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#elle me manque tellement
maviedeneuneu · 1 year
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Il s'est passé un truc magique cette année pour Noël. Le 24, j'étais avec mon frère et on cherchait du scotch pour emballer les derniers cadeaux, et là mon frère a trouvé des cadeaux que notre maman avait préparé pour nous mais qu'elle n'a jamais pu nous offrir.
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lisaalmeida · 4 months
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On se parlait peu, on n’avait pas à se rassurer.
J’étais avec elle tout le temps même quand je la quittais.
Je me demandais comment j’avais pu vivre avant si longtemps sans la connaître, vivre dans l’ignorance.
Dès que je la quittais elle grandissait à vue d’œil.
Je marchais dans la rue et je souriais à tout le monde, tellement je la voyais partout.
Je sais bien que tout le monde crève d’amour car c’est ce qui manque le plus, mais moi j’avais fini de crever et je commençais à vivre.
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— Romain Gary -
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 93
Dimanche prévu calme, pas de visite.
Ça fait longtemps que nous n'avons sorti les motos. Il fait sec à défaut de faire très chaud et après le footing (sage) et une bonne douche, Marc décide que nous allons déjeuner au bord de la mer.
Sous vêtement polaires (pour tenir chaud), combis cuirs, casqués et bottés, nous enfourchons nos bolides. Je prends ma Ducat et Marc opte pour le VFR. 3/4 heure plus tard, gelés nous contemplons l'océan depuis la promenade d'une grande station balnéaire.
Bon c'est pas le tout mais on se les cailles ! Je suis sûr que mes belles " noix " sont devenue de pauvres petites olives, si je les retrouve !
Nous avisons un bar ouvert. Notre arrivée jette un froid ;(ouverture de porte oblige). Pas grand monde, quelques habitués dans le fond et au bar trois jeunes en train de discuter.
Nous nous posons à une table. Je dépose mon casque sur ma chaise et décide d'aller au WC (le froid ça donne envie de pisser).
Deux urinoirs et deux toilettes fermés. Je choisis un urinoir. Je dé zippe ma combi jusque sous les couilles et sort mon service trois pièces. Effectivement il est tout rabougri ! Le fait d'uriner le réchauffe et avant que j'ai fini, je suis de nouveau " présentable ". Derrière moi la porte s'ouvre, je jette un coup d'oeil sachant que Marc n'aurait pas laisser nos affaires sans surveillance, je vois un des trois jeunes. Il s'installe à l'urinoir d'à coté et commence à pisser.
Je reste quelques instants à faire tomber la dernière goutte laissant discrètement le champ libre pour qu'il puisse mater. Ce qui ne manque pas de faire ! j'entame la conversation par un " pas chaud, ça nous avantage pas ! " en donnant un coup de menton vers mon sexe. Il acquiesce et me renvoie un " ça doit donner pas mal alors quand elle est chaude " en fixant ma bite. Je lui propose alors de voir et nous passons à une cabine. Elle est suffisamment grande pour notre affaire.
Il s'assoit sur le siège et se penche pour prendre sans chichis ma bite dans sa bouche. Ca suffit pour me faire bander immédiatement. Je le détaille pendant qu'il me suce. Environ 18 ans, blond, fin avec la mèche qui lui couvre la moitié du visage. En attendant il suce comme un pro. Je ne suis pas son premier. Après m'avoir bien agacé le gland, il se l'envoi direct dans la gorge sans tousser. Je le félicite et plaque une mains sur sa nuque pour lui donner le rythme. Il profite d'un retrait pour me dire qu' " elle est bonne " avant de se re jeter dessus. Pendant qu'il me suce, il se branle (je vois une bite de 15/16 cm entre ses mains).
Je sens la sauce monter. Je le préviens. Il cesse alors de se branler et ses deux mains sur mes fesses, me pompe de plus belle. Il veut mon jus !! il est fou, il me connaît même pas ! Au bord de l'explosion, j'arrive à sortir de sa bouche et explose sur le carrelage. Si j'avais juté sur son visage, il aurait été capable de tout ramener à sa bouche avec ses doigts !! Il se branle deux coups et ajoute son sperme à la flaque que j'ai faite au sol. Nous nous essuyons, je le félicite pour la pipe et surtout de sa gorge profonde mais j'ajoute qu'il est fou d'avoir voulu me " boire ". Il s'excuse et me dit qu'il avait été emporté, tellement elle était bonne (ma pine).
Je rentre le premier dans la salle. Marc me dit que j'ai pris mon temps pour pisser. Comme le jeune rentre à son tour, je lui répond que c'était lui qui avait pris mon temps en me vidant les couilles.
Marc décide alors d'y aller à son tour. Je sirote un grand chocolat et surveille du coin de l'oeil les trois jeunes du bar. 1mn après que Marc soit entré aux toilettes un des copains de mon suceur y va à son tour (même style que le mien mais en brun).
Je compte le temps en lisant un journal de la veille qui traîne. Marc ne me rejoint que 20mn plus tard. Je paye les consos et nous partons chercher un restaurant. En chemin il me raconte ce qui s'est passé.
le petit mec est entré, s'est installé à l'urinoir d'à coté de lui et à carrément descendu son pantalon sous ses fesses en lui demandant si ces dernières l'intéressaient.
Ses 22cm bien raides l'ayant trahi, il l'a poussé dans une cabine et kpoté (on en a toujours dans une des poches de nos combis), l'à enculé direct.
Quand je lui ai demandé " sans préparation ?" il me dit " oui direct, et sans difficultés ".
il l'a donc enfilé debout alors que le minet s'arqueboutait au mur. Il m'a dit que c'était une vraie salope et qu'il n'était sûrement pas son premier vu son appétit de sexe. En attendant il avait bien rempli la kpote alors que son enculé jutait direct dans la cuvette.
Nous continuions à marcher quand, nous sentant suivis, je me suis retourné. Le trio du bar nous suivait ! Nous les avons attendus et c'est le " mien " (mon suceur) qui a pris la parole nous demandant si on était partant pour initier leur pote (le troisième) qui s'était enfin décidé à sauter le pas. Marc leur a fait remarquer que pour une première fois des chiottes de bar c'était pas ce qui était le plus pratique. Le brun nous a dit alors qu'ils habitaient pas loin. Nous avons repris nos motos et les avons suivit quelques centaines de mètres. Ils habitaient en fait la maison de vacances d'un des parents car leur IUT n'est qu'à 20mn en voiture, située juste derrière le front de mer et ses immeubles.
Les motos sur leurs béquilles, nous sommes entrés à leur suite. Après le froid du dehors, nous avons tous eu l'impression qu'il y faisait une chaleur torride. Nous nous sommes débarrassés de nos cuirs et nous de la couche de polaire pour nous retrouver en shorty. Les mec se sont déshabillés aussi histoire qu'on soit pas les seuls. Apéro, le jeune à initier, un peu tendu, s'est enfiler direct un grand whisky. Je lui ai dit de pas trop forcer, être détendu ok, être soul non !
Le brun est aller chercher les kpotes et le gel pendant que nous discutions de l'envie d'essayer du plus jeune. De toute façon son slip ne pouvait cacher l'intérêt qu'il portait à la chose, une belle barre partait sur son coté gauche déformant le tissus de belle façon. Marc lui a pris le menton dans sa mains et l'a attiré à lui pour lui rouler une pelle. Il est très fort à ce jeu là et le petit mec à fondu direct. De mon coté je m'occupais du bas, faisant glisser son slip à ses pieds. Son pote (mon suceur) me disant que cela faisait un bout de temps qu'il en rêvait quand ils prenaient leurs douches ensemble au foot, s'est jeté sur la bite. Au fond du canapé, son mouvement de recul n'est pas allé bien loin et son pote a pu lui bouffer la bite jusqu'à l'os. Du coup je m'occupais de ses tétons qu'il avait suffisamment gros pour que je puisse les prendre entre les dents. Au bout de 10mn environ, nous l'avons " relâché " pour savoir si il avait envie de continuer. Devant sa réponse positive et même plus, enthousiaste, nous avons repris le taf. Marc et moi avons dirigé les deux plus expérimentés pour qu'ils nous prépare le puceau. De la pipe (passif) nous l'avons initié au 69 puis au 69 avec les couilles bouffées par son autre copain. Nous les avons calmés lorsqu'il était trop près de jouir. Puis j'ai dit au bouffeur de couilles de s'attaquer à sa rondelle.
Aussitôt dit aussitôt fait. A grands coups de langue, le brun lui a mouillé l ;"anus, puis dardant sa langue, a commencé à lui travailler le trou. Bientôt la langue est entrée de quelques mm puis d'un bon cm. Je lui ai dit alors de passer aux doigts. Chose faite sans douleur quelques 10mn plus tard avec alternance : doigts - langue - salive... Les gémissements de l'intéressé sont parvenus à nos oreilles, nous étions sur la bonne voie. Quand Marc a décidé qu'il était prêt, je me suis rapproché. Nous l'avons mis en levrette, le blond (suceur de compétition dessous à lui téter la bite), et kpoté, couvert de gel, je me suis posé sur son anus. Marc à sa tête lui a dit de pousser. J'en ai profité pour enfoncer mon gland d'un coup. Le puceau a accusé le coup d'un bref cri.
Pour le distraire, Marc lui a donner sa queue à sucer. Ça le changeait de celle du blond au niveau dimensions ! mais plein de bonne volonté, il s'est mis à téter bruyamment. Le voyant distrait, j'ai continué ma progression. Que c'est bon un cul vierge ! ça faisait longtemps que je n'avais plus connu cette sensation, serré, très serré, avec des difficultés pour m'enfoncer, vraiment très bon !!
Je me suis enfoncé lentement jusqu'à ce que mes couilles touchent le front du blond en train de le sucer (jusqu'au fond quoi !). Retrait en douceur, nouvelle couche de gel, et ré intromission, ce coup ci plus facile. L'ex puceau ne savait plus où donner de la tête, sa bite lui envoyait plein d'excitation, son cul d'autres différentes et le gland de Marc en lui bourrant la gueule un troisième point de stimuli. J'ai cédé rapidement la place à Marc, avant que notre jeunot explose et j'ai pris la sienne. J'avais bien préparé le passage et les 22cm ce sont enfoncés avec un minimum de grimaces. J'ai vite abandonné sa bouche pour le cul du brun qui était très en manque et n'osait pas demander vu qu'on était occupé par son pote. Je l'ai placé juste en face du jeunot pour qu'ils puissent se rouler des pelles et ensemble sucer le blond .
Puis ça a été la cascade. L'ex puceau s'est vidé en hurlant de plaisir, le blond a tout mangé et il lui a juté au visage. Mon brun s'est redressé et son sperme est venu s'ajouter à celui du blond pendant que je remplissais ma kpote bien calé au fond de son cul. Marc quand à lui avait rempli sa propre Kpote avant que notre fraîchement initié n'ai fini de se vider.
Douches pour tout le monde, et nos " nouveaux amis " ont commandé des pizzas. C'était tout juste car il était presque 15h et leur service à domicile terminait.
Il aurait été sympa que le livreur soit une petite bombe sexuelle et que nous ayons remis ça, mais ça n'est resté qu'un fantasme ! le mec était petit mais plein de boutons !
Nous sommes rentrés pas trop tard. Pendant tout le retour, j'ai pensé à Marc et à sa queue dans mon cul. Je ne l'avais pas encore eu de la journée et elle me manquait. Ça va être dur la semaine prochaine ! Marc sera en déplacement du lundi au vendredi soir !!! Juste descendu de moto, je laissais mon casque sur le rétro et m'approchais de lui pour lui retirer le sien. Ce dernier posé sur son étagère, je me suis collé à Marc et lui ai roulé un patin d'anthologie. Malgré le froid du garage, je l'ai senti chauffer sous son cuir. Son sexe c'est gonflé et dressé contre le mien déjà déployé. Plus nos salives se sont mélangées et plus nous étions excités. Nous nous sommes réfugiés dans le donjon (puisqu'il jouxte le garage), au chaud.
Je l'ai " désincarcéré " de sa combi et très vite mis à nu. Ma propre combi sur les hanches, je me suis agenouillé devant lui laissant ma langue en contact avec sa peau tout pendant la descente vers son sexe. Elle a glissée le long de son menton puis de son larynx. Au niveau des pecs, elle s'est perdu à droite et à gauche jusqu'aux tétons pour les faire se dresser puis a continué son chemin vers le bas, passant dans le sillon de ses abdos pour atterrire sur le gland qui cachait son nombril. Délicatement j'ai pris ses couilles dans une main et les tirant légèrement vers le bas, ai décollé sa bite de ses abdos. Là j'ai pu chapeauter son gland de ma bouche.
Dans un premier temps, je ne me suis occupé que de lui. Faisant tourner ma langue dessus, l'enduisant de salive, excitant l'ensemble par de fréquent étirements de son frein, essayant d'enfiler le bout dans son meat. Quand la peau de son gland s'est trouvé tendu à son maxi et sous l'impulsion de ses mains posées sur mes épaules, je me le suis enfoncé jusqu'à la glotte puis après une bonne respiration l'ai fait passé dans ma gorge. J'aime me sentir à sa merci. Là, si il ne me relâchait pas, je m'étoufferais sur place, les voies respiratoires bouchées par son gland. Il relâche la pression sur mes épaules le temps que je le désengage et que je renouvelle mon oxygène puis appuie de nouveau. Trop bon !!
Cette position ne me permet pas de prendre ses 22cm entiers, ça m'énerve car j'aime ça et lui aussi. Je me redresse et nous nous roulons de nouveau un patin. Je quitte vite mes bottes et le reste de ma combi. Nu je me place vite dans un des sling, à l'envers pour avoir, sans réglages, ma bouche à la bonne hauteur. Je rejette ma tête en arrière et Marc vient enfoncer dedans son sexe. Là, je peux vraiment profiter de sa longueur complète. Il s'enfonce, s'enfonce et je sens ses couilles me boucher le nez.
Marc ne peut se retenir plus longtemps et se met à me bourrer la gueule (y'a pas d'autres mots). Je cale ma respiration sur son rythme et j'arrive à tenir le coup. Je sens des coups de pression dans sa bite. il est très excité et doit se retenir de jouir. Il se couche au dessus de moi et tirant mon cul ver lui, me bouffe l'oignon. Il salive bien et je m'ouvre sous sa langue. il me crache dans le cul pour bien me lubrifier. Quand il se retire de moi, c'est pour me faire pivoter et m'enculer direct. Heureusement que c'est lui ! je suis très détendu et m'ouvre sans problème sous la poussée de ses reins.
Je ferme les yeux pour concentrer mon attention sur le seul sens du toucher. Je sens alors de façon plus intense sa bite coulisser en moi, son gland écarter mon boyau puis ses abdos écraser mes couilles quand les siennes (de couilles) se collent à mes fesses. Trop bon, trop trop bon ! ;Marc m'encule ainsi un bon 1/4 heure en variant les vitesses et le taux de pénétration. Plusieurs fois déjà, à ma demande, il a stoppé ma montée de jus et appuyant fortement sur le périnée. Je veux jouir en même temps que lui et comme il sait parfaitement se maîtriser, je sais que je vais en prendre encore un bon moment.
Comme il aperçoit une petite tache sur son gland à la faveur d'un va et vient plus complet, je reçois l'ordre d'aller me laver. Je vais vite aux bloc sanitaire et m'octrois le lavement nécessaire. Comme je suis déjà bien dilaté, je fais attention et suis de retour 5mn plus tard l'intérieur nickel.
Marc prend la précaution de me graisser à nouveau le cul avant de réinvestir mon trou. Je me place au travers d'une des selles, plié en deux au niveau des abdos. J'écarte bien les jambes. Je sens ses mains écarter mes deux globes et un courant d'air froid me lécher la rondelle. Cela ne dure pas car il pose aussitôt dessus son gland. Quand je " rue " pour le faire entrer plus vite, il se recule et une de ses mains quitte mon épaule pour me donner une petite claque sur la tête, j'ai compris, je me calme !
Je referme les yeux, de toute manière, mon horizon est limité au pavés du sol et j'attend. Je sens qu'il prend encore plus de temps que tout à l'heure pour me prendre. C'est un supplice !! j'ai l'impression qu'il met une heure pour faire entrer son gland ! Je ressens chaque millimètre de sa chair conquérante. J'en hurlerais tellement c'est bon et que je voudrais qu'il aille plus vite ! d'ailleurs je le fais nous sommes suffisamment isolés pour que personne ne m'entende. Mais cela ne le fait pas accélérer pour autant ! Je subis alors " stoïquement " mon supplice. Enfin je sens ses couilles toucher les miennes, son gland est au plus profond de moi, c'est trop bon (je sais je me répète !).
Là, il se déchaîne. Ses mains ancrées à mes hanches, il me pilonne. Il profite totalement de ses 22cm sortant entièrement pour rentrer encore plus brusquement. Je souffle mais j'adore quand il me prend à la hussarde. Sans me toucher je me sens monter en pression et bientôt je ne peux plus me retenir et graisse le cuir de la selle avec mon sperme. A chaque fois que j'éjacule je serre ma rondelle et bloque Marc dans son mouvement. Ça fait trembler le chevalet sur lequel est posée la selle ! quand je jute pour la troisième fois, je sens couler son sperme au fond de moi. Il ne bouge plus, collé sur mon dos. J'attend, je suis bien sous le poids de son torse, aimé, protégé je somnole à moitié. Il commence à débander. Mon anus se resserre et quand il sort je ne laisse échapper aucune goutte. Une douche rapide et, nus, nos cuir sur l'épaule, nous regagnons la maison.
Ça va être dur une semaine sans lui !
JARDINIER
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theoppositeofadults · 6 months
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j'ai une de mes collègues qui est une peste insupportable, deux de mes collègues préférées étaient dans son équipe et elles sont parties tellement elle était horrible comme manager: en plus d'être incompétente, elle s'attribue constamment le mérite du travail des autres, elle délègue tout, et elle accuse les autres de faire des bourdes qu'elle fait
et le problème principal: elle est hyper proche de notre DRH donc c'est mission impossible de la critiquer
mission impossible sauf pour une personne : sophie et sa grande bouche et son offre d'emploi pour autre part
et oui, parce que certes : elle va sûrement pleurnicher à notre DRH parce que je dès qu'elle essaie de m'arnaquer, je suis dans le bureau de notre patron dans l'heure, mais.... je ne vais pas pleurer si on ne me propose pas de promotion ou d'augmentation parce que je PARS. bonheur absolu.
j'ai écrit un position paper le mois dernier et elle a changé 3 phrases et l'a présenté comme le sien? je lui ai envoyé un message avec mon patron et notre chef de département comme quoi c'était un manque de respect pour mon travail.
elle a essayé de me faire faire quelque chose que mon patron lui avait demandé de faire ? j'ai ignoré tous ses mails et j'ai demandé à mon patron de lui expliquer que je ne devais pas travailler sur ce projet (il lui a dit d'arrêter de me faire faire son travail)
ça va être le plus beau mois de ma vie ce dernier mois au boulot!
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moonchiesim · 9 months
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Été 1889, Brindleton Bay
Cher journal, Mon mari est un homme charmant. Je le savais parce qu'il m'a fait la cour pour deux années pleines avant les épousailles, mais de vivre ensemble m'a vraiment fait comprendre quel bel homme j'avais là. Joséphine Lennox. Ça sonne bien, non ? Mon père, Jean Baptiste Abbot, il est chimiste et il sait des choses. Il a dit du grand bien de François Xavier, parce que le défunt père de mon mari était vétérinaire, alors son fils a hériter de son intellect, de toute évidence, et que nos enfants seront vifs d'esprits, eux aussi. Je n'ai pas l'habitude de notre petite vie, mais c'est pas si pire. Tu sais, mon journal, la vie à Windenburg avec maman et les petits me manque un peu, mais j'apprécie de m'occuper d'une maison, même si elle tombe de partout et que même les lapins me cherchent la bagarre !
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Automne 1889, Brindleton Bay
Cher journal, J'ai appris que j'attendais un enfant. Les nausées n'ont pas trompé Mrs. Reed, qui vient juste de donner naissance à des jumeaux. Des jumeaux ! Ô Seigneur ! Je prie le ciel chaque fois que je repense aux hurlements qui ont déchirés le ciel cette nuit-là où elle a donné naissance. Est-ce si terrible de donner naissance ? Quand je pense à mon ventre qui s'arrondit drôlement vite, je ne peux m'empêcher de me demander qui se cache là-dedans, et quel nom je vais bien pouvoir lui donner, à ce petit-là. François Xavier propose Séverin si c'est un garçon et Gabrielle si c'est une fille. Je lui ai dit que Gabrielle était le nom de ma cousine, et j'ai cherché des inspirations dans le journal en allant faire les courses. Je n'ai pas encore d'idée.
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Été 1890, Brindleton Bay
Cher journal, Au moment de perdre les eaux, j'étais en train de laver le linge. La bassine sentait bon la pomme, c'était une recette de la propriétaire du magasin général. J'ai accouché sur le plancher de cuisine parce que j'avais trop mal pour me rendre ailleurs. François Xavier était au travail, il est ingénieur sur un chantier naval du port. Je me souviens que j'avais du mal à me concentrer assez pour réfléchir qu'il fallait que je pousse plus fort, plus vite avant qu'il ne rentre, parce que j'avais sali le plancher. Je m'excuse pour ma grossièreté, ô journal ! Je ne devrais pas raconter ces bêtises. J'ai donné naissance à un magnifique garçon qu'on va appeler Séverin, comme le voulait François Xavier.
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Séverin Lennox, né un samedi d'été 1890
Cher journal, Séverin demande beaucoup d'attention. Il pleure souvent, il mange beaucoup, il salit tout. Je suis constamment épuisée, mais je suis heureuse. Oui, je suis heureuse, voilà. François Xavier m'a parlé de son grand projet qu'il se gardait d'aborder depuis quelques mois avant la naissance de Séverin. Je voyais bien que quelque chose lui trottait en tête, mais il m'en faisait des mystères. Apparemment que le gouverneur de Chestnut Ridge offre des terres à prix modique pour les familles désireuses de se faire pionniers de cette région encore mal débroussaillée. J'ai dit à François Xavier que le train s'y rendait même pas pour déposer des denrées, et lui a répondu que c'était prévu, et que même Chestnut Ridge prévoyait de bâtir la première centrale hydroélectrique de tout le pays. Ça dirigerait l'électricité vers les ménages, et on aurait plus à aller en ville pour en faire usage. L'eau courante était en voie d'être installée aussi, comme ici à Brindleton Bay, et le train... Ça viendrait certainement avec les rumeurs de la centrale. Il en a parlé avec tellement de passion, et il a dit que nous ferions beaucoup d'argent grâce à son poste d'ingénieur dans ce chantier-là. En plus, il a dit que là-bas, il y avait une école pour Séverin, comme ici à Brindleton, et une église catholique. Ça m'a un peu rassuré, surtout qu'il a dit qu'on pourrait emmener nos poules et notre chèvre. Jamais sans ma chèvre, que je lui avait dit. Ça fait qu'on est en train de tout mettre dans des valises. Séverin aime pas trop le chahut que ça fait, mais on a pas le choix de le barrouetter un peu, le pauvre petit. Il va s'y faire.
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Printemps 1891, Brindleton Bay
Cher journal, C'est notre dernière journée à la maison de Brindleton Bay. Mrs. Reed est venu nous saluer et nous souhaiter bonne route. Ça faisait un bail qu'on l'avait pas vu, mais nous nous écrivions. Elle avait ses deux bouches à nourrir, c'était le double de mes tâches, alors je comprenais tout à fait qu'elle ne m'ait pas visité dans ce temps-là. François Xavier est plus détendu depuis qu'il a pris le dernier jour en congé pour s'assurer de bien fermer la maison et d'avoir tout en main quand on va partir, tôt demain matin. Un certain M. Richard va nous conduire jusqu'à Chestnut. François Xavier dit que c'est notre voisin le plus proche, et aussi qu'on va être la maison la plus avancée dans la ville, à ce qui paraît. Je commence à avoir hâte de partir, parce que la maison a pas l'air normale, dans toutes les boîtes et les valises. Le printemps est frais, mais il fait majoritairement beau, ce qui est rare par ici. La prochaine fois que je vais t'écrire, ô journal, nous nous serons établis à Chestnut. Je te donne des nouvelles bientôt.
Début d'un decade challenge qui débute dans les années 1889-90 dans un cadre québécois mêlé à l'univers des sims, et joué dans la save file de @antiquatedplumbobs 💛🌞
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lerefugedeluza · 2 months
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Pour la Journée internationale des femmes (8 mars), je prépare une vidéo sur ma grand-mère, qui est la femme (la personne même) que j’admire le plus au monde.
Depuis plusieurs jours, je suis plongée dans tous les cartons de photos et de lettres qu’elle a laissés, et ça fait battre mon cœur tellement fort.
Elle me manque beaucoup trop.
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likielandco · 1 year
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Bonjour à tous, bonjour mes reines, Bonjour mes chevaliers, bonjour Kaamelott fandom!
Ça fait un long moment n’est-ce pas?
Je vais être honnête: je me suis forcé à ne pas poster sur Tumblr, car je souhaitais vraiment pouvoir revenir vers vous tous avec une date définitive pour l’update de l’OS 11.
Alors sans faire de ronds de jambes, je vous annonce que je poste la première partie du OS 11, le mardi 31 janvier, à 20h 🥳
Ça fait plus d’un an que je n’ai pas updater ma fic sur AO3, mais je n’ai jamais, jamais, jamais cessé de l’écrire. Des mois et des mois de frustration et de prise de tête car ma vie professionnelle a pris un tournant intense, et toutes les nouvelles responsabilités qu’on m’a attribué n’ont pas ramené que du pognon, elles ont aussi ramené beaucoup de stress. Pour le coup, écrire le OS 11 m’a beaucoup aidé émotionnellement, même quand je ne pouvais sortir que 2 pages par semaines, même quand j’en effaçait 10 par pure perfectionnisme.
Le revers de la médaille c’est la culpabilité de ne pas avoir pu partagé la suite avec vous, mes lectrices et lecteurs tellement merveilleux et tellement impliqués dans LPDG.
L’attente a été longue et j’en suis la première désolée, mais pour le coup, je reviens non seulement organisée, mais aussi avec du Lourd (notez le grand L 😂)
Le OS 11 fait bien plus que 100 pages, je vais pas vous donner le décompte tout de suite, sinon vous allez halluciné 😅
À tout ceux qui attendent l’update depuis tout ce temps, à tout ceux qui commentent, qui m’envoient des messages d’encouragements sur Tumblr, qui n’ont pas l’intention d’abandonner cette histoire malgré le manque d’update, qui veulent toujours continuer à suivre les aventures de Guenièvre et Arthur, de la Svala et son Dux Bellorum… je veux vous dire que je vous adore, que je brûle de reconnaissance, que ces centaines de pages vous sont dédiés, que je n’ai jamais relâché mes efforts pour vous donner une suite, que vous méritez la grosse bombe que ce OS 11 va être, et que vous allez manger de plus de cent pages avec uniquement Guenièvre et Arthur. Yup. On se rattrape comme on peut. ❤️
Vu la longueur de la bête, je vais devoir découper le OS en trois parties. Ça me fend le cœur mais c’est comme ça. J’ai grave hésité à tout balancer d’un coup, mais ça ferait trop, beaucoup trop à digérer. Il y aura énormément de dialogues, plus que dans la totalité des OS précédents, et la façon dont j’ai construit ce chapitre, chaque élément, chaque attaque, question ou révélation entre Arthur et Guenièvre, va trouver son écho au fur et mesure de la lecture. Aucun de ces deux personnages ne perdra le nord dans leur affrontement, ce fameux affrontement qui aborde finalement leur mariage passé. Vous allez probablement avoir l’impression d’assister à un match de tennis, puis à une avalanche 😅
Beaucoup des questions qu’on m’a posé en commentaire sur AO3, trouveront leurs réponses, il y aura beaucoup de révélations sur Horsa, sur Lancelot… bref, ça va être la pétarade quoi.
Je vous conseille fortement de relire la fic depuis le début, ou tout du moins depuis le OS 5, la destruction de Kaamelott, pour pouvoir savourer à quel point le OS 11 est un écho et une fatalité évidente pour tout ce qui s’est passé avant dans l’histoire. Tout les dialogues entre Arthur et Guenièvre du OS 5 au OS 10, sont particulièrement importants.
J’ai la chance inouïe d’avoir des lectrices et lecteurs qui flairent mes plots comme Sherlock Holmes flairent les mystères. J’espère que vous allez kiffé ce qui vient, les dénouements et les renouements des plots, tout ça c’est pour vous!
Finalement, même si cette année 2023 ne s’annonce pas plus chill que les autres niveau boulot, j’ai décidé de faire de LPDG une priorité. Ça veut dire poster tout les mois. On va voir si j’y arrive, mais je suis déterminée. Je veux m’avancer dans cet objectif avec bienveillance et sans stress ou culpabilité, j’ai déjà trop de ça dans ma vie. À travers LPDG, je veux viber avec vous, rire avec vous, pleurer avec vous, hurler avec vous et à mon petit niveau, rendre hommage à l’univers de Kaamelott qui m’a tant donné et ce depuis que je suis petite.
La seconde partie du OS sera posté fin février, la troisième fin mars. Ça part en crescendo, soyez prévenue! Énormément de angst, mais aussi énormément d’amour, comme il se doit. ☺️
Ok je crois que c’est tout! Encore merci, merci beaucoup, merci mille fois, merci tellement à toutes les personnes qui ont glissé dans mes DM sur Tumblr, juste pour m’encourager, ou juste pour me demander comment ça va… merci à toute les personnes qui commente sur AO3. Ça n’a pas de prix, ça signifie tant pour moi. Merci pour tout les kudos et les Hits, merci pour votre temps, merci pour votre soutien, merci pour votre lecture.
À très vite,
Avec tout mon amour,
Lily.
#LesPétalesDeGuenièvre🌸
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nos-nouveaux-espoirs · 5 months
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"You were my easiest hello, and my hardest goodbye"
J'ai lu cette phrase un jour et je n'ai pu l'enlever de mon esprit, car elle reflète parfaitement ce que je ressens pour toi depuis tout ce temps. Il a été si simple pour moi de te laisser rentrer dans ma vie. En quelques semaines seulement, tu avais attisée ma curiosité et me donnait envie de te découvrir alors même que j'avais le coeur brisé. Je t'ai ouvert la porte de mon appartement, comme s'il était le tien avec une telle facilité qu'aujourd'hui encore, je me demande ce que tu m'as fait ce jour-là. Ce jour où j'ai décidé de me laisser porter par toute la chaleur et la joie qui émanaient de toi. Et ce jour-là, ma vie a considérablement changé. Tu l'as changé, pour être honnête. Pour la première fois de ma vie, je me sentais pleinement heureuse et surtout, je me sentais vivante. J'avais un sentiment de légèreté, comparable à aucun autre. Plus que n'importe qui, je découvrais enfin le bonheur et la joie de vivre en se sentant aimée et aimant si fort en retour. Tu le sais, notre relation a eu des hauts et des bas, et dans chacun d'eux, j'y mettais toute mon âme. Il était dur de nous voir souffrir, mais il était tellement bon de nous voir heureuse. Aujourd'hui encore, il m'arrive de rire lorsque je me souviens de toutes les conneries qu'on faisait, lorsqu'on courrait autour de la table, lorsqu'on suçait nos pouces ensemble, quand on jouait aux échecs ou a la bonne paye… Tous les souvenirs, quels qu'ils soient, me rappellent à quel point nous ne formions qu'un. A quel point tu étais vitale et à quel point tu donnais du sens à mon existence.
Je ne minimiserai jamais ce qui s'est passé entre nous. Les bas, les disputes, la tristesse et la peine. Nous en avons souffert toutes les deux, et je te l'accorde, ça n'a pas été simple. Parfois, je me demande si nous avons bien fait de rompre. Si c'était la seule solution. Car je me souviens de nos aurevoirs déchirants et de l'incompréhension de nos parents. Après tout, deux êtres qui s'aiment doivent-ils réellement se quitter ? Pourtant nous l'avons fait, et je peux t'assurer que souvent, je me demande si nous n'avions pas abandonné trop vite. Malheureusement, les choses sont ainsi. Si cette rupture n'a pas permis de me libérer de notre histoire, peut-être que c'est le cas pour toi, et dans ce cas-là, tout va bien.
Je ne sais pas comment tu réagiras à ce message. Peut-être que tu me bloqueras dans l'instant car tu as refait ta vie dans laquelle tu ne souhaites pas que j'existe, peut-être que tu auras de la peine de me savoir toujours accrochée à nous, peut-être que tu seras en colère parce que je te réécris à nouveau. Sache qu'en aucun cas, je ne souhaite que ce message ait des répercussions négatives sur toi ou ta copine. Car tu auras peut être du mal à le croire, mais si ton bonheur est loin de moi, auprès d'une autre, je le comprendrai. Il n'est pas facile d'aimer une âme comme la mienne, mais tu l'as fait avec beaucoup de passion et d'amour et pour ça, je t'en remercie.
Aujourd'hui, l'air me manque, tu sais ? Parce que je te vois de partout, et pourtant tu n'es pas là. A chaque endroit que je découvre ou que je revisite, je te vois. A l'autre bout du monde, vivant mon plus grand rêve, mon coeur était serré de ne pas t'avoir près de moi pour vivre ce que j'étais entrain d'accomplir. Les sons passent en boucle dans ma playlist et ils ne me rappellent que toi. Chaque page de livre que je tourne ne me mène qu'à toi.
J'ai essayé, comme tu me l'as demandé, comme on se l'était promis, d'avancer et d'être heureuse. De reconstruire, de ne plus attendre après nous. Mais la réalité, Chloé, c'est qu'il n'y a que toi que j'attends. Je n'y arrive pas. Après plus d'un an et demi, je ne parviens toujours pas à passer à autre chose. A me dire que cette histoire est terminée et qu'elle doit appartenir au passé. Pourtant, et je te jure que c'est vrai, je l'ai espéré et prié si fort. Réussir à tourner la page. Réussir à accepter ton départ. Accepter de retomber follement amoureuse. Accepter de tout recommencer à zéro. Mais je n'y arrive pas. Quelque chose s'accroche à toi comme on s'accroche à la vie. Une partie de mon être est restée auprès de toi, et je crois que tu l'as pris et gardé pour toujours. Malgré tout mon travail de thérapie, malgré l'hypnose à laquelle j'ai succombé pour te sortir de ma tête, malgré la relation que j'ai tenté de construire, mes proches qui m'encouragaient à être patiente car la peine passerait, je n'y suis pas parvenue. Il m'est impossible de t'oublier, de te laisser t'en aller pour toujours et à jamais. Je n'y arrive pas. Parce que personne au monde, autre que toi, ne m'avais permis de me sentir aussi vivante…
Ce message est très malvenu et je suis vraiment désolée de devoir encore te contacter. Mais je pense qu'il est nécessaire que je lise ce que mon coeur refuse d'admettre. Tu es même venue jusque dans mes rêves pour me dire de ne plus rien attendre de toi, pour me dire à quel point tu l'aimais, à quel point elle te comblait et à quel point je ne représentais plus rien. C'est terriblement triste, tu ne trouves pas ? Même mon inconscient a tenté de me dissuader de continuer de t'aimer… Et pourtant…
Chloé, je sais que la vie doit faire les choses, mais la vie n'a jamais été très belle avec moi. Plus j'évolue, plus j'apprends des choses terribles qui me font perdre confiance en ce qu'on nomme le "destin". Je t'avoue que je n'y crois pas, que je n'y crois plus… Aujourd'hui, c'est KAIROS. L'instant présent, l'instant que je choisi pour changer le cours des choses. Car il y a eu un long avant, et il y aura un après… Ma vie doit changer, elle ne peut pas rester sur pause en attendant l'âme que mon coeur a choisi d'aimer…
Avant de te poser cette question, je veux que tu saches que je ne peux plus me rattacher à l'idée qu'on "pourrait" se retrouver dans plusieurs années. Parce que ce sont ces paroles qu'on s'est prononcé tant de fois, qui me font tant souffrir aujourd'hui. Parce que mon coeur a gardé l'espoir qu'un jour, tu reviendrais. Et tu as eu beau me dire de ne plus rien "espérer", mon coeur a gardé l'espoir que tu continuais de l'aimer et que c'était pour cette raison que tu me disais de cesser d'espérer. Peut-être pour me préserver, parce que tu vis une relation qui te comble et dans laquelle tu te sens bien actuellement, peut être parce que tu sens que ce n'est pas le moment pour toi… Mais mon coeur se rattache à mille et une excuse pour justifier le fait que tu voudras peut être retenter une nouvelle histoire. Tu as été mon plus simple bonjour, tu es mon plus douloureux au revoir.
Tu m'as souvent répondu que tu ne pouvais rien prédire, mais je pense qu'il y a une chose à laquelle tu n'as jamais donné de réponse, et je crois que cela me permettra d'avancer, quand bien même je souffrirai surement de la réponse. C'est la dernière chose que je te demande de faire pour moi, même si je sais que tu ne me dois plus rien. Mais pour la relation qu'on a vécu, et pour l'amour qui réside toujours en moi…
Chloé, ton coeur aime-t-il toujours le mien ? Ou doit-il accepter de te laisser partir pour toujours ?
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e642 · 3 months
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Mais en fait, ça m'a mis grave un coup de mou cette journée. Je suis hyper démotivée par les cours, ça me rend malade de rester statique en amphi et prendre des notes et pas respirer jusqu'au rendu des résultats. Puis rentrer chez moi et attendre, beaucoup scroller sur mon téléphone. Manger mal, enfin, jamais savoir comment faudrait que je mange. Puis, il m'a demandé de me faire belle pour ce we, mais j'ai pas envie. Je suis inconfortable dans toutes les fringues, je déteste mon corps trop plat, mon visage rempli de creux. Jsais que j'ai de la chance d'être en bonne santé, d'avoir un corps fonctionnel et que le reste c'est anecdotique mais je me sens comme une merde. Jsaurais pas dire quand est ce que je me suis trouvée belle, bien habillée, séduisante pour la dernière fois. J'ai pas confiance en moi, ça transpire la meuf fragile qui a zéro estime d'elle. Quand j'étais en L2, célibataire, j'avais pas plus confiance en moi, pourtant je me lançais, j'aimais plaire, me maquiller, sortir, acheter des petites robes flatteuses. Plus maintenant. C'est pas que j'aime plus c'est que j'arrive pas à passer outre le fait que jme regarde qu'avec du dégoût et du mépris. J'me sens indésirable. Laide. Ridicule. Elle me manque cette période où j'étais tellement une bad bitch, jsais que c'est de l'ego, que jai pas à chercher le regard approbateur et séduit des hommes mais quand t'arrives pas à te situer, ya que les autres qui peuvent t'aiguiller. Ça fait semi pitié, semi sens. Si je kiffe autant les fringues amples c'est pas parce que j'aime être à la mode, c'est parce que ça me permet d'oublier ce corps affreux, de bien le cacher.
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istadris · 8 months
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Le Roi et l’Imperator
@elitadream parce que tes fanarts de Mario et Astérix se rencontrant sont tellement adorables, et ça m’a beaucoup inspiré pour écrire sur leurs ennemis respectifs se rencontrant.
Donc...cadeau ! En attendant d’en voir plus !
*
La créature le toisait de toute sa taille.
Un exploit qui valait la peine d’être noté, étant donné que César avait l’habitude de regarder de haut la plupart ses pairs. Mais plus remarquable encore était la créature elle-même : un curieux et surtout immense hybride entre humain, tortue, et lézard, qui pouvait cracher du feu et briser des rochers à mains nues. Un dragon, suggérait dans un recoin de son esprit une petite voix qu’il s’efforçait à tout prix d’ignorer.
Plus étonnant encore était le fait que la créature était assez intelligente pour penser, parler, et plus encore être un chef, un roi même, de ce qu’il avait compris.
Assez intelligente pour s’esclaffer bruyamment à la proposition de César.
« Alors comme ça tu veux travailler pour moi, hein ? 
—Une alliance est ce que je propose, répondit César froidement, étant donné que nos objectifs semblent concorder à l’heure actuelle. 
—Une « alliance » impliquerait qu’on ait chacun quelque chose d’intéressant à apporter. J’ai la plus grande armée au monde, les meilleurs magiciens à mon service, et je suis le plus puissant de tout mon royaume. Qu’est-ce qu’une brindille comme toi a à offrir qui pourrait bien m’intéresser? 
—Bien des choses, ô roi, mais notamment ce qui te manque : de la stratégie. »
La créature gronda férocement en réponse à l’insulte, s’avançant brusquement en direction de César, ses babines retroussées pour dévoiler des crocs acérés. Il fallut à César tout son sang-froid pour ne pas porter sa main à son glaive ; non pas qu’elle serait d’une grande utilité contre les écailles épaisses de son adversaire.
«  Surveille tes mots, humain. Tu es distrayant pour l’instant, mais mon amusement a des limites.»
Pourtant, aussi caractériel et susceptible qu’était ce monstre, il semblait assez intelligent pour ne pas se laisser aveugler par son orgueil blessé et choisir à la place d’écouter César. Aussi celui-ci, calme et fier, regarda-t-il droit dans les yeux rouge feu qui le foudroyaient,
« Tu l’as dit toi-même : tu possèdes la plus grande armée de ce monde, tu disposes de vastes ressources…mais qu’en est-il de tes conquêtes ? Comment n’as-tu pas encore soumis le monde entier à ton règne ? 
—Ha, parce que tu crois pouvoir faire mieux que MOI ?
—« Mieux » ? Je laisse ce débat aux philosophes. Je sais seulement que je n’avais ni droit de naissance pour prétendre à un trône, ni fortune, ni magie. Et pourtant, je suis aujourd’hui le maître d’un empire en tout sauf en nom;  mes ennemis comme mes citoyens me respectent comme le conquérant du monde connu. Tous ceux qui ont osé s’opposer à moi se sont soumis ou ont péri. Peux-tu en dire autant ? »
Une fumée noire s’échappa des narines du monstre dans un bref grognement, les mots touchant clairement une corde sensible, mais pas au point de provoquer sa rage pour l’instant. César osa même s’éloigner de quelques pas de son interlocuteur, bras croisés dans son dos, contemplant l’étrange paysage les entourant alors qu’il continuait :
« Seul un petit village d’irréductibles continue de résister encore et toujours à mes troupes. Mais contrairement à moi, ils disposent d’une... magie qui leur donne une force surhumaine. Sans cette magie, ils auraient été écrasés depuis bien longtemps. »
La ruse et l’ingéniosité de certains d’entre eux jouaient également un rôle essentiel dans leur lutte...mais César n’avait pas besoin d’évoquer ce détail.
« Deux d’entre eux en particulier ne cessent de déjouer mes plans. Un duo infernal composé d’un petit nabot retors et d’un grand benêt le suivant partout. De ce qu’on m’a dit , ajouta-t-il avec un sourire en coin et un regard amusé en direction du roi,  cela nous fait un point commun. »
—Peut-être bien. Viens-en au fait. »
—C’est très simple, dit César en se tournant pour faire face au monstre. La magie est monnaie courante en ce monde et ta propre force ne fait aucun doute : même avec leurs pouvoirs, tu donnerais du fil à retordre à mes ennemis. Quant aux tiens…aussi puissants soient-ils, deux hommes ne peuvent suffire à protéger un royaume entier d’une campagne que j’aurais planifié. Un petit village où ils peuvent concentrer leurs efforts, oui. Tout un pays ? Je demande à voir. Voilà mon offre : débarrasse-moi des derniers obstacles à mon hégémonie et je m’assurerai que ton armée puisse écraser le royaume qui te tient tête.
—Et pourquoi tes plans seraient-ils plus efficace que les miens ?
—Parce que j’ai vu à l’œuvre tes troupes…si j’observais un tel manque d’organisation dans les miennes, je ferais fouetter mes centurions pour leur incompétence. Une chaîne de commandement inconstante en dehors de leur roi, des plans reposant sur des éléments versatiles et incontrôlables, des tactiques basiques et répétitives…»
Il laissa échapper un petit ricanement.
« Si je ne peux faire mieux, je peux difficilement imaginer faire pire.
—Et laisse-moi deviner, persifla le monstre sur un ton mielleux, je devrais te laisser les mains libres avec MON armée, dans MON royaume. »
Le sourire obséquieux se mua en grimace cruelle alors que le roi leva une de ses pattes, dégainant d’un coup sec des griffes acérées comme des poignards qu’il examina d’un air négligent.
« Et si à la place, je te tuais et je récupérais cette armée dont tu es si fier, hein?
—Alors tue-moi maintenant, au lieu de me faire perdre mon temps » rétorqua César avec un geste dédaigneux de la main. 
Pour la première fois depuis leur rencontre, l’arrogance laissa place à la surprise sur les traits de son interlocuteur, mais César poursuivit sans s’en émouvoir: 
« Je pensais avoir affaire à un roi intelligent, capable de voir où réside son intérêt et de saisir l’opportunité unique qui se présente à lui, mais si je n’ai affaire qu’à une bête primitive bouffie d’orgueil, autant m’épargner une migraine et me donner une mort rapide.»
Les yeux rouges semblèrent s’enflammer avant de s’étrécir, concentrés sur leur proie.
« SI C’EST CE QUE TU SOUHAITES...!!! »
La créature avança brusquement sa gueule vers César en poussant un rugissement à faire trembler le sol, les prémices d’un brasier embrasant les tréfonds de sa gorge.
Et pourtant, malgré le danger, César était…non pas rassuré, mais ...serein. Il avait déjà eu affaire à ce genre de personnes, impulsives, caractérielles et directes ; le monstrueux roi n’était pas du genre à gaspiller du temps à prendre une décision, ni à être sensible s’il fallait se salir les mains face à un élément gênant.
Qu’il vive ou qu’il meurt, César serait vite fixé. Aussi resta-t-il de marbre face à la menace, déterminé à garder sa dignité jusqu’au bout.
Et effectivement, après avoir rugi tout son content, le monstre foudroya César du regard pendant plusieurs secondes, babines retroussées...mais sa grimace de rage se fondit peu à peu en un rictus féroce, avant qu’il ne renversa sa tête en arrière dans un rire gras: 
« GWA HA HA HA !! Tu manques pas de cran, pour une brindille, j’aime ça! »
César parvint à laisser échapper la respiration qu’il avait retenu malgré lui sans que le roi ne semble le remarquer.
Celui-ci tourna à nouveau son regard sur César :
« Tu es sûr de pouvoir me débarrasser de ces deux empêcheurs de conquérir en rond ? »
—Très certainement. Mais seulement si tu acceptes de me rendre la pareille.»
Le roi laissa échapper un nouveau grognement, cette fois plus agacé qu’insulté.
« Tous les humains sont-ils aussi casse-pieds? » grommela-t-il, n’attendant pas la réponse de César avant de reprendre. « Mais tu as raison sur un point : depuis le temps que ces menaces à moustaches ruinent mes plans, je ne peux pas laisser passer la moindre chance de les éliminer. Si tu peux me la donner... Je saurais me montrer reconnaissant. » 
Pour la première fois, il afficha le sérieux et la prestance d’un vrai souverain alors qu’il toisa César, non plus comme que gêneur ou nuisance mais comme un potentiel allié.
« Donne-moi une victoire absolue et je t’offrirai une conquête. Qu’en dis-tu ?»
C’était ce qu’il recherchait depuis le début... et pourtant César prit un moment avant de répondre.
Ce monde était à mi-chemin entre l’absurde et la folie, entre ses couleurs vives, ses paysages chaotiques et ses habitants grotesques. Il pressentait déjà les migraines dans ses tentatives de transformer ces hordes chaotiques en armée disciplinée. Mais sous leur aspect ridicule, ces étranges êtres étaient aussi forts que résistants et disposaient de magie. De pouvoir.
Il fallait qu’il parvienne à en ramener ne serait-ce qu’un fragment avec lui quand il serait de retour à Rome.
César état également conscient qu’il prenait un énorme risque. Il était isolé, loin de ses armées et de l’influence dont il disposait ordinairement. Il voyait aisément l’ambition démesurée du roi bestial, étant donné qu’elle reflétait la sienne, et aurait besoin de s’assurer qu’elle n’inclut pas son propre empire. Il allait devoir surveiller soigneusement ses arrières pour ne pas se retrouver avec un poignard dans le dos dès le moment où cet allié orgueilleux et égocentrique aurait obtenu ce qu’il voudrait.
Mais il n’était pas devenu l’homme le plus puissant de Rome en se montrant pusillanime.
Alea jacta est, décida-t-il en tendant la main pour conclure l’accord.
Il parvint à ne pas fléchir quand la poigne monstrueuse manqua de lui broyer les os de la main.
En revanche, il trébucha et s'effondra sous l’immense claque dans le dos que lui asséna le roi avec un rire tonitruant.
«  Tu sais quoi ? Je sens que toi et moi allons former une très bonne équipe. »
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maviedeneuneu · 2 years
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Je vais quitter monsieur Comates.
Je sais pas encore quand j'aurai le courage et l'énergie nécessaire pour mettre en pratique cette décision mais ça finira comme ça. Que ca soit demain, dans 2 semaines ou dans 6 mois ça finira comme ça.
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stripnblues · 9 days
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La sombre, sombre histoire des escaliers, partie 1
Dans mon précédent post, j’avais évoqué l’idée de narrer les mésaventures qui ont conduit à mon changement de psychiatre. Je m’étais laissé, je cite, « la liberté de choisir » d'en parler. 
HAH. Quel genre de personne serais-je pour laisser pour laisser mon lectorat sur sa faim (laissez-moi croire que j’ai autant de followers que Baptiste Beaulieu ou Pénélope Bagieu, s’il vous plaît). 
Puis, pour tout vous dire, j’ai un peu honte d'être passée à côté de ces mots doux de Tibo InShape, qui m’auraient donné TELLEMENT de grain à moudre dans le papier précédent :
Merci pour ta contribution, mec. Si tout le monde t’écoutait, l’industrie pharmaceutique serait en PLS et les psys au chômage.
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Je crois aussi qu’une partie de moi a besoin de coucher tout ça sur le papier. Parce que ça a été un sacré calvaire et que, quelques mois plus tard, même si j’ai envie d’en rire, c’est d’un rire encore forcé.
Je consultais cette psychiatre depuis deux ans. J’avais laissé tomber la précédente après une énième soirée à patienter deux putains d’heure dans la salle d’attente jusqu’à m’en aller sans l’avoir vue, la rage au ventre mais sans ordonnance. Dans l’urgence, parce qu’il fallait bien que je chope mes médocs, j’en ai trouvé une nouvelle via Doctolib. Elle me paraissait compétente, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Même si, parfois, ses questions semblaient sortir tout droit du manuel pour psychiatres débutants : « Est-ce qu’en ce moment, vous avez des idées tristes ? »
Euh… Ça dépend de ce qu’on entend par “idée triste”. Si ça veut dire « penser que même Nicolas Sarkozy et Marlène Schiappa publient plus de livres que moi », alors oui, j’ai des idées tristes.
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Si vous avez des idées tristes après avoir lu ce résumé, c'est normal.
Même si elle avait souvent du retard dans ses rendez-vous. Mais ça, je sais que c’est tirer sur une ambulance passablement déglinguée. L’état de la psychiatrie en France n’est un secret pour personne. Manque de moyens, plus de patients en détresse, moins de soignants, une pression grandissante… Tout cela, sans doute, joue sur un quotidien certainement bien agité entre les urgences du jour, la patientèle à gérer, etc. Jusqu’ici, j’étais plutôt indulgente.
Et puis… Et puis il y a eu un épisode particulièrement difficile. L’anxiété me submergeait, toute tentative de discernement relevait d’un marathon avant d’être balayée par une vague d’incertitudes, je me retrouvais plus bas que terre, à essayer de faire bonne figure auprès de mes proches avec un sentiment d’imposture qui me rongeait le ventre. Pas la joie, pour résumer. C’est donc dans un état peu glorieux que j’ai vu ma psychiatre pour notre rendez-vous mensuel. Un génocide de mouchoirs plus tard, elle me propose de remplacer un anxiolytique dans mon traitement, et de voir si celui-ci sera plus efficace. Et, notez bien, c’est important pour la suite, elle me précise : « Tenez-moi au courant des effets dès le lendemain. Si ça ne va toujours pas au bout de quelques jours, prévenez-moi et on trouvera une solution au plus vite. »
Je ressors avec l’ordonnance et l’envie de croire que les choses vont s’arranger grâce à cette bidouille chimique. Je vous épargne le suspense, c’est tout le contraire qui s’est produit. Les crises d’angoisse ont persisté tout comme le moral au fond des chaussettes. En plus de ça, je me traînais une chape de fatigue. J’étais devenue incapable de réfléchir. Chaque tâche somme toute banale devenait une épreuve impossible. Dès que je tentais une sortie pour faire ne serait-ce que des courses, j’étais prise d’une douleur face à l’effort. Presque tout de suite, je voulais fondre en larmes et retourner me terrer chez moi. Toutes mes émotions étaient sapées, fondues en un brouillard d’abattement. Heureusement que je ne travaillais pas, à ce moment-là. Peu ou prou, j'étais devenue ça :
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Bien sûr, je l’ai tenue au courant le lendemain. Pas de réponse. Bon, ok, elle doit être occupée… J’ai attendu que le traitement fasse son effet. Un, deux, trois, quatre, cinq jours s’écoulent. Ça n’a l’air de rien mais, avec une santé mentale chaotique et un traitement qui semble empirer la chose, cinq jours, c’est très long. Ma seule envie, c’était que les journées s’écoulent pour que je puisse enfin dormir. M’affranchir quelques heures de mon calvaire qui, de toute façon, allait reprendre dès mon réveil. Il me fallait me changer les idées par tous les moyens, des bouquins, Netflix, YouTube… Je m’abrutissais pour mieux me prendre mon mal-être en pleine gueule ensuite, malgré la môman et l’amoureux en soutien à distance, et le Kraken à mes côtés.
Entre-temps, ma thérapeute, qui voit mon état se dégrader, m’encourage à prévenir la psychiatre. Alors j’essaie de l’appeler, je lui envoie des textos, un mail où je détaille les effets du médicament et qu’on pourrait résumer par « please help »… mais pas de réponse. Que couic.
Je suis d’autant plus désespérée que, dans quelques jours, je dois partir dans ma famille pour les fêtes. Parce que oui, tout ça se déroulait peu de temps avant Noël et autres célébrations. 
Qui c’est qui, en plus d’être pas bien, culpabilise à l’idée de pourrir les réjouissances à venir avec sa santé mentale en carton ?
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Gné...
Donc, parce que chaque journée à macérer dans cette bouillasse noire est d’une longueur infinie, parce que je ne veux pas rester comme ça et que, visiblement, la psychiatre est aux abonnés absents, je me retrouve sur Doctolib pour prendre rendez-vous avec elle. Ben oui, elle n’a pas de secrétariat, donc comment vous dire. J’arrive à choper un créneau la veille de mon départ en famille. Après plus d’une heure d’attente (parce qu’évidemment, il y a eu une couille avec Doctolib et qu’on s’est retrouvés à plusieurs sur le même horaire et qu’il a fallu gérer le bazar…), je la vois, et là, c’est l’occasion de dire que des idées tristes, j’en ai à la pelle, et que le nouvel anxiolytique est un poil daubé du cul. Je me suis renseignée sur ses effets indésirables et, oh bah tiens donc, on est en plein dedans.
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Remplacez « agneau » par « anxio », et le tour est joué.
Je glisse au passage que j’ai voulu la prévenir, que je n’ai pas eu de nouvelles, etc. Curieusement, elle élude, plaide la surcharge de textos de tous les côtés, et me conseille de la spammer les prochaines fois. Mais avait-elle bien reçu mon mail ? Avait-elle pris le temps de le lire ? À cela, elle ne me donne pas de réponse claire. Je trouve ça bizarre, mais bon. On réajuste le traitement, on revient à ce que j’avais avant en plus léger, parce que sinon, je serais en surdosage. Ce qui me fait tiquer, parce que mes psychiatres précédents n’hésitaient pas à y aller yolo sur les anxios. Okay, ça fait plaisir de savoir que les confrères ne sont pas forcément au fait niveau posologie et état de la recherche sur ce qu’ils prescrivent. Mais soit. Elle me file aussi l’adresse des urgences psychiatriques de Saint-Anne si jamais ça ne va vraiment, vraiment pas. Ce qui ne me rassure paradoxalement pas, je dois l’avouer. Je repars avec l’adresse, le traitement changé et l’espoir, cette fois, que les choses vont vraiment revenir à la normale.
Alors… Passé les deux-trois jours de soulagement post-traitement daubé du cul, j’ai dû me rendre à l’évidence : ça n’allait toujours pas. Sauf que, andouille que je suis, j’ai préféré ATTENDRE de rentrer de vacances pour en parler à ma thérapeute et reprendre rendez-vous avec la psychiatre. Quand j’y repense, j’ai envie de me secouer très fort comme un prunier. 
« So, il y a une météorite qui te fonce tout droit sur la gueule, tu devrais peut-être changer d’endroit ou demander à Bruce Willis de te filer un coup de main pour empêcher la catastrophe. — Euh mais je sais, mais là, je suis avec des potes et j’ai pas trop envie d’y penser… Je vais plutôt faire ça quand je serai rentrée. »
Des fois, je m’auto-saoule d’une force…
Arrive donc le rendez-vous avec la psychiatre (en visio, car les transports avaient décidé de faire de la merde, bref, c’était une journée du caca absolue). Ma tête de blob larmoyant lui permet de déduire que le traitement n’est pas très efficace (euphémisme). Elle me propose une nouvelle solution. Or elle n’est pas anodine, c’est plutôt du type « ajouter un médoc lourd avec plein d’effets secondaires pour personnes à la santé mentale façon puzzle, youhou ». J’appréhende, mais elle m’assure que ça peut tout à fait convenir dans ma situation. Elle doit juste faire quelques recherches pour s’assurer que c’est compatible avec le reste de mon traitement, mais promet de m’envoyer l’ordonnance dans la journée. Et que je n’hésite pas à la relancer le cas échéant.
Devinez quoi ? L’ordonnance n’est jamais arrivée. J’ai spammé, j’ai appelé, laissé des messages. Que dalle. Nichts. Un jour passe, deux jours, trois jours… 
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Alors je connaissais le ghosting sentimental (souvenez-vous, le gaufrier), amical (soit c’est ça, soit le pote est mort ou parti dans un monastère sans téléphone cellulaire, je ne vois pas d’autre explication). Mais par une professionnelle de santé, c’était tout nouveau. Hésitez pas à me proposer d’autres plans foireux à tester, hein, je crois que j’ai un potentiel là-dedans.
En parallèle, je m'apprête à commencer un nouveau boulot, toujours avec l’impression de passer mes journées dans l’équivalent psychique du Mordor. Même ma psy, qui pourtant en a vu d’autres avec moi, trouve que quelque chose cloche. À force de ne pas avoir de nouvelles, je sens ma confiance s’éroder. On m’encourage à peut-être consulter quelqu’un d’autre. Je fatigue, je tiens tant bien que mal. J’arrive à obtenir une liste de praticiens recommandés. Je me résous à reprendre rendez-vous avec la psychiatre pour tenter d’élucider tout ce bordel, et lui dire que j’en ai légèrement marre de me faire traîner en bateau. Sauf que j’appréhende. Dans mon état, je ne me sens pas sereine pour me confronter seule à cette personne. Je sens que j’ai peur. Et ça, face à quelqu’un qui est censé vous aider à aller mieux, malgré mon sale état, je sens que ce n’est pas normal. Dans la détresse, j’appelle ma mère. 
Faisons une pause dans le récit, le temps que je vous présente ma môman. Si je devais la résumer en un personnage, c’est Brienne of Tarth dans Game of Thrones (sans le crush pour ce couillon de Jamie Lannister).
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Eh ui c'est ma MÔMAN À MOI.
Loyale, valeureuse, elle est l’une des personnes les plus fortes et courageuses que je connaisse. Mais, pour rester dans le même univers, dès qu’on ose toucher à sa précieuse progéniture, ma mère se transforme en Daenerys (la vibe cryptonazie de la saison 8 en moins) :
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L’un de ses adages, c’est « Don’t mess with my kids ». Mais vraiment. S’il vous prend la folie de mess with ses kids, vous pouvez être sûr de finir la journée au fond d’un lac, les pieds dans un bloc de béton armé. Et peut-être pas en un seul morceau, en fait. 
Je vous laisse donc vous mettre à la place de ma môman lorsqu’elle reçoit un appel de sa fille aînée aux prises avec une psychiatre qui la ghoste après lui avoir proposé des traitements chelous. 
Alors que je finis à peine de bredouiller « est-ce que tu voudrais m’accompagner à mon rendez-vous sitoplé ? », ma mère me répond d'emblée à l’affirmative : « Mais bien sûr, ma chérie. Ça tombe bien, j'avais besoin d'aiguiser mon épée de feu. »
And this is where the fun begins. Ah oui, parce que tout ça n’est que le contexte de l’aventure à laquelle mon post doit son titre fabuleux.
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À plusse pour la suite, les p'tits choux !
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wittylittle · 7 months
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J’ai 47 ans. Hier, j’ai passé la soirée dans les bras d’un jeune de 23 ans. C’était la première fois que je baisais avec un jeune aussi jeune. Je vois pas à laquelle de mes chums de filles je pourrais confier ça! Déjà qu’elles me trouvent fuckin’ horny, là, je tomberais dans la catégorie « dévergondée ». Merci de ton oreille attentive.
J’ai 43 ans. Hier matin je me suis réveillée dans les bras d’un jeune qui fêtait son 28e anniversaire ce jour là. On a eu du morning sex avant qu’il parte à l’université avec un café et des collations que je lui laissais pour la journée.
La veille, avant qu’il me texte, j’avais passé deux heures au lit avec un autre gars qui était « venu prendre soin de moi », que c’était « notre petit secret » et qui jouait au protecteur venu s’occuper de sa fillette en manque d’attention.
J’ai bien voulu en parler à des amies, mais elles ont tellement de mal à dater que je ne voudrais pas passer pour une fille dévergondée et gâtée pourrie.
J’ai une date avec un 3e garçon demain. J’ai hâte.
Merci de ton secret. Xx.
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homomenhommes · 8 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 151
Eric passe nous voir un soir avec sa nouvelle moto. Daniel et Cédric ont bien veillé à ses modifications et elle est maintenant parfaite selon Eric. Nous en faisons le tour et il nous décrit chaque changement. Les plus visibles étant au niveau de l'avant, fourche, freins. Eric me serre contre lui pour me remercier. Malgré l'épaisseur du cuir je sens sa queue bandée. Je glisse entre ses bras et relève le zip du bas de sa combi pour en sortir son " boa ". En glissant, je lui dis qu'il ne manque plus que de la baptiser. J'engouffre son gland et un peu plus pour une bonne pipe. Marc me laisse faire, il a deviné ce que je voulais faire. Quand je sens Eric prêt à jouir, je me recule et dirige sa queue vers sa moto. Il éjacule dessus de grandes trainées de sperme. Je lui dis alors qu'il vient de la marquer son empreinte, que maintenant c'est sa moto est vraiment à lui. Après un coup de Sopalin, nous allons à la maison, le fond de l'air est frais en cette fin novembre !
La maison est surchauffée et nous nous ;mettons rapidement en sous vêtements. Je ris car Eric a très peu débandé, il est juste devenu plus souple mais sans perdre en taille. Samir et Ammed nous débarrassent de notre surplus de vêtements. Eric s'éclipse un instant aux toilettes nettoyer sa bite avant de nous rejoindre. Au salon, devant la cheminée qui ronfle d'un beau feu de bois, ils nous servent l'apéritif. Quand je vois la dose qu'accepte Eric, je sais qu'il restera dormir ici.
La discussion aborde le dernier gang bang que j'ai organisé. Eric décrit rapidement à Marc la soirée et me félicite encore une fois, d'après lui tout était parfait, aussi bien les deux " attractions " que le buffet et la tenue des participants. Il me dit aussi qu'un bon nombre de mecs sont venus le voir pour qu'il me demande d'en refaire un avec Jimmy comme centre d'intérêt (pas étonnant qu'ils s'adressent à lui, sachant que c'est lui qui m'a fourni tous les clients blacks).
Vu que l'organisation d'un double gang bang n'est pas plus complexe qu'un simple, pour une rentabilité supérieure (une seule location de gîte), je discute avec Marc et Eric sur la possibilité d'adjoindre Ed à Jimmy. Je sais que le gamin est demandeur d'expériences nouvelles et qu'il s'est bien aguerri au contact de mes clients habituels. Il faut juste que je vérifie son endurance.
Marc me dit de le faire venir le WE prochain et que nous le testerions à plusieurs avec Eric. Igor et les jumeaux pourraient se joindre à nous et nous pourrions proposer à Xavier de passer nous voir. Nous testerions alors grandeur nature ses capacités.
Aussitôt dit, aussitôt organisé. Téléphone à l'oreille, j'appelle tout le monde. Ed en premier me donne un accord enthousiaste. Les autres aussi, enchantés de cette mini touze.
De penser à cela nous a tous fait bander ferme et fait monté notre taux de testostérone. Les shorty sont déformés par nos queues raide faisant épouser le tissu sur nos glands. Pas besoin de dessin, je passe à l'action. A genoux devant mon mec, entre ses cuisses, je bouffe sa bite au travers du tissu. Quand ce dernier est tellement mouillé qu'il ne cache plus rien, je descend l'élastique de la ceinture sous ses couilles et embouche sa matraque. Miam que c'est bon ! Ses mains sur ma tête poussent pour enfoncer son gland dans ma gorge. J'ai beau me concentrer sur ma pipe, je sens quand même les grandes mains d'Eric caresser mon dos, descendre sur mon cul et le mettre à nu. Puis elles (ses mains) passent aux choses sérieuses. Ecartement des fesses puis travaille de mon petit trou (malgré son utilisation régulière, mes exercices de contractions post enculages le maintiennent en bon état). Je sens bientôt sa langue venir au secours de ses doigts. J'adore me faire lécher l'anus, surtout par une longue langue qui après m'avoir détendu, arrive à s'insinuer en moi. Ma pipe s'en ressent et je m'ouvre des deux cotés. Marc s'enfile plus facilement dans ma gorge et Eric enfonce sa langue plus profondément pour mon plus grand plaisir. Changement de position. Marc et Eric me posent dos sur la table basse, ma tête dépassant du plateau. Eric me donne sa bite à manger pendant que Marc m'encule. Trop bon ! Je laisse les secousses engendrées par les coups de reins de Marc m'enfoncer la queue d'Eric dans la gorge. Ce n'est que sur le dos et la tête en arrière que j'arrive à prendre la totalité de la queue d'Eric dans ma gorge. Ses grandes mains sur mes oreilles, il gère en fonction de ma capacité respiratoire. Une ou deux fois il s'oublie et je manque de m'étouffer. Effet collatéral, ça me fait bander encore plus et m'approche dangereusement de la jouissance. Marc me lime le cul exactement comme j'aime. De la force, rythme varié... sa queue remplie juste comme il faut mon trou de salope. J'apprécie chaque intromission quelque soit l'entrée. La soumission à leur virilité est un plaisir naturel pour moi et je me donne à fond. Mon rythme respiratoire prend de l'amplitude, ce qui permet à Eric de rester un peu plus longtemps coincé dans ma gorge, il apprécie d'avoir son gland compressé et massé par mes déglutitions à répétition. Marc, lui, teste la puissance de mon sphincter anal. Je module allant de libre passage au blocage complet de sa queue dans mon cul.
Après un bon moment, Marc se retire et demande à Eric de le remplacer car il veut me faire boire son sperme. Eric se Kpote et je me détends au maximum pour qu'il puisse tout entrer dès la première poussée. Ce sera chose faite quelques secondes plus tard. En fait presqu'une minute, il prend son temps le bougre ! Moi à la moitié de sa bite je le voulais déjà à fond ! Marc m'a laissé le temps qu'Eric prenne possession de mon trou puis a présenté sa queue devant ma bouche. Je l'ai avalée directe et me suis appliqué à le sucer comme jamais. Un observateur aurait peut être trouvé que je ressemblais à un poulet sur une broche ! En attendant j'ai savouré chaque minute de ramonage. Quand Marc s'est senti prêt à décharger, il s'est retiré de ma gorge et m'a demandé de rester bouche ouverte. Quelques secondes plus tard, il m'envoyait son jus dedans. Pleine, j'ai du fermer ma bouche pour avaler. Comme il lui en restait encore dans les couilles je m'en suis pris sur le visage. J'ai juste eu le temps de sortir ma langue pour attraper ce qui allait couler au sol. Trop bon pour le gâcher !
Pendant ce temps là, Eric a atteint le point de non retour et m'a fixé sa bite au plus profond de mon trou pour juter et remplir sa kpote. Les effets conjugués m'ont fait jouir à mon tour dans la main prévenante de Marc. Une fois sûr que j'avais les couilles vides, il m'a donné à boire ma production avec ordre de tout garder en bouche. Puis il m'a redressé et nous nous sommes roulés un patin, nos langues nageant dans mon sperme.
Ammed était à nos cotés avec des serviettes chaudes pour que nous nous mettions présentables pour dîner sans aller nous doucher.
Malgré les " protéines " avalées un peu plus tôt, j'ai fait honneur à la cuisine préparée par Ammed. Mais comme Eric restait dormir, je me suis restreint pour pouvoir supporter sans problème sa grosse bite dans ma gorge. Après le repas, Eric m'a demandé si Jimmy pouvait nous servir le café. J'ai compris le sous entendu ! Et je suis parti appeler à l'appart. Il avait l'air content au bout du fil quand je lui ai dit que nous l'attendions à la grande maison et qu'Eric était là. De lui même il m'a répondu qu'il sautait sous la douche et qu'il arrivait. 5mn plus tard il était devant nous dans l'uniforme de service : le simple shorty en cuir moulant avec la variante d'un Zip total (devant et derrière) par rapport aux shorty de Samir et Ammed, eux complètement fermés. Samir qui l'avait accompagné nous a expliqué que le shorty c'était pour la condition de service et par contre comme le sien (de service) incluait le sexe à la demande, alors Zip. Marc a approuvé l'initiative et aussitôt Eric a testé le fonctionnement du " vêtement ". Ouverture par l'arrière jusqu'au périnée. Son cul est dégagé, enfin plutôt l'accès à son trou mais le reste tient en place. Sa main qui avant le dîner m'avait préparé le trou s'est maintenant posée sur les petites fesses de Jimmy et nous avons vu son majeur s'enfoncer entre. Un léger sursaut de Jimmy nous a appris que celui ci avait passé le sphincter anal.
Marc et moi avons assisté à la préparation de Jimmy par Eric. Hyper bandant ;de voir son petit corps (1,65m, 50 Kg) entre les mains d'Eric (1,80m, 90Kg de muscles). Il l'a soulevé comme de rien et lui a ventousé le trou avec sa bouche. Jimmy s'est retrouvé avec sous les yeux la braguette d'Eric. Aussitôt il s'y est attaqué et à son tour a fait sortir la bite qui se cachait derrière. Embouchée dès son apparition, nous n'avons pu voir l'état de rigidité qu'après que Jimmy l'ai recrachée. Là on a pu voir qu'Eric était méchamment en forme. Dans la position, Jimmy arrivait à la lui avaler totalement. Faut dire que ses nombreuses passes chez mes clients lui ont bien ouvert la gorge. Marc a ouvert son pantalon histoire de laisses sa queue se développer sans entraves. Je n'ai pas eu besoin qu'il me dise quelque chose pour que je me penche et me cale son gland derrière mes cordes vocales. Le silence n'était troublé que par les crépitements du feu et les " slurp slurp " des deux pipes. Après un bon moment à rigidifier les queues qui allaient nous prendre nos anus, et celui de Jimmy à point selon Eric, nous sommes passés au sérieux.
Eric s'est assis et a attiré Jimmy sur ses cuisses, face à face. ;Avec Marc nous avons regardé, la grosse bite (26 x 7) s'est enfoncée dans le petit cul étroit de Jimmy avec régularité jusqu'à ce que tout soit dedans. Quelques coups de reins, quelques Va et vient et Jimmy s'est attaqué aux tétons qui couronnent les pecs d'Eric. Passant de l'un à l'autre il les a fait grossir et durcir entre ses dents, laissant Eric gérer la sodo. Marc encore plus excité par le spectacle ma poussé en travers de la table basse et m'a investi comme un sauvage. Bon, très bon ! dans cette position, nous avions vue sur l'autre couple.
Eric pour calmer sa montée en pression a décollé Jimmy de son torse et l'a retourné sur sa bite sans déculer (l'avantage d'en avoir une longue !). Puis il a demandé à Marc de me mettre sur le dos pour qu'avec Jimmy je fasse un 69 pendant qu'ils nous limeraient. Je me suis donc retrouvé dos sur la table basse avec Jimmy au dessus de moi. J'ai senti aussitôt sa bouche me sucer alors que j'avais vue sur son trou écartelé par la noire bite d'Eric. Impressionnant à aussi peu de distance de voir cela, surtout avec les proportions des deux protagonistes, grosse bite dans petit cul. Marc a repris le limage de mon cul et en même temps Jimmy avalait consciencieusement mon gland. J'ai pris en bouche son sexe raide et avec ses 14cm j'ai même réussi à prendre ses couilles avec. Je n'ai pas insisté longtemps tellement j'étais secoué par les va et vient d'Eric.
J"ai senti Jimmy monter en pression au même rythme que moi et nous nous sommes recrachés au tout dernier moment, arrosant l'autre de longues trainées de sperme. Nos jouissances ont entrainé celles de nos enculeurs et chacun bien callé au fond du boyau qu'il défonçait à, pour Marc inondé mes boyaux de sa semence et pour Eric, à rempli à ras bord sa kpote pourtant taille XXL.
Affalés dans les canapés, Jimmy dans les bras d'Eric, nous avons repris conscience de la réalité. Ammed est alors arrivé avec les cafés.
JARDINIER
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a sporty excuse
+
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chifourmi · 8 months
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Ma pote qui était en couple pendant 3 ans ne l'est plus depuis quelques mois donc maintenant elle profite à fond de sa vie. Ce week-end, elle est partie à Amsterdam et elle a rencontré un gars bien mims avec qui le feeling est direct passé, tout le monde pensait qu'ils étaient en couple, il était super tactile genre bisous dans le cou (et ÇA c'est vraiment la meilleure chose au monde, si y a bien un truc qui me manque c'est ça). Ils ont fini par faire la totale et elle a grave pris son pied et comment dire que je suis beaucoup trop jalouse d'elle?? Elle est trop belle, trop drôle, elle attire que des mecs bien, puis elle est tellement à l'aise avec tout le monde,... Je veux vivre la même chose moi, merde!!
(10/09/2023)
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ernestinee · 1 year
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Bon ça va ? Ça ne va pas ? J'en sais rien en fait on est en mars et au lieu de me réjouir du printemps qui va bien finir par arriver, je suis en boucle sur des trucs douloureux, que dis-je, sur un seul truc douloureux qui date d'il y a un an bientôt tout pile quand il a décidé que ce que nous étions chamboulait trop sa vie. Totalement d'accord avec lui. Quel chamboulement. Cela dit, ça reste chamboulé alors que nous ne sommes plus rien donc utilité zéro son ghosting de merde là. En plus je suis sûre qu'il n'est pas fier de lui donc franchement technique de merde le ghosting faites pas ça c'est nul.
Est ce que je laisse un évènement passé prendre l'ascendant sur tous les évènements du moment ? Absolument. Je suis en colère et je déteste ça. Pourtant il y a plein de trucs positifs en ce moment. L'amitié, le boulot, la fin de ma grosse formation qui dure depuis 3 ans et les projets que ça va pouvoir démarrer, la nouvelle formation qui se profile à l'horizon, le challenge que représente le spectacle de trapèze, les nouveaux apprentissages... C'est ça la vie peut-être on laisse des petits trucs prendre trop d'importance c'est normal d'être subjectif on n'est pas des robots. Enfin bref du coup je suis en mode colère tristesse nostalgie, même qd il se passe un truc chouette.
Je pense à tout ce qui n'est plus là. En plus il a fait mauvais pendant mes congés et ensoleillé juste après. En plus mon chat me manque tellement. Oreo et Muffin sont sympas mais bien sûr c'est différent d'un chaton d'amour qui a partagé ma vie pendant 17 ans. Ils m'ont quand même sentie triste depuis quelques jours et dorment près de moi la nuit, du coup j'ai un peu mieux dormi.
J'essaie de me focaliser sur des anciennes sensations. L'autre jour en voiture j'ai bien aimé les ombres entremêlées des branches d'arbres. Quand j'étais petite, je fermais les yeux et ça clignotait rouge noir rouge noir rouge noir super vite.
Bon, je conduisais, j'ai pas fermé les yeux.
Il y a aussi eu la mousse au chocolat de Michel et Célestin, ou Lucien et Augustin ? Qqchose dans le genre, une marque qui joue très fort sur le "comme si c'était fait à la maison il y a longtemps par la grand-mère" et ohlala leur mousse au chocolat c'est pépite.
Ah et il y a aussi eu un rêve familier que j'avais totalement oublié et qui est revenu. Depuis super longtemps, mais genre vraiment longtemps, depuis l'adolescence, je rêvais régulièrement que j'etais étudiante dans une école un peu cosy avec des vieilles boiseries, des petites classes où on étudie des trucs intéressants dans une bonne ambiance. Avant j'avais limite une seconde vie dans ce rêve, je le faisais souvent et il se passait des trucs absolument pas bizarres, j'étais juste étudiante, et ma petite vie d'étudiante avec des potes évoluait la nuit lors de ces rêves. Ça doit faire 15 ans que je n'avais plus rêvé de tout ça. Et la nuit passée hop me revoilà à l'école, toujours étudiante mais il y avait quand même la notion de "ça fait longtemps" pcq une pote me faisait la gueule pcq je n'étais plus venue depuis trop longtemps, et une autre - mon amoureuse - était super contente de me revoir. Je l'avais oubliée aussi mais elle m'a reconnue de dos pcq j'étais arrivée en classe avant elle et elle m'avait fait un bisou sur la joue en frôlant mes omoplates avec ses doigts. Puis alors qu'elle était assise, je me suis assise à côté d'elle en l'embrassant sur la bouche. J'ai encore la sensation du bisou là maintenant en écrivant. J'étais un peu deg de me réveiller du coup.
Puis j'ai fait un autre rêve qui a aussi mis en scène une personne du passé. C'était une longue accolade très douce dont j'essaie de ne pas perdre la sensation parce que j'en avais bien besoin.
Bref mon inconscient a bien compris que j'avais besoin d'ancrage, de retrouver des racines, des socles, parce que trop de choses m'émeuvent en ce moment.
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