Tumgik
#elle est tellement présente en fait
maviedeneuneu · 1 year
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Il s'est passé un truc magique cette année pour Noël. Le 24, j'étais avec mon frère et on cherchait du scotch pour emballer les derniers cadeaux, et là mon frère a trouvé des cadeaux que notre maman avait préparé pour nous mais qu'elle n'a jamais pu nous offrir.
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chloetrojan · 7 months
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On est le dimanche 17 septembre, il est minuit 44 et cette aventure des concours d’entrée aux conservatoires de théâtre se termine pour moi. Cela fait maintenant plus de deux mois que je me prépare à ces examens. En me lançant dans ce long chemin semé d’embuches, je ne pensais pas vivre autant de choses et surtout j’ai appris à mieux me connaître. 
Évidement je me faisais un tas de scénarios dans ma tête pour je le pense me rassurer, car je plongeais dans l’inconnu. Je me suis donc préparé avec acharnement pendant les deux mois de vacances, j’ai choisi mes textes, je les ai décortiqués et je les ai appris par cœur, mais quand je dis par cœur c’est qu’ils me trottent dans la tête nuits et jours. Bien sûr ces deux mois n’ont pas toujours été de tout repos, j’ai beaucoup douté et j’ai rencontré le syndrome de l’imposteur. C’est ce sentiment de ne pas être à sa place, j’avais l’impression de me lancer dans un monde qui n’était pas le mien, mais je me suis accroché, j’ai persévéré et je lui ai dit adieu. Le 30 août j’ai passé le concours du Conservatoire royal de Bruxelles, j’étais impatiente, j’avais envie de m’amuser et de montrer cette flamme et cette envie d’être là. 
Je n’avais pas la crainte de l’inconnu, car le 28 août j’étais passé devant le jury en tant que réplique, d’ailleurs le jury m’avait demandé si ils allaient me revoir, ce qui était bon signe. 
Mon audition c’est très bien passée je me suis amusé, je n’ai pas eu de trou dans mes textes, ils m’ont demandé ma scène classique ( les Femmes Savantes, acte 1, scène 1), ma scène contemporaine ( Réunification des deux Corées, la scène amitié de Joël Pommerat), mon texte non dramatique( le discours des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges) et ma chanson ( le paradis blanc de Michel Berger). Le lendemain je passe l’examen de l’INSAS, on a 45min pour apprendre et travailler un texte avec un candidat qu’on ne connait pas, on passe devant le jury, on joue la scène et ensuite on présente un solo de 2min top chrono. Pour mon solo j’ai expliqué l’histoire du Nichon et du Starbucks avec les photos des discussions et de mon gobelet. Le vendredi 1er septembre à 19h09 je recevais le mail du Conservatoire Royal de Bruxelles me disant que j’étais prise au second tour. 
J’ai donc appris le dialogue et le texte non dramatique pendant le week-end. Le lundi matin à 9h commençait le second tour, on apprend qu’on était 300 candidats au premier tour et 52 sélectionnés au second tour sachant qu’ils allaient en prendre entre 20 et 25.   
Ces trois jours de second tour étaient extraordinaires, j’ai appris tellement de choses et surtout je me suis projeté et je me suis donné la liberté de rêver. Le matin du vendredi 8 septembre, j’apprenais que je n’étais pas prise au second tour de l’INSAS, je m’y attendais et je savais que je n’avais pas le profil pour cette école, mais ce fut une expérience. Le soir je me suis rendue au Conservatoire Royal de Bruxelles pour la proclamation des élus et mon nom n'a pas été prononcé, je suis triste, des larmes coulent sur mon visage je vois autour de moi des larmes de joie et des larmes de tristesse pour ma part c’est des larmes de tristesse j’ai la gorge serrée, mon espoir s’écroule, je prends le temps de me poser, je parle avec ceux qui sont pris et d’autre qui ne sont pas pris, je fume une cigarette et elle a le goût de l’échec. Je vais voir les profs, la première chose qu’ils me disent est « Félicitations, tu n’as que 18 ans et un an de théâtre à ton actif et tu as été prise au second tour. » Ensuite ils me disent que je dois travailler ma palette d’émotions et mon expression corporelle, je le sais c’est des choses que je dois travailler, ils m’encouragent pour la suite et espèrent me revoir l’année prochaine. Je prends mon téléphone et j’appelle mes parents, j’ai envie de me faire toute petite, j’ai honte, tellement honte, je sens qu’ils sont déçus pour moi, mais me félicitent pour mon parcours, j’ai réussi à ne pas pleurer, je me montre forte devant eux. Je quitte le Conservatoire, je suis sur mon vélo et les larmes coulent, je pédale jusqu’à mon baby sitting, je sonne à la porte et je me montre souriante, confiante et heureuse même si en réalité c’est tout le contraire. Le lendemain matin ça va mieux je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, j’ai encore deux concours à passer, je dois rester concentré pas que pour moi, mais également pour ma réplique. Le dimanche 10 septembre, je me lève à 5h pour me rendre au Conservatoire de Liège, je ne souhaite pas rentrer dans cette école, car la pédagogie ne me convient pas et je le dis clairement dans mon dossier, mais c’est une expérience en plus, car ce concours est public. Je m’éclate sur scène. Lors de la proclamation le directeur ne prononce pas mon nom, mais en sortant du Conservatoire un prof vient me voir et me dit, qu’ils ont lu mon dossier et que si je n’avais pas noté que je ne voulais pas allez dans cette école, j’aurais été prise au second tour. Sans regret, je prends le train et je rentre sur Bruxelles, Liège ce n’est pas pour moi, Mons non plus d’ailleurs. J’apprends le 16 septembre à 23h45 que je ne suis pas prise pour le second tour de Mons. Je suis déçue, mais en même temps rassuré je me sens trop fatigué pour un second tour. Les concours c’est finis pour cette année. Lundi à 8h30 je serai à l’université pour des études de communication et de journalisme. 
Cette année je vais avoir le temps de me cultiver, je vais lire des pièces de théâtre, je vais encore plus aller au théâtre et au cinéma, je vais continuer les cours de théâtre et je vais faire des stages pour me représenter avec plus de matière au concours l’année prochaine et surtout je ne vais pas lâcher ce rêve ! Je n’aurais jamais pensé vivre autant de choses à 18 ans, mais je ne regrette rien je suis fière de moi et de mon parcours, toutes ces étapes franchies n’ont fait que confirmer cette envie qui bouillonne en moi.
Chloé Trojan.
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uneessencesensible · 3 months
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N°2100 – Mardi 28 novembre 2023
Mon intuition me disait que cette formation allait me faire de l’effet. Je le sentais. Au plus profond de moi. C’est une thérapeute. Ils ont une sacrée approche, que beaucoup n’ont pas ou ne peuvent comprendre et ressentir. Quand on parle de soi, le peu qu’on puisse dire, ils ressentent les choses, comme si c’était inné chez eux.
La matinée s’était bien passée jusqu’à ce fameux moment. Elle parlé du harcèlement, de la journée mondiale qui y est dédiée et de cette vidéo pour l’occasion. Elle a demandé si nous souhaitions la regarder. Sur l’instant, je n’y voyais aucun mal à la visionner. Je pensais surtout être assez forte pour encaisser ça. Cette chose dont j’étais victime pendant des années. Sur quatre minutes de vidéo, j’ai tenu deux minutes. C’est beaucoup, mais je n’aurai pas pensé que l’impact aurait été si fort à mon égard. J’ai tourné la tête, elle l’a remarqué et m’a demandé si je souhaitais couper la vidéo. J’ai dit oui. Je n’ai même pas senti les larmes arriver. Elles sont sorties toutes seules. Libératrice de quelque chose, d’un ressentiment que je gardais au fond de moi.
J’ai géré comme j’ai pu. Quelques temps après, j’ai dû me recentrer sur moi-même. J’ai dû retourner dans ma bulle et je ne voulais pas qu’on me dérange. De base, j’aurai laissé couler, mais la formation n’était pas finie, alors il fallait encaisser le reste. Je lui ai dit à cette femme. Je ne m’y attendais pas. Je ne m’y attendais pas à ce que cela me fasse autant d’effet, puisque j’essaie toujours de me mettre à la page en ce qui concerne les maux de notre société, pour y faire face à mon travail. Le harcèlement continue toujours de briser, de faire souffrir. Il y a encore, et toujours, des personnes qui délient leur langue pour faire mal au plus profond de l’âme. J’en ai vu des vidéos, mais celle-ci a fait écho en moi et cela a réveillé certaines choses.
La coupure m’a fait beaucoup de bien. Les enfants m’ont beaucoup aidé à penser à autre chose. Ils m’ont tous fait un câlin, comme s’ils ressentaient que j’étais peinée.
La seconde partie de la journée à débuter avec un mal de ventre. Une digestion très compliquée, alors que le repas était léger. J’ai mis du temps avant de comprendre qu’il s’agissait d’un mal nerveux. Les effets de la vidéo étaient encore là et je sentais que ce n’était pas fini. J’ai laissé couler, je l’écoutais d’une oreille, mais j’avais hâte de rentrer chez moi. Tout ça, c’était sans compter que nous finissons par parler de la violence. De la violence que les enfants peuvent reproduire, à cause du modèle parental qu’ils ont. Encore heureux, ce ne sont pas tous les enfants, j’en suis la preuve vivante. Je gardais un bon cap, jusqu’à ce que le sujet de la violence des enfants bifurque sur la violence conjugale. Je me contenais. Elle a dit une phrase symbolique, selon moi, qui était « On sait que cette femme se fait frapper dessus et personne ne dit rien ? ». Et oui, je tremblais, c’est tellement vrai. Bien des fois, personne ne fait rien. Que ce soit pour le harcèlement, la violence, l’intimidation, et j’en passe.
J’avais peur d’un dérapage. La boule de chaleur que je vois comme de la rancœur revenait. Comme avant. Cela faisait longtemps qu’elle n’était pas venue me voir et elle ne m’avait pas manqué. Je ne me sentais pas. J’ai eu peur que mes collègues dérapent, disent quelque chose du style « Elles n’ont qu’à partir » ou toute sorte phrase toute faite qui ne rime à rien.
Quand nous avons fait le tour de table, je lui ai dit. Ce sujet-là était le sujet de trop. C’était un sujet qui faisait écho en moi, beaucoup trop pour que je puisse apprécier le moment. J’ai mis du temps avant de partir du travail, tant j’étais chamboulée. J’ai pleuré en rentrant et je suis restée un moment sans rien faire. C’est passé, mais j’ai compris que je n’avais pas totalement guéri de certaines choses. Même après plusieurs mois de thérapie, les blessures sont toujours présentes. Mais à force de travail, j’y arriverai. J’en suis sûre. Je dois me laisser du temps pour tout ça. Cela a été une journée assez dure, pleine de prise de conscience et je dois accepter que ce soit mon passé et que parfois, il refait surface, même quand je ne le souhaite pas.
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sofya-fanfics · 7 months
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Je t’ai toujours aimé
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Voici ma participation pour le Flufftober 2023 pour le prompt : « Attends, tu m’aimes ? » « Je t’ai toujours aimé. »
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Damian était assis seul au fond de la salle et remuait nerveusement sa jambe de plus en plus. Il en avait assez. Il voulait partir et broyer du noir. Mais Anya avait insisté pour qu'il soit là et il n'avait pas pu refuser. Ils venaient d'obtenir leur diplôme et Becky voulait fêter cela en organisant une fête. Toute leur classe était présente. En particulier James, pensa Damian en fronçant les sourcils. Ce garçon l’énervait au plus haut point. En particulier lorsqu’il se montrait trop proche d’Anya.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Damian était assis seul au fond de la salle et remuait nerveusement sa jambe de plus en plus. Il en avait assez. Il voulait partir et broyer du noir. Mais Anya avait insisté pour qu'il soit là et il n'avait pas pu refuser. Ils venaient d'obtenir leur diplôme. Après toutes ces années à l'académie Eden, ils étaient enfin diplômés et Becky voulait fêter cela en organisant une fête. Toute leur classe était présente. En particulier James, pensa Damian en fronçant les sourcils.
Ce garçon l’énervait au plus haut point. En particulier lorsqu’il se montrait trop proche d’Anya. Lors de leurs premières années à l’académie, Damian n’avait jamais vraiment fait attention à lui. Ils étaient dans la même classe, mais ils ne s’étaient jamais véritablement parlés.
Un jour, alors qu’ils avaient douze ans, James et Anya s’étaient retrouvés en binôme pour un exposé. Cela les avaient rapproché. Ils parlaient, ils riaient, ils passaient leur temps libre ensemble. Bien sûr, Becky était toujours avec eux, mais Damian était bien trop jaloux pour la remarquer. Même à ce moment précis, ils étaient ensemble, entrain de rire. Ewen et Emile se mirent devant lui, lui bloquant la vue d’Anya et de James.
« Damian, pourquoi tu restes tout seul ? Demanda Ewen.
-On est diplômé ! Viens t’amuser ! Continua Emile. »
Tous deux affichaient un immense sourire et ils voulaient que leur meilleur ami profite de la soirée. C’est vrai qu’il était diplômé et c’est vrai qu’il devait fêter cela. Pourtant, il avait cette boule à l’estomac qui l’empêchait de s’amuser. Mais ce n’était pas parce qu’il était de mauvaise humeur qu’il devait gâcher la fête de ses amis. Il se leva soudainement.
« Je vais y aller, dit-il. »
Il se dirigea vers la sortie, ignorant ses deux amis qui lui demandaient de rester. Il sortit et l’air frais le saisit. Il pouvait sentir la différence de température comparée à la chaleur qui régnait à l’intérieur. Peut-être qu’un peu d’air frais l’aiderait à calmer ses nerfs.
« Damian ! »
Il sentit son cœur s’accélérer. Anya ? Qu’est-ce qu’elle faisait là ?
« Est-ce que tout va bien ? Demanda-t-elle. Tu es parti tellement vite.
-Ça va, répondit-il en feignant l’indifférence. »
De toute façon, pensa-t-il, comment pouvait-elle savoir s’il allait bien où pas, puisqu’elle passait tout son temps collée à James. Anya écarquilla les yeux comme si elle était surprise. Est-ce qu’il lui avait répondu trop brusquement sans s’en rendre compte ? Il voulut s’excuser, mais Anya le coupa.
« Pourquoi est-ce que tu n’aimes pas James ? »
Pendant une seconde, Damian ne sut quoi répondre. Il s’attendait à tout, sauf à ça.
« Qu’est-ce qui te fait dire ça ? Réussit-il à demander.
-Tu n’es pas très gentil avec lui. Même si tu n’es pas toujours très gentil avec tout le monde. »
Damian grimaça en repesant à la manière dont il avait traité Anya quand ils étaient enfants. Mais elle ne lui en avait jamais voulu et était devenue son amie.
« Avec James, c’est différent, continua Anya. Je vois bien que tu ne l’aimes pas. Si tu apprenais à le connaître... »
Damian leva les yeux au ciel. Elle voulait qu’il devienne ami avec James, mais c’était quelque chose qu’il refusait.
« Tu verras qu’il est très gentil.
-Laisse tomber Anya.
-Je suis sûre que vous pourriez devenir ami.
-Je t’ai dit de laisser tomber ! »
Pourquoi est-ce qu’elle insistait comme cela ? Pourquoi est-ce qu’elle ne comprenait pas qu’il ne voulait pas devenir ami avec James ? Pourquoi est-ce qu’elle ne voulait pas voir ce qu’il ressentait ? Il sentait la colère et la tristesse monter en lui. Il porta sa main à sa poitrine et serra le poing, espérant faire passer la douleur. S’il devenait ami avec James, il devrait supporter de le voir avec Anya et cela lui était impossible.
« Pourquoi est-ce que tu réagis comme ça ?
-Anya, arrête.
-Aide-moi à comprendre.
-Parce que je t’aime ! »
Le silence s’installa entre eux. Les mots de Damian résonnèrent dans leurs oreilles. Il avait l’impression que son cœur allait exploser. Il n’aurait jamais cru lui avouer qu’il l’aimait de cette façon. Anya le regardait, surprise. Elle ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois, avant de dire :
« Attends, tu m’aimes ? »
Damian soupira et s’ébouriffa les cheveux. Cela ne servait plus à rien de le cacher.
« Je t’ai toujours aimé. »
Étrangement, il se sentait bien. Bien sûr, il avait peur de sa réaction, mais il se sentait aussi libéré de lui avoir avoué ses sentiments. Même s’il aurait voulu que les choses soient différentes et qu’il ne lui ait pas dit qu’il l’aimait à cause de sa jalousie envers James. Il observa Anya qui était perdue dans ses pensées. Il l’entendit marmonner :
« Je comprends mieux ce qu’il y avait dans tes pensées.
-Quoi ? »
Anya revint à la réalité et écarquilla les yeux, comme si elle avait été prise la main dans le sac. Ce n’était pas la première fois qu’elle agissait ainsi, pensa Damian.
« Rien, répondit-elle.
-Tu n’es pas obligé de me répondre quoi que se soit.
-Pourquoi est-ce que tu ne me l’as jamais dit ?
-La peur d’être rejeté, de te perdre et que les choses soient différentes entre nous.
-C’est pour ça que tu étais jaloux de James ? »
Il fallait encore qu’elle parle de lui. Comme si elle savait à quoi il pensait, elle lui prit la main pour le rassurer.
« Tu n’as pas à être jaloux de lui. C’est mon ami, comme Becky. Et même si tu es aussi mon ami, ce que je ressens pour toi est différent de ce que je ressens pour Becky ou James. »
Elle rougit et sa main trembla légèrement. C’était la première fois que Damian la voyait ainsi. Il se demanda si elle aussi ressentait la même chose que lui. Il sentit l’espoir monter en lui. Il lui serra la main, espérant lui transmettre ce qu’il pouvait ressentir. Sans à ce qu’il ne s’y attende, Anya se mit sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur les siennes. Cela n’avait duré qu’une seconde, mais pour Damian, cela avait été la plus belle seconde. Anya s’écarta légèrement.
« Je t’aime aussi. »
Elle l’embrassa à nouveau et Damian répondit à son baiser. Il passa timidement ses bras autour d’elle et la serra contre lui. Plus rien ne comptait à part Anya. Il l’aimait et elle venait de lui avouer qu’elle l’aimait aussi et c’était tout ce qui importait.
Fin
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lilias42 · 7 months
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Jour 4 : Tragédie
Bon... techniquement, il y aurait dû avoir un billet sur les relations de Pan avant-hier et un autre sur comment les autres découvraient ses origines hier mais, ma désorganisation chronique, l'IRL, le temps monstre que j'ai mis à faire ma BD et le fait que je veux absolument mettre un dessin pour les illustrer histoire que ce soit un peu plus sympa que juste des pavés de textes m'ont fait prendre du retard alors, je le publierais plus tard (surement fin de semaine, début de la semaine prochaine, au diable l'ordre des jours).
Alors, en attendant, une des tragédies de Pan, avec un brin d'espoir à la fin pour ne pas finir sur une note trop triste (et parce que ça collait avec le numéro du jour)
Petite information pour mieux comprendre le contexte :
Sophie La Sage Hange-Blaiddyd : il s'agit de la demi-soeur de Loog mais, ils ont énormément d'écart, Loog était déjà adulte quand son père l'a eu avec une autre de ses maitresses... encore... Cela l'a mis hors de lui que son père pense seulement à badiner en pleine guerre d'indépendance, abandonne encore les conséquences de ses actes et laisse un autre de ses enfants sur le carreau, surtout que la mère ne voulait pas de sa fille étant donné qu'elle n'avait rien à gagner, laissant la petite toute seule au milieu d'une guerre. Loog a donc recueilli sa petite soeur, et l'a élevé comme sa propre fille, lui donnant le prénom de sa propre mère, Sophie. Elle sera d'ailleurs toujours considérée comme la fille de Loog, même si elle n'est pas né de sa chair, et toute la famille royal de Faerghus descend d'elle, Loog ne s'étant jamais marié et n'ayant pas eu d'enfant biologique. Je ne pense pas que Loog lui aurait donné un deuxième prénom étant donné qu'il est très fier des origines roturières de sa mère mais, s'il doit lui en donner un, ce serait Abigaëlle, la joie du père.
Suite sous la coupe :
"Pan, Loog voudrait te voir...
L'agarthan releva la tête de la lettre qu'il écrivait en entendant Sophie l'appeler par son vrai nom, plutôt que par celui qu'il utilisait en ce moment. Lucine lui avait dit qu'elle ne pourrait pas venir le voir cette année, se sentant trop faible pour faire le voyage alors, il lui promettait de venir dès que Loog se sentirait mieux. Pour le moment, il ne voulait pas quitter le chevet du roi et de son héritière... pas quand Loog s'affaiblissait aussi de jour en jour...
Même si l'agarthan s'habituait avec le temps, c'était toujours assez étrange de voir à quel point Sophie avait grandi, ressemblant toujours plus à Loog même s'ils étaient demi-frère et soeur. Elle qui n'était qu'un tout petit bébé tout frêle et fragile quand il l'avait rencontré, emmailloté dans un linge bien chaud pour la protéger du froid faerghien, si petite qu'elle disparaissait presque dans l'étreinte de Loog alors qu'il jurait de s'occuper d'elle et de la protéger de leur père, elle avait tellement grandi à présent qu'elle le dépassait de plusieurs têtes, faisant la taille de Loog. Une longue tresse blonde tombait sur son épaule, soulignant l'austérité de sa tenue, tout en laine bleue fine mais chaude, la jeune femme ne craignant aussi peu le froid que tous les autres Blaiddyd que Pan avait connu... enfin, jeune femme... à ces yeux... elle avait tout de même presque soixante ans à présent... et même si son emblème majeur ralentissait son vieillissement, Pan ne pouvait que voir les rides creusés de plus en plus profondément son visage, ses cheveux blanchir comme si on les trempait dans la chaux avant même qu'elle ne sorte de son crâne, ses pas redevenant maladroit comme quand elle apprenait à marcher, une vieille blessure à la jambe revenant la hanter alors que le temps usait ses os... alors Loog qui avait plus de trente ans de plus qu'elle...
-D'accord, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe ? Il va bien ?
Le visage de la jeune femme se ferma un peu, baissant les yeux avant qu'elle ne lui tende la main en soufflant.
-Il veut te le dire lui-même...
De plus en plus inquiet, Pan attrapa sa main, son coeur se serrant en voyant que si les mains de Sophie portait toutes les marques d'usure laissé par sa vie bien remplie, celle de Pan restait toujours aussi pleine, toujours aussi jeune que le jour où il était revenu à la surface, cinq ans avant sa naissance... il était même obligé de se faire passer pour quelqu'un d'autre depuis quelques temps, quand il ne put plus se cacher derrière l'excuse que les signes de l'âge arrivaient tard dans sa famille... même pour quelqu'un avec un emblème, il n'était pas censé avoir l'air d'avoir moins de vingt ans alors qu'officiellement, il avait pratiquement quatre-vingt ans...
En traversant le palais, ils passèrent devant le grand tableau célébrant leur victoire contre l'empire, représentant tous leurs compagnons réunis... la gorge de Pan se serra encore plus en les revoyant tous... tous si différents de ce qu'ils étaient aujourd'hui... Lucine dansait avec peine, Amaury était à présent aussi sourd qu'il était muet, Poppa et Torf ne pouvaient plus voler entre Daphnel et Galatéa pour se voir comme avant, Clothilde avait grandi et pris la succession de son père quand Kyphon les avait quitté le premier, étant le seul sans emblème majeur d'entre eux... même Walter, Gylfe et Eudoxie les avaient quittés malgré ça, rejoignant l'épéiste quelques mois ou années plus tard...
Irène avait tellement changé depuis la mort de Sybille, ne quittant plus ses habits de deuil, contrastant avec sa chevelure devenue intégralement blanche de chagrin et même si les deux soeurs avaient passé leur vie à se taquiner et à s'envoyer des pics, elle ne disait plus rien de négatif sur elle... la cadette ressemblait à un fantôme elle-même...
Perdu dans ses pensées, Pan vit à peine qu'ils étaient arrivés devant la chambre de Loog. La grande porte fermée ressemblant à cet instant à celle séparant Shambhala du monde de la surface, séparant deux mondes... Sophie le lâcha, l'encourageant à entrer d'un regard. Prenant son courage à deux mains, l'agarthan passa le passage pour entrer dans l'univers de son sauveur, ce dernier ne le quittant pratiquement plus depuis quelques semaines.
Cela sentait les plantes et les médecines, les pots d'apothicaires et fioles de potions ayant remplacés les papiers de travail et les partitions sur le bureau de l'ancien roi. Sa flute de Pan reposait entre deux médicaments, une légère couverture de poussière l'enveloppant, laisser à l'abandon depuis trop longtemps... les médecins avaient déconseillé à Loog d'en jouer, cela forcerait trop sur ses poumons. Lui qui avait toujours tant aimé la musique qu'il pouvait en tirer...
Ce dernier était allongé dans son lit, si différent et à la fois si semblable de l'homme qui avait tiré Pan du noir à bout de bras. Tout comme sa fille adoptive, ses cheveux étaient devenus blancs et cassants, la peau collait à ses os, sa force pourtant prodigieuse volée par les années, son regard souvent éteint et absent... cependant, une étincelle de joie s'y alluma quand il le vit, arrivant à sourire alors qu'il murmurait, ne parlant plus vraiment... sa voix était devenue trop faible et chevrotante...
"Pan... tu es là... approche...
-Oui, je suis là... Sophie m'a dit que tu voulais me parler...
Obéissant, l'agarthan s'assit sur le lit au côté de l'homme qui l'avait sauvé, prenant sa main, comme pour s'accrocher encore et encore à lui. Elle se serra à peine autour de ses doigts... même sa main mécanique s'usait et montrait des signes de faiblesse, il devait changer de plus en plus souvent des pièces pour qu'elle soit encore utilisable... Pan rêverait que tout soit aussi simple...
-Je suis content de te voir... tu as l'air d'aller bien... même si tu es aussi triste...
-... oui... Lucine ne pourra pas venir... elle se sentait trop faible pour supporter le voyage... alors, je lui ai dit que je viendrais la voir quand tu iras mieux...
-C'est une bonne idée... elle sera contente de... arriva-t-il à sourire à nouveau, avant de se faire interrompre par une quinte de toux, entrechoquant ses os entre eux dans des craquements macabres, glaçant le sang de l'agarthan jusqu'au plus profond de son coeur, craignant le pire.
Pan voulut appeler les médecins mais, Loog le retient avec ce qu'il lui restait de force.
-Non... ça ne sert à rien... ça ne sert plus à rien... je... Pan... je crois que c'est bientôt l'heure de se dire au revoir...
-Non... non... dit pas ça... tu es encore si jeune... nia-t-il, presque par automatisme, une voix sombre se moquant de lui alors qu'il reniait la réalité même.
-Pas tant que ça... j'ai déjà bien vécu... plus que beaucoup de mes ancêtres dans la famille de ma mère... et plus longtemps que cette enflure qui me servait de père, ce que je prend comme une victoire en soit... ne put s'empêcher de piquer Loog, le mépris s'échappant une seconde avant de mourir dans un râle. J'ai déjà eu une longue vie, même si c'est sûr que... rha... à ton échelle, cela doit paraitre bien court...
-Trop court... tu ne peux pas partir... pas maintenant... pourquoi les humains meurent-ils quand ils viennent à peine de naitre ? C'est... c'est pas juste... c'est pas juste... ! Si seulement... snif... si seulement je pouvais... si je pouvais vous en donner un peu... juste un tout petit peu... à tous... vous seriez...
Son voeu se fana sur sa langue, sachant mieux que quiconque que c'était impossible mais voulant y croire quand même, alors que Loog le tirait vers lui. Ne pouvant plus tenir, Pan cacha sa tête au creux de ses bras, se mettant à pleurer, terrifié par ce qui allait arriver, refusant que cela arrive, cherchant un moyen de le garder avec lui... de tous les garder, même ceux qui n'étaient plus là... si seulement c'était possible...
-Mon Pan... souffla-t-il en le serrant dans ses bras, passant une main rassurante dans ses cheveux malgré ses tremblements. Le deuil et la mort font toujours mal... mais tout ce qui vit meure un jour avant de revenir à la vie dans un autre corps, ainsi en a décidé la Déesse... même si cela prend plus ou moins de temps... c'est pour ça que l'on chérit notre vie et tout ce qu'elle a pu nous apporter, même si elle peut faire mal aussi... je suis heureux d'avoir vécu ma vie ainsi... je suis heureux de tous vous avoir rencontré... je suis heureux de t'avoir rencontré ce jour-là... même si c'est aussi un souvenir douloureux, je suis content d'avoir trouvé ce petit gamin dans cette cave, un gamin qui n'avait aucun endroit où aller et qui ne demandait qu'à s'épanouir... je suis heureux de voir à quel point tu as grandi... tu es une personne extraordinaire, créative, gentille et attentionnée, avec le coeur dans sa main, et je suis heureux et fier d'avoir eu la chance de te rencontrer... même si c'est dur de vous laisser seuls Sophie et toi, je sais que vous avez toutes les cartes en main pour arriver à vous en sortir à merveille... ça se passera bien pour vous, j'en suis sûr...
Loog laissa Pan pleurer, ne l'empêchant pas de montrer son chagrin et sa peine, le rassurant encore et encore... si seulement son voeu pouvait se réaliser... la mort était déjà un adversaire redoutable, elle devait paraitre encore plus féroce et cruelle pour lui... dire qu'il n'avait pas vieilli d'un seul jour depuis celui de leur rencontre, alors que les fanatiques de l'Eglise Occidentale l'avaient enfermé dans cette cave... son regard et son comportement avaient muri, Pan s'était libéré du carcan de son peuple, arrivant à faire vivre au grand jour la personne merveilleuse qu'il était au fond de lui mais, malgré tout, il avait encore des comportements plus enfantins ou adolescent...
Est-ce qu'il ne l'était pas encore un peu dans le fond ? Est-ce que pour quelqu'un vivant si longtemps, l'enfance n'était pas aussi longue que la jeunesse de trait ? Malgré tout, est-ce que dans le fond, Pan n'était pas un adolescent jouant très bien le rôle d'un adulte mais, qui conservait ses failles et faiblesses enfantines au fond de lui, les cachant aux yeux de tous ? Même le principal concerné ne pouvait répondre à ses questions et ses craintes, la vérité sur le fonctionnement de son propre corps ayant été volée par les tyrans servant de souverains à son peuple... Loog avait tout fait avec leurs amis et compagnons pour essayer de comprendre avec lui... à présent, alors que la mort rôdait tout autour de lui, attendant que sonne son heure, il ne pouvait plus qu'espérer que cela soit suffisant...
-Même au paradis ou en enfer, je prierais pour que vous alliez tous bien... je vous protégerais toujours, même si je dois revivre en étant le plus petit des cailloux du monde... aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance...
Pan redressa la tête, arrivant à sourire à cette remarque.
-Oui... c'est même toi qui m'as appris que le quatre était un symbole de chance... souffla-t-il avec nostalgie, passant sa main sur le haut de son bras gauche, là où Gylfe avait recouvert son ancien matricule avec le dessin d'un trèfle à quatre feuille, effaçant toute la honte de porter ses quatre points écarlate pour les remplacer par la joie d'avoir lui aussi un tatouage faisant autant sens que les siens.
Loog sourit à son tour, lui embrassant le front avant de souffler.
-Tu peux demander à Sophie de venir s'il te plait ? J'aimerais passer encore un peu de temps avec vous deux...
Pan obéit d'un hochement de tête, essuyant ses larmes alors qu'il allait la chercher. Quand elle entra, Loog sourit à nouveau, sa fille lui prenant à son tour la main alors que le silence s'installait mais, l'ancien roi le chassa vite, leur demandant de lui parler de ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
"C'est du Loog tout craché..." songea Pan en se rappelant de la première fois qu'il était rentré dans une église qui célébrait le rite adrestien, l'homme alors jeune plaisantant allègrement sur le fait que le but du jeu ici était de ne pas s'endormir pendant le sermon, même s'il était très pieux lui-même.
Ils se mirent donc à discuter ensemble, parlant de ce qu'ils comptaient faire, de leurs ambitions, de ce qui les agaçaient parfois, leurs peurs mais aussi de leurs espoirs. Loog répondit avec bienveillance sans jamais les quitter des yeux, même si sa voix s'affaiblissait d'heure en heure, s'enfonçant de plus en plus dans son lit alors que le temps filait bien trop vite entre leurs doigts.
Cependant, quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez à l'horizon, le mourant arriva à tourner son regard vers la fenêtre, souriant alors que le ciel d'or se teinta de plus en plus d'azur, le vent chassant les nuages avant d'arriver à entrer dans la pièce, caressant leur peau avec douceur, amenant la chaleur de l'astre du jour avec lui.
Loog eut un regard nostalgique avant de sourire à nouveau, comme si tout irait toujours bien, semblant voir quelque chose invisible à Sophie et Pan. Leur sang se glaça mais, le mourant semblait toujours aussi calme, serein alors qu'il soufflait.
"Le ciel est magnifique... je suis content... de l'avoir encore vu... à nos couleurs au moins une fois... avec vous tous... même si j'aurais aussi aimé encore un peu de temps... au moins... je pars un matin avec le ciel bleu... plutôt que le soir avec le ciel pourpre... Sophie... Pan... mes enfants... merci... merci pour tout... hein..."
Un dernier soupir tomba de ses lèvres, emporté par le vent s'échappant, alors que ses paupières fatiguées tombaient.
Pan se figea, connaissant à présent trop bien ce visage, perdu dans le vague... ce léger sourire serein...
"Loog ?
L'homme ne répondit pas. L'agarthan attrapa alors sa main, la secouant un peu en appelant à nouveau, de nouveau perdu dans le noir, cerné par des murs de pierres sombres, enfermé avec la mort alors qu'il répétait encore et encore :
-Loog... ? Loog, répond... répond-moi... répond... ! On est là ! Ouvre les yeux ! S'il te plait... Loog... snif... ne pars pas... ne pars pas... ! Tu es encore tout jeune... par pitié... ne nous laisse pas... répond...
Pan essaya de ne pas pleurer, ne voulant pas s'effondrer devant Sophie... c'était lui le plus âgé, c'est lui qui devrait la soutenir, pas le contraire... même si elle avait bien grandi, quand Loog lui avait présenté sa fille pour la première fois, il lui avait dit qu'elle était toute fragile et qu'il fallait bien la protéger pour qu'elle grandisse... elle était encore toute petite pour un agarthan, c'était donc à lui de la protéger maintenant...
Cependant, ce fut Sophie qui posa sa main sur la sienne, l'enveloppant avec celle de son père tout en le prenant par les épaules, lui soufflant doucement.
-Ne te retiens pas pour moi... toi aussi, tu as le droit de le pleurer... avoir quelqu'un avec qui pleurer est parfois le meilleur des soutiens... surtout... il entendit sa voix se briser, le serrant contre elle alors que des larmes s'échappaient de ses yeux, cavalant sur ses jours creusés par l'âge. Surtout quand il s'agit de notre père à tous les deux... tu as toujours été un frère pour moi... comme tu as toujours été un fils pour lui... même si aucun de nous deux n'est né de sa chair... il sera toujours... snif... notre père... toujours...
-Sophie... Sophie... il... il ne peut pas... snif... Loog... notre... snif... snif... LOOOOOOG !!!!
Pan s'effondra, pleurant à chaudes larmes la perte de Loog avec sa famille, tout en sachant qu'un jour, il devrait pleurer Sophie à son tour, puis ses enfants à elle, puis leurs enfants à leur tour, puis encore leurs enfants... comme pour tous ses amis et ses proches... il entendait presque Thalès rire, se moquer cruellement de lui, n'ayant qu'à attendre pour lui arracher tout ceux qu'il chérissait...
"Ne les écoute pas, ils ne font que persiffler comme des vipères. S'ils étaient si sûrs de tout ce qu'ils avançaient, il n'aurait pas à vous mentir tout le temps, ils vous prouveraient simplement qu'ils ont juste."
"Si tu ne veux plus faire partie de ton clan et de ton peuple car, tu n'es pas d'accord avec eux et que cela ne te correspond pas, quitte-le, et ils n'auront rien à te redire. C’est ta vie, pas la leur. Et s’ils te disent que c’est la leur, dis leur d’aller se faire foutre."
"Aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance..."
"C'est vrai... se reprit Pan en redressant un peu la tête, regardant le soleil, ayant l'impression d'y voir le sourire et la chevelure de Loog à l'intérieur, tenant déjà sa promesse à peine mort. Lucine a raison... Thalès et ses sbires ne font que mentir, ils ne savent rien des émotions et ce que c'est de réellement vivre... la vie à la surface avec eux tous est bien plus belle qu'à Shambhala, même si ça fait mal parfois... et s'ils ne sont pas d'accord, tant pis pour eux. Comme dirait Kyphon, qu'ils aillent tous se faire foutre. J'ai eu la chance de tous les connaitre, c'est ma chance à moi qu'ils ne pourront jamais voler ou corrompre... je ne la gaspillerai pas, et je ne leur donnerai jamais raison Loog... je te le promets... après tout, j'ai encore une longue vie à vivre et comme tu le disais tout le temps, le quatre est un symbole de chance..."
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kilfeur · 5 months
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Il y a plusieurs raisons d'aimer Rayllum et je peux comprendre pourquoi c'est un ship assez solide. Je crois que j'ai commencé à les shipper en saison 2. Bien que Callum à ce moment là, était plus intéressé à Claudia. Mais ce que j'apprécie dans ce ship c'est comment leurs points de vue se sont défiés ainsi que leurs préjugés sont au final infondés concernant les humains ou les elfes et changent peu à peu leur vision des choses. Ils ont apprit à se connaître et s'inspirent mutuellement ! Comme par exemple la scène où Rayla veut partir sauver Pyrrha car elle a été poussé par les paroles de Callum. Et Callum bien qu'il est frustré de ne pouvoir rien faire, finit par intervenir. Il sauve le dragon en utilisant la magie noire ainsi que Rayla au passage, car il voulait aider tout comme elle. Bien que celle ci désapprouve cette magie car elle vole l'énergie magique des créatures !
Mais petit à petit, ils apprennent à se faire confiance et se soutiennent mutuellement. Par exemple, l'une de mes scènes préférés c'est que Rayla fait face à Sol Regem ! Lui faisant comprendre à quel point elle a besoin de Callum dans son voyage vers Xadia et quel genre de personne il est pour elle ! Je suis sûre que beaucoup citeront d'autres moments préférés mais pour moi, c'est ce moment ! Mais aussi le fait d'être présent l'un pour l'autre. Quand Rayla se lamente en disant que son village a eu raison de la bannir. Or il la fait taire lui faisant comprendre quel genre de personne elle est vraiment.
Et dans l'acte 2, je peux comprendre pourquoi certains étaient insatisfaits de la saison 4. Pour ma part, elle était pas si terrible mise à part deux trucs qui m'ont fait haussé un sourcil. (Comme le fait que Viren semblait savoir qui est Rex Igneous alors que pour Avizandum, il a dû faire des recherches à son sujet. Ou bien le fait que Rayla est parti sans Soren) Mais j'avais bien aimé l'attitude de Rayla envers Callum ! Je m'explique, je pense qu'à ce moment là, elle se rend pas compte que son départ l'a blessé à ce point. Et elle essaie de se rattraper avec lui mais lui laisse de l'espace. Elle n'impose pas sa présence et n'insiste pas quand celui ci semble pas intéresser à dialoguer ! Et de l'autre je peux pas vraiment blâmer d'être distant envers elle. Il a eu l'impression d'avoir été abandonné par elle à cause de la lettre. Parti le jour de son anniversaire, au point qu'il savait même pas comment se sentir une fois qu'elle soit revenu, c'est assez confus pour lui ! Donc je peux comprendre pourquoi Callum n'était pas réceptif envers elle, car il sait juste pas comment réagir naturellement avec elle en saison 4.
Ce n'est que quand Callum vient la voir que là du coup elle se montre plus active. Bon la conversation s'est pas très bien passé quand il s'est confié. Mais je pense toujours que c'est parce qu'elle le surestime et qu'elle a tellement confiance en lui ! Que du coup, elle est aveugle en ce qui concerne les insécurités, pour elle, c'est impensable que Callum se fasse corrompre. Car justement elle l'a vu utiliser la magie noire une fois et l'a surmonté ! Et dans la saison 5, c'est justement leur relation qu'ils essaient de réparer. En redevenant intimes, comme la scène où ils regardent les étoiles. Ou bien se confiant sur leurs secrets, comme Rayla qui parle de sa famille coincé dans des pièces. Bien que Callum ne s'ouvre pas émotionnellement parlant pour l'instant. Je sens qu'il va finir par se confier de nouveau à elle et cette fois ci au lieu de ne pas comprendre ce qu'il va dire et essayer de "l'encourager" on va dire. Je pense qu'elle essaiera de l'aider, voir même le réconforter si ça va vraiment pas bien !
Je dois dire que je préfère leur relation à l'acte 2 car je la trouve plus nuancé et plus complexe. Non pas que leur relation dans les premières saisons n'avait pas de nuance et quoi que ce soit. Mais dans l'acte 2, leur relation m'attire plus on va dire !
There are many reasons to love Rayllum and I can see why it's a pretty solid ship. I think I started to shipper them in season 2. Although Callum at that point was more interested in Claudia. But what I like about this ship is how their points of view have challenged each other and their prejudices are ultimately unfounded about humans or elves and gradually change their view of things. They get to know each other and inspire each other! Take, for example, the scene in which Rayla sets off to save Pyrrha, inspired by Callum's words. And Callum, although frustrated that he can't do anything, ends up intervening. He saves the dragon using dark magic, and Rayla too, because he wanted to help just as she did. Although Rayla disapproves of this magic, as it steals magical energy from creatures!
But little by little, they learn to trust and support each other. For example, one of my favorite scenes is Rayla confronting Sol Regem! Making him understand how much she needs Callum on her journey to Xadia and what kind of person he is to her! I'm sure many will name other favorite moments, but for me, it's this moment! But also being there for each other. When Rayla laments that her village was right to banish her. But he shuts her up, making her realize what kind of person she really is.
And in Act 2, I can understand why some people were dissatisfied with Season 4. For my part, it wasn't so bad apart from a couple of things that made me raise an eyebrow. (Like the fact that Viren seemed to know who Rex Igneous is when for Avizandum, he had to do some research about him. Or the fact that Rayla left without Soren) But I liked Rayla's attitude towards Callum! Let me explain, I don't think she realizes at this point that he's been so hurt by her leaving. And she tries to make up for it with him, but gives him space. She doesn't impose her presence or insist when he doesn't seem interested in talking! And on the other hand, I can't really blame him for being distant towards her. He felt abandoned by her because of the letter. Leaving on his birthday, to the point where he didn't even know how to feel once she came back, it's pretty confusing for him! So I can understand why Callum wasn't receptive to her, because he just doesn't know how to react naturally to her in season 4.
It's only when Callum comes to see her that she suddenly becomes more active. Well, the conversation didn't go so well when he confided in her. But I still think it's because she overestimates him and trusts him so much! As a result, she's blind when it comes to his insecurities; for her, it's unthinkable that Callum would be corrupted. Because she saw him use dark magic once and overcame it! And in season 5, it's precisely their relationship that they're trying to repair. By becoming intimate again, like the scene where they look up at the stars. Or confiding in each other about their secrets, like Rayla talking about her family stuck in coins. Although Callum doesn't open up emotionally just yet. I have a feeling he'll end up confiding in her again, and this time instead of not understanding what he's going to say and trying to "encourage" him, we'll say. I think she'll try to help him, or even comfort him if he's really feeling down!
I have to say that I prefer their relationship in Act 2 because I find it more nuanced and complex. Not that their relationship in the early seasons didn't have nuance or anything. But in Act 2, their relationship attracts me more, shall we say!
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steff-02 · 2 months
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Quelle journée ! Je ne sais même par où commencer tellement que j’ai envie de vous dire pleins de choses ! 😂 veuillez m’excuser si je m’éparpille un peu…
La journée commence un peu plus tôt que toutes les précédentes. À 7h20 nous partons chercher la voiture. Arrivé à la voiture, je me rends compte que je n’ai pas pris mon permis de conduire. Je remonte en vitesse à l’appart, prend mon permis (et celui à maman au passage, au cas où..), je redescends et hop cette fois-ci on est parti. Nous avons environ 140km à faire pour rejoindre San Fransisco de Macoris. Google Map nous prévoit un temps de trajet de 2h40 ! 😱 bon,…il prend déjà en compte le trafic intense pour sortir de la capitale 😅. Il y a tellement de circulation qu’il nous faut plus d’une heure pour faire les premiers 25km…il faut que j’oublie un peu mes règles de conduite suisses…comme dit l’expression, « à Rome, fait comme les Romains ». Alors on s’impose, on force le passage et on avance 😂. On a traversé des paysages sublimes, aux pieds des montagnes couvertent de forêts tropicales verdoyantes 🥰 Malgré que je ne me suis pas arrêté faire de photos, il y a quand même eu plus d’embouteillages que ce que prévoyait Google, alors la marge de 30 minutes que j’avais pris à déjà été entièrement grignotée…mais quand je me rends compte, à quelques mètre du point d’arrivée, que je me suis trompé pour entrer l’adresse; j’ai commencé à perdre patience 😅 on fait encore un petit détour d’une demi heure, on arrive en catastrophe, on s’excuse beaucoup à notre arrivée, on fait pipi et voilà, il est 11h et on peut enfin commencer la visite 😂💪🏼
Nous visitons aujourd’hui une plantation de cacao 🍫🍫 ! Nous rejoignons deux français, qui patiente déjà depuis un moment… On commence la visite par apprendre comment faire pousser le cacao. Soit on fait germer les graines et on les fait pousser (il faudra 3 ans avant que cet arbre produise du cacao), soit après avoir planté la graine et 3 mois de pousse, on y greffe une branche d’un arbre qui produit du cacao de très bonne qualité, l’arbre commencera à faire des fruits après un an seulement et de très bonne qualité 😉 Ensuite, la guide nous présente les différentes cabosses, et en ouvre une. Nous avons pu goûter les fèves de cacao fraîches. Seul la pulpe blanche se mange et elle est très sucrée et ici avec un léger goût de mangue 🤣. Toutes ces fèves sont récoltées puis fermentées durant 5 jours avant d’être séchées durant environ 8 jours (ça dépendra aussi de la météo ⛈️🤷🏽‍♂️). Quand elles sont bien sèches, elles sont torréfiées durant une quinzaine de minutes, avant d’être concassées puis l’enveloppe de la fève doit être séparée du grain de cacao. Autrefois, chaque fève était écrasée à la main lorsqu’elle était encore chaude puis toutes les écorces devaient être triées…sacré boulot ! Le cacao doit alors être broyé, et très vite, grâce à l’huile contenue dans les graines, une pâte se forme. Nos guides y ajoute un peu de sucre et en forme une boule ( on a pu goûter et c’est déjà délicieux ! 🥰). Ils vont laisser sécher totalement cette boule. Elle sera ensuite moulue et ils auront un nouveau stock de chocolat en poudre pour faire des gâteaux ou des chocolats chaud ;) Les machines à l’usine, elles, sont un peu plus performantes et peuvent rendre le chocolat extrêmement lisse, puis le tempèrent et moulent de belles tablettes de chocolat brillantes et croquantes ! 🍫 Nous avons ensuite dégusté plusieurs type de chocolats avec des teneurs en cacao différentes. Étonnement, même le chocolat noir 80% n’était pas très amer, comparé aux tablettes que nous trouvons dans le commerce en Europe.
Après la visite, nous avons eu droit à un copieux repas dominicain. Pour accompagné le riz et une sorte de ragoût de poulet, nous avons eu droit à des bananes plantains. C’est une variété de banane qui se mange uniquement cuite. Grillée, frite ou bouille ! C’est très bon mais assez bourratif 😅
Après avoir fait un dernier tour dans la plantation, nous prenons la route direction Santo Domingo. Nous faisons taxi pour les deux français avec qui nous avons partagé la visite. Ils n’ont pas de voiture alors nous les avons avancé jusqu’au prochain village afin qu’ils prennent un bus pour rejoindre Puerto Plata, tout au nord de l’île.
Il est presque 18h lorsque nous arrivons à l’hôtel. L’entrée à Saint Domingue était de nouveau assez sportive mais plus fluide que ce matin. On avait pas vraiment la force de retourner souper en ville, alors après s’être posé un moment, on est retourné souper dans le resto en bas de l’appartement, comme le premier soir ;)
PS: ci-dessus, la deuxième image représente les différentes étapes pour obtenir la pâte de cacao.
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swedesinstockholm · 10 months
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30 juin
l’autre jour on discutait de la fin de melancholia de lars von trier avec n. et elle me disait que ça l’avait fait réfléchir à son désir de créer quelque chose d’important, à quoi bon si c’est pour que tout disparaisse du jour au lendemain avec l’explosion de la terre percutée par une autre planète? et je lui ai dit que je le voyais pas du tout comme ça moi, que je voulais créer des choses pour pouvoir en jouir tout de suite, parce que le présent est plus important que le futur, je crée parce que je veux être aimée tout de suite, pour être vue et entendue et reconnue, pas pour laisser quelque chose derrière moi ou contribuer à je ne sais quel patrimoine matrimoine littéraire ou artistique. elle m’a demandé si je me contenterais de l’admiration de quelques personnes et j’ai dit que j’étais déjà euphorique quand une seule personne sur tumblr me disait qu’elle aimait me lire. et puis j’ai ajouté non mais si, j’ai très envie de devenir célèbre, évidemment. what’s the point of making great work if everything is going to disappear? the point is now! the point is the present. how very buddhist of me. il me manque plus qu’à tuer mon égo maintenant. à moins que r. s’en soit déjà chargé samedi soir. c’était tellement violent d’entendre sa voix dans mes écouteurs me dire d’un ton grave et ultra sérieux qu’il ressentait pas la même chose que moi. je sais pas pourquoi je m’inflige de l’écouter et le réécouter et le réréréécouter, c’est comme de regarder un accident de la route en passant à côté, je sais que ça va me traumatiser mais je peux pas m’en empêcher, j’aime remuer le couteau dans la plaie, j’aime souffrir. peut être que c’est une tentative de vraiment tuer mon égo. ou peut être que c’est parce que je m’aime pas assez, je sais pas. il dit qu’il s’était aperçu qu’y avait un truc à partir du moment où j’avais utilisé le mot date pour se voir, le moment où moi je me suis dit c’est bon j’en suis quasiment sûre maintenant, c’est bien un date. je crois que c’est bon là, y aura pas de troisième faux date, je ferme mon imagination, mon cerveau est désormais une zone fiction free.
mercredi je me suis promenée au viktoriapark et je me suis assise sur un rocher sous les arbres à la source de la cascade pour m’entraîner à chanter le nouveau couplet de ma chanson. j’ai changé “car tu ne me laisseras jamais sur vu puis disparu” à “car tu ne me diras jamais que tu ne m’aimes pas”. j’adore chanter dehors depuis cet hiver quand je m’entraînais à chanter all that jazz dans la rue en rentrant du théâtre le soir. j’ai acheté un short fleuri des années 90 qui me rappelait un imprimé de mon enfance et puis j’ai acheté le premier tome du journal de georgia nicholson dans un magasin de livres d’occasion pour l’offrir à n. je l’ai feuilleté et ça m’a rappelé à quel point ce livre avait influencé mon écriture à l’époque du blog, et à quel point il m’avait formée en tant qu’écrivaine en fait. avec le journal d’une princesse. je sais même pas si je tiendrais un journal comme je le tiens aujourd’hui sans ces livres. peut être que je me serais jamais mise à l’écriture du tout. je portais mon tshirt céline sciamma qui m’a valu un great shirt! d’une fille probablement lesbienne alors que je mangeais mon donut cream cheese à la fraise sur le trottoir, ainsi que plusieurs regards approbateurs dans les rues de neukölln. un peu déçue de pas avoir eu plus d’interactions avec des filles queer pendant mon séjour quand même, à part la coloc de n. qui me terrifiait un peu, celle qui m’a réveillée à sept heures le jour où j’ai dormi dans la cuisine et qui m’a proposé d’aller finir ma nuit dans la chambre de la fille qui était pas là. n. m’a dit qu’elle travaillait comme videuse au schwuz, le plus grand club queer de berlin, et ça lui allait comme un gant.
dans le bus le soir j’ai posté un appel à lancer des soirées diary slam avec moi après avoir découvert ça dans un bar de neukölln, c’est des soirées où tout le monde peut venir lire le journal de son enfance/adolescence et peut être que je pourrais essayer de lancer le concept à bruxelles et ainsi infiltrer le monde artistico-littéraire bruxellois et devenir une des reines de la scène littéraire locale comme perrine. c’était bien moins dramatique qu’à l’aller dans le bus, j’étais assise exactement à la même place mais j’étais bien moins triste. enfin j’étais surtout triste de quitter berlin, ce qui est une tristesse beaucoup plus supportable. j’ai écouté monument ordinaire en regardant le soleil se coucher derrière les éoliennes, puis je suis passée à avril lavigne en arrivant à leipzig vers minuit. en sortant de la ville je regardais les maisons de banlieue dans le noir et j’avais l’impression qu’on était en france. que leipzig avait glissé quelque part sous fontainebleau, vers là où habitent p. et s. vers une heure du matin j'ai mis sam smith période 2015 mais pas pour être triste, même celle où il dit i love you believe me but not in that way, j’ai pas pleuré. j’ai écouté l’album cinq ou six fois de suite, je sais pas pourquoi ça me faisait du bien.
6 juillet
j’ai enfin brisé la glace avec r. en lui envoyant un tiktok d’un oignon qui chante une chanson d’amour au type qui veut le couper pour le faire pleurer et j’ai dit disons que je viens de briser la glace? et il m’a dit oui tu viens de briser la ce-gla et il m’en a envoyé d’autres et puis on a discuté d’adrienne maree brown et de notre fascination commune pour le rapport extrême que les américains entretiennent avec la nourriture et il est plus du tout revenu sur mes messages qui répondaient à ses questionnements, alors qu’il avait dit qu’il avait des trucs à me répondre, mais peut être que je saurai jamais ce qu’il avait à me répondre parce que tout ce qu’il veut vraiment c’est continuer à pouvoir m’envoyer des trucs drôles et j’ai du mal à comprendre. quand je pensais qu’il avait un crush sur moi ça faisait sens, mais là, je comprends pas pourquoi il s’acharne. en fait je comprends tout simplement pas pourquoi il veut être mon ami. peut être que c’est encore une question de non amour de moi-même. mais moi, est-ce que je peux vraiment être son amie? est-ce que je me voile pas un peu la face? est-ce que je pourrai le revoir un jour sans me rouler par terre de douleur? je veux tellement pas le perdre que je suis prête à tout endurer. hier à la piscine quand je pensais à lui parfois ça me faisait nager comme une forcenée et puis parfois ça me stoppait net et je laissais tomber ma tête sous l’eau comme une morte.
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directmag · 25 days
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[Regarder] Godzilla x Kong : Le nouvel Empire (2024) Film en streaming VOSTFR – VF
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-Regarder Godzilla x Kong : Le nouvel Empire en streaming sur Papadustream.cfd : Streaming Le dernier opus de la franchise Monsterverse de Warner Bros. montre des signes d'une imagination anémique. Rien dans “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” ne fait sens, ce qui n'est pas, en soi, un problème. Nous ne sommes pas installés confortablement dans nos sièges de cinéma avec notre popcorn rassis pour discuter de métaphores et de science ; nous sommes ici pour les stars du titre. À propos de ce titre : “Godzilla x Kong” (censé évoquer divers autres titres dans d'autres films Godzilla, non hollywoodiens) pourrait signifier Godzilla multiplié par Kong, ou Godzilla croisé avec Kong, ou encore Godzilla contre Kong — une sorte de permutation de titans. Quoi qu'il en soit, il y aura des coups. Nous sommes là pour les coups.
Ce que nous ne sommes pas là pour voir, ce sont les humains, ce qui est chanceux, car ils tombent comme des mouches. La plupart des personnages des derniers films — y compris celui de 2021 “Godzilla vs. Kong” (également réalisé par Adam Wingard) — ont disparu, largement sans explication. Notre personnage principal maintenant est le Dr Ilene Andrews (Rebecca Hall), mère adoptive d'une préadolescente, Jia (Kaylee Hottle), membre de la tribu Iwi, qui communique directement avec Kong par le langage des signes. J'ai particulièrement regretté l'absence du Dr Nathan Lind d'Alexander Skarsgard, dont l'absence est en quelque sorte expliquée mais pas pleurée, et qui a été remplacé, pour des raisons narratives, par un vétérinaire farfelu des titans joué par Dan Stevens. (Pour une raison quelconque, je suppose pour signaler l'excentricité, Stevens arbore un accent australien exagéré.)
Ils sont rejoints une fois de plus par Bernie Hayes (Brian Tyree Henry), le podcaster-blogueur-documentariste-bizarre du dernier film. Pour une raison quelconque, il est convaincu que personne ne croit ses histoires sur les titans, même si le véritable Godzilla erre sur Terre et est montré aux actualités télévisées. (Je suis plus bloqué sur l'idée étrangement fantastique qu'il soit un blogueur populaire. N'aurait-il pas déjà un Substack à présent ?)
Ces humains sont assez ennuyeux, plus anémiques que dans le dernier film. Ils sont là uniquement pour propulser le récit à travers cette histoire, qui commence avec Kong vivant dans la Terre Creuse (exactement ce que ça semble être) et Godzilla à la surface. Tant que les deux ne se rencontrent jamais, tout va bien — et par tout, je veux dire l'humanité.
Ce qui signifie, bien sûr, qu'ils se rencontreront. Les scientifiques repèrent Godzilla en train de faire la sieste dans le Colisée, puis de se frayer un chemin à travers l'Europe et le nord de l'Afrique, absorbant apparemment autant d'énergie nucléaire qu'il le peut car il sent une confrontation arriver. En même temps, quelque chose ne va pas du tout dans le monde de Kong en dessous. Et Jia fait aussi des rêves étranges — des rêves qui mènent à une expédition dans la Terre Creuse.
Ce qui suit est une tentative d'établir beaucoup de mythologie pour la franchise Monsterverse. (Leur terme, pas le mien.) C'est une grosse erreur. Vous pouvez dire que c'est une erreur, parce que toute cette mythologie doit être révélée dans un dialogue explicatif fastidieux. Plus important encore, une fois que vous savez ce qui s'est passé dans le passé, vous savez précisément ce qui va se passer dans le présent, ce qui arrache tout suspense restant au film, ne laissant que les coups. (Tellement de coups.)
D'ailleurs : cette série a-t-elle besoin d'une mythologie ? Godzilla et Kong ont tous deux une riche histoire cinématographique sur laquelle s'appuyer — c'est le 38ème film pour Godzilla et le 13ème pour Kong, et bien qu'ils n'aient pas partagé l'écran jusqu'à récemment, ils apportent tout leur bagage et leur histoire avec eux. Cela ressemble à une tentative désespérée pour la franchise de crossover de justifier à la fois son existence et sa continuation.
Ce qui n'est pas surprenant. Le bilan de cette série donne le tournis. Le film de 2014 “Godzilla”, une sorte de redémarrage de la série originale de Toho mettant en vedette le personnage, était un film légitimement excellent, équilibrant spectacle et pathos humain. Mais ensuite sont venus “Kong: Skull Island” et “Godzilla: Roi des Monstres”, tous deux censés construire un univers partagé, tous deux non seulement mauvais mais vraiment déprimants. Ensuite, il y a eu “Godzilla vs. Kong”, qui n'était pas, techniquement parlant, bon — mais il promettait une confrontation et l'apportait, avec un coda tardif de coopération involontaire et visuellement spectaculaire entre le singe massif et le lézard nucléaire. C'était un plaisir à regarder, surtout parce que le climax arrivait enfin : les deux monstres avaient enfin leur rencontre tant attendue.
Mais avec ce zénith dans le rétroviseur, “Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire” n'a plus beaucoup de route à parcourir, et ça se voit. Les meilleurs moments impliquent Kong se déplaçant à travers le paysage, Godzilla piétinant et écrasant des choses, et bien sûr la confrontation finale inévitable, qui réserve quelques surprises. Kong en particulier semble n'avoir aucun problème à communiquer sans langage humain, et ces scènes prolongées sont tellement amusantes à regarder qu'il est décevant de revenir aux humains.
Certes, les humains peuvent être une partie fructueuse de ces films de monstres. Le récent film japonais “Godzilla Minus One”, produit pour une fraction du budget de “Godzilla x Kong” et récipiendaire de l'Oscar des meilleurs effets visuels cette année, parvient à combiner la créature avec un véritable pathos et un accent sur le coût humain de la guerre, de la culpabilité et du traumatisme. C'est plus en phase avec l'origine de Godzilla, aussi, en tant que
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e642 · 9 months
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Des fois quand je ne bouge pas, que je suis statique quelque part, je suis persuadée que le temps s'arrête partout, pour tout et en même temps que moi. C'est évidemment faux. J'aimerais que ce soit le cas, que le temps ne file pas, que les gens ne s'affairent pas, que le soleil ne se couche pas. Je me sentirais peut-être moins coupable de passer des heures le dos enfoncé dans ce matelas creusé depuis des années par cette position, les yeux rivés au plafond comme si je lisais un livre. C'est dans ce genre de moment que l'angoisse est la plus présente, tapie dans ma gorge, calquée à ma respiration. Quand je m'étends c'est pour me donner l'impression que l'angoisse peut se frayer un chemin dans tout mon corps et se répartir équitablement partout mais elle ne le fait jamais. Je reste seulement craintive du propre tintement de ma voix, je sais que j'existe mais c'est douloureux. Ces moments de vide me rappellent que je ne suis jamais très loin de tout ce que je m'evertue de refouler. Comme pour me rappeller à l'ordre. Un instant de répit et je redeviens l'enfant triste que j'étais. Si une seule pensée s'immisce dans ma tête, les autres affluent et pullulent. Tout fuse. L'irrationnel reprend le dessus, il n'y a plus aucun tri de réalisé, l'absurdité de certaines contrastent beaucoup. C'est fou de se laisser parasiter par autant de choses sur lesquelles je n'ai pas la main et de me culpabiliser pour ça en plus. Si je pouvais être ailleurs que dans ma tête 10 minutes par jour, je me porterai sans doute mieux. Être bloquée avec soi même ça met au pied du mur rapidement. J'ai l'esprit tellement vide qu'il se remplit de n'importe quelle merde qui peut passer. J'avais perdu cette habitude de tout me repasser et tenter d'imaginer des issues plus favorables, et elle est revenue. C'est certainement parce que ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas autant déçue et que je n'avais plus matière à discuter mes choix. Aucune situation n'est fixe pourtant j'ai l'effrayante impression que c'est trop tard. Que je me suis enlisée. Que c'est fini. J'essaie de colmater tous les endroits fragiles seule mais je suis évidemment dépassée par ça.
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sofya-fanfics · 1 year
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Nuit d’orage
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Fandom : 86 - Eighty Six
Relationship : Shin x Lena
Voici ma participation pour le Fluffy February 2023 pour le prompt : Tonnerre.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lena posa son crayon et leva la tête de ses documents. Elle se frotta les yeux et regarda vers la fenêtre. La nuit commençait à tomber, mais d'épais nuages assombrissaient encore plus le ciel. Cette nuit sera une nuit sans étoiles.
Disclaimer : 86 - Eighty Six appartient à Asato Asato et Shirabii.
@fluffyfebruary​
AO3 / FF.NET​
Lena posa son crayon et leva la tête de ses documents. Elle se frotta les yeux et regarda vers la fenêtre. La nuit commençait à tomber, mais d'épais nuages assombrissaient encore plus le ciel. Cette nuit sera une nuit sans étoiles.
Lena eut un frisson qui lui parcourut le dos. C'était le genre de nuages qui apportaient de l'orage. Elle avait toujours détesté ça. Elle se souvint que lorsqu'elle était enfant, elle courait se réfugier dans les bras de son père pour qu'il la protège de l'orage. Depuis sa mort, elle faisait tout pour se calmer lorsque l'orage éclatait. En se concentrant sur sa respiration, elle arrivait à calmer plus où moins sa peur. Elle savait que c'était une peur irrationnelle, mais c'était plus fort qu'elle.
Elle fronça les sourcils lorsqu'elle entendit le tonnerre gronder au loin. L'orage arrivait. Bientôt, il serait au-dessus de la ville. Elle ferma les yeux et inspira profondément. Elle ouvrit les yeux et un nouveau frisson la parcourut. L'orage était là. Un éclair déchira le ciel et le tonnerre se fit entendre. Elle inspira profondément à nouveau, essayant de se calmer. Son cœur battait de plus en plus fort.
« Commandant. »
Lena sursauta. Elle n'avait pas remarqué que Shin avait établi le contacte avec elle.
« Commandant, vous allez bien ?
-Ou... Oui. Désolée.
-Vous ne vous êtes pas connectée. J'ai cru qu'il vous était arrivé quelque chose. »
Lena rougit. Parce qu'elle était gênée de ne pas avoir vu l'heure qu'il était et parce que Shin venait de lui avouer qu'il avait été inquiet pour elle.
« Je vais bien. Je... Je devais régler quelque chose d'urgent. »
Elle ne pouvait pas lui avouer qu'elle n'avait pas fait attention à l'heure à cause de l'orage. Quelle personne de son âge avait encore peur de l'orage ? Soudain, un nouvel éclair jaillit et le tonnerre gronda encore plus fort. Le bruit était tellement fort, qu'elle crut que le sol tremblait sous ses pieds. Elle lâcha un hoqueté de surprise.
« Commandant ?
-Désolée. C'est juste qu'il y a de l'orage et j'ai été surprise. »
Shin ne répondit rien pendant quelques secondes, avant de reprendre la parole.
« Je déteste l'orage aussi. Lorsqu'il est là, je ne peux m'empêcher de frissonner. »
Lena sourit légèrement. Elle savait qu'il disait cela pour la rassurer et que l'orage ne lui faisait pas peur. Après tout ce qu'il avait vécu jusqu'à présent, ce n'était pas un simple orage qui pouvait l'effrayer. Une pensée lui traversa l'esprit. Est-ce qu'il penserait moins d'elle s'il savait à quel point l'orage l'effrayait ? Elle avait leur vie entre ses mains et elle était paralysée de peur à cause d'un orage. Est-ce qu'il penserait qu'elle n'était qu'une enfant surprotégée qui ne connaissait rien à la vie et à la guerre ? Elle avait eu du mal à avoir leur confiance et elle ne voulait pas la perdre.
« Commandant, il n'y a aucune honte à avoir peur. Même si cette peur peut vous paraître ridicule, elle fait de nous des humains et nous rend plus fort. »
Lena sourit. Il venait de lui dire exactement ce qu'elle avait besoin d'entendre. Même s'ils ne s'étaient jamais rencontrés, les conversations qu'ils avaient étaient importantes pour Lena. Ils continuèrent à parler et sans qu'elle ne s'en rende compte, l'orage était passé. Grâce à Shin, elle avait oublié l'orage et sa peur s'était calmée.
« Merci, dit-elle.
-De rien. »
Elle pouvait l'entendre sourire. La communication se termina. Lena regarda à nouveau vers la fenêtre. Les nuages avaient disparu et les étoiles étaient visibles. Elle s'approcha de la fenêtre et s'appuya sur le rebord. Elle avait retrouvé son calme et l'orage semblait moins effrayant grâce à Shin.
Fin
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maracujapassion · 9 months
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Je ne sais pas trop quel est le projet. Pourquoi j'écris aujourd'hui. Tellement de choses se sont produites dans la vie.
Agression, rechute mais j'ai de solides pros qui m'entourent, maladies, toujours présente pour les patients. La vie, ce tourbillon qui vient éprouver le calme apparent.
NG .. est toujours NG : tantôt calme la tête dans ses livres, tantôt un volcan d'émotions ambulant. J'essaye de lui donner des clés pour apprendre à s'apaiser surtout quand elle est frustrée. Ce n'est pas gagné et parfois je me demande ce que j'ai fait de travers. On se réajuste, on accueille les émotions, je lis beaucoup et je tente d'appliquer pour que ça aille. Arf. Pourtant, aussi éreintant que cela puisse être, j'aime la voir grandir et devenir une fille. J'aime quand elle me raconte ses histoires rocambolesques. J'aime quand elle reste dans sa bulle avec ses livres. J'aime quand elle nous fait un show dans la salon. J'aime quand elle arrive à laisser sa sœur faire de même sans l'interrompre. J'aime l'autonomie qu'elle acquiert mais j'apprécie quand elle a tout de même besoin de moi par moment. J'aime la voir élaborer des plans pour atteindre ce qu'elle souhaite et j'aime l'encourager quand selon elle, il n'y a pas d'espoir.
Bebe coccinelle devrait se rebaptiser en catcheuse pro : ce n'est pas du tout Ng. C'est normal, me direz-vous! Plutôt introvertie, il faut vraiment être proche d'elle pour espérer voir un demi sourire sur son visage. Elle est plutôt dans le style "action réaction". Grimpeuse pro, prise de risque à 400%, têtue, regarde dans le blanc des yeux pour faire ses expérimentations autrement bêtises ahahah ! Et puis sans comprendre vraiment, on a droit à de gros câlins et sa sœur aussi. C'est une boule d'amour qui s'impose. Elle est d'une patience impressionnante pour faire des choses qui peuvent être agaçante. Téméraire et déterminée mais aussi maligne. J'aime cette petite personne qui a su prendre sa place rapidement dans ce trio.
Les 2 forment un duo très comique. Entre chamaillerie et câlins, les mots doux, les blagues, les parties de cache cache. La construction d'une fusée avec 7382928392 km de scotch et des cartons. A quoi acheter des cadeaux si c'est pour qu'elles passent du temps dans des cartons ?
L'Homme ? L'Homme est toujours là après un gros passage à vide. C'était prévisible vu ce qu'on a vécu. Un passage aux enfers. Mais l'Homme reste l'Homme. On avance. On s'épaule. Dans les moments compliqués, on serre les dents ensemble même si ce n'est pas évident. Je le redécouvre et lui aussi. Il n'est pas parfait mais il est toujours celui qui me convient. On doit vieillir ensemble. C'est ça le plan.
Je poursuis ma thérapie avec une psy, une nutritionniste, mon médecin pour ma santé qui jn est pas au beau fixe.
Voilà. Un peu de moi dans un néant de post.
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lilias42 · 2 months
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Avancement des travaux : BD de Pyrkaïa
Nouveau billet sur cette BD ! Cette fois, c'est la suite directe du dernier billet qui montrait où j'en étais (à retrouver ici) et c'est tout ce que j'ai fait depuis, donc... bah y a un mois tout pile aujourd'hui... ô Déesse, le temps passe vite... enfin, pour le moment, je suis plutôt contente du résultat même si c'est encore à bien nettoyer, remettre les oreilles visibles au bon endroit, faire les bras MUSCLES de Pyrkaïa, ses petites veines de lave... puis passer au noir et coloré tout ça... bref, j'en ai encore pour un moment mais, j'espère que ces pages vous plairont !
Juste des petites précisions avant de commencer :
Oui, il n'y a pas d'archer qui entoure Lonato dans les renforts, qu'il a une épée au lieu d'un arc, il y a deux combattants à hache dans le jeu (et ils ont un masque plutôt qu'un casque intégrale) et le placement est différent mais, pour avoir certaines images spécifiques que je voulais faire, j'ai modifié la composition de l'armée. On va dire que comme on roule tellement pas sur l'or à Gaspard, même les soldats bien placés sont équipés avec les moyens du bord et de toute façon, l'uniforme n'existe pas au Moyen-Âge donc, ça tient qu'ils n'en aient pas non plus ici.
J'ai aussi modifié les noms qu'utilise Lonato pour désigner ses ennemis. Il appelle notamment Rhéa "sorcière" quand il attaque des unités qui ne sont ni Ashe, ni Dimitri, ni Catherine. Cependant, comme dans mon univers, c'est le nom de ceux qui pratique la magie ancienne, la sorcellerie, et que c'est un terme qui pourait être attribué aux Braves étant donné qu'ils l'étaient tous, je l'ai retiré et Lonato utilise bien plus les mots "démone" et "hérétique", ce qui mène au point suivant
Pyrkaïa est originaire d'une cité qui s'inspire de Sparte / Lacédémone, elle parle donc le grec ancien normalement à son époque (et pour la compréhension ici, j'avoue, c'est un énorme "ta gueule, c'est magique" même si je préfère d'habitude faire en sorte que les personnages du passé continue à parler leur langue et qu'il faille quelqu'un pour traduire mais, ça aurait annulé tous les dialogues de cette histoire donc, on passe outre) Il y a donc des mots qui ont des origines grecques qu'elle entend dans la bouche de personnages du présent qui parle français mais, qui n'ont pas la même signification pour elle qu'ls l'ont actuellement, d'où le fait qu'il y ait parfois des incompréhensions entre elle et les autres et qu'elle s'énerve quand on l'appelle de tel ou tel façon.
Pour celui-là, je vais directement tiré mes définitions du Bailly, le dictionnaire grec ancien-français de référence en France. J'ai plus fait bien plus de latin que de grec et de base, je suis pas douée en langue du tout alors, il y a plus de risque que je fasse des erreurs alors, je préfère mettre mes sources :
démone : vient du grec "δαίμων, ονος (ὁ, ἡ)" et à l'époque de Pyrkaïa (après Homère vu que la Guerre de Troie a eu lieu dans cet univers 200 ans avant sa naissance) "après Hom. : 1) οἱ δαίμονες, sorte de dieux inférieurs (entre θεός et ἥρως), PLAT. Leg. 738d ; cf. Rsp. 342a ; placés à la suite des dieux, PLAT. Leg. 848d ; nés des dieux, mais non dieux eux-mêmes, ARSTT. Rhet. 3, 18, 2 ; cf. PLAT. Ap. 27d. /  2) postér. mauvais esprit, démon, NT. Matth. 8, 31 ; Marc. 5, 12 ; Luc. 8, 29 ; JOS. A.J. 8, 2, 5, etc. " Elle, elle le comprend comme "divinité mineure"
hérétique : vient du grec "αἱρετικός, ή, όν" et dans le Bailly, c'est dans sa première définition "apte à choisir, qui choisit, gén. PLAT. Def. 412a.", et c'est également pris comme le "factieux" mais, les auteurs qui l'utilisent dans ce sens ont l'air plus récent, si le Porp est Porphyre de Tyr, c'est le 3e siècle de notre ère, là où Platon est à cheval entre le 5e et le 4e siècle AVANT notre ère. J'ai donc gardé le fait que pour Pyrkaïa, ce mot désigne avant tout celui qui fait un choix
Rhéa, évidemment, elle la prend pour Ῥέα, ας (ἡ), la Rhéa mythologique, épouse de Cronos, mère des divinités olympiennes... (ou alors, elle pourrait aussi entendre ça "ῥέα" l'adverbe pour dire "facilement, sans peine")
Et enfin, celui-là, je suis moins sûre mais, le nom de famille Charon vient surement de "Χάρων, ωνος (ὁ) / Khâron / Charon", passeur des enfers de la mythologie grecque (même si ça aurait aussi pu venir de " χάρων, ωνος (ὁ, ἡ)" qui s'écrit de la même manière mais qui veut dire "gai, joyeux, seul. en parl. de la couleur, particul. de la couleur fauve du lion") alors, je ne pouvais pas le mentionner dans cette histoire. Cependant, Pyrkaïa est très prudente avec la notion d'hubris, comme la très grande majorité des sorciers de sa région car, c'est un des pires crimes à son époque : le fait d'être tellement arrogant et orgueilleux qu'on se prend pour au-dessus des dieux. Elle déteste même quand on suppose que son père ne serait pas le sien mais, un dieu (comme Arès, ce qui l'énerve encore plus vu que c'est pas un dieu très bien vu, ou une autre divinité de la guerre) afin d'expliquer comment une femme peut être aussi puissante qu'elle l'ait alors, elle ne pouvait pas prendre le nom du passeur des morts comme ça. Je suis donc parti sur le fait que le nom "Διονύσιος " signifie "de Dionysos", j'ai rajouté un "ι" pour que son nom ressemble plus à un possessif, même si je ne suis clairement pas sûre que cela se tienne en grec ancien...
Bon, après ça, je pense qu'on peut commencer ! (ah et si les pages sont assez jaune, c'est normal, c'est que j'ai renforcé les contrastes et baisser la luminosité après coup pour qu'elles soient plus visible, je les ai pris en photo avec un téléphone)
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#écriture de curieuse#dessin de curieuse#fe3h#fe3h oc#j'espère que ça vous plait surtout !#fans de Lonato... les 3 fans de Lonato... passez votre chemin !#ça faisait du bien de dessiner cette scène ! Qu'il mange de la terre Lonato !#Surtout que bon dans ma version si Christophe a été arrêté et exécuté c'est qu'il faisait partie d'un groupuscule complotiste#+qui soutenait évidemment le massacre des Duscuriens et était de mèche avec la pire faction de l'Eglise / secte occidentale#+qui allait faire un attentat sur Rhéa + a tenté de faire rentrer des armes à GM -donc école + hospice- pour la tuer avec ses fidèles#+tout ça parce qu'elle a condamné le massacre systématique des duscuriens et excommunié les responsables#+et quand son ami Théo Charon -petit frère de Catherine- a tenté de lui parler en privé plutôt que dans son bureau au tribunal#+il l'a accusé d'être du complot et s'est enfui en l'envoyant dans une bibliothèque qui lui ait tombé dessus pour qu'il ne le poursuive pas#-Théo est paraplégique et en fauteuil roulant c'était gratuit et pour ralentir les autres en le blessant-#+et quand Cath l'a rattrapé et arrêté- il lui a hurlé les pires insultes notamment sur le fait que les Charon sont des monstres#+car elles ont gardés pas mal de traits nabatéens et vivent vraiment très longtemps#Donc très clairement il n'a pas été condamné à mort pour rien#Et Lonato mérite de se prendre la colère de Pyrkaïa et de tout le monde#Il a juste agi de manière égoïste en jetant ses citoyens à la mort et en tuant tout le monde pour se venger personnellement#alors avec le coup de la magie noire des agarthans en plus de son comportement de tyran...#tu m'étonnes que Pyrkaïa veuille le réduire en cendres... mais bon quand elle fait une promesse- elle la tient#en tout cas j'espère que ça vous aura plu ! merci encore !
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claudehenrion · 11 months
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GK Chesterton, ou l'intelligence faite Homme (à l'image de Dieu ?)
  C'est en 1908 que Gilbert Keith Chesterton écrivit, dans “Orthodoxie”, cette analyse formidable et cruelle :  “Le monde moderne est rempli d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles” . En dix petits mots tout simples, tout est dit, le passé proche, encore menaçant comme des cendres mal éteintes, notre présent ravageur et si anxiogène, et notre futur proche, qui s'annonce sinistre et dévoreur hélas, d'après ce que nous pouvons apercevoir de ses contours. Le futur plus éloigné, s'il doit y en avoir un –ce qui, ‘les choses étant ce qu'elles sont et le monde ce que nous voyons’’, comme Henri Tisot le faisait dire à De Gaulle, semble de plus en plus compromis– On verra, le temps venu. Mais l'affaire a l'air mal engagée 
Les courageux lecteurs habituels de ce Blog étant au courant de mon admiration pour Chesterton –je veux dire : pour l'homme qu'il fut autant que pour les idées qui furent les siennes et dont la transmission nous aide tellement à survivre à toutes les horreurs que les nains qui nous mènent (à l'abattoir)– j'avais donc prévu de rédiger à leur intention un “édito” consacré à ce géant de la pensée, pour que ceux qui ne le connaissent pas bien ou pas assez puissent tout de même se frayer un chemin dans le dédale de mes évocations… Mais au moment où je me suis installé devant mon clavier pour me “mettre au boulot”, j'ai été , au pied de la lettre, submergé par tout ce que j'avais à raconter. Une idée m'est alors venue, comme par miracle : “Qui mieux que Chesterton est à même de parler… de Chesterton ?”. Voici donc un florilège (commenté, si ou quand nécessaire, en italiques) de ses pensées les plus applicables à notre pauvre monde actuel, coincé, sans espoir apparent et en tout cas sans espérance, entre un modernisme destructeur et leur soi-disant progressisme ravageur… Je ne vois pas de manière plus efficace de comprendre pour quelles mauvaises raisons nous ‘’plongeons’’ si profondément… et si vite !
Par exemple, la phrase-référence que nous avons citée ci-dessus, se comprend mieux dans son contexte : “Le monde moderne, explique Chesterton, n’est pas méchant, Il est en fait plein de vertus, mais elles sont désordonnées et décrépites. Quand un certain ordre religieux est ébranlé (comme le fut le christianisme à la Réforme), ce ne sont pas seulement les vices que l’ont met en liberté, car, une fois lâchés, ils errent à l’aventure et ravagent le monde, maisles vertus, elles aussi, brisent leur chaînes,  et les ruines qu’elles causent sont plus terribles. Le monde moderne est plein d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles. Folles parce que, isolées l’une de l’autre, elles se mettent à vagabonder toutes seules….”.
Il continue : “C’est ainsi que nous voyons des savants épris de vérité, mais dont la vérité est impitoyable, et des humanitaires éperdus de pitié mais dont la pitié est souvent un mensonge. Or plus que de cet antagonisme de la vérité et de la pitié, c’est celui de la déformation de l’humilité”.(NDLR : Il est proprement incroyable qu'il ait pu décrire, avec presque 120 ans d'avance, le “crise” dite du covid dont nous sortons à peine, blessés en profondeur pour –peut-être– 5 ou 10 ans…ou davantage encore, pour les plus “atteints” par l'une ou l'autre des mesures anti-humaines qui ont été imposées sans la moindre précaution, sans réflexion, et sans sagesse…). “Ce dont nous souffrons aujourd’hui, écrit ailleurs Chesterton,   c’est d’un déplacement vicieux de l’humilité. La modestie est entrée en contact intime avec la conviction, ce qui n’aurait jamais du se produire…. (notre monde et la France, bourrés de fausses certitudes, illustrent ce propos à la perfection !)
Or un homme peut douter de lui-même, mais non de la vérité, et c’est exactement le contraire qui s’est produit. Aujourd’hui, ce qu’un homme affirme, c’est exactement ce qu’il ne doit pas affirmer, c’est-à-dire lui-même ! Ce dont il doute est précisément ce dont il ne doit pas douter : la Raison Divine. (…) (NDLR : La dernière explication va surprendre bien de hommes d'aujourd'hui. C'est qu'ils se sont laissés convaincre que la vérité divine serait, malgré sa stabilité, plus douteuse que les entassements de soi-disant ’'vérités–sic” qui nous sont assénées… et ne reposent sur rien –en tout cas sur rien qui ne soit moins douteux et moins incertain que l'Autre !).
“La nouvelle humilité fait que l’homme doute de son but, ce qui l’arrête tout à fait. (…). Le péril, c’est que l’intelligence humaine est libre de se détruire elle-même. Un petit nombre de penseurs peut, jusqu’à un certain point, faire obstacle à la pensée dans l’avenir en enseignant à la génération suivante qu’il n’y a rien de valide dans aucune pensée humaine… et c'est largement le mal terrible dont la civilisation (je veux dire : toute civilisation ! La nôtre, pour commencer… que rien, derrière n'est prévu pour la remplacer…), et l'humanité tout entière, par contre-coup, est en train de mourir –sans même que Poutine ait à se sentir poussé à balancer quelques méga-tonnes ici ou là…”. (NDLR : A chacune de mes lectures, je reste impressionné par la précision concise et précise des mots… et des situations décrites : pour un peu… si on disait : “Chesterton est dans la pièce à côté et il va sortir, devant nous…” la précision de ses prévisions ne serait pas plus étonnante !)
“Il est vain de parler, dans un tel cadre, d'un éventuel antagonisme entre la raison et la foi, car si l'on va au fond des choses, la raison est elle même, et en elle-même, un sujet-en-soi : c'est un acte de foi que de prétendre que nos pensées ont une relation quelconque avec une réalité quelle qu’elle soit. Un authentique sceptique doit, tôt ou tard, se poser la question :” Pourquoi y aurait-il quelque chose d’exact, même l’observation et la déduction ? Pourquoi la bonne logique ne serait elle pas aussi trompeuse que la mauvaise ? Si je suis logique avec moi-même, je me dois de conclure que l’une et l’autre ne sont, en dernière analyse que des mouvements dans le cerveau d’un singe halluciné !  Le monde moderne, perdu-éperdu dans ses hallucinations, a largement répondu “'Oui” à la première question et “Non” à la seconde… une fois de plus à l'opposé complet de ce que sa raison (justement) lui recommanderait, bien servie et bien suivie’’. (NDLR : “plus actuel… tu meurs ! ”). Là où le vieux sceptique, dans son vrai scepticisme, disait : “Je n’ai pas le droit de penser par moi-même. Je n’ai pas le droit de penser du tout’, le jeune sceptique proclame : ’'J’ai le droit de penser par moi-même, et ce que je pense est la vérité”, ce qui annule toute pensée et toute vérité’’. (Ce génie avait “inventé” Macron, ses supporters et ses thuriféraires longtemps avant qu’ils ne sévissent ! Quel génie !)
(NDLR : C'est d'ailleurs le drame que nous vivons (et dont on se demande de plus en plus souvent si l'humanité sortira vivante de ce faux dilemme) avec toutes, absolument toutes, les effroyables idées auxquelles souscrivent de plus en plus de nos contemporains, du “mon corps m'appartient” des fausses féministes au “j'ai envie de vivre 1000 ans’’ des soi-disant ’'transhumanistes… Ce fatras, c'est refuser d'admettre qu'Il existe une Pensée (appelons là ’'supérieure” ou “éternelle” ) qui explique en quoi il est vain, sur le long terme, de s'y opposer. Les lecteurs habituels de ce Blog savent que je l'appelle, dans mon jargon pas meilleur qu'un autre, “la justice immanente”… qu'ils croisent souvent dans ces lignes. L’'anti-pensée’’  à la mode est un mal suprême qui n’apparaît qu’en fin d’époques décadentes…).
“Car nous pouvons entendre le scepticisme en train de briser le vieil anneau des autorités et voir au même moment la raison chanceler sur son trône. Si la religion s’en va, la raison s’en va en même temps, car elles sont toutes les deux des méthodes de preuves… qui ne peuvent elles-mêmes être prouvées. Et en détruisant l’idée de l’autorité divine, nous avons presque entièrement détruit l’idée de cette autorité humaine par laquelle nous pouvons résoudre un problème de mathématiques. Nous avons essayé d’enlever sa mitre (c’est-à-dire la religion) à l’homme pontife, et la tête (c’est-à-dire la raison) est partie, et la mitre’ avec elle’.
Certains vont sans doute trouver que les idées ’'datent” ou sont émises dans un format périmé. Question : la vérité serait-elle “à envergure variable’' ? Il me semble au contraire que ce qu'il faut conserver de ce genre de confrontation entre des idées (il ne s'agit pas, ici, d’une ‘’idéologie”, fluctuante par essence) et ce que nous désignons par “la réalité” –qui n'est qu'une perception instantanée et très personnelle d'un “hic et nunc”– c'est que les premières seulement surnageront… et devraient donc, seules, être prises en compte. Grand merci, Monsieur Chesterton…
H-Cl.
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