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#câlin du jour
fidjiefidjie · 3 months
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🐕 Câlin du jour 🐎 🥰
Source :Amazingnature
👋 Bel après-midi
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leblogdejennifer-fr · 2 months
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Faites-le pour vous même.
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chifourmi · 4 months
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Mon bilan 2023 :
- découverte de Montréal et Ottawa
- retour du Canada
- premiers cours de piano de ma vie
- mon papi meurt 💔
- reprise constante de rdv EMDR avec ma thérapeute adorée
- Made in Asia avec F
- concert de Ghost (meilleur jour de ma vie)
- réconciliation avec ma meilleure amie
- première fois que je donne mes cheveux pour le cancer
- première fois chez le coiffeur
- premier voyage avec mes amies d'enfance en Slovénie
- découverte de ma passion pour créer des colliers de perles
- premier date de ma vie
- premier job étudiant de ma vie (dans une crèche 💞)
- rencontre avec le Dieu Grec (premier plan câlin de ma vie)
- première fois que je vais me faire les ongles 💅🏻 (pose Américaine)
MERCI 2023, ça a été une bouffée d'air frais après les 3 années horribles que j'ai vécues. J'ai la sensation que 2024 sera encore mieux, et je vais tout faire pour que ce soit le cas.
(31/12/2023)
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C...comme caresse !
Ceci est une caresse. Pourquoi est-ce si bon de parcourir la peau des gens qu'on aime ? De caresser les joues de son bébé ? De se blottir dans le cou d'un ami ? De sentir une main sur la nôtre, puissante et chaude ? De pleurer dans les bras d'un inconnu ? De masser les pieds de quelqu'un de malade ?
Le point commun de cela, c'est bien le toucher et sa force infinie. L'étymologie indique que le terme vient de "toccare", qui signifie frapper à la porte. C'est une aventure particulière de toucher l'autre, cela suppose de trouver le juste milieu entre la spontanéité et l'autorisation, cela impose d'être pleinement attentif à celui qu'on touche, d'avoir la délicatesse de la demande. L'autre jour, je lisais ceci : "toucher, c'est investir le seuil de l'autre et lui signifier sa présence". C'est parler sans dire, c'est raconter. C'est faire de cette communication muette une fusion, une absolue concentration, qui ne demande qu'à se poursuivre, qu'à s'étirer vers ce qu'il nous reste d'infini. Toucher, n'est pas posséder. Toucher, c'est aussi être touché. C'est faire de cette réciprocité le plus grand des enjeux relationnels, la double expérience simultanée d'un être objet et sujet. Car l'acte de toucher n'est pas neutre, il implique la personne dans sa globalité physique, dans ses capacités sensorielles et perceptives et dans sa présence humaine. Ainsi, l'expérience de toucher est une expérience de l'humain ; le toucher est un toucher de l'autre, la rencontre avec une personne, mais aussi la rencontre avec l'humain, l'humain de soi et l'humain de l'autre. Le toucher renvoie à l'haptique, qui désigne la dimension tactile du monde, mais qui contrairement à l'optique ou l'acoustique, ce mot n'est presque jamais utilisé. Claire Richard, dans un livre, ivre de sensibilité, écrit ces mots : "on se touche de moins en moins dans la civilisation des écrans. Au point qu'au Japon, des bars à caresses ont ouvert où l'on peut commander un câlin en même temps qu'un moka".
#philosophie de vie
J'aimerais qu'en cet instant, le flux du monde s'arrête et qu'on puisse se donner la main.
Je vous souhaite toute la douceur du monde pour aujourd'hui comme pour demain !
#au-jardin-de-mon-coeur
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lisaalmeida · 7 months
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Tu t'es déjà demandé ce qu'est l'amour ?
Profondément, silencieusement, intimement, dans ton coeur c'est quoi l'amour ?
Peut-être dans une sensation d'un instant, que beaucoup appellent émotion, mais l'amour qu'est-ce que c'est ?
L'amour est l'haleine de vent qui te caresse sur le sommet du sommet d'une montagne ?
L'amour est le sentiment d'espoir face à une prière ?
L'amour est cette infinie paix d'une caresse ?
L'amour... C'est la chaleur d'un câlin sincère ?
L'amour est le doux parfum d'un baiser passionné ?
L'Amour, qu'est-ce que l'amour ?
En un instant tout se crée avec l'amour et dans une seconde tout se transforme. L'amour de la lumière aux jours tous égaux, c'est une lueur de joie dans les sourires des enfants, c'est un instant et l'éternité enfermée en elle. L'amour est un rêve, la lumière allumée du foyer dans une maison à la campagne, c'est un livre de poèmes entre les genoux, c'est une berceuse du soir, c'est la première rencontre des amoureux, c'est la pudeur d'un baiser sous le lampadaire. Des instants d'Éternel enfermés dans un seul, magnifique message : L'amour.
Peut-être que ce qui rend l'amour unique est son insaisissable mourir et revivre à chaque instant.
Jean-Claude Baladán (amespeciale)
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perduedansmatete · 4 months
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du coup résumé week-end pour me souvenir après partiel baclé car envie de boire on a bu dans un bar type sciences po paris avec des chandelles mais ça c'était après avoir descendu des bières pas chères avec tia qu'on a rejoint des gens du master à qui j'ai jamais trop parlé mais que j'aimais de loin et on a bien accroché on s'est fait grave des déclarations j'ai bien aimé ensuite on s'est montré nos tests bdsm pour je ne sais quelle raison et ils et elles m'ont encore plus aimé parce que vraiment j'avais oublié tous les 100% que j'avais et surtout ma crush du tout premier jour qui est une bordelaise/la rochelle qui a plus qu'aimé mes résultats sachant que je l'aime déjà car elle est magnifique et que j'adore ces deux villes ensuite on a joué avec le feu des chandelles littéralement et c'est là que je me suis fait cette horrible cloque qui ne veut pas partir ensuite on est allés dans un autre bar j'ai bu un truc dégueu et on a joué aux cartes puis on est allées rejoindre l'ami platonique avec tia dans mon bar sauf qu'on est arrivées en retard l'ami platonique était énervé et méchant tia l'a détesté je commençais à pleurer donc on est parties on a discuté sur les quais très longtemps on voulait manger mais il était trop tard donc on est rentrées chez elle je devais dormir dans sa chambre et elle dans le salon mais après les quinze aller retours qu'elle a fait dans sa chambre et vu l'état dans lequel j'étais (j'essayais de faire genre tout va mieux) elle m'a dit "ça va ?" j'ai dis oui mais c'était non et je lui ai demandé si elle pouvait me refaire des câlins et si on pouvait dormir ensemble dans son lit une place, elle m'a dit on est d'accord rien de sexuel car on s'était avoué avant sur les quais qu'on se plaisait et j'ai dit non mais en fait après je voulais donc au final oui et c'était très sympa donc finalement si ça me rassure je peux encore coucher avec de nouvelles personnes sans avoir l'impression qu'il y a un truc qui cloche et que je suis folle bref on avait l'impression d'être dans la serre tropicale du jardin des plantes tellement il faisait chaud et je passe des détails juste je l'aime beaucoup et on a bien rigolé et ça me gênait les bruits qu'on faisait et que des choses faisaient sachant qu'on était chez ses darons mais bon ensuite samedi je suis allée chez ma sœur et son mec nous a fait un repas délicieux comme toujours on a beaucoup bu comme toujours et on a regardé une série de merde mais avec les fesses de julien doré avant qu'il me file ses antidépresseurs (le mec de ma sœur, pas julien doré) puis j'ai dormi presque toute la journée de dimanche et le soir on s'est retrouvés dans un bar de vieux punks c'était nul puis génial et j'ai adoré quand j'ai dis à un des chanteurs d'un groupe que je pouvais pas donner plus que dix centimes et un grigri il nous a laissé passer en disant allez laissez passer les jeunes ils ont pas de thunes et elle avec son grigri puis j'ai adoré son concert et là je suis allée en cours pour rien car j'avais un ordi chargé à 6% un tipp-ex acheté vendredi et rien pour écrire, j'ai montré l'évolution de ma cloque aux gens dont romane la bordelaise qui m'a redis que j'étais trop belle et que ma tenue l'était aussi puis on a attendu qu'il soit l'heure pour boire avec tia et on s'est baladées avant d'aller au magasin dr martens pour qu'elle m'achète des trucs pour mes chevilles qui tiennent pas car j'ai encore failli me péter la gueule trois fois aujourd'hui
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Sans Valentin.
Cette année je ne fêterai pas la St Valentin, comme c'est le cas depuis plusieurs années déjà. Je ne serai même pas chez moi, comme ça l'homme avec qui je vis ne se sentira pas "obligé" d'aller m'acheter des fleurs. On va passer le couplet de la fête commercial et le refrain de "l'amour c'est tous les jours qu'on le prouve et pas à une date précise", généralement ce sont les radins qui s'empressent de balancer ce genre de connerie ! J'aime la St Valentin ! J'aime qu'on fête les amoureux. Pas besoin d'offrir quelque chose de cher, les plus beaux cadeaux sont ceux que l'on fait soi-même, que ce soit une carte, une lettre d'amour ou un repas maison. L'important c'est que ce soit réellement fait avec et par amour. Et dans mon couple, il n'y a plus d'amour, en tout cas plus dans le sens amoureux du terme. Il y a du respect, il y a de la tendresse bien caché, jamais démontré physiquement mais plutôt dans des minuscules attentions du quotidien. Il y a la responsabilité de deux parents envers leur fils, un travail d'équipe, une amitié en quelque sorte. Mais plus aucun mot d'amour, plus jamais de geste tendre, aucun câlin, pas un seul baiser et le sexe a disparu de notre couple depuis 6 ans ! Nous faisons chambre à part depuis toujours. Il n'est venue s'installer chez moi qu'en 2020 au début du confinement, j'avais une chambre de libre. Et si vous faite un petit calcul rapide, 6 ans sans sexe, ça remonte à avant 2020 ! Tout ça c'est pour vous brosser un tableau qui vous permettra de mieux comprendre ma situation. Donc la St Valentin, hors de question qu'il me la fête autrement que par un "Bonne st Valentin" au téléphone, vu que je ne serai pas chez moi ! Pourtant, chaque année j'espère que ce jour-là, j'aurai quelqu'un qui me la souhaitera de tout son cœur, avec autant d'amour que j'en aurai pour lui, même s'il est loin. Mais je crois que mon côté romantique me faire oublier la triste réalité des relations.
Allez va, ce n'est pas si grave ! Deux jours avant le 14 février, c'est mon anniversaire ! Là au moins, je sais qu'il y aura quelque chose à fêter .
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 72
Super partouze de rentrée.
Dimanche
Lorsque je me réveille, il fait grand jour, il est 10h !
Je descend à la cuisine, je suis le seul réveillé avec Marc qui prend sa douche.
J'en profite pour nettoyer les cadavres de la veille et quand Marc me rejoint le séjour et la cuisine sont propre et le café passe. Je nous sers un Nespresso. Il me prend dans ses bras et me fait un gros câlin. Quand je lui en demande la raison, il me dit que c'est pour rien, gratuit.
Yes ! il m'aime !!
Je me serre encore plus fort contre lui.
Puis le charme est rompu par nos invités qui commencent à nous rejoindre. Les têtes sont amusantes, cheveux en pétard, quelques cernes, et yeux bouffis. Dans l'ensemble des têtes de lendemain de fête !
La matinée s'étire jusqu'à 14h et le petit déjeuner se transforme en brunch. Nous voyons enfin arriver Eric et Ric. Ces derniers ne viennent sûrement pas de se réveiller et je pense qu'ils ont déjà remis ça, tous les deux !
L'ambiance est cool, nonchalante, le calme après la tempête.
Les uns matent des dessins animés sur le grand écran du salon pendant que d'autres prennent les infos sur les TV de la cuisine ou du bureau de Marc. Vous aurez deviné qui regarde quoi ;-)
Dans le salon, les fauteuils et canapés et tapis sont occupés par des corps juste vêtus de slip ou de shorty, collés les uns aux autres, les uns sur les autres. Des têtes reposent sur des cuisses et des ventres.
Malgré l'intérêt pour les Chevaliers du Zodiaque et leurs plastiques irréprochables ou grâce à cela, les tissus se tendent sous la pression des bites excitées. Des têtes glissent des abdominaux vers les bas ventres. Des bouches lèchent, sucent, mouillent les tissus qui emprisonnent les glands. Et bientôt, dans tous le salon, s'organisent des 69 et des triangulaires où tous nous suçons et sommes sucés.
Nous sommes bientôt matés par les plus vieux. Après avoir admiré le spectacle, ils nous rejoignent bites au garde à vous. La séance de sucettes s'étire en longueur, les pipes sont calmes et sensuelles, lentes mais profondes quand même. Il y a juste une recherche de bien être, pas de performance.
Ric et Jean sont les premiers à se mettre à quatre pattes pour se faire mettre. De vrai chaudasses ces deux là !!
Ça ne manque pas d'attirer Eric et Igor qui une fois Kpoté enfoncent leurs queues au plus profond des deux culs offerts.
Aussitôt la touze passe à la vitesse supérieure. Tous ceux qui veulent une bite dans le cul prennent position en ligne aux cotés de Ric et Jean. Je prend en photo l'alignement d'enculés en train de se faire mettre par les enculeurs bien calés au fond de leurs trous les mains sur leurs hanches. N'ayant pas de place (8 enculés par 8 enculeurs), je passe de bouche en bouche me faire piper. C'est amusant de comparer les différentes manifestations de plaisir, pour les enculés, ça va de pas un bruit bouche ouverte à gémissement de salope et des " oui, plus fort ". les enculeurs sont plus discrets et de leur coté ce sont plus des ahanements que des vocables intelligibles. ;Les couples ne se défont pas et dans un bel ensemble, les culs font le plein. A ce moment là je suis sous Pierre en 69. Je sens Nicolas se vider dans son cul puis rapidement le sperme de Pierre me remplir la bouche. Je jute dans la sienne. Je garde les dernières giclées dans ma bouche et me retournant les partage avec le producteur dans une pelle vorace. J'y récupère un peu de mon sperme qu'il avait gentiment gardé pour faire de même.
Quand nous nous décollons, je m'aperçois que tous ont jutés et que les corps reposent les uns sur les autres en pleine récupération.
De façon désordonnée, nous allons tous passer un moment sous les douches. J'y suis parmi les premiers avec Pierre et Olivier (qui sont tellement collés que je me demande si ils vont réussir à laver toutes leurs faces) et Ric.
Je profite que nous ne soyons pas nombreux pour vérifier l'état de ma " bête de concours ". je lui mets un doigt dans le cul (facilement) et lui demande de serrer. Ça va, il me serre le doigts avec son anus au point que je ne peux le retirer. Il rit et me dit que tous les jours il se muscle l'anneau, maintenant sur un crayon de bois car c'est plus fin que les plugs. ;Je le félicite, il me dit que son père refuse que son cul se transforme en chatte baveuse malgré tout ce qu'on lui fait prendre dedans. Je le prend dans mes bras et on se fait un câlin, sa tête sur mon épaule.
Puis les uns après les autres ils se rhabillent et nous quittent. Je retiens un instant Igor et ses jumeaux pour leur demander quand est ce qu'ils peuvent revenir, ça faisait longtemps que l'on s'était vu et ce WE on à pas eu trop le temps de discuter. J'aimerai en savoir plus sur leurs vacances avec les surfeurs ! On se fixe rendez vous pour dans 15 jours.
Quand il ne reste plus que Ric, je m'équipe et je le ramène en moto. Heureusement que le trajet est court car la selle passager de mon monster est plutôt inconfortable pour de tels gabarits.
J'ai juste le temps de dire bonjour à son paternel que ce dernier en manque depuis deux jours et alors que nous sommes encore dans l'entrée, pousse son fils à genoux et lui plaque le visage contre son entrejambe. Deux secondes plus tard sa large teub est dans la bouche en train de grossir. J'entend Ric téter comme un malade. A ce stade, son père me demande comment c'est passé le WE. Je lui décris quelques unes des turpitudes de son fils notamment qu'il s'est fait emmancher grave par deux belle bites noires dont je donne les dimensions. La description de Jean Black le surprend, il ne pensait pas possible qu'il existe des engin d'une telle longueur. Je le lui confirme et Ric toujours la bouche pleine hoche la tête pour appuyer mon propos. Quand je lui dis que seul son fils est capable de la prendre complètement de tous coté, il caresse la tête qui le suce et je le sens fier de sa progéniture.
Spectateur, je commence à me sentir à l'étroit dans mon pantalon en cuir. Le vieux s'en aperçoit et me dit de sortir mon matériel. Je ne me le fais pas dire deux fois et baissant le zip sort l'ensemble bite et couilles avant de commencer à me branler. Il sort de la bouche de Ric et nous attirant dans le salon, ordonne à Ric de se mettre à poil. Ça me laisse le temps de poser le casque et de sortir de ma combi. Quand nous reprenons le jeu, il passe tout de suite au cul de son fils, me laissant sa bouche libre pour me faire sucer. Je n'ai pas besoin de bouger, chaque coup de rein paternel m'envoi Ric se planter a fond sur ma queue et mon gland jouer avec ses amygdales. Je tiens la tête de Ric entre mes mains pendant que son père à les siennes accrochées à ses hanches pour donner le rythme des va et vient. La vue des muscles tendus du dos de Ric faisant le pont entre son père et moi, l'excitation de voir la grosse bite de son père lui ramoner l'anus et la stimulation de sa langue sur mon gland et le reste de ma hampe ont raison de moi, j'ai juste le temps de me retirer et je jute abondamment sur son crane, et son dos laissant des traînées laiteuses jusqu'à ses fesses. Son père pour ne pas être en reste, décule et ajoute son jus au miens. Un flaque se forme dans le sillon creusé sur sa colonne vertébrale. Ric ne bouge pas avant que son père ai tout épongé. Il n'a pas jouit mais sa soirée ne fait que commencer et la bite non débandée de son père laisse imaginer la suite.
Je me rhabille et repart lesté de la " pension " du Week End.
Quand je retrouve Marc, la maison a retrouvé son état normal. Je finis la soirée dans ses bras. Il trouve mon idée de personnel " spécial " pour nous servir lors des touzes intéressante. Je lui dis aussi que coté matériel, il serait bon d'investir dans des machines a laver et sécher de grande capacité.
Il me dit qu'il va se mettre à chercher rapidement de tels serveurs afin qu'on puisse les tester avant la prochaine touze.
Miamm miammm.
JARDINIER
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marie-swriting · 3 months
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La Traînée D'Hawkins - Steve Harrington [1/2]
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Emails I Can't Send Masterlist
Stranger Things Masterlist
Partie deux (publiée le 24/01/2024 à 17h)
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu subis les conséquences pour être sortie avec Steve Harrington.
Warnings : les italiques sont des flashbacks, Slutshaming, harcèlement scolaire (reader se fait harceler) (parlez avec quelqu'un si vous subissez du harcèlement !) , sous-entendu de sex, Steve est un peu un lâche, mauvaise relation avec les parents, angst, fin triste, bagarre.
Nombre de mots : 3.8k
Chanson qui m'a inspiré : Because I Liked A Boy par Sabrina Carpenter
Les rires remplissaient l’air frais du début de soirée. Allongée sur le trampoline dans ton jardin, tu étais dans les bras de Steve. Vous êtiez devenus proches récemment et tu devais avouer que ça faisait du bien d’avoir quelqu’un à qui parler, surtout quand tes parents n’étaient pas là - ce qui était assez souvent, ce soir en était une nouvelle preuve.
Steve t’avait serré un peu plus contre lui alors que vous parliez de vos artistes musicaux favoris. Tu avais donné quelques noms comme Madonna, Bowie et c’était à la mention des Beatles que tu avais eu toute son attention. 
-L’album Help! est définitivement mon préféré, t’avais informé Steve. 
-Pareil pour moi, j’aime toutes les chansons mais You’re Going To Lose That Girl et It’s Only Love ont une place dans mon cœur, avais-tu dit alors que Steve détourne le regard. Tout va bien ?
-Ouais, c’est juste que It’s Only Love était notre chanson préférée, à Nancy et moi.
-Tu l’as vraiment aimé, hein ?
-C’était mon premier amour. Malheureusement, ça s’est assez mal fini. C’est surtout devenu compliqué après la disparition de Barbara, sa meilleure amie. Et puis, je dois admettre que j’ai mes torts dans l’histoire, mais j’essaye de me racheter. 
-Je suis sûre que tu y arriveras, avais-tu affirmé en le serrant un peu plus contre toi. Tu n’es plus le même Steve que tu étais au début du lycée. Autrement, on ne serait pas là. Tu es quelqu’un de bien, Steve, n’en doute pas une seconde. 
-Merci pour ce que tu viens de dire, t’avait souri Steve. 
-Sinon, qu’est-ce que tu penses de I Need You ? 
-J’ai dû mal avec cette chanson.
-Steve Harrington, je suis outrée ! Comment oses-tu dire ce genre de chose ? t’étais-tu exclamée, faussement choquée.
-T’as demandé mon avis.
-Et tu es censée être d’accord avec moi. 
-J’arrive pas à l’apprécier c’est pas de ma faute.
-Tu ne comprends juste pas cette chanson. Tu vas voir, tu en seras fan un jour, je m’en assurerai, avais-tu déclaré en le regardant droit dans les yeux. 
-Je veux bien voir ça. 
Vos lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres de l’une de l’autre. Tu n’osais pas faire le premier pas, même si tu en mourrais d’envie, tu avais peur d’avoir trop lu entre les lignes. Steve te plaisait beaucoup, mais tu n’étais pas sûre qu’il voulait la même chose. Steve te regardait avec des yeux remplis d’étoiles et de tendresse, les tiens n’étaient pas très différents. Vous attendiez seulement de voir lequel d’entre vous craquerait en premier. Steve était celui qui avait fini par briser les centimètres qui vous séparaient en posant ses lèvres sur les tiennes. Vos lèvres bougeaient doucement, appréciant ce moment si innocent du début de votre relation. 
Maintenant, l’innocence est partie. Quand tu refermes ton casier, le mot “traînée” est écrit en grosses lettres, te rappelant le prix que tu as dû payer pour ce moment. Qui aurait cru qu’un câlin dans un trampoline pouvait être si dangereux ? 
Au loin, Steve te regarde. Toutefois, la seconde où tu te tournes vers lui, il baisse les yeux et part dans la direction opposée. C’est la même chose depuis un mois. Tu reçois des insultes et Steve regarde ailleurs. Tu es accusée d’être une briseuse de couple et Steve reçoit la sympathie pour la douleur que tu lui aurais causée. 
Pendant ta journée de cours, tu gardes la tête baissée, ne voulant pas attirer plus l’attention sur toi. Malheureusement, les insultes tout comme les bouts de papier dégradant continuent de fuser sur ton passage. Ton seul moment de répit est pendant le déjeuner. 
Au début, tu te cachais dans les WC du lycée puis, tu as fini par croiser quelques filles qui t’ont bien fait comprendre qu’elles n’étaient pas de ton côté alors tu t’es réfugiée dans le placard du concierge. Au moins, personne ne peut venir t’embêter là-bas. Tu n’aimes pas la façon dont tu as fini par accepter le harcèlement, mais toutes les fois où tu as essayé d’expliquer la situation, personne ne t’a écouté. Alors, maintenant, tu ne dis plus rien et tu laisses les personnes définir qui tu es tout en espérant que cette histoire se tasse bientôt. 
L’après-midi, tu as cours de chimie. Comme à ton habitude depuis un mois, tu restes au fond de la classe, voulant être loin du regard de tes camarades. Tu fais de ton mieux pour écouter le cours, mais tu dois avouer que depuis cette histoire, tes notes ont commencé à baisser. Tu conserves toute ton énergie pour survivre aux remarques alors il ne t’en reste plus pour avoir des bonnes notes. 
Alors que tu finis de noter ce que le professeur Kaminski vient de dire, il annonce que vous allez travailler en groupe de deux. Tout de suite, ton ventre se tord et tu as envie de vomir. Tu ne veux pas travailler en groupe. Tu n’as jamais été fan de travaux de groupe, maintenant, tu les hais ; c’est la porte ouverte aux insultes pendant une heure sans arrêt. Le professeur informe qu’il a déjà fait les groupes avant de les énoncer à voix haute. Comme un condamné, tu attends qu’il dise ton prénom. Tu fais partie du dernier groupe et tu es avec Tucker Walker. À l’annonce de ton partenaire, tu as envie de mourir. Il fait partie de l’équipe de basket et il se croit tout permis. Tu ne l’aimes pas. Tu essayes de négocier avec ton professeur pour travailler seule, mais il insiste. 
-Viens, Y/L/N, je vais pas te manger, rigole Tucker. 
À contrecoeur, tu réunis tes affaires et tu le rejoins à sa table. Tu mets un maximum de distance entre vous deux, voulant éviter de nouvelles rumeurs. 
-Je vais faire tout l’exercice et je mettrai ton nom sur la feuille comme ça, tu n’auras rien à faire, annonces-tu en commençant à lire ce que tu dois faire.
-Qui a dit que je ne voulais pas bosser avec toi ?
-Je ne veux pas bosser avec toi, précises-tu. Maintenant, occupe-toi et laisse-moi travailler.
-Au contraire, je suis sûr que je peux être utile, contredit-il en posant sa main sur ton genou.
-Enlève ta main, dis-tu en serrant les dents.
-Quoi ? 
-Ta main. Je ne t’aime pas et si je ne me trompe pas, tu es en couple.
-Ça ne t’a pas arrêté avec Harrington, dit-il avant de se pencher vers toi. Tu peux venir me rejoindre derrière le lycée tout à l’heure. 
-Non.
-Tu n’as pas à faire la fille difficile parce qu’on est en cours.
-Je ne fais pas la difficile, je ne t’aime pas, répètes-tu en essayant de rester calme.
-C’est ce que tu dis maintenant. 
Par chance, Tucker finit par retirer sa main et te laisse travailler. Tu es surprise de voir qu’il a abandonné si vite. Tu sais que ça cache autre chose, il faut que tu l’évites. 
Tu termines l’exercice de chimie pile quand le cours se termine. Tu ranges tes affaires en quatrième vitesse et rends la feuille à ton professeur avant de quitter la salle. Tucker ne t’a pas suivi, te permettant de lâcher un soupir de soulagement. 
En repassant devant ton casier, tu découvres que l’insulte a disparu. C’est un des points positifs avec le concierge du lycée, il efface rapidement les insultes. Cependant, peu importe le nombre de fois qu’il l’efface, il ne l’a jamais signalé au principal, te laissant seule face au venin des lycéens. 
Quand tu sors du lycée, tu te diriges vers ta voiture quand on te bloque la route. Devant toi se trouvent quatre filles dont Jessica, la petite amie de Tucker. Tu essayes de faire bonne figure, te préparant déjà à ce qu’elle va te dire.
-Qu’est-ce qui te fait croire que tu peux faire des avances à Tucker, mon petit ami ? demande-t-elle sèchement. Être son partenaire de chimie et lui dire de te rejoindre derrière le lycée ? C’est là où tu allais, n’est-ce pas ? Il ne viendra pas. Contrairement à Steve, il ne laissera pas la traînée d’Hawkins briser notre couple, affirme Jessica, tu t’apprêtes à lui répondre quand elle te devance. N’essaye même pas de le nier, Tucker m’a dit et Sarah t’a entendue !
-Elle entend mal, alors. Tucker est celui qui m’a fait des avances et je l’ai repoussé. Il a posé sa main sur mon genou et m’a dit de le rejoindre derrière le lycée, rétorques-tu, agacée.
-Tu penses que je vais croire une fille comme toi plutôt que mon copain ?
-Je sais que tu ne vas pas me croire. C’est tellement plus facile de croire le gars qui te dit de belles paroles plutôt que la fille qui te montre le vrai visage de ton copain. Ne sois pas trop déçue le jour où tu découvriras qu’il t’a trompé, si ce n’est pas déjà fait, déclares-tu avec un faux sourire.
-Retire ce que tu viens de dire.
-Pourquoi ? Tout le monde sait qu’il n’est pas fidèle.
-Il est différent avec moi, insiste Jessica et tu secoues la tête.
-C’est ce qu’il te fait croire mais la vérité c’est qu’il va voir ailleurs tout en te gardant sous le coude. 
Le bruit de la claque résonne dans le parking du lycée. Tu regardes Jessica avec de grands yeux alors que tu te tiens la joue. Pour toi, c’est la goutte de trop, tu réponds à son attaque en lui tirant les cheveux. Le cri de Jessica alerte les adultes alors que ses amies essayent de défaire ton emprise. Tu continues à lui dire ses quatre vérités alors que deux bras s’enroulent autour de ton corps et t’éloignent de Jessica. Être séparées ne vous empêche pas de continuer à vous insulter et à essayer de vous sauter à la gorge à nouveau jusqu’à ce que monsieur Jenkins arrive.
-Ça suffit ! Mais qu’est-ce qui se passe ici ? 
-Elle m’a attaqué ! ment Jessica en te pointant du doigt.
-Quoi ? C’est toi qui m’a giflée en premier.
-C’est faux, monsieur, on l’a vue ! ajoute une amie de Jessica.
-Elles mentent, Jessica l’a tapée en premier.
En regardant derrière toi, tu réalises que celui qui t’a retenu et qui te défend n’est autre qu’Eddie Munson. Tu ne l’avais même pas vu dans les alentours et tu ne t'attendais certainement pas à ce qu’il prenne ta défense. 
-Vous allez sérieusement pas croire les mots de Munson ? questionne Jessica, les larmes aux yeux. Il est toujours contre nous ! Il dirait n’importe quoi pour nous attirer des ennuis. Je suis la victime dans l’histoire…
-Tu dis n’importe quoi, tu…, l’interromps-tu avant que monsieur Jenkins attire votre attention.
-Stop ! J’en ai assez. Chez le principal, tout de suite ! 
Et c’est ainsi que tu te retrouves pour la première fois dans le bureau de monsieur Higgins. Tu n’arrives pas à croire que la situation ait dégénéré à ce point. Le pire ce n’est pas d’entendre le discours réprobateur du principal, c’est d’être témoin de la déception de ta mère à tes côtés pendant qu’il le fait. 
Alors que le principal explique à ta mère et à celle de Jessica ce qu’il s’est passé, tu regardes tes chaussures tout en retenant tes larmes de colère. Quand il a fini de parler, Higgins attire votre attention à toi et Jessica.
-Vous avez quelque chose à ajouter ?
-Je ne l'ai pas attaquée en premier, insistes-tu. 
-Tout le monde t’a vue ! rétorque Jessica.
-C’est toi qui es venue m’accuser de voler ton petit ami. Je n’ai rien fait. 
-Ouais comme tu n’as rien fait pour briser le couple de Nancy et Steve. 
-Monsieur, commences-tu en gardant une voix posée, ça fait plus d’un mois que je me prends des insultes de la part de tout le monde dont Jessica. Elle m’a traité de traînée puis elle m’a giflé quand j’ai dit que son copain n’était pas fidèle. Eddie Munson est témoin, il l’a dit à monsieur Jenkins. 
-Munson, celui qui dirige une culte ? Quel témoin fiable ! déclare la mère de Jessica en levant les yeux au ciel.
-Madame, s’il vous plaît, réprimande le directeur. Un témoin contre les trois amis de Jessica, ça n’apporte pas grand chose. 
-Et vous n’allez rien faire pour les insultes qui me sont adressées ?
-Y/N, dit ta mère d’un ton sec.
-Je n’ai jamais entendu parler d’insultes à ton égard. Toutefois, tes notes sont de moins en moins bonnes pour une raison inconnue.
-Si vous faisiez plus attention à vos élèves, peut-être que vous sauriez pourquoi.
-Y/N, ça suffit ! te rappelle à l’ordre ta mère avant de se tourner vers monsieur Higgins. Je vous présente mes excuses. J’imagine que Y/N sera punie ?
-En effet, on ne peut tolérer ce comportement. Logiquement, ce genre de situation peut amener à l’expulsion mais étant donné que Y/N a toujours été une élève modèle jusqu’ici, nous allons dire que c’est seulement une mauvaise phase. Y/N aura un mois de retenue et tu devras faire un devoir sur le harcèlement.
Avant que tu puisses protester, ta mère te lance un regard noir. Tu restes silencieuse alors que ta mère s’excuse encore une fois pour ton comportement. L’emprise de ta mère sur ton bras te force à te lever et à quitter le bureau. Elle ne dit rien jusqu’à ce que tu arrives à ta voiture où elle t’ordonne de rentrer à la maison. 
Quand tu arrives chez toi, ta mère t’informe que tu es privée de voiture, t’obligeant ainsi à aller à l’école en bus puis, elle te dit de rester dans ta chambre jusqu’à l’arrivée de ton père.
Quand tu refermes la porte de ta chambre, tu laisses enfin tes larmes de colère couler sur tes joues. Tu es frustrée par toute la situation et tu ne t’es jamais sentie aussi seule. Tu t’allonges sur ton lit en boule, cherchant un peu de réconfort. Pendant que tu recherches ce réconfort, ton esprit te ramène à un moment de ta vie où tu l'avais sans avoir besoin de faire un effort. As you search for that much-needed comfort, your mind takes you back to a time in your life when you had it without needing to make any effort.
À un moment, tu avais ce réconfort. Quand tout allait encore bien, il n’était pas rare que Steve vienne chez toi et qu’il te fasse sourire. 
Vous étiez en couple depuis trois mois et personne ne savait pour votre relation. Vous aviez préféré ne rien dire, voulant chérir ce que vous aviez. Grâce à votre relation, vous vous sentiez moins seuls, vous aviez enfin l’impression que quelqu’un s’inquiétait pour vous, c’était pourquoi tu étais si bien avec lui. Par conséquent, vous vous voyez quand vos parents ne sont pas chez vous. Ne voulant pas rester seule une autre nuit, tu avais invité Steve à venir chez toi. Étant dans la même situation, Steve avait sonné à ta porte une trentaine de minutes plus tard. 
Allongés dans ton lit, vous profitiez de la présence de l’autre après votre premier moment intime que vous veniez de partager. Steve a ses bras autour de tes hanches, plaquant ton dos contre son torse. 
-Tu sais, avait commencé Steve en murmurant à ton oreille, peut-être que tu es en retard pour être mon premier amour, mais tu seras toujours mon préféré. J’aime ce qu’on a.
-Moi aussi. Je t’aime beaucoup, Steve, avais-tu dit en te retournant pour le regarder. 
-Je t’aime beaucoup aussi, avait-il répondu en t’embrassant tendrement.
Tes pensées sont interrompues par la voix dure de ton père t’ordonnant de descendre. Tu essuies rapidement tes larmes et te prépares pour ce que tes parents s'apprêtent à te dire. En descendant les escaliers, ton père te fait signe d’aller dans la cuisine. Tu t’assois alors que tes parents restent debout de l’autre côté de la table, une expression sévère sur leur visage.
-C’est quoi cette histoire que ta mère m’a raconté ? Tu te bats maintenant ? s’indigne ton père. 
-Je ne faisais que me défendre, Jessica m’a attaqué en premier. 
-Pourquoi est-ce qu’elle t’aurait attaqué ? Je connais son père, c’est une fille adorable.
-Elle m’a insulté de traînée et elle m’a accusé de lui voler son petit ami alors que je n’ai rien fait. 
-Pourquoi est-ce qu’elle dit que c’est le cas alors ? questionne ta mère, agacée.
-Parce qu’elle est contre moi, comme tout le monde dans ce lycée !
-Baisse d’un ton, jeune fille, t’ordonne ton père. 
-C’est par rapport à ce qu’elle dit sur Steve et Nancy, n’est-ce pas ? veut savoir ta mère avec un regard accusateur.
-Oui, on m’accuse d’avoir brisé leur couple alors que c’est faux.
-Parce que tu n’as jamais rien fait avec Steve peut-être ?
-Comment tu…, commences-tu, surprise de découvrir qu’elle sait.
-C’est une petite ville et tu pensais vraiment que les voisins ne te verraient pas faire rentrer un garçon dans notre propre maison ? 
-Tu as fait venir un garçon en douce ? s’énerve ton père.
-Et d’après madame Johnson, ça a duré pendant plusieurs mois, précise ta mère. Tu n’as pas honte de toi ?
À cette phrase, le peu d’espoir que tu avais concernant tes parents disparaît. Tu n'arrives pas à croire que ta propre mère soit contre toi. Tu commences à t’habituer à la réputation que l’on t’a faite, mais entendre ta propre mère sous-entendre que tu es moins bien à cause de ta relation est le coup de grâce. Tu n’arrives pas à comprendre comment aimer un garçon a pu à ce point tout détruire. 
-Steve et moi, on s’était mis en couple après sa séparation avec Nancy, je lui parlais à peine quand il était encore avec elle. Steve était mon petit ami et on a rien fait de mal ! te défends-tu, sentant les larmes monter.
-Bien sûr et tu n’as rien fait de mal quand tu as attaqué cette pauvre Jessica ?
-Pauvre Jessica ? Elle m’a insulté et frappé. Je n’ai rien fait. Pourquoi est-ce que vous ne voulez pas me croire ? Je suis votre fille et pourtant, vous préférez croire Jessica que moi.
-Les faits sont là ! tonne ton père. Et puis, on aurait dû agir il y a un moment, tu as vu tes notes aussi ? Tu penses vraiment réussir ton année ainsi ?
-Mes notes se dégradent parce qu’on me fait vivre un enfer au lycée. 
-Arrête de te victimiser ! On en a assez de ton comportement. Tu as intérêt à remonter la pente et très vite. Monte dans ta chambre, tout de suite ! Et tu n’oublieras pas de faire tes excuses à Jessica.
Fatiguée de crier dans le vide, tu ne réponds pas à l’ordre de ta mère et cours te réfugier dans ta chambre. Énervée, tu fais claquer la porte derrière toi. En temps normal, tu aurais peur de recevoir d’autres réprimandes, mais à cet instant précis, c’est le cadet de tes soucis. 
Tu te jettes sur ton lit et tu te retiens de hurler ta frustration. Tu n’arrives pas à comprendre comment tes propres parents ne te défendent pas. Ils n’ont même pas essayé de t’écouter, ils n’ont fait que de te blâmer encore plus. Tu sais que c’est idiot, mais une part de toi espérait qu’ils essayeraient de te comprendre. Tu avais tort. Personne n’est de ton côté. Tu ne le pensais pas possible, pourtant, tu te sens encore plus seule. 
Si tu pensais déjà être l’ennemi public numéro un, quand tu retournes en cours le lendemain, tu réalises que c’est pire. Tout le monde te lance des regards de travers, les insultes se font plus nombreuses comme les messes basses. Tu te fais encore plus discrète que d’habitude - si c’est possible - restant dans ton coin. 
Finalement, tu te dis que tu ne recommanderais à personne de sortir avec des garçons qui ont des exs, ça ne vaut pas toute la douleur et le harcèlement qui vient avec, surtout si ledit garçon vous ignore. 
Quand tu vas à ton dernier cours de la journée, tu aimerais pouvoir dire que tu t’apprêtes à enfin respirer, mais tu as ta retenue. Tu vas devoir rester au lycée encore quelques heures. 
En t’asseyant à ta table habituelle de ta salle d’histoire, tu poses ton cahier sur ta table. Tes yeux se posent sur la dernière page où tu as écrit jusqu’à ce qu’ils dérivent sur une inscription gravée sur ta table : “la traînée d’Hawkins = Y/N”. Tu ne découvres pas ces mots, c’est d’ailleurs ces mots sur cette table qui t’ont fait réaliser que ta vie allait changer sans que tu puisses réagir. Malgré le temps, ces mots te font toujours l’effet d’un coup de poignard. Tu te rappelles encore de ce moment où tout a basculé. 
Tu étais derrière le lycée avec Steve. Vous étiez en couple depuis quatre mois mais contrairement aux trois premiers, ça n’allait plus entre vous. Vous n’étiez plus sur la même longueur d’onde. Peu importe tes efforts pour essayer de le garder auprès de toi pour sauver votre couple, ça se finissait toujours en dispute. Le sujet principal était que tu étais plus investie dans votre relation que Steve. Tu avais notamment remarqué ceci quand tu avais essayé d’être plus proche de lui au lycée. 
-Je ne t’en demande pas beaucoup Steve ! Je demande pas à t’embrasser avec la langue devant tout le monde, je veux juste pouvoir au moins te parler sans que tu m’ignores. Je suis ta petite amie et pourtant, on dirait que je suis inconnue pour toi, avais-tu demandé, à la fois énervée et désespérée.
-T’as dit que tu voulais garder notre relation pour nous, avait rétorqué Steve en évitant ton regard.
-C’était avant que ça devienne plus sérieux entre nous. Je t’aime beaucoup et je veux pouvoir dire que tu es mon petit ami.
-Je sais mais tu sais avec Nancy…
-Pourquoi est-ce que tu parles d’elle ? Elle a avancé, contrairement à toi ! Elle est avec Jonathan, je pense qu’elle s’en fiche si tu es de nouveau en couple. Pourquoi est-ce que tu cherches des excuses ? Je croyais que tu m’aimais beaucoup aussi.
-C’est le cas. 
-Ah bon ? On dirait pas ! t’étais-tu offusquée. J’ai l’impression d’être seule dans cette relation. À chaque fois que je fais un pas vers toi, tu me repousses un peu plus. Je commence à en avoir marre. Je ne sais même pas pourquoi je continue à essayer de sauver notre couple alors que c’est clair que tu t’en fiches, avais-tu fini en rentrant à l’intérieur du lycée. 
-Y/N, attends…, avait-il essayé de te retenir
-Non, c’est fini, Steve ! 
Ce jour-là, tu avais mis fin à ta relation avec Steve, signant aussi la fin de ta tranquillité au lycée. Pendant que vous vous disputiez, quelqu’un vous avait entendu et avait tordu toute l’histoire. Avant que tu puisses réagir, quelques jours plus tard, les rumeurs avaient commencé à tourner au lycée disant que tu avais ruiné le couple de Nancy et Steve en le séduisant. Tu n’avais rien pu faire pour corriger les rumeurs. Juste parce que tu avais aimé un garçon, on t’avait jugé comme une briseuse de couple et tu devais accepter ta sentence.
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fidjiefidjie · 7 months
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🐢 Câlin du jour 🐆
Source: Carson Springs Wildlife
Penzi, la tortue et Tuesday, le guépard en Floride 🥰
Bel après-midi 👋
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Je m’excuse de ne pas avoir écrit sur tes pages ces derniers jours. Nous avons été bien occupés ici.
Mardi matin, Julian et moi prenions notre petit-déjeuner. Il faisait du soleil cette semaine et c’était agréable de passer du temps dans la cuisine. J’ai développé une passion pour les crumpets[1], et Julian les prépare extrêmement bien. Nous les mangions avec du miel et du beurre quand quelqu’un a frappé à la porte.
Julian a sursauté. La veille, nous avions reçu une lettre de Ty dans laquelle il nous annonçait qu’il allait venir avec Ragnor à Blackthorn Hall. Il craignait beaucoup que ça énerve Julian, mais Julian n’était pas du tout énervé. Il était anxieux. Toute la journée, il avait l’air distrait et se cognait partout. Alors quand nous sommes allés nous coucher, je lui ai pris la main pour écrire dans sa paume, comme nous en avions l’habitude, une lettre à la fois. Q-U-E-S-T-C-E Q-U-I T-I-N-Q-U-I-E-T-E ?
Nous nous sommes enlacés sous les couvertures. Il m’a avoué qu’il s’inquiétait parce que c’était lui qui s’occupait de Ty avant, et maintenant plus d’un an avait passé, et Ty se débrouillait seul. Il a ajouté qu’il savait tout de Ty, l’heure à laquelle il se levait et allait se coucher, ce qu’il aimait faire, ce qu’il aimait manger. Et maintenant il a l’impression de l’avoir perdu de vue d’une certaine manière, comme s’ils étaient devenus des inconnus l’un pour l’autre.
Je l’ai rassuré : il ne perdrait jamais Ty de vue et leur relation sera toujours spéciale, elle allait simplement changer parce que Jules n’avait plus besoin de s’occuper de tout le monde en faisant semblant du contraire. Il n’avait plus à porter le poids de cet énorme secret, et s’occuper de quelqu’un est toujours un poids, peu importe l’amour que l’on a pour les personnes dont on s’occupe.
Et puis il m’a embrassée, et la suite, Bruce, ne te regarde pas. Punaise, comme tu es curieux !
Enfin bref, revenons au petit-déjeuner et à la personne à la porte. C’était Ragnor, qui avait un teint vert et fringuant, comme une prairie anglaise. Il a rapidement dépassé Julian pour aller examiner les tentures. En réalité, il examinait certainement quelque chose de magique, comme la malédiction, mais à mes yeux il semblait examiner les rideaux et le papier peint. Peut-être songe-t-il à refaire la décoration chez lui. Ou peut-être laissait-il un moment à Julian pour être seul avec Ty, qui était encore sur l’escalier, si adorable avec son air gêné et son sac sur l’épaule.
J’ai eu envie de courir vers lui pour le prendre dans mes bras, mais je ne suis retenue parce que je sentais au plus profond de moi que ce moment n’appartenait qu’à Ty et Jules. Jules se tenait dans l’encadrement de la porte et regardait Ty, les traits tirés, puis a fini par dire « Viens là » d’une voix rauque. Ty a laissé tomber son sac et a grimpé les escaliers en courant. Julian l’a serré dans ses bras si fort que j’étais certaine qu’il allait protester. Mais pas du tout. Il a simplement accepté le câlin. Julian a passé la main dans son dos en chuchotant « Ty-Ty », et je n’ai pas vu ce qu’il s’est passé ensuite parce que je faisais de mon mieux pour garder les yeux grands ouverts sans cligner. C’est le moyen le plus sûr que je connaisse pour éviter de pleurer.
Après ça, nous avons fait visiter le rez-de-chaussée à Ty et Ragnor, ce qui était un peu bizarre puisque Ty était déjà venu ici avec Livvy il y a deux ans. Je pense que nous avions tous conscience de ce chagrin lourd comme une chape de plomb. Julian n’arrêtait pas de lancer des regards inquiets à Ty, mais lui n’avait pas l’air triste, plutôt pensif. Au bout d’un moment, Julian lui a fait remarquer qu’il devrait aller à l’étage pour choisir sa chambre :
- N’importe quelle chambre ! Il y a du choix. Prends celle que tu veux, tu pourras la décorer comme tu le souhaites. Tout ce que tu veux.
- Et moi, je vais dormir comment ? a questionné Ragnor d’un ton bougon. Enfoncé dans la cheminée ?
Ty était déjà dans l’escalier avec Julian. J’ai dit à Ragnor qu’il pouvait dormir où il le souhaitait, mais je lui ai recommandé le canapé en bas, s’il voulait être au plus près du fantôme. Rupert a toujours tendance à apparaitre dans la salle à manger. Ne poursuivant pas sur ce sujet, Ragnor s’est simplement dirigé vers la cuisine pour préparer le thé. Je lui ai proposé un crumpet pour être hospitalière. Quand Julian est redescendu, Ragnor répandait du miel sur le plan de travail.
- Est-ce que je peux voir la carte des ley lines ? a demandé Jules. Ou bien tu es trop occupé à attirer les fourmis ?
- Il n’y a pas de fourmis, a objecté Ragnor, la bouche pleine de son crumpet. Ce n’est pas la saison.
Il s’est léché les doigts, a passé la main dans sa veste et en a sorti un immense parchemin roulé qui, soit dit en passant, ne pouvait pas rentrer dans cette veste sans un peu de magie. Qu’on ne dise jamais que Ragnor n’aime pas la théâtralité, même s’il prétend être au-dessus de tout cela. Il a déroulé la carte sur la grande table et a mis un bougeoir et des livres sur les côtés pour qu’elle ne bouge pas.
C’était une carte du centre de Londres – difficile de ne pas reconnaitre la forme particulière de la Tamise qui serpente au milieu. Elle était entièrement recouverte de lignes de différentes couleurs : rouge, bleu, vert, doré. Et le long de ces lignes se trouvaient des symboles astrologiques, des flèches, des nombres et quelques mots en grec. On distinguait à peine le nom des rues.
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- Ta carte de Londres est en grec ? s’est étonné Julian. Et tu ne vas pas répandre du miel dessus ?
- Le miel est bon pour le parchemin. C’est un conservateur. Et c’est du copte.
- Ta carte de Londres est en copte ? me suis-je exclamée.
Ragnor a posé un regard tendre dessus.
- Oui. Crois-le ou non, c’est l’une des cartes des ley lines de Londres les plus lisibles que j’ai trouvé. Certaines d’entre elles sont simplement invraisemblables. Celle-ci date du XVIIIe siècle, c’est écrit en copte juste pour compliquer les choses. Les sorciers sont comme ça.
« Je sais », ai-je eu envie de répliquer, mais je me suis tue, parce que Ragnor nous rendait service.
- Votre fantôme est-il présent ? s’est enquis Ragnor.
Il avait pris un large cristal grossissant à travers lequel il observait des sections de la carte.
- Je ne sais pas, ai-je déclaré. Rupert ? Nous avons un invité qui souhaite vous rencontrer.
Il ne s’est rien passé.
- Ses allées et venues sont donc aléatoires, a marmonné Ragnor, comme s’il parlait tout seul. Intéressant.
Il a sorti de sa poche un petit carnet en cuir qu’il a feuilleté.
- C’est intéressant ? a répété Julian. Peut-être qu’il est simplement timide face aux inconnus. Avant notre arrivée, il est resté seul ici pendant une cinquantaine d’années.
- Mon garçon, a lancé Ragnor en levant les yeux vers Julian, il y a des gens que je n’ai pas eu le temps de rappeler pendant cette période.
- Eh bien, tu devrais être un meilleur correspondant, a rétorqué Julian en croisant les bras. Vois-tu quelque chose sur la carte ?
Ragnor a émis un son hésitant avant de reporter son attention sur la carte. Au bout d’un moment il s’est redressé :
- Bien. Voulez-vous toutes les explications détaillées, ou dois-je passer directement à la conclusion ?
- La conclusion, s’il-te-plait, ai-je requis.
- C’est bien ce que je me disais.
Il avait l’air grincheux, pour une raison que j’ignorais. C’est bien Ragnor, ça !
- En prenant en considération les différents types de ley lines et les diverses intersections, nœuds et empreintes, a-t-il expliqué, et en supposant que les autres objets sont probablement dans le centre de Londres, puisque c’était le cas des premiers, et en supposant aussi que les objets sont certainement dans des lieux importants pour le Monde Obscur…
Il s’est interrompu et nous a regardé en haussant les sourcils.
- Nous te suivons pour l’instant, a affirmé Julian.
- Je pense que les prochains lieux à fouiller sont certainement là et là.
Il a sorti un crayon de je ne sais où et a entouré deux points sur la carte.
- Là, c’est l’église St. Mary Abchurch. Et là…
Il s’est tu.
Julian s’est penché sur la carte pour voir ce que Ragnor désignait.
- D’accord ? ça a juste l’air d’être une rue résidentielle à Soho.
- En fait, a repris Ragnor, à une époque, pendant longtemps, l’une de ces maisons était un notoire club de Créatures Obscures. Ça s’appelait The Hell Ruelle[2]. C’était très malin, ce nom, voyez-vous, parce qu’une « ruelle » désigne une sorte de réception que les dames de l’aristocratie française organisaient dans leur chambre, un peu comme un salon, et c’est aussi dans une petite rue, donc une ruelle, que se trouvait ce club.
- Et en plus, ai-je ajouté très sérieusement, ça rime.
- En effet, a continué Ragnor. Je ne sais pas ce qu’il est devenu. Les salons et clubs sont passés de mode depuis longtemps, mais les Créatures Obscures aiment faire les choses à l’ancienne. Je suppose que c’est toujours un club d’une manière ou d’une autre, certainement tout aussi scandaleux qu’à l’époque. J’ai cru comprendre que les scandales ne sont jamais passés de mode.
- Nous avons vu une affiche de ce club, est intervenu Julian. Elle était accrochée dans la maison des Herondale à Curzon Street.
Ragnor a haussé les sourcils.
- Vous êtes allés dans la maison de Curzon Street ? Comment est-elle maintenant ?
Julian a donc commencé à raconter notre visite à Ragnor, ce qui tombait bien parce que je voulais aller voir Ty. J’avais pensé qu’il descendrait pour aider ou du moins observer Ragnor, mais il fallait croire qu’il avait trouvé un endroit qui lui plaisait et y était resté. Ou bien une horrible tragédie était survenue. Mais c’était certainement la première hypothèse.
Je n’ai pas eu de mal à le trouver en tout cas : il y a beaucoup de chambres mais pas tant que ça. Et d’ailleurs, ces vieux murs n’atténuent aucunement le bruit, alors je l’entendais parler dans l’une d’elles. La « chambre grise », comme Julian et moi l’appelons. Elle a une belle vue sur la mare aux canards.
Je suppose qu’il était au téléphone, j’entendais les pauses pendant lesquelles il écoutait l’autre personne. J’ai cru saisir les mots « Eh bien je ne sais pas du tout pourquoi, mais ça ne fait pas très longtemps », en réponse à quelque chose. Puis la porte s’est ouverte et il est sorti de la chambre. Il a tout de suite sursauté en me voyant dans le couloir.
- Emma ?
- Je suis juste montée pour voir comment tu allais, lui ai-je signifié. Je pense que nous allons bientôt commander à manger. Est-ce que c’est la chambre qui te plait ?
- Oui, a-t-il répondu en tournant la tête vers les hautes fenêtres. Je trouve que c’est une belle chambre.
- Tu parlais avec ta sœur ?
Il n’a rien dit. Il a soudainement rougi, avant de pâlir. Je me suis demandé s’il avait prononcé quelque chose que je n’étais pas censée avoir entendu, mais je ne savais pas ce que ça aurait pu être.
- Je n’écoutais pas aux portes, l’ai-je rassuré. J’ai simplement supposé que c’était Dru.
- Ah ! s’est-il exclamé. Oui. Oui, je parlais avec Dru. Elle…
- Veut probablement savoir comment sont les chambres, ai-je complété, voulant le mettre à l’aise. Dru voudra sûrement la plus gothique.
- Absolument, a acquiescé Ty alors que nous descendions. Mais je ne suis pas vraiment qualifié pour définir ce qui est gothique.
- Je crois que l’idée, c’est « aussi effrayant que possible ».
Jules et Ragnor nous attendaient quand nous sommes arrivés dans la cuisine. Ty s’est détendu assez vite. En fait, tout ce dont il avait besoin, c’était 1- du thé et 2- poser des milliers de questions à Ragnor au sujet de la carte des ley lines jusqu’à ce que notre commande arrive et mette fin à la discussion. Je te jure, Bruce, qu’à un moment Ragnor a raconté une blague en copte et que Ty a ri. Ils ne font pas les choses à moitié à la Scholomance. C’est peut-être un peu trop intense pour moi. Mais ne te méprend pas, c’était très agréable de passer du temps avec eux. Ça m’a rappelé que cette maison pourra à nouveau être chaleureuse et accueillante une fois que les rénovations seront terminées et que tous les Blackthorn seront ici et s’approprieront les lieux. Même la malédiction n’était pas si pesante alors que nous nous étions installés devant la cheminée pour faire une partie de Cluedo (on appelle ça simplement Clue en Amérique) jusqu’à ce que Ty s’endorme.
Annexe : Dimanche soir. Ragnor et Ty sont partis cet après-midi. C’était chouette de les avoir à la maison, ça nous a fait du bien à Julian et moi de parler à d’autres personnes que les entrepreneurs. Ty et Julian ont passé un certain temps dans le jardin pour déterminer quelles statues anciennes étaient abîmées de manière artistique et élégante, et lesquelles étaient complétement fichues. Nous allons devoir acheter de nouvelles statues quand nous réaménagerons le jardin, ce qui a beaucoup intéressé Ty : il nous a conseillé une statue de Holmes tenant une loupe et une autre de Watson.
La seule chose étrange est que le fantôme de Rupert était absent pendant toute leur visite. Il n’est réapparu qu’une heure après leur départ. Nous lui avons montré la carte et répété que ce Ragnor nous avait expliqué. Il a simplement répondu que Ragnor avait sûrement raison. Et il s’avère qu’il a bel et bien parlé à Ty à un moment. Il nous a assuré que Ty était « gentil avec les fantômes ». Peut-être que Ty lui a fait un sandwich fantôme ou lui a lu une histoire de fantôme le soir, que sais-je. En tout cas, Ty n’en a pas parlé.
Voilà, c’est tout pour l’instant ! Je pense que nous irons à l’église St Mary Abchurch demain après-midi, et selon ce que nous y trouverons, nous irons voir si cette maison de Soho est toujours un club scandaleux. Mais ce que Ragnor considère comme scandaleux ne le sera peut-être pas tant que ça à nos yeux. Nous verrons bien ! Pour autant que nous en sachions, c’est juste la maison d’un type qui sera très étonné de nous voir arriver !
Bonne nuit, Bruce. C’est sympa de penser à ce que ce sera quand tous les Blackthorn seront là pour remplir la maison de bruit et d’animation. C’est la première fois depuis le début que j’arrive vraiment à imaginer ça, même avec la malédiction. En attendant, je place entre les pages un polaroid de nous tous qui jouons au Cluedo, au cas où tu voudrais avoir quelque chose à voir plus tard.
Emma.
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[1] Type de pain britannique
[2] Dans les romans publiés par PKJ, la traduction est « La Ruelle ». Il s’agit bien du même endroit.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustrations de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/683787176902868992/emma-to-bruce
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ernestinee · 1 year
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Dernier jour de congé. Ça faisait longtemps que je n'avais plus passé de si chouettes congés!
Des trucs simples mais qui me permettent de me voir avancer:
- Dans les travaux de l'appartement que nous mettrons en location dès qu'il sera peint.
- Dans les travaux du jardin que j'ai laissé à l'abandon depuis deux ans à cause du chien du voisin. Cette année j'ai décidé d'être chiante et de le dire aux voisins quand leur chien aboie trop. Ça semble extrême ? Mais j'ai la phobie des chiens et celui-là est hyper envahissant. C'est le genre à m'aboyer quand il me voit à la fenêtre de chez moi. M'aboyer quand je vais mettre un truc dans le compost et continuer d'aboyer vers la maison encore 10 minutes après que je sois rentrée. C'est un dogue allemand. Les voisins partent en vacances sans lui et c'est le voisin suivant qui s'en occupe. Sauf que c'est un gros flippé et il aboie sur son ombre jusqu'à 4h du matin. C'est insupportable, on ne peut pas dormir avec la fenêtre entrouverte même s'il fait étouffant.
- Je me suis aussi vue avancer dans mes lectures et dans le visionnage de documentaires que je voulais voir.
- Je me suis reposée, j'ai joué à Animal Crossing, j'ai regardé des séries, j'ai fait du shopping, j'ai achet�� encore plus de livres, encore plus de fraisiers, encore plus de graines à faire pousser, j'ai passé du temps avec l'ado, j'ai jonglé, j'ai marché avec une amie, j'ai passé du temps seule.
Pour compléter le tableau, la météo a été parfaite. Pas trop chaud, pas trop froid, pas trop sec.
Aujourd'hui au jardin, le chat du voisin (l'autre voisin, celui qui n'a pas de chien) est venu me faire un coucou. C'était le pote de Félix. Il rentrait parfois dans la maison, il venait à sa rencontre à la fenêtre. Quand Félix est mort, Pompon est venu régulièrement l'attendre à la fenêtre et ça me brisait le cœur. Par contre, il ne calcule pas Muffin ni Oreo. Il se poste à la fenêtre, les chatons viennent le voir et il leur tourne le dos. Aujourd'hui il s'est frotté à moi et je me suis assise, il est venu sur mes genoux, a mis ses pattes avant sur mon épaule et a commencé à patouner (bien sûr ce verbe existe) en frottant sa tête dans mon cou. Ça m'a fait du bien qu'un chat vienne faire un câlin gratuit. Pas comme Muffin et Oreo qui ne pensent qu'à manger quand ils me voient.
Le boulot reprend demain mais tout doux, avec la possibilité de ne pas me lever tôt vu que l'ado a encore une semaine de congés, et il y aura des absents l'après-midi.
Bref, billet qui ne sert à rien à part noter des chouettes souvenirs au cas où je relis. Tiens d'ailleurs je vais faire un hashtag exprès.
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bourbon-ontherocks · 1 year
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(Previously, on the HPI rewatch...)
Bon là on est clairement  sur le début de la fin, aka l'épisode où j'ai commencé à perdre toute santé mentale.
Déjà la gêne COLOSSALE de la scène d'introduction je meurs
eLLe a dEmaNDé à dOrMiR chEz lUi... 🥹
IL LUI A TENU LES CHEVEUX 😭😭😭
Non mais je sais pas si vous vous rendez bien compte, là. Il lui a tenu les cheveux pendant qu'elle vomissait. A deux heures du mat. Après avoir été la chercher au poste ou on ne sait où alors qu'il avait sûrement mieux à faire. Mr. "C'est SALE" qui se lave les mains dix fois par jour a tenu les cheveux de Morgane bourrée. C'est -- j'ai même plus les mots, à ce stade c'est une déclaration d'amour et c'est la chose la plus romantique qu'il ait jamais faite pour elle 😱
NON je m'en suis toujours pas remise
"Vous m'avez tenu les cheveux, c'était gentil..." je la vois TELLEMENT lui sortir ça bourrée, retenez-moi... 😩
Pour rappel, c'est littéralement et uniquement cette phrase qui est à l'origine de Show you where it's dark. Just saying.
LE FICUS 🪴🪴🪴
Morgane qui bloque en boucle sur Karadec à poil c'est beaucoup trop drôle, girl, your obsession is showing
"Vous et moi on a mis un peu de temps avant de trouver une manière de travailler ensemble, je voudrais pas que cet incident vienne tout gâcher..." vous croyez que c'est aussi ce qu'il lui a dit dans la voiture entre Calais et Lille ? 😢
"On attend la PTS" suivi de Morgane qui déchiquète le punching ball, elle n'essaye même pas, je l'adore
"Vous allez faire la gueule toute la semaine ?" "Ouais" La synchronisation de Gilles et Daphné est absolument parfaite 😂
Bon par contre c'est quand-même la troisième enquête de la saison avec une mère qui a perdu son fils, faudrait se renouveler un peu, là...
"Non mais sérieux vous avez cinq ans, quoi.." Morgane ? Morgane ?! Heu, hôpital, charité, tout ça, ça te dit quelque chose ?
On a le droit de prendre sa voiture en Ehpad ? Non parce que là Henri nous apprend que sa mère est morte au volant, mais dans l'épisode suivant il nous dit qu'elle était en Ehpad depuis des années, I'm confused.
Morgane qui vit dans sa voiture et qui se fait virer du parking tout en mentant à Théa, c'est quand-même un des trucs les plus déprimants du monde 💔 ...
... Par contre Morgane qui s'incruste au dîner en tête-à-tête d'Adam et Roxane, c'est hilarant.
J'ADORE la subtilité de Roxane qui sort "Non mais y'a vraiment des gens sans gêne" en parlant totalement de Morgane sans que Morgane s'en rende compte, en vrai elle est beaucoup trop cool pour Adam 😅
Et puis ça me fait mourir de rire que globalement Roxane soit plus amusée qu'autre chose par le débarquement de Morgane, alors que Adam est au bout de sa vie
Et c'est LUI qui passe son temps à s'excuser, comme s'il était responsable du fait que sa collègue s'incruste, this speaks volumes about him tbh 😆
"C'est délicieux, mais c'est vrai que c'est un petit peu fade" Pahahaha, cette femme manie l'oxymore d'un façon magistrale 🤣 mais du coup est-ce que ça veut dire que sans Morgane elle aurait subi en silence ? Donc au fond, elle la remercie pour son initiative ketchup-mayo ?
Allez, rien que pour le plaisir, je vous mets petit goret Morgane qui s'en fout partout en imax
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"Je le trouve vraiment craquant quand il s'énerve" et bah NOUS AUSSI
Bon, j'le dis ou j'le dis pas ? Karadec is officially a slut, c’est juste dommage que pour une fois qu’on a l’occasion de voir cet aspect de sa personnalité, ça soit pas avec Morgane... 😏
Mais sinon c'est juste adorable que ce soit lui qui décide de rogner sur les horaires pour prolonger les câlins, Mr. “le meilleur moyen d'être à l'heure c'est d'être en avance” ? 🥰
Morgane qui débarque à littéralement une seconde et demie d'une scène de sexe explicite 🤭😘
Roxane qui est morte de rire pendant l'intervention de Morgane, j'arrive pas à savoir si c'est Clotilde qui a pas gardé son sang-froid ou pas, mais elle est tellement plus chill qu'Adam, good for her
Et aussi, pourquoi Adam est aussi stressé à l'idée que Morgane fouille dans son pantalon ? Elle risque d'y trouver quoi, des capotes ?
HPI 🤝 Kaamelott => grumpy trouple energy
Vous pariez que Karadec les reverra jamais ses vingt balles ?
"J'étais jalouse des autres femmes, j'ai compris que j'étais en train de m'attacher, etc..." non non non, c'est pas DU TOUT on the nose haha
Céline et Daphné qui veulent aller draguer en mode non mais c'est un super plan et on y va absolument pour le boulot... LOL
Le "Pardon !" vénère de Daphné quand elle se casse après avoir suggéré à Morgane de s'excuser me fait toujours autant rire 😅
PAR CONTRE
Le fait que ça catalyse Morgane qui va s'excuser auprès de Ludo parce qu'elle réalise qu'elle va le perdre comme elle a perdu tout le monde dans sa vie, ça me 😭
Les explications sur la piste de danse... Encore une occasion manquée de voir Céline sortir à Morgane qu'Adam a failli démissionner pour elle 😢 Sinon vous avez remarqué que Céline danse la macarena ?
Le CHAOS absolu de cette sortie, quand-même, entre Céline et Morgane qui sont passées à ça 🤏 de se pécho sur un suspect pendant que Daphné vit sa meilleure vie sur la piste de danse 😅
La voix de Morgane qui déraille quand elle s'excuse auprès de Ludo gets me every fucking time 💔😰 Audrey Fleurot sait tellement bien jouer quand elle veut...
J'y crois pas, elle continue à sortir des bobards à Adam sur son soi-disant hôtel, et lui pas dupe il dit rien mais il sait très bien qu'elle ment c'est TELLEMENT mignon
Il lui a gardé une assiette, hello 😍
"Vous vous brossez réellement trois minutes ?" oh putain je commence à faire des palpitations 🙊
POURQUOI ils se brossent les dents ensemble comme un vieux couple, d'abord ??? Qui fait ça ? Vous faites ça quand vous hébergez un collègue en galère, vous ? Genre Adam était TELLEMENT pressé d'aller se coucher, il a pas pu attendre trois minutes ? Mais enfin 😆
Et Morgane qui remet sur le tapis le fait qu'elle l'a vu à poil
LE BROSSAGE DE LANGUE 😱😱😱   
Sérieusement, si on m'avait dit qu'un jour je shipperais des gens qui se brossent la langue je l'aurais pas cru
La naissance de 💫 Brosse Adam 💫 , ladies and gentlemen
"Vous vous lavez la langue ?"
Le SOURIRE de Morgane
Elle se fout de sa gueule mais en même temps on voit la vulnérabilité et l’attirance qui percent sous le masque, et je --- 😩😩😩
la GÊNE ABSOLUE
Adam qui sait plus où se mettre 🤣
"Vous avez des projets, ou...?" c'est pas DU TOUT parce qu'elle l'a vu sur le point de mettre lesdits projets à exécution avec Roxane, non non non
LA TENSION 🥹🥹🥹
Ce moment où ils n’ont PAS PU ne pas penser à s’embrasser
On ne m’ôtera pas de l’esprit qu’ils en mouraient tous les deux d’envie 🫠
Leurs regards dans le miroir, ils peuvent même plus se regarder en face oh my god 😩
Morgane qui geint "éteindre la lumière" comme si elle était au bout de sa vie (she probably is)
(Local Woman Just Hit On Her Very Not Single Boss, etc)
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Hold on I need a minute
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J'adore, parce que l’argument massue de Morgane c’est "le mec a réservé ses billets d'avion vachement à l'avance et il choisit la place à côté des toilettes", heu, deux semaines avant pour un vol international, vous appelez ça à l'avance, vous ?
"Au début il m'agaçait mais petit à petit... [...] c'était plus fort que nous" La façon dont Adam regarde Morgane pendant tout ce passage me tue. C’est l’épisode où elle réalise qu’elle est amoureuse, mais on dirait que c’est LUI qui se sent concerné, j’en peux plus 🥵
"Je tombe enceinte à chaque fois que je suis amoureuse" Ah non, hors de question. Leave Morgane’s uterus alone 2k23
Je rêve, ils ont même pas pris la peine de créer un fil WhatsApp crédible, là on dirait que la conversation vient de démarrer avec Ophélie alors que c'est sa cliente depuis trois mois 😅  l’amateurisme technologique de TF1 me surprendra toujours
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"Et Gilles qui a fait... sans doute un tas de trucs" 😂😂😂
La façon dont Adam est complètement obsédé par Morgane dès qu'elle ne vit plus chez lui ça me rend dingue. Je le vois. Roxane le voit. Les acariens dans sa moquette le voient. Lui, non, il voit pas.
Tu m’étonnes que Roxane fasse des recherches sur Morgane, après...
Morgane qui hallucine Adam en train de se brosser la langue dans la cellule du commissariat -> poetic cinema 😍
ELLE LUI A PIQUE SA BROSSE A DENTS EN BAMBOU
La révélation finale de Morgane est absolument magique, pas parce qu’elle prend conscience de ses sentiments, mais parce que ce show s'auto-fanvid c'est extraordinaire 😅 
Ce montage de tous leurs petits moments 😘😘😘 Les moments où elle fait rire Adam... leurs câlins... leur complicité 🥹🥹🥹
Et mention spéciale aux petits bébés chats qui se font des léchouilles, ça me fait mourir de rire à chaque fois et c’est exactement comme ça que je veux les voir en saison 3 (ouais je sais c’est mal barré, BUT STILL, gimme my kittys 😻😽)
Oh ! Pour une fois je finis pas un épisode avec le cœur en miettes dis-donc !
M’enfin c’est juste histoire de reprendre des forces avant la suite, hein...  😏
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Mon inspiration du jour
Les mots d'enfants sont "vérité " et tellement spontanés...
Les mots d'enfants sont des bonbons
Sucrés de poudre de poèmes
Les mots d'enfants sont perles d'eau
Ciselées de câlins de lune
Ils sont de doux bijoux d'amour
A enfiler très doucement
Sur des guirlandes de baisers
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lisaalmeida · 8 months
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Fais du temps un verbe simple.
Un futur proche
Que l'on puisse raconter,
Presque toucher.
Faites de la diversité du jour
Une lumière discontinue.
Du souvenir une ombre lourde.
Fais de l'amour une attente sans fin.
Des câlins
Une découverte illégale.
Fais du désir
Un besoin sans issue.
Des mains... des certitudes.
© Rune
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perduedansmatete · 1 year
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ça a toujours été comme ça avec moi, je ressens si fort les émotions des autres que ça me fait mal, je me fais bouffer par leurs sentiments et je morfle par déflagration. je ne sais pas si c'est parce que je prends les choses trop à cœur ou si c'est que je me sens responsable mais c'est violent comme ça me tabasse bien souvent. c'est un mélange de projection, d'identification, de culpabilité aussi et d'amour profond je crois, et puis une impression d'injustice suivie d'une autre d'impuissance totale. ça me fait mal de savoir quelqu'un que j'aime dans la souffrance, et de savoir que je ne peux rien y faire. ça me rend triste que tout le monde le soit autour de moi, j'ai l'impression qu'il n'y a aucune exception. j'aimerais aspirer toute cette tristesse, toute cette douleur et la réduire à néant, lui faire la guerre en 1v1 ou qu'elle me castagne juste moi, tout prendre dans la figure. il m'arrive aussi assez souvent de me dire que ce n'est pas de l'empathie et que je suis juste égoïste car je projette simplement les émotions de quelqu'un que j'aime aux miennes mais je ne sais pas faire autrement et rester de marbre, comment on fait ? puis en ce moment je n'arrive plus trop à trouver les mots et à être là, du moins à être comme là comme je le voudrais. je culpabilise beaucoup mais ça devient trop dur de réconforter quelqu'un quand tout ce que j'entends et tout ce que je lis de sa part je le ressens aussi au plus profond de mes entrailles. je n'aime pas dire "ahah same j'ai envie de crever tous les jours se ressemblent et absolument rien ne m'intéresse" car ça ne sert à rien, je ne veux pas non plus dire en boucle les mêmes choses réconfortantes qu'on entend partout justement car on les entend partout et que non, ça n'ira pas mieux. proposer des solutions, c'est toujours bien mais ce n'est pas non plus ce qu'on veut entendre, on les connait les solutions, et les "tu devrais, il faudrait, tu as déjà essayé ?" ça pue la merde oui on sait tout ça mais ce n'est pas si évident que ça en a l'air. je le fais quand même quelques fois, c'est important. mais je suis juste douée pour les câlins pendant des heures sans rien dire en ce moment. peut-être que quelques fois les mots ne valent rien et peut-être que je ne pourrais jamais aspirer la souffrance de ceux que j'aime, même si cette dernière hypothèse me fend le cœur, c'est une piste à ne pas négliger.
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