Tumgik
#eric frein
homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 141
J'ai attendu le premier dimanche où Marc était là pour offrir le GSXR à Eric.
Nous l'avons invité pour déjeuner. Il est arrivé vers les 12h 30. Toujours le même, dans son cuir tanné par l'usage. Bisous d'accueil, il me pelote le cul. Au milieu de l'apéro, après avoir amené le besoin d'aller voir mon R1, nous avons traversé la cour. J'ouvre une des portes du garage en grand et il tombe sur l'énorme paquet cadeau rose vif. En souriant il se retourne vers nous et me demande si c'est ma dernière folie.
J'opine de la tête mais lui dis que c'est pour lui. Il met quelques instants à percuter. Je le pousse vers le colis. Il comprend alors que je suis sérieux. J'ajoute que c'est un petit remerciement pour tous les bons services qu'il m'a rendu. Il me dit n'avoir rien fait pour cela, de pouvoir me sauter était déjà un cadeau. Je le pousse encore, il s'aperçoit que l'emballage est juste posé sur le sol. Il le soulève et n'en croit pas ses yeux. La moto brille sous la lumière du jour. Il en fait le tour et me traite d'imbécile. Je lui dis qu'une fois préparée, elle remplacera sans problème son vieux GSXR qui commence à accuser un nombre respectable de Km. Il prend l'enveloppe que j'avais posée sur la selle. Dedans j'ai mis un mot sur les conditions de préparation de sa moto. Il se tourne vers nous et m'attrape, me serre dans ses bras à m'en étouffer avant de me rouler une méga pelle. Marc ajoute que j'y ai pensé tout seul. Il lit le mot contenu dans l'enveloppe et me dit que je suis fou. Nous discutons mécanique. Je lui confirme que ce qu'il a sous les yeux est la machine d'usine mais toutes les modifications qu'il voudra y apporter sont déjà prise en charge chez le concessionnaire et que c'est Daniel X qui se chargera de les faire faire, que je n'avais pas voulu moi même décider de changer telle ou telle pièce bien que je me doute qu'il veuille des freins Brembo entre autre.
Pendant le déjeuner, nous avons saoulé Marc de mécanique. Au café pareil ! Marc saturé a soudain demandé à Eric si cela ne me valait pas un petit coup dans le cul. Accord immédiat de sa part, et je me suis retrouvé à genoux entre leurs cuisses à pomper alternativement les bites au garde à vous. Détail peu plaisant, je me suis absenté quelques instant vider mon estomac, le pieu d'Eric dans ma gorge et la proximité de repas ne faisant pas bon ménage ! Cela fait j'ai retrouvé ma totale capacité de pompage. Je me suis vite retrouvé à poil l'un se chargeant de me dénuder quand l'autre me donnait sa queue à téter. Bientôt un puis deux doigts pleins de gel sont venus me préparer l'oignon. J'aime être la cible de toute l'attention. Quand je suçais Marc, Eric alternait travail de ma rondelle avec caresses de mes flancs, pinçage de tétons, tirage de couilles... Tout ce qu'il faut pour bien me chauffer. Quand l'inversion a eu lieu, j'ai supplié Marc de m'enculer. Ce salaud m'a encore fait patienter tout un moment, m'excitant le gland, écartant mon cul à trois doigts. Ça été un réel soulagement quand il m'a enculé, même si il m'a poussé encore plus sur le boa noir d'Eric. La bite de mon mec dans le cul plus l'étouffement du au gros gland dans ma gorge, j'ai failli jouir instantanément ! Après m'avoir bien préparé le trou avec sa queue, il a cédé la place à Eric. Délicatement ce dernier a logé ses 27cm x 7 dans mon anus. ;J'ai toujours du mal aux premières intromissions de tel calibre. Contrairement à Jimmy qui se détend quasiment instantanément, moi il me faut plus de temps. Il n'empêche que j'arrive quand même à tout prendre et à y prendre du plaisir. Marc après m'avoir laissé le temps de me faire au nouveau calibre qui élargissait mon trou, est venu se faire piper. Les secousses de mon enculage assurant le mouvement, j'ai concentré mon attention sur les pressions internes, l'agilité de ma langue au contact de son gland etc. J'ai finalement été récompensé par une bonne dose de foutre. Une partie m'a été livrée directement au fond de l'estomac mais j'ai réussit à garder les derniers jets dans ma bouche savourant le goût particulier de mon homme. A mon autre extrémité, Eric glissait de plus en plus aisément. Une puis deux, trois contractions anales lui ont rappelé que c'était parce que je le voulais bien et en même temps l'ont propulsé vars l'orgasme. Qu'il a traduit par un pilonnage intensif du fond de mon cul. Quand il s'est retiré, le passage du gland (plutôt de la couronne) contre ma prostate m'a fait à mon tour juter. J'en ai mis partout.
Samir est arrivé quelques secondes plus tard avec des serviettes chaudes pour que nous puissions nous essuyer avant d'aller nous doucher.
Un nouveau café avec pour moi une nouvelle part de dessert nous a remis d'équerre.
Marc et Eric m'ont lavé entre eux deux transformant le savonnage en massage. Leurs mains fortes me soutenant, pressant mes muscles, j'ai pris un autre type de plaisir dans leurs bras. Eric m'a même remonté (de la salle de muscu) dans ses bras. Les enculages gros calibres me fatiguent toujours beaucoup. Mini sieste puis tous trois équipé de nos cuirs, nous sommes partis pour l'essai du GSXR. Marc sur son VFR, moi sur mon R1, nous avons suivit Eric. Une heure après le verdict tombait sur les modifications à lui apporter hormis le réglage des platines supportant le frein et celle de l'embrayage. Fourche avant, amortisseur arrière, freins, durites aviation, pot d'échappement sans compter bien sûr sur le débridage de la bête.
Il est reparti sur son vieux GSXR comme je lui promettais de faire reprendre le nouveau par mon livreur pour qu'il puisse le faire modifier.
Le mardi matin qui a suivit, Daniel revenait chercher la moto. Après discussion sur l'effet de mon cadeau, les modifs à prévoir, il m'a demandé quand est ce qu'il pourrait rencontrer un " client ", mon style de vie lui ayant donnée des idées nouvelles sur ce que pouvait être la vie.
J'appelais alors le boss de Kev (nous sommes maintenant assez proches) pour lui demander s'il n'avait pas une connaissance qui chercherais ce type de service.
Il me demanda si je n'avais pas un don de voyance car lors d'un conseil d'administration d'une des sociétés auquel il siège, un des administrateurs lui avait demandé où il avait trouvé son " accompagnateur ". Je lui décrivais Daniel et son coté plutôt " basique ". Il me dit qu'il allait quand même lui en parler, il m'a donné son téléphone privé en me demandant d'attendre 1/4 d'heure avant de l'appeler.
Nous attendons sagement puis j'appelle. Je tombe direct sur le type. Je me présente et nous discutons quelques instants sur ce qu'il cherche exactement et ce que je lui propose. Il sait déjà que c'est moi qui ai fourni notre connaissance commune.
Il voudrait que nous nous déplacions aussitôt chez lui mais Daniel doit aller travailler. ;Je propose que nous passions le soir même et nous convenons de 19h30, le temps d'y aller (chez lui).
Nous passons la journée chacun de notre coté et je passe chercher Daniel à sa débauche. Je sens qu'il a pris une douche et il me suit sur sa propre moto (GSXR750).
Nous arrivons au portail d'une grande villa. Sonnette, j'ôte mon casque et présente mes papiers à la caméra. Le temps de le remettre et le portail s'ouvre. Une courbe d'une 50aine de mètres et nous calons nos motos au pied d'un perron en pierre. Nous arrivons devant la porte. Elle s'ouvre sans que nous ayons frappé. Un homme en tenue de laquais nous demande de le suivre. Daniel n'a pas assez d'yeux pour tout voir. Nous arrivons dans un salon de 80m² minimum et nous le traversons avant d'arriver devant notre hôte. Un homme de 50 / 55 ans, 1,75m 60 Kg, tête de mec sérieux. Je m'avance et lui serre la main me présentant comme étant l'intermédiaire. Le seul point où il m'agace c'est sa façon de parler de Daniel comme d'un produit. Je sais je ne suis pas logique, ça m'arrive aussi de parler de cette façon ! Comme Daniel est néophyte, je me charge de la contrepartie financière. Avant de finaliser, il veut voir Daniel nu. Ce dernier avait déjà descendu sa combi sur ses hanches. Il quitte tout et je vois avec plaisir qu'il bande ferme. Nous finissons la négociation et j'arrive à tirer de lui une somme rondelette pour chaque rendez vous. Daniel à entendre le chiffre en a loupé une respiration. Il se tourne vers Daniel et lui dit que puisqu'il est là ce soir autant finir le test. Je comprends et vais pour me retirer. Alors que je salut notre hôte, il tire de sa veste une enveloppe qu'il me tend " pour le dérangement ". Je les quitte non sans avoir glissé dans l'oreille de Daniel qu'il m'appelle dès qu'il en sort. Après être rentré, j'ai ouvert l'enveloppe, le montant était le même que celui que le boss de Kev m'avait versé.
Marc était amusé de me voir tourner en rond jusqu'au coup de téléphone de Daniel.
Il ne m'a appelé que vers les 23h30. Limite j'étais inquiet ! Sans entrer dans les détails, il m'a dit que cela s'était bien passé d'autant plus que le mec est actif et passif. Il avait décroché un nouveau rendez vous pour la fin de semaine. Par contre il n'avait jamais vu autant de luxe. Rapide calcul mental, je lui dis qu'il allait alors qu'il allait tripler son salaire actuel. Il n'avait pas fait le calcul et est resté muet quelques secondes.
Après que j'ai raccroché, Marc m'a demandé si ça s'était bien passé. Je le lui confirmais.
Rassuré nous avons pu passer un bon, très bon moment avant de nous endormir !
JARDINIER
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zooterchet · 8 months
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The Dark Knight Trilogy
The Freemasonic Shutdown of Anti-Stalk Technology (The Internet, Cop Interdiction):
Batman Begins: Ivan Tomasic is cleared by Dave Charlebois, and given Homeland Security tags, as a Russian agent. Fear gas is developed, a substitute to Zyprexa, however permanent. Brian Monaghan is dosed. Matthew Lennox, is presumed dead, by Andrew Brooks. The invasion of the MUSH occurs, by George Soros's agents, Jeffrey Lange, for the Obama regime. David Charlebois's work is submitted, to Metro-Goldwyn Mayer, Nietzsche's company.
The Dark Knight: Kevin Weeks, "Alex Fleming", is called out of retirement, to fight prosecutor Andrew Brooks. Allison Haimes, North Korean Law academy, Ba'ath Trial specialist, is tapped by Jeffrey Lange, for the 4chan project. Dave Charlebois, is dropped out of college, for financial fraud, a fence deal to the United States Air Force, of Russian Intelligence marijuana. Kevin Weeks, engages Andrew Brooks, through Whitey Bulger, and Allison Haimes, has her face scarred. Kevin Weeks, sets up Sandy Hook, which Dave Charlebois claims credit for under Mossad tag, after catching Eric Frein, through Brian Monaghan. The mastermind, Alex Jones, is caught, but Jenna Williamson, flees in absentia, haviing provided Adam Lanza's assault training, out of the Braziian US Army DEA dispatch, Pracinas. Jeffrey Lange, now a PhD in cop sciences, prints "Gotham", to redeem David Masouz, relative of Nancy Mace, Charlie Day, Jim Bowie, David Bowie, Andre Olnesti, Gary Kasparov, Mrs. Kasprak, and Nathaniel Bedford Forrest; Aisha of Mecca.
The Dark Knight Rises: Brian Monaghan, written as "Mister Zsasz", with the aid of David Charlebois, arranges the trade of Tom Brady to the Buccaneers, disrupting Fox Cable Footage. Trump, threatens the country, through Michael Fargnoli's marketing software, through Will Morgan. Jessica Bailey, propositions Dave, to make comics, through his father. Dave attends SNHU, outing the marketing software fraud, outing Mike Fargnoli and Jeffrey Lange and Donald Trump, as guilty; riots ensue, in the capital. Jessica "Baiiley"', real name, Jessica of Windsor, swears to her protector, David "Berkowitz" Falco, Dave Charlebois, and he outs his activity. INTERPOL, is redeemed.
So, if you aren't one of the named, the survivors; is the internet dangerous?
Have you done something illegal, the internet is saving you from?
Is it us, or you, Batman fans?
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tinynemodekaren · 8 months
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Une tiny avec mes petits bras et… avec de l’aide
Quand j’ai démarré mon chantier, je pensais que je ferais tout dessus. Avec de l’aide ici et là, mais pour m’épauler de temps à temps et c’est tout.
Le seul choix que j’avais fait avant d’arriver, c’est de confier la couverture à un couvreur professionnel - et je savais déjà qui c’était.
Quand je parlais de mon projet, je disais que je m’occuperais de tout. Puis, j’ai commencé à construire essentiellement seule.
Jusqu’en janvier 2023. Là, j’ai commencé à envisager la nécessité d’ouvrir le chantier.
Des bénévoles sont venus m’aider. Je les remercie encore. Nous avons passé de grands beau moments.
D’abord mes ami.es. Puis des personnes que je ne connaissais pas.
Je suis arrivée le 28 juillet 2022 sous le hangar et je suis repartie le 14 septembre 2023.
J’ai compté le nombre de jours passés avec les bénévoles :
pour le temps de construction, à chaque fois, il faut enlever 1 jour parfois 1 jour et demi quand quelqu’un vient – le temps d’arriver et de repartir. Et c’est bien.
- Octa venue 3 jours et demi à mi janvier 2023 pour assembler le Mur Tolkien
- Seb venu 3 jours fin janvier pour assembler le Mur Olympe
- Adrien venu 2 jours et demi en mars pour mettre une partie du pare-pluie avec moi
- Yannick venue 4 jours fin mars pour notamment l’étanchéité du pare-pluie et du frein-vapeur
- Sarah venue 4 jours en mai avec mise en place du bardage
- Adrien et Violaine venus 2 jours et demi en travaillant sur le bardage
- Eric 3 jours et demi à mi-juillet → continuation du bardage et découpe du pare-pluie de la toiture
- Sarah revenue 5 jours en juillet : encore le bardage, mais aussi le pare-pluie de la toiture !
- Sara et Mauro - 3 jours – suite du bardage
- Clémence durant 2 jours et demi en août 2023 -
- Louise durant 4 jours en août 2023 : parement intérieur en CP
Cela fait 36 jours – sur à peu près de 365 jours
Puis il y a eu l’aide de Fred :
Outre des conseils précieux et ceux, très régulièrement, ancien autoconstructeur et ancien chauffagiste plombier à la retraire, il m’a aidé en particulier sur plusieurs aspects :
- Il a réalisé l’électricité – j’ai fait le concept électrique, l’ai assisté sur la mise en gaine, mais pour le reste, c’est lui qui a tout fait ;
- Je l’ai assisté sur le meuble cuisine dont j’ai également produit le concept qu’il a réadapté – puis j’ai découpé tout sur les plans qu’il me donnait.
- La plomberie : il a tout fait et moi rien du tout !
Mais il a été aussi présent pour :
- terminer les 2 pignons (les petits murs du côté) et à les agencer
- nous avons placé les fenêtres ensemble sur sa direction
Celle de Maxime avec ses conseils d’ingénieur sensible
Et celle de Maxence, toujours disponible, généreux dans ses connaissances et ses idées, généreux dans son temps.
Celle de certain.e.s autoconstructeur.ices venus m’aider à déménager, à porter, à remettre…
Enfin, au quotidien, les échanges avec les autres autoconstructeur.ices du hangar ont été très nécessaires et rassurants.
Bref, je n’étais pas seule, mais il a bien fallu la construire, cette tiny house !
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vennbahning · 2 years
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12 juillet - 2ème étape
Après un bon petit-déjeûner (à l’allemande tout de même, donc bien consistant), nous sommes prêts à partir. Ouais bon, pas tout à fait. Il faut refaire les sacs, et les attacher sur les vélos. On n’est pas encore experts, mais on sent que ça progresse... même si au final il est presque 11h quand on démarre pour l’étape la plus longue, estimée à 49 km. Probablement pour ne pas être psychologiquement atteint par un chiffre qui dépasse 50 ?
Personnellement ça fait bien longtemps que je n’ai pas fait 50 bornes à vélo. Il y a donc une crainte. Pas nécessairement de ne pas y arriver, mais de ne pas pouvoir continuer le jour suivant...
Premier objectif du jour: trouver le parcours de cette fameuse Vennbahn. Après avoir tourné un peu, je me décide à démarrer l’app sur laquelle j’ai chargé les traces gpx des différentes étapes, et comme par magie on tombe dessus. Allez hop, c’est parti !
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C’est vachement bien aménagé comme piste cyclable. Totalement hors réseau routier. Le début est boisé, ce qui fait du bien vu le soleil qui tape déjà fort. Rapidement, on comprend que même si ça ne monte pas franchement, on est sur un faux plat en continu. Et ça va se confirmer une grande partie de la journée: il faudra atteindre le 40e km pour enfin pouvoir de temps en temps arrêter de pédaler. Jusque là, tu pédales pas tu avances pas !
Il n’y a pas beaucoup d’endroits où s’arrêter si on n’a pas prévu le pique-nique. L’idée de s’arrêter à Raeren pour le lunch tombe rapidement à l’eau: il faut s’éloigner de la piste de quelques km pour rejoindre le centre, sans vraiment savoir si on va y trouver de quoi casser la croûte. On évite la question, on boit un coup à l’ancienne gare recyclée en bar et on continue jusque Roetgen. Toujours en montant lentement mais régulièrement.
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On s’arrête à Roetgen, le long de la frontière belge. C’est là qu’on comprend d’ailleurs que la piste suit longuement la frontière, et passe régulèrement d’un pays à l’autre. Je fais un choix de bouffe assez mauvais, flammekuche et pizza. Mais enfin, quelle idée ! Ben oui, mais je suis obnubilé qu’il faut absolument bouffer quelque chose sinon je vais pas tenir. Et c’est pas comme s’il y a beaucoup de choix. On décide tout de même que désormais on essayera de prendre seulement des trucs faits maison !
La route continue à monter, et toujours monter. Selon la carte, ce sera jusqu’au km 37.5 (estimation de ma part). Je regarde les km défiler, ça commence à être dur de pas pouvoir arrêter de pédaler ne fut-ce que quelques minutes. Arrivé au km 37.5, ben non, c’est pas fini. Il faudra finalement dépasser Lammershof pour enfin pouvoir se laisser aller...
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Dès notre sommet atteint, le paysage s’ouvre. Fini la monotonie de la route coincée entre les arbres. On a maintenant une vue sur les campagnes et villages environnants. Une libération, sans doute aussi liée à la fin de cette montée de 40 km ?
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Quelques km plus tard (là cette fois on speed à presque 30 à l’heure), c’est l’embranchement pour Monschau. On fait quoi ? On y va, sachant que ça descend et qu’il faudra donc remonter ? La promesse d’une glace ou d’un eiskaffee nous décide. Go !
Et effectivement, ça descend ! Plus de 100 m en seulement quelques km. Un peu peur que mes freins lâchent (j’ai pas de disques). Mais ça tient, et la récompense est au rdv...
Le souci évidemment c’est qu’après notre petite tour de Monschau, il faut maintenant les remonter ces 100 m. Et en fait beaucoup plus que ça. C’est à l’auberge qu’on va. Et en cherchant la route pour s’y rendre, je vois qu’elle n’est pas à 500 m d’altitude (le niveau de la Vennbahn d’où on vient), mais à 600 m ! 200 m de dénivellé sur moins de 5 km, et tout ça après plus de 50 km dans les jambes... Bravo Eric, beau choix d’hébergement ! Les 4 km les plus long de ma courte carrière de cycliste commencent alors. Et tout ça sous un soleil toujours très présent, à probablement près de 30°. Et plus une goutte d’eau dans le bidon !
On arrive enfin à notre bed and bike du jour. En nage, décomposés, totalement out. Et l’épreuve du checkin à endurer avant de pouvoir sauter sous la douche. Wöllen Sie hier abend essen ? Ou un truc du genre. Je comprends le sens, et surtout je ne réfléchis pas plus d’une demi seconde. Oh ja bitte ! Moi je retourne pas bouffer dans le centre !
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Au final, on aura pêté tous les compteurs pour cette première véritable étape. En tout cas, les 50 bornes elles ont été atteintes et dépassées !
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patern29 · 2 years
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Les voiliers en aluminium, Tout une philosophie de la mer
Les voiliers en aluminium ont fait rêver des générations entières de marins, plaisanciers et aventuriers. Ces bateaux sont devenus des symboles du bateau de voyage. Quelle est l'histoire de ces voiliers et quels chantiers, aujourd’hui, proposent des constructions aluminium ? L’aluminium, pour la plaisance a été une révolution. Le choix de ce matériau a été plébiscité, dès les années 60-70, par de nombreux chantiers. L’arrivée du polyester a modifié la donne, dans les années 70. Cependant, le voilier en aluminium a toujours conservé sa place de favori dans le choix de nombreux acquéreurs de bateau. Avant de devenir le symbole du voilier de voyage et de bénéficier de l'image du dériveur intégral tout terrain, le voilier en aluminium a été très lié à la course au large et à la régate. En effet, l’aluminium n’a pas toujours été associé à l’image du dériveur intégral de voyage. Retour sur cette folle aventure du voilier en aluminium.
Histoire des voiliers en aluminium
L’aluminium a été découvert en 1807, par Humphrey Davy. En 1854, un procédé est créé, par Henri Sainte Claire Deville, pour en produire. Ses qualités techniques et sa légèreté ont vite été remarqué et l’aluminium commence à intéresser architectes navals et chantiers. Les premiers chantiers à construire des voiliers en aluminium sont alors des Néerlandais. De la course au large... C’est auprès des coureurs au large et du monde de la régate que l’aluminium fait sa place. En 1895, la coque de Defender, lors de la Coupe de l’America, est construite en aluminium. Ce qui lui va bien puisque le bateau gagne la Cup. De nombreux syndicats feront le même choix jusqu’au milieu des années 80. Dans les années 60, c’est un français, Eric Tabarly, qui s’intéresse à l’aluminium. Pen Duick 3 sera construit dans ce matériau. Enfin, Marc Pajot remporte la Route du Rhum, en 1982, avec Elf Aquitaine, lui aussi, en aluminium. ... à la plaisance Mais l’aluminium va vite intéresser le monde de la plaisance et les architectes navals. Là encore sa solidité et sa légèreté intéressent plusieurs architectes qui vont régulièrement l’utiliser. Ce matériau va séduire les candidats aux grands voyages pour les mêmes raisons. Il va vite devenir le symbole de la voile aventure pour de nombreux marins. Dans les années 70, Jean Marie Finot va donner naissance à des voiliers en aluminium symboles de transat avec le Brise de Mer et le Rêve d'Antilles. De son côté, Philippe Harlé signe les Beaujolais et autres Romanée. Romanée qui était d’abord destiné à la régate et la course d’ailleurs. On peut encore citer des dériveurs en aluminium comme le Zoufri ou les magnifiques succès du Chatam et du Vulcain, de Gilbert Caroff. Dominique Presles a, de son côté, dessiné, en 1976, le Pen Duick 600, un petit voilier de croisière côtière. Mais l’aluminium restera cantonné aux gros voiliers, pour une question de coût.
Pourquoi l’aluminium pour des voiliers ?
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Nous pouvons donc constater que l’aluminium a convaincu de nombreux architectes et chantiers navals depuis plus d’un siècle. Mais pourquoi ? Ce matériau a plusieurs avantages qui ont fait la différence, dès ses débuts dans le nautisme. Si le coût est aujourd’hui un frein pour la construction de petits voiliers, l'utilisation de l'aluminium trouve toute sa cohérence pour des unités de plus de 12 mètres. Je parle de plaisance. Pour les professionnels, le rapport au coût ne sera pas le même. Pour commencer, à ses débuts, l’aluminium a rapidement remplacé le bois moulé pour sa solidité et sa légèreté. C’est pour cela qu’il a été utilisé en régate et en course au large très rapidement. Il gardera encore un avantage poids face au polyester monolytique, dans les années 80. Par la suite, il a été considéré comme une excellente alternative à l’acier. En effet, si l’aluminium ne permet pas de se lancer dans une construction amateur et qu’il est plus cher que l’acier, il a d’autres avantages. Il est beaucoup plus léger que l’acier tout d’abord. Ensuite, et c’est sans doute son point fort, en grande croisière, il ne se fissure pas lors d’un choc. Bon, tout est relatif quand même. En effet, l’aluminium est un matériau souple et qui s'étire jusqu'à un certain point. Les spécialistes vont peut-être me reprendre sur les mots... C'est-à-dire que lors d’un choc, qu'il absorbe mieux que l’acier, la coque d'un voilier en aluminium ne va pas se fissurer mais se déformer. Pour vous donner une idée, face à un choque, il est capable de s’allonger de 20%. C’est juste impressionnant par rapport au bois ou au stratifier, par exemple. Cependant, il n’est pas élastique. Cela signifie qu’il ne va pas reprendre sa forme initiale ensuite. Si cette caractéristique a des avantages en navigation, c’est aussi le cas en construction navale. En effet, l’aluminium va pouvoir être travaillé pour construire des coques en forme.
Les chantiers spécialistes de la construction aluminium
Alubat
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photo Alubat Si un chantier représente bien la philosophie du voilier aluminium, c’est bien Alubat. Créé en 1973, en Vendée, sa gamme d’Ovni a fait rêver de nombreux aventuriers et candidats au grand voyage. Ses dériveurs intégraux ont acquis le surnom de 4X4 des mers. Certains modèles sont devenus des références comme l’Ovni 345. Plus de 1500 voiliers construits par Alubat naviguent sur toutes les mers du monde aujourd’hui. En parallèle, le chantier propose aussi une gamme de voiliers quillards de plus de 14 mètres : Les Cigales. D’ailleurs, le premier Ovni, le 28, était déjà un quillard. Allures Yachting
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photo Allures Yachting Allures Yachting est un jeune chantier créé en 2003, par Stéphan Constance et Xavier Desmarest, en Normandie. La gamme se différencie des Ovnis en proposant des voiliers avec un pont en composite pour proposer des voiliers plus élégants et performants. Depuis quelques années, la gamme est proposée en versions dériveur ou quillard. Les bateaux ont vite rencontré le succès et été adopté par des grands noms de la voile comme les frères Peyron. Le chantier propose 3 bateaux, dont l’Allures 40, élu bateau de l’année à sa sortie, l’Allures 45.9. Il fait partie du groupe Grand Large. Garcia Yachting
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photo Garcia Yachting Le chantier Garcia est l’autre constructeur historique de voiliers aluminium. Créé en 1974, le chantier s’est spécialisé dans la construction de voiliers pensés pour les navigations extrêmes. La gamme Exploration, dont l'Exploration 52, a acquis une réputation internationale d’excellence pour qui veut naviguer longtemps, partout et en toute sécurité. En 2013 Jimmy Cornell choisira l’Exploration 45 pour naviguer autour du monde en passant par le passage du Nord-Ouest. Chantier Meta Le chantier Meta fait partie de l’histoire de la plaisance en France. Créé en 1952, il construira la coque du célèbre Joshua, de Bernard Moitessier, en acier. En 1977, le chantier opte pour un nouvel alliage maison, l’Aluminium Strongall, très épais. Le chantier est fortement lié à des architectes comme Jean Pierre Brouns ou le cabinet Joubert-Nivelt. Les unités les plus connues sont les Globe Troller 40, JPB 35 et actuellement le Petit Monde Boréal
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photo Boréal Le chantier breton Boréal est le plus jeune de la sélection. Créé en 2005, par Jean-François Delvoye et rejoins, en 2009, par Jean François Eeman. Le chantier propose des voiliers de voyage ayant un caractère affirmé. Les voiliers Boréals sont des dériveurs lestés marins, rapides et simples à naviguer, comme à entretenir. Dès 2010, le Boréal 44 est élu voilier de l’année en France, puis aux Pays bas. En 2014, le Boréal 52 est élu voilier européen de l’année dans sa catégorie puis, en 2017, le Boréal 47 est élu voilier de l’année aux USA. Cela se passe de commentaire, non ? Afep Marine Afep marine propose des voiliers aluminium complètement différents des autres chantiers. Créé en 1989, par René Roy, comme sous-traitant et constructeur d’unité (Maracuja,…), le chantier se lance dans la construction de ses propres séries en 2000. Le chantier fait appel à Bernard Veys pour proposer la gamme Manatea. Mais le tournant est pris lors de la collaboration avec David Raison. Le chantier se lance dans la construction de petits voiliers de moins de 10m en aluminium, avec des étraves en scow. La gamme Rêvolution convainc rapidement avec ses carènes planantes. Les deux premiers modèles sont les Rêvolution 22 et 29. Le 24 suivra plus tard. Autres chantiers construction de voilier aluminium Enfin, pour terminer cette liste, nous pouvons aussi évoquer des chantiers navals spécialisés dans l’alu pour les professionnels qui peuvent proposer quelques petites séries ou voiliers à l’unité comme : - Bord à Bord. - Alumarine. - Navalu. - Chantier Delavergne. Read the full article
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fantasyliveson · 7 years
Photo
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'Eric Matthew Frein (born May 3, 1983) is an American domestic terrorist and murderer, convicted and sentenced to death for the 2014 Pennsylvania State Police barracks attack in which he shot and killed one State Trooper, and seriously injured another. A letter to his parents made it clear that he hoped to spark a revolution by his actions.' - Wikipedia In 2014 Eric ambushed the Pennsylvania State Police which led to a 48 day manhunt. He was later found in an old airplane hangar on October 30 (just after I heard the radio folks announcing that they were essentially cancelling Halloween until he was found). He shot and killed Corporal Bryon K. Dickson and critically injured Trooper Alex Douglass. New York and New Jersey officers assisted the PSP in the manhunt, as well as FBI. 48 long and grueling days later Eric was found at an empty airport, in an empty hangar in Birch wood-Pocono Airpark in Pennsylvania. When he was arrested he was placed in the handcuffs that belonged to the officer he killed, Corporal Dickson. In 2017 he was found guilty and given the death sentence- lethal injection. (The photos above: Eric's mugshots, Trooper Douglass and Corporal Dickson, and a photo taken by residents of a street that was shut down during the man hunt)
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Friends to Lovers Pt. 10
(A/N) I’m not dizzy anymore! Well, at least not enough to further keep me from posting something… I really want to thank you for your sweet comments, they really lifted my spirits. The next update will be on friday as usual. Enjoy this part, the next one will be about ‘Visiting day’ with an unexpected visitor…. Muahahaha!
Warnings: Alcohol, singing, feelings, swearing
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If anyone else wants to be tagged, just say so :)
first part
second part   
third part
fourth part
fivth part
sixth part
seventh part
eight part
ninth part
eleventh part
eleventh part (2)
twelfth part
thirteenth part
fourteenth part
fifteenth part
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“Be still my heart; thou hast known worse than this.” I mumbled to myself, sitting on my bed, waiting for Xavier and Lucy to be done with showering. The others, that had to leave, already did so. Without goodbyes or farewells. Well, I didn’t really know anyone of them, so who cares. Okay, the others did, but that wasn’t my problem. Or so I thought. Let me tell you something, dating another initiate is all easy peasy, but if one of them doesn’t manage to get through initiation, that’s when the lemons come. Carry has been crying all evening and I could tell, there was a headache on the way. So I got an idea. Eric and I once stole one or two bottles of liquor from my father. Yes. I received hits for that afterwards, but it helped forgetting everything for the moment. As soon as Xavier got out of the shower, I told him my idea and he agreed grinning. Together we ran to the stores, entering the one that had a liquor department. “Okay, I have no idea what we should take.” Looking over at Xavier, I instantly knew that he knew exactly what would help best. He grinned at the bottles as if he just met a long-lost friend. “Alright, I’ll leave you alone with the alc. I’ll see if I can get some cups. We meet in front of this store in five minutes.” I ran down to the cafeteria, hoping that no one except the sweet old lady would be there. And once in my life, I was lucky. She stood there, still cleaning the plates from dinner. “Uhm…excuse me?” I timidly walked into the kitchen looking around. “What can I do for you sweetie?” She smiled at me drying her hand on the apron she was wearing. “I somehow need eleven to twelve cups? And I thought, maybe I could borrow them from here?” “Sure, just bring them back tomorrow, okay?” She took a tray and put twelve cups on it. “Thank you so much. I’ll bring them back!” I took the tray and ran out, hearing her laughing behind me. I returned to the store area, seeing Xavier waiting but without any bottles. “Where is the liquor?” I put the tray on the ground looking behind Xavier to see if he hid the liquor there. “They wouldn’t sell it to me.” He pouted, looking at the floor. “That’s a problem, I know to solve. You take the cups to the dorm. I’ll be there in a few minutes.” Without asking he nodded and walked away, tray in hand. I began running again, thankful that Four took us on many runs. At the infirmary I used the way I’ve once before walked, ending up in the leading quarters. Already knowing one which door I have to knock, I did. “Okay, before you ask me what I’m doing here, let me say that I know that I hate you right now, but I need your help.” I explained everything to Eric and he couldn’t keep a small smirk of his lips. He agreed helping me under the condition that he can ask me for a favour. Having no other possibility than agreeing he took me to the liquid store and bought me the stuff I needed. “Thanks Eric, see you!”
I ran as fast as my feet would carry me to the dorms, bottles safely in my arms. As soon as I entered, Lucy and Xavier looked up and I showed them the bottles. “Ready?” They nodded and Lucy started handing out the cups, while Xavier began playing on the guitar. I followed Lucy, pouring the liquor into the cups.
We could just go home right now Or maybe we could stick around For just one more drink Oh yeah Get another bottle out Let’s shoot the breeze Sit back down For just one more drink Oh yeah
Here’s to us Here’s to love All the times That we messed up Here’s to you Fill the glass Cause the last few days Have gone too fast So let’s give em hell Wish everybody well Here’s to us Here’s to us Stuck it out this far together Put our dreams through the shredder Let’s toast cause things got better And everything could change like that And all these years go by so fast But nothing lasts forever Here’s to us Here’s to love All the times That we messed up Here’s to you Fill the glass Cause the last few nights Have gone to fast If they give you hell Tell em to forget themselves Here’s to us Here’s to us Here’s to all that we kissed And to all that we missed To the biggest mistakes That we just wouldn’t trade To us breaking up Without us breaking down To whatever’s come our way
The other joined me singing, some of them apparently knew the lyrics, others didn’t and just followed my lead. Either way, the feeling was amazing! Here’s to us, Here’s to us! Here’s to us, Here’s to love All the times That we messed up Here’s to you Fill the glass Cause the last few days Have gone too fast So let’s give em hell Wish everybody Well! Here’s to us Here’s to love All the times That we messed up Here’s to you Fill the glass Cause the last few nights Have gone too fast If they give you hell Tell em forget themselves Here’s to us, Here’s to us Oh here’s to us Here’s to us, Here’s to us Here’s to love (Here’s to us) Wish everybody well Here’s to us, Here’s to love Here’s to us, Here’s to us
Everyone cheered and laughed, not a single tear flowed. We did it.
From my place on my bed I could see Eric standing by the stairs, observing us. Standing up, I filled a cup and walked over to him. “Thank you. I mean it. I don’t really like you at the moment and you definitely deserve that, but I still need to thank you. So, yeah. If you want to, you can join your super cool initiates!” “So you don’t hate me anymore?” He took the cup and sipped at the liquor. “I never said that. But maybe, I owe you something and this is my way to say thanks.” I turned around and walked back to the others. Sitting down besides Xavier, I watched Eric making his way over to us. “What’s he doing here?” Xavier leaned his head down to whisper in my ear. “He helped me get the liquor.” I laughed at his shocked expression. Well, to be honest I too, didn’t expect Eric to help me, but I’m glad he did. He sat down on one of the beds and everything was quiet. “You don’t need to become all quiet just because of me.” His voice was stern, still in leader mode. I shot him a glance and he immediately got it. “I mean…I’m not here as a leader, so don’t worry, okay?” This time his voice was a little bit softer. Not exactly what I hoped for, but it was a beginning. Soon, the happy atmosphere was back and everyone was smiling and laughing. Xavier continued to play the guitar and I sang from time to time. Way too soon, someone came down the stairs, staring at us with a shocked expression. “What the hell happened here?” Four stood at the foot of the stairs, his eyes wide. “Come on number boy! Don’t be so Abnegation and come here. Drink something!” Eric grinned at Four, clearly drunk. “When did Eric have so much to drink?” I asked Xavier but he didn’t know the answer. “He drank one and a half bottle of whiskey alone!” Mia shout-whispered and I couldn’t supress a chuckle. In the meantime, Eric was wobbling towards Four, a cup full of liquor in his hand. “You are drunk Eric. Go to your apartment. And you! Tomorrow is visiting day, if any of you show one single sign of a hangover, I’ll throw you down the chasm.” He took Eric’s arm and dragged him out the dorm. “Okay, as much as I hate to admit it, Four is right! Let’s go to sleep. We’re keeping the liquor for another time! Please wash the cups, so I can bring them back tomorrow!” I stood up and instructed the others. Surprisingly they did what I told them, and soon I had all the cups back on the tray.
After a few more minutes almost everyone was sound asleep. Xavier and I quietly talked about this and that and soon fell asleep too, in high hopes for tomorrow. After all, the day way free. But I didn’t expect what was waiting for me.
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Song: https://www.youtube.com/watch?v=Rfp0SOo2_8E
The song and the video do NOT belong to me!
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ratboyslim · 3 years
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you're not a real NEPA kid unless you've been to the crayola factory, steamtown, harry houdini museum, bethlehem steel mill, and lackawanna coal mine, trespassed the abandoned penn hills resort, or gotten your ass kicked at knoebels
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pattern-53-enfield · 7 years
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@grettir-dun Eric Frein was a copkiller from 2014 who was briefly a popular person to strawman reenactors, airsofters and militaria collectors with due to his public association with Eastern Wolves milsim unit and with a few others. There’s a lot of photos of him geared up in Serb uniforms, such as that one.
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parttimereporter · 7 years
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Frein to the hospital!!
WNEP: The trial for accused cop killer Eric Frein has been delayed after Frein was taken to Lehigh Valley Hospital-Pocono. There is no word on his condition. Stay with WNEP for updates. Parents of #EricFrein tell @WNEP they don't know why their son was taken to the hospital. Trial delayed for time being… — Clay LePard (@ClayLePard) April 6, 2017 Trial in #EricFrein delayed after Frein taken to Pocono Medical Center. No word on his condition ..
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homomenhommes · 23 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 170
Acquisition ZX10R, Emma,
Comme je l'avais décidé, j'ai changé mon Monster 1100S par un ZX10R dont je confie la préparation à Cédric. Toutes les concessions ne se ressemblant pas, je n'envisage rien avec le vendeur de chez KAWASAKI, jeune mais c'est tout.
Dès que je récupère la moto, je la dépose au garage du père de Cédric, pour que ce dernier (Cédric) me la débride entre autre (changement des freins, pot d'échappement....). J'y rencontre alors un mec début 40aine, très ressemblant à son fils (ou l'inverse) mais modèle au dessus question taille et carrure. D'ailleurs ce ne serait pas le père de Cédric, j'aurais tenté ma chance ! Cédric l'avait prévenu et il n'est pas étonné, tout juste essaye t-il de savoir un peu avec qui traine son fils qui semble avoir déserté le toit familial ces derniers temps. Je reste évasif quand il me parle d'un groupe de motard. Mais quand il me fait part de ses craintes qu'il vire voyou ou délinquant, je me vois dans l'obligation de le rassurer. De plus si Cédric se met à la modification des motos de tous les potes, son père risque de voir passer un peu de monde chez lui. Je lui explique que nous sommes juste une bande de copains de tous âges et de tous horizons avec des étudiants, des professions libérales ... Même si Cédric est le plus jeune et à cause de cela, tous nous le protégeons. Est-ce mon ton ? La façon que j'ai eu de le dire, ou la perspicacité d'un père inquiet ? Toujours est il que la question suivante à été " et y'en a pas un qui le protège ;plus ? ". Sa question me surprend et je lui demande ce qui lui fait penser à cela. Il me répond que son fils ne tari pas d'éloge pour un professeur d'auto-école au près de qui il compte passer son permis A1 et d'un copain qui l'entraine dans un club de muscu. Comme Cédric ne lui a pas demandé d'argent et que ce n'est pas avec son salaire d'apprenti qu'il peut se payer tout cela, il commence à se poser des questions. Je le rassure et lui dit que c'est notre groupe qui s'en charge. D'un coup je me demande si ça le rassure vraiment. Je suis obligé de préciser qu'Eric lui donne les cours de pilotage moto gracieusement et que c'est moi, pour le remercier d'entretenir et modifier mes motos qui lui offre le club de muscu et ce qu'il faut pour son désir de modeler son corps. C'est à ce moment que Cédric rentre de son taf. Même alors qu'il savait que j'allais passer, il rougit. Rapidement avant qu'il n'y ait de malentendu, je résume ma conversation avec son père. Dans le silence qui suit, je le vois prendre une grande respiration, me regarder dans les yeux puis se tourner vers son père et faire son coming-out. Sans entrer dans les détails sexuels, il lui explique que pour lui c'est plutôt les mecs que les nanas, qu'il s'est trouvé un groupe d'amis avec qui il est à l'aise avec ça et auprès d'un plus particulièrement. Là, j'ai admiré le paternel. Après un long silence passé à digérer les nouvelles, il a pris Cédric dans ses bras (je n'ai pu m'empêcher de mater ses biceps se gonfler, on ne se refait pas !) et en le serrant fort contre son torse, lui a demandé s'il était sûr de lui. Réponse étouffée mais positive. Le père tourne la tête vers moi et me demande, " c'est toi ? ". Je lui dis que non, même si cela aurait pu être, mais que c'est Eric qui a eu la chance d'être choisi par son fils. Une fois sorti des bras de son père, Cédric s'est approché de ma nouvelle moto pour qu'on voit ensemble ce qu'il y allait avoir à changer. Je demandais alors à son père s'il pourrait au nom de son garage se charger de commander les pièces, acceptation de sa part.
Je les quitte sachant que la soirée allait être longue en explication pour Cédric.
Quand je rentre à la maison, Marc est déjà arrivé. Il me demande où j'étais. J'explique en lui disant que je me serais bien fait le père de Cédric si justement il ne l'avait pas été. En disant cela, je me suis collé à mon homme, ma main droite sur son paquet. Il me prend par le cou et me roule une pelle. Sa langue impérieuse pénètre ma bouche et attaque la mienne. Sous ma main je sens sa bite grossir. J'attend qu'elle soit bien raide et alors je glisse à genoux. Je défais vite son jeans et le tire à mi cuisses. Avec mes mains je tends encore plus le tissus de son slip contre sa tige et pose ma bouche sur son gland ainsi dévoilé. Je lèche, mouille, suce par dessus la barrière. Mais je veux le contact de sa peau. Le slip rejoint de pantalon et sa bite se dresse, bien droite au dessus de ses couilles rasées. D'ailleurs c'est par elles que je commence. Je fais rouler l'une puis l'autre dans ma bouche (elles sont trop grosses pour que je puisse prendre les deux ensembles). Je remonte doucement les 22cm qui les séparent du gland, la pointe de ma langue suivant le gonflement de l'urètre. Arrivé à l'extrémité, ma bouche vient couvrir son gland uniquement. Dans un premier temps, je joue de ma langue sur la surface violacée, titillant le frein, râpant la couronne avec les dents jusqu'à ce qu'il n'y tienne plus et m'enfonce brutalement sa bite au fond de ma gorge. Là, je sais ce qu'il me reste à faire. Je le pompe de mes lèvres posées sur l'extrémité de son gland jusqu'à les coller sur son pubis, logeant alors son gland au plus profond de ma gorge. Je m'applique bien, j'ajoute des déglutitions rapides quand il est au plus profond de moi. Ça le fait gémir grave. Je sais qu'en faisant cela, son gland est massé par le mouvement de mon larynx et que ça l'excite un maximum. Je continu jusqu'à sentir couler son jus jusque dans mon estomac. Miam ! il se retire juste pour déposer sa dernière giclée sur ma langue. Je la garde en bouche car effectivement, il me relève et nous la partageons dans un baiser brûlant. Il ne débande pas. Je le pousse dans un canapé et à ses pieds, reprends son déshabillage. Les chaussures volent au travers du salon, le jeans est arraché avec le slip. Il se défait de son polo le temps que je mette à poil moi aussi.
Je suis chaud ! je me place sur lui, et un genou de chaque coté, m'assois sur ses cuisses, nos sexes collés l'un contre l'autre. Je reprends notre baiser même s'il n'y a plus de sperme à partager. D'un main je fouille de fond du canapé et trouve coincé entre les coussins un flacon de poppers (il y en a un peu partout dans la maison, histoire d'en avoir toujours sous la main quand on en a besoin !). Je me sature les narines, cela achève d'assouplir mon anus déjà moite d'excitation. Je me redresse, d'un mouvement de bassin place le gland de Marc sur mon anus et m'assois d'un coup.
Malgré mon excitation je la sens bien passer et je râle. Sans avoir l'anus d'un puceau, mes exercices réguliers de serrage de sphincter sur un plug étroit portent leurs fruits. Marc en rajoute en poussant sur mes hanches histoire que dès le premier coup je m'ouvre totalement. Je reste quelques instants sans bouger le bassin. Je me contente de me pencher et de lui rouler un patin. C'est Marc qui donne l'ordre de mouvement quand je sens ses mains essayer de me soulever. Je prends tout mon temps, j'adore Marc et j'aime faire durer quand nous faisons l'amour. Mes mouvements sont lents mais complets. A chaque fois je le sors complètement de mon cul avant de me m'asseoir à nouveau dessus. Lui comme moi, nous savourons chaque va et vient. Son bras sur mon cou, pour retenir mes lèvres contre les siennes, me transmet chaque évolution de son excitation par la contraction de son biceps. Il me bascule sur le coté et je me retrouve dos sur le canapé. Je relève mes jambes pour les poser sur ses épaules et ainsi bien dégager ma rondelle. Marc les pieds callés contre l'accoudoir me laboure le cul avec efficacité. Cette position lui permet de plus grandes vitesses de limage quand il le désire. Mais c'est quand même en levrette qu'il se finit dans mon cul. Ses mains sur mes épaules, il m'attire à lui en même temps que son bassin pousse vers moi. Les chocs entre nos deux corps sont violent mais nous aimons ça tous les deux ! Il se fige bien planté au fond et je ressens en moi ses éjaculations. Trop bon ;de pouvoir se baiser sans kpote !
J'attends qu'il me branle avant de quitter mon cul pour lui juter dans la main. Je sais qu'il va me la faire lécher ensuite. ça ne manque pas, je vois arriver sous mes yeux ma production. Blanche, épaisse, je plonge ma langue dedans, miam ! Je lape, lèche ses doigts pour ne pas laisser un spermatozoïde m'échapper. Il décule enfin, me tourne sur le dos et couché sur moi, nous nous roulons un tendre patin. Il est vraiment trop bon mon mec !!
Samir déboule avec deux peignoirs sur le bras pour nous annoncer le diner. Notre baise apéritive nous a ouvert l'appétit et nous faisons honneur à leur cuisine. Après diner, je prends un moment avec Samir pour voir avec lui comment se passe les " conduites " d'Ed et Jimmy. Il me dit que mes clients sont maintenant habitués à ce que ce soit lui qui fasse les conduites et il me dit que je vais avoir une remise de chèques à faire sur le compte de ma société d'Escort. Nous examinons ensemble le cahier des rendez vous, le montant des chèques et le liquide de la quinzaine passée. Il me transmet aussi la demande de DGSE pour une nouvelle séance "garde à vue " mais uniquement avec Ric. Je verrais avec André mais je ne pense pas que cela pose de réelles difficultés vu que la dernière fois il a récupéré un fils adepte de " l'électricité ".
Ma petite affaire fonctionne bien et me permet de financer très largement les salaires de Samir et Ammed, sans compter l'approvisionnement du compte de Jimmy.
Le jeudi qui suit, je déboule chez Emma. Vu le temps que nous avons actuellement, je la retrouve auprès de la piscine, toutes les baies donnant sur le jardin grandes ouvertes. Je me défais vite de mes vêtements et enfile un maillot pour la rejoindre (je compte cette année encore garder mes fesses blanches). Elle est en train de lire, je me couche sur elle. Elle me crie de dégager. Je lui enlève son livre de ses mains et écrase ma bouche sur la sienne. Cela coupe court à ses récriminations. Et je sens ses tétons durcir sous le tissu de son deux pièces. ;Je frotte mes pecs contre ses seins. Ils durcissent encore plus. J'envahi sa bouche avec ma langue et elle répond enfin à son excitation. Je bande, ma queue sort du maillot dont je n'avais pas serré le cordon et vient bitter contre le tissu qui couvre sa chatte. Sans cesser de l'embrasser, je glisse une main sur sa culotte, tire le rebord et dégage l'entrée de sa grotte. Ma bite plonge dedans. Elle est mouillée et brulante. Ma main remonte pour défaire son soutient gorge et es tétons viennent frotter directement mes pecs. Je quitte sa bouche et me penche pour sucer ses tétons l'un après l'autre. Elle gémit de plaisir. Je profite d'un mouvement plus ample de mon bassin pour, étant sorti de sa chatte' retirer sa culotte. Je réinvesti aussitôt la place. Ses jambes viennent ceinturer mes hanches et je sens ses talons appuyer au creux de mes reins pour bien m'enfoncer au fond de son vagin. Je reprends ses lèvres et ma langue revient jouer avec la sienne. De temps en temps elle décolle sa bouche pour me murmurer que c'est trop bon, que je la rends folle. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je sors ma bite bien lubrifiée de son vagin et pose mon gland sur sa rosette. Je retire ma langue de sa bouche, on sait jamais si dans un mouvement reflexe elle risquerait de me la mordre, avant de a sodomiser. C'est chose faites quelques secondes plus tard. J'enfonce mon gland d'un sec coup de rein avant de faire glisser lentement mais sans arrêt mes 20 cm dans son cul. J'adore être bien serré par un anus. Quand il est bien " entretenu ", il serre beaucoup plus fort que n'importe quel vagin et il transmet de façon plus violente les contractions dues aux orgasmes. Foin de ces considérations ! Je la cloue sur le matelas à grand coup de bite dans le cul. Emma prend du plaisir sans que j'aie à m'occuper en plus de sa chatte ou de son clito. Je ne me retiens plus et accélère les va et vient. Deux mordillements de tétons plus tard, elle prend son pied et, ce faisant, bloque ma queue dans son cul. A la troisième compression, je ne tiens plus et éjacule tout le contenu de mes couilles au fond de son trou. Je roule sur le coté et me retrouve sur le dos, Emma couchée sur mon ventre. Nous restons ainsi quelques instants avant qu'elle me dise que la mère de Pierre n'allait pas tarder à venir se baigner. Je ronchonne un peu car cela veut dire que nous ne pourrons pas refaire l'amour avant que je parte.
Sonnette, je renfile mon maillot mais un zeste de rebellitude me fait laisser le lacet dénoué et donc laisser mon sexe, par son poids, tirer le tissu vers le bas, jusqu'à laisser entrapercevoir la naissance de ma hampe. Quand après avoir déclenché le portillon d'entrée je lui ouvre la porte, hélène est surprise de me voir et surtout dans une telle tenue. On s'embrasse et elle me dit qu'à me voir comme cela, ça lui ferait presque regretter de m'avoir fait rencontrer Emma ! Je lui roule un patin en souvenir de notre brève relation. Elle me repousse en me disant que si on continuait, elle finirait par me violer sur place. C'est en riant de cela que nous rejoignons Emma. Quand cette dernière nous demande la raison de notre hilarité, je lui rapporte les regrets de son amie. Nous passons une fin d'après midi agréable. J'ai des nouvelles fraiches de Pierre et de son mec Olivier. Et les deux amies de papoter de leurs deux fils homos ! Pierre fini son année d'architecte en tête de la promo et son mari et elle sont enchantés de l'influence bénéfique d'Olivier. Pendant un moment, ils avaient craint que le fait que Pierre s'installe chez lui, occasionne trop de distraction par rapport à ses études mais ce n'était pas le cas. Je le lui confirme en lui disant que depuis qu'ils s'étaient trouvé tous les deux, c'est à peine si nous les revoyons une fois par trimestre.
JARDINIER
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zooterchet · 1 day
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John Warren Freemasonic Temple
Issue Assigned: Gun Control.
Prerogative Reason: Columbine, shootings inspired by the murder of a Turkish Jewess, with sniper rifle.
Profile Identified: Kip Kinkel, earmarked as Uri Geller, Mossad MI-6.
Education: Tiger Mantis Pasha, sold to Israeli government for $30,000 dollars by father; reason, debt on Chevrolet Impala, in Saigon.
Murders:
Yeltsin Russia: Town founder ally of Hopkins, the Ludlows; Elizabethan, "Bailey". Carlin Sarkesian, found on toilet, covered in feces and semen, three Uziel machine pistols and one Armalite Colt Commando recovered; prior having marched, through Hopkinton Highschool, having summoned Ashley Fayden and Afton Pavletic, viewed as lesbian by Sonya Savdie at Holocaust Museum in New York City.
Netanyahu Israel: MUSH developer Alex Fleming, having opposed playership of "Rajura Doji", as Yakuza takeover of Japan, "Attack of the Clones"; played by "Mini-Peebo", 2003, the seizure of character as played superior. "Rungo" summoned, to hunt "Amano", Yakuza thieves dojo code, implanted into Hawaiian Navy, US Navy Coastal Defense of Megaman MUSH. Observed of police officers, having dumped own lunches unfinished, into dumpsters, in violation of OSHA code of local state.
Elizabethan Holland: Matthew Lennox, having joined High Times magazine coalition, against Reese, Doyle, and Elders, supporting Taylors and Colellas, favored for Charlebois family to support Hopkinton EON Gast, against forces of Elizabethans, Ludlows, "Spider"; print of common comics. Marine Corps elements, pinned down, in non-payer commune medicine, outside of Obama Care (ACA), through separate bankers brokers of Baker administration; found in sales of Oxycontins and Chlorozenpine, attempting to duplicate agent outside of police chief assistance.
Persian Mossad: Michael Charlebois, having sought to make son heterosexual in terms of "The Simpsons", episode marked and frauded to reveal as Anthony Parziale, common figure partnered to FBI agent Danielle Murr, on Clearchannel; Arkansas greater south radio, out of George W. Bush's office; offered as a clear tell, in cards, to reveal Bill Clinton as Little Rock killer, at expense of own reputation. Dr. Joshua Golden, as having purveyed Jewish practice, outside of FBI's knowledge, with son reporting for "Ashland News", felonious claims outside of Ashland's jurisdiction, by prior orders of assassin.
Israeli Defense Forces: Eric Frein of Christian Identity Disorder, alias "Har Rosen", hunted by Alexandra Rhzanova, married name, through Matthew Lennox, Brian Monaghan, and David Charlebois; covered at FOX, through Sagat family, Kara Williamson, "Crux", given assassins muster to hunt all IDF Holocaust Museum historians, at arrest given hunts of police having been victims of genocide of Germany, and Italy, smoking marijuana as depicted by Harmony Korine; "swing kids", Jews, just like you.
Elie Wiesel: Theft of semen of DEA operative Zach Savell, given return of child to Savell family, Alfonse y Aragorn, inventor of roast beef and source of first democratically elected leader of world history, Barack Hussein Obama; al-Saffah, "the butcher", returning whiskey and pork to Middle East; clean Malay bitters, Jim Beam, the Fahds, and bacon pulled foot, the cold cuts; frying pans apparent in colloquiam, the answer to Uthman, Aragorn's line. Elie Wiesel, hunted at stadium parliament apartment, by George Soros, for theft of semen from David Charlebois, through Serbian dominatrix. A disturbance in the Force. The Emperor, Matthew Lennox, is displeased. But perhaps, something can be made of the child.
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deadmotelsusa · 3 years
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Birchwood Resort in East Stroudsburg, Poconos, Pennsylvania operated from the 1950s until its closure in the early 2000s. In 1969, a small airport was added to the 300 acre property and the resort offered “fly in” services for honeymooners who would fly, or drive, to the airport in Allentown to connect with their own personal plane waiting to drop them off at the resort’s private air strip. During its prime, private cabins, swimming, a night club, bowling, miniature golf, a shooting range, paddle boats, and badminton were all offered on the property.
Tourism started to decline by the 80s and 90s. In order for the resort to stay open, they began hosting events for fetishists, including a spanking party and bondage weekend. This was not sustainable and within a few years, it closed for good and has been abandoned ever since. In 2014, accused cop killer Eric Matthew Frein was found hiding at the resort after a lengthy 48-day manhunt.
As of 2018, the owners shared plans of renovating and reopening a scaled down version of the retreat. By March 2021, a fire destroyed a large portion of the property making a revival impossible. Source 
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jlstanislas · 4 years
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Article  rédigé pour ManagerSante.com par Thérèse PSIUK, experte à l’Agence Nationale d’Appui à la Performance (ANAP), dans le collège d’experts pour le développement des usages du numérique en santé et membre du comité de pilotage d’un Master “Coordination des trajectoires santé” à la Faculté Ingénierie et Management de la Santé de Lille.
Elle est auteure de plusieurs ouvrages et articles en lien avec le raisonnement clinique, les chemins cliniques, la résilience, le patient partenaire. Parmi ses dernières publications en 2019, elle a co-rédigé avec le Docteur Hugues LEFORT un livre sur le “Patient partenaire, patient expert”, aux éditions Vuibert (Mars 2019). Son dernier ouvrage porte sur “L’apprentissage du raisonnement clinique” (Août 2019) aux éditions DE BOECK SUP
  « En médecine, les sciences mathématiques et les sciences complémentaires ont tenté de prendre le pouvoir sur les sciences humaines et l’examen clinique. Fort heureusement, un coup de frein est donné avec cette approche du patient partenaire, du patient expert. »[1]
Cette phrase du Dr Gérard Chaput dans la préface de notre livre met immédiatement l’accent sur le lien entre le patient partenaire et la relation de soin humaniste qui va guider chaque professionnel de santé dans la démarche clinique mais également dans la démarche d’adaptation du soin. L’objectif est de permettre à ce patient de développer son expertise à la fois dans la connaissance de sa maladie et dans l’adaptation à son parcours de vie.
Démarche clinique et démarche d’adaptation du soin, une complémentarité indispensable
La distinction entre ces deux démarches est essentielle pour cerner l’ampleur de la relation de partenariat avec le patient ; tous les professionnels de santé médicaux, paramédicaux, médico sociaux et sociaux ont une approche à la fois identique du patient mais également une approche particulière liée à la discipline. Chacun doit apprendre à reconnaitre les compétences communes et les compétences spécifiques et doit savoir les concilier dans un raisonnement clinique partagé avec les patients et souvent avec les proches aidants.
La clarification des concepts en lien avec la démarche clinique et ceux qui éclairent la démarche de soins est indispensable à la fois pour évoluer dans ce raisonnement clinique partagé mais également pour faire collaborer le patient dans une démarche d’adaptation du soin.
Dans notre livre, nous avons centré la réflexion sur le patient partenaire comme préalable au développement d’une véritable expertise dans un raisonnement clinique partagé avec les professionnels de santé. Plusieurs situations cliniques réelles illustrent ces propos et démontrent que nous quittons ainsi le cloisonnement par métier pour évoluer vers un nouveau paradigme qui privilégie le partage, les décisions collectives et la coordination des soins.
La relation d’aide prend alors tout son sens car tous les professionnels de santé conduisent avec les patients et les proches aidants une relation d’aide de type counseling à la fois dans la démarche clinique mais également dans la démarche de soin. Il faut alors considérer trois niveaux d’écoute à développer dans l’apprentissage et l’exercice professionnel :
Comprendre ce que dit le malade
Identifier la congruence entre le verbal et le non verbal du patient
Écouter ses propres réactions ; être à l’écoute de ses propres émotions
« Chaque niveau représente une habileté à développer pendant le temps d’apprentissage. Par contre, la performance atteinte dans la combinatoire des trois est liée à l’expérience et ne peut être évaluée lors d’une formation initiale. »[2]
Le processus de la démarche clinique est en lien direct avec le raisonnement clinique basé sur des opérations mentales telles que le réflexe de questionnement, l’induction, la déduction, la créativité. La performance est liée au développement des compétences dans quatre attributs : la pertinence des connaissances en sciences médicales et en sciences humaines, la qualité d’une relation d’aide counseling, l’utilisation adéquate d’une méthode de raisonnement hypothético déductive ou par anticipation et la maitrise des niveaux de jugement clinique précisé dans la législation professionnelle.
Le processus de la démarche de soins vise à combiner certains indicateurs cliniques avec les désirs du patient, certaines de ses habitudes de vie et les indicateurs de qualité du soin standard, pour construire un PPS c’est-à-dire un projet personnalisé de soin.
Un modèle clinique unique, fondement du raisonnement clinique partagé
Lorsque les professionnels de santé parlent du même patient, le langage ne doit pas être différent afin de partager avec pertinence les raisonnements cliniques et permettre au patient de comprendre et de participer aux échanges et aux prises de décisions.
Les domaines évoqués dans un raisonnement clinique sont en général la pathologie ou le handicap, les risques liés à la pathologie, au handicap et aux effets secondaires de traitement ; les émotions positives, négatives et les capacités appartiennent au domaine des réactions humaines et leur lien avec les deux domaines précédents est souvent évoqué par le courant de la psychologie de la santé. L’approche systémique de ces trois domaines cliniques est une plus-value très pertinente pour en comprendre les interactions et faire un choix adapté des interventions de soins ; par exemple, dans certaines situations, un patient très angoissé peut avoir une exacerbation de sa douleur et l’aider à gérer son angoisse peut avoir une incidence favorable sur l’efficacité d’un traitement médicamenteux.
« Le modèle clinique trifocal est un cadre de référence pour structurer les différents problèmes de santé d’un patient en fonction du jugement clinique. Il différencie les problèmes réels et les problèmes potentiels en termes de risques. Dans les problèmes réels, il permet de distinguer les maladies aux réactions de la maladie. Cette structure en trois domaines donne une vision holistique de la problématique de santé d’un patient avec la compréhension des différents champs de connaissances (sciences médicales et sciences humaines). »[3]
Créer le lien de confiance avec le patient est une condition essentielle pour que celui-ci ose raconter son histoire, décrire ses signes, ses symptômes, évoquer son vécu de la maladie et ses ressentis ; ce patient souvent aidé par son proche aidant collabore concrètement à la construction de sa problématique de santé. Chaque professionnel de santé doit développer une compétence d’écoute, de perception, d’intuition, de questionnement, pour conduire un raisonnement clinique pertinent.
L’échange des raisonnements cliniques individuels évoluent vers un raisonnement clinique partagé dans une intelligence collective :
« L’intelligence collective est dynamisée dès lors qu’il existe un but formalisé entre les différents individus d’un groupe en s’appuyant sur la construction d’une connaissance commune cohérente »[4]
La délibération collective prend alors tout son sens avec le respect d’une dimension éthique comme le précise le professeur Eric Delassus [5]:
« Ainsi, le point de vue du médecin n’est pas celui du patient, qui n’est pas celui du soignant, qui n’est pas celui du psychologue ou du paramédical. Il convient donc de faire se rencontrer les points de vue et c’est dans une certaine mesure ce qu’il se passe dans la délibération pluridisciplinaire au cours de laquelle chacun, se nourrissant du point de vue de l’autre pour enrichir son propre point de vue, essaie de contribuer à l’élaboration de la meilleure solution possible. »
A partir du processus de démarche clinique, les professionnels de santé vont clarifier progressivement la problématique globale de santé du patient et orienter ensuite le choix de toutes les interventions de soins. Nous allons entrer dans un autre processus de raisonnement : soins prescrits négociés avec le patient, coordonnés entre professionnels de santé dans le parcours de soin du patient et soins réels mis en œuvre par chaque professionnel avec une démarche d’adaptation pour personnaliser le soin. Durant le déroulement du soin, le raisonnement clinique est en action pour identifier les données évolutives, percevoir les indices d’une problématique nouvelle. La relation de confiance avec le patient est sans cesse une création à chaque étape du processus démarche clinique – démarche d’adaptation du soin et cela concerne tous les professionnels de santé.
La démarche d’adaptation du soin au patient, fondement du soin personnalisé 
Afin de bien comprendre la différence et en même temps la complémentarité entre démarche clinique et démarche de soins, nous avons choisi le cas réel de Vianney [6] atteint d’une sclérose latérale amyotrophique, accompagné par un infirmier et une aide-soignante pour ses soins quotidiens. Cet exemple illustre parfaitement la pensée de Virginia Henderson centrée sur l’autonomie comportementale et la capacité de décider soi-même pour personnaliser le soin.
« Les moyens mis en œuvre pour la gestion des risques, des réactions comportementales et des capacités sont bien apparents dans ce protocole de soin tapé par Vianney, après négociation avec les soignants. Les relations et les interactions entre la démarche clinique et le déroulement du soin sont évidentes ainsi que le respect des désirs et des habitudes de vie de Vianney. La relation de confiance qu’ils ont créée depuis longtemps avec Vianney les a aidés pour discuter et négocier le protocole personnalisé d’accompagnement à la toilette. Suite à cette négociation, Vianney a souhaité taper lui-même son protocole avec une baguette car il ne pouvait plus mobiliser ses bras. »[7]
L’autonomie comportementale est un concept à privilégier à la fois dans le soin prescrit mais également lors du soin réel. Virginia Henderson proposait par exemple d’adapter la participation du patient en fonction de sa fatigue, de ses émotions, de ses connaissances. C’est effectivement dans la démarche d’adaptation du soin au patient que la pensée de Virginia Henderson prend tout son sens ; il ne faut pas confondre une théorie de soins avec les sciences médicales et les sciences humaines qui orientent la démarche clinique. Le raisonnement clinique est bien une compétence essentielle dans la démarche clinique alors que le raisonnement de personnalisation du soin est une compétence aussi essentielle dans le processus de la démarche d’adaptation du soin.
Dans le chapitre 4 de notre ouvrage, nous avons publié un extrait d’une recherche-action[8] dans laquelle l’auteur propose le lien entre les attributs du concept autonomie et leur mobilisation dans un programme d’éducation thérapeutique pour gérer la pompe à insuline sous cutanée, puis une évaluation de l’autonomie des patients à domicile. Au-delà des caractéristiques présentes de l’autonomie comportementale, l’auteur a mis en évidence une « naissance » du sentiment d’efficacité personnelle.
Ce concept développé par Albert Bandura [9] est très bien adapté dans le partenariat du patient durant un soin quelle que soit la dimension : préventive, éducative, de maintenance, curative, de réadaptation – réhabilitation. La prise de conscience de ce sentiment d’efficacité personnelle est une garantie pour l’évolution de l’autonomie dans le soin :
« Un patient confirme pouvoir décider, être capable de choisir et d’adapter ses choix à son propre corps, d’être capable d’évaluer l’efficacité de ses choix en lien avec l’hypoglycémie ou l’hyperglycémie et d’être capable de gérer son stress ».[10]
Quel partenariat dans la démarche clinique et la démarche d’adaptation du soin ?
Nous devons considérer que tout patient est un partenaire et qu’il convient d’adapter les caractéristiques de ce partenariat aux connaissances, aux motivations, aux émotions de chaque personne. L’alternance d’une position haute et d’une position basse durant un entretien médical est une garantie pour obtenir des informations précises sur une problématique de santé mais également sur le vécu du patient et du proche aidant.
Toutes ces données vont orienter la démarche diagnostique, le choix des examens à réaliser, les traitements et les soins à réaliser, avec le respect d’une information claire au patient à chacune des étapes. Le partenariat professionnel de santé – patient est permanent dans un parcours de soin ; il engage chaque partenaire à une relation authentique, au partage d’informations compréhensibles.
La gestion des émotions pour les deux partenaires est une condition importante pour la réussite d’un dialogue constructif ; dans sa mission d’accompagnement, le soignant est confronté à la complexité de gérer ses propres émotions mais également d’être attentif à celles du patient :
« « il serait important de considérer l’attention aux émotions comme une composante essentielle d’une prise en soin de qualité »[11]
La prise en soin de qualité commence dès le premier contact avec un patient au moment où le soin relationnel est prioritaire pour l’accompagner à clarifier la problématique de santé : écouter, poser les bonnes questions , comprendre ce que dit la personne avec ses propres mots, faire le lien avec les connaissances scientifiques… chaque professionnel de santé peut conduire individuellement un raisonnement clinique en respectant les niveaux de jugement clinique autorisés par la législation professionnelle : un médecin a le droit de valider une hypothèse pour poser un diagnostic médical, une infirmière collabore au recueil de données en fonction de ses hypothèses et les transmet au médecin pour aide au diagnostic ; lorsque le diagnostic est posé l’infirmière collabore à l’évaluation de l’efficacité des traitements et des soins. La coordination des raisonnements cliniques des professionnels de santé, du patient et du proche aidant montre la performance du raisonnement clinique partagé.
C’est une composante qui mériterait d’être valorisée dans les formations initiales car le partenariat avec le patient doit devenir fluide tout au long du parcours de soin. Nous pouvons espérer que cette prise de conscience nous aidera à quitter le cloisonnement encore présent entre les différences disciplines médicales et paramédicales. Le raisonnement clinique partagé est une compétence commune qui doit s’acquérir dès la formation initiale dans un contexte de développement de l’intelligence collective.
La résultante de la démarche clinique est de proposer au patient des soins dans les cinq dimensions : préventive, éducative, curative, de maintenance, de réadaptation-réhabilitation. Quelle que soit la dimension du soin prescrit, le partenariat avec le patient sera dans la personnalisation du soin standard à partir de ses désirs et ses choix dans la limite des risques définis à partir de sa maladie ou son handicap. L’éducation thérapeutique devient alors essentielle pour respecter son autonomie et la qualité de vie qu’il se définit :
« La qualité de vie est très subjective et peut avoir une définition très différente d’une personne à l’autre. Pour améliorer la qualité de vie du patient, il est important de savoir ce que le patient juge pertinent dans la prise en compte de la qualité de vie. Avec une prise en charge centrée sur le patient, les connaissances des professionnels et l’expérience du patient sont complémentaires »[12]
En conclusion
Le partenariat patient-professionnels de santé doit devenir fluide tout au long d’un parcours de soins mais cela est parfois complexe ; le soignant doit avoir l’intelligence émotionnelle de « quitter » régulièrement les émotions qui l’envahissent pour raisonner avec rigueur, bienveillance afin d’accompagner vers une « Résilience et une Densification de l’être ».
Dans notre ouvrage, nous avons souhaité interroger ces deux concepts à partir de deux témoignages exemplaires. Nous avons voulu démontrer que les connaissances scientifiques peuvent être au service d’un partenariat de haut niveau ; la compétence à acquérir est d’apprendre à mobiliser les caractéristiques d’un concept dans une situation clinique réelle, de définir des indicateurs de réussite, d’en évaluer régulièrement les résultats et d’adapter constamment l’accompagnement dans le soin…l’enjeu est que le patient devienne de plus en plus actif jusqu’à l’autonomie complète.
[1] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, page IV
[2] T. Psiuk, l’apprentissage du raisonnement clinique, éd. De Boeck, 2ème édition 2019, p 56
[3] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, p 51
[4] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, P 80
[5]  Pr. Eric Delassus, Article publié le 26 juin 2020 , Manager santé.com
[7] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, p 54
[8] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, p 72
[9] A. Bandura, Auto-efficacité, le sentiment d’efficacité personnelle, éd. De Boeck Université, 2002, 880p.
[10] H. Lefort, Th. Psiuk , Patient partenaire, patient expert, éd. Vuibert 2019, p 77
[11] Clarisse Lescroart, « compétences émotionnelles des soignants et qualité de vie des patients », travail d’étude 2019-2020 licence Psychologie de la santé , université de Lille, p4
[12] Clarisse Lescroart, « compétences émotionnelles des soignants et qualité de vie des patients », travail d’étude 2019-2020, université de Lille, p12
  Nous remercions vivement Thérèse PSIUK, experte à l’Agence Nationale d’Appui à la Performance (ANAP), dans le collège d’experts pour le développement des usages du numérique en santé et membre du comité de pilotage d’un Master “Coordination des trajectoires santé” à la Faculté Ingénierie et Management de la Santé de Lille, pour avoir accepté de partager son expertise, à travers cet article,  pour nos fidèles lecteurs de ManagerSante.com
Biographie de l’auteure : 
Directrice des soins (10 ans) et directrice pédagogique dans un organisme de formation (15 ans), Thérèse PSIUK a accompagné des équipes pluridisciplinaires sur le développement du raisonnement clinique partagé et des outils en lien avec les parcours de soins et les chemins cliniques.
Membre du comité de pilotage du Master à Lille « coordination des trajectoires de santé », responsable de l’unité d’enseignement raisonnement clinique partagé.
Experte ANAP dans le collège numérique en santé ; Ma mission est essentiellement centrée sur le développement de l’informatisation des chemins cliniques.
Auparavant, elle a exercé en tant qu’infirmière dans un service de grands brulés.
Puis, elle s’est orientée vers l’enseignement auprès des IDE, des AS, des Cadres de Santé avant de prendre la direction d’un IFSI.
Suite à la création d’un organisme de formation, elle a accompagné des équipes pluri professionnelles de territoires (ville et hôpital) en formation-supervision sur le raisonnement clinique partagé avec le développement des chemins cliniques, outils de coordination dans les parcours de soins.
Vice-présidente de l’ARSI durant plusieurs années, Thérèse PSIUK a suivi une formation à l’université de Montréal en approfondissement de la recherche : elle a utilisé la méthode de la théorie ancrée lors des supervisions sur les terrains avant de modéliser les attributs du raisonnement clinique.
Auteur de plusieurs ouvrages et articles en lien avec le raisonnement clinique, les chemins cliniques, la résilience, le patient partenaire, elle dirige une collection de livres « Sciences et Santé » aux éditions Vuibert.
Elle anime régulièrement des conférences à la demande des établissements de santé publics et privés.
OUVRAGES PUBLIES PAR THERESE PSIUK 
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Peut-on renforcer la place du “patient partenaire” au cœur de la démarche clinique et de la démarche d’adaptation du soin ? Thérèse PSIUK nous propose son analyse. Article  rédigé pour ManagerSante.com par Thérèse PSIUK, experte à l'Agence Nationale d'Appui à la Performance (ANAP), dans le…
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parcours-sceptiques · 4 years
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Une histoire de Sandra
J'ai 5 ans, ma grand-mère m'explique la vie des saints en BD. Elle m'apprend à bien lire les commentaires en dessous des jolies images de jeunes gens agenouillés devant une belle dame à la robe blanche et ceinture bleue, des roses sous les pieds nus. Je me disais que ça devait lui faire mal et que c'était peut être pour ça qu'elle avait un visage aussi triste. Je passais d'une histoire à l'autre avec, si je m'en souviens bien, toujours avec des jeunes gens et de préférence des jeunes filles qui recouvraient la vue après une apparition et quelques prières ou qui marchaient à nouveau alors qu'elles étaient paralysées. Je trouvais ça chouette, sauf la suite parce qu'en général elles passaient leurs vies dans un couvent qui ne me semblait pas un lieu de vie joyeuse. Ma grand-mère me montrait aussi des photos de peintures avec des gens ayant des sortes de disques au dessus de la tête mais qui avaient tous la commissure des lèvres vers le bas, qu'ils se trouvent sur terre ou au paradis dont elle me vantait pourtant la félicité …J'ai 8 ans, je suis plus souvent chez mes parents. Mon père dit qu'il ne croit pas en Dieu et ma mère est d'accord. Il y a quand même des croix dans les chambres et du buis béni, on ne sait jamais. Ma grand mère vient régulièrement me chercher pour m'amener aux célébrations chrétiennes importantes. Je n'ai pas voulu aller aux “cendres” car elle m'a expliqué que le prêtre faisait un signe de croix sur le front avec. Moi, j'imaginais la brûlure …J'ai 11 ans, mon père grand et fort, du haut de son mètre soixante quinze parle des soucoupes volantes le soir à la maison. Mon grand frère raconte avoir trouvé un cercle dans une clairière de la forêt, probablement un atterrissage discret… Je suis leurs conversations fascinée. J'ai 12 ans, mon grand-père décède. Le lendemain matin mes parents le voient tous les deux qui les regarde depuis l'encadrement de la porte de leur chambre. Ils en sont bouleversés. Je ne suis jamais arrivée à savoir qui le premier des deux a vu mon grand-père dans la nuit ! leur chambre bien close et qui a disparu sitôt la lumière allumée …Et quelques années plus tard, j'ai vu ! Oui j'ai vu ! J'ai vu deux grosses étoiles brillantes dans le ciel, se déplacer à grande vitesse et sans ralentir tourner à angle droit pour s'éteindre en plein ciel bleu. Des dizaines d'autres personnes ont vu ! La presse relate les descriptions. Je rejoins une association d'ufologues. A ma grande surprise, ils ne s'enthousiasment pas et cherchent une cause prosaïque que l'un donne sans précautions pour ma petite personne déçue. Je reste quand même dans l'association où d'autres membres parlent de paranormal et d'ovnis. Puis arrive le livre “et si les ovni n'existaient pas” de Michel Monnerie. Ho la bonne baffe ! Puis je commence à lire du Eric Maillot et je freine des 4 fers à nombre de ses explications que je trouve trop définitives. Puis je lis du Jean-Michel Abrassart, mais il me faudra très très (trop) longtemps pour digérer son approche, ses explications. Enfin, je suis sur internet et je tombe en premier sur les sceptiques du Quebec, puis plus tard sur des écrits de zététiciens. C'est seulement la que j'ai commencé à intégrer les saines réflexions des Maillot, Abrassart, Martin, Broch et consorts. (Je ne peux pas tous les citer hélas mais merci à vous sceptiques et zététiciens !) Maintenant, j'écoute, je lis de La Tronche En bais entre autres. J'apprends, je réfléchis (ben oui un peu) et je me marre car tous ces gens sont non seulement pertinents mais ont un humour certain, ce qui ne gâche rien, au contraire ! Je regarde avec un bonheur non dissimulé les émissions type Alien Théory et autres ancient Alien ou équateur penché en repérant tous les biais, les méthodes oratoires et même celles techniques destinées à faire avaler des couleuvres. J'ai donc remplacé un plaisir par un autre : Mon envie d'extraordinaire par la détection du bullshit ! Et c'est vraiment la que se trouve le merveilleux !
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Pennsylvania Supreme Court to Hear Eric Frein Appeal in Ambush Attack that Killed Trooper
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Lawyers for Eric Frein and Pike County prosecutors are scheduled to argue before the justices in Harrisburg on Thursday, nearly four years after the shootings and subsequent 48-day manhunt in the Pocono... from NBC 10 Philadelphia - Top Stories http://www.nbcphiladelphia.com/news/local/Pennsylvania-Supreme-Court-to-Hear-Eric-Frein-Appeal-in-Ambush-Attack-Killed-Trooper-482897091.html via NBC 10
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