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Les dérives sectaires de la gauche
Il n’échappe plus à personne que les partis de gauche, aujourd’hui, sont gangrenés par des fous furieux idéologiquement radicaux. Par Claude Picard Restez informés, abonnez-vous à Semaine du MENSONGE au tarif préférentiel exceptionnel de : 1,50 € par mois pendant un an,Paiement sécurisé. Abonnement annuel 1,50 € par mois Cliquer ICI Les dérives sectaires de la gauche Il n’échappe plus à…
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brunomindcast · 2 years
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Seule une critique de l’idéologie pourrait permettre au sujet de s’extraire de l’impasse discursive dans laquelle se sont enfoncées les "démocraties occidentales", en prise aux puissants Denkverbot (interdit de penser) que sont:
-L’innovationnisme technologique
-L’écologisme-climatisme
-Le lgbtisme-féminisme
-L’antiracisme…
qui par le surmoi social (Kultur-Überich) qu’ils font peser sur le sujet du discours courant, ouvrent la porte à un fascisme numérique supranational plus toxique, régressif et dévastateur que tout ce que l’humanité a connu jusque là…
L'illustration la plus courante de l'idéologie est probablement celle de Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue donc à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente, la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique concrète…
Mais aujourd’hui, sous la pression persistante du wokisme, qui dans le déni du réel où il se fonde, est à considérer comme la religion païenne sans transcendance des postmodernes qui couvre les Denkverboten cités plus haut, l’argumentation rationnelle n’a plus droit de cité, le discours courant ne dépasse plus le niveau de l’opinion, et toute pensée, tout argument, tout raisonnement sont automatiquement ravalés à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe. Voilà donc le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutiennent les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
À l’opposé de cet obscurantisme new-age, pour ceux qui ont appris à compter jusqu’à trois, il y a la découverte freudienne de l’inconscient dont les conséquences restent encore largement ignorées plus d’un siècle après…
La psychanalyse n’est pas à réduire au rang d’une technique destinée à "thérapier le psychique", à son niveau le plus fondamental, l’analyse offre l’expérience de ce qu’il en est — en vérité et dans le Réel — de l’impossible et donc des possibilités de l’ex-sistence humaine la plus radicale, à savoir la sienne.
Que «la société» procède du refoulement et pas l’inverse, voilà la véritable subversion freudienne, voilà le dire de Freud qui est encore loin d’avoir fait son chemin, notamment chez l’immense majorité de ceux-là même qui se réclament de la psychanalyse.
Ce n’est pas "moi" qui m’inscris dans la société mais bien l’Autre qui est toujours déjà là, en moi, non pas sur un mode identificatoire, mais par césure. Je ne suis pas étranger à la société, il y a toujours déjà un étranger qui vit en moi.
Nous sommes disjoints de nous-mêmes, décentrés, déjetés, dégénérés, c'est le sens de ce qui, en psychanalyse, a pris le nom de "castration symbolique", qui est un pléonasme car c’est le symbolique, le langage, qui nous a toujours déjà coupé de nous-mêmes en colonisant notre corps jusqu’à la dernière de nos cellules.
Si nous communiquons avec d’autres, c’est parce que nous ne pouvons pas directement communiquer avec nous-mêmes, nous avons toujours besoin de la médiation de l’Autre.
L’Autre c’est le lieu du langage, le trésor des signifiants.
Pour le sujet humain, ce qui se passe ce sont des mots, c’est le désir en tant que désinence du dire qui fait la loi au sujet, et c’est le langage qui fait la loi du désir.
Le vrai malaise dans la civilisation aujourd’hui, c’est de ne plus apprendre à parler…
La caste des médiocrates au pouvoir, des politiciens professionnels de gauche ou de droite a consolidé son empire par l'emploi d'une langue simplifiée, binaire, proche du modèle informatique.
L'emploi de cette novlangue, hégémonique dans les médias, rend incapable l'accès à la dialectique et donc à la pensée.
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler présuppose toujours d'apprendre à lire, puis écrire, et aussi dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
Le combat n’est pas un moyen, le combat est une fin.
Comme disait Platon «seuls les morts auront vu la fin du combat.»
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a-room-of-my-own · 7 months
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Je répond dans un billet séparé parce que Tomblère me laisse pas poster en reblog
Pour commencer, le télescopage de grilles de lecture qu’elle présente est au moins incomplet, sinon historiquement faux. 
Pour faire simple, si les US soutiennent effectivement Israël de manière inconditionnelle – et encore, c’est beaucoup moins vrai depuis 15 ans, il suffit d’ouvrir les infos pour le constater - c’est beaucoup moins le cas de l’Europe, et encore moins de l’ONU. La France a la même position depuis des années, qui est de ménager la chèvre et le chou, en ménageant ses relations diplomatiques avec Israël en sous-main, tout en étant dans le discours public plutôt pro-arabe. Nos politiques locaux ont bien compris depuis des années que ce conflit posait un problème de sécurité sur notre propre sol, et les positions prises concernent bien moins le conflit en soi que de la politique intérieure.  
Il suffit d’allumer la radio de service public pour voir d’ailleurs que nos journalistes-fonctionnaires sont à 90% de gauche ou d’extrême-gauche, et que l’information financée par l’Etat et nos impôts est bien loin de diffuser massivement l’idée qu’Israël est un pays héroïque. Au contraire, on a des médias qui reprennent en cœur les chiffres du Hamas sans les vérifier.  
De l’autre côté, la vision qu’elle dit arabe - la réalité des opinions publiques est bien plus nuancée en réalité, surtout dans des pays où la liberté de manifester n’est pas du tout établie - présentée comme “prosaïque” est tout sauf prosaïque. Elle est historiquement fausse.  
“Israël est un état fondé sur le colonialisme et l’expulsion, et qui mène une politique d’apartheid” 
Tous les états du Moyen-Orient sont “fondés sur le colonialisme” si on va par-là, puisque tous ont été créés par les puissances occidentales réunies par l’ancêtre de l’ONU, la SDN, après le démantèlement de l’Empire Ottoman, suite à la Première Guerre Mondiale.  
D’autre part, Israël s’est construit en opposition au titulaire du mandat de Palestine, à savoir l’Angleterre, qui avait certes soutenu l’idée de la création d’un foyer national juif dès 1917, mais qui soutenait par ce biais l’immigration de populations juives sur le territoire qu’elle administrait, et pas la création d’un état juif indépendant. Les précurseurs de l’état d’Israël se sont littéralement battus contre les Anglais, qui s’opposaient radicalement à l’installation de juifs réfugiés après la seconde guerre mondiale, et à la création d’un état juif. C’est donc le comble pour un “état colonial” d’être fondé après une lutte armée contre...l’administrateur de la colonie. 
Israël n’est pas plus un état “fondé sur l’expulsion". Après sa création, l’état a vécu 3 guerres en 25 ans, qu’il a toutes gagnées, et ces guerres ont redessiné les frontières à plusieurs reprises. Le rapport de force, pendant les trois, était en totale défaveur d’Israël, puisque le jeune état était attaqué sur plusieurs fronts par plusieurs pays mieux équipés et avec une armée bien plus nombreuse. Il y a bien eu des expulsions et des violences, comme dans n’importe quel conflit, mais les plus gros mouvements de population ont été une conséquence directe de ces guerres, notamment la première, où c’est littéralement les pays voisins qui ont conseillé aux populations locales de fuir les combats parce qu’ils étaient sûrs de gagner.  
Le fait qu’ils aient perdu – et perdu des territoires par la même occasion – puis que des cellules armées d’obédience palestinienne en Jordanie, en Egypte, au Koweit et au Liban aient tenté de renverser les gouvernements en place a très largement contribué au fait que les relations avec Israël se soient normalisées par la suite, et aussi au fait que ces pays ne veulent plus accueillir de réfugiés palestiniens. C'est surtout à ce moment-là que le rapport de force s’est inversé en faveur d’Israël, car même si les pays voisins instrumentalisent le conflit dans le cadre de leur politique intérieure, aucun n’attaquera Israël militairement / ouvertement. Ils n’ont concrètement rien à y gagner.  
Quant à dire qu’Israël mène une politique d’apartheid, c’est faux aussi. Israël compte 20% d’arabes israéliens. Je mets quiconque au défi d’aller essayer de trouver ce que représentent les communautés juives dans les pays arabes. Concrètement plus grand-chose, parce qu’elles ont été expulsées de chez elles – par la force, la loi, ou par pression - après l’indépendance d’Israël. La Tunisie ne compte plus que 2000 juifs et compte faire passer une loi pour envoyer quiconque a des liens avec “l’entité sioniste” en prison pour plusieurs années.  
A moins de considérer que les populations arabes de Gaza et de Cisjordanie font de facto partie d’Israël, je ne vois pas comment on peut parler d’apartheid. 
Au-delà des arguments historiques qui pêchent par leurs omissions (*tousse* on va rester polie), l’autrice enfile des perles argumentatives qu’elle n’étaye jamais par des faits ou des sources. En vrac on a 
* Des arguments pseudo-psychanalytiques > l’Occident souffrirait d’un “refoulé colonial” qui ressort dans son soutien à Israël.  
* Des arguments pseudo-sociologiques > Le racisme anti-arabes serait “phénoménal” (preuves? Chiffres? Comment on quantifie quelque chose de phénoménal? On le fait pas mais ça claque) 
* Des arguments pseudo-politiques / historiques > l’occident justifierait “l’écrasement” des palestiniens (qui? Quand? Comment? Dans quelles proportions? Suite à quel événement?) 
Le tous en citant bien sûr les chiffres de victimes donnés par le Hamas. 
On est ici - après tout moi aussi je peux faire de la psycho de chez Gifi – dans le chantage émotionnel le plus basique qui soit. On déroule une liste très approximative de faits qui omet 90% du contexte historique, avant de faire tenir une argumentation bancale à coup de gros mots, racisme phénoménal, humiliation, écrasement. Bref à ce stade de l’article si vous n’acquiescez pas avec Mona vous êtes MECHANT. 
"Prouver qu’un enfant est un enfant” 
Je ne vais pas m’attarder dessus, mais on est encore dans le chantage affectif, saupoudré d’une belle dose de malhonnêteté quand on a vu le négationnisme à l’oeuvre immédiatement après les massacres du 7 octobre, qui a obligé les autorités israéliennes à montrer à une sélection de journalistes les images des civils assassinés par les commandos du Hamas. 
Encore une fois, Mona Chollet avance sans preuve et sans citation. Elle décide que quelqu’un - j’imagine encore la personnification de cet “Occident” soudain tellement uni et homogène - considère que la publication de photos d’enfants victimes des bombardements est “le signe d’une fixation antisémite et une volonté malsaine de diaboliser Israël”. Qui a dit ça? Quand? On ne le saura pas mais on est tenus de la croire, et surtout de croire que c’est une opinion majoritaire. De l’esstrème droite certainement. 
On continue dans le registre émotionnel, avec encore des mots forts attribués à...personne encore. Les palestiniens sont “diabolisés”, vus comme “une horde indistincte et barbare congénitalement violente et terroriste”. Par qui Mona? Par qui? A part essayer de susciter chez le lecteur une réaction de rejet immédiat pour le rallier à l’argumentation de l’article, je ne vois pas à quoi ça sert? 
On est littéralement dans le “les gens qui ne pensent pas comme moi sont démoniaques croyez-moi sur parole j’ai pas l’intention de prouver ce que je dis”.  
"Starhawk et l’effacement complet des palestiniens” 
Là j’atteins le moment où je me roule par terre de rire. On parle de quelqu’un qui se définit comme sorcière néo-païenne. Soyons sérieux cinq minutes. J’attends l’avis des reptiliens illuminatis du FBI. Dans le même paragraphe elle tente de maladroitement prouver qu’Israël entreprend un génocide sur la population palestinienne... tout en admettant que c’est l’état hébreu qui fournit eau et électricité. En revanche elle ne précise pas qu’avant la guerre, bien des habitants de Gaza travaillaient sur le territoire d’Israël et que beaucoup d’entre eux s’y font soigner. Pas plus que Tsahal a passé plusieurs jours à essayer de convaincre les civils d’évacuer.  
La source c’est “trust me bro” et “y’a des gens qui sont d’accord avec moi”. OKAY. 
« Les mêmes éléments de langage repris ad nauseam »
Merde alors, et sans sources en plus ? Mais qui ferait un truc pareil. Hem. 
Là notre amie Mona découvre... La communication. De guerre. Le fait que les pays en guerre communique positivement sur les actions qu’ils entreprennent et essaient de convaincre de leur bien-fondé l’opinion internationale. Ah mais c’est du jamais vu. Personne n’a jamais fait un truc pareil. Ouh là là. (pardon je fatigue) 
(aussi, parenthèse professionnelle, déterminer des éléments de langage et les répéter c’est euh, la base de toute campagne de com, pas une preuve de démoniaquisme effréné) 
“La vision des Gazaouis en Occident, un “effet Homeland” 
Bon déjà c’est triste pour Mona parce que l’effet Homeland existe, mais ce n’est pas ça. C’est tout simplement l’engouement pour les séries d’espionnage après Homeland, avec plus ou moins de succès. Après, que les américains soient fans de filtre sépia et autres décors de studio dignes de Tintin au Pays de l’Or Noir, c’est pas exactement nouveau. 
Mona nous explique par la suite que les Occidentaux – cette masse informe -  se sentent plus proches des Israéliens parce qu’ils ont un mode de vie moderne. Basé sur quoi? Rien comme d’habitude, à part un exemple issu de cette fameuse série dont j’ai oublié l’existence depuis 2013, comme je suppose 90% de gens.  
“Si les Etats-Unis avaient forcé Israël à mettre fin à l’occupation il y a 30 ans” 
Mince alors moi je pensais que l’influence américaine était un problème, faudrait savoir. 
On repart sur la psycho de chez Lidl avec le fameux refoulé colonial qui ne sera jamais défini ou étayé et on enchaîne avec les US qui auraient dû “forcer” Israël à cesser l’occupation il y a 30 ans, soit en 1993. 
Du coup on ouvre un autre chapitre d’imprécisions historiques (encore une fois je suis polie) puisque Madame se réfère aux accords d’Oslo qui ont foiré, certes, mais par rejet des *deux* côtés de la barrière. Du côté palestinien parce qu’Arafat et consorts à l’époque ont clairement admis que si l’OLP avait le contrôle de la Cisjordanie, ce n’était qu’une étape avant la reconquête totale du territoire, enterrant de fait l’idée d’une future solution à deux Etats, et du côté israélien parce que la droite considérait que la “Judée-Samarie” conquise après la guerre des 6 jours, faisait de toute façon partie de l’Israël biblique et devait rester sous son contrôle. Le tout dans un contexte fait d’attentats et attaques diverses.  
On termine sur une nouvelle comparaison merdique, cette fois-ci avec les natifs américains, histoire d’ajouter encore une louche de chantage émotionnel sans rien étayer. 
Je conseille à l’autrice de faire ce qu’elle a l’habitude de faire : plagier un ouvrage ou un article écrit par quelqu’un de compétent, et y ajouter une anecdote perso sur sa copine Myrtille, sorcière technopagan, et de laisser la politique aux gens qui s’y connaissent un minimum, ou qui au moins essaient de lire des trucs avant d’écrire.  
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girafeduvexin · 7 months
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 53
Rapport téléphonique de Seb sur son WE de rando :
Il n'a pu approcher Nicolas seul à seul pendant les deux jours. Le samedi soir il avait le sentiment qu'une gène s'était installé entre eux. Mais le dimanche au moment de se séparer, il avait eu la bonne surprise de voir Nicolas venir vers lui et lui demander de rentrer par chez lui. Là ;, il lui expliqua qu'il avait eu l'impression que tous les autres n'arrêtaient pas de le regarder. Un peu de paranoïa, peut être que le 3ème partouzeur avait cherché des signes de complicité entre eux mais pas plus !
Cela ne l'avait que plus excité et il se rattrapa du WE sec cherchant lui même la bouche de Seb pour lui batailler sa langue, puis son sexe pour le téter. Seb excité lui rendit la pareille, un bon 69 entama les " hostilités ". Il fût content lorsque Nicolas lui demanda de l'enculer de nouveau et prit direct la position à 4 pattes. Seb lui prépara le trou au gel lubrifiant et quand il put y entrer 3 doigts, les remplaça par sa bite. Nicolas pourtant bien préparé, couina toute la progression de Seb dans son anus.
Comme ce dernier ne bougeait plus le temps que les muscles se fassent à l'écartement, Nicolas impatient se mit de lui même à bouger. Seb avait une vue imprenable sur le dos musclé de son copain et sur l'apparition de gouttelettes de sueur sur la surface de sa peau. N'y tenant plus, il le redressa, lui plaqua le dos sur son torse et tournant sa tête vint lui rouler un patin. Trop bon son pote ex hétéro mais bien viril.
Après avoir éjaculer presque ensemble Seb dans sa kpote et Nicolas sur le cuir du canapé, alors que l'excitation retombait, Seb demanda à Nicolas si il était intéressé par des expériences plus " radicales ". A la demande d'éclaircissement, il décrit touze entre mecs, WE non plus sport mais principalement sexe, pratiques plus hard, mecs bm... Un silence s'installa et il attendit au moins 10 mn avant que Nicolas accepte à condition de pouvoir se barrer s'il le désirait. Là au téléphone, ils attendaient la décision de Marc. A ses cotés, je le poussait à accepter proposant d'y aller doucement et dans un premier temps de les faire venir avec Bruno et Arnaud ou Igor et les jumeaux. Ce qui lui laisserait la possibilité de se tester comme actif entre eux, moi et Seb (3 ages et types de mecs différents).
La rencontre fut acceptée pour le WE suivant.
Jeudi dernier, j'avais de nouveau rendez vous avec la nouvelle meuf, Emma.
Je commençais la journée plus tôt pour pouvoir partir dès 15h. 15h30 j'ôtais mon casque et sonnais à la porte. Dès cette dernière refermée, elle me prenait le cou pour attirer mes lèvres sur les siennes. Je la pris dans mes bras et forçant avec la langue, lui roula une pelle. Je la plaquais au mur de l'entrée et continuant le baiser, me mis à la caresser par dessus sa robe légère. Mes mains sur ses seins alternaient pressions et rotations jusqu'à obtenir que ses tétons se dressent tout durs. Je descendais alors ma main droite sur sa cuisse et remontais doucement le bas de sa robe sur ses hanches. Au passage je remarquais l'absence de culotte ! Je m'écartais un peu de coté, plaquant ma bite raide sur sa cuisse gauche et dégageant l'accès à sa chatte pour ma main. Je plaquais ma main, couvrant entièrement la chatte comme une coquille. J'imprimais de courts mouvements de bas en haut et sentais les grandes lèvres se gonfler. Quittant sa bouche, je glissais alors à ses genoux et m'attaquais aux lèvres du bas jusqu'à dénicher le clito. Je l'aspirais, le faisais tourner sur ma langue. Au dessus j'entendais Emma haleter de plus en plus vite. J'enfonçais ma langue dans son vagin et reprenais l'excitation du clito. Je lui arrachais quelques minutes plus tard un premier orgasme. Je me relevais le nez et les lèvres pleins de sa lubrification et lui roulais une pelle. Je lui demandais l'autorisation de me doucher. Elle m'emmena dans sa chambre cette fois. Une grande chambre avec un lit immense et derrière la tête un panneau en verre dépoli masque la salle de bain. Je me mets nu devant elle. Elle m'aide à me glisser hors de ma combi en cuir. Je sentais ses mains me caresser de haut en bas au fur et à mesure de mon " épluchage ". Mon shorty et mes chaussettes sur le tas, je passais sous la douche (un espace délimité juste par deux verres verticaux sans porte).
Je me savonne vite fait et me détend sous l'eau tiède. Emma me rejoint nue. Elle me masse les épaules puis descend le long de la colonne vertébrale jusqu'aux fesses. Je m'appui sur le mur et savoure ce moment qui, bien que délassant, ne m'empêche pas de bander ferme. Alors qu'elle est à genoux derrière moi pour masser mes reins, je me tourne et lui présente ma bite, le gland à moitié découvert. Sans que j'ai eu à le lui dire, elle passe sa langue dessus, la léchant comme une glace, de bas en haut. Arrivée au gland, elle tire mon prépuce vers le bas et passe sa langue sous la couronne. C'est trop bon ! je lui prends la tête et l'enfonce sur ma bite. Sa langue ne cesse de tourner sur le gland et de l'exciter. La pression monte vite à ma grande surprise. Je lui relève la tête puis la relève complètement. Tout mouillés, je la pousse jusqu'au lit et la couche dessus.
Je l'embrasse puis descend sur ses seins. Je lui bouffe les tétons, suçant et mordillant jusqu'à ce qu'ils soient violacés et raides. Je descends le long de son corps et me ventouse à sa chatte. Direct j'écarte les grandes lèvres pour m'attaquer au clito. Elle mouille. J'ajoute un puis deux doigts dedans pour varier la stimulation. Je les enfonce, les tourne, les écarte. Mes efforts sont récompensés par un 2ème orgasme. Alors qu'elle en tremble encore, je ne lui laisse pas de répit et enkpoté, m'enfonce dans la chaleur moite de son vagin. Quelques va et vient pour m'installer complètement dedans et je la sens de nouveau monter en pression. Je lui relève les jambes, les plient sur sa poitrine et la fait basculer sur le coté. J'utilise quelques instants cette position puis la mets sur ses genoux. J'ajuste la hauteur de son trou en lui écartant les jambe et mes mains sur ses hanches, lui imprime un mouvement qui la fait se limer sur ma queue.
Quand elle recule d'elle même dessus, je fait glisser mes mains sur ses fesses pour les masser, écarter... je découvre un petit trou plissé qui n'a jamais du voir passer une bite. Comme elle est bien chaude et qu'elle " remercie " ma bite de lui faire autant de bien, je laisse tomber un peu de salive sur son anus. elle glisse jusqu'à sa chatte ajoutant à sa lubrification naturelle. Je recommence et en même temps approche mes pouces de la porte arrière. J'en pose un dessus et commence doucement à pousser ma salive dedans. Elle me laisse faire. J'insiste en ajoutant de la salive. Bientôt, j'arrive à lui entrer la première phalange du pouce. Toujours pas de protestations, je continu et y met le doigt entier dedans. Quand elle serre son vagin sur ma bite, mon pouce se trouve pris dans l'étau de son anus. Je libère ce petit trou et la reprend aux hanches pour moduler la pénétration.
J'alterne de grandes saillies à faire buter mes 20cm sur le fond à de courtes pénétration usant de mon gland sur les 5/6 premiers cm, le sortant pour jouer avec sur son clitoris. Les effets obtenus varient et je nous achève en de grandes pénétrations où je sort totalement pour re rentrer alors qu'elle contracte son vagin, ce qui me fait forcer l'entrée, pour son plus grand plaisir. un bon moment de ce traitement et je jute dans la kpote, enfoncé au plus profond de sa chatte la bite serrée par les contractions internes de son orgasme.
Je l'écrase sur le matelas et glisse sur son coté. Je dékpote et la jette dans un cendrier sur la table de nuit et me mets sur le dos. Elle rampe sur mon torse et vient m'embrasser longuement. Je lui caresse le bas des reins. Elle chevauche ma cuisse et se masse elle même le clito dessus. Un frisson la parcoure et elle serre ma jambe entre les siennes.
Nous restons bien 1/5 heure sans bouger, repus de sexe. Je finis par me lever et me laver. Quand je repasse dans la chambre elle est toujours sur le lit à poil. Elle est vraiment bien foutu pour son age ! Elle me tend mon enveloppe et me demande de prendre la montre qui me plait dans toutes celle qu il y a sur une des commodes de la chambre. elle avait remarqué ma Tag. Je la remerciais et triant parmi la 30aine de montres, opta pour une grosse montre en or blanc, avec un cadran entouré d'un anneau de verre ou glissent de nombreux petits diamants roses. Peut être ferais je efféminé lorsque je la porterais, mais mon physique mâle compensera l'effet rendu. Je n'hésitais pas longtemps avant de la lui demander. Elle apprécia mon choix car c'était une de ses préférées. Je lui proposais d'en choisir une autre mais elle me dit que non, ça lui faisait plaisir. Je mettais ma Tag dans une poche pour pouvoir étrenner mon nouveau cadeau. Avec le cuir de la combi, l'effet était saisissant, difficile de faire plus éloigner l'un de l'autre comme style. Tout à fait moi !
Je lui donnais rendez vous pour la semaine suivante et rentrais à la maison pour montrer à Marc mon nouveau jouet.
Mon cadeau me valu d'être traité de " pute " ! Illogique, c'est quand je me fais payer en liquide que je suis une pute pas quand on m'offre un cadeau ! En attendant, ça ne lui fait pas tomber l'excitation et je me suis fait doser comme une vrai salope, nu avec ma nouvelle montre au poignet. J'adore quand Marc m'encule alors qu'il est animé d'un peu de jalousie. Il y va plus fort et j'aime trop ça. Ça me fait penser qu'il tient peu être plus à moi qu'il ne me le dit. J'aime cette idée !
JARDINIER
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raisongardee · 1 year
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“On ne peut toutefois saisir pleinement les enjeux de cette américanisation mentale continue de la gauche, sans prendre d’abord appui sur l’analyse par Orwell du délire idéologique stalinien. A ses yeux, en effet, ce dernier trouvait son origine première dans l’essor massif, depuis la fin du XIXe siècle, de ces nouvelles classes moyennes urbaines (et donc de l’intelligentsia qui leur est liée) chargées d’encadrer les progrès du capitalisme sur le plan technique, managérial et culturel. Soit, en gros, ce qu’André Gorz appelait les "agents dominés de la domination" et Bourdieu "la fraction dominée de la classe dominante". Or, cette nouvelle intelligentsia dominée/dominante allait très vite comprendre que les partis ouvriers offraient un tremplin idéal à son "désir secret de tenir le fouet" (Orwell) et de devenir calife à la place du calife […] Or, peut-on dire, de ce point de vue, que les choses aient radicalement changé depuis l’époque où Orwell développait cette analyse ? Oui et non. Oui, bien sûr, puisque la gauche mitterrandienne a fini par faire sienne la thèse que soutenait Foucault dès 1977 selon laquelle "tout ce que la tradition socialiste a produit dans l’histoire est à condamner". Non, en revanche, si l’on s’en tient à la description donnée par Orwell, dans 1984, de la caste dirigeante d’Oceania ("elle était surtout composée de bureaucrates, de techniciens, de leaders syndicaux, d’experts en publicité, de sociologues, d’enseignants et de politiciens de métier"). Elle anticipe en effet de façon troublante la composition sociologique actuelle du noyau dirigeant de presque tous les partis de gauche. A ceci près que, dans l’intervalle, ces partis ont aussi perdu – métropolisation oblige – l’essentiel de leur base militante populaire. Et avec elle, ce minimum de bon sens qu’imposait encore aux intellectuels middle-class de l’époque stalinienne, le fait de conserver un lien avec le monde des travailleurs. Or, si le ressort ultime du délire idéologique n’est pas tant le projet socialiste en lui-même que sa confiscation par une intelligentsia dominée/dominante dont le "progressisme" spontané masque, en réalité, la volonté de puissance et le désir de régenter en totalité la vie des autres, on s’étonnera donc moins qu’une gauche réconciliée avec le libéralisme et plus "gentrifiée" que jamais soit devenue de nos jours aussi perméable au "wokisme".”
Jean-Claude Michéa, « L’écologie politique est-elle en pleine déconstruction ? », in La Décroissance, n° 197, mars 2023.
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claudehenrion · 3 months
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Au programme : aveuglement et autres stupidités...
Avec le temps qui passe, on se demande en permanence comment font nos ''Lumières'' --ces lumignons éteints, au pouvoir-- pour être si aveugles, si bornés, si incapables d'apprendre de la vie –et de leurs échecs... Ils disent ''nous prendre en charge'' mais ''se déchargent'' aussitôt ! Ils croient nous diriger, mais ils ne font que nous précipiter dans des abîmes qui pouvaient tous être facilement évités. C'est simple : ils ne comprennent rien ! Parmi tous leurs aveuglements, l'islam est sans doute un de leurs plus beaux (?) échecs...
Car nos irresponsables-aux-manettes n'entendent rien, ne voient rien, ne remettent jamais tel ou tel épisode dans son contexte du moment ou dans un cadre plus général... Quoi que fassent leurs (donc : nos ?) ennemis-adversaires déclarés, quoi qu'il disent, qui que ces fous furieux assassinent, quelque revendication absurde qu'ils émettent... tout semble se passer comme si... il ne se passait rien –alors que, pour eux, pas de doute : ils revendiquent être en guerre, i.e. le Djihad. Et mieux ou pire que ça, les plus atteints d'entre eux nous expliquent que c'est nous qui avons l'esprit mal tourné et nous qui voyons des agressions partout, alors que tout va pour le mieux possible dans le Landerneau de leur myopie mortifère caricaturale.
Un point m'a toujours fasciné, mais l'âge venant, il m'atterre : notre civilisation occidentale est si profondément marquée par le christianisme que tant ceux qui s'en sont peu à peu écartés (par paresse, le plus souvent : ''c'est ch... disent-ils, de se soumettre à des règles, même bonnes !'') que ceux qui l'ont rejeté au nom de leur intelligence –proclamée par eux seuls-- et/ou de leur liberté (cf. le prétentieux ''ni dieu, ni maître '' de ceux qui courent ensuite lire leur horoscope ou acheter un billet de loterie le vendredi 13 !)... ne se rendent même plus compte du degré auquel leur représentation mentale et leur lecture du monde sont influencées par un vocabulaire et une conception du monde qui sont de purs produits de la seule chrétienté..
Ce phénomène est particulièrement visible dès qu'il s'agit d'islam... où 99 % de nos contemporains sont incapables de voir autre chose qu'un ''christianisme autrement'' et sont capables de proférer sans mourir de honte des énormités telles que : ''L'islam, une religion d'amour et de paix ''... ou ''Le carême ? Un ramadan chrétien''... voire, plus énorme encore, ''Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même...'' etc... Tout se passe comme si nos nuls-au-pouvoir étaient incapables de se représenter une ''religion'' autrement que comme une espèce de démocratie chrétienne ''soft''... ce qu'est devenu, le plus souvent, le christianisme en Europe (mais pas ailleurs, Dieu merci !). Ils croient possible une sorte d' ''islamo-démocratie'', ce qui ne peut même pas se concevoir. C'est une énorme erreur de jugement qui, à force d'être répétée sans cesse, est désormais ressentie par beaucoup comme une vérité systémique qui s'imposerait au réel (attitude typique d'une pensée ''à Gauche''!).
La vérité est, évidemment, diamétralement à l'opposé : ce que rejette (et de plus en plus) l'islam moderne, c'est précisément ce vers quoi nos cuistres espèrent l'attirer : les lamentables critères amoraux de nos politicards, qui nous mènent vers un vide abyssal... vers lequel nous sommes, hélas, déjà en route. Il suffit de se souvenir que la tendance la plus radicale de tous les mouvements anti-occidentaux s'est baptisée elle-même ''Boko-Haram'' (qui veut dire : ''Ce qui est contenu dans les livres –books en anglais, déformé en ''Boko''-- est ''Haram'' (= interdit par Allah, bien plus fort que notre mot ''péché'' : l'idée-même n'en est pas admissible, contenu et contenant) !
J'ai longuement raconté ici-même, en leur temps, les fausses interprétations des ''printemps arabes'' où nos reporters, ivres d'un soi-disant ''esprit de liberté'' qui soufflait –à les en croire-- sur les terres d'islam, étaient incapables d'entendre ce que moi, arabophone, j'entendais : uniquement des cris de haine contre l'Occident qui sortaient de ces foules électrisées... qui allaient bientôt se répandre sur le monde alors dit ''libre'' et nous envoyer des armées plus ou moins secrètes de terroristes en puissance et de criminels en sommeil... L'indiférence savamment entretenue des français pour la religion, d'une part, et l'incapacité chronique des américains à comprendre ce qui n'est pas ''eux'', d'autre part, jouent évidemment un rôle d'accélérateur dans cette évolution mortelle.
Le bras militant de cette nouvelle tendance de l'islam, la confrérie des frères musulmans, est une caricature de tout ce que nient nos lumières éteintes : la notion-même de démocratie lui est intolérable. Quant à la littérature produite en Occident sur tout ce qui touche à l'islam (que nos intellos persistent à couper en ''leurs bons'' et ''leurs méchants'' musulmans, sur des critères non-pertinents, non-écrits et connus d'eux seuls !), elle est énorme en quantité et affligeante en qualité, allant jusqu'à confondre ''frérisme'' et ''salafisme''. (NDLR - le distingo obligatoire entre islam et islamisme, à la mode dans nos ministères hollando-macronistes et dans les salles de rédaction-toutes-à-gauche, est une invention de l'Occident et de lui seul : la langue arabe ne dispose que d'un seul mot : ''islamiyi'' qui recouvre l'islam et l'islamisme –qui sont une seule et même chose, pour les musulmans. Cette grossière erreur risque fort de nous être fatale !).
Quant aux réflexions des universitaires (tous ''de Gauche'', aussi, ceci expliquant cela !), elles semblent s'être arrêtées avec l'apparition (relativement récente) d'un islam-en-guerre qui est surtout le fait des plus jeunes générations, elles-mêmes fruit d'un matraquage anti-valeurs occidentales par les ''frères'' et –n'oublions pas cette source importante de tous nos malheurs-- de notre propre masochisme qui revendique tous les péchés du monde et qui renie notre Histoire et notre passé –sans lesquels pas un seul de nos adversaires ne serait en mesure d'émettre une seule de leurs idées --qui rendent le monde de plus en plus invivable. (NB : eux, savent ce qu'ils veulent. Nous, nions'' le réel' , en vrac, ''quel qu'en soit le prix''! Folie des hommes ! ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde'', disait Camus. Mais ''ne même pas oser les nommer'' est bien pire !).
Tout le vilain petit monde qui gravite à nos frais et aux dépens de la pauvre France met un ''point d'honneur'' (enfin... Disons : ''un point'' !) à oublier le ''Rapport Aubin'' (18 mai 2021) --du nom d'un ancien inspecteur général de l'Education nationale-- qui visait à ''promouvoir et harmoniser la formation du personnel à la laïcité, dans le cadre de la lutte contre le séparatisme''. On y trouve des pépites telles que ''Des forces sont à l'œuvre pour imposer un modèle de société qui n'est pas le nôtre''... ou encore : ''Il n'y a pas eu de complicité officielle, à l'échelle de l'État, mais une forme de passivité''. Et la conclusion est : ''Dans certains quartiers, les élèves sont incités à se méfier de tout ce que disent les professeurs : ce doit être d'abord un objet de suspicion –comme ce qu'ils trouvent dans leur assiette, à la cantine) : les élèves doivent trier les textes étudiés à la lumière (sic !) de critères religieux, entre ''hallal'' (= autorisés) et ''haram'' (= interdits, maudits)''. Quand je vous parlais, plus haut, de ''Boko haram'' : pas besoin d'aller bien loin pour le trouver !
Le plus grave dans ce tableau (NDLR - qui n'est pas exagéré : j'attends toujours un seul argument sérieux qui me clouerait le bec), c'est que nulle part on ne voit poindre le moindre espoir que nos (et surtout ''leurs'') yeux ne s'ouvrent avant qu'il ne soit trop tard : notre univers se délite, notre modèle est refusé, nos références rejetées, et nos idées moquées et nos populations parfois terrorisées –souvent, il faut le dire, avec juste raison, tant nous nous sommes mis à ''déconner à pleins tubes''. Mais nous sommes sourds et aveugles (à défaut d'être muets) et nous continuons à soutenir des idées stupides que les 4/5 èmes de l'humanité rejettent comme absurdes –ce qu'elles sont souvent (ex. : tout ce qui touche aux minorités, aux sexes et aux genres, aux valeurs, au secteur dit ''sociétal'' –en réalité : mortifère-- et à nos libertés, en voie de confiscation massive). Il devient urgent d'arrêter ce petit jeu ''à qui perd, perd'' avant qu'il ne soit trop tard...
H-Cl.
PS : ''Errare ordinateur est''... Pour une fois, la procédure ''enregistrement préalable'' est devenue folle, et a publié un ''édito'' un samedi pour le dimanche... ce qui ne fait pas partie du ''cahier des charges''. Pardon a ceux qui, punis, ont lu deux fois le même texte. Je m'en suis rendu compte trop tard pour réagir, et j'ai dû… laisser ''Tumblr'', si vous me permettez ce mauvais jeu de mots.
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aurevoirmonty · 11 months
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Slovénie. Tanja Brkić : « Le wokisme se cache derrière un masque “bienveillant” mais représente le mal. Un mal qui doit être détruit » [Interview]
Tanja Brkić est journaliste à la chaîne Nova24tv, titulaire d’un master en organisation des ressources humaines et forte de plusieurs années d’expérience dans diverses professions, principalement dans les médias. D’après ses interventions dans différents médias, elle est la voix la plus combative contre l’agenda woke en Slovénie.
Notre confrère Álvaro Peñas (deliberatio.eu) l’a interrogée.
En Espagne, le parti d’extrême gauche Podemos a fait adopter une loi controversée sur les transgenres, ainsi que des lois radicales sur le féminisme et les droits des animaux. En Slovénie, un parti très similaire, Levica (La Gauche), est au gouvernement : Levica est-il la force motrice du wokisme en Slovénie ?
Tanja Brkić : Lorsque je regarde la situation actuelle de l’espace politique en Slovénie, je peux affirmer que le marxisme culturel n’est pas un simple mythe. Même s’il n’est pas évident pour le profane que la gauche est derrière tout cela, il y a des faits qui montrent clairement la responsabilité de la gauche et des activistes de gauche dans l’effondrement du système. Il est difficile de blâmer un seul parti, alors que pratiquement tous les partis de gauche naviguent dans la même direction, et en outre, les ONG ont beaucoup de pouvoir en Slovénie. Il leur est donc facile de tromper le citoyen moyen qui suit objectivement la vie sociale et politique du pays, car les grandes décisions ne viennent pas forcément des partis politiques en eux mêmes.
L’indépendance des ONG est discutable lorsqu’elles sont principalement dirigées par des activistes de gauche.
Tanja Brkić : Oui, c’est le cas. Prenons par exemple l’une des organisations les plus en vue, l’Institut du 8 mars. Il s’agit d’une équipe de jeunes gens qui a jusqu’à présent activement promu les idées des partis de gauche et leurs intérêts, mais peu de gens savent que le fondateur de cette organisation non gouvernementale est un membre du parti Levica, Simon Maljevac, qui est également ministre de l’Avenir solidaire (ministère nouvellement créé).
Il est également l’éditeur de la publication Legebitra, qui est un matériel LGBTQ visible destiné à l’endoctrinement des jeunes. L’actuel directeur de l’Institut est un ancien membre de la gauche, mais aujourd’hui un ardent activiste, Nika Kovač, qui a activement participé avec la communauté LGBTQ à la campagne pour l’adoption d’un nouveau code de la famille qui détruit la famille traditionnelle (Les amendements au code de la famille, selon lesquels le mariage est une union de vie de deux personnes et qui permettent également à un couple de même sexe d’adopter un enfant, sont entrés en vigueur en janvier 2023).
Nika Kovač ne nie pas qu’elle est également financée par l’étranger. L’Institut du 8 mars n’est pas le seul, car il est connu que les organisations non gouvernementales slovènes de gauche sont financées par diverses fondations étrangères, qui sont également les principaux financiers des groupes de gauche dans les différents pays. Par exemple, le président de l’Assemblée nationale, Urška Klakočar Zupančič, a reçu une bourse de l’Open Society de George Soros. Pour en revenir à Kovač, et en laissant de côté le fait qu’elle est née avec une cuillère en or dans la bouche et qu’elle fait partie de l’élite privilégiée, elle a été l’une des boursières du programme de Barack Obama et est également devenue récemment la chef du conseil stratégique pour la poursuite des discours de haine, où elle a présenté des recommandations au gouvernement, qui sont pratiquement des instructions pour la censure et une demande de financement systémique.
C’est exactement ce que je dénonce depuis longtemps qui se produit sous le gouvernement actuel.
Le gouvernement slovène, dont le principal partenaire est le Mouvement pour la liberté de Robert Golob, un libéral, est donc totalement dévoué aux politiques de la gauche.
Tanja Brkić : Oui, depuis l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement, il est clair que l’accord de coalition est en fait un accord soumis à l’application du programme du parti Levica. Le gouvernement Golob est composé exactement de partis favorables au wokisme, qui sont unis en termes d’idéologie du genre et de changement climatique. Dans l’ensemble, il semble que le premier ministre ne soit qu’une marionnette qui n’apparaît devant les médias que lorsqu’il a besoin d’être félicité, alors qu’il ne répond pas souvent aux critiques, presque jamais, et que lorsqu’il le fait, il fait des promesses qu’il ne tient pas. Par ailleurs, les activistes de gauche ont été la principale raison pour laquelle le premier ministre est arrivé au pouvoir en premier lieu, alors maintenant il leur fait un clin d’œil dans tout, ce qui est prouvé par le fait que les représentants des ONG écrivent des lois pour lui, qui sont ensuite adoptées. Nous l’avons vu dans le cas de l’amendement à la loi sur la télévision publique, lorsqu’il s’est avéré que le projet de loi avait été rédigé par une ONG, et c’est maintenant également le cas dans le cadre de la poursuite des discours de haine, où le représentant d’une ONG a de nouveau le dernier mot.
Ce que font la gauche et ses membres est pervers, et j’irai même plus loin, diabolique selon la définition qu’en fait l’archevêque Fulton J. Sheen, qui a expliqué qu’il y a trois signes particulièrement « diaboliques » et qu’ils sont tous présents dans le fonctionnement de la gauche. Le premier est l’obsession pour la nudité, dans le sens où la gauche, sous le nouveau gouvernement, veut “sexualiser la société”, en particulier avec ces idées confuses sur une idéologie de genre fictive qui ne fait qu’embrouiller les enfants. La deuxième chose est la violence, notamment dans le sens de rejeter la responsabilité sur les autres, comme ils l’ont fait sous le gouvernement de Janez Janša en le rendant responsable de tout, et la troisième chose est la division parce qu’ils veulent diviser les enfants dès leur plus jeune âge en utilisant le genre. Les écoles deviennent un laboratoire social de gauche, où les enfants sont endoctrinés moralement, et Nika Kovač est un exemple pour les jeunes d’aujourd’hui.
Vous avez évoqué le changement climatique, quelle est la position du gouvernement slovène ?
Tanja Brkić : Tous les partis de la coalition sont d’accord sur le changement climatique et la crise climatique. Levica préférerait que les gens abandonnent les transports et roulent à vélo, mais dans le même temps, nous assistons à une centralisation autoritaire, tandis que les habitants des villes environnantes et d’autres régions sont ignorés. Il y a quelque temps, le Premier ministre a parlé de limiter la quantité de viande, comme en Allemagne, en disant que c’était pour le bien de la nature, mais d’un autre côté, il est l’ami du maire de Ljubljana, qui est littéralement en train de construire un réseau d’égouts à travers le captage d’eau potable. Il convient de noter que ni le premier ministre ni le ministre chargé de l’environnement ne condamnent cette situation. Au contraire, ils y participent tous et s’excusent de ne rien pouvoir faire.
Quel est le rôle de l’Eglise slovène face à cette offensive des Woke ?
Tanja Brkić : L’Église est opposée aux idées du wokisme, mais, à mon avis, sa voix est absolument sous-estimée. Je pense qu’elle aurait dû se faire entendre le plus fort au moment de la modification du code de la famille, car la famille n’est rien d’autre que l’institution fondamentale de la société, qui a été établie par Dieu.
Pensez-vous que les Slovènes sont conscients de ce que signifie l’idéologie du genre ?
Tanja Brkić : Non, je pense honnêtement qu’en Slovénie, ils ne sont pas conscients de ce que cela signifie exactement et des conséquences de cette idéologie néfaste. À mon avis, la plupart des gens ne s’en préoccupent même pas ou l’ignorent tout simplement en pensant que “ce n’est pas leur affaire”. Comme pour toutes les autres questions sociopolitiques. Nous devons être conscients que la Slovénie compte une large population de personnes âgées qui ont une identité solidement construite, alors que les jeunes sont de plus en plus soumis à l’idéologie de la guerre, la contagion sociale à travers les réseaux sociaux étant la principale raison de ce phénomène. Le plus triste, c’est que tout cela – à la fois le wokisme et le marxisme culturel – se déroule sous nos yeux et que les conséquences seront dévastatrices pour les générations futures dont l’identité, en tant que nation, est également menacée.
Je pense que beaucoup de choses ont changé au cours de l’année écoulée, depuis l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement. Dans le mauvais sens du terme. Les idéologies LGBTQ sont imposées, les ministres accrochent des drapeaux arc-en-ciel devant les ministères (ce qui, à la base, ne représente pas l’égalité et l’inclusion, mais un programme politique), les médias dissidents sont persécutés, les migrants sont accueillis en grand nombre et les citoyens sont oubliés. Ils affirment que “l’acceptation, l’inclusion et l’égalité” constituent un progrès, même progressif, mais il s’agit d’un retard total. Comme je l’ai dit, leur objectif est de dévaloriser la société, l’homme et son humanité. La destruction des fondements tels que la religion, la famille, le patriotisme et, en fin de compte, l’État légal et démocratique. Que reste-t-il à l’homme lorsqu’il perd son identité, sa conscience, sa personnalité, l’importance des valeurs fondamentales et la possibilité de discuter ? Il devient un numéro, une personne, un moins que rien, pour qui seule son existence suffit parce qu’elle représente le potentiel d’exploitation de quelques privilégiés.
Il y a quelques mois, le journaliste Joze Biscak a été pointé du doigt et condamné pour avoir publié un article satirique sur l’immigration clandestine. La cancel culture est-elle répandue en Slovénie ?
Tanja Brkić : La cancel culture est devenue une réalité en Slovénie également, même si elle n’est pas encore aussi prononcée, mais elle se développe. Ce qui n’est pas surprenant, puisque nous nous demandons depuis peu si Twitter sera autorisé en Europe, depuis qu’Elon Musk a décidé de ne pas suivre leur directive ou leur censure. Et compte tenu du fait bien connu que les mondialistes de gauche influencent la majorité du Parlement européen, qui à son tour influence les décisions de tous les autres gouvernements de l’Union européenne, ce n’est qu’une question de temps avant que cette influence ne se fasse sentir encore plus fortement dans notre pays. Permettez-moi de vous rappeler que les gauchistes slovènes ont reçu le soutien total (bien qu’officieux mais évident) de la vice-présidente européenne Vera Jourova lorsque la gauche slovène a tenté de prendre le contrôle de la télévision publique. Il s’agit d’un sujet extrêmement vaste et discutable, mais le wokisme se cache derrière un masque “bienveillant” mais représente le mal. Un mal qui doit être détruit.
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yespat49 · 4 months
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Quand Emile Combes assassinait la Liberté d’opinion
Cette circulaire du 20 juin 1902 qui s’assoit sur la Liberté d’opinion, que nous publions in extenso, est le premier épisode de ce qui sera un des plus grands scandales de la République radicale-socialiste : L’Affaire des Fiches. Elle montre comment la Gauche du début du vingtième Siècle se joua de cette grande idée de “LIBERTÉ” inscrite aux frontispices de tous nos monuments publics. Les…
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Collabos et impuissants, main dans la main
Si on avait encore des doutes sur l’islamo-gauchisme de la gauche radicale, nous voilà rassurés ! Par Claude Picard Restez informés, abonnez-vous à Semaine du MENSONGE au tarif préférentiel exceptionnel de : 1,50 € par mois pendant un an Abonnement annuel à Semaine du MENSONGE à 1,50 € par mois Cliquer ICI Collabos et impuissants, main dans la main Il n’est pas nécessaire d’être un expert en…
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Le 7 octobre comme non-événement pour la gauche radicale occidentale - K. Les Juifs, l’Europe, le XXIe siècle
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mmepastel · 8 months
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Coup de cœur pour un parfum ! Ça faisait longtemps !
J’ai commandé quelques échantillons généreux sur la boutique de la maison Jardins d’écrivains (ô surprise, ça m’attirait !), et dans cette maison de parfumerie fondée par Anaïs Biguine, la branche qui m’intéressait davantage était celle nommée Chapel Factory, pour son côté mystique et l’échantillon de L’eau d’épine que j’avais pu sentir grâce à la box de Au Parfum (et qui est vraiment original et beau). Je trouve cette marque extrêmement cohérente et attirante : une sorte de recherche autour de l’ingrédient phare et central, l’encens. Que j’ai toujours aimé. Il se décline ici en plusieurs fragrances originales et assez radicales. La maison propose des bougies, des compositions à brûler, comme pour une cérémonie sacrée mystérieuse.
Ermit Coat est le plus osé : il sent la fumée, le brûlé, il est austère comme il se doit, et vieillit bien sûr ma main. Il évoque vaguement Serge Noire de Lutens que j’ai tant aimé avant qu’il ne devienne un parfum inabordable, mais il n’en a pas la richesse.
Heresy est très intéressant, avec des notes poivrées, et un soupçon de vétiver.
Baptisma est plus souriant, avec pourtant trop de verveine et un côté un peu synthétique qui m’a déplu.
J’ai été très séduite par Pura Lux, sans doute grâce au jasmin et au musc, je l’ai en effet trouvé lumineux, assez addictif sur mon biceps droit.
Mais le coup de foudre, je l’ai eu sur mon dernier essai, biceps gauche, le dernier né de la marque : Oud Pagode. Les ingrédients sont notés ci-dessus. Ceux que je sens réellement sont le thé noir, la poudre de riz, le musc et la fumée. Je sens bien du bois, mais que ce soit de l’oud ou du bois de cachemire, je veux bien le croire, sans les identifier. En tous cas, ce que j’aime, c’est que cet oud, normalement associé en parfumerie à de l’opulence orientale est ici subtil et tiré vers le zen : il est doux comme une caresse, accompagné de notes qui le situent en parfait équilibre entre amertume (celle du thé) et sucre (le riz ? Le bois ?), honnêtement je ne sais pas ce qui en fait la magie, mais c’est un parfum complètement addictif, qui a même quelque chose de régressif pour moi, comme si il me rappelait quelque chose de l’enfance, quelque chose d’évident, de déjà su. Un haïku ? Ce serait facile comme image ; et pourtant, il y a un peu de ça, comme une fausse simplicité, ce n’est pas un parfum qui déploie des milliards de facettes, il est assez linéaire, mais il active en mon cerveau les bonnes touches. J’ai juste envie de plonger mon nez dedans et de me rouler en boule dans des draps blancs, dans un silence peut-être juste troublé par une cloche lointaine. Je ne sais pas si c’est un effet souhaitable, mais en ces temps perturbés, peut-on m’en vouloir de souhaiter la paix, au moins intérieure ?
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jloisse · 1 year
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🇫🇷 Plan de Donald Trump pour l'Éducation :
protéger les étudiants de la Gauche radicale et des fanatiques marxistes qui infectent les établissements d'enseignement.
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albad · 1 year
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SCHIAPPA A PROFITÉ DE L'ASSASSINAT DE SAMUEL PATY POUR DÉTOURNER DES FONDS POUR DES VIDÉOS DE PROPAGANDE
- On vous résume cette affaire scandaleuse en 5 points -
16 octobre 2020. Un professeur d'histoire, Samuel Paty, est atrocement assassiné à la sortie du collège où il enseigne par un islamiste de 18 ans. Alors qu'elles ont été incapables de protéger l'enseignant, visé par des menaces depuis des semaines, les autorités s'empare de l'attentat pour dissoudre plusieurs associations musulmanes et durcir leur ligne autoritaire.
➡️Suite à cet assassinat, la ministre Marlène Schiappa lève 2,5 millions d'euros contre le cyber-djihadisme : le «fonds Marianne». Elle attribue plus de 300.000 euros à un de ses amis, Mohamed Sifaoui, proche de Manuel Valls et obsédé par l'islam, afin qu'il produise des vidéos sur les réseaux sociaux. Le travail est quasiment inexistant à ce jour.
➡️300.000 euros sont offerts à une autre structure dont les statuts ont été déposés 9 jours après la mort de Samuel Paty. Elle venait d’être créée, n'avait aucune activité connue, et est proche du Printemps Républicain. Un groupuscule obsessionnel à l'égard l'islam, proche de la droite radicale, et lié à Macron. Au moment de la distribution des fonds, cette structure n'a même pas encore de site internet.
➡️En fait de contenus contre la «radicalisation», cette association va produire des vidéos sur Youtube destinées à salir l'opposition de gauche, en pleine campagne présidentielle. Reprenant les propos de Manuel Valls sur «l’islamo-gauchisme», une intervenante évoque «un mélange des genres entre militants de gauche et militants disons teintés d’une religion ou vraiment militants islamistes». D'autres vidéos ont pour thème : «Sandrine Rousseau est-elle une représentante de la culture woke ?», «Décryptage du “mouvement décolonial”» ou du «discours de Rokhaya Diallo sur le privilège blanc»...
➡️Dans ces vidéos, le champ politique est divisé entre le camp «de la raison», le parti La République en marche (LREM) d’Emmanuel Macron, et les «extrémistes ». Mélenchon est accusé de côtoyer «les décolonialistes, le parti des indigènes de la République». «Toute cette sphère-là, qui est extrémiste, très dangereuse, il ne s’en distingue pas, limite il va reprendre leur thèse par subtils passages». Dans une vidéo, il est dit «je trouve ça anormal qu’un Mélenchon puisse citer comme il veut Trotski qui est quand même le plus grand inspirateur des camps nazis.» Ces vidéos n'auront été diffusées que pendant la campagne électorale de 2022, l'association a aujourd'hui disparu du net.
Pendant que des centaines de milliers d'euros levés après un attentat sont offerts aux copains d'une ministres pour répandre des fake news et du racisme, des gens vont en prison pour du vol à l'étalage.
➡️Avril 2023 : quelques jours avant que ce scandale de détournement de fonds publics suite à un attentat ne soit révélé, Marlène Schiappa organise dans le magasine érotique Playboy un shooting aussi laid que ridicule pour faire diversion, et se décrire comme une femme libérée. Dans les mêmes pages on y trouve des interviews de Gilbert Collard, de Jawad Bendaoud ou encore d'Ivan Rioufol, du beau monde réactionnaire pour un torchon sexiste. Ces gens ne nous épargneront rien.
---
L'enquête complète de Médiapart : https://www.mediapart.fr/journal/france/120423/le-fonds-marianne-de-schiappa-finance-des-contenus-politiques-en-periode-electorale?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
Contre Attaque
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duxvonzazer · 6 months
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Il me faut avertir les lecteurs. Vous êtes en présence d’une œuvre rare qui laissera une trace indélébile. Peu d’œuvres ont un véritable impact sur le monde. Je crois que celle-ci en aura un. Je crois même qu’elle en a déjà un.
Comment s’en rendre compte ? C’est que Mencius Moldbug, Curtis Yarvin de son vrai nom, ne se contente pas d’exposer des idées d’un état du monde idéal, il donne une solution clef en main pour parvenir à installer ce changement.
Il identifie méthodiquement les problèmes sous-jacents et propose un plan détaillé pour les réparer. Quels sont ces problèmes ? La Structure Moderne reposant sur la bureaucratie scientifique, la religion moderne descendant du protestantisme principal et la démocratie.
Ces trois entités forment ensemble un monstre lovecraftien qui nous enfonce petit à petit dans le chaos. Cthulhu nage lentement, mais il nage toujours vers la gauche. Et la gauche n’est ni plus ni moins que l’entropie, le chaos. Année après année, il déploie ses tentacules. Il distribue le pouvoir encore et encore. Il le dilue.
Comment enrayer sa course ? Concentrer le pouvoir dans les mains d’une seule personne, un Roi. La solution est donc la restauration. Plus facile à dire qu’à faire. Les Révolutions ont réussi, car elles reposaient sur des moyens de faire émerger et distribuer la vérité de façon plus efficace que l’Église, les universités et la presse libre. Une réaction réussie devra, elle, trouver un moyen plus efficace que les universités et les médias actuels que Yarvin nomme la Cathédrale.
Difficile mais pas impossible, car l’aspect religieux de la Structure Moderne lui confère des œillères sur certains sujets. Yarvin en décortique trois,
le RCA (Réchauffement Climatique Anthropique), la KFM (Keynes- Fisher Macroéconomie) et la HNU (Humanité Neurologiquement Uniforme). Notre système bancaire a échoué, notre façon de produire de la connaissance est inefficace. Seul un reboot peut réparer ce problème, mais seul un pouvoir fort et concentré peut effectuer un reboot.
La première étape est alors de créer une Antiversité qui aura raison sur ces sujets clefs et bien d’autres. L’Antiversité doit devenir une institution prestigieuse en laquelle les gens ont confiance. Il me semble alors opportun d’envisager le rachat de Twitter par Elon Musk et sa quête d'en faire la source d’information la plus fiable au monde comme une action d’un Néoréactionnaire qui s’affiche de plus en plus ouvertement.
Que dire du Manifeste Techno-Optimiste de Marc Andreessen qui, s’il ne cite pas Yarvin directement, prend le soin de recommander Nick Land qui a joué le rôle d’exégète de Yarvin et a complété l’oeuvre par son Dark Enlightenment ? Si le texte ne s’affirme pas appartenant à la NRx, il en partage les stigmates.
Alors quelle est cette pensée radicalement nouvelle que l’élite de la Silicon Valley se partage sous le manteau ? À vous de le découvrir, si vous le souhaitez vraiment. Pilule rouge ou pilule blue ?
NIMH, 2023
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