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#courbure
information-2-0 · 7 months
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art-vortex · 6 months
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(via Coussin avec l'œuvre « "Main Divine, Regard Sublime : Horus dans la Courbure" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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Perché 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas ce que j'ai repéré en premier... Le fait que le brin d'herbe était plié ou la cause de cette courbure 😅 Ils sont toujours aussi difficile à trouver ces diablotins 😁 🇬🇧 To be completely honest, I don't know what I spotted first... The fact that the blade of grass was bent or the cause of this curvature 😅 These empuse larvae are so hard to find ! 😁 https://ift.tt/Qufw3T1
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humeurs-des-plaisirs · 8 months
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Courbure
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chicinsilk · 6 months
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US Vogue November 1, 1951
Jean Patchett wears a ball gown by Charles James, white evening collection. The bodice is a long curvature stem of black velvet above petals of black satin, above that, 25 yards of puffy, puffy white taffeta.
Jean Patchett porte une robe de bal signée Charles James, collection de soirée blanche. Le corsage est une longue courbure tige de velours noir au-dessus des pétales de satin noir, au-dessus, 25 mètres de taffetas blanc gonflé et gonflé.
Photo Horst P. Horst vogue archive
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L'élégance occasione le trouble de la transparence qui sous cet écrin de délicatesse se parseme les formes de tes courbes sensuelles.
Car de la courbure de tes reins,
A la sensualité de tes seins.
Ta sensibilité se dessine aux monts érigés et aux merveilles de la vie où la passion se grandit pour se nouer dans cette invitation à la tentation d´un baiser et de caresses pour  t'éffleurer puis t'éffeuiller de mes envies .
Elles sont le but de te prouver que la plus belle intention, c'est de t'aimer.
Tous droits réservés
SensuElle'ment Toi
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Man Ray, "Mathematical object"
( 'surface à courbure constante negative d'enneper, dérivée de la pseudo-sphere' ), 1936,
Vintage gelatin silver print,
9 h × 11½ w in (23 × 29 cm)
Courtesy: Wright20
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homomenhommes · 6 months
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Je m'étais mis à genoux devant lui, il vit mon regard s'arrêter sur sa croupe laiteuse, avec convoitise et admiration, tant sa courbure, les mouvements qui la soulevaient étaient beaux.
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cendres-et-volcans · 4 months
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Je m'étais égaré madame, dans le dédale de mes envies. J'ai du perdre la notion du temps ou des lieux, j'ai cessé d'exister, pour un instant dans la courbure de votre ventre.
Là où s'arrête le désir, débute l'amour puis renait le désir.
J'ai posé mon visage, au creux de votre ventre, comme une alliance entre nos deux visions, comme un acte de paix et de silence. Et vous avez approuvé ma reddition, vous lui avez laissé le temps de l'acceptation, pour que sans déshonneur je vous embrasse a nouveau, votre main sur mon cou.
Et la, dans l'inattendue douceur, dans la lenteur des peaux qu'on découvre, renaissent les vagues et les envies
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lounesdarbois · 6 months
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Je n'aime pas le foot, ni les joueurs de foot, ni même les clubs de foot. J'aime le stade, passionnément depuis l'enfance à cause de cet ordonnancement du peuple étagé sur les gradins, de la courbure des virages et des pentes jusqu'à la pelouse. C'est prenant comme de regarder un voilier qui avance grand largue. Le stade est aussi l'un des rares lieux où l'on trouve des gens normaux, des gens du coin, habillés normalement, qui ont une famille ou en veulent une, qui travaillent. C'est déjà beaucoup à notre époque !
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information-2-0 · 7 months
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borgien · 2 years
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Rouge,
couleur ambiguë, croisée de paradoxes : passion, colère et amour, mais aussi interdit et danger, érotisme et péché... Et là, comme modelée à ses courbures, ce rouge qui, elle le sait, l’affole…
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soitamespieds · 9 months
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Le pied, l'arme secrète de la femme, une touche de fétichisme
Les pieds ont toujours été une partie intégrante du charme et de la beauté, façonnant non seulement la façon dont une personne marche, mais aussi la façon dont elle est perçue par le monde. Les pieds féminins, en particulier, ont été, au fil des siècles, une source d'attraction, d'obsession et parfois même de vénération. Entre la psychologie, la physiologie et des notions de fétichisme, explorons l'intrigue entourant le pied féminin.
La première impression est souvent basée sur l'apparence globale. Les pieds, bien que souvent négligés, jouent un rôle crucial dans la posture et la démarche. Une démarche gracieuse, rehaussée par des chaussures élégantes, peut exsuder la confiance et la sophistication. Historiquement, une femme qui prenait soin de ses pieds était perçue comme étant de haut statut, car elle avait les moyens et le temps de le faire.
La plante des pieds abrite des milliers de terminaisons nerveuses. Ces terminaisons sont directement reliées à différentes parties du corps, d'où l'importance de la réflexologie plantaire en médecine alternative. Un massage des pieds peut stimuler ou apaiser d'autres organes et systèmes du corps, ce qui rend les pieds particulièrement sensibles aux touchers.
Le fétichisme du pied, en termes psychologiques, est une attirance prononcée, souvent sexuelle, vers les pieds. Bien que cela puisse sembler inhabituel pour certains, le fétichisme du pied est l'un des fétiches les plus courants. Freud lui-même a suggéré que les pieds étaient un objet de désir en raison de leur ressemblance avec les organes génitaux.
Les chaussures, en particulier les talons hauts, accentuent cette attraction. Elles rehaussent la courbure du pied, donnent l'apparence de jambes plus longues et modifient la démarche de la personne qui les porte. Cela peut être interprété comme une augmentation de la féminité, ce qui pourrait expliquer pourquoi certains y voient un attrait supplémentaire.
Le pied féminin est bien plus qu'une simple partie anatomique. Entre les sphères de la psychologie, de la physiologie et du fétichisme, il revêt une multitude de significations et de rôles. Qu'il s'agisse de séduction, de bien-être ou d'un simple objet de désir, il est indéniable que le pied féminin détient un pouvoir singulier dans l'imaginaire collectif.
#footfetish #highheelslover #gynarchie #matriarchie #femaleledrelationship #gynarchy #matriarchy #femalesupermacy #femaleledworld #keyholder
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alexisgeorge24 · 6 months
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16 octobre :
J3 et ce matin le ciel est gris. Tant pis, je monte jusqu'à un col qui me donne la vue marketing du trek, à savoir 3 lacs de glacier qui se suivent au pied d'une chaîne de montagne couvert d'un glacier. Puis je redescend tranquillement jusqu'au prochain camping. Journée brève et mitigée à cause de la météo. Plus tard dans l'après-midi le ciel ce dégage et je me ballade autour du camping. J'essaie de tuer le temps comme je peux mais le paysage environnant est sublime donc ça va. J'établis par ailleurs un premier contact avec des humains du groupe avec guide qui fait le même trek que moi.
Bilan: 9km, 600m d+
17 octobre :
La J4 sera probablement la plus difficile du trek. Passage du col Trapecio situé à 5000m sous une pluie, puis grêle puis neige incessante. Il fait froid, aucune visibilité, j'ai un poumon qui a enfilé un gilet jaune, j'ai envie d'un chocolat chaud assis devant une cheminée avec le bois qui crépite, la manette de la switch à la main en train de jouer à Zelda et en sachant que le soir je vais manger une raclette (150g nature, 100g fumé, 100g ail des ours) du fromager du centre ville de Sucy, puis comme digestif un vieux rhum que je partagerai avec Jessica (elle ne prendrai certainement pas du rhum mais peut être un Kir). En attendant faut que je commence par redescendre de ce col. Arrivé au camping il pleut encore et je trouve refuge sous un gros rocher avec d'autres personnes du groupe dont je ferai la connaissance. Lorsque leur (2e) déjeuner est servi par leur cuisto sous leur chapitau ils me laissent seul à attendre que la pluie se calme pour que je puisse à mon tour monter ma tente. Je pense que je leur fait pitié, surtout après leur avoir dit en quoi consistent mes repas.
La pluie se calme, je monte la tente, je fais une sieste puis je me rappel que l'humain est un animal social. Je vais donc rejoindre le groupe pendant son "tea time" (bande d'enfoirés...). Et je sais pas comme ça s'est passé mais je me retrouve avec 4 personnes du groupe qui veulent monter au col San Antonio. A 500m d+... 1h avant la nuit... dans le brouillard total... Ils me font comprendre que c'est tout à fait normal si je ne veux pas les suivre étant donné l'énergie que je dois dépenser avec mon sac lourd... (bande d'enfoirés, mon sac est plus léger que mon ego). Arrivé au col évidement RAS et je cours redescendre (à la frontale) dans ma tente pour que je me fasse à dîner. Au moins ça m'aurait permis de m'endormir direct après manger.
Bilan: 15km, 1200m d+
18 octobre:
Au réveil c'est le guide du groupe qui vient me parler pour me recommander de faire le col San Antonio (oui, le même de la veille). Et me revoilà en train de le regrimper. Sauf que cette fois le ciel est dégagé et j'ai devant moi un vue incroyable, digne des plus beaux paysages d'Iceland tellement les couleurs sont variées! La descente se fait tranquillement sur 15km où je rejoins le village de Huyallapa. Je retrouve le groupe avec qui je suis désormais à l'aise et je loge au même hostel que eux. Mini confort avec WiFi, électricité pour les batteries quasi à plat, douche, bière, et DEUX vrais dîner (un que je commande et un 2e que le cuisinier du groupe m'offre gracieusement). Le logement est assez folklorique, ma chambre est située dans une arrière cours avec les mules qui ont chié partout, la douche est partagée des arraignés, le matelas du lit est aussi plat que même un platiste n'aurait pas nié sa courbure, tout est très sale et je dors dans mon sac de couchage.
Bilan: 17km, 600m d+
19 octobre :
J6 est aujourd'hui c'est quasiment que de la monté jusqu'au prochain camping. Il fait beau, je prends mon temps, belles vue sur les glaciers que je contourne, un chien errant me tient compagnie depuis Huayllapa. Je fais en petit bonus un sommet que le guide me conseil de faire. Faut dire que je suis assez surpris de ce guide qui me traite comme si je faisais partit de ses clients qui ont payé. On passe même 30min à marcher ensemble et à papoter. L'expérience que j'avais des guides au Pérou était mauvaise, aucun ne voulant me montrer la direction à prendre si je n'étais pas dans son groupe.
Après-midi midi, comme d'habitude, j'essaie de faire passer le temps sous ma tente.
Bilan: 12km, 1400m d+
20 octobre :
La nuit il a fait bien froid, ma tente a complètement gelé et on dirait du carton au réveil. Sinon il fait beau et ça tombe bien, au programme il y a un col à passer qui donne des panoramas sublimes sur sommets, glaciers, lagunas.
Arrivé au camping, dernier raquette avec 30 soles pris par la "communauté" pour "entretenir les lieux". 220 soles en tout (sur 280 normalement, j'ai du passé pour faire parti du groupe que je suis et on m'aurait oublié). 70euro tout de même pour absolument aucun entretien du site (à part des toilettes sauvages improvisés), pas de nettoyage des campings (les déchets, même plastiques, sont brûlés sur place, quand ils sont ramassés...), les chemins sont des chemins de mules déjà existants, bref, une arnaque sans nom, du jamais vu.
Je me ballade autour du lac du camping et j'en rejoins un autre plus en altitude pour m'approcher d'un glacier.
Bilan: 17km, 700m d+
21 octobre:
Dernier jour de trek et pour fêtez ça je ne prends pas le chemin le plus rapide mais je monte jusqu'à un col à 500m d+. Les vus sont pas des plus belles mais je profite des derniers instants seul dans ces montagnes. De retour à Llamac je retrouve le groupe et je peux même prendre leur bus privé direct pour Huaraz (pour 60 soles, honnêtes). A Huaraz c'est lessive, douches, chiffa, bière, pisco, hamburger.
Bilan totale Huayhuaysh :
107km, 6300m d+
22 octobre :
J'ai un poussé sur le pisco la veille et j'ambitionnais de faire une journée culturelle en visitant le site de Chavín de Huantar. Le réveil à 8h00 me fait mal, tout comme les 3 heures de route jusqu'au site archéologique. 2 heures de visite guidée pour en apprendre sur le quotidien de cette civilisation pré-inca, c'est intéressant et le trajet depuis Huaraz ce fait dans le parc de Huascaran. Le soir je prends un bus de nuit pour Lima.
23 octobre :
Arrivé bien reposé à Lima à 8h00, j'enchaîne avec le musé Larco qui présente une collection de céramiques, tissages, bijoux, armes, etc, précolombien, le tout dans une scénographie très captivante. On peut même visiter le dépôt du musé où sont regroupés 45000 pièces. Sans surprise, le musé est privé, à ce demander si la fonction de ministre de la culture existe dans ce pays.
Puis je prends un bus pour Cusco; temps de trajet estimé: 22h !
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l'horizon qui permet de distinguer comme le relief de l'éternité là où le sommet s’arrondit, là où il se courbe, là où il s’ouvre ; de trop d’éloignement ; la courbure, la pente ici ne sont que des mots qui ne se perdront jamais dans la durée humaine
© Pierre Cressant
(jeudi 7 juin 2012)
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La courbure de la luxure
(the curvature of lust)
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This is an 18+ smut fic, if you aren't 18 and older. LEAVE. (Thank you to @texaschainsawslvt for helping me find a title to this.)
Ava and Lester had taken Percy out of town with them for a trip and there was a nagging need pestering the mechanic like no tomorrow. It made him flushed when he was alone, working on his cars, the music barely being touched. He needed to drown the voices in his head. He had never gone this long without one of him and Percy's little midday meetups.
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Bo was absolutely disgruntled.
He couldn't focus, his mind was somewhere else that he desperately tried to stray from: The gutter.
The mechanic was already sweating in need, palm hard against the tire of the car as he finally gave in and went home, shutting the shop down early.
The house was empty. Not as dark as it had been ever since Percy moved in, placing lamps and other lights up. Bo's head swam with the thoughts of his lady underneath him, begging, crying out for more from him. The teeth clenching, spine bending sex he had with her often. No two sessions were always the same except for one constant: he was always the dominant one.
Hissing, whispering and leading Percy on mentally, she was always completely at his mercy.
Bo climbed the stairs to his room and closed the door behind him. Shutting the blackout curtains in their room threw him into shadow. He replaced the smell of amber and worn leather for that of Apple Cider and Pomegranates. He needed her touch, he craved feeling her fingers between his own, the smell of her peach scented shampoo in her hair drove him crazy. He needed her, they NEEDED to be one again. Stripping every last piece of clothing off of him, Bo was built from all the hard physical labor he subjected himself to with his hobby. Deep scratch marks etched themselves down his back, a gift from his lady from making her feel so full and content.
He laid back on the cold sheets after turning the warmer on. He needed to be rid of this feeling. Leg dangling off the bed, his foot touched something. The familiar feeling of a book. Bo sat up slowly, pulling the leather bound journal from it's hiding place under the mattress.
It was a leather bound hardcover journal. Percy's no doubt. He stared at it and sat it on the bed, opening it and eyes grazing off a few pages. His breathing slow as he could feel himself sinking back into that longing mindset. The most erotic poetry he had ever laid eyes upon was inked in the most beautiful calligraphy. Red ink.
Bo couldn't help but smile, holding the book with one hand and leaning back into bed. He felt heat race down to his loin with every passage. A blush so handsomely etched onto his face as his gaze grows ever more lascivious. He swallowed hard as his free hand edged itself ever closer to his awakening member. Bo closed his eyes and smirked, finally pulling it out and pumping himself with one hand and turning the page with another. Letting out a quiet moan he could practically hear Percy whisper every line into his ear like the most unholy scripture. His spine bent slightly and his movements became quicker as his sexual daydreams slowly spiraled out of control in the most beautiful way possible. His fingers grazing up and down his thick shaft as he quietly begged his lady to let him out of his torment, to come home. He needed her. Cock pumping into her sweetest hole as he littered kisses along every inch of her skin he could get his hands on. Whispering the dirtiest things into her ears as she went scarlet. Just the cutest look on her face as he filled her so thoroughly. The quietest sessions is what they lived for. In darkened spaces like these.
Bo's lip quivered as he was already close, practically hearing Percy cry out as he had made her orgasm for the third time that evening. With a strained cry, seed spilling all over his chest. Panting hard as his curls were once again glued to his forehead.
Eyes closed but the most blissful smile on the southern devil's lips was the most handsome.
He couldn't wait to tell Percy about her book.
Tag: @allthingsblood @rottent33th @slaasherslut @texaschainsawslvt @cries-in-latino
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