand frère qui ne m'a jamais protégé ni réagi ou combattu les monstres ce qui fait leur complice et presque leur coauteur. Aujourd'hui il repridroduis la maltraitance sans violence physique ni inceste psychologique mais à sa manière qui n'est vraiment pas très belle, je l'ai vu quand je le voyais et maintenant depuis presque mes vingt ans je l'ai vu maltourner, et depuis beaucoup d'années il est infecté avec moi et à dépassé le stade de la maltraitance vis-à-vis de moi. Actuellement c'est insupportable et invivable les choses qu'il m'impose et me fait supporter sans aucune autre raison que son propre plaisir de malade mental agressif, vu cieux et malsains comme malveillant...
Au moins j'ai un (grand) sens de la justice.
Je vais dans son sens. Des fois avec le temps, mais avec/grâce à lui je peux (me) regarder en arrière sans baisser les yeux, bien agir au présent avec chacun/une en le/a regardant dans les yeux, on peut me faire confiance les yeux fermés et je peux préparer un avenir heureux en le regardant droit devant. Les yeux en face.
Le vendredi 19 mai 2023 3heures09.
Brouillon écrit d'une traite que je ne reprendrai pas. Quand on vomi c'est pas pour faire un beau truc qu'on trie pour faire joli. ça fait juste du bien quand c'est fini.
Stéphane
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Personne ne veut m'envoyer des asks en français ? Me parler de mes fandoms en français ? Je sais pas pourquoi j'en ai vraiment ma claque de l'anglais aujourd'hui, lol. J'aime mieux écrire et m'exprimer en français. Peut-être que je suis inspirée à pratiquer l'écriture à nouveau. Peut-être... Même si je n'accomplis pas grand-chose en ce moment.
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douceconstellation · 1 year
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ℋeart.
ℬoum. ℬoum.
Mon cœur qui tambourine en entendant sa voix.
Je ne veux que toi.
ℬoum. ℬoum. ℬoum.
Son rire me fait chavirer, je n'entends plus que mon cœur qui bat.
Il n'y aura jamais que toi.
ℬam.
Raisonnement du battement loupé lorsqu'elle le choisit, laissant s'envoler mon cœur qui chavire ainsi que de notre histoire, toute sa magie.
Tu continueras toujours à danser dans mes pensées.
𝓒rac.
Bruit de mon cœur qui se déchire tandis que je l'entends pleurer, le laissant par la suite de plus belle encore se briser.
Tu continueras toujours à hanter mes rêves.
𝓟af.
Claque mentale qui secoue mon cœur tandis que j'apprends qu'elle n'a jamais vu les perches que j'ai pu lui tendre, deux ans dans le vide que je croyais depuis tout ce temps ignorées et non voulues, devenus depuis lors involontairement cendres.
Tu manques déjà à mon cœur.
ℬam. ℬam.
Mon cœur qui s'affole en lui demandant de choisir si elle veut ou non nous laisser une chance, pour reprendre à deux notre jolie danse.
Tu manques déjà à ma vie.
ℬoum.
Mon cœur qui crie qu'il l'aime, sans réfléchir, ni songer à l'avenir. Juste pour lui crier mes sentiments, pour qu'on puisse l'entendre à travers tout le continent. Pour qu'elle le sache avant que mon cœur ne se meurt, Dieu de sa dernière réponse, que j'en ai peur.
J'aimerai tant que tu me reviennes.
ℬam. ℬam. ℬam.
Mon cœur qui s'emballe en l'attente d'une réponse qui finira certainement par l'envoyer au débris, pour ne plus jamais vouloir être repris, restant à jamais uniquement à demi.
Tu me manques déjà.
.
Zoom sur mon cœur à nouveau brisé, serrant ta peluche contre lui, sur lequel est entrain de s'abattre un torrent de larmes, peut-être bientôt définitivement dans le néant en l'attente de sa réponse.
Je t'aimerai toute ma vie.
27.12.19
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poesieig · 1 year
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2022-10-22 Mood swings
Faque c'est ça. Des fois, ça va. Souvent, c'est difficile. Mais comme toute personne qui possède les clés de sa libération, de son bonheur, je fais mine que tout va bien. J'ai repris rendez-vous avec la thérapeute que je voyais suite à ma rupture, en mars 2020, thérapie qui n'avait duré que deux sessions. Parce que you know. Mars 2020, tsé. Pis parce qu'en deux sessions, elle m'a donné le meilleur outil à vie: comment poser ses limites. Après, j'étais apte à me débrouiller pour mon appart, à m'éloigner de mon ex, à fonctionner seul.
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Après deux ans à dire "Oui Oui, les boîtes de cuisine", je me suis enfin inscrit, out of nowhere parce que, un après-midi, j'ai aidé mon père à préparer sa gelée de raisins et ma sœur avec sa sauce spaghetti. La première recette que j'ai faite, mon porc était slightly overcooked. C'était mangeable, mais la discussion que j'ai eue avec une collègue de travail sur ma phobie de la cuisine m'a donné le tournis. Encore l'angoisse, la honte. Ma deuxième expérience, hier, c'était des pâtes, j'ai fucking adoré juste couper les aliments, et sortir des poêles jamais utilisées avant, et c'était délicieux, j'étais heureux et fier. | J'commence pas à cuisiner parce que je veux impressionner quelqu'un, ni pour être bien. Vouloir être confortable et sans souci, je mangerais des pizzas pochette pour le reste de ma vie. Non, je fais ça parce que ça me tente d'essayer de quoi de neuf. Pour moi seul. C'est ma manière de sortir de ma zone de confort. Do something you hate until it becomes bearable.
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J'ai clanché la série The Sopranos (6 saisons) en trois semaines et des poussières, c'était Ok-tier. Aujourd'hui, je clanche l'adaptation américaine de Scenes From A Marriage (série d'Ingmar Bergman, à la base). Je n'arrive pas à voir la beauté que j'y trouvais chez Bergman. Au-delà de la lourdeur, j'ai du dégoût pour les personnages, et j'en viens à perdre la jovialité que j'avais hier soir avec mes 46 petits plats tous pêle mêle sur ma table à manger. | J'essaie de penser à ce que je dirai de mes deux dernières années à ma thérapeute. Serai-je en forme? Aurai-je une migraine? On m'encourage à écrire, mais to what end? Je ne sais que publier sporadiquement. What good does it do?
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Entre décembre et janvier, chaque fois que j'écrivais à la famille pour résumer nos journées avec maman, je gardais une copie dans un bloc-notes différent pour chaque jour. En avril, mon disque dur a sauté. J'avais pas de back up, outre les courriels envoyés. J'ai perdu la photo que j'ai prise d'elle sur son lit de mort. C'est perdu à jamais,. E qui n'est pas mal en soi. Mais des fois, ma foutue mémoire me la rappelle. Like I need to see this in my mind, bro… | Y'a plein de choses comme ça qui me reviennent, mais j'ai pas de filon pour tenir un récit, encore moins un livre. Y'a pas un éditeur que ça intéresserait, croyez-moi. Ou sinon, ceux que ça intéresserait, pas sûr que moi je serais down de parler avec eux.
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Au travail, on me complimente. Bla bla bla "you're the best". Ostie que j'hais ça. On me dit que c'est pas des flatteries, mais de la reconnaissance. Whatever. Comme disait Jean Leloup, bienvenue dans le pays de la claque dans le dos.
En revanche, une autre amie, de longue date, m'a dit "T'es un safe space so c'est nice", et jamais je n'ai autant ressenti être apprécié à ce que je considère ma juste valeur. Pas un petit peu, pas énormément, juste le bon niveau. Des fois, il m'arrive de penser que personne ne se soucierait de moi si je disparaissais du jour au lendemain, à part peut-être mon chat. Pauv' Coco, tellement colleux avec moi… Pis des fois, y'a des messages qui tombent de nulle part et qui me font sentir légitime d'exister.
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Pis là, j'ai juste envie d'me dire: Ah ta yeule, estie. Pis là, j'me dis : ouais ben, j'en ai, des sujets pour ma thérapie!
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©Jean Derome Samedi, 22 octobre 2022, 14h30
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